Suite du billet précédent, «Les années Bouchard»:
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La semaine dernìère, en entrevue avec Mario Langlois sur les ondes de 98.5 FM, Mario Dumont disait ceci de particulièrement révélateur:
«Mettons qu'il y avait eu un Oui à 50% et des poussières, pour bien ramasser ça et éviter les déclarations incendiaires. Le soir du référendum, assez vite dans la soirée, on a su que ça allait être bien, bien, bien, bien, bien serré. Puis, j'étais un peu stressé.» (…)
L'animateur lui demande alors s'il avait réfléchi à ce qui serait arrivé si le résultat avait été inversé (donc, si le Oui l'avait emporté par une très faible marge).
M.D.: «Oui. Et, là-dessus, quand je te dis que ça aurait pu mal tourner. On sait jamais. Moi, je pense qu'à terme, il y aurait eu une brisure. Puis, je veux pas parler au nom de Lucien Bouchard, mais je pense que le trio des trois partis, je pense que Jacques Parizeau aurait dit «non, on a un mandat, on a 50% +1, on fait l'indépendance», je pense que Lucien Bouchard et moi, assez rapidement, j'aurais dit que c'est un mandat de négocier pour arriver à un nouveau partenariat, à une nouvelle entente. En même temps, je connais les Québécois! Moi, je sais très bien que ça aurait brassé pendant deux mois, tu aurais eu un sondage qui aurait dit que si c'était à reprendre, il y en 45% qui voteraient Oui.»
(** Les propos sont transcrits verbatim. On y comprend néanmoins assez facilement que M. Dumont avance que si le Oui avait gagné par un cheveux, plutôt que le Non, à terme, il pense que la chicane – «une brisure» – aurait prise entre d'un côté, un Jacques Parizeau déterminé à faire l'indépendance, et de l'autre, messieurs Bouchard et Dumont, qui auraient plutôt penché vers la thèse du «rapport de forces».)
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Ce qui nous ramène au troisième tome du journaliste Pierre Duchesne sur Jacques Parizeau.
En entrevue avec M. Duchesne, Jacques Parizeau lui-même affirmait qu'en effet, pendant la préparation du référendum de 1995, M. Bouchard avait tenté de le convaincre de reprendre l'approche de 1980, à savoir la tenue d'un second reférendum suite à la victoire du premier pour faire «approuver» le résultat des «négociations» avec Ottawa. (Voir Pierre Duchesne, Jacques Parizeau. Tome III. Le Régent, Québec Amérique, 2004, section «Les deux référendums», pp. 372-…)
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Le problème étant par contre qu'une indépendance nationale ne requiert pas deux référendums. Mais un seul.
Par contre, si on veut se servir d'un Oui majoritaire, surtout serré, comme outil de rapport de forces pour tenter de négocier avec Ottawa une nouvelle entente, disons, plus autonomiste, et bien là, en effet, la tenue de deux référendums est plus appropriée. Puisque le deuxième référendum porterait nécessairement sur les résultats de la négociation d'une «nouvelle entente». Aussi – et d'aucuns diraient «surtout» – parce qu'un deuxième référendum porte en soi le risque q'il soit défait…
On voit donc que la thèse même des deux référendums est , au pire, antinomique à la réalisation d'une indépendance nationale. Et au mieux, si on peut dire, extrêmement risquée. C'est d'ailleurs pour cela que M. Parizeau était en désaccord avec l'approche de 1980 (mais étant ministre à l'époque, il l'a néanmoins soutenue publiquement). Et c'est pour cela qu'une fois premier ministre, il l'a abandonnée. Tout comme il a rejeté l'idée de M. Bouchard de retourner à la stratégie de deux référendums de 1980.
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Et pour revenir un tant soit peu sur les nombreuses réactions au billet précédent, il reste qu'on aura beau tenter la quadrature du cercle, objectivement, on ne peut être à la fois persuadé que Meech était LA solution pour le Québec et que la souveraineté le serait aussi.
Certes, on peut avoir été persuadé que Meech était LA solution, mais croire que suite à son échec, en juin 1990, la souveraineté l'était devenue.
