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Traduction: gros intérêts, grosse machine.
Ou, en version à peine plus cynique: les Fabulous Fourteen peuvent dormir tranquilles pendant que notre porte-monnaie collectif risque fort de continuer à se faire piller allègrement.
Dans la mesure, bien sûr, où les dits Fab 14 apprennent à «raffiner» leurs méthodes…
Quant à une commission d'enquête publique? Kiss it goodbye!
Vendredi matin, à l'émission de Christiane Charette, j'avançais d'ailleurs l'hypothèse selon laquelle les résultats de l'élection à Montréal décideraient de la tenue, ou non, d'une telle enquête. Dans la mesure où seulement si Gérald Tremblay perdait, la pression deviendrait telle que le gouvernement Charest n'aurait d'autre choix que d'en tenir une. Mais que si le maire Tremblay était reconduit, ce serait complètement autre chose…
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Et, en effet, maintenant que le maire sortant est reconduit, pour calmer la galerie, le ministre des Affaires municipales promet de «légiférer» pour «assainir» le milieu municipal.
Le problème ici étant – et quitte à me répéter – que la classe politique actuelle a fait amplement la démonstration qu'elle fait nettement plus partie du problème que de la solution.
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Bref, pour les prochains quatre ans, on oublie le grand nettoyage pour se contenter d'un léger époussetage…
Eh, Tony! T'aurais pas un petit plumeau, par hasard?
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Une autre «victoire morale»
Les mathématiques étant ce qu'elles sont, Louise Harel déclarait ce soir que «les deux tiers des électeurs ont refusé le statu quo».
En effet.
Mais le problème pour ceux et celles souhaitant un vrai changement de gouvernance et de moeurs à l'Hôtel de ville est aussi que la division de ces mêmes «deux tiers» aura permis au tiers restant de conserver le pouvoir.
Tenez, comme à la Chambre des communes…
En passant, la déclaration de Mme Harel rappelait étrangement celle de son ancien collègue André Boisclair qui, alors chef du PQ au lendemain des élections de 2007, se «consolait» lui aussi publiquement en déclarant ceci: «les deux tiers des députés de l'Assemblée nationale ou presque (…) rejettent le statu quo constitutionnel». Ouais…
C'est bien beau les «victoires morales». Mais autant en 2007 au provincial qu'en 2009 à Montréal, le fait est que le «tiers» restant et tous ses réseaux demeurent quant à lui au pouvoir.
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Quelles qu'en furent les circonstances, en s'associant avec un Benoît Labonté plutôt qu'un Richard Bergeron, Mme Harel aura aussi commis ce que j'appellerais l'«erreur péquiste classique» – soit préférer de ne pas s'associer avec des gens perçus à tort ou à raison comme étant plus «extrêmes» par peur viscérale de ne pas être vu alors comme étant suffisamment mainstream…
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Maintenant que M. Tremblay a gagné – et que Mme Harel reste ou non en politique municipale – les prochains mois et les prochaines années diront si face à cette victoire d'Union Montréal, Vision Montréal et Projet Montréal sauront tout de même trouver le moyen d'unir leurs forces.
Vous dites :
» Mais le problème pour ceux et celles souhaitant un vrai changement de gouvernance et de moeurs à l’Hôtel de ville est aussi que la division de ces mêmes «deux tiers» aura permis au tiers restant de conserver le pouvoir. »
Je vous réponds :
Élections : « Pièges à cons ».
Ce n’est pas juste d’une commission d’enquête que nous avons besoin, mais d’une véritable réforme du système démocratique et électoral.
Charest détient le pouvoir avec 24% du vote éligible.
Nous ne sommes pas en démocratie, mais dans une démocratie approximative où les véritables tendances et mouvements de société ne sont pas représentés.
Il y a « DES LUSTRES » que nous luttons pour une meilleure démocratie dans la gauche. – Et tout à coup ! – On se réveille ! ..pour accuser Québec Solidaire ou Projet Montréal de diviser les votes…
Mon cul oui…
– Mais où étaient donc tous ces accusateurs quand ils profitaient allègrement de telles distorsions ??
Puis vous dites…
(..) en s’associant avec un Benoît Labonté plutôt qu’un Richard Bergeron, Mme Harel aura aussi commis ce que j’appellerais l’«erreur péquiste classique» – soit préférer de ne pas s’associer avec des gens perçus à tort ou à raison comme étant plus «extrêmes» par peur viscérale de ne pas être vu alors comme étant suffisamment mainstream (..)
Je vous réponds :
– Vous n’avez jamais si bien dit !
Et ce n’est pas d’aujourd’hui que nous sommes victimes du conservatisme et du manque d’audace des membres du PQ.
Mais pour ne pas quitter sur une note trop pessimiste…
Je vous dirai que pour nous opposer et revendiquer…
Il nous restera toujours « LA RUE ».
Et il est à peu près temps que les gens commencent à comprendre que la démocratie, c’est autre chose que de planté son coupon dans la boite aux 4 ans.
.
La réalité objective c’est qu’il n y a pas maintenant d’élection à deux tours ou pas de proportionnelle mixte dans notre système électoral. A partir de cela, objectivement, Q.S ou P.M font le jeu du PLQ ou dans le cas présent de celui d’Union Montréal de Tremblay. Même La Presse accuse Bergeron d’avoir fait le jeu de Tremblay. C’est patent que les 26% de Bergeron ont divisés le vote largement francophone d’opposition à Tremblay. Les Asselin, Bousquet, S.R.Tremblay et autres qui s’expriment ici et qui vont s’exprimer feront le même constat. Ne nous prenez pas pour des cons, Montmarquette.
Ce n’est pas parce que ce régime ressemble à celui d’une douce dictature parlementaire que la solution se trouve dans l’abstention ou dans celle de la division des forces d’opposition. Il est vrai que le libéralisme confond la démocratie authentique avec une élection limité seulement à tous les 4 ans sans référendums sectoriels et autres consultations populaires. Mais là à Montréal, nous devrons attendre que Bergeron améliore ses qualités d’ici 4 ans afin de voir Montréal débarrassé de la corruption. Tremblay est majoritaire à moins d’une tutelle improbable, il sera là pour un bout de temps. Moi, je ne ris pas.
(….) Ses deux principaux adversaires, Louise Harel et Richard Bergeron, ont amassé près de 60% des voix. S’ils avaient formé une alliance, Gérald Tremblay ne serait plus qu’un mauvais souvenir. Mais Richard Bergeron a écouté son ego. Lorsque Louise Harel lui a tendu la main en avril, il s’est montré inflexible. Il tenait mordicus à rester le grand patron de Projet Montréal et à imposer son programme au grand complet. Les compromis? Non merci. (….)
http://www.cyberpresse.ca/opinions/chroniqueurs/michele-ouimet/200911/02/01-917404-la-tutelle.php
Textes de Descoteaux, David et Boisvert.
http://www.ledevoir.com/2009/11/02/274967.html
http://www.ledevoir.com/2009/11/02/274963.html
http://www.cyberpresse.ca/opinions/chroniqueurs/yves-boisvert/200911/02/01-917408-le-faible-maire-dune-ville-affaiblie.php
Même scénario au municipale qu’au provincial . Le vote de l’ opposition est divisé et le maire sortant et ses quarantes voleurs sont réélus . Québec Solidaire qui demeure et demeura un petit parti devient le meilleur allié du PLQ a toutes les élections provincial. Bergeron perçu par la majorité comme un drôle de moineau a joué le même rôle hier .
Madame Harel avait-elle le choix de se rallier à Labonté et son parti ou non ?
Est-ce vrai que Bergeron est resté inflexible quand Louise Harel lui à tendu la main ?
Faudrait commencer à voir plus loin que la gauche ou la droite ai nous voulons demeurer en vie !
Un taux de participation de 40 % alors que Tremblay fait le plein de vote dans des quartiers comme CDN , NDG , La Salle , Saint-Leonard , Saint -Laurent et Saint-Leonard , quartiers majoritairement allophones et anglophones , ce qui veux dire encore une fois qu’en majorité ce sont les francophones qui sont restés à la maison en cette journée d’élection .
Un peuple effouaré devant la tivi avec des chips et du pepsi c’est un peuple en voie de disparition !
Il semble assez facile de constater le rapprochement des partis provinciaux et des clientèles avec les partis municipaux à Montréal.
Gérald Tremblay, Union Montréal, les Anglophones, la droite et le PLQ
Louise Harel, Vision Montréal, les Francophones, le centre et le PQ
Richard Bergeron, Projet Montréal, les immigrés, la gauche et Québec solidaire
Dimanche soir, à la fin de la soirée électorale, après les résultats, M. Bergeron y est allé d’une farce qu’il a ri de bon cœur, parce qu’il s’est trouvé très drôle, qui allait à peu près comme suit : Voici mon épouse, pour laquelle je suis devenu musulman, mais on n’est pas responsable de la destruction du World Trade Center. Ha, ha, ha. Ses partisans, sur place, ont semblé plus mal à l’aise que déridés.
