C'est vraiment vendredi 13 pour la Caisse de dépôt et placement!
Michael Sabia devient PDG de la Caisse. Notre «bas de laine» est déjà passablement malmené. Avec Sabia, on se demande s'il ne sera pas carrément détricotté? (*)
À preuve: que ce soit dans les rangs de Québéc Inc, ou chez les leaders d'opinion, sa candidature est vue comme extrêmement controversée. Réagissant à chaud, Bernard Landry avance que c'est «une faute, qui s'approche de la provocation». Ajoutant: «même dans les rangs libéraux du Québec, ça ne sera pas bien accueilli!». Un point soulevé également dans l'article ci-haut sur Cyberpresse.
En effet. Après les pertes colossales de la Caisse et la confirmation qu'en 2007, elle n'investissait plus que 17% de ses actifs au Québec, on entend de plus en plus que des Libéraux de l'école bourassienne – certes fédéralistes, mais aussi nationalistes – ne le prennent pas. Cette façon de tourner le dos à la mission orginelle de la Caisse, confirmée par cette nomination, est sûre d'indisposer sérieusement jusque dans les rangs du PLQ.
On dirait bien que la métamorphose extrême de Jean Charest par ses conseillers l'an dernier en Robert Bourassa II a fondu comme neige dès que son gouvernement est redevenu majoritaire…
Quelles en seront à terme les conséquences pour le leadership de Jean Charest dans son propre parti? C'est à suivre.
En conférence de presse, M. Sabia vient d'ailleurs de confirmer son alignement parfait sur la position du gouvernement Charest quant à la mission de la Caisse (voir mon billet précédent «Depuis 2005!».
Ce M. Sabia dit? Que contribuer à l'économie du Québec passe par les rendements,«rester proches des entreprises» (?), une présence plus accrue encore sur les marchés mondiaux et former des gestionnaires (???).
Traduction: la Caisse ira jouer de plus en plus les avoirs des Québécois à l'extérieur du Québec et du Canada.
Quand on lui a demandé si 17% ds actifs de la Caisse investis au Québec, c'était suffisant? Il répond que ce n'est pas une «question de quantité»! Tenez, donc.
Et qu'il préfère les PME. Mais qu'il ne croit PAS que la Caisse peut ou doit aider des grandes entreprises québécoises à ne PAS passer sous contrôle étranger.
Surtout, son parcours n'a jamais trahi chez-lui un préjugé favorable aux intérêts économiques du Québec… LA question principale ici.
Bernard Landry rappelle que Sabia fut «l'artisan du transfert de BCE à Toronto». Rappelons aussi qu'il fut aussi formé en partie dans le sérail des conservateurs de Brian Mulroney à une époque où le premier ministre actuel du Québec faisait parti de ce même gouvernement. Un autre exemple des effets pervers de la cooptation.
Un vrai vendredi 13. Pour la Caisse. Et donc, pour les Québécois.
Un peu partout sur les sites où cette nouvelle apparaît, les réactions sont d'ailleurs massivement CONTRE cette nomination.
Si ça continue comme ça, on va quasiment s'ennuyer d'Henri-Paul Rousseau… Ce qui n'est vraiment pas peu dire.
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(*) Parlant de détricotter, il y a aussi ceux qui voudraient bien scinder la Caisse en plusieurs entités… «Trop grande» pour le Québec ou le Canada», selon M. Jarilowski. Et sa fortune? «Trop grande», elle aussi? Est-ce la théorie du «nés pour une p'tite Caisse»?
Quelles en seront à terme les conséquences pour le leadership de Jean Charest dans son propre parti ?
Quel Leadership ??!!
Cette manière de conduire les affaires publiques du Québec ressemble davantage à du leaderSHIT que du leaderSHIP.
Mais restons poli, surtout, Nathalie Normandeau pourrait nous traiter de Hamster !
mdr
Oui, madame, avec les PeLQuistes majoritaires, le Québec et les Québcécois tournent en rond dans leur cage !
Une cage dorée fédéraliste et canadienne, cela va s’en dire.
Ainsi, du castor, nous passons au hamster…
Quelle merveilleuse dévolution du pouvoir !
