Ils doivent bien se respecter ou s’endurer dans dce genre de soirées de charité, pour des bonnes causes, malgré leurs luttes passées.
C’est la civilisation.
Pas nécessairement M. Gingras. Parce qu’ils se sont laissés photographier ensemble, ça ne veut pas dire qu’ils couchent ensemble…me semble. Prudence.
L’affiche est -full- bilingue même si elle respecte partiellement les petits caractères pour la version anglaise selon la loi d’affichage de Bourassa.
Bien belle photo sur la profondeur des amitiés bourgeoises, les maires et les éminences grises des conseils d’administration souriants devant la caméra. Ensembles pour nous diriger comme des enfants et nous faire croire à la vertu des démocraties.
Je croyais que Lucien n’aime pas Jean ou vice versa. Si Chrétien et Bouchard s’estiment maintenant c’est qu’ils nous prennent tous pour des cons finis.
Tocqueville aurait dit, celui qui était au 19ème siècle, l’aristocrate philosophe français. Qu’importe la démocratie, les électeurs par leurs suffrages finissent toujours par élire les élites.
Une photo parfaite pour donner raison aux abstentionnistes. Photo pour encourager le dégoût de la politique.
Pour un fédéraliste conservateur comme Lucien Bouchard ce n’est pas très » lucide » de se faire photographier avec deux libéraux !
Avec Dumont et Harper ce serait un peu plus naturel !
Déclaration d’amour de la gauche ici, un peu plus haut, de la part du « promoteur » fidèle et infatigable de Québec solidaire. Est-ce politique, physique ou intellectuel ? Intellectuel serait plus correct politiquement, on s’entend.
chercher l’erreur ?
On ne voie pas les dents a Gérald Tremblay….:-)
@ Ce billet et son titre se veulent être un simple clin d’oeil… Avouons que dans le contexte politique actuel – référence au maire -, et considérant les luttes épiques des deux autres messieurs, le trio, disons, ne passe pas inaperçu… Surtout avec des sourires aussi épanouis.
Lorsque pris en photo le bon maire s’est d’abord dit surpris d’être sur un bateau et a il bien juré qu’on ne l’y reprendrait plus en compagnie de Monsieur Accurso…
(…)
Mais non, attendez un peu là, au milieu de la photo là là… cet oeil taquin, ce rictus mauricien, çé pas Tony.
Cé Johnny…
ah ben jériboire!
Pis à droite là là sur la photo (…), çé pas Tony non plus ça, ben non çé notre spartiate Lucien qui délaisse l’austérité habituelle de son rude quotidien pour s’en envoyer une couple derrière le noeud papillon…
(…)
Tchin, tchin
La raison pour laquelle on les voit ainsi regroupé, c’est pour profité des achats groupés pour leurs costumes chez MOORE: Achetez en un et obtenez les deux autres gratis !
Cher M. Bousquet, je n’étais pas sérieux. 🙂
Chose qu’ils ont en commun, ils font tous les trois de la politique, active ou passive. Se faire photographier est de la politique passive.
Au Canada, il n’y a pas encore la haine épouvantable que l’on trouve dans les vieux pays marqués par les guerres, la trahison et les collaborations. Notre pays est encore vierge de ce phénomène social. Dieu merci!
Nous savons tous que nos vrais maîtres ne sont jamais élus, ils ont mieux à faire. Ils s’occupent de choses sérieuses, eux. Les politiciens, c’est le spectacle pour nous endormir. Malheureusement pour nous, c’est un cauchemard. C’est l’Homme, chantait Léo ferré.
Ah! misère
Voilà une image qui ne s’est pas perdue dans la salle des Pas perdus…
Décidément, Mme Legault, la chasse aux photos est ouverte! Après la mémorable photo de la « Famiglia » dans le « Suburban » en voici une autre tout aussi riche d’enseignement sur le « relativisme idéologique » de nos leaders politiques (surtout quand on sait maintenant qu’un pays s’est joué entre deux de ces acteurs à coups de « scandaleuses commandites »…).