« – Toué ! – Tais toué ! Ça vous rappelle quelque chose..?»
Ça me fait toujours marrer quand j’entends dire que les uns divisent les votes des autres…
Qui vous dit que ce n’est pas Vision Montréal qui a divisé les votes de Projet Montréal ?
– Mais dans quel genre de démocratie voulez-vous qu’on vivent ?
Celle qui dit : Toué ! Tais-toué ?
Et .. «IL NE DOIT Y AVOIR QUE DEUX PARTIS» sur le bulletin de vote ?
– Vous n’avez pas le droit de vous faire représenter par votre propre parti politique ? ?
.. On sait que c’est le genre de stratégie et de culture politique de bipartisme qui règnent au PQ depuis 40 ans.
Ce PQ lui, bien sûr, qui ne divise les votes de personne…
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– Voici : «LA SEULE» réplique que j’ai tenté de mettre hier…
«SUR MON PROPRE ARTICLE» et à «TROIS REPRISES»
..et que Vigile «A REFUSÉ DE PUBLIER».
Bel esprit démocratique…
Il est aisé de gagner un débat quand on coupe le sifflet à l’adversaire et même à ses alliés….
Et c’est loin d’être la première fois que ça se produit dans ce nid péquiste…
– Toué.. Tais toué… Ça vous rappelle quelque chose..?
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Réplique à Jean-Louis Pérez.
Si je juge Gomery et Projet Montréal étaient tant à la solde des fédéralistes et d’Ottawa, ils ne se seraient autant évertués à critiquer vertement la magouille dans le système fédéral et le maire Tremblay au municipal.
Les municipalités sont des créatures du gouvernement provincial et si le PQ avait été un parti intègre, il aurait procédé tel qu’il était prévu dans son propre programme depuis 40 ans, à une réforme démocratique proportionnelle et équitable du système électoral et ne serait pas à se plaindre constamment que les votent des uns divisent les votes des autres.
Il faut toucher le fond du baril démocratique pour en venir à de telles stratégies, plutôt que de démontrer qu’on détient les meilleures idées, la meilleure équipe et le meilleur projet.
En fait, il est parfaitement clair et limpide que durant toutes les années où le PQ aurait pu changer les choses, il a préféré appuyer et maintenir le système impérialiste britannique uninominal à un tour ; un système antidémocratique et duquel il a aujourd’hui le culot de venir se plaindre qu’il nui à la cause nationale.
C’est justement pourquoi il faut mettre à la porte cette culture politique coloniale, désuète et inéquitable, pour la remplacer par des partis et une démocratie moderne qui nous est propre et véritablement représentative.
Bonnes élections à tous et toutes,
Christian Montmarquette
Où voter :
http://election-montreal.qc.ca/voter/ou-voter/index.fr.htmlLire la suite
Référence :
L’article en question :
Le véritable coup de balais : « Votons Projet Montréal ! » :
http://www.vigile.net/Le-veritable-coup-de-balais-Votons
.
Montmarquette. Gomery dans sa commission n’est jamais allé jusqu’à Chrétien sur l’origine des commandites parce que Gomery est un homme de Paul Martin. Rivalités dans le Parti Libéral du Canada mais celles ci connaissent leurs limites. On l’a vu récemment avec Coderre.
Quant au PQ, il est faillible. Mais à ce je sache monsieur le -pur des horizons égalitaires- pourquoi ne nommez vous pas aussi le PLQ dans son refus d’une réforme électorale.
Une question, la présence pendant 10 à 15 ans de politiciens libéraux dans tous les paliers municipaux, provinciaux et fédéraux, ça ne vous gêne pas? Non parce que seul le PQ est perfide, vicié et vicieux.
Vous êtes un manipulateur, Montmarquette, un usurpateur de la souveraineté en politique.
Je comprends un peu Vigile de ne plus pouvoir vous supporter tant vous êtes de mauvaise foi.
Il faut vous ignorer dans vos dires, vous êtes borné.
Un borné manipulateur dit Monsieur Bouchard…
Nous en revoici donc à l’insulte…
– C’est un manque d’arguments ou quoi ?
Il y a belle lurette que nombreux sont ceux et celles qui pensent, à l’instar du chroniqueur Daniel Pinard, que :
«PQ ou libéral c’est du pareil au même».
Le premier qui devrait critiquer le Parti libéral, c’est bien le PQ lui-même !
Or, cela leur est est fort difficile, puisqu’ils ont pratiqué les mêmes politiques libérales que les libéraux eux-mêmes ; comme d’attaquer Henri-Paul Rousseau, puisqu’ils l’avaient mis en poste eux-mêmes !
PQ – PLQ – ADQ : du pareil au même – Léo-Paul Lauzon :
http://www.lautjournal.info/default.aspx?page=3&NewsId=1704
* * *
« Nous entendons déjà ceux et celles qui reprocheront à Projet Montréal d’avoir fait perdre Louise Harel. On commence à connaître la chanson.
– Louise Harel et son parti sont les seuls responsables de leur manque d’appui populaire, ne pas parler anglais pour l’Ouest de l’île ; avoir Benoît Labonté autour; ne rien présenter de neuf pour Montréal sauf un projet loufoque et vaguement ringard d’expo universelle : voilà ce qui a perdu Louise Harel.
– Louise Harel a admis en débat que son programme était très semblable à celui d’Union Montréal et que la différence était au niveau du leadership. Le programme de Projet Montréal était très différent des programmes de ces deux partis.
– Au niveau de la corruption, Vision Montréal n’est pas apparu comme «moins pire» qu’Union Montréal, mais bien comme un parti du même acabit. Projet Montréal ne présente aucun signe de corruption.
– Rappelons que plusieurs montréalais-es sont las de voter pour le ou la «moins pire», ils et elles aimeraient qu’on leur laisse le plaisir de voter pour un parti qui présente des idées intéressantes sans les culpabiliser parce que le ou la péquiste de service ne peut pas rentrer comme prévu.»
Chaque personne qui joint ce groupe réduit la porté de cet argument bidon comme quoi Projet Montréal est responsable de la défaite de Louise Harel.»
Source :
http://www.facebook.com/home.php#/group.php?gid=172096901020&ref=nf
.
Lauzon est un populiste de gauche avec ses qualités et ses outrances, tout comme P.Falardeau a été un souverainiste populaire avec ses qualités et ses outrances.
Encore une fois, si vous développez quelques points non impertinents. Vous osez assumer la position que l’évolution électorale de partis comme Q.S ou P.M se paie du prix d’accepter la gouvernance par des politiciens libéraux en série.
Monsieur, vous me faites penser à un jésuite qui a échangé l’habit de la religion contre celui de la politique.
P.S.
Je ne sais pas qui est de mauvaise foi, puisque que Vigile a publié cette même journée un commentaire qui appui l’indépendance sur un article de Danièle Fortin – Alors qu’il m’ont empêcher de me défendre sur mes propres articles.
Vigile publie ce qui fait leur affaire et censure les critiques trop bien articulées qui ne vont pas leur ligne éditoriale.
On peut remercier hautement Voir et la tribune de Josée Legault, de leur impartialité pour un débat démocratique équitable.
Il est tellement plus facile de couper le sifflet, que de défendre ses positions sur la place publique devant témoins.
Comme il est tellement plus facile d’accuser Projet Montréal que de faire le constat que notre démocratie est tellement désuète que 60% des électeurs de Montréal, ne sont pas sortis voter.
Une Constitution républicaine au Québec – Danièle Fortin :
http://www.vigile.net/Une-Constitution-republicaine-au
Bravo m’sieur l’maire… – André Vincent :
http://www.vigile.net/Bravo-m-sieur-l-maire
.
Un chrétien qui se converti à l’Islam… Incompréhensible.
Je croyais cette accusation farfelue, malhonnête. Mais s’il s’en vante lui même… Il y a beaucoup à penser. Comment peut-on voter pour pareil phénomène fèlé du bulbe?
Une loi pour contrôler la corruption dans l’attribution des contrats. Je ne suis pas avocat, mais serait-il possible que les administrations municipales, le gouvernement provinciale décident eux-mêmes de la forchette des coûts d’un projet? En se basant sur une moyenne nationale ou continentale, ou occidentale. Cette approche imposerait un plafond aux coûts. Les entrepreneurs capables d’exécuter les travaux pour ces sommes auraient les contrats. Toute dépense suplémentaire serait soumise à un commité d’experts de l’adminitration, quitte à consulter des experts indépendants à l’occasion.
Il faut serrer la vice à ces sangsues.
Esperanza
@ En passant, lorsque je parle du phénomène classique du «diviser pour régner», je ne porte pas de jugement de valeur du genre qu’il ne devrait PAS y avoir de tierces voix ou partis!
Ce que j’écris, c’est qu’à mon humble avis, Louise Harel a commis une grave erreur en choisissant de s’associer à Benoît Labonté plutôt qu’à Projet Montréal.
Maintenant, on nous dit que Richard Bergeron aurait été «intraitable» dans ses discussions avec Mme Harel. Possible, mais comment savoir?
