Croyez-vous que Thomas Mulcair – le populaire député néo-démocrate d'Outremont -, est aujourd'hui mort de rire?
Mort de rire en voyant que même si Michael Ignatieff vient de «trancher» contre Martin Cauchon, cette chicane prise au PLC entre Denis Coderre et Martin Cauchon risque de laisser des traces dans l'organisation du comté?
Bref, mort de rire en constatant qu'il reste encore quelque chose de la guerre des clans Chrétien-Martin?
Michael Ignatieff étant du sérail Martin, et Cauchon étant du sérail Chrétien? (Quant à M. Coderre: oui, Jean Chrétien l'a recruté, mais il est surtout devenu un fidèle inconditionnel d'Iggy et est d'ailleurs son «lieutenant» au Québec.)
Bien sûr, on nous dit que les «gens» du chef libéral auraient approché M. Cauchon il y a de cela quelques mois. Mais l'important est, qu'en bout de piste, il a tranché contre sa candidature.
À Toronto, M. Ignatieff a donné comme raison qu'il voulait des candidatures «féminines»….
Jolie intention, seulement si cela était vraiment le cas… Car, comme le rappelait le journaliste Maurice Godin sur les ondes de Radio-Canada, le fait est que le chef libéral a déjà dit non à quelques bonnes candidatures féminines. Et se préparerait même à tenter de dégommer quelques députées actuelles…
Et, peut-être que M. Mulcair est également mort de rire en voyant le chef libéral dire non à un candidat aguerri au bénéfice d'une néophyte?…
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Et parlant de guerre des clans, même larvée, où est donc passé Stéphane Dion – le prédécesseur de M. Ignatieff et disciple de Jean Chrétien?
Avis de recherche!
On le voit parfois, triste et discret, dans une réunion de caucus. De quoi à se demander s'il se représentera dans son comté. Mais il semble bien qu'il le souhaiterait.
On sait qu'il fait un très bon travail dans son comté et pour ses citoyens.
Mais serait-ce aussi, ne serait-ce qu'un peu, parce que la victoire d'Ignatieff à une éventuelle élection fédérale est loin d'être acquise? Du moins, pour le moment.
Et que, si jamais Stephen Harper gagne aussi la prochaine – surtout s'il obtenait une majorité -, il est possible que Michael Ignatieff, déjà dans la soixantaine et éternel voyageur devant Dieu et les hommes, ne s'éterniserait pas nécessairement à la tête du PLC?
Pas que Stéphane Dion redeviendrait chef…. Impossible de même penser qu'il y penserait…
Mais une fois son adversaire parti vers d'autres cieux – si tel devenait le cas -, disons que de rester au PLC deviendrait peut-être un peu plus confortable pour M. Dion….
Et si je dis «adversaire», c'est qu'on n'aura jamais vu, je crois, dans quelque parti que ce soit, un chef ignorer autant son prédécesseur alors que ce dernier est encore député…. Pour le dire poliment…
Bref, Michael Ignatieff n'est PAS Robert Bourassa et Stéphane Dion n'est pas Claude Ryan…
Et disons aussi que la rumeur circulant à l'effet que le clan Ignatieff et son lieutenant québécois ne détesteraient pas non plus se débarasser enfin de M. Dion, ça pourrait jouer dur.
Lorsque Jean Chrétien avait quitté, le clan Martin avait tout fait pour tenter de «convaincre» M. Dion de tirer sa révérene dans son comté. Mais ce dernier avait tenu bon.
Reste maintenant à voir ce qui se passera cette fois-ci…
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Voici d'ailleurs ce qu'en rapportait Le Devoir, à sa une, le lendemain de ce billet:
http://www.ledevoir.com/2009/09/22/268085.html
Donc, en effet. il semble bien que le clan Ignatieff et Denis Coderre ont leur ancien chef dans leur mire.
