En fin de semaine, le Parti québécois a tenu son colloque sur le thème de «gouvernement souverainiste et développement culturel».
Donc, ce fut une «discussion» où, par définition, aucune position ne fut arrêtée sur la question linguistique. Le tout devant déboucher sur un congrès au printemps 2011, là où les «décisions» devraient normalement se prendre.
En termes plus généraux, la chef, Pauline Marois, y promettait ceci: «Nous allons être audacieux, nous allons être clairs, nous allons être fiers.»
Un ton, tout au moins, qui semble plus déterminé.
http://www.ledevoir.com/politique/quebec/277811/il-faut-faire-reculer-l-anglais-dit-marois
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Ce qui, toutefois, soulève inévitablement la question des cégeps.
Ou, plus précisément à savoir si le PQ finira, ou non, par s'engager à étendre la Loi 101 aux cégeps. Donc, à interdire les cégeps anglophones aux francophones et aux allophones. Et surtout, à savoir s'il le ferait une fois au pouvoir.
Quoique tout soit possible en politique, si l'on part du principe voulant que le passé soit garant de l'avenir, vu sous cet angle, il semble peu probable qu'il le fasse.
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En fait, même au pouvoir, dès 1996, les chiffres inquiétants suivants étaient colligés:
En 1994, seulement 64% des étudiants allophones qui avaient reçu leur enseignement secondaire en français poursuivaient leurs études collégiales en français. Alors que ce pourcentage était de 81% en 1983. (En 1994, 52,9% des allophones s'inscrivaient aussi déjà dans une université anglophone.)
«C'est dire que si l'obligation de recevoir un enseignement en français au secondaire a eu un effet positif sur l'enseignement d'ordre collégial, le pouvoir d'attraction des cégeps francophones est en perte de vitesse.» (1)
Le problème demeure depuis.
Un problème qui dans les faits, lorsqu'on compare le Québec aux autres provinces et États américains, fait figure d'aberration.
D'autant plus qu'en 2002, à peine 57% des allophones ayant fait leurs études secondaires en français passaient à un cégep francophone. Aujourd'hui, ce pourcentage n'a remonté que très légèrement autour des 60.
Mais on en «discute» encore.
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Posons-nous alors la question suivante, que je pose depuis des années:
Croyez-vous sincèrement que si, disons, à Toronto ou à Calgary, entre 40% et 50% des allophones décidaient de poursuivre leurs études supérieures en français (les cégeps étant des institutions québécoises), les gouvernements ontarien ou albertain refuseraient d'intervenir? Qu'ils laisseraient aller?
Croyez-vous vraiment, vraiment, vraiment que les Ontariens et les Albertains accepteraient de subventionner par leurs impôts l'éducation supérieure des allophones dans la langue de la «minorité de langue officielle», comme on dit à Ottawa?
Poser ces questions, c'est leur répondre.
Quoiqu'elles soient en quelque sorte des questions pièges…
Puisque, de toute façon, il n'y a qu'au Québec qu'existe un réseau complet d'institutions d'éducation supérieure fonctionnant dans la langue de la minorité de langue officielle.
De fait, il n'y a qu'au Québec qu'on accepte de voir une telle proportion d'allophones choisir de poursuivre leurs études supérieures dans une langue autre que celle de la majorité.
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Car si on considère les allophones dans leur ensemble, et non seulement ceux ayant fait leurs études secondaires en français, c'est plus ou moins la moitié d'entre eux qui optent pour un cégep ou une université anglophone.
Voici d'ailleurs ce qu'observait l'an dernier le professeur Charles Castonguay dans L'aut'Journal::
«Étendre la loi 101 au cégep hausserait d'abord la proportion d'allophones qui font leurs études collégiales en français. Ce qui, en toute vraisemblance, exercerait ensuite un effet haussier sur la proportion d'allophones qui travaillent en français. Ce qui, à son tour, ferait de même pour la part du français vis-à-vis de l'anglais comme langue d'adoption au foyer. Et, donc, pour le renouvellement démographique de la population francophone. (…)
Résumons. On peut dire grosso modo qu'à l'heure actuelle, environ la moitié des allophones étudient au cégep en anglais, fréquentent l'université anglaise, travaillent en anglais et, sans doute, choisissent, dans le milieu de vie montréalais, de s'angliciser et d'élever leurs enfants en anglais au lieu de se franciser et d'élever leurs enfants en français.
On peut laisser les choses comme elles sont. Quitte à voir la population anglophone croître plus rapidement que celle de langue française, comme on l'a vu entre les deux derniers recensements. Autrement dit, à voir le Québec devenir, graduellement, de moins en moins français et de plus en plus anglais.
Ou bien on peut intervenir de nouveau pour faire davantage du français la langue « normale et habituelle » de l'enseignement et du travail, comme le voulait la Charte de la langue française. Et, du même coup, la langue «normale et habituelle» d'adoption à la maison parmi les nouveaux arrivants, assurant ainsi le statut majoritaire de la population de langue française. Ce qui était également une considération de tout premier ordre dans le Livre blanc qui annonçait la Charte en mars 1977.»
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Bref, reprenons la question en jeu:
Agir?
Ou rester les bras croisés alors que le glissement vers l'anglais est pourtant connu depuis au moins 1996 et amorcé dans les faits depuis 1983?…
On sait que le PLQ ne fera rien sur cette question. Quant à l'ADQ, pour le moment, elle semble être occupée à autre chose: sa propre survie…
Ne reste que le PQ. Mais encore une fois, à la lumière de son dernier passage au pouvoir, il semble peu probable qu'il s'engage en bout de piste à étendre la Loi 101 aux cégeps s'il prenait le pouvoir.
À moins, bien sûr, que la pression dans ce sens se fasse sentir de plus en plus d'ici son congrès de 2011. Autant de la base péquiste elle-même, que de la députation et surtout, de la société civile. Et que Mme Marois, sur ce chapitre, finisse par surprendre.
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(1): La situation de la langue française au Québec (Projet, janvier 1996), Rapport remis à la Ministre responsable de l'application de la Charte de la langue française, p. 167. (Mieux connu sous le nom informel de «rapport Plourde-Legault»).
Aborder la question des CEGEP, c’est bien. Il faudra aussi aborder la question du biliguisme exigé par des employeurs à des postulants alors que ces futurs travailleurs, employés, n’auront pas accès à la clientèle.
Etre polyglotte est un atout pour un commis devant servir la clientèle. Il n’est pas nécessaire d’être polyglotte pour travailler à l’entrepôt ou au bureau. Et si le patron ne parle pas français, alors là, qu’il ait recours à un interprête. C’est lui, le patron, qui doit pouvoir communiquer dans la langue de la majorité.
Evidemment, cela n’est qu’un rêve. Tant que le Québec sera provincial, la puissance de l’anglais et le fait que l’anglais est une langue officielle du pays… On l’a et l’aura dans le baba jusqu’à ce que l’on quitte ce pays qui fait des pieds et des mains pour nous assimiler. On nous aime comme ça : assimilés. Comme un aime un chien bien dressé.
Au pied, le Québec! Eh! oui.
C’est quoi le rapport avec Toronto ou Calgary ? Aussi bien se comparer à Tokyo ou Calcutta.
Les francophones et les allophones du Québec veulent apprendre l’anglais, c’est bien évident. Mme Legault devrait en savoir quelque chose, elle qui écrit à la Gazette, non ?
Le PQ fait fausse route et devra faire face au ressac populaire si jamais il imposait une telle restriction. Mais que voulez-vous, sa perte de popularité combiné à un vide de leadership, provoque des gestes de désespoir qui auront des conséquences importantes. Limiter l’accès au CEGEPs pourrait accélérer sa marginalisation auprès des francophones conscients de l’importance d’apprendre l’anglais , quoiqu’en disent les apôtres de la disparition. Ceux-ci se réunissent en congrès supposément sérieux et ne trouvent rien de plus important à débattre que l’achat d’un bagel.
Le système scolaire public québécois a échoué dans l’enseignement du français et a lamentablement échoué dans l’enseignement de l’anglais, c’est une évidence incontestable. Réforme après réforme, le même triste constat est exposé à la vue de tous. Vouloir contourner le vrai problème avec un débat identitaire chargé d’émotion est jouer avec le feu.
On verra bien qui se brûlera les doigts.
@ Bien sûr, les cégeps ne sont qu’un domaine d’intervention parmi d’autres…
@ Mais un domaine essentiel.
On est pas obligé de fréquenter un CEGEP de l’angue anglaise pour apprendre l’anglais. Lisez Harry Potter et des centaines de livres en anglais. J’en ai chez moi, des centaines de livres, en anglais, en français. Il y a aussi les bibliothèques publiques, des amis\es, des collègues, des films, la radio, la télévision. Un peu d’imagination, que diable.
Au pire, faites comme Yvon Deschamp : épousez une anglophone, vous allez rire. Elles peuvent être très drôles. En prime, vos enfants seront bilingues, sans efforts. C’est-y pas beau, ça?
@ Personne ne cherche à «empêcher» qui que ce soit d’apprendre l’anglais… Que l’on écrive ou non pour The Gazette…Ce serait d’ailleurs mission impossible à Montréal et dans l’Outaouais…
La question est ici à savoir si le Québec, seule société majoritairement francophone du continent, doit continuer à subventionner l’éducation supérieure de la moitié des allophones dans la langue de la minorité? Ce qu’aucun autre État sur ce continent, ou ailleurs, ne fait.
D’autant plus qu’ici, cette belle générosité, comme l’explique si bien le prof. Castonguay, a une incidence négative sur les transferts vers le français, l’usage du français dans les milieux de travail, etc….
J.Legault, répondre à des aveugles cela sert t’il? Des individus comme Lépine qui regrettent inconsciemment de ne pas êtres nés anglophones c’est d’un pathétique cela fait mal au coeur que de les lires.
Quant au système scolaire québécois. Tous les systèmes scolaires en Occident connaissent des problèmes de type variable. Aux É.U comme en France, etc.
Monsieur Lépine ou tel un disciple de Trudeau rempli, dévoré de sa haine de soi désespéré de ne pas être un vrai Canadien. Je ne suis pas gentil, bête et méchant mais que diable, monsieur Lépine que reprochez vous donc à ce point aux Québécois en tant que francophones de souche ou d’adoption. Et au PQ qui n’a pas commis un crime de guerre contre l’humanité pendant le régime Lévesque ou plus tard bien au contraire! Vous êtes imbuvable!