ABASOURDI!!!
Il n’y a pas d’autres mots pour s’exprimer…
« Quand j’ai vu la candidature de Mr.Sabia, j’ai été émerveillé » Ti-counne Tessier cet après-midi.
Déjà que lui, au départ, ce n’était pas reluisant, mais alors maintenant….
Je trouve que cette nomination pue à plein nez et j’espère qu’elle sera examinée de près.
Mr.Sabia a été parachuté à la vitesse grand V, en anglais on dit « railroadé » par un comité non qualifié.
On est dans le trouble pas à peu près, mais cela s’inscrit dans la continuité du gouvernement Charest.
Dans mon livre : The Entrepreneurship Manual, par Richad M.White Jr., il y est écrit :
« First rate people hire first class people while second rate people men hire third rate people.”, avec ça, on comp rend tout
EFFRAYANT!!!
Bye
Attendez de VOIR ce que Bolduc va faire cet été lorsque les salles d’urgence vont débordées, comme c’est le cas chaque année.
Non seulemennt vous allez vous ennuyer de Henri-Paul Rousseau, vous allez même être nostalgique du règne de Philippe Couillenor !
Tiens, une bonne idée inspirée du bon maire Labeaume : instauré le noWell des campeur dans le réseau des services de la Santé au Québec.
Tu organises un tirage dans les corridors d’hôpitaux et le gagnant de la tombola libérale organisée par Loto-Québec, sous la surveillance de la firme de comptable Léger et Léger, fait tirer une place en chirurgie !
On peut même vendre le concept à TVA pour sa propre version de médecin Académie.
Le concept ? Des médecins immigrants se voyant snobés par le Collège des Médecins cherchent à convaincre le Québec qu’ils sont capable de devenir médecin de famille dans la région de St-Glinglin en démontrant toute l’étendue de leurs capacités devant le public ébloui qui vote chaque semaine afin de sauver le permis de taxi de la plupart des participants.
Attendez, TQS et les frères Rémillard pourrait nous pondre un reality show intitulé Bof Story racontant les aventures du nouveau CA de la CDP aux prises avec les aléas de la crise et le harm’s lenght du gouvernement de Jean Charest. Exemple d’épreuves télégéniques possibles ? Compétition de mangeâge de sandwich pas de croûte aux HÉC de Montréal. Patinage politique et figures économiques imposées devant la Chambre de Commerce du Grand Montréal ou partie d’échecs avec la remplaçante de la ministre des Finances actuelles lors du prochain remaniement ministériel cosmétique au retour du congé estival… si le gouvernement réussi à être en congé d’ici là, au lieu d’être constamment en damage control situation comme en 2003 all over again derby.
Apportez vos chips écologique !
Désolé mais j’en ai marre d’entendre parler de la supposée métamorphose extrême de Jean Charest lorsqu’il s’est entouré des anciens « faiseux » d’image de Robert Bourassa. Jean Charest n’a toujours été que Jean Charest, avec ou sans couche de verni, avec ou sans émail, avec ou sans nouvelle coiffure, avec ou sans épinglette représentant notre fleur de lys sur sa veste. Dans quel monde vit-on? Depuis quand le maquillage et les habits transforme-t-il un diable de Tasmanie en chérubin inoffensif. Arrêtez-moi ça! Il n’y a qu’un seul John James Charest et c’est bien ainsi. L’individu ne se transforme pas au gré des saisons. Il est toujours lui-même, le politicien le plus néfaste pour le Québec, avec ou sans habit de clown. Bien sûr son étiquette se transforme mais le contenu ne change pas. Il faut être naïf à l’os pour croire que des « faiseux » d’image peuvent transformer un Jean Charest en être fréquentable. Comme dans l’annonce d’Épargne Placements Québec, le nom le dit. Les « faiseux » d’image « faisent » une nouvelle image, pas un nouveau cerveau ou une nouvelle personnalité. Les plus brillants « faiseux » de cerveaux du monde (toutes les sortes de psy) peuvent probablement transformer un génie en imbécile à force de lui faire subir des tortures mentales atroces mais jamais ils ne pourront transformer un imbécile en génie, s’il ne l’était pas à l’origine. John James Charest a toujours été et sera toujours le même politicien très médiocre pour notre plus grand malheur.
