Il ne manque que Jean Charest et Monique Jérome-Forget pour compléter le tableau des administrateurs libéraux et fédéralistes de l’Institut Économique de Montréal.
Quel bande de joyeux lurons!
On ne peut cependant en rire car ce sont ceux qui conseillent notre bon gouvernement et qui façonnent le squelette des politiques qui nous gouverneront dans l’avenir et un bel exemple de ça ce sont les PPP.
Et l’avenir, ça peut être très long avec les québécois actuels, surtout ceux de la région de Québec et de l’Outaouais!
« Montreal, 06 mars 2009
– Ce n’est pas un manque de réglementation qui a mené à la crise économique, mais des interventions gouvernementales aux effets néfastes. Dans une Note économique intitulée Les origines de la crise économique, publiée par l’Institut économique de Montréal (IEDM), l’économiste Pierre Lemieux explique que
«les difficultés actuelles manifestent davantage une défaillance de l’État qu’une défaillance du marché».
Le président de l’IEDM, Michel Kelly-Gagnon, ajoute que «l’approche pédagogique de cette publication remet en question plusieurs idées reçues et des explications trop souvent fausses sur les origines du marasme actuel. »
la source de cet éclairage économique de la crise ?
« un organisme de recherche et d’éducation indépendant, non partisan et sans but lucratif. Par ses études et ses conférences, l’IEDM alimente les débats sur les politiques publiques au Québec et au Canada en proposant des réformes créatrices de richesse et fondées sur des mécanismes de marché. »
—
ok
1) c’est le coup classique que l’on a servi aux Argentins quand les banques ont mangé l’épargne de toute la classe moyenne des « tigres latino américains » – traduction : un jour tu vas à la banque et on te dit que toutes tes économies sont parties en fumée, merci au FMI et à la « main invisible du marché, mon chummy !
2) l’État est partout, c’est pour ça qu’on l’appelle l’État Providence ;
3) la Providence, c’est la main VISIBLE du contre-pouvoir économique des citoyens qui sont écoeurés de se faire fourré en plein jour par des astrologues de l’économie de la spéculation qui n’ont guère évolué dans leurs prédictions et leurs méthodes de création de richesse que de puis la publication d’un livre que l’Institut ne lira jamais :
L’ARGENT, d’Émile Zola, dans lequel on suit les spéculations délirantes d’un raider du XIXe siècle qui voit la bourse de son époque avaler et recracher n’importe où la richesse des Nations
– nota bene : à cette époque-là, l’État était loin d’être omniprésent et ça n’a pas empêché le crash de 1929 de crisser l’économie occidentale dans les chiottes en plus de favoriser la montée du fascisme en Italie et du nazisme en Allemagne
p.s. : les mouvements néo-nazis se portent très bien en Russie, merci à l’économie de marché pour civilisé ces gens-là (je parle des extémistes qui accusent les immigrants de créer le chômage, pas des russes en général)
4) le système financier mondial, selon bien des politiciens élus en Europe – qui sert de référence réglementaire à monsieur Lemieux, source de jouissance de l’organisme générateur d’idées profitables aux capitalistes en tous genres – surtout les trous de cul qui n’ont de coeur qu’après cinq heures, les samedi et parfois le dimanche – on étudie sérieusement la possibilité que le FMI et la Banque Mondiale – deux organismes « indépendants » situés à Bretton Woods, USA et qui avaient pour mandat de reconstruire l’Europe après la Seconde Guerre (provoquée justement par des capitalistes sauvages se foutant du lendemain au profit du rendement à court terme de leurs joyeux lurons d’actionnaires) afin de prévenir et dénouer les mécanismes économiques ayant provoqués la crise ;
5) lorsque l’État subventionne au coton l’industrie du textile, l’agro-alimentaire, le complexe militaire et autres babioles du genre qui empêchent des pays comme l’Inde, le Brésil et bien des pays africains de jouer le jeu de la mondialisation et du super libre-échange sanctifié par l’Organisation Mondiale du Commerce (organisme très peu démocratique, s’il en est un), eh bien, devinez quoi ? c’est acceptable pour les bons capitalistes purs et durs qui veulent VOIR l’État disparaître de la surface de la terre ;
6) si l’État Providence des Transports Publics, par exemple, qui occupera l’espace sinon une industrie privé qui saura aussi bien que GM, Chrysler et Ford rentabiliser ses états financiers et servir l’intérêt du public ??
7) est-ce que ce n’est pas précisément l’avènement de l’industrie automobile qui a défiguré le paysage nord-américain en plus de détruire le réseau de transport collectif offert dans les grandes villes ?
8) si l’État réglemente dans un domaine financier, on crie à l’ingérence mais quand l’État et l’argent des contribuables sert à sauver des banques qui ont spéculé sur l’incapacité de payer évidente de certains consommateurs américains, on ne dit pas merci et on ne fait pas son mea culpa – on exagère dans le sens contraire ! on chie sur la population élective et leurs représentants en se torchant le cul avec la misère humaine et les droits de la personne !
9) ce n’est pas tout ! lorsqu’on souligne à plusieurs reprises les manquements graves de la Stock Exchange Commission aux États-Unis, personne ne se sent visé ni à Washington ni dans les grandes entreprises de fonds spéculatifs jusqu’à l’élection de Barack Obama ;
10) quand enfin un homme politique décide de prendre le leadership du pays et imiter le Plan Marshall qui a permis aux États-Unis de se sortir du marasme dans lequel les citoyens américains s’étaient vus entraîner par l’idéologie de la cupidité full contact, on sort sur Fox News des inepties comme quoi le président des USA est trop pessimiste, trop déprimant, câlice ! Et ce, alors qu’une proportion incroyable de la dette US est détenue par des intérêts étrangers, principalement la Chine – qui n’est pas tout à fait une démocratie, doit-on le rappeler ?
Mais le plus beau, justement, c’est que lorsque les États-Unis essaient de s’en sortir, les spéculateurs de NYC du Dow Jones réagissent à la baisse.
Et lorsque la Chine fait pose un geste semblable envers sa « propre » économie, les marché s’emballent UNE JOURNÉE puis retombe dans sa spirale descendante.
Conneries de tabarslaque.
Mieux encore !
C’est pas terminé les bonnes nouvelles GM.
Le bon General Electrique n’est plus l’ombre de lui-même parce que les ampoules électriques qui prêtent à tout le monde et surtout à leur propres clients, ça fait un peu serpent qui se bouffe la queue et cercle vicieux, n’est-ce pas ?
Mais si toutes ces belles compagnies fleurissantes en temps de croissance s’en vont down the drain, c’est la faute de la population et de l’État, c’est connu.
à suivre…
À lire absolument ! Tous sommes concernés.
Les petits rigolos ne me font pas rigoler.
«Le véritable enjeu : le démantèlement de la Caisse de dépôt»
Me semblait que j’avais déjà entendu le nom de Pierre Lemieux quelque part.
lol
Ainsi, l’auteur dont se sert l’institut économique de Montréal est un auteur libertarien.
Entre autres ouvrage, le monsieur a écrit une thèse dythirambique sur l’anarcho-capitalisme aux éditions des Presses Universitaires de France, 1987.
Il a aussi écrit : Du libéralisme à l’anarcho-capitalisme pour la même maison d’édition.
Ce n’est pas tout, notre bel intellectuel anarcho-capitaliste s’est lancé dans le vif du débat concernant le tabagisme avec un chef-d’oeuvre du genre :
Tabac et liberté. L’État comme problème de santé publique, Montréal, Varia, 1997.
L’État comme problème de santé publique ! Ça ne s’invente pas. Surtout en 1997, année du crash boursier le plus imporant de la fin du XXe siècle, où on nous disait de ne pas s’inquiéter au Financial Post, entre autres, et à une époque où les compagnies de tabac faisaient trembler le gouvernement Chrétien d’Ottawa en encourageant la contrebande amérindienne discrètement entre les États-Unis et le Canada.
Bref, chez monsieur Lemieux, on ne réfléchit pas, on « excathédrise » carrément des conneries et les poules pondent des oeufs carrés très loin du royaumme imaginé par Alfred Jarry !
« On exagère à peine en disant que le Québécois a conservé du Canadien français tout ce qu’il eut fallu rejeter et qu’il en a rejeté tout ce qui valait la peine d’être conservé. Qu’a donc conservé le Québécois des valeurs canadiennes-françaises ? Certainement pas l’esprit individualiste du coureur des bois, lui qui se fait ficher, demande des permissions et enregistre son fusil de chasse avec le sourire. Certainement pas la force et le courage des mères canadiennes-françaises qui élevaient leurs familles nombreuses sans assurance-maladie ni garderies publiques. »
Pierre Lemieux, où que vous soyez, Juste Pour Rire a besoin d’un comptable ou d’un stand up comic pour relancer sa machine…
C’est quoi déjà le slogna de l’IEDM ?
« Ne demandez-vous pas pourquoi nous n’avons pas de crédibilité, demandez à votre député pourquoi vous payez trop d’impôt en ayant moins de service ? »
Non, c’est :
‘Des idées pour enrichir le Québec »…
Enrichir le Québec, les Québécois ou les libertariens ou les anarcho-capitalistes apatrides et sans scrupules qui fourrent le p’tit monde au grand jour sans s’excuser sous prétexte que personne ne les photographie quand ils baissent vos culottes pour vous entuber solide dans les coulisses du pouvoir ?
C’est-tu moi qui ne comprend pas ou l’Institut Économerdique de Montréal affirme que ce sont Georges W Moron Bush, Stephen Harpeur et Jean Patapouf Charest qui sont responsables de la crise ?
@ Marie-Andrée Gauthier
autrement dit, on veut la peau de la Caisse de dépôt et on va l’avoir
ou plus poétiquement
ne vendez pas la peau du bas de laine québécois avant de l’avoir défoncé !
@ Monsieur Boudrias,
et à vous tous, je vais vous poser une question, qui me tient à coeur et qui à aussi rapport à IEM:
Que l’on perde du fric par exemple à la Caisse, c’est un autre débat, mais qu’est ce qui autorise un gouvernement quel qu’il soit à utiliser l’argent public pour sortir de la marde une industrie, quelle qu’elle soit (bois d’oeuvre, acier, auto, name it), sinon pour assurer que des capitalistes outranciers préservent leurs gains, leur statut ou leurs maîtresses, politiques s’entend????
Et ne me dites pas que c’est pour préserver des jobs…OUI ! mais les jobbeux, eux, ne s’enrichiront pas plus, sinon moins.
Le post de Mme Legault actuellement soulève une interrogation réelle sur ce qui est en train de se passer dans le monde politico-économique au Québec.
Faisons abstraction des couleurs politiques pour un moment, mais il me semble que toutes les rennes importantes de l’économie québécoise sont en train de tomber aux mains d’une dangereuse coterie rompue aux arcanes du pouvoir. Et à mon avis, on n’est peut-être pas si loin d’une conspiration !
Il y a certainement quelqu’un parmi vous qui commencera à faire les liens, avec des noms!!!