Nouveau sujet dans Voix Publique, je me suis fait prendre en écrivant dans Vendredi mémorable. Copie de mes deux points sur J. Lapierre et F.David.
Au NOM de la notion de SERVICE PUBLIC dans les MÉDIAS.
Transcription d’une plainte et du rejet d’une chaîne.
Jean Lapierre est un spin doctor des Partis Libéral du Canada et du Québec. TVA le présente comme un analyste, or ses antennes libérales transparaissent régulièrement dans ses propos. Son dernier commentaire à LCN en rapport avec le colloque du PQ lorsqu’il mentionne avec mépris l’existence d’une supposée chapelle péquiste relève d’un propos partisan tout comme en complément son insensibilité à l’égard de la régression de l’usage du français dans la métropole ne le rend guère perspicace quant à ses analyses.
Si le journaliste Larocque n’est identifiable à aucun camp et que généralement ses commentaires politiques apparaissent équilibrés, ce n’est pas le même scénario avec Lapierre.
TVA-LCN a engagé Lapierre comme analyste il y a deux ans comme si Radio Canada aurait engagé Liza Frulla comme analyste politique, c’est Michel C.Auger, journaliste professionnel qui l’est analyste à Radio Canada et RDI. Madame Frulla est plutôt du type spin doctor libérale identifiée de façon similaire à Jean Pierre Charbonneau péquiste dans le Club des ex à RDI.
Je ne serais pas éternellement abonné à Vidéotron-Québécor si TVA- Québécor maintient l’emploi de Lapierre en tant qu’analyste parce que ce n’est ni plus ni moins qu’une supercherie et maintenant selon le choix d’un abonné du câble, c’est sans hésitation que dans les prochains jours, je vais faire disparaître de mon forfait de télévision, la chaîne LCN qui ne respecte pas l’éthique qui consiste d’engager des journalistes sans affiliation politique en tant qu’analystes. Il y a des limites à tolérer de telles absurdités informatives. Je n’ai pas besoin d’un analyste libéral à TVA-LCN pour me faire bourrer la tête politiquement, cet
-analyste- est peint en rouge foncé, il n’est pas crédible pour des centaines et des centaines de milliers de Québécois si ce n’est davantage.
Jean Lapierre devrait quitter ses fonctions d’analyste. Que TVA l’engage comme spin doctor d’un Club des ex maison, voilà qui serait honnête de la part de TVA.
Pierre Bouchard, citoyen et aussi CLIENT de QUÉBÉCOR.
Petit mot sur Françoise David de QS. Selon elle à Maisonneuve en direct, Il y a un problème linguistique à Montréal mais il faut faire attention, vérifier par des études ce qui se passe. Les études existent déjà dont celle d’un Charles Castonguay mais lorsqu’avec mépris sur le ton d’une mère supérieure elle parle de ces anecdotes sur l’usage du français à Montréal qui ne sont pas concluantes qu’elle prenne garde parce que ce sont celles ci qui illustrent des situations concrètes qui ne relèvent pas des limites strictes de froides statistiques.
Curieux que l’écoute de la parole de cette politicienne située à gauche qui prétend parler au nom du peuple.
Rien n’interdit de penser que QS ne peut prendre aussi le champ en termes d’intelligence politique. Peut être qu’avec son colloque non décisionnel, le PQ nous chante une berceuse ce qui ne veut pas dire que les responsables de QS ne nous chantent pas aussi de belles paroles creuses sur la souveraineté.
Il y a un lien sur Maisonneuve.
Sur la préservation de sa culture. Référence et rappel de Claude Lévi Strauss.
L’ethnologue et la nation. Le Devoir
http://www.ledevoir.com/societe/actualites-en-societe/277605/l-ethnologue-et-la-nation
(….) Lors d’un bref entretien qu’il avait eu la gentillesse de m’accorder (C.L.Strauss) il y a une dizaine d’années, il avait affirmé: «Je trouverais navrant que le Québec se fonde dans une sorte de culture moyenne nord-américaine. Une langue, c’est un monument qui est aussi, sinon plus, respectable qu’un monument de pierre. Chaque culture représente un capital de richesse humaine considérable. Chaque peuple a un capital de croyances et d’institutions qui représente dans l’ensemble de l’humanité une expérience irremplaçable.»
Si les Québécois ont quelque chose à retenir de Claude Lévi-Strauss, c’est qu’ils n’ont nullement à avoir honte de ce qu’ils sont et que tout ce qu’ils font pour préserver leur identité dans le respect des autres est un apport à l’humanité tout entière.-
La seule chance qu’a le PQ de reprendre le pouvoir un jour, c’est la question linguistique. Le PQ ne parle même plus de souveraineté. La dernière campagne se résume ainsi : ‘votez pour nous, nous ne sommes pas le PLQ’. Ce qui est à peine vrai. Vraiment, la seule chance qu’il lui reste, c’est une position ferme sur la langue. La petite enfance et les CÉGEPS en français et boucher le trou dans la loi 104. C’est à peu près la seule chose qui pourrait inciter les péquistes déçus à aller voter (à part la souveraineté bien entendu). Qui sait, il y aurait peut-être même quelques libéraux francophones dégoutés par l’inaction de Charest qui pourraient les appuyer ?
Le PQ n’est même pas au pouvoir. Il a beaucoup de temps d’y penser et y repenser.
Il reste entre 3 et 4 ans de pouvoir au très provincial PLQ de M. Charest, un parti anglophile qui est élu par une très grande majorité d’anglophones et une minorité de francophones.
Un extrait d’un texte d’humeur envoyé ailleurs qui me fait penser à vous monsieur Pomerleau.
(…)J.J.Charest est le premier ministre du Québec le plus irresponsable depuis 75 ans même Duplessis lui est supérieur à certains égards. Que Montréal ou tout le Québec devienne bilingue ou un nouveau Nouveau Brunswick très minoritaire pour les francophones. J.J.Charest s’en fiche. (…)
De quoi avons-nous peur, de se faire dire encore qu’on n’est pas correct, de se faire amener en Cour suprême peut-être, de se faire menacer des plus grands malheurs économiques, de se faire accuser de s’attaquer à l’autre minorité puisqu’on réduirait du coup l’achalandage au Cegep anglophone, que sais-je !?!
Franchement, ça n’a plus d’allure de continuer à faire le jeu des hypocrites de tous acabits qui ne souhaitent que notre disparition pour, croient-ils, faciliter leurs rêves d’avidités capitalistes égoïstes. Ce que nous vivons est une trahison vécue douloureusement jour après jour.
Vivre, c’est autre chose que de satisfaire les vœux du boss et vivre en français a autant de valeur, humainement parlant, que de vivre dans n’importe quelles autres langues. Ma langue maternelle, ça m’appartient, ça fait partie de ma personne tant physique qu’intellectuelle ou psychique. C’est une richesse, un trésor légué par l’intermédiaire de millions de gens à travers les âges jusqu’à moi et par conséquent, ma langue est faite de chair et de sang, s’articulant et sonnant d’une manière unique, témoignant par sa littérature et autres usages artistiques, scientifiques, commerciaux et institutionnels, de sa très légitime, naturelle et brillante place dans la diversité humaine.
De plus, c’est pour moi un cri du cœur, puissant et continuel pour la liberté, ma liberté personnelle et celle de mon peuple, un peuple qui souffre du joug d’un autre AUTRE qui nous opprime en tentant de nier nos droits dans un seul but, nous conquérir en nous forçant à l’assimilation.
Si à Toronto ou à Calgary, il serait impensable qu’une minorité linguistique puissent jouir d’institutions publiques jusqu’aux plus hauts niveaux universitaires, c’est pourtant ce qui existe au Québec et en plus, il faudrait laisser ceux et celles qu’on accueille, nous opprimer à leurs tours, en leur permettant de nous laisser tomber dans notre combat pour l’existence ?? Donc, c’est la réciprocité toute naturelle entre deux ‘‘peuples égaux’’ qui est la solution. Ici au Québec, les enfants d’immigrants doivent aller s’instruire en français.
L’oppresseur est super puissant, convaincu qu’il est de détenir une supériorité légué par djeu et la couronne d’Angleterre alors, se gêner correspondrait à encore plier l’échine, à faire preuve de naïveté et de faiblesse. Il faut comme en 1976-77, repousser l’envahisseur avec toute la conviction justifiée et ainsi rétablir la frontière du Québec-français à son lieu géographique.
Le Cegep en français doit devenir obligatoire pour les enfants d’Allophones dans le respect conséquent et légitime de la grande majorité des Québécois(e)s, favorisant de plus ainsi, une plus grande et meilleure intégration à la ‘‘Québecité’’ dans la tolérance mutuelle.
Trouvons les forces de survivre jusqu’à la prochaine élection de l’État du Québec !!
Il existe au Québec un scandale systémique et récurrent : alors que la population anglophone du Québec est de moins de 10 % de la population totale, les collèges et universités anglophones du Québec reçoivent 26 % des subventions gouvernementales. Ce qui revient à dire que les universités francophones ne reçoivent pas la juste part qu’elles devraient avoir. Le Québec finance lui-même son assimilation à l’anglais.
Pour une question de justice envers la majorité, il est grand temps que le réseau d’enseignement anglophone au Québec ne soit subventionné qu’au prorata de la proportion de véritables anglophones au Québec, et ce à tous les niveaux : primaire, secondaire, et surtout aux niveaux collégial et universitaire.
Le temps presse. Plus de 50% des allophones vont au cégep et à l’université en anglais, et commencent ainsi leur vie sociale et adulte en anglais : la meilleure recette pour qu’ils restent anglophones le reste de leurs jours! Alors, avec 55 000 nouveaux immigrants par année, proportionnellement plus que tout autre pays qui n’est même pas menacé de survie, la tendance est très inquiétante pour le peuple québécois.
Va-t-on pour une fois s’interroger sur le degré de subvention des universités et des cégeps anglophones du Québec eu égard au poids démographique des vrais anglophones du Québec? Trois universités anglophones pour quel pourcentage de vrais anglophones?
À quand une Commission d’enquête sur cette situation absurde?
Ce n’est sûrement pas M. Charest qui va la mettre sur pied, lui qui reçoit l’appui quasi unanime (sinon rhodésien) des anglophones et des allophones anglicisés.