Quant à Michael Sabia, celui qui parle aussi bien français que Saku Koivu, sa nomination s’inscrit parfaitement bien dans l’oeuvre de démolition des acquis québécois depuis la révolution tranquille. Et les libéraux et tous leurs mandarins n’ont qu’un objectif simple, clair et précis en tête; détruire tout ce qui fait la fierté des québécois afin que les québécois perdent leur fierté et rentrent en rampant dans le Canada des fédéralistes purs et durs.
Que peut-on attendre d’autre d’un ontarien qui a occupé de nombreux postes de direction dans diverses grandes entreprises canadiennes et surtout de nombreux postes senior dans diverses sphères de la haute fonction publique fédérale? Va-t-il faire un peu de ménage à la CDP sans se sentir obligé de voir sa rémunération annuelle augmenter de 555% comme il l’a fait chez BCE?
Pourtant les bons candidats québécois pas trop gourmands ne manquent pas.
Confier le bas de laine des québécois à un ontarien c’est un coup bas, pas loin de la « laine » comme le dirait Saku Koivu s’il se mettait subitement à parler québécois.
http://blogues.cyberpresse.ca/lapresseaffaires/cousineau/?p=702
Sabia à la Caisse : pincez-moi quelqu’un !
Sophie Cousineau, LaPresseAffaires
commentaires (56)
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« Le problème (de la nomination de Sabia), c’est (sa) feuille de route (…) chez BCE. Pour que Teacher’s, qui n’est par reconnu comme un investisseur activiste et agressif, s’impatiente et brasse la cage, c’est que Bell allait vraiment nulle part. (…)
En plus, que connaît Michael Sabia à la gestion de fonds, au placement, à la gestion du risque ? Cet ancien MANDARIN DU GOUVERNEMENT FÉDÉRAL qui a fait carrière au Canadien National et chez BCE n’a jamais travaillé dans cette industrie, même de loin !
L’un de ses seuls atouts, c’est de connaître intimement le business de Quebecor, l’un des principaux placements de la Caisse. »
Question : si la CDP n’avait pas investit massivement dans l’acquisition de Vidérotron par Quebecor lorsque le cablôdistributeur était convoité activement par Rogers, qu’en serait-il d’un des seuls atouts de Sabia ET si jamais une autre opération de ce genre devait être réalisée par la CDP afin d’éviter le rachat d’un fleuron Québécois par des intérêts véritablement étrangers, que ferait le nouveau dirigeant de la Caisse ?
Constatation : quand c’est rendu que La Presse et l’une de ses journalistes indiquent clairement les origines fédéralistes d’une nomination du PLQ, c’est que Jean Charest a une drôle de vision de l’économie du Québec… ou bien ça sent la panique et la poule pas de tête à l’Assemblée Nationale.
Ainsi, après la girouette, les petits singes et le Hamster, il semblerait que nous ayons droit maintenant aux poules pas de têtes libérales !
La Cage aux Sports Nationaux offrent un spécial au Québec :
la chicken wings libérales en trio avec une commission parlementaire, le vérificateur générale et peut-être aussi une enquête indépendante avec ça ?
Indigestion garantie et argent non remis.
C’est le contribuable qui se fait payer la traite !
Pendant ce temps-là, Amir Khadir sert le poulet frit et les frites aux adéquistes dans le Salon Rouge en chantant le dernier slogan de St-Hubert, parole et musique Claude Dubois : « comme un million de gens »… (tu vas te faire avoir encore pendant quatre ans).
Non mais, il faut être colon en maudit, maintenant c’est en anglais
que la caisse seras dirigé, maudit que nous sommes colons.
Il faut accommoder le loup dans la bergerie nous le bon peuple.
Michael Sabia et la question des hauts salariés patronaux.
