La première fois où j'ai vu cette publicité, personne ne m'avait averti que j'allais passer un des segments de trente secondes les plus pénibles de ma vie. Il s'en est fallu de peu pour que je saigne littéralement des yeux. En fait, une seconde de plus et je tombais en crise de convulsions.
À toutes les fois où j'ai vu cette pub, je me disais : "Il faudrait vraiment que je la place sur mon blogue mais j'ai pas d'enregistreur numérique et j'ose croire que personne n'a pu oser mettre ça en ligne…"
Eh! ben! non… Depuis près d'un mois, elle était là sur YouTube, à un clic de tous…
Bravo au Détesteur qui a placé la pub sur son blogue mais franchement, l'argument "régional", ça fait un peu 90. Mais bon, le Détesteur s'affiche ouvertement comme nostalgique de cette décennie où la musique a vraiment commencé à devenir nulle et puis les nineties, c'est une toute autre histoire.
Alors prenez un bon calmant avant de visionner cette pub et surtout, tentez de ne pas vous concentrer sur le beat qui est d'une médiocrité défiant toute logique. Décidément, je garde mes vieilles Converse cette année…
Bonjour à toi,
Mon commentaire sera très rapide et direct. Tu dis avoir passé les 30 pires secondes de ta vie en regardant cette publicité. Je peux comprendre, mais sache que le concepteur de cette pub ne s’est pas dit WOW j’ai une idée géniale avec un beat révolutionnaire qui va en faire vendre des souliers !
Sache que le pub premier de cette pub était de faire en sorte que ça aie l’air « cheap » afin que tout le monde parle de cette pub. Tu connais sûrement la fameuse phrase: Parlez-en en bien ou parlez-en en mal, mais parlez-en. Disons que le but de cette pub résume très bien cette phrase !
Cher Sylvain,
ma vie est suffisamment remplie de drames pour que cette pub ne soit pas les 30 pires secondes de ma vie. Toutefois, en employant un langage aussi extrême, mon but (ou pub si j’emprunte ton expression) premier était d’amener les visiteurs de ce blogue à visionner cette pub. Je m’y connais moi-aussi en marketing.
Par contre, désolé mais je n’accroche pas du tout à l’hypothèse de la mauvaise publicité volontaire. Trop facile…