Le Globe & Mail d'aujourd'hui nous apprend que la sortie du nouveau livre du chef du PLC, Michael Ignatieff, est maintenant prévue pour le 21 avril prochain.
Voir: http://www.theglobeandmail.com/servlet/story/LAC.20090121.IGGY21/TPStory/?query=Ignatieff
Son titre? «True Patriot Love. Four Generations In Search Of Canada» (éditeur: Penguin Group).
Son contenu? M. Ignatieff y raconte l'histoire de quatre générations de sa très auguste famille, avec des arisocrates et diplomates russes du côté de son père et certains grands bourgeois et philosophes du côté de sa mère (dont le très respecté feu George Grant, auteur, à mon avis, d'un des meilleurs essais sur la politique canadienne, et devenu depuis un grand classique en science politique (Lament for a nation).
Son fil directeur: faire la démonstration de l'«engagement» de cette famille, et donc de Iggy lui-même, «envers l'idée du Canada et de son avenir».
La date de lancement tombe tout de même drôlement bien – le congrès du PLC devant avoir lieu du 30 avril au 2 mai…
Bref, on dirait bien que Michael Ignatieff, à l'instar de Barack Obama, a compris l'art prisé en marketing du storytelling (Voir ma chronique du 27 août 2008: An American Story). Appliqué en politique, cet «art», ou plus précisément, cette technique, veut qu'un politicien raconte son histoire personnelle, familiale, intellectuelle, etc., laquelle histoire doit se fondre dans l'histoire du pays ou de la société qu'il ambitionne de diriger un jour. L'histoire d'Obama est ainsi devenue le reflet de celle des États-Unis (d'où sa formule reprise à satiété jusqu'à sa victoire finale («My story is an American story»).
L'outil privilégié du storytelling est habituellement la publication d'un ou de plusieurs ouvrages faisant le récit de cette histoire, laquelle peut être ensuite reprise par le politicien dans ses discours. Ce que faisait Obama.
Attendez-vous donc à ce que l'histoire de M. Ignatieff tienne du «My story is a Canadian story»… Le titre de son ouvrage est d'ailleurs fait sur mesure pour cela…
N.B.: l'idée du livre remonte à 2005, lors de son retour au Canada après un petit trente ans passés à l'étranger…Mais bien qu'Iggy était alors un professeur invité à l'Université de Toronto, on peut penser que son retour s'inscrivait peut-être, un peu ou pas mal, dans son ambition de faire de la politique active… Il aurait donc pu produire ce livre avant – disons pendant la course au leadership du PLC en 2006 -, mais n'aurait pas eu le temps de le faire.
Mais maintenant que sa première ambition est réalisée – devenir chef du PLC -, sa publication tiendra peut-être d'un meilleur timing encore, alors que si, en effet, le gouvernement Harper survit à son prochain budget, Iggy s'activerait à la vitesse grand V pour tenter de réaliser son ultime ambition, soit devenir premier ministre.
Un moment donné dans mon histoire personnelle, on est venu me dire, vrai comme chus pas là devant toé, chose, que André Boisclair allait devenir premier ministre du Québec.
J’étais indépendantiste à ce moment-là… et j’ai voté pour l’ADQ pareil… à moins que ce soit Libéral ? Je le sais pus, c’est rendu que quand tu votes pour l’ADQ, c’est les Libéraux qui mènent.
Quand tu votes pour les Libéraux, c’est les péquistes qui décident de la politique « étrangère » du pays en devenir, bref, c’est ben mélangeant la politique.+
Et lorsque Mercier vote pour Khadir, c’est toute la députation qui essaie de grandir de trois pouces en essayant de lui faire des mamours à l’Assemblée Nationale.
+
Ce petit préambule pour dire simplement que Boisclair aussi, il était full hot tasse-toé mononcle et même drôle.
Lui aussi il participait à des émissions d’humour comme le RMR (Rick Mercer Report).
Lui aussi il revenait de Harvard – ce qu n’a pas empêché Lysianne Gagnon de dire que son diplôme était fait en carton.
Tout comme cette belle âme trouvait que le message d’espoir et de combat de Lucien Bouchard sur son « lit de mort » à St-Luc était une manoeuvre politique planifiée, une récupération machiavélique de sa maladie pour arriver à ses fins politiques partisanes.