Cachez ses affiliations que nous ne saurions voir…
Pour paraphraser le moto de l’évènement en question: A « vains-coeurs » rien n’est impossible…
Mais c’est vrai qu’une photo vaut mille mots quand il s’agit de montrer au grand jour les connivences des membres de la classe politique (ou de l’establishment politique) dans son ensemble, tous partis confondus…
Et la dissociation cognitive, pour une « bonne cause », est si facilement « politically correct » de nos jours… Surtout quand c’est la marque absolue de civilité entre gentlemans… Lulu eut-il refusé de se faire photographier avec « scandalous Little John », qu’il aurait immédiatement été taxé de « séparatisse sectaire », « d’immature politique », de « mauvais perdant » ou que sais-je encore… Les nationalistes québécois sont si notoirement intolérants… 😉
Votre photo me rappelle les beaux jours où feu R. Bourassa invitait le non moins feu P. Bourgault à « l’affronter » dans des débats publics sur la question de la souveraineté… Un maudit bon show pour la gallerie par deux autres bons amigos…
La « chose politique » est décidément une drogue qui pousse aux moeurs légères et puissions-nous exiger plus d’intégrité, de cohérence et de principes de nos gouvernants, rien n’y ferait sans un système politique plus désintoxiquant que celui en place…
Actuellement, avec les règles du « jeu politique » socialement acceptées, la marge est si fine entre compromis et compromission qu’on perd en un rien de temps sa virginité, voire son identité, au moindre bal bien arrosé…
Un peu comme dans l’allégorie romanesque d’un Tom Wolfe, où l’intégrité physique de son héroine (Charlotte) est immolée sur l’autel de « l’appartenance au groupe », c’est à se demander si « l’intégrité idéologique » de nos politiciens n’est pas un « bien social » aussi vulnérable à la pression des conventions sociales et de la rectitude politique que la virginité d’une collègienne dans un « frat party »…
Merci M. Gingras pour votre explication et pour souligner que, quand on se compare….ça console.
Vraiment, on dirait que ce n’est pas la première fois qu’ils fraternisent. On pourrait même croire à des retrouvailles. Des civilités, dites-vous, monsieur Bousquet, j’ose l’espérer puisque cela est beaucoup mieux que des banalités ou encore pire des servilités. Avouons tout de même que cela laisse une étrange impression! Car n’oublions que cet homme au milieu de cette photo, c’est celui-là même qui était premier ministre du Canada lors du dernier reférendum de 1995, le même qui a laissé entendre, si je ne m’abuse, qu’au au cas de victoire du oui, il ne l’aurait pas reconnue et aurait refusé d’y donner suite.( Voir à ce propos une dépêche de la Presse Canadienne du 27 septembre 2007, intitulé « Les propos de Jean Chrétien donnent des munitions aux bloquistes », dans lequel il est, notamment, rapporté ce qui suit: « Dans ses mémoires publiées samedi, l’ancien premier ministre libéral(Jean Chrétien) affirme que la question « tordue » du reférendum( de 1995) ne donnait aucun « mandat de sécession »au gouvernement du Parti québécois. « Le fait est qu’une mince majorité de oui n’aurait pu être interprétée comme la preuve irréfutable que les Québécois voulaient rompre leurs liens historiques avec le Canada. » » Cette affirmation anti-démocratique, et pour cela odieuse dans un système qui se veut et se dit démocratique, était par ailleurs contradictoire, car, » comme l’a rappelé monsieur Gilles Duceppe, le (même) premier ministre libéral, à la veille du vote, disait qu’il n’y avait pas de retour en arrière et que le résultat serait déterminant pour le reste du Canada. « Ça veut dire que deux jours avant le vote, dans son discours aux Québécois, il mentait, a-t-il insisté lors de son point de presse. Ce n’est pas respectable d’agir ainsi. » »( « entre guillemets », propos rapportés dans ce même article de la Presse canadienne). Par ailleurs, cette affirmation de monsieur Chrétien est symptômatique de la logique du « crétinisme » qui s’arrête là où cela fait son affaire. Car enfin, l’ affirmation anti-démocratique de monsieur Chrétien avait de sous-entendu, en toute logique, un corollaire, dont il n’a soufflé mot et qui était le suivant: Le fait est qu’une mince majorité de non ne pouvait être également, dans la même logique anti-démocratique, interprétée comme une preuve irréfutable que les Québécois ne voulaient pas rompre leurs liens historiques avec le Canada. Tout cela, me semble-t-il, serait suffisant en soi pour toute personne convaincue, qui a voté oui lors du reférendum de 1995 et qui a conservé ses convictions, pour repousser ce genre de civilités avec ce genre d’individu. Évidemment, mon affirmation, au sens des scribes de Gesca relèvent sûrement de la dureté et la mollesse, même encore convaincue, peut et doit sans doute penser autrement.