Fait saillant :
« On April 28, 2006, BCE announced that CEO Michael Sabia was taking a 555% pay increase, his salary being raised from $1.21 million CAD a year to $6.71 million CAD a year. The pay included a $1.25 million CAD salary, a $29.2 million CAD bonus that Sabia converted to deferred share units, a long-term incentive payout of $3 million CAD and other compensation, the filing shows. Bell Canada also posted record revenue increases for the previous fiscal year. »
Une hausse de salaire de 555 % !
C’est Claudette Carbonneau de la CSN qui va trouver ça drôle la prochaine fois qu’elle va siéger au conseil de surveillance de la caisse !
Et ce sont les employés contractuels ou à statut temporaire de l’État actuellement qui vont être ébloui par une conception aussi libérale de la bonification salariale…
Mais c’est vrai.
Le privé, c’est le privé.
Le public, c’est le bénévolat affairiste.
Non, HPR n’a pas touché 350 000 $ lors de son départ de la CDP en direction de l’entreprise de mécénat et d’entraide mondiale mise sur pied par Power Corp Desmarais.
Qu’est-ce que dit la nouvelle pub de la dernière berline en vogue que j’ai vu durant les nouvelles de TVA, déjà ?
Ah oui, le Contrôle, c’est le véritable Pouvoir.
À deux mains sur le volant de l’État Québécois, la classe affaire d’Air Canada inc. peut bien s’écrier en nageant dans le RedBull : « Le bas de laine Québécois, ça donne des ailes ! »
Mais même si la CDP donne des ailes, le parachute en or n’est pas une option, c’est offert sur n’importe quel véhicule de base fournit par le Trésor public Québécois…
Le Premier ministre annonce les membres canadiens du Conseil nord-américain de la compétitivité
13 juin 2006
Ottawa (Ontario)
http://pm.gc.ca/fra/media.asp?id=1200
– Devine qui vient diner, Michou ?
– Ah non, pas encore un voyage au restaurant, mon Johnny chéri !
– Attends, Michou, j’ai pas invité n’importe qui !
– Ah oui ?
– C’est Michael Sabia !
– Michael Quoi ?
– Laisse-faire, regarde bien ça, j’ai trouvé ça sur le web :
« Le Premier ministre Stephen Harper a annoncé aujourd’hui la nomination des représentants canadiens au Conseil nord-américain de la compétitivité, créé lors de la réunion des leaders nord-américains, à Cancún (Mexique), en mars 2006.
Voici les représentants canadiens: Dominic D’Alessandro (Financière Manuvie); Paul Desmarais Jr. (Power Corporation du Canada); David Ganong (Ganong Brothers Limited); Richard George (Suncor Energy Inc.); Hunter Harrison (Canadien National); Linda Hasenfratz (Société Linamar);
Michael Sabia (Entreprises Bell Canada Inc.);
Jim Shepherd (Société Canfor); Annette Verschuren (Home Dépôt); et Rick Waugh (Banque Scotia).
« Je suis ravi que ces individus à la feuille de route exceptionnelle aient accepté de partager leur vaste expertise du secteur privé afin de nous aider à concevoir et à mettre en œuvre des initiatives qui renforceront la compétitivité en Amérique du Nord », a déclaré le Premier ministre. »
– Qui est-ce qui fait partie du Conseil nord-américain de la complexité ?
– Pas « complexité », Michou, Com-pé-ti-ti-vi-té. Et devine qui apporte le vin, chérie ?
– Euh, si je t’ai bien écouté, Jean, notre bon ami Paul Desmarais Jr, alias mini pote du pouvoir ?
– En plein ça ! Taboulette, t’es hot, ma femme !
– Je suis mieux que ça, je connais par coeur son CV, tu veux l’entendre mon beau frisé d’amour qui est en chicane avec Stephen H. ?
– Envoye don’, je me sens en forme pour être à l’écoute, comme dirait Paul Maisonneuve lors de son excellente émission d’affaire publique.
– Ben voilà :
« Paul Desmarais Jr. est né à Sudbury (Ontario) en 1954. Il est titulaire d’un baccalauréat en commerce de l’Université McGill, et d’une maîtrise en administration des affaires de l’Institut européen d’administration des affaires, à Fontainebleau (France). Depuis 1996, il est président du conseil et co-chef de la direction de Power Corporation du Canada (PCC); il est président du comité exécutif de la Corporation Financière Power (CFP) depuis 2005.