Bye
D’entrée de jeu, le diagnostic posé par des membres de cet Institut sonne faux. Le plus imbécile d’entre les imbéciles, qui n’aurait jamais lu la première des lignes des premiers économistes, sait que cette crise a été provoquée par le surendettement des ménages. Si les PCAA sont devenus ce qu’ils sont devenus, c’est parce que ce levier financier a fini par s’appuyer sur des créances, des dettes, que des ménages surendettés n’ont plus été capables d’honorer. Et ce surendettement est une des résultantes de la déréglementation, celle qui permet à des gens de vivre au-delà de leurs moyens, en leur offrant des hypothèques qui dépassent de beaucoup les capacités de payer en tablant sur l’avenir qui feraient toucher des sommets toujours plus hauts aux prix des maisons, en leur faisant parvenir par la poste des cartes de crédits qu’ils n’ont pas demandé et qui s’ajoutent à celles qu’ils possèdent déjà et avec lesquelles ils sont déjà lourdement endettés n’arrivant même plus à payer les intérêts de leurs dettes.
Ce saccage des ménages vient après celui des pays pauvres à qui aussi on fait des conditions de crédit qu’ils sont incapables de rencontrer et qui les signent du seul fait de vouloir payer les intérêts. Tout cela, pour que cet écrémage des capacités de payer profitent proportionnellement de manière indécente à ceux qui offrent ces leviers financiers de rêves qui finissent en cauchemar pour ceux servant de point d’appui qui se retrouvent meurtris.
En somme, devant tant d’arrogance de la part de ces savants imbéciles, il n’y a plus qu’une réplique qui tienne, c’est de leur dire : causez toujours bande de CONS.
«Faisons abstraction des couleurs politiques pour un moment, mais il me semble que toutes les rennes importantes de l’économie québécoise sont en train de tomber aux mains d’une dangereuse coterie rompue aux arcanes du pouvoir. Et à mon avis, on n’est peut-être pas si loin d’une conspiration !» A. Dallaire
Vrai. Il y a quelques années que je lis, observe, cherche. Je me sentais presque seule à m’interroger ainsi que vous le faites… mais nous sommes de plsu en plus nombreux à savoir. Je suis de votre avis: c’est une conspiration, lisez plus haut le lien que je propose. Tenez, je vous le donne ici:
«Le véritable enjeu : le démantèlement de la Caisse de dépôt»
lautjournal.info/default.aspx
Et ce n’est qu’un tout petit bout d’un vaste plan bien orchestré.
Ne trouvez-vous pas que tous les chemins ne mènent plus à Rome mais bien à Paul Desmarais et famille ?
Et on le constate de plus en plus…L’état québécois est devenu l’état Desmarais et le seigneur de ces lieux s’y est bâti – O immense symbole- son château en plein centre, dans ses plus belles terres. Le seigneur, comme tout seigneur, se doit de prendre ce qu’il désire, n’a payé que $1.00 pour ces terres aux multiples lacs. Il est là à nous narguer, à nous sqatter avec l’aide de ses fidèles vassaux dont le principal vassal est JJ Charest qui vient de placer à la CDPQ -sous les ordres de son seigneur et maître- un autre vassal du seigneur des lieux.
Je pourrais continuer longtemps ainsi. Robin Philpot est à lire: l’Empire Desmarais.
Un autre vassal entrera en poste sous peu, le PDG, là ça reste à voir qui se sera…
Et l’encan continue ! Il en reste encore à vendre…
Quand nous serons saignés à blanc… ils quitteront dodus, repus, avec la satisfaction du devoir accompli.
@Madame Marie-Andrée,
Il y a les COMPLICES, les ASSOCIÉS et les ÉXÉCUTANTS…
« Les exécutants des basses œuvres ».
M-A, je peux et veux bien comprendre votre indignation face à PM, mais il n’est pas seul : n’est-ce pas lui qui a financé Sarko???
Les complices?????
Les associés : politiques???
Les exécutants : des noms commenceraient-ils à sortir?
Les coïncidences s’accumulent…
Bye
@ Andre Dallaire
« Que l’on perde du fric par exemple à la Caisse, c’est un autre débat, mais qu’est ce qui autorise un gouvernement quel qu’il soit à utiliser l’argent public pour sortir de la marde une industrie, quelle qu’elle soit (bois d’oeuvre, acier, auto, name it), sinon pour assurer que des capitalistes outranciers préservent leurs gains, leur statut ou leurs maîtresses, politiques s’entend? »
L’État Providence, ça le dit.
L’État est partout, l’État est amour et l’État est omniscient et omniprésent dans nos vies.
Y a-t-il encore une seule industrie qui ne touche pas de prêt (jeu de mot) ou de loin l’argent des contribuables ?
Si oui, pourquoi s’en scandaliser ?
Puisque le marché ne marche plus sans l’État et que les citoyens ne sont rien sans leur pouvoir politique représentatif (certains diront théâtral mais ce sont de vilains situationnistes…;-).
Alors, le problème, ce n’est pas qu’il y ait collusion ou corruption ou convergence trop intense entre le pouvoir économique, médiatique et politique ; le problème est avant tout le résultat du désengagement de l’individu des rouages officiels de l’État.
Pas le contraire.
L’État investit le champs libre de la vie de tout le monde mais monsieur et madame Toulmonde se promène comme s’il ne dépendait de personne…
Et les marchands comme les médias fonctionnent sur la notion de liberté de choix.
Cherchez l’erreur.
Ce n’est pas la liberté de choix qui manque.
C’est la volonté de choisir qui fait défaut au Québec.
De plus, si on laisse la démocratie aux mains de ceux que l’on ne respecte pas parce qu’ils jouent le jeu du capitalisme tel que tout le monde le pratique… est-ce qu’on ne fait pas soi-même preuve de naiveté confondante ?
Il faut faire bien attention quand on critique l’État Providence tout comme on critique les valeurs de la religion qui nous a préservé de la disparition… l’État québécois est le prolongement laique et logique de tout ce qui était occupé autrefois par le crime organisé et l’Église catholique.
Essayer de réfléchir à l’avenir sans prendre ça en considération, c’est refuser de regarder certaines réalités en face.
En démocratie, les électeurs sont aussi puissants que leur implication politique coordonnée peut l’être dans l’appareil gouvernemental.
Sinon, qu’on laisse tout tomber et qu’on se lance dans le business de l’ONG québécois pour régler les problèmes que l’on refuse de prendre en main en se présentant aux élections ou en appuyant intelligement ceux qui le font à notre place.
C’est une question de responsabilités.
Démocratie, communisme, anarchie, ploutocratie… un beau casse-tête à recommencer, moi je dis… mais au bout du compte, la dérive démocratique n’est pas semblable à la dérive des continents tout comme la mondialisation d’hier n’est pas aussi évidente aujourd’hui.
Prenez bien note de ce que je dis : le libre-échangisme va connaître sa période glaciaire bientôt et le réchauffement climatique sera éclipsé par la surchauffe politique.
C’est l’un des nombreux avantages de cette crise, à part le fait que le globe va avoir un break de croissance néo-libérale pour respirer autre chose que des GES pour quelques années…
Il y a quelques semaines, un collègue m’a dit que la crise immobilière était dût à Bill Clinton… Si je peux me permettre, voici un fil de discussion sur un autre forum où l’on brise (‘debunk’ en anglais) justement ce fameux mythe. Ce site est anglais, si ça vous interesse.
Si nous commençons tous à mettre le nom de la même famille sur la « filière », c’est qu’il commence à être temps d’agir pour la mettre hors d’état de nuire. Il est peut-être déjà tard, n’attendons pas qu’il soit trop tard.
«l’État québécois est le prolongement laique et logique de tout ce qui était occupé autrefois par le crime organisé et l’Église catholique.» S.Boudrias
Et comme la nature de certains à horreur du vide…faut bien remplir les espaces libres…
«Les complices?????
Les associés : politiques???
Les exécutants : des noms commenceraient-ils à sortir?» A.Dallaire
Nous en connaissons quelques-uns tout de même de ces exécutants des basses oeuvres: tels les Claude Garcia, André Caillé, H-P Rousseau, JJ Charest, et qui sait, Robert Tessier et des tas d’autres dont les noms seraient trop longs à énumérer, politiques ou non… Je sais, par infos privilégiées, qu’il ne faut pas perdre de vue la haute direction de Hydro-Québec. Là, il y en a des obscurs… Tout ce joli monde converge vers POWER Des Marais… mais les autres, ceux qui ne sont jamais nommés, sont certainement connus de nous tous ou de la plupart d’entre nous. Il y a aussi ceux qui doivent rester des ombres. Ce sont les plus dangereux. De plus, j’ose penser que Bilderberg ( certains membres ) n’est certes pas étrangère à ce PLAN.
Par contre, en plus des excellentes chroniques de Madame Legault qui nous met sur des pistes, certains participants à ce blogue sont aussi très bien documentés sur le sujet. Madame Andrée Proulx a fait de remarquables interventions ainsi que Luc Archambault et Monsieur Pomerleau, j’en oublie certains. Il y a tellement de personnes de qualité ici. Il serait bon de relire les archives.
Bonne fin de soirée !
Bonsoir Mme Marie-Andrée,
Vous êtes bien courageuse d’avoir ouvert le vrai débat!
Je vous en propose une:
Qui est l’ex Pdg de L’Hydro sur le « board » pardon ….CA… d’une gazière (yes y’a du gaz en masse au Québec);
Qui vient de Rabaska/Gaz Métro et va à la Caisse???
Qui a vendu son âme à Toronto pour ses actionnaires de sa bourse,
Ne vient-il pas de démissionner…OH! pour de nouveaux défis!
Si l’on si met tous, ça peut être intéressant!
PS: M-A, Amenez-les vos amis Proulx, Archambault et Pommerleau dans cette discussion,,ils doivent en savoir plus, non?.
Après toutes les menteries qu’on nous a faites, la vérité pourrait être rafraîchissante!
Bye
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» Des idées pour enrichir le Québec »
Moi j’en ai une , faudrait que Paul Desmarais le patriache retourne un peu d’argent fait au Québec . De voir le nom d’Hélène Desmarais sur le CA de l’ Institut pathétique de Montréal est assez loufoque non ?
L’Institut pathétique de Montréal est de moins en moins crédible . A chaques fois que j’entend un membre de cette Institut je m’imagine une marionette entre les mains du Conseil du Patronat ! Seulement a lire Nathalie Elgrably de JdM pour en avoir un apeçu !
Alors la crise économique ne serait que le résultat de l’intervention du gouvernement dans les prêts hypothécaires ? J’ai même lu dans certains commentaires des groupies de la droite que cette initiative était celle de Bill Clinton le GAUCHISTE !!!!!!!!!!!
Rien par contre sur le désastre financier des deux mandats de W W BUSH , rien sur la piètre performance de ce gouvernement de droite , rien sus les dépenses astronomqiues des deux guerres ( Irak et Afghanistan ) INUTILES !
L’Institut Pathétique de Montréal me fait penser au Bonhomme Labeaume de Québec , plus il parle moins y’a l’air intelligent !
@ André Dallaire
Ne vous ai-je pas nommé certains de ceux dont vous demandez les noms ? Caillé et autres «apatrides». Relisez-moi bien.
Ils convergent tous vers Desmarais, vous le savez.
À vous d’avoir le courage de nous les nommer et d’en nommer d’autres. Mouillez-vous ! Nous n’attendons que cela… Vous savez qui ils sont puisque vous définissez leurs rôles.
Les participants à ce blogue, que je vous ai nommés et les autres que je n’ai pas nommés, ne sont pas des amis mais bien des personnes que j’admire pour la qualité de leur intervention. Ils sont comme nous tous, ils viennent lorsqu’ils le désirent. Je n’ai aucun contact privé avec eux. Peut-être entendront-ils votre appel ?
