Je doit avouer que je me retrouve entre deux chaises entre le rapport Castonguay et les commentaires de Mme Legault.
Premièrement, un système mixte public/privé serait certainement en mesure de résoudre les problèmes du système actuelle. Les plus fortunés n’ont qu’a payer pour avoir les soins qu’ils souhaitent dans les délais qu’ils souhaitent s’ils le veulent. Les moins fortunés n’auront plus a attendre aussi longtemps car le système se retrouvera allégé par le privé. je sais je sais, il n’y a pas de première et seconde classe de citoyens et on ne devrais pas permettre ca, mais ce serait quand même mieux que d’être tous des citoyens de troisième classe.
Deuxièmement, je ne suis pas non plus d’accord avec l’idée de récupérer les 2 points des taxes. Le système de santé requiert toujours plus de fonds pour fonctionner et pas pour le mieux en plus. Donc plus on en donne, pire ce sera selon moi. Le fait est que le Québec s’est assis sur ses lauriers avec ce système. La mentalité générale de notre peuple c’est qu’on peux faire les conneries que l’on veux avec notre corps/santé, le système gratuit est là pour nous soignés. Faux, le système n’est pas gratuit, on le paye par nos taxes, réveillez-vous et faites un peu attention à votre santé.
Bref je ne suis pas d’accord avec un système ni mixte, ni à deux vitesses. Je ne suis pas non plus d’accord avec Mme Legault qui pense que de payer encore plus pour ce système va résoudre le problème.
Je suis plutôt pour l’idée de se prendre en main en tant que peuple et de se responsabilisé face à notre santé par de bonnes habitudes de vie, ce sera déjà un pas dans la bonne direction, mais nous el savons tous déjà ça.
Mais puisqu’il est question de soins ici et que notre système est boiteux, voici une piste de solution. Pourquoi ne pas fonctionner avec un système mixte, dont un partie des revenus du privé seraient investis dans le public? Le but d’une société n’est il pas de s’entraider? Avec ce principe, tout le monde est gagnant je crois.
Je ne crois pas que le communisme soit la réponse èa nos problèmes sociaux. par contre une phrase toute simple de Marx peux apporter beaucoup: « De chacun selon ses moyens, à chacun selon ses besoins. »
Bonne journée
La phrase de Marx est complètement sorti de son contexte. À lire votre billet, M. Duchesneau, vous semblez dire que la phrase : «De chacun selon ses moyens, à chacun selon ses besoins.» confirme l’idée d’un système de santé mixte. Or, cette phrase traduit le souhait de la société communiste; où chaque individu donnerait à la société selon ses moyens (talents, désirs, limites) et où chaque individu recevrait selon ses besoins. Cela semble affreusement simpliste, mais c’est qu’il faut lire Le Capital et comprendre la profondeur théorique de la critique de l’économie politique de Marx. Or, très peu de gens se plongent sérieusement dans cette lecture, on préfère la confort des idées réçues.
Contrairement à vous, je suis complètement d’accord avec les propos de Madame Legault…
Et j’irais un peu plus loin…
Je crois que la mort de quelque individus (de maladies reliées à la vieillesse) est un évènement triste mais fatalement inévitable; tandis que la liquidation de notre système de santé public est une tragédie historique fatalement évitable. La santé, ce n’est pas le combat contre la mort, c’est le bien-être de ceux qui sont bien vivants. Soyons intelligent et laissons de coté nos égos!
Je doit avouer que je me retrouve entre deux chaises entre le rapport Castonguay et les commentaires de Mme Legault.
Premièrement, un système mixte public/privé serait certainement en mesure de résoudre les problèmes du système actuelle. Les plus fortunés n’ont qu’a payer pour avoir les soins qu’ils souhaitent dans les délais qu’ils souhaitent s’ils le veulent. Les moins fortunés n’auront plus a attendre aussi longtemps car le système se retrouvera allégé par le privé. je sais je sais, il n’y a pas de première et seconde classe de citoyens et on ne devrais pas permettre ca, mais ce serait quand même mieux que d’être tous des citoyens de troisième classe.
Deuxièmement, je ne suis pas non plus d’accord avec l’idée de récupérer les 2 points des taxes. Le système de santé requiert toujours plus de fonds pour fonctionner et pas pour le mieux en plus. Donc plus on en donne, pire ce sera selon moi. Le fait est que le Québec s’est assis sur ses lauriers avec ce système. La mentalité générale de notre peuple c’est qu’on peux faire les conneries que l’on veux avec notre corps/santé, le système gratuit est là pour nous soignés. Faux, le système n’est pas gratuit, on le paye par nos taxes, réveillez-vous et faites un peu attention à votre santé.
Bref je ne suis pas d’accord avec un système ni mixte, ni à deux vitesses. Je ne suis pas non plus d’accord avec Mme Legault qui pense que de payer encore plus pour ce système va résoudre le problème.
Je suis plutôt pour l’idée de se prendre en main en tant que peuple et de se responsabilisé face à notre santé par de bonnes habitudes de vie, ce sera déjà un pas dans la bonne direction, mais nous el savons tous déjà ça.
Mais puisqu’il est question de soins ici et que notre système est boiteux, voici une piste de solution. Pourquoi ne pas fonctionner avec un système mixte, dont un partie des revenus du privé seraient investis dans le public? Le but d’une société n’est il pas de s’entraider? Avec ce principe, tout le monde est gagnant je crois.
Je ne crois pas que le communisme soit la réponse èa nos problèmes sociaux. par contre une phrase toute simple de Marx peux apporter beaucoup: « De chacun selon ses moyens, à chacun selon ses besoins. »
Bonne journée
La phrase de Marx est complètement sorti de son contexte. À lire votre billet, M. Duchesneau, vous semblez dire que la phrase : «De chacun selon ses moyens, à chacun selon ses besoins.» confirme l’idée d’un système de santé mixte. Or, cette phrase traduit le souhait de la société communiste; où chaque individu donnerait à la société selon ses moyens (talents, désirs, limites) et où chaque individu recevrait selon ses besoins. Cela semble affreusement simpliste, mais c’est qu’il faut lire Le Capital et comprendre la profondeur théorique de la critique de l’économie politique de Marx. Or, très peu de gens se plongent sérieusement dans cette lecture, on préfère la confort des idées réçues.
Contrairement à vous, je suis complètement d’accord avec les propos de Madame Legault…
Et j’irais un peu plus loin…
Je crois que la mort de quelque individus (de maladies reliées à la vieillesse) est un évènement triste mais fatalement inévitable; tandis que la liquidation de notre système de santé public est une tragédie historique fatalement évitable. La santé, ce n’est pas le combat contre la mort, c’est le bien-être de ceux qui sont bien vivants. Soyons intelligent et laissons de coté nos égos!