Hier soir, sur LCN, l'animateur Denis Lévesque a réussi, subtilement, à faire avouer à Justin Trudeau son ambition de devenir premier ministre, un jour, comme son papa légendaire.
«Tout est possible», a répondu un Justin Trudeau quelque peu fébrile à la pensée de la course au leadership se pointant au PLC.
De toute évidence, personne n'excelle dans le milieu politique sans être pourvu d'un égo et d'un portefeuille bien nantis… Dans ce département, le jeune et charmant Justin Trudeau n'a rien à envier à qui que ce soit au PLC.
Voyant Denis Lévesque lui arracher habilement ce «tout est possible!», je n'ai pu m'empêcher de penser à la fable de Lafontaine – Le corbeau et le renard. (Comme quoi, lorsqu'un Trudeau rencontre un Lévesque, il se passe toujours quelque chose d'intéressant…).
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En guise de pause plus légère après une longue campagne électorale, voici donc un pastiche de cette fable basé sur l'entrevue en question:
Maître Trudeau, sur sa chaise perché,
Tenait en sa bouche un hommage.
Maître Lévesque par l'ego intrigué,
Lui tint à peu près ce langage:
«Et bonjour Monsieur du Trudeau.
Que vous êtes joli! Que vous me semblez beau!
Sans mentir, si votre bagage
Se rapporte à votre plumage,
Vous êtes le futur premier ministre d'Ottawa?».
À ces mots, le Trudeau ne ne sent pas de joie;
Et pour montrer sa belle voix,
Il ouvre la bouche et laisse tomber de soi:
«Tout est possible!».
Le Lévesque s'en saisit et dit: «Mon bon Trudeau,
Apprenez que tout flatteur
Vit aux dépens de celui qui l'écoute:
Cette leçon vaut bien un vote sans doute.»
Le Trudeau surpris et confus
Jura mais un peu tard, qu'on ne l'y prendrait plus.
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Tit-pet aura à se battre contre de vieux loups qui veulent la place de « l’agneau sacrifié ». Il se fera bouffé tout cru.
Madame Legault : Bravo pour votre Fable Con-temporaine ! *sourires*
Dieu nous en préserve. Un Trudeau dans une vie est déjà trop. Deux, c’est l’indigestion asurée.
PET a déjà gâché le Canada et assassiné le Québec. Nous n’avons pas besoin d’une redite.
Fasse le ciel que le parti Libéral ait assez de jugement pour lui dire » Non merci! Allez sévir ailleurs. »
Quel cauchemard en perspective. Qu’il ait été élu est déjà alarmant en soit. Nous faudra-t-il vivre avec cette épée de Damocles pendant une génération. Le jeune ambitieux n’a que 36 ans.
A l’aide!
Maître Trudeau étant tellement narcissique
Qu’il fût aisément facile a manipuler
Comme devant un mirroir magique
Qui réflète notre image sanctifiée
Maître Trudeau ne dort plus
Tellement occupé a son plumage
Rêvant du jour ou il sera l’Élu
D’une grande nation a son image
Mais l’autre nation , celle d’ici
Ne lui donnera jamais cette opportunité
De faire le beau et le gentil
Devant un ROC tout excité
Gnan-gnan-gnan …….Pet fils …….
Oh non, pitié! Ne nous précipitez pas déjà dans l’exercice voyeur de supputer durant des mois qui remplacera M. Dion au PLC!… Ou alors, tant qu’à nous enchaîner à ce « spectator sport », misez franchement sur Alexi Kovalev!
Il y aurait tant à dire sur l’intérêt d’un travail de coalition à l’européenne entre les trois partis d’opposition, face à un Harper qui ne peut absolument plus nous renvoyer en élection…
La quasi-unanimité dont ils ont fait preuve à son égard lors des débats devrait bien donner quelques projets de loi intelligents pour corriger le tir et remettre notre société sur les rails.
Il suffit de ne plus servir de courroie de transmission aux lamentations prévisibles du PCC à l’effet que le pays serait ingouvernable si on ne fait pas les quatre volontés du p’tit boss du 25 Sussex.