Ce que nous savons, par contre, c’est que si Mme Harel avait vraiment voulu mettre ses 27 années d’expérience politique et son pouvoir assez exceptionnel de persuasion en privé au service d’une alliance circonstancielle avec PM, elle l’aurait sûrement fait.
Cela étant dit, ceci est un facteur important du résultat de dimanche soir. Mais ce n’est surtout pas le SEUL.
J’y reviendrai peut-être dans ma chronique hebdomadaire.
Il ne peut y avoir deux coqs dans une basse-court.
J’hésiterais beaucoup à m’associer à un type capable d’embrasser l’Islam.
Whoa! les moteurs.
CYBERPRESSE vient tout juste de rapporter ceci:
http://www.cyberpresse.ca/actualites/elections-municipales/montreal/200911/02/01-917607-diane-lemieux-battue-dans-ahuntsic.php
Bravo à Régis Labeaume! La ville de Québec est une véritable fierté pour l’ensemble des québécois, en grande partie grâce à son maire compétent, franc, direct, honnête et énergique. À l’inverse la ville de Montréal est la honte du Québec, en grande partie à cause de son maire naïf, mollasson, volontairement aveugle, sans colonne et probablement réélu grâce au vote des mafiosi et de leur entourage, des votes de nombreux non francophones qui n’acceptent pas qu’une mairesse puisse ne pas être parfaitement bilingue, qu’elle puisse être en faveur des fusions municipales et issue des rangs souverainistes. Entre Québec la bien-aimée et Montréal la damnée il y a un autre Tremblay à Chicoutimi, un illuminé qui devrait être destitué pour la simple raison qu’il s’oppose à toute opposition, ce qui fait de lui un petit dictateur en puissance, chose dont le Québec n’a surtout pas besoin. Puis il y a les électeurs qui demeurent confortablement chez eux malgré l’urgence de la situation, malgré le grand ménage nécessaire qui doit être fait. Il y a ce désabusement qui fait en sorte que 8 municipalités ne trouvent plus personne pour vouloir les diriger. Il y a aussi les municipalités, comme la mienne, mal administrées mais où personne n’ose se présenter contre les dirigeants en place, ce qui offre autant de petits royaumes faciles à prendre et à conserver par des politiciens très moyens. Il y a enfin un gouvernement provincial exécrable qui croit pouvoir nous convaincre de sa volonté de faire le ménage dans les affaires municipales alors qu’il n’est pas prêt à soulever la moindre poussière de peur d’y trouver dessous de sa propre pourriture.
Pour la première fois de ma vie j’ai été privé de mon droit de vote parce que mon conseiller de quartier et ma mairesse ont été élus sans opposition. On ne peut forcer personne à se présenter contre eux mais j’aurais quand même aimé pouvoir leur dire que j’étais très insatisfait de leur travail.
La démocratie municipale québécoise est profondément malade. De moins en moins de gens vont voter et de moins en moins de gens ont envie de s’impliquer dans cette boue. Moins de gens mangent de la politique parce qu’elle est moins fraîche et elle est moins fraîche parce que moins de gens en mangent.
@M.Montmarquette,
Peut-être devriez-vous déménager vos querelles avec Vigile…. ailleurs!
Vos envolées alambiquées deviennent fastidieuses.
Ceci dit, pouvez-vous passer à autre chose: Qs finalement ne représente qu’une petite minorité vociférante (un peu, très beaucoup-même, comme ces islamistes fanatiques qui polluent nos médias à coup de demi-vérités!).
Il me semblait que ce blogue en était un d’opinions et d’échanges d’opinions, non pas une tribune politique à la sauce QS!
Pourtant, je suis loin d’être contre l’existence de QS; toutes les voix ont droit au chapitre.
Et là où je vous rejoins, c’est la réforme du système de votation; en effet, vu la diversité des partis politiques officiels, ce qui en soit est très bon pour la démocratie, on ne peut accepter qu’un candidat soit élu sans une majorité de 50% et plus : donc un deuxième tour, ce qui éviterait que la majorité soit « hyjack-ée » par une minorité, comme celles des anglos et allos anglicisés de Montréal.
La même chose se produit également au provincial avec John James!
Bye
Il est peut-être vrai que la commission d’enquête sur Montréal va prendre le bord avec la réélection de Gérald Tremblay mais je me demande vraiment si c’est là la question la plus urgente.
À mon avis, on aurait bien plus besoin d’une commission sur notre mode électoral. Il faut faire la lumière sur les causes qui portent les électeurs à bouder leur droit (et devoir) de voter. Il faudrait certainement aussi revoir le mode de scrutin.
Un mode proportionnel-mixte ou encore au tour éliminerait des commentaires sur la division du vote. Les gens pourraient voter en bonne conscience, selon leurs valeurs, sans se soucier de qui pourrait se faufiler ça et là entre 2 autres candidats.
Tous les partis politiques du pays utilisent des votes au tour pour élire leur chef. Pourquoi n’est-ce pas assez bon pour nous ? N’est-ce pas là une autre preuve du manque de considération de la classe politique envers les électeurs ?Peut-être que c’est à force de se faire traiter de moins que rien par nos dirigeants qu’on en vient à déserter les urnes.
À ceux qui me diraient que la proportionnelle ne mênerait qu’à des gouvernements minoritaires ou rien ne se fait, je réponds : « Vous aimez mieux le Charest d’aujourd’hui ou d’il y a 2 ans? » Remarquez d’ailleurs qu’il ne se fait rien de grandiose depuis que le PLQ est majoritaire non plus.
À ceux qui me diraient que le mode au tour c’est compliqué et long, je réponds qu’il est grand temps qu’on pense à mettre au point un service de vote électronique qui rendrait le tout possible en moins de temps qu’il n’en faut maintenant pour faire nos scrutins désuets. On me dira que le vote électronique n’est pas au point et n’est pas sécuritaire et je demanderai en retour qu’on me dise ce qui n’est pas au point ni sécuritaire avec tous les guichets automatiques que l’on croise à tous les jours. Comment ces systèmes la traitent-t-ils des millions de transactions à tous les jours sans fraude massive ?
Le vrai problème avec les votes proportionnels, au tour ou électroniques ce sont nos politiciens qui préferent nuire à la vraie démocratie plutôt que de mettre en danger leur gagne-pain. Ils serait en place pour nous servir ?!? Foutaises!
@ Andre Dallaire.
Tient donc..
Encore un autre : » Toué.. – Tais toué »
Décidément, c’est une manie !
Je n’oblige personne à me lire..
Je ne réponds qu’aux attaques ; et d’insultantes par surcroît !
Vous m’associez aux « islamistes fanatiques » ???
– Et il faudrait que je me la ferme ???
– Je devrais vous poursuivre en justice pour une telle diffamation !
– Vous pouvez vous estimer chanceux que je sois bon joueur et laisse une affirmation aussi tordue au jugement de ce lectorat`.
– Bergeron a dit lui-même qu’il est devenu musulman par simple politesse pour la famille de sa femme et qu’il ne « PRATIQUE PAS ».
D’autre part, si mes propos ne vous intéressent pas.. vous-même ou quiconque d’autre n’avez qu’à sauter la case..
Mais la petite minorité récolte actuellement 8% d’appuis, et ce, même dans un système archaïque et inéquitable qui ne favorise que les gros partis et le bipartisme.
CQFD
Bye
.
Avec sa prestation enragée à 24 heures en 60 minutes. Je me réjouis de la défaite de Diane, la chasseresse Lemieux.
Son itinéraire politique du PQ à Union Montréal m’est incompréhensible. Peut être que J.Legault pourrait me l’expliquer.
Texte ici non publié par Le Devoir sur Lebeaume. Ils sont débordés sur leurs blogues?
-Le burlesque d’un chef monarque réélu à l’hôtel de ville de Québec
L’élection royale de R.Lebeaume démontre hors de tout doute qu’en politique, les fortes personnalités sont capables de se faire couronner comme des rois par le suffrage universel!
Ce n’est pas si fréquent mais en politique municipale cela arrive plus souvent que l’on pense. L’intérêt personnel prend le dessus trop souvent en politique sur l’intérêt public. Des gens sérieux ont refusé de se présenter contre Lebeaume parce qu’ils n’avaient aucune chance de l’emporter.
Ce qui donne ce genre de résultats: 80% de suffrages pour un maire qui promet des jeux et du pain à ses électeurs pendant qu’à Montréal, la métropole croule dans une division sociologique et électorale absolument délirante.
Ce n’est pas le royaume du Danemark qui est pourri c’est celui du Québec.
*Régis: signifie roi en latin!
N.B.
Sachez que je ne m’adressais bien évidemment aucunement à vous Madame Legault.
Je vous sais bien trop démocratique pour accuser un parti d’avoir divisé les votes de l’autre.. Les votent « SE » divisent, un point c’est tout.
S’il y’en a que ça choque…
Ils n’ont qu’à faire comme nous, et de lutter pour un système démocratique plus équitable et plus représentatif.