Pendant ce temps, au Colloque du PQ, on dit : «On veut discuter, réfléchir, entendre : il n’y aura pas en sortant de là de prise de position». Pourtant , il y a grande urgence. Quand est-ce qu’on va agir ?
Madame Legault,
Votre analyse comme toujours et très pointue et pertinente, sauf me semble-t-il pour la prospective…
« Quoique tout soit possible en politique, si l’on part du principe voulant que le passé soit garant de l’avenir, vu sous cet angle, il semble peu probable qu’il le fasse. »
Ce jugement et procès d’intention ne me semble pas tenir compte d’une donnée essentielle. À l’époque, l’un des arguments pour ne pas bouger tenait compte de l’idée que la loi 101 et les incitatifs subséquents auraient des effets d’entraînements qu’on voulait voir se perpétuer jusqu’au cégep, et pour cela on invoquait le fait qu’il fallait attendre de voir se confirmer ou infirmer les tendances anciennes, en pariant sur le fait que la francisation réussie des classes fasse son effet. Il fallait que jeunesse se passe.
Or, cet argument ne tient plus, ce qui a fait changer d’avis des souverainistes comme Bernard Landry. Et, il n’y a pas besoin d’attendre une large augmentation de la tendance néfaste. Le fait qu’elle augmente, et ne recule pas suffit.
Ce qui permettrait de conclure que si le passé est garant de l’avenir, l’argument passé ne pouvant plus tenir, les réserves antérieures tomberaient. Ce qui nous permet d’espérer un consensus en faveur duquel vous plaidez for bien !
Merci de le faire.
Le français, c’est la plus sensible des 36 cordes des Québécois.
Voulons-nous rester ce que nous sommes, ou accepterons-nous de nous diluer dans la mer anglophone?
À nous de décider, et d’agir en conséquence en exigeant d’être servis en français, en exigeant un engagement ferme des partis politiques en faveur de la langue officielle du Québec, le français.
Quant à l’immigration, il y a un grand principe : « Immigrer dans un pays est un privilège, pas un droit. » Et ce privilège doit se mériter.
Dans le cas du Québec, ce privilège se mérite par l’engagement de la part de l’immigrant d’apprendre la langue officielle qui est le français s’il ne la connaît pas suffisamment. Et la citoyenneté québécoise ne devrait être accordée qu’aux immmigrants qui connaissent suffisamment la langue française, politique analogue à celle qui est appliquée dans de nombreux pays.
C’est à l’immigrant qu’il appartient de faire l’effort de s’intégrer à la majorité francophone et de respecter notre mode de vie et nos coutumes. Malgré ce que certains peuvent dire, les Québécois ont été très accueillants, même trop accueillants diront d’autres. Mais notre bonasserie commence à nous jouer de vilains tours, la moitié des immigrants allophones s’intégrant plutôt à la minorité anglophone.
Le Québec est une nation pacifique avec ses caractéristiques distinctes qui mérite de se perpétuer avec son identité propre et selon ses propres choix. Nous avons pleinement le droit d’être ce que nous sommes, comme chaque peuple de la terre. Il est temps que le Québec soit le maître de son avenir.
Le jour où le Québec assumera pleinement son identité française sur cette terre d’Amérique; sans aucuns complexes et délesté de son bon vieux sentiment de culpabilité, nous serons sur la bonne « track »…
Il est urgent qu’au Québec nous en venions à faire les choses par et pour nous-mêmes et ce sans égard à l’opprobre dont nous affuble de façon générale notre minorité de langue anglaise et le reste du Canada…
En terminant et comme le disait Edward R. Murrow, le présentateur vedette du réseau américain CBS dans les années 1950 et l’un de ceux ayant contribué à la chute du sénateur Joseph McCarthy…
« good night and good luck »
Bien écrit et logique, M. Archambault.
Bonsoir à tous,
Et si c’était Toronto ou Calgary, les nationalistes chauvins n’aurait pas à déménager dans le 450, soit vers la rive sud, soit vers le nord à Laval ou vers l’est dans le bout de l’Île comme on dit. Mais jamais vers l’ouest, car c’est le fief des anglophones. Et il faut le dire, un nationaliste québécois souffre le martyr dans une métropole comme Montréal car trop cosmopolite et surtout multi-ethnique.
En effet, marcher d’un coin de rue à un autre devient laborieux avec le temps car on entends deux personnes parlant anglais et un peu plus loin , une personne de couleur et deux asiatiques qui cheminent lentement et comble du malheur, en parlant la langue de la fière Albion. Et bien, à se torturer ainsi et faire souffrir son patriote intérieur, on déménage tout de go dans le 450 pour se retrouver entre (NOUS).
En outre, et c’est ainsi que du nord, du sud et de l’est de l’Île on peut vociférer et hurler à tout vent que Montréal s’anglicise , on n’est plus chez nous et tutti quanti…… Tralalalalaire et une petite gigue avec ca, SVP.
De plus, et si on mettait le (JOUAL) sur le même pied que la langue anglaise dans une loi 101 remodelée comme un danger pour la langue de Molière encore plus pernicieux que l’anglais, et bien, j’embarque.
En outre, comment avoir le culot de demander à un nouvel arrivant riche dans son for intérieur de sa propre Histoire d’être aussi fébrile et torturé par l’évocation de la Conquête, la défaite des Plaines d’Abraham que le plus pur et dur des nationalistes? Jamais ce nouvel arrivant ne pourra atteindre le paroxysme , le frisson et l’émotion qui fait planer le nationaliste dans ses nuages……
Finalement, en mettant le ( JOUAL ) à l’index dans une loi 101 remodelée comme un danger pour la langue de Molière encore pire que l’anglais, le nouvel arrivant serait fier d’apprendre cette langue parlée dans toute la francophonie excepté ici ou le Littré au complet est synonyme de ce juron (tabarnaque) qui signifie que tu n’as malheureusement pas les mots pour le dire. Un point et c’est tout
Bonsoir à tous,
Et si c’était Toronto ou Calgary, les nationalistes chauvins n’aurait pas à déménager dans le 450, soit vers la rive sud, soit vers le nord à Laval ou vers l’est dans le bout de l’Île comme on dit. Mais jamais vers l’ouest, car c’est le fief des anglophones. Et il faut le dire, un nationaliste québécois souffre le martyr dans une métropole comme Montréal car trop cosmopolite et surtout multi-ethnique.
En effet, marcher d’un coin de rue à un autre devient laborieux avec le temps car on entends deux personnes parlant anglais et un peu plus loin , une personne de couleur et deux asiatiques qui cheminent lentement et comble du malheur, en parlant la langue de la fière Albion. Et bien, à se torturer ainsi et faire souffrir son patriote intérieur, on déménage tout de go dans le 450 pour se retrouver entre (NOUS).
En outre, et c’est ainsi que du nord, du sud et de l’est de l’Île on peut vociférer et hurler à tout vent que Montréal s’anglicise , on n’est plus chez nous et tutti quanti…… Tralalalalaire et une petite gigue avec ca, SVP.
De plus, et si on mettait le (JOUAL) sur le même pied que la langue anglaise dans une loi 101 remodelée comme un danger pour la langue de Molière encore plus pernicieux que l’anglais, et bien, j’embarque.
En outre, comment avoir le culot de demander à un nouvel arrivant riche dans son for intérieur de sa propre Histoire d’être aussi fébrile et torturé par l’évocation de la Conquête, la défaite des Plaines d’Abraham que le plus pur et dur des nationalistes? Jamais ce nouvel arrivant ne pourra atteindre le paroxysme , le frisson et l’émotion qui fait planer le nationaliste dans ses nuages……
Finalement, en mettant le ( JOUAL ) à l’index dans une loi 101 remodelée comme un danger pour la langue de Molière encore pire que l’anglais, le nouvel arrivant serait fier d’apprendre cette langue parlée dans toute la francophonie excepté ici ou le Littré au complet est synonyme de ce juron (tabarnaque) qui signifie que tu n’as malheureusement pas les mots pour le dire. Un point et c’est tout
Vive l’humour pour alléger les discours constitutionnels, bien écrit comme ici !
Ce que vous décrivez n’est pas loin de l’humaine en général et du Québécois, en particulier qui voyage ou qui passe l’hiver en Floride dans un coin de Québécois, pour se sentir pas trop dépaysé, il s’abonne au Journal de Montréal et à la télé québécoise, mange du manger québécois et tente de parler français aussi souvent que possible avec les Québécois du Québec.
Même chose pour nos Italiens de St-Léonard ou nos noirs et espagnols de Montréal-nord et nos Asiatiques anglophones de Brossard. ILS commencent à sortir de la ville pour envahir sa banlieue mais pas trop à Matane, au Lac ou à Hérouxville…genre.
Pourquoi l’étude de l’anglais, qu’à peu près tous considèrent comme utile pour l’individu, pourquoi cela devient une assimilation gallopante rendu au CEGEP?
Est-ce que les 35 % des étudiants de McGill qui sont francophones s’assimilent en étudiant au « Harvard du Canada » ? Ils iraient directement à Harvard et personne ne s’inquieterait de leur assimilation. Parizeau n’a-t-il pas étudié au prestigieux London School of Economics, ce n’a pas fait de lui un assimilé ?
Si 26 % des fonds publics financent le réseau universitaire anglais, c’est quand-même parce que 26 % des élèves choisissent librement d’y adhérer.
Tous ces magrébins qui immigrent ici ont appris le français, langue du dominateur coloniale par excellence n’est-ce pas, à l’école française, pourtant ils parlent tous l’arabe comme langue première. Mais ici au Québec c’est jamais comparable parce qu’on a un parti politique qui est en perte de vitesse et dont la survie dépend de la peur.
La peur de disparaître qui motive tous ces commentaires incendiaires devient une phobie, tout est interprété sous ce filtre historique colonial. Le fait qu’une maison coûte en moyenne 160 000 $ de moins hors l’île n’entre même plus dans le débat identitaire qui voit les pauvres francophones fuir les masses multiethniques de l’île pour le paradis homogène du 450. Et le prix des maisons , connaît pas, on fuit pour se regrouper « entre nous » encore une fois.
Dénoncer l’alarmisme est maintenant un péché mortel digne d’excommunication, vouloir protéger la langue française de façon logique et intelligente basée sur des faits et non des émotions, serait synonyme de haïne se soi, dixit M. P. Bouchard. Triste débat d’idées.