M. Layton nous en a donné l’exemple de ce genre de compromis créatifs lorsqu’il a fait adopter des mesures généreuses au gouvernement Martin pour son budget.
À tous ces beaux messieurs de faire leurs preuves dans une situation de nécessaire coalition, plutôt que de réamorcer la machine-à- chercher-un-leader-charimatique…
Think BRIGHT!
Il peut bien le ravaler son fromage de l’Héritage tome II car c’est tout ce qu’il aura de nous. Non mais, on retombe dans le film d’horreur Alien ou quoi là? La sale bête se serait-elle réincarnée?
Le sujet précédent parlait de la démocratie malmenée, j’ai écris en début d’un texte un résumé mentionnant ses carences.
Nous vivons dans une monarchie constitutionnelle quoi de plus normal que le fils Trudeau aspire à la plus haute fonction nourricière de son arrogance.
Trudeau le fils est le symptôme d’une maladie, celle de la folie des grandeurs.
La participation électorale est faible aussi parce que plusieurs gens s’irritent des attributs de prestige parfois princiers rattachés à la fonction de chef d’État. Lorsqu’on observe un Sarkozy qui va venir à Québec manifester sa mégalomanie et en prime sa fausse affectation envers le Québec comment ne pas être dégoûté de la politique. Peu de personnes s’intéressent au premier degré à l’actualité politique au point de lire à chaque jour les journaux en édition papier de La Presse, du Devoir tout en s’offrant en prime à chaque semaine le Courrier International. Il y a d’autres choses intéressantes à faire que de suivre la politique.
En dehors des élections, je perds 30à 40% d’intérêt pour la chose.
Trop suivre les Charest, Dumont, Harper soulève le coeur.
Et puis les blogues connaissent des limites certaines, l’informatique a probablement inventé l’application d’une liberté d’expression qui ne dérange plus guère.
Si Trudeau n’existait pas, il faudrait en inventer un afin de canaliser toute la hargne anti-fédéraliste présente dans le mouvement souverainiste. Les commentaires ci-haut le démontre avec éloquence.
Faire dire à un jeune homme de 32 ans que tout est possible ne relève pas d’une gros scoop journalistique.
Quelle perte de temps et d’énergie, si le plus gros problème au Québec est la présence d’un député fils d’un ancien PM rempli de naïveté, et bien ça démontre le peu de sérieux de la cause. Il me semble que vous pourriez trouver d’autres chats à fouetter.
Trudeau père, a été tres mauvais meme vicieux avec
l Alberta, nous le détestions et il nous détestait autant que bien des gens ici. Par contre on se plaint que les jeunes ne sont pas politisés, ne s engagent dans rien qui puisse changer notre pays et parce que le père était un entèté
on accuse le fils des memes vices.
Il a dit des choses qui déplaisent a bien des gens, mais
Il est jeune, c est le 21e siècle et il a des années devant lui pour s adapter au nouveau Canada.
Ne blamons pas le fils pour les péchés du Père.Je suis contente de ne pas etre libéral et devoir voter pour lui mais il finira pas passer in Central Canada I am sure.
Ce que les albertains n’ont pas apprécié de Trudeau c’est qu’il leur rappèle que l’Alberta, avant la découverte du pétrole, recevait l’aide du reste du Canada. Le retour d’assenseur qu’on leur imposait, en temps de crise, leur déplaisait.
Ces bons chrétiens, adeptes de l’Ancien testament, préfèrent aimer leur prochain sans bouse délier. Le dire ne coûte rien. Le faire, fait mal.
Je m’étonne beaucoup qu’il n’y ait pas de parti cécessioniste en Alberta. A les écouter, on leur suce le sang. Soyez logique et partez avec votre richesse naturelle. J’ai hâte de voir les résultats du référendum et la question claire que l’on vous soumettra.
A quand le Parti Séparatiste de L’Alberta libre?