Bon samedi ! Note perso: J’ai été malade cinq semaines: rhume, grippe et bronchite, je sors aujourd’hui pour la première fois depuis tout ce temps. Une bonne bouffée d’air frais me fera le plus grand bien. Je reviendrai vous lire plus tard.
Monsieur Dallaire, voici une info que vous avec peut-être.
Juste avant qu’il ne quitte la CDPQ, H-P Rousseau surveillait les intérêts des Desmarais dans TOTAL au Myanmar. Vu l’article dans le JdeM. Quelques semaines plus tard le même Rousseau, partait pour POWER avec des conditions « qu’il ne pouvait refuser »
«Par ailleurs, la Caisse a appuyé la proposition mise de l’avant par la firme The Ethical Funds, de Vancouver, qui demandait à Power de justifier ses intérêts dans le géant pétrolier français Total, qui a des activités au Myanmar (ex-Birmanie).» http://argent.canoe.com/infos/quebec/archives/2008/05/20080521-172006.html
Faites d’autres recherches à partir de ces infos.
Les deux tiers de la crise économique au Québec est le résutat de son appartenace à la planète.
L’autre tiers est dû à l’amateurisme, aux cachotteries et aux mensonges de nos dirigeants.
Quand donc cesserons-nous d’être des suiveux et des gogos?
Le déséquilibre fiscal n’est pas réglé.
Tiens donc ! Un petit jeu de devinettes qui n’aura pas besoin que l’on recoure à Edgar Poe et à sa nouvelle, Le Double assassinat de la rue Morgue, pour trouver un début d’explication. Non. Pour ce faire, il n’y a qu’à lire le livre de Robin Philpot, Derrière l’état Desmarais, Power.
Le réseau des influences personnelles autour des investissements dans le secteur de l’énergie, le gaz et le pétrole, qui met en scène le Canadien-Ontarien-Québécois que l’on sait et dont le nom commence par un D, ainsi que son jumeau belge qu’il considère comme un frère et dont le nom commence par un F, y est parfaitement décrit. Les liaisons de ces influents deux compères en Europe, en France précisément, ainsi que son prolongement jusqu’à nos terres québécoises dans ces mêmes domaines d’exploitation y est aussi bien commenté.
Alors, de là à pouvoir mettre des noms sur d’autres visages ou d’autres spectres qui gravitent autour de cette orbite, il n’est point besoin de se payer un tour de terre en navette spatiale. Ce n’est pas le livre de Poe qu’il faut utiliser pour cela, mais celui de Robin Philpot.
Ce que j’écris plus haut dans une de mes interventions, Monsieur Audet.
Il est bien clair que tous les vautours qui tournent autour de notre bas de laine maintenant percé (et autour d’autres organismes) sont aussi des pantins de la famille Desmarais. Il va falloir que les Québécois se ressaisissent et remettent à sa place cette famille omniprésente, omnipotente, encombrante et nous le savons désormais, dangereuse pour l’avenir du Québec.
Nous devons refuser que le vrai gouvernement de notre État soit cette famille non élue, qui contrôle le monde des affaires et les politiciens, via ses pions placés aux plus hauts échelons.
Je ne sais pas ce qu’il faudra faire exactement pour mettre un terme à son influence indue, disproportionnée, mais il est temps de lui mettre un holà.
Suggestions bienvenues.
Complot! Le mot est laché. Dans ma naïveté congénitale, je n’ai jamais pensé qu’une telle chose put exister dans notre si beau pays. Sauf dans les romans de Jean-Jacques Pelletier. Mais une fois le concept sorti à l’air libre, je crois qu’il pourrait expliquer bien des choses.
J’ai toujours été intrigué par le comportement de M. Charest. Chef d’un parti moribond, le parti Progressiste conservateur du Canada, M. Charest s’est vu courtisé par des agents du changement, hostiles à Québec inc.
Comment expliquer qu’un joueur important des ligues majeures accepte d’aller jouer dans les ligues mineures, où on ne peut lui offrir que le rôle de chef de l’opposition. Première interrogation.
Deuxième interrogation. Comment un Conservateur, fut-il progressiste, peut-il s’incrire au parti » Libéral « , et prendre la place de chef en plus? Cela me tarabustait, car la logique était bafouée, et je déteste ça.
Il y avait donc anguille sous roche. Mais comment la faire sortir? Nous n’avions qu’à attendre. Mal nous en pris, mais c’était le prix à payer pour découvrir le pot-aux-roses.
Dès que M. Charest a pris le pouvoir, grâce au ressentiment de la population dans le dossier des fusions, il a réussi, sans efforts, à prendre mauvaise décision après mauvaise décision : le financement des écoles juives, l’électricité par le gaz, le Mont Orford et dieu sait quoi d’autres encore. M. Charest était parfaitement déconnecté de la mentalité québécoise et de ses valeurs. Il était branché sur des intérêts particuliers qui faisaient fi de nos valeurs. Une erreur de jugement succédait à une bourde. L’insulte succédait à l’injure, et vogue la galère.
Aujourd’hui, le dossier Rabaska se porte admirablement bien, pour ses promoteurs, et Hydro-Québec a vu son projet de barrage sur la Côte-Nord approuvé par le BAP, sans que l’on jette le moindre coup d’oeil sur une solution alternative que les Premières nations du coin et les écolos favorisaient : moins de dommage à l’environnement. En passant, il y a un inventeur dans la Beauce qui a créé une éolienne révolutionnaire qu’il parvient à vendre à plusieurs pays sur la planète, mais aucun preneur au Québec. Surtout pas Hydro. Bien étrange. Il ne fait pas parti du sérail, probablement.
Tout ça pour dire que les pièces du puzzle se mettent en place et qu’il y en a suffisamment d’assemblées pour qu’un portrait répugnant se dessine. On veut démolir Québec inc au profit de rapaces qui tiennent mordicus à se partager les dépouilles des vaincus, c’est-à-dire, nous, les contribuables et propriétaires de Québec inc. Le gouvernement Lessage, avec son Equipe du tonnere, et le premier gouvernement péquiste ont créé et renforci Québec inc. De sales capitalistes, ils ne le sont pas tous, veulent mettre la main sur nos acquis, et pour ce faire, ils ont trouvé les hommes de pailles qu’il fallait, M. Charest étant le principal acteur et son cabinet les exécutants nécessaires au sale boulot. Les autres acteurs, hommes de mains, ont déjà été nommés par d’autres participants à ce blogue et je les en remercie. On est jamais trop pour le bon combat, n’est-il pas.
Donc, nous sommes entre les mains de criminels et de traîtres à la cause du bien commun. De plus, nous en avons pour cinq ans, comme s’est plu à le souligner M. Charest à TLMEP. En cinq ans, avec une majorité, fut elle faible, mais suffisante, on peut faire un maximum de dégats. M. Charest ne se gènera pas. Un siège de sénateur l’attends peut-être à Ottawa, une fois le travail acomplit.
S’il y a des lendemains qui chantent, pour certains, il y en aura d’autres où on grincera des dents, peut-être pour les mêmes, qui sait.
Prenant pour acquis que le PQ reprendra le pouvoir, il sera toujours possible de recoller les pots cassés par les criminels et les traîtres au bien commun et reprendre possession de notre bien d’avant la trahison.
Même après le passage d’Attila l’herbe a repoussé, malgré ce qu’en dit la légende. C’est un passage douleureux dans les couloirs du temps que nous réserve ces criminels, mais rien n’est éternel, ni le bien, ni le mal. Pour le moment, le mal l’emporte. Il y aura une autre manche, et là, ce sera à nous de jouer. En garde!
Une solution pour dégriffer et édenter la famille Desmarais serait de lui retirer la possession de 70 % des médias. Qui contrôle l’information contrôle l’opinion. Lors de coup-d’états, les insurgés s’emparent des radios et télés en premier. Les journeaux viennent après. La famille Desmarais possède déjà tout cela. Nos dirigeants nous ont trahis, une fois de plus, en permettant cet état de chose. Au nom du droit de faire des affaires on a assisté à l’assassinat de notre droit de parole et de savoir : de la démocratie.
Nous sommes contrôlés par la ploutocratie et tant que nous n’élirons pas un parti politique qui travaille pour nous, nous resterons manipulés et bernés.
Ironie, Internet met à mal les moyens classiques de l’information. Le danger est que les outils pour contrôler Internet existent déjà. La Chine et la Corée du nord, ainsi que la Birmanie ont obtenu de Google ces instruments de contrôle d’Internet. Nous pouvons être sur la liste. C’est une question de temps. Profitons du temps qui nous reste, comme dit la chanson.
Je salue vos textes et votre indignation, Monsieur Gingras !
Ouep ! en garde, citoyens !
Merci beaucoup, Mme gauthier. Vous êtes toujours aussi aimable.
Cordialement.
Comme disait l’autre, avec la Caisse, les Québécois ont la plotte et la sacoche à terre!
Lecture édifiante pour Mme Teasdale et Cie : sur le site de Vigile.net, l’article en profondeur de Dennis Monière sur la récupération de l’Histoire du Canada par les fédéralistes, paru en 1998, mais toujours d’actualité, hélas.
Bonne lecture.
TOUTES LES NOUVELLES QU’ON VOUS CACHE – RIEN QUE LA VÉRITÉ
ÉCONOMIE
May, 2009- En braille seulement.
Les membres de la haute finance n’ont pas de préférence de principe à l’égard d’un régime économique ou social déterminé. Pour eux, il s’agit d’accroître leur profit. Ils l’ont fait dans le capitalisme des États-Unis, le communisme de l’Union soviétique, ainsi que dans le fascisme et le national-socialisme européens. La situation est la même aujourd’hui.
Washington a partiellement réussi à contraindre l’Union des Banques Suisses (UBS) à violer la législation helvétique et à dénoncer ses clients états-uniens susceptibles de frauder le fisc. Malgré les apparences, observe le sociologue Jean-Claude Paye, cette manœuvre ne vise pas à obtenir des informations, car Washington les détenait probablement déjà, mais à casser la place bancaire suisse. L’Empire tente d’éliminer par la force les « paradis fiscaux » qu’il ne contrôle pas, au profit des siens qu’il protège.
VOULEZ-Vous savoir de quoi il retourne; En êtes-vous bien certain?
«Pour les vaincus de 1759, l’échec de la contestation patriotique était grave de conséquences. La répression, le pillage, les incendies et les meurtres commis par les troupes britanniques allaient refouler pendant plus d’un siècle les espoirs d’émancipation nationale. Avec l’appui du clergé, le conquérant réussira à effacer des mémoires les idéaux d’indépendance, de démocratie et de république.»
Autrement, aujourd’hui, l’histoire se répète. Il n’y a qu’à regarder ce qui se passe avec l’éclatement du Québec inc., la Caisse de Dépôt que l’on veut démenteler et tout ce pillage de nos biens communs. Tout cela pour empêcher le Québec de devenir un pays ?
Merci, Monsieur Gingras, pour cet article de Denis Monière. Il est bon de se rappeler.
…les BANQUES croyaient que c’était de l’AIR que les Humains voulaient, mais les banques ne sont pas HUMAINES, FULGURATOR lui, malgré les effets vus sentis qui pointent vers le contraire, c’est DU VENT QU’IL VA ÉCHANGER! Nue, j’allais dire NUAGE, mais c’est NUANCE, marci… Et, mais, mais nous savont tous que le VENT, à en croire certaines, chansons, ON SRA PRËTE À DONNER N,IMPORTE QUOI POUR UN PEU DE VENT, des fois. Sur ce FULGURATOR se sent aussi humains qu’eux. Beurk! Moé chra pas capab’
À moi de faire une suggestion de lecture, je vous préviens, il faut être fait fort pour ne pas s’enrager, une chose est certaine, vous serez indignés… Excellente critique de M. B-C.