Un peu comme deux ou trois libéraux au dernières élections. On ne nommera pas des noms parce que je ne suis pas couvert par l’assurance-maladie de Paul Desmarais, tsé…
De plus, Boisclair parlait la langue de bois de Molière, tout comme Iggy, notre beau Bella Lugosi fédéraliste (qui essaie d’imiter Dracula dans les années 1968), parle la belle langue de bois de Shakespeare (inspiré par le bon docteur McKenzie King).
Chus tellement impressionné, en tant que nationaliste québécois, que je me ferais pipi dessus comme un chihuaha excité tout plein si je pouvais.
Quant à moé, Michael Inactif pourrait écrire la biographie de sa grand-mère Natacha en faisant un lipogramme de la nouvelle vague pour envoyer chier l’oeuvre de Georges Perec datant de 1969, que ça ne me ferait pas un pli de plus sur la différence ou la poche, mon ami.
Non, je t’en passe un papier, le story telling à l’américaine dans l’ensemble des communautés de communautés de Joseph Clark, ça pas trop fonctionné.
Parce que, ICI, le grand, au Canada, on vit dans une société ou le multipartisme a oublié d’engendré le vote proportionnel.
Alors, les théories de communication et de conquête du monde d’un descendant russe pour faire chier les descendants d’un homme qui a vendu la Louisianne, l’Alaska et sa femme pour se faire du petit change durant la guerre édifiant son empire – pour ne pas dire une nouvelle civilisation – ça vaut pas cher.
Pourquoi ?
Parce que JE ME SOUVIENS, c’est pas une devise écrite pour les chiens.
Ah oui, à la place du conseiller de monsieur Inactif, je lui donnerais une meilleure idée de livre :
Ma vie, My life
par
Michael Gratton
Think big, le grand… think big… le dernier qui a fait ça était Québécois, pas ontarien… et il avait Marchand et Pelletier avec lui pour le faire.
D’ailleurs, il n’aurait rien fait en politique, sans l’appui et l’aide de la colombe Marchand, de son propre aveu.
Alors, mon cher IGGY, je commencerais à me demander, un peu comme Chantal Hébert : oussqui sont mes amis/appuis québécois ?
Dans la coaliton, mon frère, et tu devrais te contenter de suivre la direction de Layton et Duceppe, général Koutousov.
On est pas en russie, icitte.
Icitte, on mange de la poutine, on en fait pas un premier ministre !
Dernier commentaire et je parle pus, promis.
Autres suggestions pour Michael Ignatieff :
1) acheter la Dolorean de Back to the future ou la voler à Steven Spielberg ;
2) voyager dans le temps jusqu’en 1968 ;
3) détacher sa ceinture, un aristo, ça voyage en sécurité ;
4) ouvrir la porte de la voiture ;
5) descendre de la bagnole en alluminium de chez Rio Tinto Alcan ;
6) ouvrir les yeux ;
7) réaliser que 2009, ce n’est pas 1968 ;
8) demander au premier passant si le Canada est en guerre avec l’Afghanistan sans se faire offrir de lâcher la consommation de pot ;
9) faire un sondage auprès des femmes de l’époque pour leur demander combien de personnes devraient peupler le Canada selon l’ancienne firme statistique Canada (pour votre information personnelle, les démographes prévoyaient que le baby boom remplirait le pays à pleine capacité d’ici 1990… mais ils avaient oublier l’impact de la révolution féministe) ;
10) essayer d’acheter un palm, un blackberry ou un iPhone sur la rue Ste-Catherine ;
11) refaire les étapes 6 à 2 en plus d’essayer de camoufler la bagnole derrière une annonce immobilière canadienne essayant de vendre un projet domiciliaire dans un champ.
Finalement, respirer le café et s’apercevoir que :
1) la jeune génération d’aujourd’hui ne lit plus les best-seller politique ;
2) la trudeaumanie, ça ne se fabrique pas, ça se trouve ;
3) Iggy n’a pas les yeux bleus ;
4) les femmes ne mouillent plus leurs petites culottes devant les rockstar, elles n’en portent plus ;
5) si Michael Ignatieff était un fantasme, l’industrie XXX l’aurait déjà récupéré pour faire augmenter les ventes de Kleenex ;
7) le jour où les Libéraux, comme les babyboomers, vont arrêter de vivre dans le passé, il va neiger en été ;
8) Michael Ignatieff n’a pas de charisme, sa démarche et sa stature lorsqu’il parle est aussi excitante que de regarder un paterre parlée (raison pour laquelle on l’interview toujours dans le garde-robe de la Chambre des Communes, j’imagine…) ;
9) Michael Ignatieff, contrairement à Stephen Harper, ne peut pas se permettre de gouverner sans le Québec MAIS ne peut pas le récupérer dans l’immédiat.
