Désolé mais là, ça va faire! Que le gars écrive sans même nous rire dans la face que Yamaska est une excellente série, ça peut passer à la limite. Après tout, les goûts, ça ne se discute pas. Mais là, sérieusement, y a-t-il quelqu'un à la direction de La Presse pour lui trouver une job dans un autre département, question qu'un journaliste aux propos un peu moins communs nous parle de notre télé?
Je vous écris ça en vain car je sais que celui qui lévite à l'écoute des singles gratuits de la semaine sur le ITunes Stores, Hugo Dumas, ne vient pas sur ce blogue. Je le sais car il me l'a clairement signifié lors d'un échange de courriels quelques semaines plus tôt.
Maintenant, je vous demande seulement d'aller lire cet article d'une vacuité pas possible et si jamais vous ne vous êtes toujours pas défenestrés après la lecture de ce ramassis d'inepties, je vous donne la permission de tout sacrer ça là et de recommencer votre vie.
Pour être franc,j'adore la télé et je n'ai absolument rien contre le fait de parler d'Occupation Double ou de Loft Story. Même que je peux plaider coupable. Toutefois, quand je vois des gens supposément qualifiés afin d'analyser l'univers télévisuel tomber dans de tels lieux communs, permettez-moi de leur souhaiter qu'ils se recyclent dans l'écriture de romans poches.
En tout cas il y a quelque chose qui me réconforte dans son texte pas très original je dois en convenir, c’est que je suis heureux d’être du groupe des cinq millions qui ne regardent pas ces émissions du genre « absolument rien à cirer ». On a beau se peter les bretelles avec les cotes d’écoute, ce n’est pas tout…
Euh! C’est encore moi. Pour ce qui est des inepties de Dumas, elle ne se comparent en rien à celles des filles sur mon lieu de travail. J’ai l’impression qu’elles mouillent plus facilement confrontées à ces irréalités télévisuelles et que ça les changent un peu de leurs chums du type « prince-charmant-en-moins beau-et-moins-musclé ». Elles parlent des baisers langoureux comme les commentateurs sportifs crient un « lance et compte » dans une game de hockey. C’est là que « scorer » prend tout son sens…
Bonjour M. Martel,
Habituellement, M. Dumas m’énerve royalement. Son style d’écriture (ou plutôt la tentative de style) m’agace. Ces «lévitations» itou. Puis sa dernière bourde (dévoiler les détails importants du scénario du film Antichrist – même pas son domaine, en plus!) m’a fait enrager. Vous avez compris que je ne suis pas sa fan #1. Mais concernant le texte en question ici, je ne vois pas en quoi ici il a tort.
Je crois vraiment comme lui que les participants des téléréalités sont inconscients ou encore superficiels et prêts à tout pour un bref moment de gloire et frontpage de magazine à potins. Je ne regarde pas les téléréalités mais les gens que je connais qui le font, le font pour le plaisir de blaster les participants. Alors, quelles est leur excuse?
Je suis parfaitement d’accord avec son article. Il dit que ça sert à rien de passer dans une téléréalité pour devenir célèbre; ça marche pas.
Désolé si c’était ton plan.
C’est peut-être ça qui t’offusque tant.
@ Monsieur Desmeules: Et vous devriez voir ma conjointe détester la gagnante de l’édition de cette année d’OD.
@ Madame Ouellet: Moi, je suis d’accord avec vous madame Ouellet. Le hic, c’est que les propos de Dumas, je les ai déjà entendus 243 fois un peu partout et souvent, par des personnes qui de leur propre avis, ne s’y connaissent pas tant que ça en médias. J’ai donc le droit de m’attendre à un peu plus de la part d’un journaliste qui gagne en un jour ce que le gars au Mcdo fait en une semaine et ce, pour écrire sur la télé…
@ Monsieur Tremblay: Merde, vous m’avez déjoué.
M. Martel, quel plaisir de vous lire ! En plus, vous écrivez ce que je pense des chroniques de M. Dumas que j’évite maintenant de lire – sauf ce matin en lisant votre chronique.
Ce que je trouve aberrant dans cette chronique et celles que j’ai lu auparavant de M. Dumas, c’est que fréquemment son contenu ne ‘lévite’ pas du tout – pour emprunter à son vocabulaire qui tape royalement sur les nerfs lorsqu’il lévite et évite ses choix musicaux ou autres (tellement pas intéressant à connaître). On pourrait presque croire qu’il écrit pour le Lundi ou La Semaine et non pour La Presse. Ai-je tort de m’attendre à un contenu plus élevé d’un chroniqueur de La Presse ?
Quand à OD, donner de l’importance à ce type d’émission via une chronique dans un grand quotidien – même si c’est pour relater les faux espoirs de candidats désirant devenir une vedette instantanée et donc rapidement ‘flushable’ – démontre tout simplement le manque de jugement de M. Dumas et son manque d’imagination… C’est pourtant pas les sujets qui manquent en télé.
Tu as raison Joël, cet article est vraiment un ramassis de lieux communs, dommage que certains n’aient pas compris ton propos.
Julie aime pas la belle Marie-Ève ? Je n’ai pas écouté l’émission mais juste à voir les candidates… oyoyoye ;o) elle partait avec une grande avance dans mon cas. :o)
Une dernière chose… pas question de me défenestrer pour Hugo Dumas… c’est plutôt lui qui mériterait d’être défenestrer mais comme je suis pas vraiment méchant, je lui en souhaite une dans le genre de la « Deuxième défenestration de Prague », la première est un peu « rough » quand même.
Des lieux communs les propos d’Hugo Dumas?
Ben voyons donc, le gars est un cerveau incroyablement supérieur à la moyenne et chaque jour, je me nourris de sa sagesse, de ses suggestions musicales incroyables et de ses coups de coeur pour ce que le communs des martels considère comme des quétaineries. Le gars voit le talent au delà de vous tous!!! Et vous n’en profitez même pas!
😉
Ce que je trouve paradoxal dans ce texte, qui a défaut d’être original demeure néanmoins juste, est que c’est le même type qui a gaspillé de l’encre et des pixels pour couvrir en beaucoup trop de détails ce qu’il se met à dénoncer.
Des fois, si tu fais pas partie de la solution, c’est que tu fais peut-être partie du problème