M. Boivin, chacun défend son équipe. Prenons M. Bouillon, notre joueur de hockey francophone qui a été changé. Maintenant, quand il est sur la glace, il tente de « scorer » dans les buts du CH. Quand il va prendre sa traite, il va probablement fraterniser avec ses ex-coéquipiers.
Monsieur Bousquet, êtes-vous en train de me dire que monsieur Bouchard est un ex-coéquipier de monsieur Chrétien: Ouais, c’est le temps que cela se sache!
Dans le cadre d’un spectacle de type «christique», je me demande lequel des trois pourrait jouer le Christ. Aussi, si les deux autres jouent le rôle des larrons, lequel sera le bon larron et lequel sera le mauvais larron.
FAITES VOS JEUX!
Moi, j’ai ma petite idée!
JSB
Voilà qui rappelle « le temps des bouffons » ..
Non M. Boivin, je crois que des adversaires peuvent fraterniser après la retraite, à la fin de leurs rôles qui leur ont permis de « gagner » leurs vies.
Les politiciens peuvent même changer de camps comme M. Jean Lesage qui était un ministre centralisateur à Ottawa et qui est devenu « Maître chez-nous nationaliste » comme « premier » du Québec. Pareil pour le ministre Libéral actuel des finances fédéraliste de droite, un ancien péquiste de gauche.
C’est à nous d’élire ceux qu’on veut à la place de critiquer à l’année.
Il y avait les 3 Mousquetaires, qui étaient quatre, maintenant il y a les 3 Traîtres, qui sont aussi quatre !
Lucien Bouchard, en particulier avec la »clause orphelin », il a trahi la jeune génération, optant pour les Bourgeois, ceux pour qui »liberté » signifie se payer le luxe que l’on veut, quand on le veut, comme on le veut, sans égard et sans solidarité sociale. Enfin, un personnage de droite, ce Lucien la »patte cassée », de la graine de dictature consacré par djeu qui aurait très bien germé au temps de Duplessis.
Gérard Tremblay, c’est le modèle ti-boss québécois tranquille en Cadillac de l’année qui trahit directement son entourage en les laissant tomber en faveur de ses intérêts personnels immédiats, un vrai p’tit libéral »teindu », traître à la p’tit semaine.
Jean Chrétien, que voulez-vous? Le plus odieux dénigreur de ses origines et de ses compatriotes, ce p’tit ti-gars de Shawinigan qui a trahi la Nation Québécoise 2 fois, avec PET lors du rapatriement de 82 et lors du référendum de 95, au point d’être responsable de l’avoir amené dans le dilemme actuel, c.-à-d., là où les Québécois(e)s se demandent comment éviter de se faire écraser dans l’étau Harper-Charest, n’ayant aucun moyen pour se défendre.
C’est abominable, cette photo de la petitesse dans la trahison de notre Élite, être encore capable de sourire en public après ce qu’ils ont fait, c’est certainement une indication de BÊTE TRAHISON.
Où est le 4ème Traître ?
Il ne manque à cette photo que Henri-Paul Rousseau pour faire un portrait complet de la très haute trahison dont à souffert le Québec des 30 dernières années. ‘‘On avait tellement d’argent qu’on ne savait plus quoi en faire, alors on l’a jeté, s’cusez mon lapsus, on en a fait des PCAA.’’ H.-P. R.
Un belle bande de Traîtres bouffons-heureux ayant abandonné les n.gres-blancs d’Amérique aux prédateurs, chacals, loups, hyènes, requins et DICTATEURS de la droite et de l’extrême-droite.
Qui se ressemble s’assemble?
Ils doivent bien se respecter ou s’endurer dans dce genre de soirées de charité, pour des bonnes causes, malgré leurs luttes passées.
C’est la civilisation.