Ou, on peut avoir été persuadé que Meech était LA solution, mais croire que suite à son échec, en juin 1990, des demandes plus franchement autonomistes l'étaient devenues.
Mais on ne peut croire en même temps que Meech – une réforme de la constitution canadienne – et la souveraineté du Québec sont LA solution.
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En passant, ce qui est écrit dans ce billet et le précédent est basé sur des faits, sur des années d'analyse ainsi que sur le travail de moine que sont les trois tomes de Pierre Duchesne, journaliste à Radio-Canada. On peut certes ne pas partager cette analyse.
Mais pour ceux que toute analyse minimalement critique des années Bouchard tend à choquer irrémédiablement, il reste que cette analyse, tout comme le travail de M. Duchesne, ne sont ni des états d'âme, ni un jugement et encore moins un positionnement idéologique.
Surtout, encore une fois, que M. Bouchard soit ou non souverainiste aujourd'hui, à la limite, ça ne regarde personne. Incluant nous, les journalistes. L'ancien premier ministre étant sorti de la politique active.
Par contre, ce qui demeure d'intérêt pour qui veut faire l'analyse de l'ère pré- et post-Meech (à ne pas confondre avec l'admiration qu'on peut ou non avoir pour un personnage), est de tenter d'analyser les faits, les gestes, les actions des principaux acteurs de l'époque. Autant ceux qui furent posés en public que ceux qui le furent derrière les portes closes dans les «coulisses» du pouvoir. La lecture de l'ouvrage de mon collègue Pierre Duchesne demeure à cet égard plus qu'éclairante.
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Vous écrivez : «objectivement, on ne peut être à la fois persuadé que Meech était LA solution pour le Québec et que la souveraineté le serait aussi. »
Oui, Madame. On peut privilégier une solution comme plan A et en avoir une autre, dans sa manche, comme plan B si les Québécois ne veulent pas du plan A, genre, faute de pain on mange de la galette ou tout à la place de la fédération actuelle. Il y a une différence entre ce que l’on souhaite et ce que l’on pense qui a une chance d’arriver. M. Bouchard pouvait bien penser que Meech était LA solution faisable parce qu’un référendum était perdu à l’avance ou un gain trop mince pour permettre la souveraineté du Québec.
D’une façon ou d’une autre, si le OUI l’avait gagné avec 50,5 %, le fédéral aurait rejeté ou ignoré comme l’a écrit. Chrétien dans ses mémoires.
Les fédéralistes étant très majoritaires dans le groupe des riches entrepreneurs québécois ainsi que de leurs propriétaires, le Québec avec seulement la France comme alliée, aurait fait quoi pour convaincre les entreprises québécoises de lui faire parvenir les taxes et impôts du fédéral ? L’argent étant le nerf de la guerre, il me semble y voir là un gros os. Faut aussi dire que depuis ce temps là, la France a viré son capot en donnant toute sa confiance au fédéralisme canadien.
Ça va prendre, dans les circonstances, beaucoup de finesse, pour avoir raison de tous ces gros bâtons dans les roues de la souveraineté du Québec. M. Bouchard et Dumont semblaient s’en rendre compte plus que M. Parizeau. Ils ont, en 1995, été, tous les 3, déboutés par les Québécois, principalement, les Anglophones et les Allophones.
J’oubliais, et par l’argent aussi.
Les souverainistes doivent faire confiance au PQ qui est le seul parti à pouvoir sortir le PLQ de John « calamité » Charest à la prochaine élection. Le reste devrait venir par surcroît…genre. C’est le prochain mouvement, sans lequel, on ne peut pas sortir de la fédération actuelle et de la polluante Alberta qui va finir par nous nuire.
Ah, misère, c’est de mieux en mieux cette « analyse » des années Bouchard !
Tout d’abord, on s’amuse a citer quelqu’un qui dit « je connais les Québécois! Moi, je sais très bien que ça aurait brassé pendant deux mois, tu aurais eu un sondage qui aurait dit que si c’était à reprendre, il y en 45% qui voteraient Oui. » alors que ce même Mario Dumont s’est égaré pendant 15 ans dans une direction politique qui ne lui a jamais donner le pouvoir au Québec a force de faire du « one man show ».