En espérant cette élection aie su réveiller certains endormis sur l’importance d’une critique de notre démocratie et que cela leur serve de leçon..
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En 1994, après 9 ans de gouvernance libéral le Québec est dans une profonde sinistrose économique. Malgré ce résultat le PLQ (Johsnon fils) reçoit 44 % des votes. Heureusement M Parizeau n’avait pas de tiers partis dans le décor si non on aurait eu encore les libéraux au pouvoir.
Lors de la dernière élection la présence de Q S a permis à Charest d’atteindre la majorité.
http://www.vigile.net/YVON-DANSLECHAMPS-et-avec-lui
À un moment donné on va devoir se demander qu’est ce qui est plus important;un programme politique ou un programme d’État.
Deux versions existent sur les rencontres au printemps de Harel et de Bergeron. Je ne vois pas pourquoi celle de Harel serait plus disqualifiée que celle de Bergeron.
Des personnes non proches dans leurs idées ici sont ouvertes à la transformation du mode électoral. Mais ça ne se fait pas en criant ciseau, le gouvernement PLQ ne veut pas là.
Le PQ n’en n’a pas voulu, il doit tout de même tirer leçon du rôle de l’ADQ en 2007 dans sa déroute le transformant en tiers parti.
Dans le mode uninominal, il est certain qu’un parti élu avec 37% contre 59% de suffrages de partis hostiles ça ne peut relever d’une réelle démocratie. Surtout lorsque le parti élu est accusé de corruption et remporte un troisième mandat dans ce cadre. Sans parler du taux d’abstention de 60%.
@ Christian Montmarquette
Ça ne vous embête pas qu’un politicien, chef de parti par surcroit, affirme être « devenu musulman par simple politesse pour la famille de sa femme »? Bye Bye convictions profondes, principes, valeurs idéologiques personnelles. Monsieur Bergeron n’est pas à l’abri d’une séparation. Il ne faudrait pas que son éventuelle future flamme soit issue d’une famille mafieuse, d’entrepreneurs en construction, de raéliens ou de membres d’un parti d’opposition. Déjà que se convertir par amour à l’islam ou à toute autre religion révèle une faiblesse mentale ou morale inquiétante, surtout quand on prétend se convertir sans pratiquer. Se convertir sans pratiquer c’est de l’hypocrisie, de l’incohérence, de la soumission, de la tromperie et quoi encore? Bon Yeu! Comment peut-on faire confiance à un tel manipulateur, un tel opportuniste, une telle girouette?
Dans un autre ordre d’idée je suis également en faveur d’un mode de scrutin à deux tours. Un tour pour exprimer ses convictions profondes et un autre tour pour choisir le moindre de deux maux possibles. Malheureusement c’est un peu compliqué et doublement coûteux. Et puis, comment convaincre des gens qui sont réticents à voter une fois de le faire deux fois? Il existe pourtant des formules plus simples où en une seule fois, sur un même bulletin de vote, on peut faire un deuxième choix et même un troisième choix, au besoin, de façon à éliminer tour à tour ceux qu’on veux le moins voir élus. Ça évite de diviser des votes qui sont naturellement contre une personne en particulier. Et puis pourquoi dans des cas comme celui de Montréal on ne demanderait pas tout simplement aux gens de désigner la personne qu’on veut le moins voir gouverner la ville. Il me semble que cela aurait immédiatement écarté Gérald Tremblay. Il aurait alors suffit de déterminer qui était l’autre personne qui avait le moins de votes contre elle.
Chose certaine il existe certainement des avenues simples pour améliorer la démocratie et la participation aux élections. Pourquoi par exemple ne pas imposer une taxe annuelle à tous les électeurs, taxe qui serait remboursée à chaque électeur lorsqu’il va voter? Je ne connais beaucoup de gens qui n’iraient pas voter pour un montant d’argent raisonnable. Et puis l’argent non redistribué pourrait être remis aux partis politiques pour financer leurs activités. Ainsi ces activités seraient financées par ceux qui ne participent pas au scrutin. Il serait étonnant que ceux-ci demandent par la suite des faveurs aux partis politiques ainsi financés.
C’est un enjeu municipale ça : La vie personnelle et maritale de Richard Bergeron ?
Richard Bergeron a été professeur d’université et d’urbanisme durant plus de 25 ans… il me semble que c’est plutôt de cela qu’on aurait dû parler !
Et son problème n’est justement pas l’hypocrise, mais une certaine maladresse dans ses déclararations sans doute trop peu filtrées parce qu’il n’a pas la langue de bois.
@ Je ne disqualifie pas pour autant la version de Mme Harel.
@ Et espérant que ces échanges fort intéressants ne tourneront pas non plus seulement autour de PM.
De toute façon, ce qui est arrivé hier est arrivé.
Ce qui m’inquiète par contre royalement est qu’après tout ce qui fut dit et révélé, le taux de participation à Montréal n’a même pas franchi le cap des 40%…..
@ Paolo Mitriou
Pour simplifier votre démarche incitative pour le vote, il suffirait de remettre à tous ceux qui votent un coupon bon pour un crédit d’impôts remboursable de 50$ à 100$. Ce coupon devrait faire partie même du bulletin de vote et on pourrait le déchirer comme on déchire présentement le talon. Ne reste plus aux voteurs qu’à réclamer leur dû plus tard.
Il s’agirait, selon moi, d’un bien faible coût pour assurer une démocracie plus vigoureuse.
Message reçu pour L.Harel.
Un texte ici sur des bénévoles de Union Montréal de R.E. Je ferais la remarque désobligeante quant au texte qui décrit les facéties d’un bénévole d’origine pakistanaise signé par R.Elkouri que cette dernière comme tous les journalistes de La Presse tient sous silence à 95% le facteur parmi d’autres mais réel d’une prédisposition des groupes anglophones et secondairement allophones à éviter de voter pour la sorcière séparatiste Harel hier soir.
http://www.cyberpresse.ca/opinions/chroniqueurs/rima-elkouri/200911/02/01-917399-quest-ce-que-ca-prendrait.php
@M.Montmarquette,
Voici ce que j’ai écrit :
« Vous me faites penser à ces imams….En fait QS n’est-il pas en faveur du voile??? serait-ce qu’en convertissant un de ces infidèles à votre cause vous aussi vous gagniez le paradis de l’Internationale socialiste?? »
Sachez que les imams traditionnels sont les leaders de la prière et non pas des prêcheurs comme ils le sont devenus à l’époque moderne. Et, ne vous déplaise, c’est ce que vous êtes : un prêcheur qui est devenu fastidieux à lire. En fait, je ne savais même pas que l’épouse de Bergeron était musulmane. J’ai vécu 20 ans chez et avec des musulmans; de cette religion, je m’en fouts, de même que toute autre.
Vous et votre parti pouvez me traduire en cour, et j’en serai fort aise. Cette petite menace est bien puérile et démontre votre faiblesse, certainement à l’image du leadership de QS!
Je pourrai facilement démontrer dans un premier temps que vous ne savez pas lire parce que trop obnubilé par vos thèses pour pouvoir comprendre les autres et dans un deuxième, que vous êtes de mauvaise foi en me citant tout croche.
À la revoyure en cour! M.Montmarquette, j’y serai! Ce ne sont pas vos petites menaces qui m’empêcheront de débouter votre prosélytisme biaisé.
Bye
P.Gaboury, payer les gens afin qu’ils se comportent en citoyens.
L’argent est devenu depuis longtemps la première forme de communication immédiate entre les hommes.
Il ne reste donc plus que l’incitation ou la sanction financière comme moyen pour faire voter les gens.
Un autre moyen, rendre les politiciens imputables de leurs actions.
Bonjour M.Bouchard,
Vous seriez peut-être intéressé de savoir que dans de nombreux pays, surtout en Amérique du sud, les citoyens ont une carte d’électeur qui, si elle n’est pas validée lors d’élections, empêche ces mêmes citoyens de recevoir une multitude de services. Alors je vous garantie que ça vote!!!
Bye
A.Dallaire.
La liberté est t’elle devenue si insignifiante d’elle même que du Confort et l’Indifférence d’Arcand au personnage d’Elvis Gratton de Falardeau que cette liberté n’est plus qu’une caricature d’elle même?
Rendre le vote obligatoire ne sera peut être qu’une obligation pour intéresser au rôle de citoyen, l’homme de tous les jours qui s’est perdu dans l’individualisme aveugle.
On pourrait aussi se doter d’un système proportionnel de vote et laisser des sièges vides pour tenir compte des abstentions.
Là je vous garanti que la classe politique s’arrangerait pour convaincre les gens de voter. Ça, c’est rendre les politiciens imputables.
Ai consulté plusieurs blogues francophones du Québec, n’ai trouvé aucun supporter déclaré de G.Tremblay à croire que ce ce sont des fantômes qui l’ont élu.
Il est vrai qu’à Saint Léonard, les majorités sont bonnes pour les représentants de Union Montréal. Quoique les Anglo-italiens ne fréquentent pas trop nos blogues d’actualité.