Au sujet du livre de Alain Dubuc – À mes amis souverainistes
«Une désolante chasse à l’homme»
par Mathieu Bock-Côté
Vous êtes tous des idoles pour moi. J’adore lire vos commentaires. Il faut être réaliste, la souveraineté ne viendra pas avec tout ces gens tordus à moins que…le peuple attache sa tuque! J’ai toujours voulu contribuer à l’évolution de mon Québec mais qu’est-ce qu’un »tit cul » de 21ans comme moi peux faire fasse à toute cette complicité malsaine…lire.
Merci
@ Serge Gingras:
Vous dites: « Une solution pour dégriffer et édenter la famille Desmarais serait de lui retirer la possession de 70 % des médias. Qui contrôle l’information contrôle l’opinion. Lors de coup-d’états, les insurgés s’emparent des radios et télés en premier. »
Vous ne croyez pas qu’il faille faire quelque chose avant cela? Quand y aura-t-il un gouvernement qui aura l’audace de mettre fin à cette concentration de la presse? Ce n’est certainement pas le gouvernement libéral, dont Charest fait partie de la stratégie desmaraisienne. Et nous en avons pour 5 ans avec lui, a dit Charest.
Il faudra donc envisager autre chose, en attendant l’avènement d’un gouvernement indépendant et audacieux. . Des campagnes de désabonnement à ses journaux? Un envahissement des autres médias (surtout Internet, les lignes ouvertes, etc…) pour dénoncer l’emprise hégémonique de cette famille sur notre vie collective?
@ Mathieu Breton
Le peuple doit déjà attacher sa tuque avec ce qui se passe en ce moment.
Continue à lire, à discuter avec tes proches, tes amis. Et surtout, il faut convaincre toute le monde d’aller voter la prochaine fois. Et puis, tu verras bien avec le temps ce que tu peux faire pour ton Québec. Déjà que t’informer est un excellent départ.
Bye et au plaisir de te lire !
@ Mathieu Breton
Le peuple doit déjà attacher sa tuque avec ce qui se passe en ce moment.
Continue à lire, à discuter avec tes proches, tes amis. Et surtout, il faut convaincre toute le monde d’aller voter la prochaine fois. Et puis, tu verras bien avec le temps ce que tu peux faire pour ton Québec. Déjà que t’informer est un excellent départ.
Et Charest et « son groupe » continuent malgré tout…
Sur le même sujet des PPP:
«La Colombie-Britannique a eu le courage d’admettre que dans le contexte actuel, le mode PPP ne convenait plus à son projet. Et le gouvernement Charest ne veut même pas inclure ce scénario dans sa réflexion sur le CHUM? C’est inquiétant.»
Il était une fois Jean, le petit fûté, qui vit venir au lointain une tempête soulevée par une ogresse vorace dit « la grosse caisse » et son époux, un ogre surnommé « grosse crise ».
Jean, le petit bouclé, demandât au bon peuple de le choisir à nouveau comme régent du royaume pour mieux protéger, selon lui, le peuple québécois contre « grosse crise » . Il ne parlât point de « grosse caisse » se disant qu’elle représentait un plus grand danger pour ses projets. Déjà s’attaquer à « grosse crise » semblait un pari improbable mais quel brave petit !!
Jean voulait surtout être régent une troisième fois, sachant que ça serait sa dernière chance. Le petit blondinet, savait que la « grosse caisse » serait un poids insupportable à traîner dans le présent et le futur. Et le bon peuple le consacrât à nouveau régent du royaume.
Lorsque la « grosse caisse » se présentât aux portes du château Jean se fit tout petit, tout petit. Lui qui voulait être seul au volant, se retrouva caché dans la valise de madame sacoche. Depuis ce temps, on n’a pas retrouvé Jean, surnommé » le menteur blond ». On raconte même dans les chaumières qu’il n’a plus le goût d’être régent. Il veux quitter son peuple pour se retrouver associé à la puissance (Power) ou bien parcourir le royaume fédéral afin d’y être nommé petit grand régent fédéral. On lui prête même des intentions de courtiser la belle princesse Michaëlle. Mais cela, c »est une autre histoire…
M. H. P. R a admit, entre 12:15 et 13:00h, qu’il était responsable mais pas coupable, parce que les règles du jeu ont été changées. Cela est vrai.
Maintenant, il semble que la meilleur chose à faire est lécher ses plaies et continuer comme si de rien n’était. Nous avons reçu une ou des torpilles, mais les compartiments étanches tiennent bon. Ce n’est pas le Titanic.
Donc, on ne dit pas en avant toute, mais on navigue avec précautions, sonards et radars aux aguets. Tout le monde sur le pont! Fermez les écoutilles et toutes sortes de choses comme ça. (sourire)
La suite après 14:00h.
Le PQ a laissé la famille Desmarais s’emparer des médias. On nous a trahit dans ce dossier. Un parti radical pourraît remettre les pendules à l’heure et redistribuer, de façon démocratique, les dépouilles de l’Empire Desmarais. Maintenant, qui voterait pour un parti radical?
Se désabonner est un solution qui devrait faire beaucoup de mal aux actionnaires. Cela devrait mettre quelques grains de sable dans l’engrenage. Ça ne fait jamais de bien.
On remarquera que le propriétaire du Journal de Montréal a fermé son journal parce que les rentrées des annonces automobiles avaient cessées. Le journal n’en était pas rendu à la mendicité, non, mais la source des revenus avait diminué. Grosses dépenses, petits revenus = gros problèmes éventuels.
Madame Gauthier,
Vous souscrivez a la thèse du complot Desmarais et vous citez ensuite deux sources de Gesca : cyberpresse.
Comment expliquez-vous cela ?
De plus, est-ce que je rêve mais quelqu’un vient-il de parler de coup d’état pour résoudre les problèmes politiques du Québec ?!
Franchement, la théorie du complot et du 70 % des médias détenus par Power Corp. Est farfelu et ne tient pas compte de l’ensemble des joueurs médiatiques au Québec.
Sans parler des sources d’infos hors Québec, accessibles en kioske ou sur internet.
Bref, tout ce que je vois ici c’est de la pub pour l’aut’journal, journal syndicaliste, de la pub pour un site web libertaire et de la propagande séparatiste qui ne fait pas plus sérieux que l’institut économique de Montréal.
Désolé.
Je suis nationaliste mais pas aveugle au point de verser dans le coup de force, l’endoctrinement $ des masses et l’anarchie a la sauce XIXe siècle qui nous rameneraient tous dans les Belles histoires des pays d’en haut…
La démocratie est vraiment mal en point au Québec et l’ADQ est encore un parti pertinent aujourd’hui quand je vois le départ de Dumont et le non sense nationaliste a la sauce altermondialiste.
L’appel a la lecture en passant par la théorie du complot n’aide en rien le PQ non plus.
@ M. Boudrias
Vous mettez en doute la véracité du renseignement sur le 70% de contrôle de la famille Desmarais sur le monde de l’information. Je ne demande qu’à vous croire. Selon vos sources, quel est le pourcentage de contrôle de cette famille sur cette industrie?
Déjà, dans les années 90, il y avait concentration de la presse, parlée ou écrite, entre les mains de quelques uns, et la famille Desmarais était mentionnée parmis les joueurs les plus possédants.
Ayez l’amabilité d’éclairer notre lanterne et de nous délivrer de notre complaisante ignorance. C’est un service à nous rendre.
La presse étrangère, voir uniquement canadienne, hors Québec, ne s’intéresse à nous que s’il y a matière à scandale. Le Québec est pour eux sans intérêts.
La presse étrangère s’occupe d’Asie, d’Afrique, leurs anciennes colonies ou d’Europe, leurs voisins. Le Québec n’est pas sur la carte, sauf catastrophe.
Cordialement
@ S. Boudrias
Les deux articles cités sont honnêtes. Reconnaissez-le ! Je fais une recherche sur le sujet, les meilleurs articles trouvés sont ceux que j’ai proposés, pour la meilleure info possible. Les auteurs sont bien documentés et non sous influence du boss, pas encore comme le sont les primadonna Pratte & Co…. Je ne suis pas fana…. Articles pertinents, je n’allais pas les ignorer sous prétexte qu’ils sont de Gesca, -vous auriez été le premier à me le reprocher je suppose- et c’est gratos… Gesca ne fait pas un sous avec moi…
J’ai lu aussi que Gesca (Desmarais) contrôle 70% de l’information au Québec. Cherchez et vous trouverez…
Je suis aussi souverainiste et pas aveugle, croyez moi ! Décevant !
Il existe le P.L.C au fédéral, le P.L.Q au Provinciale, et l’Institut Économique de Montréal qui ressemble étrangement a un genre de Parti Libéral Économique, le P.L.É, sauf qu’eux aussi ne joueront jamais « Fairplay » avec les souverainistes Québécois, pour eux aussi tout les moyens sont bons pour s’acaPPParer de nos biens communs comme Hydro-Québec, la Caisse de Dépot et de placements, le CHUM, le Mont-Orford, ils veulent toute privatiser ce qui est privatisable comme Bob Gratton.
Ils l’a méritent la garnotte sur la patate, ces conquistadors économiques du « Freak Control » qui collaborent avec nos bons conservateurs de l’ouest Canadien qui exploitent de sales sables Bitumineux, ceux et celles qui n’y croit pas ferait mieux d’observer les contours parfaits d’une partie de la Baie d’Hudson sur google earth pour réaliser qu’une telle garnotte nous est déjà rentré dans la patate
J’espère tout simplement que le Québec sera libre, le 20 décembre 2012, 24 heures avant, pour vivre au moins une journée dans ma vie dans mon pays et malgré cette monstrueuse pyramide du capitalisme qui s’effondre sous nos yeux, les dieux de la spéculation sont entrain de tombé eux aussi…
L’empire Anglo-Saxons s’effondre avec fracas et nous sommes concerné en tant que nous aussi Nord Américains, tout les: Vincent Lacroix, Conrad Black, Bernard Madoff, et autres nouveaux venus.
En attendant que Paul Desmarais le plus grand fraudeur du Québec, depuis des décennies, soit lui aussi dans la même cellule que son bon ami Conrad Black…
Il ne manque que Jean Charest et Monique Jérome-Forget pour compléter le tableau des administrateurs libéraux et fédéralistes de l’Institut Économique de Montréal.
Quel bande de joyeux lurons!
On ne peut cependant en rire car ce sont ceux qui conseillent notre bon gouvernement et qui façonnent le squelette des politiques qui nous gouverneront dans l’avenir et un bel exemple de ça ce sont les PPP.
Et l’avenir, ça peut être très long avec les québécois actuels, surtout ceux de la région de Québec et de l’Outaouais!
« Montreal, 06 mars 2009
– Ce n’est pas un manque de réglementation qui a mené à la crise économique, mais des interventions gouvernementales aux effets néfastes. Dans une Note économique intitulée Les origines de la crise économique, publiée par l’Institut économique de Montréal (IEDM), l’économiste Pierre Lemieux explique que
«les difficultés actuelles manifestent davantage une défaillance de l’État qu’une défaillance du marché».