Comme disait Jacques Parizeau: «la politique est un sport violent»…
Mais soit dit entre vous et moi, s'il était vrai que M. Coderre continue d'avoir des ambitions de diriger le PLC, un jour, et donc, peut-être de devenir premier ministre du Canada, quelqu'un, quelque part, ne serait-ce que par amitié…, devrait lui expliquer que:
Primo: l'homme a ni le «contenu», ni le «contenant» pour un tel poste.
Secundo: l'homme est en fait peu connu à l'extérieur du Québec – hormis chez les journalistes politiques.
Tertio: si jamais le PLC échoue dans sa quête du pouvoir avec un Michael Ignatieff, on imagine mal comment le natural governing party du Canada pourrait ensuite se «contenter» d'un Denis Coderre…
Monsieur Dion doit rire aux larmes ce matin. Iggy a fait un discours ‘aToronto aujourd’hui et n a pas été applaudit a part quelques un du bouts des doigts.
il a dit tout simplement..
Elect me and i will come out wirth a program !!!
Toronto la rouge rit jaune ces jours-ci.
Qui s’intéresse vraiment à ce que devient Stéphane Dion ?
À part quelques journalistes et caricaturistes en manque de tête de turc !
Pour ma part, c’est un dossier classé.
Il est retourné dans sa tour d’ivoire universitaire qu’il a immédiatement déserté pour un sabbatique.
Est-ce que M. Dion est en train de réfléchir dans le but, encore inavoué, de devenir full-séparatiste québécois pour se venger des full-fédéralistes qui l’ont laissé tomber comme chef nègre blanc en écorchant son gros ego ? Why not parbleu ?
Mais pourquoi donc nous parler de Stéphane Dion, tout à coup?
Y aurait-il anguille sous roche?
Ou, il est parti prendre son Bovril, son bo, bo, bo, son bo bo bo, son bo bo bo…Bovril…au poulet.
Aussi bien demander ou sont Paul Martin, Preston Manning, Stockwell Day, Audrey McGlauglin, André Boisclair, Bernard Landry , Daniel Johnson et tous les ex leaders de partis ?
Who cares ?
Qu’est devenu Stéphane Dion ?
On pourrait résumer rapidement en disant qu’il est passé du Plan Vert au statut de plante verte.
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Cela étant dit, je reçois à la fois L’actualite et le Maclean’s à la maison et j’ai eu le plaisir de comparer les derniers numéros un détail m’a fait sourire.
Ainsi, le numéro francophone du 1er octobre me montre en page couverture le chef du PLC souriant avec le gros titre « LE COUP DE POKER D’IGNATIEFF » ; alors que dans la version anglophone du groupe de presse Rogers communication, en date du 28 septembre, nous avons droit à la baboune de figurines Playschool de notre vénérable PM Stephen Harper avec le gros titre « HARPER’S BIG GAMBLE ».
Ma question ?
Pourquoi est-ce que les joueurs de la NFL gagnent aussi souvent à « Dancing with the star » ?
Non, sérieusement, est-ce que les citoyens canadiens doivent miser sur un cheval ou voter pour des hommes de principes qui ont une vision claire et réaliste de notre avenir commun ?
En tous cas, au bout de la ligne, si je mise sur le mauvais « joueur », le citoyen perd sa chemise et le politicien professionnel déchire la sienne en promettant de faire le contraire de son opposant alors qu’il poursuivra les mêmes rituels ridiculement partisans lorsqu’il sera en position de relancer la partie de cartes électorales.
Super.
Tilt Poker.com devrait commanditer le prochain scrutin canadien et ainsi nous faire économiser 300 millions de dollars en nous présentant la politique du pays telle qu’elle est en ce moment : the color of the winning party is the same who has « The color of money ».
Suggestion de titre pour un documentaire sur la politique canadienne ?
The Hustlers.
Mr Lepine 20.26 ou est Stok Day…vous ne lisez pas les journaux????
@ monsieur David Lépine
Ce que devient Paul Martin, j’aimerais bien le savoir, moi.
Ce que Preston Manning fait pour Stephen Harper, il est aussi très utile de le savoir également.