Ils sont donc ou sur le net, les supporters de Tremblay?
L’idée de ne pas être élu sans avoir obtenu plus de 50 % des voix me parraît raisonnable, juste et bonne.
Non au vote électronique. Trop facile à fausser. Comment assurer un recomptage crédible s’il n’y a pas de bulletins de vote?
On pourraît aussi exiger une participation électorale supérieure à 75 % de l’électorat inscrit.
Un jour, dans les années 50, M. St-Laurent avait été élu par une participation dépassant 100 % des électeurs inscrits dans certains districts électoraux. Interrogé à ce sujet, M. St-Laurent aurait répliqué qu’il s’agissait sans doute d’électeurs trop enthousiastes. Tout cela avec un sourire.
Ou on vote trop, ou on ne vote pas assez. Quel peuple!
Mme Legault a bien raison, avec tout ce battage sur la corruption et le ménage qui s’impose, et ne pas atteindre 80 % de participation, le message aux corrompus est bel et bien : dormez tranquilles, on s’en fout. Continuez à nous sucer le sang, on aime ça.
Amen!
Notre bon calife Haroun El Poussah poursuivra donc sa sieste en toute quiétude.
En rêvant à de belles promenades en bixi, sur de longues pistes bordant des kyrielles de nids-de-poule, sous le regard médusé de ses sujets figés d’incrédulité devant pareille baraka.
Car notre bon calife n’aura été qu’à peine incommodé un court moment par quelques chahuteurs ayant prétexté vouloir lui ravir ce beau gros coussin, sur lequel il somnole si paisiblement. Ah… quelle imaginative plaisanterie, tout de même!
Il faudra vraiment songer à leur dire un chaleureux merci… mais un peu plus tard… après un peu de repos… zzzzzzzz…
Tremblay à d’abord été élu par les quartiers anglophones et allophones et ENCORE une fois les francophones se divisent et laissent passer la parade . C’est gens là ne votent pas pour la gauche ou la droite mais pour le Canada et la culture anglo-saxonne .
Quand le feu est pris dans le salon faudrait arrêter de s’obstiner dans la cuisine sur une société de droite ou de gauche . Faisons la souverainneté d’abord et nous aurons ensuite la chance de se donner un gouvernement soit de gauche ou soit de droite .
Quand Monsieur Montmarquette nous assomment avec son ultimatum : » L’indépendance sera de gauche où ne sera pas » , nous sommes loin d’une attitude démocratique. Autrement dit pour Monsieur Montmarquette seul Québec Solidaire peut faire la souveraineté ! Quand ont pensent que ce parti attire des miettes à chaques élections imaginez le nombre de décénnies qu’il faudra pour avancer un tout petit peu vers ce projet ?
Faut lâcher le débat gauche -droite , faire comme les adversaires de la souveraineté et TOUJOURS voter pour le Québec et pour la culture francophone sinon nous continuerons nos dispute dans le hangar car la cuisine aura brûlée itou !
Si M. Montmarquette pensait qu’il serait plus facile d’installer la go-gauche dans un Québec à l’intérieur de la fédération actuelle, il voterait fédéraliste demain matin.
M. Montmarquette a 2 priorités, selon ses écrits, l’extrême gauche de Québec solidaire et le chef musulman né au Lac St-Jean de Projet Montréal. Il est allergique au PQ et au Bloc québécois qu’il considère fédéralistes et de droite.
Ça confirme qu’il est tout à l’extrême gauche et très ouvert aux accommodements pour penser ainsi et il ne s’en cache pas. Appuyer un parti qui est appuyé par le parti communiste est un droit et pas un crime mais faut assumer un peu.
Ce qui est extrème, ce sont les comérages extrèmes des Bousquette et Asselin..
Mémère en chef Bousquette se permet de ragoter et de dire constamment ma place ce que que je pense.
Et mémère Asselin prétend que je donne des ultimatum.
Cela me rappelle les ragots des méméres du Plateau de Michel Tremblay.
Je ne donne pas d’ultimatum, je dis que vous ne vendrez pas l’indépendance avec un programme de droite.
Et pour preuve : Le PQ ne l’a JAMAIS FAIT la foutue d’indépendance.
Pas bien étonnant..
Quand on tente de convaincre de l’intérêt de l’indépendance en promettant 5 ans de turbulences…
Ça ne vous a jamais traversé l’esprit que si le programme était avantageux et rassurant pour la population que ça intéresserait peut-être un peu plus la population de se donner un pays ???
.
S-V-P. Tentons de tenir la discussion dans le respect des personnes…
Je suis bien d’accord avec vous Madame Legault.
Mais j’aurais aimé que vous eussiez intervenue de même quand on m’a traité de borné, de manipulateur et de fanatique.
Mais, je prend note et vais tenter de rectifier le tir.
Merci de votre tolérance.
.
Monsieur Montmarquette oublie que le PQ à fait deux référendums dont un dernier aura été manipuler par le clan du NON . Ce que QS ne fera jamais , nous avons seulement à lire la façon dont s’y prendrait ce parti pour devenir souverain pour comprendre toute la mesure de cette grosse farce .
Jamais QS ne se rendra aussi loin dans le projet souverainiste parce que justement ce projet n’est qu’accessoire dans le programme de QS . Un appât pour les naïfs tout simplement . Seule la société de gauche est importante pour QS qu’elle soit fédéraliste où souverainiste .
Le problème c’est justement que la go-gauche socialiste au Québec est en nombre tellement restreint que QS demeura TOUJOURS un petit parti !
Personnellement je suis plus à gauche qu’a droite mais dans une mesure réaliste . Mais je suis avant tout SOUVERAINISTE et je suis convaincu que la petite bataille gauche-droite chez les francophones est ce qui fait le bonheur des fédéralistes et des anglophones du pays !
Nous aurons encore Tremblay pendant quatre années comme maire de Montréal à cause de NOUS tout simplement !
M. Bousquet nous dit :
Gérald Tremblay, Union Montréal, les Anglophones, la droite et le PLQ
Louise Harel, Vision Montréal, les Francophones, le centre et le PQ
Richard Bergeron, Projet Montréal, les immigrés, la gauche et Québec solidaire
Mettons que c’est vrai, ça fait 3 groupes de vraies personnes qui existent à tous les jours. Pourquoi n’y a-t-il qu’un seul groupe de représenté?
Le titre du billet de ce blogue est:
» Diviser pour régner »
Concernant les forces souverainistes du Québec c’est plutôt :
» Diviser pour stagner »
Hélas !
Voici les deux questions référendaires,
aucune ne porte sur l’indépendance.
De plus, il ne s’agit pas de poser des questions, mais de « CONVAINCRE PRÉALABLEMENT » de l’intérêt pour la population de se séparer du Caca-NAda.
De « CONSTRUIRE UN APPUI STABLE ET MAJORITAIRE » à l’infdépendance du Québec. .
Or, en 40 ans, il n’y a même jamais eu de ministère de l’indépendance AVEC un budget.
M’a dire comme vous Madame Legault..
– Une citation de vous régulièrement diffusée chez Vigile :
» Il faut que le pouvoir devienne aussi un instrument de promotion de la souveraineté. Il faut que ça serve à quelque chose d’être au pouvoir. »
– Josée Legault – 2002
Une fois de plus…
Nous sommes bien d’accord…
CM
* * *
Questions référendaires :
« Le gouvernement du Québec a fait connaître sa proposition d’en arriver, avec le reste du Canada, à une nouvelle entente fondée sur le principe de l’égalité des peuples ; cette entente permettrait au Québec d’acquérir le pouvoir exclusif de faire ses lois, de percevoir ses impôts et d’établir ses relations extérieures, ce qui est la souveraineté et, en même temps, de maintenir avec le Canada une association économique comportant l’utilisation de la même monnaie ; aucun changement de statut politique résultant de ces négociations ne sera réalisé sans l’accord de la population lors d’un autre référendum ; en conséquence, accordez-vous au gouvernement du Québec le mandat de négocier l’entente proposée entre le Québec et le Canada ? »
1995 :
» Acceptez-vous que le Québec devienne souverain, après avoir offert formellement au Canada un nouveau partenariat économique et politique, dans le cadre du projet de loi sur l’avenir du Québec et de l’entente du 12 juin ? « .
.
À Mme Bourassa qui écrit : «Pourquoi n’y a-t-il qu’un seul groupe de représenté? »
Les 3 groupes sont bien représentés à l’Hôtel de ville de Montréal même s’il n’y a qu’un qui détient le pouvoir comme à Québec. Les 2 autres s’opposent…c’est la démocratie en marche.