Alors, on va arrêter de brûler une forêt pour imprimer cette connerie-là – même si on a oublier le Green Shift de Stéphane Dion – et on va changer son fusil d’épaule, comme durant la bataille des plaines d’Abraham… mais dans l’autre direction.
Et on va se contenter de conter fleurette à des petits pages facilement impressionnables sur la colline parlementaire désertée d’Ottawa.
Bref, si Michael Ignatieff était un street cat au lieu d’être un aristochat, ça fait longtemps que la coalition serait sur toutes les lèvres au canada anglais…
Parce qu’au Québec, ça va bien… on a Gilles Duceppe.
Ah, un jour, les canadiens anglais vont comprendre le français.
Un jour.
Peut-être.
Quand on sera indépendant.
p.s. : j’ai hâte de VOIR à quel point on va célébrer ma « libération » lorsque je vais dire que j’ai réussi à remporter le combat de mes ancêtres franco-québécois qui ont été considérés successivement comme :
– des êtres conquis ;
– des esclaves ;
– des bêtes de somme ;
– des individus sans histoire ;
– des hommes et des femmes sans culture propre ;
– des « French White Chineese » ;
– des « Amercian White Nigger » ;
– des socialistes ;
– des racistes ;
– des nationalissssses ;
– des séparatissssssssses ;
– des zapartistes ;
– des bloquisssssssssses ;
– des putchistes ;
– etc.
Oui, j’ai bien hâte de VOIR la tête du commentateur de nouvelles à CTV lorsqu’on demandera à un jeune québécois de 15 ans ce que ça fait de VOIR Yvon Deschamps pleurer en voyant l’indépendance du Québec de son vivant… sans que ce soit une sinistre farce ou un canular Belge.
Ce jour-là, oui,
nous pourrons dire nous aussi :
Free at last ! Libre enfin !
Free at last ! Libre enfin !
Thank you lord !
Dieu merci !
«True Patriot Love. Four Generations In Search Of Canada»
Patriotisme ? C’est comme du nationalisme ça non ?
Je me souviens d’un temps pas si lointain ou des intellectuels canadians sérieux méprisaient tout nationalisme (on est les plussses meilleures n’est-ce pas ?) … surtout le canadien français puis québécois !
«True Patriot Love. Four Generations In Search Of Canada»
La Question chienne du jour : que connaît l’Ignatieff des Patriotes Canadiens Papineau, De Lorimier, Nelson, Lafontaine ?
Une autre sous-question de la Question Nationale ! Ben quoi ! On parle de « patriot » ici non ? Le « patriot » connaît sûrement bien son Histoire du Canada. Malheureusement, on n’en dira pas autant de concitoyens. Malheureusement, 90% des gens dans le ROC ne connaissent pas les quatre noms plus haut ! Ils n’ont pas « eux » une Journée des Patriotes mais un Victoria Days …
Va falloir comprendre que l’Amnésie est peut-être plus dans le ROC qu’au Québec … que dire cela n’est pas non plus faire preuve de chauvinisme …
Le Problème du Parti Libéral du Canada actuel réside peut-être là : un Ignatieff Canadian Patriot cotoyant un Dion Nationaliste Québécois …
C’est Dion-le-fédéraliste qui l’a dit en campagne électorale. Petit détail qui a dû achaler des gens à Toronto …
Est-ce que quelqu’un connait la position de Iggy sur le Security and Prosperity Partnership (SPP)?
Un gouvernement Liberal sous Iggy s’opposerait-il a une motion de l’ONU en faveur d’un cesser le feu a Gaza (comme le Canada fut le seul a le faire, ce qui a ete siderant et qui n’a pas fait l’objet de couverture mediatique adequate en soi) ou dans une hypothetique reprise de bombardement d’Israel sur le Liban?
http://www.thestar.com/printArticle/575269
Muchael Inactif a HEC…quelle farce !!!
La position de Michael Inactif concernant le SPP ?
la position du missionaire, comme de raison.
—
Un gouvernement Liberal sous Iggy s’opposerait-il a une motion de l’ONU en faveur d’un cesser le feu a Gaza ?