Pas nécessairement M. Gingras. Parce qu’ils se sont laissés photographier ensemble, ça ne veut pas dire qu’ils couchent ensemble…me semble. Prudence.
L’affiche est -full- bilingue même si elle respecte partiellement les petits caractères pour la version anglaise selon la loi d’affichage de Bourassa.
Bien belle photo sur la profondeur des amitiés bourgeoises, les maires et les éminences grises des conseils d’administration souriants devant la caméra. Ensembles pour nous diriger comme des enfants et nous faire croire à la vertu des démocraties.
Je croyais que Lucien n’aime pas Jean ou vice versa. Si Chrétien et Bouchard s’estiment maintenant c’est qu’ils nous prennent tous pour des cons finis.
Tocqueville aurait dit, celui qui était au 19ème siècle, l’aristocrate philosophe français. Qu’importe la démocratie, les électeurs par leurs suffrages finissent toujours par élire les élites.
Une photo parfaite pour donner raison aux abstentionnistes. Photo pour encourager le dégoût de la politique.
Pour un fédéraliste conservateur comme Lucien Bouchard ce n’est pas très » lucide » de se faire photographier avec deux libéraux !
Avec Dumont et Harper ce serait un peu plus naturel !
Mouahahaha !!!!!!!!!!
Une photo vaut mille mots !!!!
Merrrrrrrrrrr… ciiiiiiiiiii !!!!!!!!!!! Josée !!!!!!!
Je vous aime !!!!!!
Un gros bec sur la joue !!!!!!!!
Jacques Parizeau attaque la droite :
http://www.vigile.net/Jacques-Parizeau-attaque-la-droite
.
Déclaration d’amour de la gauche ici, un peu plus haut, de la part du « promoteur » fidèle et infatigable de Québec solidaire. Est-ce politique, physique ou intellectuel ? Intellectuel serait plus correct politiquement, on s’entend.
chercher l’erreur ?
On ne voie pas les dents a Gérald Tremblay….:-)
@ Ce billet et son titre se veulent être un simple clin d’oeil… Avouons que dans le contexte politique actuel – référence au maire -, et considérant les luttes épiques des deux autres messieurs, le trio, disons, ne passe pas inaperçu… Surtout avec des sourires aussi épanouis.
Lorsque pris en photo le bon maire s’est d’abord dit surpris d’être sur un bateau et a il bien juré qu’on ne l’y reprendrait plus en compagnie de Monsieur Accurso…
(…)
Mais non, attendez un peu là, au milieu de la photo là là… cet oeil taquin, ce rictus mauricien, çé pas Tony.
Cé Johnny…
ah ben jériboire!
Pis à droite là là sur la photo (…), çé pas Tony non plus ça, ben non çé notre spartiate Lucien qui délaisse l’austérité habituelle de son rude quotidien pour s’en envoyer une couple derrière le noeud papillon…
(…)
Tchin, tchin
La raison pour laquelle on les voit ainsi regroupé, c’est pour profité des achats groupés pour leurs costumes chez MOORE: Achetez en un et obtenez les deux autres gratis !
Cher M. Bousquet, je n’étais pas sérieux. 🙂
Chose qu’ils ont en commun, ils font tous les trois de la politique, active ou passive. Se faire photographier est de la politique passive.
Au Canada, il n’y a pas encore la haine épouvantable que l’on trouve dans les vieux pays marqués par les guerres, la trahison et les collaborations. Notre pays est encore vierge de ce phénomène social. Dieu merci!
Nous savons tous que nos vrais maîtres ne sont jamais élus, ils ont mieux à faire. Ils s’occupent de choses sérieuses, eux. Les politiciens, c’est le spectacle pour nous endormir. Malheureusement pour nous, c’est un cauchemard. C’est l’Homme, chantait Léo ferré.
Ah! misère
Voilà une image qui ne s’est pas perdue dans la salle des Pas perdus…
Décidément, Mme Legault, la chasse aux photos est ouverte! Après la mémorable photo de la « Famiglia » dans le « Suburban » en voici une autre tout aussi riche d’enseignement sur le « relativisme idéologique » de nos leaders politiques (surtout quand on sait maintenant qu’un pays s’est joué entre deux de ces acteurs à coups de « scandaleuses commandites »…).
