Je dois avouer que ce matin, lorsque Simon Durivage a lu ce mot d’adieu, j’ai été profondément touchée et émue. Les mots à ses enfants mais aussi cette prière de ne pas envoyer de fleurs et quoi faire de cet argent à la place, démontre la grandeur d’âme et la douleur de cette femme à qui on a enlevé ses deux magnifiques petits.
Quelle misère, que de drames inutiles !
Sans vouloir vous offenser ou dénigrer le lien offert, on est très loin d’aller « au-delà de l’actualité » avec cette entrée de blogue.
Désolé mais je ne peux m’empêcher de le souligner parce que, justement, ça participe du principal problème de l’information médiatique de masse : suivre le courant des événements au lieu de s’intéresser aux courants de pensée agitant la société.
Ce qui nous donne une médiatisation du « human interest » qui écrase le reste des enjeux majeurs de la société.
Comme pris dans un phénomène d’instrumentalisation du drame humain à la petite semaine, on finit par avancer à coups de crise au lieu de prévenir l’irréparable ou les tragédies qui pourraient être évitables.
Cela dit, le lien est pertinent quand même mais il faut quand même se questionner de temps en temps sur l’origine de nos sujets de réflexion afin de ne pas sans cesse blâmer le gouvernement de ne pas faire ce que les journalistes ne font pas eux non plus : de l’analyse pro-active de notre situation globale.
Sinon, à quoi bon l’intelligence si la PRÉvoyance n’arrive jamais à percé le mur du son médiatique ??
—
En passant, qui se rappelle de la dernière bonne nouvelle GM ?
Pourquoi?
Parce qu’il y a des événements, comme ça, parfois, justement «au-delà de l’actualité», qui viennent nous chercher. Cette condition humaine.
Bien sûr, on y est plus facilement sensible lorsqu’elle est plus près de nous. C’est un fait universel.
Il n’en reste pas moins que ne pouvant même imaginer ce que cette femme, cette mère, doit souffrir jusque dans son âme, on ne peut que se recueillir.
**********************************************
Par contre, je retiens votre dernière idée pour plus tard.
Je comprends que cela va « au-delà de l’agenda politique » mais…
En tous cas, je me pose simplement des questions sur ce qui nous préoccupe collectivement et sur la proportion du temps alloué par les médias à certaines nouvelles par rapport à leur portée réelle sur la manière dont évolue notre collectivité.
Cela dit, je conçois aisément que certains événements invraissemblables choquent à un point tel notre sensibilité que l’on ait besoin de recueillement et de partager avec les autres son admiration personnelle face à l’abnégation et la grandeur d’âme d’une femme vivant probablement la pire épreuve de sa vie au vu et au su de tout le monde…
Un autre drame à classer dans la section inexpliquable ?
—
Merci pour la note en bas de page.
Au plaisir de vous lire à ce sujet… lorsque le temps sera plus clément.
Je dois avouer que ce matin, lorsque Simon Durivage a lu ce mot d’adieu, j’ai été profondément touchée et émue. Les mots à ses enfants mais aussi cette prière de ne pas envoyer de fleurs et quoi faire de cet argent à la place, démontre la grandeur d’âme et la douleur de cette femme à qui on a enlevé ses deux magnifiques petits.
Quelle misère, que de drames inutiles !
Sans vouloir vous offenser ou dénigrer le lien offert, on est très loin d’aller « au-delà de l’actualité » avec cette entrée de blogue.
Désolé mais je ne peux m’empêcher de le souligner parce que, justement, ça participe du principal problème de l’information médiatique de masse : suivre le courant des événements au lieu de s’intéresser aux courants de pensée agitant la société.
Ce qui nous donne une médiatisation du « human interest » qui écrase le reste des enjeux majeurs de la société.
Comme pris dans un phénomène d’instrumentalisation du drame humain à la petite semaine, on finit par avancer à coups de crise au lieu de prévenir l’irréparable ou les tragédies qui pourraient être évitables.
Cela dit, le lien est pertinent quand même mais il faut quand même se questionner de temps en temps sur l’origine de nos sujets de réflexion afin de ne pas sans cesse blâmer le gouvernement de ne pas faire ce que les journalistes ne font pas eux non plus : de l’analyse pro-active de notre situation globale.
Sinon, à quoi bon l’intelligence si la PRÉvoyance n’arrive jamais à percé le mur du son médiatique ??
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En passant, qui se rappelle de la dernière bonne nouvelle GM ?
Pourquoi?
Parce qu’il y a des événements, comme ça, parfois, justement «au-delà de l’actualité», qui viennent nous chercher. Cette condition humaine.
Bien sûr, on y est plus facilement sensible lorsqu’elle est plus près de nous. C’est un fait universel.
Il n’en reste pas moins que ne pouvant même imaginer ce que cette femme, cette mère, doit souffrir jusque dans son âme, on ne peut que se recueillir.
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Par contre, je retiens votre dernière idée pour plus tard.
Je comprends que cela va « au-delà de l’agenda politique » mais…
En tous cas, je me pose simplement des questions sur ce qui nous préoccupe collectivement et sur la proportion du temps alloué par les médias à certaines nouvelles par rapport à leur portée réelle sur la manière dont évolue notre collectivité.
Cela dit, je conçois aisément que certains événements invraissemblables choquent à un point tel notre sensibilité que l’on ait besoin de recueillement et de partager avec les autres son admiration personnelle face à l’abnégation et la grandeur d’âme d’une femme vivant probablement la pire épreuve de sa vie au vu et au su de tout le monde…
Un autre drame à classer dans la section inexpliquable ?
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Merci pour la note en bas de page.
Au plaisir de vous lire à ce sujet… lorsque le temps sera plus clément.