Super convaincant, le génie en herbe qui « connaît si bien la population du Québec »… On me permettra de sourire et de douter fortement des qualités de « devin » de l’ancien chef de l’ADQ.
Alors franchement, ce qu’on peut déduire des spéculations de celui-ci sur la réaction des Québécois suite a un 50% plus 1 en faveur du OUI, je m’en torche.
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Ensuite, si on veut faire passer des conversations privées ou des stratégies de coulisses qui n’ont jamais été adoptées pour des FAITS permettant de mettre en doute la sincérité de Lucien Bouchard, je commence a trouver cela encore plus douteux ou futile comme démarche.
Ah oui, un auteur se penchant sur le parcours politique de Parizeau appuie la thèse de l’analyste ! Quelle surprise. Comme c’est convaincant…
Qu’est-ce qu’on s’en fout !
Selon mon souvenir, Parizeau est LE politicien souverainiste qui a le plus contribué a vider de sa substance la question de l’indépendance en réduisant celle-ci a une question triviale de changement de couleur sur une carte géographique.
C’est lui aussi qui avançait avec la conviction de conserver le dollars ET le passeport canadien en cas d’indépendance politique du Québec.
Et c’est cet homme-la qu’on veut faire passer pour un saint, un sage ou un très grand stratège ???
Give me a break !
Non, la démarche de Parizeau était gagnante ou acceptable pour une très grande majorité de Québécois parce qu’il faisait équipe avec des sceptiques issus du fédéralisme canadien ou du nationalisme mou québécois.
Éliminer ses appuis et le résultat de 1995 aurait été loin d’être « serré, serré, serré ». Le NON de 1980 aurait ressurgi pour hanter les purs et durs qui croient qu’ils peuvent manger du homard en toute saison ou surfer éternellement sur des sautes d’humeur populaire épisodique afin de faire avancer leur cause a tous prix.
Cela dit, en voyant a quel point on s’amuse a tordre les « faits » pour réécrire l’histoire aussi vite avec des bouts de ficelles blanches, je me pose de sérieuses questions sur la réflexion encore possible sur le « sentier lumineux » de l’indépendance québécoise.
D’autant plus que, contrairement a ce qu’on affirme un peu vite, la France est loin d’être acquise a la cause de qui que ce soit, que l’on parle du Québec ou du Canada.
Pour l’instant, le Québec ET le Canada sont divisés comme jamais ils ne l’ont été par le passé. Et si les souverainistes attendent que le BQ parte a la dérive pour comprendre qu’on ne peut rien prendre pour acquis dans la Belle Province amnésique de feu Duplessis, c’est que le progressisme n’est pas une valeur indestructible au Québec.
Si l’indépendance demeure un PROJET valable, il ne le demeure que dans la mesure ou il peut efficacement concurrencer le caractère foncièrement inclusif soi-disant représenté par le multiculturalisme canadien. Le problème, c’est que le multiculturalisme et l’état providence ne sont plus des évangiles auxquels peuvent se référer les politiciens comme on le faisait si aisément auparavant afin de « guider les fidèles vers la terre promise ».
Bref, ni au Québec, ni au Canada, on peut s’amuser a abuser du nationalisme pour créer un rapport de force probant au profit d’un parti quelconque. La fragmentation du vote et le système électoral continue a accroître « la marginalisation de la majorité de l’électorat, tant au niveau fédéral que provincial ».
Mais, c’est vrai, il y a plus important. Comme essayer de découvrir rétrospectivement qui a nui ou pas aux espoirs de Jacques Parizeau de devenir l’heureux chef d’Etat de 50% plus un des Québécois.
Bravo. Le grand soir s’en vient et la lumière blanche que les patients qui font une Near Death Experience prouve hors de tout doute l’existence du bon dieu…
Le constat à faire c’est que le changement de statut ne résulte pas d’un vote démocratique: On fait une croix sur un papier et on l’obtient un pays. Les gens qui croit cela aborde la politique de manière rationnelle.Or la politique n’est pas rationnelle, elle est relationnelle.
Elle est affaire d’intérêt de rapport de force et d’effectivité.
Donc le changement de statut ne peut devenir effectif que si, et seulement si, le rapport de force est favorable.Point.Nous sommes dans la physique des vecteurs et non en littérature.