Avant de se joindre à la PCC en 1981, M. Desmarais avait travaillé chez S.G. Warburg & Co. à Londres, puis chez Standard Brands Incorporated, à New York. Il a été président et chef de l’exploitation de la CFP de 1986 à 1989, puis président du conseil d’administration de 1990 à 2005.
M. Desmarais est également administrateur et membre du conseil de direction de nombreuses entreprises du groupe Power en Amérique du Nord, dont la Great-West Lifeco et la Financière IGM. De plus, il fait partie de plusieurs comités de direction d’entreprises européennes, notamment Pargesa Holding S.A. (Suisse), Imerys (France), Groupe Bruxelles Lambert (Belgique), Total S.A. et Suez (France).
M. Desmarais est président du bureau des gouverneurs du Forum économique international des Amériques, membre fondateur du comité consultatif international de l’École des hautes études commerciales, et membre fondateur du comité consultatif international de la Faculté d’administration de l’Université McGill. De plus, il est membre du Conseil international et membre du conseil d’administration de l’Institut européen d’administration des affaires. Il est également membre du comité consultatif international du groupe La Poste, en France.
En 2005, M. Desmarais a été nommé officier de l’Ordre du Canada et a reçu le prix du cadre de l’année de l’Academy of International Business. »
– Wow ! En voilà un qu’on aura pas à sauver de la misère au Québec malgré la TERRRRIBLE TEMPÊTE ÉCONOMIQUE qui frappe les pauvres électeurs qui ont voter pour moi et mon « Économie, à tribord, OUI ! » avec autant d’enthousiasme électoral, en novembre dernier…
– Ah, mon ti-Jean, c’est la rançon de la gloire…
– Arrête, chérie, je vais me mettre à chanter l’hymne national aux enfants !
– ok, je me tais et je te laisse savourer ton poulet…
« Michael J. Sabia s’est joint à la Compagnie des chemins de fer nationaux du Canada à titre de vice-président du développement des services en 1993 et a été nommé vice-président exécutif et directeur financier de l’entreprise en 1995. »
Rien de mieux qu’un ancien du CN pour remettre le Québec et son bas de laine sur la bonne track !
Apres l’incursion d’une petite entreprise de Toronto a la Caisse: CONVENTREE, qui nous a fait perdre des milliards (papier commercial non bancaire c est eux) voila que Toronto prend le contrôle complet de notre CAISSE.
Il y a urgence a reprendre en mains notre État de cette gagne d’affairistes du PLQ.
Le plan de saccage systématique de notre État se poursuit.
Bah !
Who care ?
Pourvu que le Canadian of Montreal fasse les séries !!!
Hey Ron ! Va falloir que le deuxième trio patine tabarn……ak.. pi que Koivu arrête de se pogner le c………l !
Sabia ? Cé qui sa ????
zzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzz !
Nous savons maintenant ce que voulais dire » avoir les deux mains sur le volant « ……………Ayoye !
Le Canada qui prend le contrôle du Québec par M. Charest et sa gang de très provinciaux full-canadians.
@ Réjean Asselin
En perdant contre l’une des pires équipes de la LNH avec Jesus Price dans le net, le CH a prouvé qu’il ne fera pas les séries et que le printemps risque d’être long pour le PLQ et le PC.
Comme dirait Jean Perron, c’est ça qu’y arrive quand on prend les messies pour des lanternes !
Dans le communiqué officiel annonçant la nomination de Michael Sabia à la tête de la Caisse de dépôt, on peut lire sous le titre « Engagement à l’égard de la société » [sic]:
« Michael Sabia contribue activement au développement de sa communauté. […] M. Sabia a aussi été membre du Conseil nord-américain sur la compétitivité de 2005 à 2008 et co-président de la campagne Centraide du grand Montréal en 2006. »
Mettre le Conseil nord-américain de la compétitivité sur le même pied que Centraide en termes d’engagement social, faut le faire! Quand on sait que le CNAC est une initiative découlant sur le Partenariat pour la sécurité et la prospérité [re-sic], visant à favoriser l’intégration continentale du Canada, des États-Unis et du Mexique en harmonisant (habituellement à la baisse) les règles et les normes douanières, sanitaires, alimentaires et des droits du travail de chacun de ces pays dans le but de libéraliser toujours plus le commerce!