En attendant le bitchage de demain:::
.(Québec) Le président français Nicolas Sarkozy plonge dans le débat sur l’avenir du Québec. Il a fait un vibrant plaidoyer pour un Canada uni. Le monde n’a pas besoin d’une «division supplémentaire», a-t-il affirmé en conférence de presse aux côtés du premier ministre du Canada Stephen Harper.
«J’ai toujours été un ami du Canada. Parce que le Canada a toujours été un allié de la France. Et Franchement, s’il y a quelqu’un qui vient me dire que le monde a aujourd’hui besoin d’une division supplémentaire, c’est qu’on n’a pas la même lecture du monde», a-t-il souligné.
«Je ne vois pas au nom de quoi une preuve d’amour pour le Québec, fraternelle et familiale, devrait se nourrir d’une preuve de défiance à l’endroit du Canada», a-t-il ajouté.
Le président dit avoir «suivi de très près» le débat sur l’avenir du Québec au cours des dernières années. «Je sais parfaitement qu’au Québec il y a des francophones qui font partie de notre famille. Mais les francophones de ma famille ne me demandent pas de ne pas considérer le Canada, grand continent en vérité, comme des amis. Voilà.»
«L’idée que je me fais de la France est un pays qui rassemble, et non pas qui divise. C’est un pays qui apaise.»
..
Madame Teasdale,
J’apprécie beaucoup le président français Nicolas Sarkozy, encore que je lui préfère sa conjointe Carla Bruni… Mais, bien sûr, le président Sarkozy a tout à fait raison de plaider en faveur d’un Canada uni. Malgré ce qui nous oppose, entre provinces, nous serons toujours plus fort ensemble.
Par ailleurs, je soupçonne que vous n’êtes pas aussi insensée que vous le paraissez, Mme Teasdale. Vos fléchettes lancées sont souvent impertinentes, mais le fond inexprimé ressort, pour qui sait voir. Vous exprimez souvent ce que d’autres préfèrent taire.
Mais n’allez pas vilipender Pierre E. Trudeau. Jamais. Et non plus son fils, que vous ne connaissez pas plus que nous, d’ailleurs. Le jeune Trudeau est un homme instruit et intelligent. Donnons lui la chance d’exprimer ses valeurs – et le pourquoi de celles-ci. On décidera ensuite si le programme nous convient.
La chance au coureur, toujours.
(Hoping this was understandable for you.)
La déclaration d’unité canadienne de Sarkosy est elle sincère ou vient elle de la grande amitié entre lui et Mister Desmarais de Power Corp. Ces deux là sont tellement copain copain qu’ils semblent s’influencer mutuellement , ou peut être que Sarkosy est redevable de la grande générosité du vieux milliardaire ! Faut pas oublier que ces deux là partage une grande admiration pour ce petit président qu’est Bush fils , comme Harper évidemment !
En passant un livre assez intéressant de Robin Philpot concernant le grand Paul Desmarais et son empire sera disponible en librairie tr`s bientôt !
M. Sarkozy ne peut se faire l’avocat d’un Québec indépendant étant donné qu’en France il combat les idées de sécession de diverses parties de la France.
La France est une et indivisible, c’est écrit dans la constitution.
Au Canada, on peut toujours essayer de partir…
@ Claude Perrier
Notre « alliance » pour sauver la démocratie en ne votant pas Harper pour vous et en votant tel que prévu pour le BLOC pour moi, n’aura été qu’éphéméride. Le temps de la chose. En lisant votre apologie de Tit-Pet, le disant même intelligent (), il est évident pour moi que notre alliance s’arrête ici.
Nous sommes à la croisée des chemins, je reprends ma route, sans vous… Bon voyage au pays des assimilateurs, des fils de Lord Durham !
Sarko, proposition de lectures :
http://www.cyberpresse.ca/dossiers/francophonie/200810/18/01-30555-yves-michaud-nest-pas-surpris-des-propos-de-sarkozy.php
http://www.vigile.net/L-erreur
Bonne lecture !
Marie André Gauthier
Le commentaire d’ André Michaud semble a point mais je ne crois nullement que Sarkozy ne connaisse pas la réalité québécoise mais plutôt qu’il partage celle de son grand ami Paul Desmarais celui là même qui l’a aidé dans sa propre campagne électorale en France .