Mais, surtout, ce qui fait de la question de madame Legault une question très pertinente, c’est le fait que, contrairement a tous les anciens chefs que vous avez nommés, Stéphane Dion fait toujours partie de la députation de Michael Ignatieff et que Dion avait un rôle majeur dans le parti il n’y a pas un an de cela.
Et c’est loin d’être innocent et cela en dit long sur la solidité du soutien que son Plan Vert et son goût pour la coalition avec le NPD et le pacte de non-agression avec les Verts n’était pas très bien vu au sein du PLC.
Le Canada a bien changé dans sa mentalité mais le PLC, lui, a-t-il vraiment compris ce political shift ?
Disons que cela augure bien pour le PC jusqu’ici et que le NPD est un peu fourré dans ses crosses même si Mulcair se réjouit peut-être de la désorganisation du PLC dans son comté.
Bref, votre « who cares ? », je ne le partage guère, au contraire !
Désolé.
Ah oui, c’est vrai ! J’oubliais. Stockwell Day fait partie du gouvernement actuel…
Dion travaille comme un bon intellectuel avec le fils d’un autre intellectuel, et d’autres, à poursuivre dans les couloirs d’un Parlement ce rêve donné pour mort d’un État multinational pancanadien.
Quand un député fédéral dit « je suis nationaliste québécois » en pleine campagne électoral fédérale, il ne peut plus occuper le haut du pavé d’une colline parlementaire située sur un ex-Haut-Canada. Cela tombe sous le sens, le gros bon sens.
Dion est peut-être aussi en train de concocter un plan de riposte aux Russes qui viennent lorgner du côté de la Mer de Beaufort et de l’Île Banks avec l’aval d’un chef aux aïeux russes.
Pendant ce temps, du côté d’un parti anti-libéral, Harper continue de ne pas lire les livres de Dostoïevsky, Tolstoï, Nabokov etc que lui envoient un Yann Martel … qui fait vraiment bailler tout le monde avec son idéalisme de mondialiste post-monothéiste.
» Y aurait-il anguille sous roche? » (M. Perrier)
Hmmm… aiguille sous ROC je dirais.
« Tu es Pierre et sur cette pierre … » disions-nous.
À M. Lépine qui écrit : «Aussi bien demander ou sont Paul Martin, Preston Manning, Stockwell Day, Audrey McGlauglin, André Boisclair, Bernard Landry , Daniel Johnson et tous les ex leaders de partis ? Who cares ? »
We care. On ne LUI souhaite as de mal mais on aime ça quand il en a un peu, ce bitch masculin, grand pourfendeur de séparatissss comme Chrétien et Trudeau, ses adorés prédécesseurs, possesseurs de LA vérité, chargés par le ROC de rabaisser les Québécois dont plusieurs les ont vus comme des sauveurs. Allô !.
OK OK Stockwell Day passe tellement inaperçu que j’avais oublié qu’il était ministre fédéral de …aidez-moi svp, quand je pense à lui c »est de cette image de lui vêtu en néoprene sur un seadoo… pas fort non?
The big picture: La fin du Canada de Trudeau
Durant son court passage à la direction du PLC, Stéphanne Dion, aura mis deux fois plutôt qu’une, l’unité du pays en question: Le Tournant vert et l’offre de coalition avec l’appui du Bloc. Deux propositions qui auraient braqué l’Ouest jusqu’à la rupture. Pas mal pour un grand pourfendeur de séparatistes qui avait pris la direction de son parti grâce à une brillante manœuvre de Justin Trudeau, lequel avait rallié le candidat Kennedy juste à temps pour la photo finish de cette course.
Dion qui incarne cette vision trudeauiste d’un pouvoir centrale fort qui impose sa volonté aux provinces est un danger publique pour l’unité canadienne. C’est ce qu’Ignatieff a compris.Son discours dans l’Ouest marque la fin du Canada de Trudeau. Pas étonnant qu’il veule se débarasser des reliquats que sont les héritiers de la pensée politique de P.E.Trudeau.