Voici ce qu’on peut lire sur le site du Conseil des Canadiens, « le plus grand organisme citoyen du Canada » présidé par Maude Barlow, à propos du CNAC:
« Sa tâche? Établir les priorités du PSP et veiller à ce que l’intégration continentale se poursuive au travers des changements de gouvernement. Il n’y a pas d’autres groupes, pas plus la société civile que les syndicats, les organismes de justice sociale ou nos politiciens élus, qui profite d’un accès aussi exclusif aux leaders de l’Amérique du Nord ou qui joue un rôle clé comme le CNAC dans l’élaboration de la politique continentale. Son existence prouve à quel point le PSP penche en faveur des intérêts des entreprises. »
Source: http://www.canadians.org/francais/integration/documents/CNAC_0707.pdf
« Il s’agit d’un désistement politique inouï: des gouvernements élus créent, à l’insu du public, un lobby d’affaires pour les influencer. » (Jacques B. Gélinas, Dictionnaire critique de la globalisation, Écosociété, 2008)
Paul Desmarais Jr. fait aussi partie du CNAC. Bizarrement, lui et Sabia étaient deux tous deux absents lors de la rencontre du CNAC avec les trois « Amigos » au Sommet de Montebello en août 2007. Mais les « agents provocateurs » de la SQ, eux y étaient! (« Agents de la SQ pris en flagrant délit »», http://www.ledevoir.com/2009/03/14/239350.html)
En passant, il y un erreur dans le communiqué, puisque les membres du Conseil nord-américain de la compétitivité n’ont été nommés par Stephen Harper qu’en juin 2006 (http://pm.gc.ca/fra/media.asp?id=1200 )
Depuis lundi dernier le 09, on comprend que le parti libéral a lancé tous azimuts son plan de relations publiques dans le but de traverser The Perfect Storm. Jeudi dernier, ils nous ont très bien montré de quel bois ils se chauffent.
Après avoir refusé toute commission parlementaire où madame Jérôme-Forget prendrait la parole, elle a pris de court le PQ en annonçant le jeudi qu’il y en aurait une vendredi matin. Tout ça avec une bible dans les mains pour montrer qu’elle n’avait pas peur de dire la vérité. Qui aurait peur de dire la vérité sachant qu’elle ne dira rien.
Pour ceux qui s’intéressent au leadership et à la politique, j’ai fait mis en ligne une chronique sur mon blogue : CDPQ The Perfect Storm Analysis. http://g-m-l.blogspot.com/
Bonne lecture,
@ Line Bastrash:
Le lien entre Centraide et le CNAC est le pognon! Au CNAC sont concentrées les grosses poches ayant le pognon, qui le déversent ensuite, pour avoir bonne conscience, à Centraide!
Tout cela est fort simple. Le club des ti-namis.
Bonne journée! 😉
Mme Lachance,
Des « TI-Namis » il y en a toujours eu….
Aujourd’hui, avec JJ, c’est le « TSU-NAMI » des « TI-NAMIS »
Viva JJ! On est en bateau, « qui nous dit ».
Bye
AU SUIVANT…AU SUIVANT…
Passez a autre chose….
Le bas de laine des Québécois va se faire dilapider allègrement et rapidement avec ces incompétents qui sont au sommet de la pyramide, l’objectif est très simple et très clair, c’est que nous n’ayons jamais en main les outils nécessaires pour réaliser la souveraineté.