Tout ce débat identitaire et linguistique est devenu un immense dialogue de sourds. Le PQ prêche aux convertis et le reste de la population est indifférent.
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J’appuie l’argumentation succincte de L.A. à l’effet de donner la chance au coureur pour Pauline dans son objectif de maintien du français au Québec. Tout comme G.B., je vois plutôt le problème dans l’année et demie qui nous sépare d’un vote et surtout de l’échéance du mandat du démolisseur en chef.
Enfin, comme l’a aussi dit quelqu’un tout dépendra le l’appui de la population. Le peuple québécois qui s’est lassé de voter sur papier commence à prendre goût à la démocratie directe, à voter avec ses pieds et ses pancartes dans la rue. Depuis l’échec de la « célébration » de Wolfe, il y a une boule de neige qui séduit notre identité refoulée. Ceux qui n’ont pas eu l’occasion rêvée de signifier de vive voix au Prince Charles que nous sommes de plus en plus vivants sont jaloux de cette action de résistance pacifique (un peu bousculée par les forces charestiennes). Un nombre grandissant veut résister aux abus de la monarchique Cour Suprême vouée à l’éradication du français en Amérique. Les Québécois ont entrepris une escalade rapide de démonstrations pacifiques, mais fermes de leur ras-le-bol sur tout notre territoire. Le viol de la loi 104 qui achève de castrer la Charte de la langue française frappe actuellement un mur: Plus d’une douzaine de représentants de la société civile a attiré 600 personnes le 16 novembre sur un engagement à marcher pour vivre en français chez nous. Une seconde rencontre s’ouvre à ceux qui ont des fourmis dans les jambes, dimanche prochain à Longueuil. Soyons patients, dans chaque région nous serons convoqués pour fourbir nos porte-voix bientôt afin de monter sur l’Assemblée nationale et crier à fendre l’âme: Mme Marois, n’en doutez plus, le cégep français, un seul chu, en français, les études subventionnées, en français, Montréal français, Québec français. Libérons le Québec de cette néomonarchie canadienne qui ne négociera jamais rien en notre faveur.
Quand le gouvernement québécois a adopté la loi 101, c’est qu’il avait refusé de baisser les bras, de jeter la serviette. La loi 101 a tenue jusqu’à un certain point ses promesses. Si le Canada anglais, de connivence avec la Cour suprême du Canada, n’avait pas tout fait pour la combattre son impact aurait été encore plus important.
Ceux qui n’ont pas connus et vécus la situation du français au Québec avant la loi 101 ont de la difficulté à évaluer l’impact de la loi 101. Mais aujourd’hui on se rend compte des limites inhérents aux domaines d’application de la loi 101. Il apparait évident que nous devons envisager sérieusement étendre au-delà de l’enseignement secondaire l’application d’une loi 101. La société québécoise doit maintenant passer à la seconde phase. Même chose pour le domaine du travail : toutes les entreprises ou commerces, doivent maintenant être assujettis à une nouvelle loi 101 sans considération de taille ou de nombre d’employé(e)s.
On se rend compte que le Québec est maintenant rendu dans une autre phase, tout autant critique, de son évolution sociale. Allons-nous baisser les bras ?
Mais aujourd’hui nous sommes plus en mesure d’identifier où sont les embûches, d’où viennent les attaques contre notre volonté collective de conserver certaines caractéristiques de notre société. Nous savons maintenant que la Cour suprême du Canada, comme a déjà dit quelqu’un, a la fâcheuse habitude de pencher toujours du même côté. Devons-nous nous prémunir contre cette réalité ou devons-nous baisser les bras et abdiquer ? Soyons logiques et reconnaissons que la constitution canadienne (et sa plus haute instance) se révèle être l’une des principales armes pour éliminer la société québécoise telle que nous souhaitons y vivre aujourd’hui. La seule façon de neutraliser cette arme, notre Histoire récente en est la preuve, c’est de refuser d’y être assujetti. C’est la souveraineté.
Nous nous sommes fait faire le «coup de la Brinks». On a essayé de nous faire croire que nous étions incapables de contrôler nos outils économiques. On nous a mis tellement d’embûches que nous avons appris à reconnaître que les spectres brandis n’ont pas d’impacts dans nos affaires courantes. Allons-nous encore une fois écouter ceux qui nous brandissent des «bonhomme-sept-heures»?
Si le Canada, les anglophones et allophones du Québec ne sont pas capables d’accepter nos priorités, ils devront comprendre que nous prendrons les moyens nécessaires pour les faire respecter. On aura beau essayer de complexifier notre situation, de noyer le poisson ou de faire intervenir toutes sortes de théories toutes plus brumeuses les unes que les autres, la réalité est simple, et ça notre Histoire récente le montre, c’est lorsque nous agissons que nous avons du succès.
Pourquoi avoir peur de la réaction des anglophones et des allophones ? Il y a bien assez de francophones nombrilistes qui vont faire le travail pour eux.
http://www.cyberpresse.ca/actualites/quebec-canada/education/200911/23/01-924393-la-loi-101-au-collegial-suscite-des-contestations.php
Des francophones qui pensent à l’éducation de leurs enfants, c’est bien, mais pas au prix de l’avenir du français. Qu’ils les envoient quelques années étudier en Ontario (c’est pas si loin et leurs enfants sont presques des adultes capables de choisir ce qu’ils veulent) s’ils tiennent à ce point à une éducation en anglais.
Et si c’était Toronto ou Calgary, il n’y aurait pas de chicane comme ici car là-bas, le débat se fait toujours sur le fond et non sur la forme comme c’est malheureusement le cas ici. Car la fichue émotivité des nationalistes les empêche de voir avec la raison, ce qui fait que le débat tourne en rond et ne va nulle part. Car fais moi la démonstration argumentée et cohérente que j’ai tort et je te dirai avec joie que tu as raison…..Vu de l’extérieur, le débat semble complètement surréaliste et confus car le nationaliste moyen fait semblant de ne pas s’en apercevoir car la Cause tomberait à plat sur le carreau. Alors on monte aux barricades comme le Parti Québécois a fait en fin de semaine pour des vétilles, pour des peccadilles afin de se gratter le bobo……Et Québec Solidaire fait la même chose pour ne pas se faire damer le pion la même fin de semaine en plus. Faut que ca saigne, chantait Boris Vian de sa voix rauque.
En effet, nous savons tous que le nationaliste moyen dort au gaz, étourdi par les siens………je veux dire le Bloc Québécois qui sert de défouloir, d’une facon réactionnelle pour se venger car si on ne peut faire la souveraineté ici au Québec par la grande porte,et bien, essayons par la porte arrière ou la porte de coté, soit dans la maison de l’autre à Ottawa. Pathétique. Car cette police d’assurance tranquille a un effet pervers parce que le Bloc Québécois essaie d’améliorer la fédération canadienne en faisant la démonstration que le Canada fonctionne et ce très bien, tirant ainsi dans le pied du Parti Québécois qui ne peut plus déchirer sa chemise comme avant. Et c’est ainsi que le Bloc Québécois est financé par Ottawa à 90% de sa caisse et seulement 10% par ses membres. Très avantageux pour le Canada et pas cher en plus….. Car, posons nous la question pourquoi des dizaines de milliers de nos compatriotes qui, à l’instar du Bloc Québécois et de par leur exemplarité vont eux aussi travailler en Ontario pour mettre du beurre sur leur pain et ainsi satisfaire ce besoin essentiel. Car c’est aussi ca le Canada qui a les bras ouverts d’un océan à l’autre ce qui fait son coté accueillant . Bien plus accueillant que l’index pointé sur moi qui m’accueille en vociférant: Je m’en souviens là….. ce que semble dire notre belle devise.
Finalement, il n’y a qu’une seule facon de régler cette impasse dans laquelle le Québec s’est enfermé par sa propre faute. Car comme dans les années 1940, 1950 et 1960, nous nous devons de ramener les combats hebdomadaires de la lutte au Québec même en sachant que c’est arrangé d’avance. Car dans ce temps béni, les nationalistes québécois étaient fiers et heureux de voir le bon Québécois Paul Baillargeon tabasser dans l’arène le mauvais anglais incarné dans le coin droit par Abdulah the Butcher from Toronto. Les besoins primaires étant satisfaits car on voyait un anglais se faire tabasser par le bon québécois une fois par semaine. Et on en demandait pas plus. Et que revienne ce temps béni au plus sacrant…….Et merci, Erwan Basque.
Erwan Basque,
Un nom comme ça laisse perplexe: Prénom anglais, nom résistant.
Pour son grand malheur, il a grandi comme cannibale!
Grandi dans une colonie anglaise assujettie aux préceptes monarchiques du dominé qui ne rouspète pas aux ordres du Maître sous peine du fouet. Tout esclave comprend vite que pour éviter les coups, rien de mieux que de se donner corps et âme au dominateur, à s’offrir même pour châtier ses propres congénères à partir de son poste d’observation de l’intérieur de la cage. Ottawa et Toronto ont su acheter la conscience de nombreux Québécois d’origine en leur offrant des postes bien rémunérés, en particulier dans les grands médias. Ainsi florit dans nos rangs une importante classe de cannibales.
Hugues St-Pierre,
« Erwan Basque,
Un nom comme ça laisse perplexe: Prénom anglais, nom résistant. »…
Ce genre de commentaire fait pas mal pointage de doigt cheap, M.St-Pierre… « Toé té pas un Pur-Laine, hein? »
Rendez-nous donc service, slaquez donc un peu sur le Pur-Laine, et sur les clichés du genre ‘les Québécois fédéralistes sont tous des riches vendus.’
On vous a assez entendu, ça sent le moisi sur les bords. Arrêtez de pleurnicher et passez à autre chose.
Bonjour à tous,
Sans vouloir offusquer personne, par mon intervention ciblant l’effet de serre causé par la présence du Bloc Québécois. Il faut bien se l’avouer, ce gaz délétère pas inodore, mais incolore et sans saveur est un soporifique qui fait du nationaliste moyen un individu sans esprit critique qui a l’impression d’avoir le meilleur des deux mondes car étant perdant vis à vis le débat argumenté, on peut se gargariser et surtout se purger en bons réactionnaires en votant pour cette fumisterie qu’est le Bloc Québécois à Ottawa.qui est un formidable tampon pour amortir le choc émotif……Et c’est ainsi que petit à petit un gars vieillit pis le « PEUPLE » aussi. Merci et à la prochaine, Erwan Basque.