Le président de l’IEDM, Michel Kelly-Gagnon, ajoute que «l’approche pédagogique de cette publication remet en question plusieurs idées reçues et des explications trop souvent fausses sur les origines du marasme actuel. »
la source de cet éclairage économique de la crise ?
« un organisme de recherche et d’éducation indépendant, non partisan et sans but lucratif. Par ses études et ses conférences, l’IEDM alimente les débats sur les politiques publiques au Québec et au Canada en proposant des réformes créatrices de richesse et fondées sur des mécanismes de marché. »
—
ok
1) c’est le coup classique que l’on a servi aux Argentins quand les banques ont mangé l’épargne de toute la classe moyenne des « tigres latino américains » – traduction : un jour tu vas à la banque et on te dit que toutes tes économies sont parties en fumée, merci au FMI et à la « main invisible du marché, mon chummy !
2) l’État est partout, c’est pour ça qu’on l’appelle l’État Providence ;
3) la Providence, c’est la main VISIBLE du contre-pouvoir économique des citoyens qui sont écoeurés de se faire fourré en plein jour par des astrologues de l’économie de la spéculation qui n’ont guère évolué dans leurs prédictions et leurs méthodes de création de richesse que de puis la publication d’un livre que l’Institut ne lira jamais :
L’ARGENT, d’Émile Zola, dans lequel on suit les spéculations délirantes d’un raider du XIXe siècle qui voit la bourse de son époque avaler et recracher n’importe où la richesse des Nations
– nota bene : à cette époque-là, l’État était loin d’être omniprésent et ça n’a pas empêché le crash de 1929 de crisser l’économie occidentale dans les chiottes en plus de favoriser la montée du fascisme en Italie et du nazisme en Allemagne
p.s. : les mouvements néo-nazis se portent très bien en Russie, merci à l’économie de marché pour civilisé ces gens-là (je parle des extémistes qui accusent les immigrants de créer le chômage, pas des russes en général)
4) le système financier mondial, selon bien des politiciens élus en Europe – qui sert de référence réglementaire à monsieur Lemieux, source de jouissance de l’organisme générateur d’idées profitables aux capitalistes en tous genres – surtout les trous de cul qui n’ont de coeur qu’après cinq heures, les samedi et parfois le dimanche – on étudie sérieusement la possibilité que le FMI et la Banque Mondiale – deux organismes « indépendants » situés à Bretton Woods, USA et qui avaient pour mandat de reconstruire l’Europe après la Seconde Guerre (provoquée justement par des capitalistes sauvages se foutant du lendemain au profit du rendement à court terme de leurs joyeux lurons d’actionnaires) afin de prévenir et dénouer les mécanismes économiques ayant provoqués la crise ;
5) lorsque l’État subventionne au coton l’industrie du textile, l’agro-alimentaire, le complexe militaire et autres babioles du genre qui empêchent des pays comme l’Inde, le Brésil et bien des pays africains de jouer le jeu de la mondialisation et du super libre-échange sanctifié par l’Organisation Mondiale du Commerce (organisme très peu démocratique, s’il en est un), eh bien, devinez quoi ? c’est acceptable pour les bons capitalistes purs et durs qui veulent VOIR l’État disparaître de la surface de la terre ;
6) si l’État Providence des Transports Publics, par exemple, qui occupera l’espace sinon une industrie privé qui saura aussi bien que GM, Chrysler et Ford rentabiliser ses états financiers et servir l’intérêt du public ??
7) est-ce que ce n’est pas précisément l’avènement de l’industrie automobile qui a défiguré le paysage nord-américain en plus de détruire le réseau de transport collectif offert dans les grandes villes ?
8) si l’État réglemente dans un domaine financier, on crie à l’ingérence mais quand l’État et l’argent des contribuables sert à sauver des banques qui ont spéculé sur l’incapacité de payer évidente de certains consommateurs américains, on ne dit pas merci et on ne fait pas son mea culpa – on exagère dans le sens contraire ! on chie sur la population élective et leurs représentants en se torchant le cul avec la misère humaine et les droits de la personne !
9) ce n’est pas tout ! lorsqu’on souligne à plusieurs reprises les manquements graves de la Stock Exchange Commission aux États-Unis, personne ne se sent visé ni à Washington ni dans les grandes entreprises de fonds spéculatifs jusqu’à l’élection de Barack Obama ;
10) quand enfin un homme politique décide de prendre le leadership du pays et imiter le Plan Marshall qui a permis aux États-Unis de se sortir du marasme dans lequel les citoyens américains s’étaient vus entraîner par l’idéologie de la cupidité full contact, on sort sur Fox News des inepties comme quoi le président des USA est trop pessimiste, trop déprimant, câlice ! Et ce, alors qu’une proportion incroyable de la dette US est détenue par des intérêts étrangers, principalement la Chine – qui n’est pas tout à fait une démocratie, doit-on le rappeler ?
Mais le plus beau, justement, c’est que lorsque les États-Unis essaient de s’en sortir, les spéculateurs de NYC du Dow Jones réagissent à la baisse.
Et lorsque la Chine fait pose un geste semblable envers sa « propre » économie, les marché s’emballent UNE JOURNÉE puis retombe dans sa spirale descendante.
Conneries de tabarslaque.
Mieux encore !
C’est pas terminé les bonnes nouvelles GM.
Le bon General Electrique n’est plus l’ombre de lui-même parce que les ampoules électriques qui prêtent à tout le monde et surtout à leur propres clients, ça fait un peu serpent qui se bouffe la queue et cercle vicieux, n’est-ce pas ?
Mais si toutes ces belles compagnies fleurissantes en temps de croissance s’en vont down the drain, c’est la faute de la population et de l’État, c’est connu.
à suivre…
À lire absolument ! Tous sommes concernés.
Les petits rigolos ne me font pas rigoler.
«Le véritable enjeu : le démantèlement de la Caisse de dépôt»
http://lautjournal.info/default.aspx?page=3&NewsId=1445
Me semblait que j’avais déjà entendu le nom de Pierre Lemieux quelque part.
lol
Ainsi, l’auteur dont se sert l’institut économique de Montréal est un auteur libertarien.
Entre autres ouvrage, le monsieur a écrit une thèse dythirambique sur l’anarcho-capitalisme aux éditions des Presses Universitaires de France, 1987.
Il a aussi écrit : Du libéralisme à l’anarcho-capitalisme pour la même maison d’édition.
Ce n’est pas tout, notre bel intellectuel anarcho-capitaliste s’est lancé dans le vif du débat concernant le tabagisme avec un chef-d’oeuvre du genre :
Tabac et liberté. L’État comme problème de santé publique, Montréal, Varia, 1997.
L’État comme problème de santé publique ! Ça ne s’invente pas. Surtout en 1997, année du crash boursier le plus imporant de la fin du XXe siècle, où on nous disait de ne pas s’inquiéter au Financial Post, entre autres, et à une époque où les compagnies de tabac faisaient trembler le gouvernement Chrétien d’Ottawa en encourageant la contrebande amérindienne discrètement entre les États-Unis et le Canada.
Bref, chez monsieur Lemieux, on ne réfléchit pas, on « excathédrise » carrément des conneries et les poules pondent des oeufs carrés très loin du royaumme imaginé par Alfred Jarry !
http://fr.wikipedia.org/wiki/Pierre_Lemieux_(%C3%A9conomiste)
Allez-vous en pas !
C’est encore plus drôle, ça :
« On exagère à peine en disant que le Québécois a conservé du Canadien français tout ce qu’il eut fallu rejeter et qu’il en a rejeté tout ce qui valait la peine d’être conservé. Qu’a donc conservé le Québécois des valeurs canadiennes-françaises ? Certainement pas l’esprit individualiste du coureur des bois, lui qui se fait ficher, demande des permissions et enregistre son fusil de chasse avec le sourire. Certainement pas la force et le courage des mères canadiennes-françaises qui élevaient leurs familles nombreuses sans assurance-maladie ni garderies publiques. »
Pierre Lemieux, où que vous soyez, Juste Pour Rire a besoin d’un comptable ou d’un stand up comic pour relancer sa machine…
C’est quoi déjà le slogna de l’IEDM ?
« Ne demandez-vous pas pourquoi nous n’avons pas de crédibilité, demandez à votre député pourquoi vous payez trop d’impôt en ayant moins de service ? »
Non, c’est :
‘Des idées pour enrichir le Québec »…
Enrichir le Québec, les Québécois ou les libertariens ou les anarcho-capitalistes apatrides et sans scrupules qui fourrent le p’tit monde au grand jour sans s’excuser sous prétexte que personne ne les photographie quand ils baissent vos culottes pour vous entuber solide dans les coulisses du pouvoir ?
C’est-tu moi qui ne comprend pas ou l’Institut Économerdique de Montréal affirme que ce sont Georges W Moron Bush, Stephen Harpeur et Jean Patapouf Charest qui sont responsables de la crise ?
@ Marie-Andrée Gauthier
autrement dit, on veut la peau de la Caisse de dépôt et on va l’avoir
ou plus poétiquement
ne vendez pas la peau du bas de laine québécois avant de l’avoir défoncé !
@ Monsieur Boudrias,
et à vous tous, je vais vous poser une question, qui me tient à coeur et qui à aussi rapport à IEM:
Que l’on perde du fric par exemple à la Caisse, c’est un autre débat, mais qu’est ce qui autorise un gouvernement quel qu’il soit à utiliser l’argent public pour sortir de la marde une industrie, quelle qu’elle soit (bois d’oeuvre, acier, auto, name it), sinon pour assurer que des capitalistes outranciers préservent leurs gains, leur statut ou leurs maîtresses, politiques s’entend????
Et ne me dites pas que c’est pour préserver des jobs…OUI ! mais les jobbeux, eux, ne s’enrichiront pas plus, sinon moins.
Le post de Mme Legault actuellement soulève une interrogation réelle sur ce qui est en train de se passer dans le monde politico-économique au Québec.
Faisons abstraction des couleurs politiques pour un moment, mais il me semble que toutes les rennes importantes de l’économie québécoise sont en train de tomber aux mains d’une dangereuse coterie rompue aux arcanes du pouvoir. Et à mon avis, on n’est peut-être pas si loin d’une conspiration !
Il y a certainement quelqu’un parmi vous qui commencera à faire les liens, avec des noms!!!
Bye
D’entrée de jeu, le diagnostic posé par des membres de cet Institut sonne faux. Le plus imbécile d’entre les imbéciles, qui n’aurait jamais lu la première des lignes des premiers économistes, sait que cette crise a été provoquée par le surendettement des ménages. Si les PCAA sont devenus ce qu’ils sont devenus, c’est parce que ce levier financier a fini par s’appuyer sur des créances, des dettes, que des ménages surendettés n’ont plus été capables d’honorer. Et ce surendettement est une des résultantes de la déréglementation, celle qui permet à des gens de vivre au-delà de leurs moyens, en leur offrant des hypothèques qui dépassent de beaucoup les capacités de payer en tablant sur l’avenir qui feraient toucher des sommets toujours plus hauts aux prix des maisons, en leur faisant parvenir par la poste des cartes de crédits qu’ils n’ont pas demandé et qui s’ajoutent à celles qu’ils possèdent déjà et avec lesquelles ils sont déjà lourdement endettés n’arrivant même plus à payer les intérêts de leurs dettes.
Ce saccage des ménages vient après celui des pays pauvres à qui aussi on fait des conditions de crédit qu’ils sont incapables de rencontrer et qui les signent du seul fait de vouloir payer les intérêts. Tout cela, pour que cet écrémage des capacités de payer profitent proportionnellement de manière indécente à ceux qui offrent ces leviers financiers de rêves qui finissent en cauchemar pour ceux servant de point d’appui qui se retrouvent meurtris.