Nos $$$ et nos retraites, vont partir en fumée, adieu veaux, vaches, cochons, il est tout a fait normal que nous soyons dans la merde jusqu’au cou, nous sommes gouvernés par des Trous de C_, nous venons tout juste de le mettre en place aux dernières élections, ça veut dire que ça ne fait que commencer, tous des Bernard Madoff qui vont se graisser la patte sur notre dos, finalement. ça fait longtemps que nous sommes en récession et en dépression politique au Québec…
Faut-il vraiment se surprendre que l’incompétence soit rendu a de si haut niveaux, ici, regarder les PDG Américains qui s’octroient de généreux bonus, malgré le fait qu’ils aient sacré le pays en faillite, la loi de Peter a son meilleur, dommage que la guillotine ne soit plus en vogue…
J’ai toujours dit que (tout ce qui est libéral est sale)aujourd’hui j’en ai la preuve.Je pense aussi que si le parti libéral ne met pas Jean Charest à la porte bientôt ils vont se retrouvez comme les conservateurs(2)au prochaine élection
M Sabia a-t-il participé au « Conseil pour l’unité canadienne » ?
@ R. St-Arnaud à votre question: OUI
«Le trafic d’influence des anciens du gouvernement fédéral est a son paroxysme dans les institutions du gouvernement du Québec. De Daniel Gagnier à Londres qui a été un des artisans du rapatriment de la constitution en 1982 et qui avec Charles Guité a été à l’origine du premier programme des commandites pour proumouvoir la nouvelle constitution. En deux ans, ils ont englouti près de 100 millions avec le CUC dans des festivals et autres organisations pour promouvoir l’unité canadienne Messieurs Michael Sabia et Paul Tellier arrivaient au début des années 1980 et ont été des acteurs importants au conseil privé à Ottawa pour avaliser les procédures des dépenses.
En 1984, Monsieur Jean Charest arrive à Ottawa et pendant les années des accords du lac Meech , il siège au CUC em 1990 et Monsieur Sabia est toujours au conseil privé au première loge jusqu’a 1993.
Maintenant l’on retrouve toutes ses personnes dans les rouages de l’état Power Québec. »
http://www.ledevoir.com/2009/03/14/commentaires/0903141000964.html
Voir sur Google sur le même sujet, vous serez édifiée… ; (
tapez: Michael Sabia Conseil unité canadienne
M. Sabia n ‘aura peut etre pas le choix de ne pas bien faire …l économie s en chargera. La contruction de maisons a fait in bond de 22% le mois passé aux USAs .
.
L’empire capitaliste vacille avec ses plaques tectoniques de l’économie qui ont été violemment secoués par ces requins de la finance et de la propagande, ici aussi on patauge dans le cambouis, le Québec se fait détroussé par ces fins stratèges et ces incompétents de première classe au sommet de la pyramide. ils se défilent toujours quand vient l’heure de dire la vérité, de petites marionnettes pour les grands décideurs, les pions du jeu d’échec « Canadian » sont nombreux et très féroce,
Mais l’heure de la fin de la récréation à enfin sonné…
http://www.la-chronique-agora.com/articles/20090212-1569.html
@ Louise Teasdale
Une construction de maisons en hausse de 22% avec un taux de chômage à 12%, ça risque de créer des squats.
Ce n’est pas le savoir faire de Michael Sabbia qui est en cause, quoique certains le pensent, mais l’usage qu’il en fera.
Ses liens avec les chapelles d’initiés qui décident de l’orientation de l’économie entre chefs d’entreprises et technocrates, de façon informelle, lors de discussions à huis-clos, loin du regard des médias, des parlementaires et de la population en font le commis désigné pour opérer la privatisation de la sphère politique. C’est un «coup d’État» à peine voilé des élites économiques pour contrôler les politiques publiques.
C’est aussi le pillage de notre outil de développement qui passe aux mains de ceux qui détiennent le pouvoir réel au Québec : le milieu des affaires qui n’est imputable qu’à ses propres intérêts.
Les Québécois ont donné la majorité politique à un eunuque.
Ai-je bien entendu Jean Charest ce soir au Téléjournal lorsque Patrice Roy lui a demandé de commenter la nomination de Michael Sabia ? Celui qui , depuis décembre, est le seul à avoir «les deux mains sur le volant» a-t-il sérieusement demandé qu’on cesse de politiser la question ?
Hello ! M. Charest ! Qui donc a politisé cette nomination ?
C’est dans la vraie nature de Jean Charest de prendre la population pour des cruches.
Lors de sa comparution hier à l'étude des crédits du ministère des Finances, en réponse à une question