Cachez ses affiliations que nous ne saurions voir…
Pour paraphraser le moto de l’évènement en question: A « vains-coeurs » rien n’est impossible…
Mais c’est vrai qu’une photo vaut mille mots quand il s’agit de montrer au grand jour les connivences des membres de la classe politique (ou de l’establishment politique) dans son ensemble, tous partis confondus…
Et la dissociation cognitive, pour une « bonne cause », est si facilement « politically correct » de nos jours… Surtout quand c’est la marque absolue de civilité entre gentlemans… Lulu eut-il refusé de se faire photographier avec « scandalous Little John », qu’il aurait immédiatement été taxé de « séparatisse sectaire », « d’immature politique », de « mauvais perdant » ou que sais-je encore… Les nationalistes québécois sont si notoirement intolérants… 😉
Votre photo me rappelle les beaux jours où feu R. Bourassa invitait le non moins feu P. Bourgault à « l’affronter » dans des débats publics sur la question de la souveraineté… Un maudit bon show pour la gallerie par deux autres bons amigos…
La « chose politique » est décidément une drogue qui pousse aux moeurs légères et puissions-nous exiger plus d’intégrité, de cohérence et de principes de nos gouvernants, rien n’y ferait sans un système politique plus désintoxiquant que celui en place…
Actuellement, avec les règles du « jeu politique » socialement acceptées, la marge est si fine entre compromis et compromission qu’on perd en un rien de temps sa virginité, voire son identité, au moindre bal bien arrosé…
Un peu comme dans l’allégorie romanesque d’un Tom Wolfe, où l’intégrité physique de son héroine (Charlotte) est immolée sur l’autel de « l’appartenance au groupe », c’est à se demander si « l’intégrité idéologique » de nos politiciens n’est pas un « bien social » aussi vulnérable à la pression des conventions sociales et de la rectitude politique que la virginité d’une collègienne dans un « frat party »…
Merci M. Gingras pour votre explication et pour souligner que, quand on se compare….ça console.
Vraiment, on dirait que ce n’est pas la première fois qu’ils fraternisent. On pourrait même croire à des retrouvailles. Des civilités, dites-vous, monsieur Bousquet, j’ose l’espérer puisque cela est beaucoup mieux que des banalités ou encore pire des servilités. Avouons tout de même que cela laisse une étrange impression! Car n’oublions que cet homme au milieu de cette photo, c’est celui-là même qui était premier ministre du Canada lors du dernier reférendum de 1995, le même qui a laissé entendre, si je ne m’abuse, qu’au au cas de victoire du oui, il ne l’aurait pas reconnue et aurait refusé d’y donner suite.( Voir à ce propos une dépêche de la Presse Canadienne du 27 septembre 2007, intitulé « Les propos de Jean Chrétien donnent des munitions aux bloquistes », dans lequel il est, notamment, rapporté ce qui suit: « Dans ses mémoires publiées samedi, l’ancien premier ministre libéral(Jean Chrétien) affirme que la question « tordue » du reférendum( de 1995) ne donnait aucun « mandat de sécession »au gouvernement du Parti québécois. « Le fait est qu’une mince majorité de oui n’aurait pu être interprétée comme la preuve irréfutable que les Québécois voulaient rompre leurs liens historiques avec le Canada. » » Cette affirmation anti-démocratique, et pour cela odieuse dans un système qui se veut et se dit démocratique, était par ailleurs contradictoire, car, » comme l’a rappelé monsieur Gilles Duceppe, le (même) premier ministre libéral, à la veille du vote, disait qu’il n’y avait pas de retour en arrière et que le résultat serait déterminant pour le reste du Canada. « Ça veut dire que deux jours avant le vote, dans son discours aux Québécois, il mentait, a-t-il insisté lors de son point de presse. Ce n’est pas respectable d’agir ainsi. » »( « entre guillemets », propos rapportés dans ce même article de la Presse canadienne). Par ailleurs, cette affirmation de monsieur Chrétien est symptômatique de la logique du « crétinisme » qui s’arrête là où cela fait son affaire. Car enfin, l’ affirmation anti-démocratique de monsieur Chrétien avait de sous-entendu, en toute logique, un corollaire, dont il n’a soufflé mot et qui était le suivant: Le fait est qu’une mince majorité de non ne pouvait être également, dans la même logique anti-démocratique, interprétée comme une preuve irréfutable que les Québécois ne voulaient pas rompre leurs liens historiques avec le Canada. Tout cela, me semble-t-il, serait suffisant en soi pour toute personne convaincue, qui a voté oui lors du reférendum de 1995 et qui a conservé ses convictions, pour repousser ce genre de civilités avec ce genre d’individu. Évidemment, mon affirmation, au sens des scribes de Gesca relèvent sûrement de la dureté et la mollesse, même encore convaincue, peut et doit sans doute penser autrement.