M.Erwan Basque,
Ne seriez vous pas apparenté à feu Mme Teasdale, de douce mémoire?
On dirait un clone.
🙂
Cordialement
Après avoir pris connaissance des merveilleuses réflexions de Monsieur Basque me voilà avec une raison de plus pour voter Bloc ! C’est évident que cet homme est très » émotif » intérieurement quand il pense au SUCCÈS du Bloc au Québec .
Monsieur oublie de nous parler de l’émotivité des gens du ROC quand ils sont venus nous faire une grande déclaration d’amour lors d’un certain référendum . Il oublie aussi de nous parler de l’émotivité du ROC quand Harper pour des raisons strictement électorales nous a vomis cette motion indigeste de la » nation Québécoise » , motion inutile il en va de soi. Et nous pourrions parler de l’émotivité des racistes d’Alliance Québec et le message véhiculé par ceux –ci à l’extérieur du Canada.
Moi j’ai compris depuis longtemps que d’envoyer des fédéralistes québécois francophones à Ottawa est peine perdue, ils finissent toujours par se transformer en Canadian very prood, le genre que Monsieur Basque doit aimer de tout son cœur.
Alors je vote Bloc pour ne pas donner la chance encore à des québécois francophones de devenir des canadians very prood et aussi pour faire réagir émotivement les Monsieur Basque de ce monde !
Rappel pour ceux qui ne veulent pas voir.
Le Canada fait la promotion du libre choix en enseignement. Ce qui est libéral et moderne.
Malheureusement, le libre choix pour les enfants de l’immigration au Québec c’est synonyme de l’intégration à la langue anglaise celle qui correspond à la majorité canadienne qui tolère seulement une province francophone sur 10 depuis 1867 et une province à moitié bilingue le Nouveau Brunswick, terre de la déportation des Acadiens.
Pour faire un adéquat raisonnement, ce qui est moderne et libéral peut souvent par le libre choix encourager les mécanismes de la sélection naturelle qui consiste à éliminer les nations ou populations faibles au profit des mieux organisées et plus fortes avantagées par des positions obtenues dans l’histoire.
Mécanismes dit évolutionnistes qui par leur interprétation sociologique et politique typiquement anglo-saxonne si même inconsciente se traduiraient en toute logique par la disparition complète des Inuits, des sociétés autochtones et par la disparition progressive et même accélérée des nations québécoises et acadiennes de langue française au Canada.
Darwinisme social aménagé et libre choix maquillé de multiculturalisme individualisant sont souvent synonymes chez les anglo-saxons de création de génocides culturels d’autant plus efficaces qu’ils se feraient avec le temps sans trop laisser de traces visibles.
Ce genre de raisonnement qui se défend devrait être compris par un philosophe comme Charles Taylor qui a coprésidé la commission sur les accommodements mais il ne le comprend pas. C’est un philosophe qui connaît l’histoire des idées, qui connaît toute la philosophie politique et précisément la perversité du darwinisme social mais il ne comprend pas véritablement le mouvement souverainiste québécois qui tente d’agir contre la précarité d’une nation qui constitue 2% de la population nord américaine, 22% maintenant de la population canadienne.
Prêcher en général les principes de l’universalité pure comme c’est à la mode chez les -beaux esprits à la Hegel- en la confondant avec une mondialisation qui se fiche bien de la diversité culturelle c’est contrefaire la vertu. Parce que toute universalité célébrée pour son principe et sa fin sans tenir compte des variables dans les sociétés est pure abstraction idéologique.
Une extrapolation pour réfléchir.
Pour faire une demi-parenthèse linguistique sur la mondialisation qu’elle se fasse en anglais ou demain en chinois ou mandarin. Quelques aspects doivent être mentionnés comme par exemple l’existence de centaines de langues assez importantes encore aujourd’hui. L’existences de langues parlées par plus d’une centaine de millions d’individus qui jamais n’accepteront de s’assimiler tous en bloc à l’anglais parce qu’elle serait diantre exclusivement la langue de l’économie ou pour d’autres hurluberlus complets de la raison!
De par l’Amérique du Sud de Buenos Aires jusqu’à Mexico, l’espagnol et le portugais se maintiendront fermement en reconnaissant la particularité du Brésil dans le continent. De par la Russie, le russe restera toujours une langue forte. De par tout le Proche et Moyen Orient, l’Afrique du Nord, toutes ces terres seront toujours de langue arabe d’autant que renforcées par le message religieux islamique. Sans oublier les apports culturels, économiques et linguistiques du Japon comme de toute l’Europe du centre qui est de langue germanique en considérant l’Autriche et une partie importante de la Suisse qui forment une couronne autour de l’Allemagne.
La mondialisation ou le fantasme dévoyé en volonté de puissance de l’universalité pourrait peut être faire disparaître de la planète des langues européennes comme le polonais, la langue tchèque, voire l’italien et le français et ce après l’anéantissement complet des langues africaines plus faibles. Par contre, le fantasme totalitaire d’une mondialisation malade de sa fureur bûcherait beaucoup plus contre des langues très fortes comme l’espagnol, l’arabe, le russe.
La diversité n’existe que par le contexte et le fait est divers.
Oh,oh, les amis, entendez-vous ça? Le Moossieu Erwan, il nous a assez vus! Et c’est qu’il a grande gueule, le p’tit mossieu…et il trouve que ça sent le moisi au Québec: qu’est-ce qu’on va y faire au mossieu? Faut aussi qu’on soit polis avec? La 401, il la connaît… alors, le Québec, c’est en français qu’on a décidé de le faire et le commandement, c’est en français qu’on va le prendre. Ceux qui n’aimeront pas la manière, savent où se trouver des pays totalitaires. Ici, on s’entend bien avec ceux qui aiment y vivre. Ceux qui ne trouvent pas leur place parce que dénoncés comme complices d’une fédération raciste, rappelons qu’ils partiront vers la Cour Suprême qui est là pour éradiquer le français. Quand on se tue à dénigrer le Québec dans sa propre langue, ça s’appelle un collabo! Alors il aime la lutte, le p’tit capo, on peut lui en organiser une petite soirée de lutte, en français où il va s’ennuyer de Bytown! Qui c’est qui a assez vu l’autre, amigo? Si on allait voir son clavier, si le mossieu est aussi gueulard devant la visite? ‘Savez, les menaces, on connaît, on en a subi toute notre vie, des peurs: tu s’ras pas capab! T’auras pas les moyens! T’es trop p’tit! Ça, mossieu, ça prend plus du tout! Si Ottawa nous a tant retenus, c’est pas pour nos yeux, il les haït autant que Mossieu! Bay Street, il achève de piller nos richesses naturelles: il y aura une frontière patrouillée. Les lois linguistiques qui vont accueillir tous les nouveaux qui aiment travailler en français, elles n’auront plus la Couronne pour les casser. La finance, le p’tit mossieu, il ne sera plus complice des transferts à Toronto, l’environnement, c’est plus l’Alberta qui va nous polluer et les journaux, les TV, la culture brunie par du vieux Hollywood dans nos restos, on décidera à la place des assimilés qui n’ont toujours pas décidé de nous nettoyer le paysage parce qu’incapables de parler la langue impériale. Un p’tit rendez-vous, la grande gueule?
Hugues St-Pierre,
Calme-toi le ponpon mon chum… Respire par le nez et ne mange pas tes bas. C’est pas contre Erwan que tu devrais bitcher… C’est pas lui qui a écrit ça, c’est moi. Un petit rendez-vous? Tu veux me casser la gueule? Ça va tu être juste toi contre moi ou tu vas venir avec 15 de tes chums?
erwan basque, tu est un petit genis vous vous lavez le sens du commantair je suis tout afait dacort avec vos parole de petit genis ses la meme chose ke je dirai
Et si c’était Toronto ou Calgary, mais ce n’est pas le cas. Je me pose la question suivante: ( Mais pourquoi diantre depuis 1968 avoir utilisé cet oxymore de souveraineté-association car ces deux mots ne sont pas là pour rien ? ) Car ces deux simples mots veulent dire une chose et son contraire, comme ceux de 1995 sur la Souveraineté-Partenariat qui permettait de dire aux nationalistes que l’on parle de Souveraineté et aux fédéralistes que cela ne changera rien puisque nous serons partenaires dans un Canada nouveau. Tout comme à une certaine époque sévissait les Progressistes-Conservateurs qui se permettaient de courtiser la droite en se disant Conservateurs et de ratisser à gauche en se disant Progressiste, mais les gens n’étaient pas si dupes car ils votaient libéral à Ottawa. Cette stratégie des Conservateurs canadiens s’est implantée pour essayer de ravir le pouvoir aux libéraux dans les années 1940. L’oxymore est tout simplement de la poudre aux yeux pour leurrer l’électorat.
Ainsi, Monsieur Jean-Herman Guay, titulaire de la chaire de Science-Politique à l’Université de Sherbrooke dans un travail de recherche bien étayé a fait la démonstration et chiffres à l’appui, que 39% des 49.4% de ceux qui ont voté oui au référendum de 1995 votaient oui dans le but d’améliorer la fédération canadienne dont la ministre Madame Lyne Beauchamps et Monsieur André Pratte de La Presse . Alors que sur la planète on parle de l’indépendance du Kosovo,du Monténégro, de la Yougoslavie, du Timor oriental et tutti quanti …..Et ici, on en parle avec le concept vaseline, soit souveraineté et en plus le partenariat! Est-ce que collectivement nous sommes plus futés, peut-être, plus ratoureur, peut-être bien. Et merci de Erwan Basque.
À M. Erwan Basque, la souveraineté-association et la souveraineté-partenariat c’est comme le mariage en séparation de bien ou le mariage avec 2 logements et 1 compte de banque conjoint et 2 séparés.
M. Basque, la recherche de Sherbrooke a été mal faite puisqu’il y a encore autour de 40 % de souverainistes sans association à la question. Faut pas prendre les Québécois qui ont voté OUI pour des caves. Les fédéralistes n’ont rien ménagé, principalement le fédéral avec ses commandites, pour démontrer qu’il ne négocierait rien avec les séparatissss. Ça ne voulait pas dire rester dans le Canada ça.
Tous les Québécois ont voté sérieusement aux référendums. Le 62 % de francophones, en 1995 ont voté OUI pour se donner un nouveau pays et les anglophones, à 90 %, ont voté NON pour ne pas devenir minoritaires comme les francophones le sont. Compréhensible…me semble.