Voir Harper , Charest et Sarkovy se faire des mamours doit faire plaisir au Parrain Fédéraste Po-Paul Desmarais !
Sarkozy, est loin d’être un prophète dans son pays et encore moins ailleurs, selon l’opinion bien sûr de tous les citoyens du monde qui financent à leurs corps défendant les puissants de ce monde qui le soutiennent à leur tour. C’est donc avec l’argent du peuple qu’il vient nous écoeurer ici pour faire pénétrer les idées de ce petit club mondial de vautrage économique parasitant les peuples.
Évidemment, une division supplémentaire, ne ferait que compliquer davantage la digestion automatisé des chiffres de leur livre comptable mondial à marde. On a pas besoin des opinions insignifiantes de ce monsieur Sarkozy qui n’y connaît absolument rien du peuple du Québec et de ses aspirations, mis à part la gang de quêteux du parlement.
Dans la dernière entrevue accordée par Pierre E. Trudeau à Cité libre, il a concédé que si le français était aussi important pour la culture que le soutenait les » séparatistes « , il devait leur donner raison. Mince consolation et un peu tard…
M. Trudeau était-il intelligent? Evidemment, sauf qu’il ne l’était pas assez pour saisir les nuances du phénomène nationaliste. Il n’en connaissait que les excès, tout en étant lui même nationaliste canadien, face aux américains. Mais ça, c’était de bon aloi. Allez comprendre.
Ah! la nature humaine…
Quand à M. Sarkozy, il fait rarement dans la dentelle. Il est venu à Québec donner un coup de pied dans la fourmillière, tout comme son prédéceseur De Gaule l’avait fait, mais pas avec les mêmes intentions.
On remarquera que les deux oiseaux se sont envolés peu après leur méfait. L’un est retourné en France, illico; l’autre est parti voir son ami George. Pourquoi perdre son temps avec la famille quand on a des amis beaucoup plus intéressants?
Sarkozy! Ah! le beau cas dirait un psy. J’aime bien sa femme. Opinion toute personnelle, dis-je.
Ce Trudeau a réussit à sortir (de peu) le Bloc de Papineau. C’est quand même pas mal pour une première sortie. Surtout dans le contexte actuel.
S’il présentait maintenant sa candidature à la tête du PLC ce serait une preuve de son audace. Les québécois aiment bien ce genre de petit baveux. Même s’il perdait il gagnerait une bonne position pour la prochaine course.
On le sait, le seul parti qui aurait pu sérieusement menacer Harper c’est le PLC. Même si le Bloc prétend le contraire. Si les Québécois avaient voté rouge Harper serait en bien mauvaise posture.
Au fond, le Bloc faisait l’affaire des conservateurs qui devaient savoir qu’ils n’avaient que peu de chances au Québec. Ils n’ont jamais eu des racines fortes ici. Seuls les libéraux en ont.
En fait, le Bloc handicape les rouges au Québec ce qui a permis de renforcer les conservateurs dans l’ensemble du pays. Sauf à l’époque Mulroney, au Québec, la game a souvent été entre les libéraux et le Bloc.
Cette fois-ci les conservateurs ont vraiment tout fait pour pousser les québécois dans les bras du Bloc… les coupures de la culture, la grosse pancarte etc, etc. Des maladresses assez étonnantes. Ou bien ils sont vraiment nuls ou bien ils voulaient que le Bloc passe… pour ne pas laisser passer les libéraux.
En prime le Bloc canibalise le vote pour le PQ. Les nationalistes mous vont dire que cette fois-ci ils ont donné. C’est triste mais y’a des gens qui mêlent tout ça. L’autre jour y avait une bonne dame à la radio qui était persuadé que Duceppe pouvait devenir premier ministre du Canada. Maisonneuve a dû remettre son pendule à l’heure. Peut-être que beaucoup de québécois mêlent tout ça. La présence du Bloc dilue le mouvement nationaliste. Ceux qui croient vraiment à la souveraineté devraient tout faire pour le sortir le Bloc de là. C’est une nuisance.