@ Pierre Bouchard
« Rendre le vote obligatoire ne sera peut être qu’une obligation pour intéresser au rôle de citoyen, l’homme de tous les jours qui s’est perdu dans l’individualisme aveugle. »
Il n’est pas question de rendre le vote obligatoire. Je suis en faveur de la liberté et je serais le premier à m’opposer à ce type d’obligation. Par contre on pourrait imposer une taxe municipale à la démocratie, une taxe d’environ 50$ par année, remboursable à l’électeur qui se rend effectivement voter lors des scrutins municipaux. Ça donnerait le droit à tous de critiquer, ça récompenserait ceux qui font leur devoir de citoyen, ça ne priverait personne de son droit de rester chez lui le jour du scrutin, ça ferait des revenus pour financer la démocratie (les dépôts non réclamés plus les intérêts) et ça ferait en sorte que les absents (qui sont supposés avoir toujours tort) paieraient pour la démocratie par le biais de cette sorte de taxe à l’indifférence. Actuellement ce sont ceux qui s’impliquent qui paient pour l’indifférence des abstentionnistes.
La question claire de M. Montmarquette : Est-ce que vous voulez vous séparer du Canada ?
@ Pierre Bouchard
« Ils sont donc où sur le net, les supporters de Tremblay? »
De toute évidence ils ne sont pas aux mêmes endroits sur le NET que vous et moi, parce que pour la plupart ils ne s’expriment surtout pas en français. Un bon nombre d’entre eux sont également fortement habitués à la loi du silence. Ils n’ont pas l’habitude de se vanter publiquement de leurs bons et mauvais coups. Ils ne sont que 13% à avoir fait élire Gérald Tremblay, le grand dadais. Ils sont peut-être un peu gênés. De toute façon la faible majorité francophone des montréalais, divisée comme elle l’est, est soumise depuis longtemps à la volonté quasi unanime de la minorité non francophone, ce qui fait en sorte de favoriser l’expansion rapide de cette minorité. Les souverainistes devront bientôt commencer à songer à un Québec sans Montréal, cette ville gangrenée par un cosmopolitisme qui a plus à voir avec l’ONU ou la Tour de Babel qu’avec le Québec. Non contents que leur ville soit simplement comparée à Palerme, les montréalais viennent d’en rajouter quelques couches afin de hisser leur ville encore un cran plus haut, comme s’il s’agissait de battre Palerme sur son propre terrain pour pouvoir se démarquer sur la scène internationale.
On n’est pas sorti des Dubois!
@ Christian Montmarquette
« C’est un enjeu municipale ça : La vie personnelle et maritale de Richard Bergeron ? »
Pas vraiment. Pas du tout même. N’empêche que ça nous éclaire sur sa personnalité. Et la personnalité d’un individu qui aspire à diriger la métropole québécoise n’est pas un enjeu en soi mais c’est un sapré bon point de réflexion sur la stabilité, le sérieux et l’équilibre de cet individu. Le Dalaï-Lama ne ferait peut-être pas un mauvais maire pour Montréal mais cela ne signifie pas qu’il serait nécessairement le meilleur non plus. Ce n’est pas parce que Richard Bergeron semble gentil et irréprochable que cela le qualifie pour un tel poste. À l’origine Gérald Tremblay était gentil et irréprochable. On ne devient pas corrompu ou corruptible tant qu’on n’est pas dans une situation susceptible de nous rendre corrompu ou corruptible. Louise Harel a passé la moitié de sa vie dans une telle situation sans pour autant devenir corrompue. On ne peut rien dire de Richard Bergeron à ce sujet mais ce n’est certainement pas parce qu’il se dit musulman qu’on doit en conclure qu’il est un ange.
Mais c’est qu’il commence à me tapper ce Bousquet.
Ou ai-je dit ou écrit » VOTRE QUESTION ???? »
Monsieur Mitriou,
Vous êtes rendu dans la Dalai Lama…
On l’a vu aller Richard Bergeron..
Chacun s’est fait son idée.
Mais à mon sens il ne prêche ni l’islamisme, ni de Dalailamisme.
Il prône des « tramways ».. et des « plages » au bord du fleuve.
Bergeron pourrait être si.. Bergeron pourrait être ça..
Avec des si on va à Paris..
Je le répète :
Richard Bergeron est un prof d’université de 25 ans d’expérience.
J’imagine qu’ils n’engagent pas des déséquilibrés mental durant 25 ans..
Si ça ne vous suffit pas..
Mais qu’est-ce que vous voulez que j’y fasse ??
Militer pour Harel et laissez nous tranquille. Mais elle risque fortr de sacrer son camps, parce que elle, c’est le pouvoir qui l’intéresse, et non de mettre son exprérience au profit de la communauté.
.
@ Christian Montmarquette
Richard Bergeron peut bien prôner des tramways et des plages au bord du fleuve tant que vous voudrez. Il n’a cependant rien inventé de ce côté. Dans un monde devenu nécessairement écolo, un écolo n’impressionne plus personne. Le tramway n’est pas une invention de Richard Bergeron. Certains de mes ancêtres (Amédée Bollée le père, Amédée Bollée le fils et Léon Bollée, l’autre fils d’Amédée le père) ont d’ailleurs contribué largement à ce type d’invention dans les années 1800. Richard Bergeron n’est pas non plus à l’origine de la résurrection de l’utilisation des tramways modernes. On parle depuis des décennies de ramener le tramway à Montréal et à Québec comme on l’a fait un peu partout ailleurs. On parlait de ramener le tramway longtemps avant qu’on commence à entendre parler de Richard Bergeron.
Même chose pour les plages fréquentables au bord du fleuve. C’est loin d’être une idée originale de Richard Bergeron. Tout le monde était déjà d’accord avec cette idée longtemps avant que Richard Bergeron commence à envisager l’idée de faire de la politique.
J’habite une magnifique petite ville au bord d’un lac majestueux où l’on peut se baigner sans problème. Ma famille possède également un chalet sur le bord d’un autre lac, plus petit, où l’on peut également se baigner sans craindre de se rendre malade. Dans ces endroits que vous considérez probablement comme étant « reculés » on sait depuis toujours qu’il faut prendre soin de nos plans d’eau. Nous sommes depuis toujours assez intelligents pour comprendre cela. Alors je ne suis guère impressionné par tous ces « mourialais » qui découvrent subitement les vertus de la protection de l’environnement. Je ne suis pas impressionné par tous ces brillants écolos qui démontrent maintenant assez d’intelligence pour vouloir dépolluer ce qu’ils ont d’abord, sans intelligence, abondamment pollué.
Richard Bergeron n’est certainement pas corrompu parce qu’il n’a jamais été dans une situation où il avait intérêt à se laisser corrompre. Cela n’est guère impressionnant, contrairement à Louise Harel qui est demeurée incorruptible après tout près de 30 ans en politique.
Je n’ai jamais dit que Richard Bergeron était un déséquilibré mental, un cinglé ou un fou. J’ai simplement mis en doute la pertinence et la cohérence d’un individu qui prône des valeurs pour la société et qui de son côté se laisse charmer par des valeurs et des principes auxquels ils n’adhère que par politesse envers sa belle-famille. C’est une forme de corruption, de mollesse, de manque de rigueur intellectuelle. De quoi aurait l’air Richard Bergeron si sa douce moitié était une dévote de Krishna?
Enfin je ne vois pas où est la pertinence de nous rappeler que Monsieur Bergeron a enseigné à l’université pendant 25 ans. Ça en fait probablement un excellent professeur d’université mais ça ne nous dit absolument rien sur ses capacités à administrer l’inadministrable Tour de Babel qu’est « Mourial ». Même ses proches doutent de ses capacités à administrer notre Palerme à nous. Notre histoire est truffée d’administrateurs municipaux, provinciaux et fédéraux qui ont d’abord enseigné à l’université. Notre histoire est également truffée d’administrateurs qui n’ont pas enseigné à l’université. Les souvenirs que moi j’en ai ne prêchent pas en faveur de ceux qui ont d’abord enseigné à l’université. J’ai eu certains profs en science politique, en économie et en philosophie à qui je n’aurais jamais confié la gestion d’un village de 200 habitants. À moins que cela ait changé depuis, il n’y a pas de programme d’études spécifiques pour former un excellent maire ou un premier ministre compétent. Si un tel programme existait il faudrait y envoyer 90% de nos dirigeants actuels.
Vous nous parlerez de Richard Bergeron quand il aura prouvé quelque chose. Même sa soudaine popularité, dont il est le premier surpris, n’est attribuable qu’au vote de mécontents qui ne se reconnaissent pas dans la naïveté et la mollesse d’un Gérald Tremblay ou le balai et les « It Will Depending » de Louise Harel. En passant, comme toujours, les grands médias s’en sont donné à coeur joie sur les travers de Louise Harel comme ils l’ont fait pour Pauline Marois. On s’attaque beaucoup plus facilement aux petits travers des chefs de partis politiques lorsqu’il s’agit de femmes. Notre société n’est malheureusement pas encore mûre pour autre chose que des machos dans les postes les plus en vue de notre hiérarchie sociale. J’espère que cela changera d’ici les prochaines élections provinciales ou que Pauline Marois saura quoi faire si rien n’annonce de tels changements.
Bon.. Nous voilà rendu dans les Krisna maintenant…
Si on vous écoutait, il faudrait voter ad nauseam pour les mêmes.
Ce n’est pas de ma faute, si vous êtes une personne inquiète.