Euh, si Michael se contentait de rappeler les infractions à la résolution de l’ONU par le Hamas et le fait que l’État d’Israel n’est toujours pas reconnu comme un État légitime dans la constitution même de la branche politique représentant les habitants de Gaza (après une jolie purge effectuée à l’encontre du Fatah, encore légitime et plus modéré en Cisjordanie).
Donc, on va rester au niveau national pour l’instant, monsieur Deckard, parce que Bella Lugosi a de la misère a reconnaître la pertinence de la coalition en ce moment alors qu’on se dirige vers le rêve de jeunesse de Stéphane Dion : la Sécession du Québec du ROC.
Ne lui mettez pas trop de pression, svp, car à Ottawa, en ce moment, on n’est plus capable de marcher et de mâcher de la gomme en même temps…
@ Louise Teasdale
lol
J’adore la photo du Star et de The Gazette où on peut VOIR la petite tête ébahie de Jutin Timberlake Trudeau.
Un peu comme si on disait :
regardez la nouvelle génération qui s’extasie sur les marches de Brutus le grand…
http://www.montrealgazette.com/Suncor+spending+cuts+lead+oilsands+layoffs/1206411/story.html
« Suncor spending cuts lead to oilsands layoffs »
Edmonton JournalJanuary 22, 2009 12:11 PM
La publication à ce moment-ci de l’histoire politique canadienne d’un livre tel que celui que s’apprête à lancer celui qui se voit déjà comme le futur Premier ministre nous donne un autre signal, soit celui que ses ambitions pour y arriver s’inscrivent dans le moyen terme. Cela indique qu’il veut laisser le temps à la publicité, pour employer un euphémisme, de faire son œuvre et de le faire apparaître à la conscience du plus grand nombre comme étant celui que tout le monde attend. En clair, il faut décoder ce synchronisme comme étant le reflet de sa décision de laisser tomber la coalition et de se pointer plus tard au signal du starter, quand le moment perçu comme étant propice pour déclencher des élections et de les gagner sans d’autres appuis lui sera plus favorable.
Ce constat s’ajoute à celui qui le fait rejeter une coalition pour des motifs idéologiques et financiers. À part Stéphane Dion qui lui avait opté pour cette coalition pour des motifs à court terme, les seuls moyens pour devenir Premier ministre ne pouvant pas passer par des élections dans son cas, Il n’y en eut vraiment qu’un seul autre pour avoir pu y penser dans des circonstances analogues, et c’est ce Pierre Elliot Trudeau qui y aurait vu un moyen pour faire accéder au pouvoir un parti qui représentait pour lui un premier choix à faire avant de décider d’aller au parti libéral, soit le Nouveau parti démocratique. Il aurait pu considérer de faire a posteriori ce qu’il n’avait pu faire a priori pour des raisons de stratégies. Il y aurait vu aussi une façon de vider encore un peu plus les forces souverainistes de leur substance en leur retirant l’argument de la social-démocratie. Mais le temps de ces vaines espérances est maintenant révolu et même un Trudeau bis ne peut rien y changer. On le verrait venir de très loin si d’aventure l’idée ne faisait même que lui frôler l’esprit avec un projet Si Certainement Reconnaissable Spontanément….
J’ai entendu un Justin plus ou moins anti-Ignatieff et j’ai entendu un Ignatieff dire qu’il faut dépasser Trudeau …
Le pouvoir à Ottawa s’est affaibli … Washington n’est pas loin dans l’cul … Ignatieff n’a pas le choix de réinventer le Canada, aux dépens ou non du Québec, avec ou sans Justin Trudeau.
Mon analyse. Je peux me tromper.
» Le Québec n’est pas une nation. C’est une entité multinationale. » – PET
Je viens d ecouter le disvours de Obama au State Department..nous ne sommes pas prets a sortir de
l Algbanistan…..je me demande comment Inactif va réagir.
Obama fait déja connaitre qu il veut l appui de ses alliés.
Obama nous demande de l aider a se débarrasser de la drogue, des Talibans et des armes qui arrivent d ailleurs en contrebande.