M. Boivin, chacun défend son équipe. Prenons M. Bouillon, notre joueur de hockey francophone qui a été changé. Maintenant, quand il est sur la glace, il tente de « scorer » dans les buts du CH. Quand il va prendre sa traite, il va probablement fraterniser avec ses ex-coéquipiers.
Monsieur Bousquet, êtes-vous en train de me dire que monsieur Bouchard est un ex-coéquipier de monsieur Chrétien: Ouais, c’est le temps que cela se sache!
Dans le cadre d’un spectacle de type «christique», je me demande lequel des trois pourrait jouer le Christ. Aussi, si les deux autres jouent le rôle des larrons, lequel sera le bon larron et lequel sera le mauvais larron.
FAITES VOS JEUX!
Moi, j’ai ma petite idée!
JSB
Voilà qui rappelle « le temps des bouffons » ..
Non M. Boivin, je crois que des adversaires peuvent fraterniser après la retraite, à la fin de leurs rôles qui leur ont permis de « gagner » leurs vies.
Les politiciens peuvent même changer de camps comme M. Jean Lesage qui était un ministre centralisateur à Ottawa et qui est devenu « Maître chez-nous nationaliste » comme « premier » du Québec. Pareil pour le ministre Libéral actuel des finances fédéraliste de droite, un ancien péquiste de gauche.
C’est à nous d’élire ceux qu’on veut à la place de critiquer à l’année.
Il y avait les 3 Mousquetaires, qui étaient quatre, maintenant il y a les 3 Traîtres, qui sont aussi quatre !
Lucien Bouchard, en particulier avec la »clause orphelin », il a trahi la jeune génération, optant pour les Bourgeois, ceux pour qui »liberté » signifie se payer le luxe que l’on veut, quand on le veut, comme on le veut, sans égard et sans solidarité sociale. Enfin, un personnage de droite, ce Lucien la »patte cassée », de la graine de dictature consacré par djeu qui aurait très bien germé au temps de Duplessis.
Gérard Tremblay, c’est le modèle ti-boss québécois tranquille en Cadillac de l’année qui trahit directement son entourage en les laissant tomber en faveur de ses intérêts personnels immédiats, un vrai p’tit libéral »teindu », traître à la p’tit semaine.
Jean Chrétien, que voulez-vous? Le plus odieux dénigreur de ses origines et de ses compatriotes, ce p’tit ti-gars de Shawinigan qui a trahi la Nation Québécoise 2 fois, avec PET lors du rapatriement de 82 et lors du référendum de 95, au point d’être responsable de l’avoir amené dans le dilemme actuel, c.-à-d., là où les Québécois(e)s se demandent comment éviter de se faire écraser dans l’étau Harper-Charest, n’ayant aucun moyen pour se défendre.
C’est abominable, cette photo de la petitesse dans la trahison de notre Élite, être encore capable de sourire en public après ce qu’ils ont fait, c’est certainement une indication de BÊTE TRAHISON.
Où est le 4ème Traître ?
Il ne manque à cette photo que Henri-Paul Rousseau pour faire un portrait complet de la très haute trahison dont à souffert le Québec des 30 dernières années. ‘‘On avait tellement d’argent qu’on ne savait plus quoi en faire, alors on l’a jeté, s’cusez mon lapsus, on en a fait des PCAA.’’ H.-P. R.
Un belle bande de Traîtres bouffons-heureux ayant abandonné les n.gres-blancs d’Amérique aux prédateurs, chacals, loups, hyènes, requins et DICTATEURS de la droite et de l’extrême-droite.
Merci mon djeu, on va tous mourir une jour !!