Tout le monde a commencé quelque part.
Mais il faut croire qu’il y a eu 25 % des électeurs-trices que le nouveau n’inquiétait iétait pas. (personnellement, ça me rassure.. )
On ne peut voter pour du neuf en exigeant un doyen.
D’ailleurs, Bergeron n’est plus si nouveau que ça…
– Il est là depuis 2003.
Mais en attendant, dans sa grande implication, sa grande loyauté et ses grandes valeurs et convictions personnelles, Louise Harel va probablement plaquer son mandat et ses électeurs, parce que « Madame » n’est pas mairesse et que ce qui l’intéresse ce n’est pas de servir ses citoyens mais « LE POUVOIR. »
Nobody’s perfect…
L’institut sur la gouvernance HEC :
http://www.igopp.org/spip.php?page=home&lang=fr
Gestion publique et gouvernance (Certificat d’études supérieures)
Cours :
http://www.etudesup.uottawa.ca/Default.aspx?tabid=1726&monControl=Cours&ProgId=642
.
@ Christian Montmarquette
Vous me feriez davantage rire si les enjeux n’étaient pas si sérieux. Vous vous accrochez constamment aux détails farfelus dans la forme de mes commentaires et de ceux des autres intervenants sur ce blogue. Vous semblez ignorer complètement l’existence du concept d’ironie. Je lirai avec plus d’intérêt et plus d’attention vos propos lorsqu’ils porteront davantage sur le fond que sur la forme. En fait on s’attaque généralement à la forme quand on est trop peu doué pour réfléchir sur le fond.
Tiens, en passant, je me demande de quoi aurait l’air Richard Bergeron si sa compagne vouait un culte à Dracula.
@ Serge Gingras
Voici donc une recette pour un vote électronique infaussable:
Vous avez devant vous un écran sur lequel vous avez tous les noms des candidats. À mesure que vous faites vos choix, dans l’ordre, les noms choisis se noircissent. Lorsque vous avez fini vous appuyez sur soumettre et là il se passe 2 choses: 1- votre vote s’ajoute à une énorme base de données qui permet d’obtenir les résultats rapidement peu importe le nombre de tours nécéssaires pour en arriver à un candidat avec plus de 50% des voix et 2- Un bulletin s’imprime et vous est remis confirmant vos choix. Vous vérifiez celui-ci et le déposez dans une boîte de scrutin classique. Il servira à confirmer les résultats des élections et assurera qu’on ne perde pas les votes en cas de défaillance du système.
Cela dit, je maintiens que la faiblesse du vote électronique est directement proportionnelle au manque de volonté de nos dirigeants à imposer une vraie démocracie. C’est quand la dernière fois que vous vous êtes plaint des guichets automatiques à la banque?
@ Serge Gingras
Voici donc une recette pour un vote électronique infaussable:
Vous avez devant vous un écran sur lequel vous avez tous les noms des candidats. À mesure que vous faites vos choix, dans l’ordre, les noms choisis se noircissent. Lorsque vous avez fini vous appuyez sur soumettre et là il se passe 2 choses: 1- votre vote s’ajoute à une énorme base de données qui permet d’obtenir les résultats rapidement peu importe le nombre de tours nécéssaires pour en arriver à un candidat avec plus de 50% des voix et 2- Un bulletin s’imprime et vous est remis confirmant vos choix. Vous vérifiez celui-ci et le déposez dans une boîte de scrutin classique. Il servira à confirmer les résultats des élections et assurera qu’on ne perde pas les votes en cas de défaillance du système.
Cela dit, je maintiens que la faiblesse du vote électronique est directement proportionnelle au manque de volonté de nos dirigeants à imposer une vraie démocracie. C’est quand la dernière fois que vous vous êtes plaint des guichets automatiques à la banque?
Très éloquente démonstration, Monsieur Gaboury!
En envoyant en double votre commentaire portant sur la fiabilité du processus électronique, vous venez d’ajouter une solide dose de crédibilité aux craintes exprimées par Monsieur Gingras.
Toute cette quincaillerie électronique n’est vraiment pas très au point encore. Apparemment, du moins…
Évidemment que le net est une technologie continuellement en développement mais je n’admettrai que la technologie n’est pas au point que lorsqu’une erreur dans les systèmes bancaires causera un double dépôt de mon salaire dans mon compte.
Voilà des années que les banques ont réussi à implanter un système électronique pour faciliter leur tâche. Donnez-moi donc, Monsieur Perrier, une seule bonne excuse pour expliquer que le gouvernement ne soit pas en mesure d’en faire autant (outre l’insouciance).
Des expériences de vote électronique ont déjà été faites avec, pour résultat, davantage de problèmes que d’amélioration lors d’un scrutin.
Mais peut-être que des correctifs ont été apportés depuis.
Un vieux dicton affirme néanmoins que « Chat échaudé craint l’eau froide »… Et un autre, en anglais, y va d’un « If something can go wrong, it will ».
Alors, cela étant Monsieur Gaboury, et même si les gouvernements étaient disposés à consacrer toutes les sommes requises pour mettre au point un système de votation électronique à l’épreuve de défaillances, les faux pas précédents ont probablement déjà largement nui à l’idée de vouloir implanter pareil système.
Il faudra vraisemblablement attendre une nouvelle génération de quincaillerie électronique et, surtout, une nouvelle génération d’électeurs…
Il y a un nombre assez important de personnes qui, malgré les révélations sur l’administration d’Union Montréal (UM), ont voté pour UM quand même. Dans Outremont, Lasalle, Montréal-Nord, l’Île-des-Soeurs, NDG, Ville Saint-Laurent, etc., on a soutenu fortement Union Montréal.
Les gens qui ont voté pour Projet Montréal ne sont pas responsables :
1) de ceux qui ne votent pas
2) de ceux qui soutiennent la collusion et la corruption (ou qui trouvent que ce n’est pas grave);
3) du vide idéologique et de l’ambition aveugle de Mme Harel (dont le programme est très semblable à celui d’Union Montréal – elle l’a dit elle-même!).
Je ne serais pas étonné que Mme Harel ait considéré Projet Montréal comme une gang de weirdos (auxquels elle a quand même « tendu la main », avec condescendance). On peut trouver que Richard Bergeron soit « weird », mais au moins son programme est nettement plus inspirant que les deux autres.
Je m’attendais sincèrement 1) à ce que les Anglophones évitent d’appuyer Vision Montréal (à tort ou à raison)
2) que les gens iraient voter en masse pour « donner une leçon » à l’administration Tremblay. Eh bien, non
De plus, ce n’est pas la faute à Projet Montréal si Vision Montréal a une réputation douteuse (208 cas de fraude électorale, bien avant les révélations sur Labonté). Refuser de s’allier à Vision Montréal a été le bon geste.
Je travaille sur la route à Montréal et les environs . Déjà circuler à Montréal relève de l’exploit tellement les travaux sont mal foutus et mal gérés et sans oublier les festival de çi et les festival de ça , les ventes trottoirs , les feux d’artifices , les tempêtes d’hiver et les délais démesurés de l’enlèvement de la neige . Imaginons un seul instant un Richard Bergeron maire de Montréal . Un individu qui voue une haine viscérale à l’automobile et à ceux et celles qui l’utilise . Un type qui veux piétonner la rue Sainte-Catherine ?????
Autrement dit un irresponsable qui rêve en couleur d’une ville de cyclistes et de parc vert ! Une chance qu’il n’a pas été élu maire ! Un mandat avec lui et la Ville de Montréal fait faillite faute de buisness !
Absolument d’accord avec vous, Monsieur Asselin!
Montréal est d’abord et avant tout une grande ville, et non pas un petit village pittoresque. Et le rôle d’une grande ville est, principalement, d’être le moteur économique de sa région. Pas un grand parc.
Des lieux bucoliques, calmes, verts, nous n’en manquons pas du tout, ici au Québec. De tous côtés, il s’en trouve, tout près ou à bonne distance.
Alors, laissons Montréal à sa mission. Et allons plutôt pédaler et nous promener en région.
« ..allons plutôt pédaler et nous promener en région » .
C’est ça… Et prenons nos chars pour aller faire du bécik…
Y’a trop d’chars à Montréal, point.
Le développement des banlieues est mal foutu depuis 40 ans aux Québec, parce que justement ce ne sont pas des urbanistes qui ont fait le travail, mais des « promeuteux » de nouveaux développements qui s’en sont mis plein les poches pour construire des abérrations comme ce qui s’est passé à Saint-Hubert.
…Des kilomères d’infrastrutures coûteuses pour une poigné de citoyens.
Des villes dortoirs qui utilisent les ressources de Montréal et qui payent leur taxes ailleurs,
Des centaines de milliers de chars stâllés qui roulent bumper à bumper qui polluent et encombrent les ponts soir et matin.
Des familles qui quitte la ville parce que la qualité de vie est trop moche.
Et on veut s’en prendre aux vélos ???
Quel fomidable développement urbain…
.