Je rencontre pas mal de gens qui aiment bien voter pour le Bloc mais pas pour l’indépendance. Une façon de faire du surf sans se mouiller. Allez comprendre.
Par ailleurs, la déclaration de Sarkozy ravive les bonzes souverainistes.
Déjà les grosses pointures du PQ commencent à remuer…«… de quoi il se mêle…». Mais ce sera pas suffisant pour qu’ils lèvent la confusion BLOC – PQ. Ces souverainistes devraient quand même pas reprocher à Sarkozy d’entretenir la confusion Canada Québec. Voyez ?
De leur côté, si les libéraux nous sortent de la boule à mites un autre chef étrange ils vont perdre les Québécois pour un bout.
Avec Trudeau ce pourrait être une autre histoire. C’est quand même un gars de la place. Et ça les québécois apprécient. Restera à voir ce qu’il a vraiment dans le ventre et s’il pourra sortir de l’ombre de son père.
à suirrr…
@ Robert Saint-Onge
té mélé mon tit-pout………..
De toute manière, tu dois admettre que le BLOC est sorti gagnant… tu t’en remets et après ça.. reviens-nous pleine forme……… ; )
Au fait : pourquoi as-tu perdu tes racines. ? Tu en avais avant ?
Trudeau père nous a couillonné avec la satisfaction du devoir accompli. Trudeau fils se chauffe du même bois. Avec lui, nous allons recevoir une volée de bois vert, pour nous remettre à notre place, comme disait son père.
Voilà qui devrair remettre la pendule à l’heure.
Trudeau père, à la retraite, a admis, du bout des lèvres, qu’il avait peut-être eu tort de combattre les » Séparatisses « . Si au moins le fils reprenait là où le père était rendu dans sa réflexion…
P. s. Le pendule de Foucault. La pendule de Louis XVI. En toute amitié.
@MA Gauthier
Facile à dire quand on donne pas sa version…
Donnes la tienne on pourra comparer…
…et svp pas en deux trois mots…
Il est pour le moins ironique que ce président, par ailleurs si peu français par ses attitudes parfois grotesques et ses opinions tranchées au couteau, qui détonnent dans la bouche d’un représentant d’une nation qui se targue de sa diplomatie, fasse de la division, un concept qu’il manipule selon les circonstances, le moyen de se faire remarquer.
D’ailleurs, de quelle division voulait-il parler exactement. Déjà les exégètes s’étranglent dans leurs interprétations et tirent à qui mieux mieux ce concept du côté de leurs intérêts propres. Parlait-il alors de la division des banlieues françaises, lui qui voulait les nettoyer au karcher. Nous comprendrions alors fort bien que pour lui, une division de plus, une autre banlieue qui exploserait, serait une division de trop ? Voulait-il mentionner son désir de voir les pays de l’Union européenne unis pour l’épauler dans sa croisade pour faire un monde meilleur, lui qui veut refondre les bases du capitalisme ? Souhaitait-il qu’ils se rallient tous à sa vision du monde meilleur dans lequel spéculateur est synonyme de banquier et qui sait si l’on avait accès au non-dit, où banquier serait synonyme de juif. Rappelons-nous que Sarkosy vient de la fraction la plus à droite de l’échiquier politique français, celle qui s’arrête juste un peu avant la fraction lepenniste et qui la déborde même diraient certains. En nous rappelant un certain moustachu célèbre, nous pourrions sans forcer mettre dans la bouche de ce dernier ces mêmes paroles prophétiques de ce président.
Alors, que ceux qui veulent se faire trop vite l’ami de ce président y pensent à deux fois, car nous pourrions alors leur dire : qui se ressemble s’assemble !
À Serge Gingras
J’aime bien vos commentaires sur le PET. Il a dit tellement de choses contradictoires. Il était soi-disant « anti-nationaliste » mais dans les faits il s’est comporté comme un parfait nationaliste canadien … face aux Américains oui ! Il serait plus juste de dire qu’il était anti-nationaliste ethnique … avec raison.