En somme, devant tant d’arrogance de la part de ces savants imbéciles, il n’y a plus qu’une réplique qui tienne, c’est de leur dire : causez toujours bande de CONS.
«Faisons abstraction des couleurs politiques pour un moment, mais il me semble que toutes les rennes importantes de l’économie québécoise sont en train de tomber aux mains d’une dangereuse coterie rompue aux arcanes du pouvoir. Et à mon avis, on n’est peut-être pas si loin d’une conspiration !» A. Dallaire
Vrai. Il y a quelques années que je lis, observe, cherche. Je me sentais presque seule à m’interroger ainsi que vous le faites… mais nous sommes de plsu en plus nombreux à savoir. Je suis de votre avis: c’est une conspiration, lisez plus haut le lien que je propose. Tenez, je vous le donne ici:
«Le véritable enjeu : le démantèlement de la Caisse de dépôt»
lautjournal.info/default.aspx
Et ce n’est qu’un tout petit bout d’un vaste plan bien orchestré.
Ne trouvez-vous pas que tous les chemins ne mènent plus à Rome mais bien à Paul Desmarais et famille ?
Et on le constate de plus en plus…L’état québécois est devenu l’état Desmarais et le seigneur de ces lieux s’y est bâti – O immense symbole- son château en plein centre, dans ses plus belles terres. Le seigneur, comme tout seigneur, se doit de prendre ce qu’il désire, n’a payé que $1.00 pour ces terres aux multiples lacs. Il est là à nous narguer, à nous sqatter avec l’aide de ses fidèles vassaux dont le principal vassal est JJ Charest qui vient de placer à la CDPQ -sous les ordres de son seigneur et maître- un autre vassal du seigneur des lieux.
Je pourrais continuer longtemps ainsi. Robin Philpot est à lire: l’Empire Desmarais.
Un autre vassal entrera en poste sous peu, le PDG, là ça reste à voir qui se sera…
Et l’encan continue ! Il en reste encore à vendre…
Quand nous serons saignés à blanc… ils quitteront dodus, repus, avec la satisfaction du devoir accompli.
@Madame Marie-Andrée,
Il y a les COMPLICES, les ASSOCIÉS et les ÉXÉCUTANTS…
« Les exécutants des basses œuvres ».
M-A, je peux et veux bien comprendre votre indignation face à PM, mais il n’est pas seul : n’est-ce pas lui qui a financé Sarko???
Les complices?????
Les associés : politiques???
Les exécutants : des noms commenceraient-ils à sortir?
Les coïncidences s’accumulent…
Bye
@ Andre Dallaire
« Que l’on perde du fric par exemple à la Caisse, c’est un autre débat, mais qu’est ce qui autorise un gouvernement quel qu’il soit à utiliser l’argent public pour sortir de la marde une industrie, quelle qu’elle soit (bois d’oeuvre, acier, auto, name it), sinon pour assurer que des capitalistes outranciers préservent leurs gains, leur statut ou leurs maîtresses, politiques s’entend? »
L’État Providence, ça le dit.
L’État est partout, l’État est amour et l’État est omniscient et omniprésent dans nos vies.
Y a-t-il encore une seule industrie qui ne touche pas de prêt (jeu de mot) ou de loin l’argent des contribuables ?
Si oui, pourquoi s’en scandaliser ?
Puisque le marché ne marche plus sans l’État et que les citoyens ne sont rien sans leur pouvoir politique représentatif (certains diront théâtral mais ce sont de vilains situationnistes…;-).
Alors, le problème, ce n’est pas qu’il y ait collusion ou corruption ou convergence trop intense entre le pouvoir économique, médiatique et politique ; le problème est avant tout le résultat du désengagement de l’individu des rouages officiels de l’État.
Pas le contraire.
L’État investit le champs libre de la vie de tout le monde mais monsieur et madame Toulmonde se promène comme s’il ne dépendait de personne…
Et les marchands comme les médias fonctionnent sur la notion de liberté de choix.
Cherchez l’erreur.
Ce n’est pas la liberté de choix qui manque.
C’est la volonté de choisir qui fait défaut au Québec.
De plus, si on laisse la démocratie aux mains de ceux que l’on ne respecte pas parce qu’ils jouent le jeu du capitalisme tel que tout le monde le pratique… est-ce qu’on ne fait pas soi-même preuve de naiveté confondante ?
Il faut faire bien attention quand on critique l’État Providence tout comme on critique les valeurs de la religion qui nous a préservé de la disparition… l’État québécois est le prolongement laique et logique de tout ce qui était occupé autrefois par le crime organisé et l’Église catholique.
Essayer de réfléchir à l’avenir sans prendre ça en considération, c’est refuser de regarder certaines réalités en face.
En démocratie, les électeurs sont aussi puissants que leur implication politique coordonnée peut l’être dans l’appareil gouvernemental.
Sinon, qu’on laisse tout tomber et qu’on se lance dans le business de l’ONG québécois pour régler les problèmes que l’on refuse de prendre en main en se présentant aux élections ou en appuyant intelligement ceux qui le font à notre place.
C’est une question de responsabilités.
Démocratie, communisme, anarchie, ploutocratie… un beau casse-tête à recommencer, moi je dis… mais au bout du compte, la dérive démocratique n’est pas semblable à la dérive des continents tout comme la mondialisation d’hier n’est pas aussi évidente aujourd’hui.
Prenez bien note de ce que je dis : le libre-échangisme va connaître sa période glaciaire bientôt et le réchauffement climatique sera éclipsé par la surchauffe politique.
C’est l’un des nombreux avantages de cette crise, à part le fait que le globe va avoir un break de croissance néo-libérale pour respirer autre chose que des GES pour quelques années…
Il y a quelques semaines, un collègue m’a dit que la crise immobilière était dût à Bill Clinton… Si je peux me permettre, voici un fil de discussion sur un autre forum où l’on brise (‘debunk’ en anglais) justement ce fameux mythe. Ce site est anglais, si ça vous interesse.
http://forums.online-sweepstakes.com/showthread.php?p=8245810
L’accronyme ‘CRA’ veut dire ‘community reinvestment act’, la fameuse loi de Bill qui aurait « tout gâché ».
http://en.wikipedia.org/wiki/Community_Reinvestment_Act
Si nous commençons tous à mettre le nom de la même famille sur la « filière », c’est qu’il commence à être temps d’agir pour la mettre hors d’état de nuire. Il est peut-être déjà tard, n’attendons pas qu’il soit trop tard.
«l’État québécois est le prolongement laique et logique de tout ce qui était occupé autrefois par le crime organisé et l’Église catholique.» S.Boudrias
Et comme la nature de certains à horreur du vide…faut bien remplir les espaces libres…
«Les complices?????
Les associés : politiques???
Les exécutants : des noms commenceraient-ils à sortir?» A.Dallaire
Nous en connaissons quelques-uns tout de même de ces exécutants des basses oeuvres: tels les Claude Garcia, André Caillé, H-P Rousseau, JJ Charest, et qui sait, Robert Tessier et des tas d’autres dont les noms seraient trop longs à énumérer, politiques ou non… Je sais, par infos privilégiées, qu’il ne faut pas perdre de vue la haute direction de Hydro-Québec. Là, il y en a des obscurs… Tout ce joli monde converge vers POWER Des Marais… mais les autres, ceux qui ne sont jamais nommés, sont certainement connus de nous tous ou de la plupart d’entre nous. Il y a aussi ceux qui doivent rester des ombres. Ce sont les plus dangereux. De plus, j’ose penser que Bilderberg ( certains membres ) n’est certes pas étrangère à ce PLAN.
Pour certains autres « petits amis » rigolos, il ne s’agit que d’aller sur la page proposée par Madame Legault pour en voir quelques-uns parmi eux.
http://www.iedm.org/main/authors_fr.php?authors_type=1
Par contre, en plus des excellentes chroniques de Madame Legault qui nous met sur des pistes, certains participants à ce blogue sont aussi très bien documentés sur le sujet. Madame Andrée Proulx a fait de remarquables interventions ainsi que Luc Archambault et Monsieur Pomerleau, j’en oublie certains. Il y a tellement de personnes de qualité ici. Il serait bon de relire les archives.
Bonne fin de soirée !
Bonsoir Mme Marie-Andrée,
Vous êtes bien courageuse d’avoir ouvert le vrai débat!
Je vous en propose une:
Qui est l’ex Pdg de L’Hydro sur le « board » pardon ….CA… d’une gazière (yes y’a du gaz en masse au Québec);
Qui vient de Rabaska/Gaz Métro et va à la Caisse???
Qui a vendu son âme à Toronto pour ses actionnaires de sa bourse,
Ne vient-il pas de démissionner…OH! pour de nouveaux défis!
Si l’on si met tous, ça peut être intéressant!
PS: M-A, Amenez-les vos amis Proulx, Archambault et Pommerleau dans cette discussion,,ils doivent en savoir plus, non?.
Après toutes les menteries qu’on nous a faites, la vérité pourrait être rafraîchissante!
Bye
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» Des idées pour enrichir le Québec »
Moi j’en ai une , faudrait que Paul Desmarais le patriache retourne un peu d’argent fait au Québec . De voir le nom d’Hélène Desmarais sur le CA de l’ Institut pathétique de Montréal est assez loufoque non ?
L’Institut pathétique de Montréal est de moins en moins crédible . A chaques fois que j’entend un membre de cette Institut je m’imagine une marionette entre les mains du Conseil du Patronat ! Seulement a lire Nathalie Elgrably de JdM pour en avoir un apeçu !
Alors la crise économique ne serait que le résultat de l’intervention du gouvernement dans les prêts hypothécaires ? J’ai même lu dans certains commentaires des groupies de la droite que cette initiative était celle de Bill Clinton le GAUCHISTE !!!!!!!!!!!
Rien par contre sur le désastre financier des deux mandats de W W BUSH , rien sur la piètre performance de ce gouvernement de droite , rien sus les dépenses astronomqiues des deux guerres ( Irak et Afghanistan ) INUTILES !
L’Institut Pathétique de Montréal me fait penser au Bonhomme Labeaume de Québec , plus il parle moins y’a l’air intelligent !
@ André Dallaire
Ne vous ai-je pas nommé certains de ceux dont vous demandez les noms ? Caillé et autres «apatrides». Relisez-moi bien.
Ils convergent tous vers Desmarais, vous le savez.
À vous d’avoir le courage de nous les nommer et d’en nommer d’autres. Mouillez-vous ! Nous n’attendons que cela… Vous savez qui ils sont puisque vous définissez leurs rôles.
Les participants à ce blogue, que je vous ai nommés et les autres que je n’ai pas nommés, ne sont pas des amis mais bien des personnes que j’admire pour la qualité de leur intervention. Ils sont comme nous tous, ils viennent lorsqu’ils le désirent. Je n’ai aucun contact privé avec eux. Peut-être entendront-ils votre appel ?
Bon samedi ! Note perso: J’ai été malade cinq semaines: rhume, grippe et bronchite, je sors aujourd’hui pour la première fois depuis tout ce temps. Une bonne bouffée d’air frais me fera le plus grand bien. Je reviendrai vous lire plus tard.
Monsieur Dallaire, voici une info que vous avec peut-être.