Le discours de Hugues St-Pierre nous ramène au vrai débat. Selon M. St-Pierre le peuple québécois subit une occupation coloniale dont l’apanage moderne serait la cour suprême du Canada qui cherche par tous les moyens « l’éradication du fait français ».
En fait le scénario qu’il décrit ressemble beaucoup à l’occupation nazie de la France . Le rôle des pétainistes serait joué par les fédéralistes québécois qui collaborent tout entier à la subjugation de la nation québécoise par la peur. Seule différence avec les nazis ce sont les fusillades publiques des partisans, ici on les nomme les patriotes.
Intéressante théorie M. St-Pierre, vous ne pouvez pas imaginer comment de telles thèses contribuent à la crédibilité du mouvement de libération nationale que vous prônez.
@M. Bousquet
Avec respect, le nouveau pays auquel vous faites référence comportait une promesse de garder l’armée, la devise et le passeport canadiens. Si jamais il y avait une prochaine fois, les enjeux devront être beaucoup plus clairs, tout le monde le sait et c’est pourquoi même les plus ardents souverainistes ne parlent jamais de référendum. Vous pouvez débattre longtemps sur les véritables intentions de ceux qui ont voté, mais le fait demeure qu’u futur référendum est très loin.
Depuis Trudeau, le nationalisme canadien s’est érigé sur la négation même de l’existence de l’État nation du Québec. Ce négationnisme, qui est un déni du réel s’accompagne de réactions méprisantes et racistes, dès que la réalité cette réalité géopolitique se manifeste pour défendre ses intérêts.
J’ai eu l’occasion de dire au ROC dans le forum du Globe and Mail que, le jour ou il vont mettre fin à ce négationnisme et qu »il vont reconnaitre l’existence de l’État nation du Québec leur humeur va s’apaiser, pour le moment ils vivent sur le High wire de l’Émotion négative.
Avant que l’on me dise, de quoi je me plains, que Harper a reconnu « the québécois nation » et alors. Je vous dis que cette reconnaissance relève aussi du mépris et du négationnisme, puis qu’il s’agit d’une réduction d’un peuple à une groupe ethnique (un test d’adn avec cela). Cette définition pourrait s’ajouter à celle d’Elvis Gratton, cela complèterait la pièce d’anthologie sur l’identitaire.
Les canadiens, insécurent sur leur identité nationale (à cause du bogue, Québec), sont incapable de remettre en question de manière critique le type de nationalisme qu’ils pratiquent.
Personnellement je ne suis pas un nationalisme mais plutôt un patriote. Je cherche a savoir ou est l’intérêt supérieur de mon État et comment le défendre.
Bon ! Pincez-moi quelqu’un !
Monsieur Ewan Basque nous sort les résultats d’une recherche pour le moins loufoque démontrant » sérieusement » que 39 % des québécois qui ont votés OUI au référendum ont votés en fait pour l’amélioration du fédéralisme canadien , WOW ????????
Et Monsieur Lépine qui n’en manque pas une nous ramène à l’époque de l’occupation lors de la deuxième guerre ! Pour Monsieur Lépine la protection de notre culture et de notre langue relève de l’imaginaire tellement SON Canada est ouvert et aime profondément le Québec , le français et Felix Leclerc !
Franchement nos fédérastes sur ce blogue se vautrent de plus en plus dans des commentaires disons……cheap !!!
Dans le même ordre d’idée, cette chronique de Vincent Marissal qui n’est pas m. Indépendantiste.
http://www.cyberpresse.ca/opinions/chroniqueurs/vincent-marissal/200911/25/01-924862-la-defense-du-francais-epreuve-olympique.php
M. Lépine,
Le Québec ne voulait as conserver l’armée canadienne du tout, seulement perndre en charge nos soldats québécois pour ne conserver que le dollar et le passeport, si possible.
Le dollar pourrait même être le dollar américain, ce qui serait très pratique pour voyager aux États etcetera comme le dirait le prof. Lauzon.
Le passeport, on pourrait s’en passer maintenant que le Canada est reconnu comme un pays pollueur, batailleur et qui collabore à la torture un peu partout et à un de ses jeunes citoyens Guantanamo…pas beau du tout, la nouvelle réputation canadienne.
@ Réjean Asselin,
« Franchement nos fédérastes sur ce blogue se vautrent de plus en plus dans des commentaires disons……cheap !!! »
Vous avez du culot d’accuser les fédéralistes de faire des commentaires cheap? Employer le terme ‘fédéraste’ n’est pas cheap à votre goût? Si vous avez assez de tête pour reconnaître le cheap, M. Asselin, c’est que vos propos le sont autant… Non, les fédéralistes qui sont ici n’ont pas le monopole du cheap. Vous êtes très compétent dans la matière. En fait, vous remportez la palme d’or…
Écoutez, écoutez… soyons sérieux… La Cour Suprême nous renvoie faire nos devoirs parce qu’on a essayé de colmater cette pauvre et vieille loi 101 qui fuit de partout… C’est aberrant… et là, on s’embarquerait dans l’aventure CEGEP?
On fait les choses à l’envers! Un élève peu importe son origine et sa langue maternelle qui obtient son secondaire 5, ben j’ose espérer que c’est parce qu’il maîtrise TRÈS BIEN le français. Si non, eh bien on est dans l’trouble!!! Mais ça mes p’tits amis, c’est une autre histoire…
Bref, pensez-vous que 2 ou 3 ans de CEGEP en anglais vont lui faire perdre son français? Ploup! Perdu! Napu! Envolé? Pourquoi ce même étudiant voudrait faire son CEGEP en anglais? Pour se perfectionner dans un domaine très spécialisé où la prédominance anglaise est hélàs indéniable, pour sa culture personnelle, pour ouvrir des portes afin de poursuivre ses études universitaires en anglais ou même hors-Québec? Et toutes ces études, pour peut-être même éventuellement travailler hors du Québec?
Premièrement, c’est à nous de rendre notre marché du travail — francophone — et — attrayant –. Ensuite, si on avait pas toujours le grand frère sur le dos qui nous dit : « THAT’S A NO NO… », on gagnerait peut-être un peu en confiance…
Bref, on pourrait aussi parler longuement de l’exode des cerveaux… D’ailleurs celui de la plupart de nos politiciens est déjà parti…
Attention de Monsieur Gilles Bousquet…….
En effet, et ce depuis la formule de la ( super-structure ) de Monsieur Jacques Parizeau sur l’obligation de faire le libre échange avec les États-Unis et de prendre le dollar américain coûte que coûte et ce dès 1978 et entériné par Monsieur Bernard Landry jusqu’à l’invasion américaine sanglante de l’Irak en 2003, les nationalistes ont fait une pause sur l’adoption du dollar américain seulement pour la période référendaire en voulant ratisser plus large sur le spectre politique en proposant d’une facon fumeuse pour cette occasion le dollar canadien dans cette machiavélique astuce pour berner le mou…..dans le clientélisme nationaliste. Cette dérive étant conjoncturelle pour faire le building-up de la stratégie référendaire. En route pour cette destinée manifeste et si on y réfléchit un tant soit peu, serait-ce la prémonition de Pierre-Elliot Trudeau qui traita Monsieur Robert Bourrassa de ( MANGEUX DE HOT DOGS ) quand celui-ci décida de prendre le virage nationaliste avec les libéraux du Québec……Alors soyez cohérent, Monsieur Bousquet, faites signer une pétition à tous les nationalistes et ce, dès maintenant pour demander au gouvernement américain de franciser ( IN GOD WE TRUST ) car nous allons y perdre au change car le dollar canadien est bilingue……..donc en francais sur le même pied que l’anglais. Allez……Merci de Erwan Basque.
Attention de Monsieur Réjean Asselin,
Attention, car cette recherche était pilotée par Monsieur Jean-Herman Guay, cet éminent professeur de l’Université de Sherbrooke qui était dans les forces de l’équipe du OUI pour le référendum de 1995 et qui s’est confronté à Monsieur Stéphane Dion dans des débats télévisés et de vifs échanges épistolaires par médias interposés. La pensée de Monsieur Guay a évolué depuis 1995, car comme sommité invité lors d’un congrès du Parti Québécois en 2003, il osa dire aux Péquistes dans toute sa candeur d’universitaire chevronné: ( Emballez vos rêves car ca ne resteras qu’un rêve ) Et vlan, vous l’avez foutu à la porte du congrès en vociférant que jamais plus un spécialiste ne viendra perturber notre lubie de jovialistes. Merci de Erwan Basque.
@Michel Bertrand
M. Réjean Asselin est passé maître de la distortion d’idées et de l’exagération.
Je vais vous illustrer. Ci-bas sont des citations textuelles d’un certain Hugues St-Pierre:
»Un nombre grandissant veut résister aux abus de la monarchique Cour Suprême vouée à l’éradication du français en Amérique. »
»le cégep français, un seul chu, en français, les études subventionnées, en français, Montréal français, Québec français. Libérons le Québec de cette néomonarchie canadienne qui ne négociera jamais rien en notre faveur. »
» Ceux qui ne trouvent pas leur place parce que dénoncés comme complices d’une fédération raciste, rappelons qu’ils partiront vers la Cour Suprême qui est là pour éradiquer le français. Quand on se tue à dénigrer le Québec dans sa propre langue, ça s’appelle un collabo! »
»Les lois linguistiques qui vont accueillir tous les nouveaux qui aiment travailler en français, elles n’auront plus la Couronne pour les casser. La finance, le p’tit mossieu, il ne sera plus complice des transferts à Toronto, l’environnement, c’est plus l’Alberta qui va nous polluer et les journaux, les TV, la culture brunie par du vieux Hollywood dans nos restos, on décidera à la place des assimilés qui n’ont toujours pas décidé de nous nettoyer le paysage parce qu’incapables de parler la langue impériale »
J’ai répliqué à M. St-Pierre ce qui suit:
»En fait le scénario qu’il décrit ressemble beaucoup à l’occupation nazie de la France . Le rôle des pétainistes serait joué par les fédéralistes québécois qui collaborent tout entier à la subjugation de la nation québécoise par la peur. Seule différence avec les nazis ce sont les fusillades publiques des partisans, ici on les nomme les patriotes. »
Voici ce que réplique notre M. Réjean Asselin:
»Et Monsieur Lépine qui n’en manque pas une nous ramène à l’époque de l’occupation lors de la deuxième guerre ! Pour Monsieur Lépine la protection de notre culture et de notre langue relève de l’imaginaire tellement SON Canada est ouvert et aime profondément le Québec , le français et Felix Leclerc ! »
Jugez par vous-même qui emploie les mots provocants tels: éradication, collabo, raciste, dénonciation…et j’en passe. Et relisez les mots de M. Asselin et dites-moi qui fait des cheap shots, qui distorte complètement les paroles de l’autre ? Il y a déjà quelque temps que je ne me donne même pas la peine de répondre à M. Asselin, tellement ses propos sont méprisants.