Monsieur Montmarquette devrait parler aux gens sur le terrain . Les chauffeurs de taxi , les ambulanciers , les livreurs , les policiers et autres travailleurs sur la route . Vous voulez une ville sans autos ? Alors vous demanderez aux cyclistes de livrer la marchandise dans les commerces , d’éteindre les feux en bicycle et pourquoi pas des tri-cycles comme taxi ?
Une ville verte et un maire rose avec l’équipe Bergeron !
Voila un slogan pour Bergeron lors des prochaines élections ! Et je le donne GRATUITEMENT !
Jean Drapeau a déjà gagné ses élections avec 94 % du vote, mais on ne trouvait personne pour admettre qu,il avait voté pour lui.
Mme Harel a piloté le dossier des fusions et elle perd ses élections parce qu’elle a surtout perdu dans les anciennes villes fusionnées, une sorte de retour inattendu mais prévisible. Avec l’ancienne ville de Mtl d’avant les fusions, Mme Harel en serait aujourd’hui la mairesse. Si elle avait réussi son projet d’une île une ville, elle ne se serait même pas présentée car ses chances de gagner auraient été impossible. Quel paradoxe.
@ Monsieur Montmarquette
Rien ne sera jamais parfait où que ce soit. Alors, veillons tout d’abord à ne pas rêver en couleur, à nous imaginer opérer – avec un peu d’effort – la quadrature du cercle. Pareille chose s’avère une impossibilité.
Nous reste en conséquence des choix à faire. Déterminer comment seront disposées les diverses pièces d’un puzzle qui, une fois assemblées, constitueront un portrait entier. Chaque petite pièce jouant son rôle dans l’ensemble.
Plus concrètement, prenons le cas précis de Montréal. Une grande ville nord-américaine dont le rôle premier, dans le puzzle québécois, consiste à d’abord être le moteur économique du territoire. Avec, mais seulement accessoirement et lorsque possible sans nuire à la mission première de la métropole, ici et là quelques espaces verts et possibilités d’activités à connotation santé. Tel que le vélo, ou la marche.
Mais à vouloir trop mettre de côté le rôle ingrat joué par Montréal à titre de moteur économique principal de tout le Québec, à vouloir y multiplier sans songer aux conséquences les pistes cyclables et les rues piétonnières parce que cela ferait plus sain, on asphyxie le coeur qui fait vivre la province en voulant remplacer ce coeur par un gros poumon…
Cela n’est pas la fonction d’une grande ville.
Si l’on veut pédaler jusqu’à satiété, s’emplir les bronches d’air pur, ce ne sont certainement pas les régions québécoises qui manquent. Des régions dont c’est justement – du moins en partie – le rôle d’offrir une contrepartie plus relaxante et écologique à la grande ville obligée, bien malgré elle, de jouer son rôle de locomotive. À défaut de quoi, tout le train finira par s’immobiliser.
Déjà, l’idéologie controuvée de certains a sérieusement entrepris un processus d’affaiblissement de Montréal, y provoquant des conditions menant à un ralentissement économique néfaste. Néfaste pas seulement pour Montréal, mais pour l’ensemble de la province étant donné la fonction motrice de cette grande ville.
Quel est l’apport véritable de – notamment – cette piste cyclable quatre saisons (dans un pays glacé près de six mois par année!) traversant le centre-ville? Celle-ci contribue-t-elle à réduire la pollution? Celle-ci apporte-t-elle un appui à la mission première et indispensable de Montréal dans le portrait d’ensemble québécois?
Pour ce qui est d’une réduction de la pollution, m’est plutôt avis que cette piste cyclable en plein centre-ville y aura davantage contribué… Parce que pour aller implanter cette piste, il a fallu réduire l’offre de stationnement et rendre plus étroites des rues.
Avec pour inévitable conséquence que les automobilistes encore assez obstinés pour vouloir se rendre au centre-ville y encourager des commerces (de plus en plus exsangues en raison d’une politique écolo inappropriée pour l’endroit), que ces automobilistes donc finissent par devoir tourner plus longuement en rond qu’auparavant pour finalement dénicher un endroit où se garer. Avec pour résultat net davantage de pollution qu’avant les pistes!
Et puis, avec pareille frustration au menu à chaque fois qu’il sera question de possiblement se déplacer jusqu’au centre-ville pour, de la sorte, contribuer à la survie des places d’affaires y ayant encore pignon sur rue, cela deviendra de moins en moins tentant d’y aller. Pourquoi en effet se taper une expérience pénible, à vouloir se rendre là où on aura tout fait pour nous occasionner une visite déplaisante?
Alors, les consommateurs motorisés, ceux qui ont des dollars à injecter dans l’économie montréalaise, se résigneront à dorénavant aller dépenser en banlieu. À se rendre à l’un ou l’autre de ces gros centres commerciaux offrant du stationnement gratuit à profusion à sa clientèle.
Et Montréal dépérira encore et encore.
Le rôle de Montréal, comme je l’ai précédémment mentionné, est ingrat. C’est un rôle de locomotive. En voulant modifier cette vocation de la métropole, on ne peut que lui nuire, ainsi quà l’ensemble du Québec.
Je vous crois de bonne foi, Monsieur Montmarquette. Vous estimez probablement sincèrement que votre vision et celle de vos supporters pourrait être bénéfique pour notre grande ville. Néanmoins, l’analyse que je fais pour ma part de la réalité me renvoie une toute autre image de ce que vous prônez relativement à Montréal.
Prenez donc un moment pour bien reconsidérer vos choix. Ne dit-on pas que l’enfer est pavé de bonnes intentions?
Je préférerais moi-même que Montréal puisse être un beau grand parc. Mais vouloir pareille chose et concrètement prendre des mesures pour y arriver serait tout simplement suicidaire et, en bout de ligne, nous ne nous retrouverions ni avec le grand parc désiré, ni avec une locomotive en bon état. Perdants sur toute la ligne.
Pensez-y très sérieusement.
Je n’ai jamais dit que je prônait l’élimination des chars.
Ça fait des années que je défend la production de véhicules électriques.
Mais mettre faire porter le chapeau du ralentissement économique et de la pollution de Montréal sur le dos des cyclistes !
– Wow ! – Faut le faire !
Ce ne sont pas les contradictions qui vous font peur !
C’est le développement anarchique le problème.
Il ne s’agit pas de simplement « plaquer » une diminution du nombre de voitures mais d’améliorer les transports en commun.
Et justement parque les hivers sont longs au Québec, nous avons désespérément besoin d’intégrer des moyens d’améliorer la santé publique afin que nos vies citadines trop sédentaires ne finissent pas par nous coûter une fortune en soins de santé.
Les impacts du cyclisme sont sans doute de beaucoup supérieur sur l’ensemble de la société que ses quelques dérangements pour une minorité de pistes cyclables qui soi-disant gênerait la circulation.
BIXI: le système québécois vendu à Londres et à Boston :
http://ruefrontenac.com/nouvelles-generales/societe/9316-bixi-quebecois-londres-boston
En fin de compte, c’est la démocratie et l’opinion publique qui tranchera.
Et c’est bien la première fois que j’entends du monde se plaindre des pistes cyclables.. Bixi est un formidable succès, on a même manqué de vélos pour fournir à la demande etc’est un projet qui fait exemple dans le monde.
BIXI: le système québécois vendu à Londres et à Boston :
http://ruefrontenac.com/nouvelles-generales/societe/9316-bixi-quebecois-londres-boston
Un moteur vert pour un Québec solidaire / 2005 :
http://www.cmaq.net/node/22679
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Désolé de vous avoir fait perdre votre temps, ainsi que le mien, Monsieur Montmarquette.
Ce que j’ai écrit n’a fait aucun chemin.
Pas la peine d’insister.
@Claude Perrier,
Vous n’avez pas à être désolé.
Je vous reconnais parfaitement le droit d’exprimer votre opinion.
Surtout que vous l’avez fait avec respect et décorum.
De plus, sachez que j’ai apprécié l’élaboration de votre commentaire.
Vous vous êtes donné la peine, et c’est méritoire.
Du choc des idées jaillit la lumière…
«Je ne suis pas d’accord avec ce que vous dites, mais je me battrai jusqu’au bout pour que vous puissiez le dire» – Voltaire.
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En face du 2020 Université pas loin de Maisonneuve il y’ a une piste cyclabe de la largeur de quatres vélos un à côté de l’autre . Les automobilistes et les camionneurs se partagent la moitié de la rue pour circuler et c’est bordélique .
J’ai pas vu un cycliste passé sur cette piste pendant les 15 minutes que j’ai été sur cette rue mais j’ai vu des camions et des autos en masse et se suivre à la queue leu-leu !
Évidemment pas trop loin de là des » donneux de tickets » étaient à l’affût des méchants conducteurs de véhicules délinquants !!!!
Monsieur Montmarquette faut pas charrier avec vos rêves de villes verte et non pollués , la DÉMESURE est TOUJOURS une mauvaise idée même pour l’environnement !
Si cela continue nous serons un ville verte en faillite avec des citoyens ayant les plus gros mollets de l’Amérique du Nord !