Mais qu’en pense Justin ? Il attend son heure, qui viendra après la prochaine élection ou Ignatieff se fera laminer. Est il prêt à assumer l’héritage de son père et mettre les provinces de l’Ouest à leurs places ? C’est la question que je lui ai posé lors de la dernière campagne électorale. Après hésitation il a répondu Monsieur, je suis un Trudeau.
Enfin le Canada de Trudeau n’est peut être pas fini, mais si Justin veut le faire revivre ce sera au prix de l’éclatement du Canada.
M. Pomerleau, je ne crois pas que M. Dion ait voulu aider les vilains séparatissss avec les 2 actions que vous soulignez. Il a été simplement malhabile, les 2 pieds dans le même plat centralisateur canadien.
M. L épine, Stock Day est probablement le ministre le plus admiré du cabinet Harper. Demandez a Mme Legault . Les médias qui n aiment pas les conservateurs vous diront qu il fait un travail superbe.
ps je l ai rencontré en train de faire le marché avec sa femme le mois dernier. Un gentilhomme.
Monsieur Pomerleau, vous semblez bien comprendre que le Trudeau fils est plus dangereux que son père pour une sain(t)e unité du Canada. Il fait effectivement un peu trop dans l’habile stratégie calculée. Il le fait d’autant bien que tous ces apolitiques anhistoriques parmi nous le pensent imbécile et fils-à-papa. On entend déjà leurs lamentations au loin quand le Trudeau fils montera en grade. Rappelons que Trudeau fils est député à Ottawa à un âge plus jeune que son père.
Monsieur Bousquet, il manque affreusement de séparatistes canadiens parmi nous face à des USA anti-séparatiste. Ne devriez-vous pas joindre le côté obs… heu lumineux de la force ?
L’ex-professeur de philosophie Ignatieff connaît bien les USA notre voisin. Ces nationalistes québécois devraient à se mettre à l’étude des connaissances d’Ignatieff au lieu de chiâler contre lui…
On devrait peut-être commencer à songer à mettre la photo de Stéphane sur nos « pintes » de lait. Mais dans le fond qui a vraiment envie de le retrouver?
Pour le reste la guerre des clans à l’intérieur du PLC n’est pas un phénomène exceptionnel. Des guerres des clans il y en a dans presque tous les partis et cela est tout à fait normal. Il y a une guerre des clans au sein de l’ADQ, même si le parti est à l’agonie. Le PQ est en perpétuelle guerre des clans. Québec Solidaire est dirigé simultanément par deux clans. La guerre est reportée au moment où ce parti aura 3 députés et plus. Puis il y a les groupuscules qui se forment autour d’un gourou et qui ne peuvent ainsi compter qu’un seul clan. Sur la scène québécoise il y a enfin le PLQ qui n’a qu’un seul clan formé autour d’un chef qui a été importé d’un autre parti et d’un autre pays, tellement le vide au niveau du leadership potentiel dans ce parti était absolu. Il ne peut pas y avoir plus d’un clan dans ce parti puisqu’il n’y a aucun autre chef potentiel depuis le départ de Robert Bourassa. Après Charest c’est le néant.
Au fédéral personne n’osera contester le leadership de Gilles Duceppe. Il est beaucoup plus populaire que son parti. Personne non plus ne s’opposera à Jack Layton. Qui a envie d’être chef d’un parti qui voudrait bien gouverner mais qui ne gouvernera jamais? Le PLC est encore un grand parti qui peut aspirer à gouverner. C’est donc normal qu’il y ait une guerre des clans. Il y a même une guerre des clans au Parti Conservateur. Elle n’est pas très apparente parce que les anciens mulronistes sont tenus à l’écart par le très contrôlant Stephen Harper. Remarquez que c’est la population canadienne qui a mis le clan mulroniste à l’écart du Parti Conservateur en élisant seulement deux députés conservateurs issus de ce clan en 1993. D’ailleurs le PCC est formé de deux clans. Le faible clan du Parti Conservateur et le clan de l’Alliance Canadienne de Stephen Harper.