Je ne crois pas que les Québécois francophones qui s’opposent à l’amélioration des mesures de protection de notre langue agissent par peur. Je crois plutôt qu’ils agissent par ignorance fondamentale des enjeux sociaux, vitaux pour notre société francophone.
A l’extérieur du Québec, on trouve de la méchanceté, de la haine, du mépris et toute sorte de chose comme ça. A l’intérieur du Québec, j’ai peine à imaginer pareille motivation, de la part de francophones. Je favorise l’ignorance, comme je l’ai dit plus haut.
Nous n’avons pas à rougir de prendre les mesures qui s’imposent pour protéger ce qui est vital pour nous. René Lévesque regrettait qu’on en soit réduit à créer la Loi 101, mais il la jugeait nécessaire, indispensable dans les circonstances. Nous n’avions plus le choix. Il avait raison.
Si les jeunes veulent apprendre l’anglais, le maîtriser, il faut qu’il y ait au CEGEP français un enseignement de l’anglais efficace. Cela se fait dans d’autres pays. Les élèves\étudiants sortent de l’école avec une maîtrise remarquable de l’anglais langue seconde. Sommes-nous des demeurés congénitaux, incapables d’apprendre l’anglais comme du monde dans un CEGEP français? Soyons sérieux!
A vos livres!
@Ewan Basque
Votre éminent professeur Monsieur Guay le serait-il autant à vos yeux s’il était demeuré souverainiste ?
Un souverainiste qui devient fédéraliste c’est un individu dont la pensée a évoluée ?
Voyez-vous Monsieur Basque, une étude qui nous dit que 38 % des québécois qui ont votés OUI au référendum de 1995 ne savaient pas pourquoi ils votaient me laisse pantois ! Je trouve votre éminent professeur assez méprisant et condescendant envers ces citoyens et avec une attitude pareille je comprends que le PQ de lui avoir signifié la porte.
Cette attitude méprisante et condescendante des fédéralistes autant anglophones que francophones me fait suer depuis fort longtemps. Le PQ en était à son deuxième référendum sur la souveraineté du Québec. TOUT le monde au CANADA mise a part les nouveaux arrivants savaient fort bien que le Parti Québécois en est un souverainiste et que le référendum en était le véhicule démocratique. Nous dire en pleine face que 38 % des gens qui ont votés OUI était des crétins où des idiots ce n’est pas sérieux, c’est épouvantable et cette étude n’est sûrement pas celle d’un » éminent » professeur comme vous le dites si bien.
Imaginons que ce même professeur aurait fait une étude sur les raisons pourquoi des francophones québécois ont votés NON et qui nous aurait démontré que la majorité d’entre-deux l’ont fait par PEUR et par leur état de colonisé ! Alors là je ne crois pas que votre professeur serait aussi » ÉMINENT » n’est-ce pas !
Croyez-vous aussi que le succès du Bloc soit de même nature ? Que la majorité des québécois francophones votent pour le Bloc dans l’espoir de voir Duceppe devenir Premier Ministre du Canada ! Nous attendons une prochaine étude de votre » éminent » professeur canadian !
Tant qu’a Monsieur Lépine !!!!! Boffff !
Attention de Monsieur Réjean Asselin,
Et je vous cite: ( Tant qu’à Monsieur Lépine, Bofffff……) Et on ne vous en demande pas plus car vous avez cet handicap chronique qui afflige énormément les nationalistes car vous n’avez pas d’arguments logiques et crédibles à offrir dans un échange sur le fond. Et comme Monsieur David Lépine vous a stigmatisé en vous mentionnant que vous faites simplement de la distorsion. Pas d’arguments, alors on tire sur le messager et on essaie de le discréditer dans l’opinion publique car en tuant le messager, alors le message que celui-ci veut émettre ne passe plus car vous l’avez roulé dans la boue…… Et ce petit jeu peut fort bien se jouer à deux…… Et vous en serez perdant.
D’ abord, Madame Suzanne Tremblay admettait à Monsieur Michel Lacombe à l’émission de la Première Chaîne de Radio Canada < Ouvert le samedi > il y a environ deux ans lors de la démission d’un député du Bloc Québécois pour siéger comme indépendant que seulement 21 ou 22% de tous les Québécois étaient indépendantistes, car le reste de ceux qui ont voté oui votaient pour le partenariat et rien d’autre car la question posée en 1995 visait la clientèle du mou et si vous en voulez la preuve 39% de ceux qui ont voté oui dans le 49.4% voulait rester dans le Canada. Ce qui veut dire que 29% des Québécois sont des purs et des durs comme vous. Le 10 octobre 1995, trois sondages le même jour donnait le oui à 40% et le non à 60% exactement comme en 1980…….. Et Monsieur Jacques Parizeau céda son rôle de leader à Monsieur Lucien Bouchard qui en trois semaines a su faire monter la fièvre à 49.4% lors du Grand Soir. Prenez votre calculatrice et vous verrez la réalité que vous vous refusez de voir, soit que 39% des 49.4% obtenus en votes donne 29%, ce qui fait dire à Madame Tremblay que seulement 21 ou 22% des Québécois sont indépendantistes, tout le reste étant ( L’effet Bouchard ). Car même avec un gouvernement libéral impopulaire et honni sur la place publique, vous n’arriverez jamais à le renverser car vous avez perdu toute crédibilité au yeux de la population qui en est voter pour n’importe qui excepté le Parti Québécois…… car il subsiste encore des purs et des durs comme vous qui êtes comme disait mon ami, ce vieux camarade vitamine de Léo Ferré : ( Vous êtes capable de faire mentir vos miroirs….) Car je peux à la limite respecter un menteur qui ment aux autres faute de quoi que ce soit , car l’autre ainsi sous-estimé a probablement l’intelligence requise pour ne pas se faire berner mais quelqu’un comme vous qui se ment à lui-même, et bien , ca ne passe pas.
Par ailleurs, étant profondément anarchiste car un libéral poussé à l’extrême est un anarchiste car prônant le droit de l’individu d’être lui même et de la facon qu’il le concoit contre la tyrannie de la majorité ce qu’on appelle le totalitarisme de la pensée car si tu ne penses pas comme moi, tu es contre moi…….. J’en ai rien à foutre de l’idéologie et de votre conservatisme qui essaie de brimer les droits de l’individu au nom de l’État, oui l’État comme rouleau compresseur qui veut éliminer,éradiquer tout ce qui semble différent , ce qui dans votre totalitarisme d’esprit veut la belle homogénéité d’une société, d’un endroit où tout le monde parle francais , blanc est un avantage et nationaliste est un must……. Et bien, je n’en veux pas, et en francais s’il vous plait…..
Car en plus d’être un pur et dur, je dois me rendre à la triste évidence que vous êtes dur de partout, même de la feuille car dans votre jargon, on dit dur de comprenure…… Et j’ai de la tristesse pour votre situation car depuis peut-être 40 ans que vous êtes dans cette situation de pur et dur en attendant le Grand Soir de l’érection nationale, vous vivez frustré et aigri dans votre propre dilemme de « Comment rester pur tout en étant dur et ce, continence oblige…….. mais votre vieux fond de catholique viendra à votre rescousse….. Erwan Basque.
Respectueusement,
Sur un blog il y a de tout; de l’intelligence, de l’humour, ainsi que des divergences d’opinion… mais tant qu’un minimum de respect est préservé dans les rapports qu’entretiennent les bloggeurs entre eux, tant qu’il existe une certaine réciprocité dans notre façon de dire les choses, il me semble que le jeu en vaut la chandelle…
Je ne suis pas modérateur, mais je pense que l’on a nul besoin d’en être un pour relever et se désoler de l’aggressivité des uns et / ou de la condescendance des autres sur ce blog.
C’est d’autant plus regrettable selon moi, puisque ces façons de faire font rarement avancer les choses et qu’elles font aussi parfois fuir des gens qui ont des choses à dire…
cordialement,
Monsieur l’Objecteur Conscient,
Et merci, je partage votre point de vue à 100%. Car je veux dans mes arguments débattre sur le fond et ce, par principe. Mais je ne peux accepter que quelqu’un tire sur le messager car faute d’arguments,on se vautre dans la facilité d’attaquer l’autre et ce n’est pas mon genre…… Mais quelque fois, et c’est triste qu’il en soit ainsi, il faut sortir le deux par quatre pour se faire comprendre car ayant grandi ainsi dans leur culture de victimisation, le seul argument valable est un bon coup de pied sous la table……Et je n’en dirai pas plus. Un de mes amis,et de surcroit de mon âge m’avait dit il y a plus de vingt ans car il quadrille la planète depuis plus de 40 ans et ce, à plusieurs reprises que pour diriger cette province empreinte de provincialisme qu’est le Québec, cela prends un dictateur car c’est de la seule facon que les gens comprennent . Et que le leader soit toujours aigri, acrimonieux et l’air taciturne en donnant de grands coups de poings sur la table pour être écouté. Et ca marche. Les exemples fusent de Maurice Duplessis à Lucien Bouchard en passant par René Lévesque et Bernard Landry. Comme on dit ( enragé noir ) et c’est ce que les nationalistes attendent d’un leader eux qui dans leur for intérieur sont déjà dominés et qui donnent leur salut à un chef qui pourra les amener vers la terre promise en tant que peuple élu….Et si quelqu’un n’a pas la moindre écoute et pervertit tes arguments, tu donnes un grand coup de poing sur la table car c’est assez. Merci de votre écoute, je vous en suis gré…. Erwan Basque.
@Ewan Basque
Mon vieux fond de catholique ????
Me connaissez-vous réellement Monsieur Chose ?
Tant qu’a la tyranie de la majorité vous avez parfaitement raison concernant votre Canada !