Mme Legault : » Son contenu? M. Ignatieff y raconte l’histoire de quatre générations de sa très auguste famille, avec des arisocrates et diplomates russes du côté de son père et certains grands bourgeois et philosophes du côté de sa mère (dont le très respecté feu George Grant, auteur, à mon avis, d’un des meilleurs essais sur la politique canadienne, et devenu depuis un grand classique en science politique (Lament for a nation). »
Bonne idée de rappeler George Grant Dame Legault ! Très bonne idée ! Ce livre est essentiel pour tout Québécois aussi, désireux de comprendre un peu un certain Rest Of Canada. Écrit en 1965, il fut réédité en 2005 pour son 40e anniversaire.
LAMENT FOR A NATION : le titre dit tout ! La même année Trois Colombes faisaient le saut à Ottawa …
Monsieur Dubé et à d’autres que le sujet du 250e à Québec intéresse, j’ai laissé un message sur « Les lectures de la Ministre» Liens intéressants.
@ madame Teasdale-Calgary
auriez-vous besoin du Québec, par hasard ??
Car votre remarque sur le partage de l’électricité du Québec était très éclairante et très pertinente concernant le calcul des ressources naturelles dans l’établissement de la péréquation.
Mais vous savez ce que c’est la péréquations : c’est un peu beaucoup comme le Commonwealth.
On peut organiser des jeux olympiques avec ce genre de patente là, mais quand il s’agit de faire un partage équitable de la richesse à travers le monde…. c’est pas trop efficace, merci !
D’ailleurs, savez-vous depuis quand nous payons deux rapports d’impôts au Québec ?
Cherchez bien…
@ madame Teasdale
Je viens d’avoir un flash de dernière minute vous concernant :
lorsque vous m’expliquerez pourquoi et comment vous avez perdu les Jets au profit des Coyotes de Phoenix, AZ (Dieu enrichit)
je vous raconterai pourquoi et comment on a perdu les Nordiques de Québec au cours d’une Avalanche dans le Colorado…
La politique, comme le sport national, est tributaire de lois et de règles économiques bien plus puissante que n’importe quelle PM du Canada, ma chère dame.
Pensez-y.
I rest my case, moi je dis.
😀
Heureusement ou malheureusement la politique du hockey…..connais pas.
Je suis Soccer Coupe du Monde et les sports de mes petits-enfants.
Sorry !!!
L’impôt au Québec.
Duplessi en avait mare d’attendre après le chèque du fédérale pour recevoir la part du Québec. Il a donc décidé de se servir lui-même, d’où l’origine du Ministère du revenu et des millions d’employés qui nous sucent le sang.
Amen!
Merci BEAUCOUP monsieur Gingras !!
Je vous aime même si je ne vous connais pas !
@ madame Teasdale
Vous savez, madame, je comprends votre amour pour le soccer ou le football européen.
C’est moins cher, c’est mondial, c’est plus plaisant à regarder (il y a moins d’excités dans les gradins, etc.).
Le problème, c’est que c’est pas demain la veille qu’on va allumer là-dessus coast to coast, au Canada ou aux États-Unis d’Obama.
Pour ce qui est de l’aide du Québec, dont vous aviez besoin, au dernier scrutin, avez-vous remarquez une chose ?
1) dans l’accord du Lac Meech, qui vous apparaissait irrecevable, même s’il avait été entériné par tous les premiers ministres provinciaux lors de l’Accord de principes, on ne demandait que la « société distincte » et quatre éléments majeurs pour réaliser tout ça ;
2) Meech et Charlottetown (deux initiatives conservatrices, je le rappelle) se sont cassé la gueule de manière lamentable au bout de près de 10 ans de tergiversations et de fourrages dans les coins et recoins de tous les parlements du Canada ;
3) finalement, Stephen Harper arrive et nous donne le statut de Nation SANS nous donner le reste (les éléments CONCRETS) qu’on demandait – et on ne demandait pas la lune, calvaire… !
Maintenant vous savez ce que le Québec veut ou, plutôt, voulait… arrangez vous avec les séparatistes, maintenant.
Un moment donné, quand on crache en l’air…
Pour quiconque s’intéresse à la fiscalité au Canada, je ne saurais trop recommander la lecture édifiante des Mémoirs de Eric Kierans, homme honnête, ministre au provincial et au fédéral, et ami de René Lévesque.
Ce livre se lit rapidement, il n’est pas volumineux, mais il est une source de renseignements introuvables ailleurs.
Je crois qu’il a écrit ce livre en collabotation avec un nègre dont joublie le nom, un journaliste.
Comme je l’ai emprunté à la bibliothèque municipale il y a de ça de nombreuses années…
Bonne chasse.