Il m’apparaît donc normal que le PLC ait aussi ses clans et que le clan dominant cherche à imposer ses vues, ses choix et ses candidats. Et il n’y a pas beaucoup d’anciens chefs ayant perdu une élection générale qui gardent une place de choix dans le parti de son successeur. Je crois d’ailleurs que Stéphane Dion regagnerait un peu de noblesse et de crédibilité en retournant enseigner à l’université jusqu’à sa retraite, comme son papa. La politique active ce n’est pas pour tout le monde.
« Hegel fait quelque part cette remarque que tous les grands événements et personnages historiques (moyens et même petits à l’échelle du monde, il va sans dire), se répètent pour ainsi dire une deuxième fois. Il a oublié d’ajouter : la première fois comme tragédie, la seconde fois comme farce »…
@ M. Audet
Bonne idée ! À chaque fois que l’Histoire paraît emprunter un terrain glissant, nous ne devrions pas hésiter à citer ou paraphraser un ou plusieurs penseurs en philosophie de l’histoire pour remettre celle-ci sur un droit chemin, ou au moins plus sûr, sûr étant le plus pacifiste possible.
Hegel oui mais Vico, Voltaire et Herder ausssi.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Philosophie_de_l'histoire
Cela dit, si la relation entre Dion fils et Dion père dans notre histoire m’apparaît personnellement moins claire, celle entre Trudeau fils et Trudeau père me paraît plus claire … enfin presque ! car Trudeau père pouvait être tout autant tragique que farceur ! » Désinvolte et comédien ! » disait-on du premier il me semble. Certains emploient les mêmes qualificatifs pour l’autre.
L’histoire se répète souvent c’est vrai : elle répète ses scènes primitives, elle répète ses tragédies, elle répète ses guerres, elle répète pis se répète souvent c’est vrai mais Ti-PET n’est pas encore tout à fait Grand-PET … comme toute Fille n’est pas le portrait craché de sa Mère !
Ok à go on passe à go en passant du Poisson au Verseau …
Les libéraux fédéraux sont pitoyables. Ils déchirent leurs chemises après le vote de confiance de la semaine dernière en oubliant trop facilement qu’ils ont joué ce jeu là à leur convenance. Des hypocrites qui nous prennent pour des imbéciles de première classe.
Quand à M. Dion… humm! il devrait avoir le courage de disparaître pendant un certain temps. Il est évident pour tous qu’il est personna non grata dans son propre parti. On a qu’à se rappeler le soir de la défaite où il a quitté la salle accompagné de quelques fidèles seulement. Depuis, c’est silence radio.
M. Dion aurait dû écouter les conseils de son père, esprit brillant, qui lui avait déconseillé, déjà, de ne pas se lancer en politique, car les penseurs s’y cassent trop facilement la gueule, comme on a vu. Il est bon de tuer le père, psychologiquement parlant, mais on ne doit pas l’enterrer au point d’oublier ses sages conseils.
Dans le cas Trudeau, on peut dire, avec regrets, avec craintes : Tel père tel fils. Dans le cas Dion, c’est avec regrets, uniquement. Le père était une lumière, le fils… Une lueur en politique? M. Dion est un homme brillant, dans l’enseignement, mais en politique il était autant à sa place qu’un cube dans un cercle. Erreur de rôle. M. Dion, comme M. Martin, étaient d’excellents joueurs dans les rôles seconds. M. Martin a été un ministre des finances hors pair, sous la gouverne de M. Chrétien. M. Dion était très populaire comme ministre de l’environnement, sauf en Alberta probablement… Comme chefs, tous les deux ont atteint leur seuil d’incompétence. Nous en avons tous.
Puisse M. Dion retomber sur ses pates, un jour, et contribuer à l’éducation de nos jeunes. 🙂
Amen!
@mme Teasdale,
Oui je veux bien que M. Day soit très gentil et tout ce que vous voulez, mais il est ministre de quoi au juste ? Qu’a-t-il contribué ?
Peut-être que j’ignore quelque chose d’important, mais Joe Clark a déjà été premier ministre pendant un quart d’heure pour ensuite devenir ministre des affaires étrangères, je crois, alors qu’il avait la facheuse habitude de perdre ses valises dans les aéroports.