Juste avant qu’il ne quitte la CDPQ, H-P Rousseau surveillait les intérêts des Desmarais dans TOTAL au Myanmar. Vu l’article dans le JdeM. Quelques semaines plus tard le même Rousseau, partait pour POWER avec des conditions « qu’il ne pouvait refuser »
«Par ailleurs, la Caisse a appuyé la proposition mise de l’avant par la firme The Ethical Funds, de Vancouver, qui demandait à Power de justifier ses intérêts dans le géant pétrolier français Total, qui a des activités au Myanmar (ex-Birmanie).» http://argent.canoe.com/infos/quebec/archives/2008/05/20080521-172006.html
Faites d’autres recherches à partir de ces infos.
Les deux tiers de la crise économique au Québec est le résutat de son appartenace à la planète.
L’autre tiers est dû à l’amateurisme, aux cachotteries et aux mensonges de nos dirigeants.
Quand donc cesserons-nous d’être des suiveux et des gogos?
Le déséquilibre fiscal n’est pas réglé.
Tiens donc ! Un petit jeu de devinettes qui n’aura pas besoin que l’on recoure à Edgar Poe et à sa nouvelle, Le Double assassinat de la rue Morgue, pour trouver un début d’explication. Non. Pour ce faire, il n’y a qu’à lire le livre de Robin Philpot, Derrière l’état Desmarais, Power.
Le réseau des influences personnelles autour des investissements dans le secteur de l’énergie, le gaz et le pétrole, qui met en scène le Canadien-Ontarien-Québécois que l’on sait et dont le nom commence par un D, ainsi que son jumeau belge qu’il considère comme un frère et dont le nom commence par un F, y est parfaitement décrit. Les liaisons de ces influents deux compères en Europe, en France précisément, ainsi que son prolongement jusqu’à nos terres québécoises dans ces mêmes domaines d’exploitation y est aussi bien commenté.
Alors, de là à pouvoir mettre des noms sur d’autres visages ou d’autres spectres qui gravitent autour de cette orbite, il n’est point besoin de se payer un tour de terre en navette spatiale. Ce n’est pas le livre de Poe qu’il faut utiliser pour cela, mais celui de Robin Philpot.
Ce que j’écris plus haut dans une de mes interventions, Monsieur Audet.
Il est bien clair que tous les vautours qui tournent autour de notre bas de laine maintenant percé (et autour d’autres organismes) sont aussi des pantins de la famille Desmarais. Il va falloir que les Québécois se ressaisissent et remettent à sa place cette famille omniprésente, omnipotente, encombrante et nous le savons désormais, dangereuse pour l’avenir du Québec.
Nous devons refuser que le vrai gouvernement de notre État soit cette famille non élue, qui contrôle le monde des affaires et les politiciens, via ses pions placés aux plus hauts échelons.
Je ne sais pas ce qu’il faudra faire exactement pour mettre un terme à son influence indue, disproportionnée, mais il est temps de lui mettre un holà.
Suggestions bienvenues.
Complot! Le mot est laché. Dans ma naïveté congénitale, je n’ai jamais pensé qu’une telle chose put exister dans notre si beau pays. Sauf dans les romans de Jean-Jacques Pelletier. Mais une fois le concept sorti à l’air libre, je crois qu’il pourrait expliquer bien des choses.
J’ai toujours été intrigué par le comportement de M. Charest. Chef d’un parti moribond, le parti Progressiste conservateur du Canada, M. Charest s’est vu courtisé par des agents du changement, hostiles à Québec inc.
Comment expliquer qu’un joueur important des ligues majeures accepte d’aller jouer dans les ligues mineures, où on ne peut lui offrir que le rôle de chef de l’opposition. Première interrogation.
Deuxième interrogation. Comment un Conservateur, fut-il progressiste, peut-il s’incrire au parti » Libéral « , et prendre la place de chef en plus? Cela me tarabustait, car la logique était bafouée, et je déteste ça.
Il y avait donc anguille sous roche. Mais comment la faire sortir? Nous n’avions qu’à attendre. Mal nous en pris, mais c’était le prix à payer pour découvrir le pot-aux-roses.
Dès que M. Charest a pris le pouvoir, grâce au ressentiment de la population dans le dossier des fusions, il a réussi, sans efforts, à prendre mauvaise décision après mauvaise décision : le financement des écoles juives, l’électricité par le gaz, le Mont Orford et dieu sait quoi d’autres encore. M. Charest était parfaitement déconnecté de la mentalité québécoise et de ses valeurs. Il était branché sur des intérêts particuliers qui faisaient fi de nos valeurs. Une erreur de jugement succédait à une bourde. L’insulte succédait à l’injure, et vogue la galère.
Aujourd’hui, le dossier Rabaska se porte admirablement bien, pour ses promoteurs, et Hydro-Québec a vu son projet de barrage sur la Côte-Nord approuvé par le BAP, sans que l’on jette le moindre coup d’oeil sur une solution alternative que les Premières nations du coin et les écolos favorisaient : moins de dommage à l’environnement. En passant, il y a un inventeur dans la Beauce qui a créé une éolienne révolutionnaire qu’il parvient à vendre à plusieurs pays sur la planète, mais aucun preneur au Québec. Surtout pas Hydro. Bien étrange. Il ne fait pas parti du sérail, probablement.
Tout ça pour dire que les pièces du puzzle se mettent en place et qu’il y en a suffisamment d’assemblées pour qu’un portrait répugnant se dessine. On veut démolir Québec inc au profit de rapaces qui tiennent mordicus à se partager les dépouilles des vaincus, c’est-à-dire, nous, les contribuables et propriétaires de Québec inc. Le gouvernement Lessage, avec son Equipe du tonnere, et le premier gouvernement péquiste ont créé et renforci Québec inc. De sales capitalistes, ils ne le sont pas tous, veulent mettre la main sur nos acquis, et pour ce faire, ils ont trouvé les hommes de pailles qu’il fallait, M. Charest étant le principal acteur et son cabinet les exécutants nécessaires au sale boulot. Les autres acteurs, hommes de mains, ont déjà été nommés par d’autres participants à ce blogue et je les en remercie. On est jamais trop pour le bon combat, n’est-il pas.
Donc, nous sommes entre les mains de criminels et de traîtres à la cause du bien commun. De plus, nous en avons pour cinq ans, comme s’est plu à le souligner M. Charest à TLMEP. En cinq ans, avec une majorité, fut elle faible, mais suffisante, on peut faire un maximum de dégats. M. Charest ne se gènera pas. Un siège de sénateur l’attends peut-être à Ottawa, une fois le travail acomplit.
S’il y a des lendemains qui chantent, pour certains, il y en aura d’autres où on grincera des dents, peut-être pour les mêmes, qui sait.
Prenant pour acquis que le PQ reprendra le pouvoir, il sera toujours possible de recoller les pots cassés par les criminels et les traîtres au bien commun et reprendre possession de notre bien d’avant la trahison.
Même après le passage d’Attila l’herbe a repoussé, malgré ce qu’en dit la légende. C’est un passage douleureux dans les couloirs du temps que nous réserve ces criminels, mais rien n’est éternel, ni le bien, ni le mal. Pour le moment, le mal l’emporte. Il y aura une autre manche, et là, ce sera à nous de jouer. En garde!
Une solution pour dégriffer et édenter la famille Desmarais serait de lui retirer la possession de 70 % des médias. Qui contrôle l’information contrôle l’opinion. Lors de coup-d’états, les insurgés s’emparent des radios et télés en premier. Les journeaux viennent après. La famille Desmarais possède déjà tout cela. Nos dirigeants nous ont trahis, une fois de plus, en permettant cet état de chose. Au nom du droit de faire des affaires on a assisté à l’assassinat de notre droit de parole et de savoir : de la démocratie.
Nous sommes contrôlés par la ploutocratie et tant que nous n’élirons pas un parti politique qui travaille pour nous, nous resterons manipulés et bernés.
Ironie, Internet met à mal les moyens classiques de l’information. Le danger est que les outils pour contrôler Internet existent déjà. La Chine et la Corée du nord, ainsi que la Birmanie ont obtenu de Google ces instruments de contrôle d’Internet. Nous pouvons être sur la liste. C’est une question de temps. Profitons du temps qui nous reste, comme dit la chanson.
Je salue vos textes et votre indignation, Monsieur Gingras !
Ouep ! en garde, citoyens !
Merci beaucoup, Mme gauthier. Vous êtes toujours aussi aimable.
Cordialement.
Comme disait l’autre, avec la Caisse, les Québécois ont la plotte et la sacoche à terre!
Lecture édifiante pour Mme Teasdale et Cie : sur le site de Vigile.net, l’article en profondeur de Dennis Monière sur la récupération de l’Histoire du Canada par les fédéralistes, paru en 1998, mais toujours d’actualité, hélas.
Bonne lecture.
TOUTES LES NOUVELLES QU’ON VOUS CACHE – RIEN QUE LA VÉRITÉ
ÉCONOMIE
May, 2009- En braille seulement.
Les membres de la haute finance n’ont pas de préférence de principe à l’égard d’un régime économique ou social déterminé. Pour eux, il s’agit d’accroître leur profit. Ils l’ont fait dans le capitalisme des États-Unis, le communisme de l’Union soviétique, ainsi que dans le fascisme et le national-socialisme européens. La situation est la même aujourd’hui.
Washington a partiellement réussi à contraindre l’Union des Banques Suisses (UBS) à violer la législation helvétique et à dénoncer ses clients états-uniens susceptibles de frauder le fisc. Malgré les apparences, observe le sociologue Jean-Claude Paye, cette manœuvre ne vise pas à obtenir des informations, car Washington les détenait probablement déjà, mais à casser la place bancaire suisse. L’Empire tente d’éliminer par la force les « paradis fiscaux » qu’il ne contrôle pas, au profit des siens qu’il protège.
VOULEZ-Vous savoir de quoi il retourne; En êtes-vous bien certain?
http://www.zone-gnostik.org
«Pour les vaincus de 1759, l’échec de la contestation patriotique était grave de conséquences. La répression, le pillage, les incendies et les meurtres commis par les troupes britanniques allaient refouler pendant plus d’un siècle les espoirs d’émancipation nationale. Avec l’appui du clergé, le conquérant réussira à effacer des mémoires les idéaux d’indépendance, de démocratie et de république.»
http://www.vigile.net/L-histoire-d-une-emancipation
Autrement, aujourd’hui, l’histoire se répète. Il n’y a qu’à regarder ce qui se passe avec l’éclatement du Québec inc., la Caisse de Dépôt que l’on veut démenteler et tout ce pillage de nos biens communs. Tout cela pour empêcher le Québec de devenir un pays ?
Merci, Monsieur Gingras, pour cet article de Denis Monière. Il est bon de se rappeler.
…les BANQUES croyaient que c’était de l’AIR que les Humains voulaient, mais les banques ne sont pas HUMAINES, FULGURATOR lui, malgré les effets vus sentis qui pointent vers le contraire, c’est DU VENT QU’IL VA ÉCHANGER! Nue, j’allais dire NUAGE, mais c’est NUANCE, marci… Et, mais, mais nous savont tous que le VENT, à en croire certaines, chansons, ON SRA PRËTE À DONNER N,IMPORTE QUOI POUR UN PEU DE VENT, des fois. Sur ce FULGURATOR se sent aussi humains qu’eux. Beurk! Moé chra pas capab’
SUITE:
http://www.zone-gnostik.org
À moi de faire une suggestion de lecture, je vous préviens, il faut être fait fort pour ne pas s’enrager, une chose est certaine, vous serez indignés… Excellente critique de M. B-C.