Je vous suggère les deux bouquins de Normand Lester sur le Livre noir du Canada Anglais , vous aurez un aperçu de ce que représente la tyranie !
Tant qu’a Monsieur Lépine !!!! Boff………!
@Ewan Basque
Votre mépris pour les souverainistes n’a d’égal que votre condescendance envers les francophones du Québec qui se tiennent debout , car vous semblez apprécier les mous et les soumis bien entendu !
Vous pensez avoir des » arguments » valables alors que la priorité dans vos commentaire demeure l’étalement de votre haine pour la cause souverainiste du Québec .
A d’autre Monsieur Chose !
Tous les dictateurs se croient indispensables et méprisent leurs victimes. René Lévesque n’était pas un dictateur, malgré certains écarts motivés par sa vision du bien commun. Pierre Bourgau ne lui a jamais pardonné son fameux ultimatum où le parti a du choisir entre une résolution démocratiquement adoptée et le veto de René Lévesque.
Les Québécois ont voté à deux reprises au moins pour une équipe, par pour un homme. L’équipe du tonnerre de Jean Lessage, en 1960, et l’équipe du Parti Québécois en 1976.
Nous n’aimons pas les dictateurs. Que cette pensée est méprisante.
Ah, je me réveille.
Mais que de foutaises, que de balivernes…….. Le reste du Canada qui nous méprise, nous domine, nous empêche d’être nous, entre nous; ce système colonial qui nous bafoue, le love-in, le référendum volé, le livre noir du Canada anglais, la Cour Suprême qui penche toujours du même bord et tutti quanti…..Mais pendant plus de 40 ans, vous avez parlé surtout d’association avec ces traîtres car l’association étant la tarte aux fraises suggérée pour le dessert si tu manges l’indigeste plat principal de la souveraineté……Car cela était ce concept vaseline imaginé dans vos hautes officines pour que ca passe mieux la rampe……. Mais, nous les Canadiens, on est pas si cons que cela….. Que de mépris par des astuces car vous avez été les plus grands fossoyeurs de votre Cause en étant incohérents. Car le reste du Canada ne devait pas être si pire que ca puisque vous parliez d’association pendant plus de 40 ans et à ce que je sache, on ne s’associe jamais avec des traîtres comme EUX. Alors maintenant, parlez de l’indépendance du Québec et non pas souveraineté-partenariat comme en 1995 et votre crédibilité reviendra en nommant les choses par leur non…… Et ca commence dès maintenant, diantre…..Erwan Basque.
Je me souviens d’un Trudeau qui nous prometteait q
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Sur une pierre d’assise d’un édifice près de l’Assemblée Législative du Québec que vous avez dans vos rêves maintenant déchus nommé Assemblée Nationale , en voulant encore mettre la charrue devant les boeufs et ce comme d’habitude, voici la vraie devise du Québec:
JE ME SOUVIENS QUE, NÉ SOUS LE LYS,
J’AI GRANDI SOUS LA ROSE ! Et comme la rose, emblème de l’Angleterre vous faisait faire de l’urticaire , la devise a été tronquée….. Merci de Erwan Basque.
Mon Dieu que ça vole bas. S’en prendre aux noms de familles maintenant. Il faut vraiment être à court d’arguments. 🙁
On taquine John James sur son prénom pour souligner son hypocrisie, sa malhonnêteté. S’il était droit, on aurait jamais souligné sa crocherie, une de plus.
Je trouve incroyable qu’une mère ayant choisi d’appeler officiellement son fils John, l’appèle quotidiennement Jean. Où est la logique?
De toute façon, cela importe peu. Lorsqu’un individu ruine une province son nom est insignifiant.
Un peu de sérieux.
En introduction, je veux simplement mentionner que j’ai lu et ce depuis quelques mois sur ce blogue les différentes interventions des membres sur différents sujets et ce qui m’a le plus étonné, c’est de constater le déchirage de chemises entre membres du Parti Québécois et des partisans de Québec Solidaire. Car s’il est indéniable que le Parti Québécois est un parti de centre-droit sur l’échiquier politique et que Québec Solidaire est un parti de centre-gauche en attendant, point n’est besoin de se chicaner entre vous les nationalistes dans l’Agora. Car vous faites la démonstration éloquente par vos absurdités que vous n’avez pas besoin du Canada pour vous diviser et vous stigmatiser car vous savez bien le faire entre vous.
En effet, posant un regard extérieur à vous sur cet état de fait, car étant Canadien, pourquoi entre vous vous déchirer dans la Cité en vous accusant l’un et l’autre en tombant dans vos exagérations légendaires et l’hyperbole pour essayer d’asséner le coup fatal à l’autre et ainsi l’éliminer de votre écran radar. Car vos chiquages de guénilles entre VOUS n’est sûrement pas la faute d’Ottawa ou de l’empire colonial canadian…….. Diantre que vous faites dur et cette phrase n’est pas anodine. Et j’espère que pour votre protection car pour vous protéger entre vous qu’on ne soit pas obligé de vous placer dans des aires protégées…….
D’ailleurs et ce de plus en plus, on voit se profiler les différentes franges qui s’affrontent dans vos propres rangs et qui bientôt vous rendront tous ridicules car incapable de débattre entre VOUS. Car de vos luttes fratricides entre les purs et les durs et le mou a émergé le spectre de ceux qui font dur car cherchant toujours la chicane et la confrontation….Mais si vous voulez fonder un pays nouveau, soyez responsable et acceptez vos propres différences.
Finalement et pour vendre à l’électorat vos chimères, ayez au moins la décence faire le pont entre les purs et durs et le mou pour évacuer de vos rangs ceux qui font dur. Car si vous ne pouvez faire cet examen de conscience par vous-mêmes, et bien comptez sur les électeurs qui eux vont le faire à votre place. Erwan Basque.
Les souverainistes de toutes les tendances remercient chaleureusement M. Basque pour son bon conseil de se réunir pour mieux se séparer.
Pour mieux renseigner les souverainistes, M. Basque, un fédéraliste convaincu, pourrait maintenant démontrer où le PQ serait à droite et, principalement, à droite du PLQ de M. Charest qui sort de la droite du parti Conservateur canadien.
Merci à l’avance de votre bonne collaboration.
Erwan Basque,
Après quelques jours ailleurs, je reviens ici et vous trouve encore en train de pérorer. Sous prétexte d’argumenter, vous plagiez simplement des phrases toutes faites à partir de volumes que vous ne lisez probablement pas :
-« alors on tire sur le messager et on essaie de le discréditer dans l’opinion publique car en tuant le messager, alors le message que »
-« votre totalitarisme d’esprit veut la belle homogénéité d’une société, d’un endroit où tout le monde parle francais , blanc est un avantage et nationaliste »
-« de l’Assemblée Législative du Québec que vous avez dans vos rêves maintenant déchus nommé Assemblée Nationale , en voulant encore mettre la charrue devant les boeufs et ce comme d’habitude »
-« pour vendre à l’électorat vos chimères, ayez au moins la décence faire le pont entre les purs et durs et le mou pour évacuer de vos rangs ceux qui font dur »
Pareil perroquet capable de débiter en français les immondices de l’assimilateur, ça doit faire rire à s’en battre les flancs le Maître à Toronto, qui n’a même pas à se déplacer pour fouetter… au fait, vous logez probablement dans une tour à Toronto, sans même avoir à vous déguiser en square pour tourner la langue de bord et japper « Yes Sir » quand le Cash vous appelle pour l’essuyer.
J’avais déjà pris du temps pour vous démasquer au début de ce carnaval quand un de vos semblables est venu vous défendre parce qu’il avait lui-même éructé. Pourtant, je ne m’étais pas trompé de cible : il y en a encore trop sur notre territoire de ces intégristes dominateurs qui voudraient se glisser dans la peau des méprisants et laminer tout ce Canada à la pensée unique d’un océan à l’autre, à l’autre, en brunissant ce territoire que le colonialiste avait oublié de vider des résistants dès 1760. Trop tard, les nez bruns, nous sommes encore là après 250 ans et nous nous reproduisons : inutile de tenter de nous noyer au vote en canadianisant sous pression des nouveaux sujets de la Reine à chaque phase critique. Et nous résistons si fort que nous sortons maintenant comme vague dans la rue et vos « flags rouges » n’y résistent plus. Si pour votre plus grand malheur, vous possédez encore quelque chose sur notre territoire, vendez A.P.C. sinon, il pourrait vous arriver ce que vos Maîtres ont fait au Parlement de Montréal par vengeance pour le jugement de cour qui avait dédommagé les familles des Patriotes agressées par la rage des forces royales. Oui, partez pendant qui’il en est encore temps. Et par respect pour la langue de nos ancêtres venus de France, cessez de la profaner par ce segment de côlon droit qui vous sert à la projeter. Gardez ce dialecte anglo-américano-canadian de vos idoles. Please!
Monsieur Ewan Basque !
Au lieu de déblatérer sur le PQ et QS vous devriez vous concentrer sur la situation précaire du PLC et de la saga d’un chef mal-aimé , de la situation de l’ADQ , un parti fédéraliste déguisé en parti autonomiste et très proche de vote grand PM Canadien Stéphane Harper qui lui est incapable de gagner l’amour des québécois et qui se retrouve toujours minoritaire , de la situation du gouvernement Charest , ce gouvernement de la honte et enfin du succès sans équivoque du Bloc d’élection en élection sur la scène fédérale . Les Québécois aime tellement votre Canada qu’ils préfèrent des souvarainistes à Ottawa plutôt que des fédéralistes .
Pas de quoi à vous pavaner les canadians !
En fait je me souviens de vous avoir demander de m’expliquer le succès du Bloc à Ottawa ?
Serait-ce que les québécois qui votent pour ce parti ne savent pas que ce sont des souverainistes ?
Serait-ce que les québécois qui votent pour ce parti le font pour » améliorer » le fédéralisme canadien ?
Où simplement que la majorité des québécois francophones n’ont AUCUNE confiance au Canada , votre plussss beau pays !!!!
Et si dans un monde meilleur, on attaquait le message plutôt que de tirer sur le messager………. Erwan Basque.
Essaie donc pas dans tes chansons d’être aussi bon que Paul Piché,
car Paul Piché était trop fort, bien trop fort pour t’essayer,
Essaie pas, essaie pas, essaie pas, essaie donc pas……
Et si du même auteur, on pouvait écouter L’ ESCALIER et que par bonheur, grand bien vous fasse…….Erwan Basque