Au sujet du livre de Alain Dubuc – À mes amis souverainistes
«Une désolante chasse à l’homme»
par Mathieu Bock-Côté
http://www.vigile.net/Alain-Dubuc-A-mes-amis
Vous êtes tous des idoles pour moi. J’adore lire vos commentaires. Il faut être réaliste, la souveraineté ne viendra pas avec tout ces gens tordus à moins que…le peuple attache sa tuque! J’ai toujours voulu contribuer à l’évolution de mon Québec mais qu’est-ce qu’un »tit cul » de 21ans comme moi peux faire fasse à toute cette complicité malsaine…lire.
Merci
@ Serge Gingras:
Vous dites: « Une solution pour dégriffer et édenter la famille Desmarais serait de lui retirer la possession de 70 % des médias. Qui contrôle l’information contrôle l’opinion. Lors de coup-d’états, les insurgés s’emparent des radios et télés en premier. »
Vous ne croyez pas qu’il faille faire quelque chose avant cela? Quand y aura-t-il un gouvernement qui aura l’audace de mettre fin à cette concentration de la presse? Ce n’est certainement pas le gouvernement libéral, dont Charest fait partie de la stratégie desmaraisienne. Et nous en avons pour 5 ans avec lui, a dit Charest.
Il faudra donc envisager autre chose, en attendant l’avènement d’un gouvernement indépendant et audacieux. . Des campagnes de désabonnement à ses journaux? Un envahissement des autres médias (surtout Internet, les lignes ouvertes, etc…) pour dénoncer l’emprise hégémonique de cette famille sur notre vie collective?
@ Mathieu Breton
Le peuple doit déjà attacher sa tuque avec ce qui se passe en ce moment.
Continue à lire, à discuter avec tes proches, tes amis. Et surtout, il faut convaincre toute le monde d’aller voter la prochaine fois. Et puis, tu verras bien avec le temps ce que tu peux faire pour ton Québec. Déjà que t’informer est un excellent départ.
Bye et au plaisir de te lire !
@ Mathieu Breton
Le peuple doit déjà attacher sa tuque avec ce qui se passe en ce moment.
Continue à lire, à discuter avec tes proches, tes amis. Et surtout, il faut convaincre toute le monde d’aller voter la prochaine fois. Et puis, tu verras bien avec le temps ce que tu peux faire pour ton Québec. Déjà que t’informer est un excellent départ.
Bye et au plaisir de te lire !
Et on ne rigole plus :
«Des médecins opposés au PPP du CHUM»
http://www.cyberpresse.ca/actualites/quebec-canada/sante/200903/09/01-834476-des-medecins-opposes-au-ppp-du-chum.php
Et Charest et « son groupe » continuent malgré tout…
Sur le même sujet des PPP:
«La Colombie-Britannique a eu le courage d’admettre que dans le contexte actuel, le mode PPP ne convenait plus à son projet. Et le gouvernement Charest ne veut même pas inclure ce scénario dans sa réflexion sur le CHUM? C’est inquiétant.»
http://www.cyberpresse.ca/opinions/editorialistes/ariane-krol/200903/08/01-834441-quel-ppp.php
Ceci n’est pas un conte de fée.
Il était une fois Jean, le petit fûté, qui vit venir au lointain une tempête soulevée par une ogresse vorace dit « la grosse caisse » et son époux, un ogre surnommé « grosse crise ».
Jean, le petit bouclé, demandât au bon peuple de le choisir à nouveau comme régent du royaume pour mieux protéger, selon lui, le peuple québécois contre « grosse crise » . Il ne parlât point de « grosse caisse » se disant qu’elle représentait un plus grand danger pour ses projets. Déjà s’attaquer à « grosse crise » semblait un pari improbable mais quel brave petit !!
Jean voulait surtout être régent une troisième fois, sachant que ça serait sa dernière chance. Le petit blondinet, savait que la « grosse caisse » serait un poids insupportable à traîner dans le présent et le futur. Et le bon peuple le consacrât à nouveau régent du royaume.
Lorsque la « grosse caisse » se présentât aux portes du château Jean se fit tout petit, tout petit. Lui qui voulait être seul au volant, se retrouva caché dans la valise de madame sacoche. Depuis ce temps, on n’a pas retrouvé Jean, surnommé » le menteur blond ». On raconte même dans les chaumières qu’il n’a plus le goût d’être régent. Il veux quitter son peuple pour se retrouver associé à la puissance (Power) ou bien parcourir le royaume fédéral afin d’y être nommé petit grand régent fédéral. On lui prête même des intentions de courtiser la belle princesse Michaëlle. Mais cela, c »est une autre histoire…
M. H. P. R a admit, entre 12:15 et 13:00h, qu’il était responsable mais pas coupable, parce que les règles du jeu ont été changées. Cela est vrai.
Maintenant, il semble que la meilleur chose à faire est lécher ses plaies et continuer comme si de rien n’était. Nous avons reçu une ou des torpilles, mais les compartiments étanches tiennent bon. Ce n’est pas le Titanic.
Donc, on ne dit pas en avant toute, mais on navigue avec précautions, sonards et radars aux aguets. Tout le monde sur le pont! Fermez les écoutilles et toutes sortes de choses comme ça. (sourire)
La suite après 14:00h.
Le PQ a laissé la famille Desmarais s’emparer des médias. On nous a trahit dans ce dossier. Un parti radical pourraît remettre les pendules à l’heure et redistribuer, de façon démocratique, les dépouilles de l’Empire Desmarais. Maintenant, qui voterait pour un parti radical?
Se désabonner est un solution qui devrait faire beaucoup de mal aux actionnaires. Cela devrait mettre quelques grains de sable dans l’engrenage. Ça ne fait jamais de bien.
On remarquera que le propriétaire du Journal de Montréal a fermé son journal parce que les rentrées des annonces automobiles avaient cessées. Le journal n’en était pas rendu à la mendicité, non, mais la source des revenus avait diminué. Grosses dépenses, petits revenus = gros problèmes éventuels.
Madame Gauthier,
Vous souscrivez a la thèse du complot Desmarais et vous citez ensuite deux sources de Gesca : cyberpresse.
Comment expliquez-vous cela ?
De plus, est-ce que je rêve mais quelqu’un vient-il de parler de coup d’état pour résoudre les problèmes politiques du Québec ?!
Franchement, la théorie du complot et du 70 % des médias détenus par Power Corp. Est farfelu et ne tient pas compte de l’ensemble des joueurs médiatiques au Québec.
Sans parler des sources d’infos hors Québec, accessibles en kioske ou sur internet.
Bref, tout ce que je vois ici c’est de la pub pour l’aut’journal, journal syndicaliste, de la pub pour un site web libertaire et de la propagande séparatiste qui ne fait pas plus sérieux que l’institut économique de Montréal.
Désolé.
Je suis nationaliste mais pas aveugle au point de verser dans le coup de force, l’endoctrinement $ des masses et l’anarchie a la sauce XIXe siècle qui nous rameneraient tous dans les Belles histoires des pays d’en haut…
La démocratie est vraiment mal en point au Québec et l’ADQ est encore un parti pertinent aujourd’hui quand je vois le départ de Dumont et le non sense nationaliste a la sauce altermondialiste.
L’appel a la lecture en passant par la théorie du complot n’aide en rien le PQ non plus.
@ M. Boudrias
Vous mettez en doute la véracité du renseignement sur le 70% de contrôle de la famille Desmarais sur le monde de l’information. Je ne demande qu’à vous croire. Selon vos sources, quel est le pourcentage de contrôle de cette famille sur cette industrie?
Déjà, dans les années 90, il y avait concentration de la presse, parlée ou écrite, entre les mains de quelques uns, et la famille Desmarais était mentionnée parmis les joueurs les plus possédants.
Ayez l’amabilité d’éclairer notre lanterne et de nous délivrer de notre complaisante ignorance. C’est un service à nous rendre.
La presse étrangère, voir uniquement canadienne, hors Québec, ne s’intéresse à nous que s’il y a matière à scandale. Le Québec est pour eux sans intérêts.
La presse étrangère s’occupe d’Asie, d’Afrique, leurs anciennes colonies ou d’Europe, leurs voisins. Le Québec n’est pas sur la carte, sauf catastrophe.
Cordialement
@ S. Boudrias
Les deux articles cités sont honnêtes. Reconnaissez-le ! Je fais une recherche sur le sujet, les meilleurs articles trouvés sont ceux que j’ai proposés, pour la meilleure info possible. Les auteurs sont bien documentés et non sous influence du boss, pas encore comme le sont les primadonna Pratte & Co…. Je ne suis pas fana…. Articles pertinents, je n’allais pas les ignorer sous prétexte qu’ils sont de Gesca, -vous auriez été le premier à me le reprocher je suppose- et c’est gratos… Gesca ne fait pas un sous avec moi…
J’ai lu aussi que Gesca (Desmarais) contrôle 70% de l’information au Québec. Cherchez et vous trouverez…
Je suis aussi souverainiste et pas aveugle, croyez moi ! Décevant !
Il existe le P.L.C au fédéral, le P.L.Q au Provinciale, et l’Institut Économique de Montréal qui ressemble étrangement a un genre de Parti Libéral Économique, le P.L.É, sauf qu’eux aussi ne joueront jamais « Fairplay » avec les souverainistes Québécois, pour eux aussi tout les moyens sont bons pour s’acaPPParer de nos biens communs comme Hydro-Québec, la Caisse de Dépot et de placements, le CHUM, le Mont-Orford, ils veulent toute privatiser ce qui est privatisable comme Bob Gratton.
Ils l’a méritent la garnotte sur la patate, ces conquistadors économiques du « Freak Control » qui collaborent avec nos bons conservateurs de l’ouest Canadien qui exploitent de sales sables Bitumineux, ceux et celles qui n’y croit pas ferait mieux d’observer les contours parfaits d’une partie de la Baie d’Hudson sur google earth pour réaliser qu’une telle garnotte nous est déjà rentré dans la patate
http://www.youtube.com/watch?v=yYgEwXWilUc
J’espère tout simplement que le Québec sera libre, le 20 décembre 2012, 24 heures avant, pour vivre au moins une journée dans ma vie dans mon pays et malgré cette monstrueuse pyramide du capitalisme qui s’effondre sous nos yeux, les dieux de la spéculation sont entrain de tombé eux aussi…
http://www.agoravox.fr/article.php3?id_article=52416
Juste pour rire
http://video.google.ca/videosearch?q=animator+vs+animation&hl=fr&emb=0&aq=f#
Un vrai jam Québécois et des photos d’ici,
http://video.google.ca/videosearch?q=animator+vs+animation&hl=fr&emb=0&aq=f#q=bazaralouis&hl=fr&emb=0
http://video.google.ca/videosearch?q=animator+vs+animation&hl=fr&emb=0&aq=f#q=bazaralouis&hl=fr&emb=0
L’empire Anglo-Saxons s’effondre avec fracas et nous sommes concerné en tant que nous aussi Nord Américains, tout les: Vincent Lacroix, Conrad Black, Bernard Madoff, et autres nouveaux venus.
http://www.ibtimes.com/articles/20090301/stanford-039davis-takes-5th-inbillion-fraud-probe.htm
En attendant que Paul Desmarais le plus grand fraudeur du Québec, depuis des décennies, soit lui aussi dans la même cellule que son bon ami Conrad Black…