Ce constat le peuple l’a fait d’instinct. Les intellectuels tardent à ce rallier. Pour se mettre en adéquation avec peuple (l’État organique), cela suppose un changement de paradigme:
Fini le Grand soir, le tout pour le tout.
La démarche qui mène à un nouveau statut suppose que l’État du Québec aura gagné en potentialité,et que possiblement l’État arbitraire Ottawa en aura perdu (fissures dans le mur du ROC).
Pour y parvenir sans risque ni péril il faudra partir de l’État du Québec (Reconnu de jure par la Loi 99) et entreprendre la deuxième Révolution tranquille.
C’est la première Révolution tranquille, qui a augmenter la potentialité de l’État, qui a créé les conditions et la dynamique qui a mené aux rapports de forces des deux référendums.
Cette Révolution tranquille mis en place par des fédéralistes (M Parizeau et Lévesques, etc…) les a transformé dans sa dynamique en souverainiste et a muter l’identité d’un peuple, de canadien français à Québécois. Seul l’État agit avec envergure (géopolitique).
La potentialité de l’État, tout est là. Charest (et sa clique) l’a bien compris lui qui poursuit, les deux mains sur le volant, son derby de démolition, pour en réduire la potentialité, si critique pour la suite de l’histoire.
Comprenez vous l’urgence de reprendre le contrôle de notre État, de changer de paradigme pour entreprendre la deuxième Révolution tranquille.
La question est vital: Cet État est le seul que nous aurons jamais et sur les assises duquel reposent nos espoirs de survivre pour la pérennité comme peuple français en Amérique !
Bonsoir à tous,
Et pourquoi un OUI gagné par la peau des dents avec 50% plus une seule voix serait-il valable et, BINGO, l’affaire est dans le sac tandis qu’un NON gagné avec 50% des voix plus 55,000 voix de plus que le 50% n’est pas reconnu par les nationalistes ? Quoi, deux poids, deux mesures ! Mais vous êtes en train de m’étourdir, mes petits sacripants, mais ne vous en faites pas trop si vous n’avez pas du tout ma confiance car vous ne l’aurez jamais ! Merci de Erwan Basque.
Il est grand temps de tourner la page.
Quelle perte de temps et d’énergie. Cessons donc d’être maso pour une fois!
Bonsoir à tous,
Et si ce coriace bagarreur de ruelle que ce Monsieur Jean Chrétien avait eu raison en affirmant dans sa verve habituelle et je cite : Moi, je ne veux pas perdre mon pays le Canada parce qu’un gars est allé voter au référendum et qu’il avait oublié ses lunettes à la maison……..) Et ce vieux bougre de Monsieur Pierre Foglia qui écrivait dans sa chronique : ( Moi, je ne veux pas être celui qui a voté et qui est le « PLUS UN ». » Mais, ce n’est pas grave car quand la réflexion est passé dans la parade, elle a oublié de vous en donner ! Merci de Erwan Basque.
Monsieur Basque continue sa propagande haineuse avec ses niaiseries habituelles !
Le clan du OUI a ACCEPTÉ le verdict populaire du dernier référendum peut-importe ce que monsieur Basque en pense et dire le contraire c’est encore de la démagogie. Nous avons accepté le verdict MALGRÉ la putasserie et la malhonnêteté du clan du NON avec en tête le chat de ruelle Jean Chrétien (un intellectuel comme Monsieur Basque les aime ?) et ses quarante voleurs !
Nous aurions fait des démarches auprès des autorités internationales si nous n’avions pas accepté le verdict.
Mais avec l’histoire des commandites nous avons pris conscience de la vraie nature des opposants au projet souverainiste. Des hypocrites qui brandissent le mot » démocratie » sans pour autant en respecter le principe.
Et l’hypocrisie c’est aussi faire une déclaration d’amour (les canadians du ROC) une journée et faire des menaces le lendemain avec une loi sur la clarté !!!!! Le syndrome du batteur de femme !
Compte tenu de la gravité et de l’importance de la phobie anti-souverainiste de Monsieur Basque je comprends fort bien que sa thérapie de défoulement sur ce blogue puisse continuer encore un bon bout de temps. Par contre nous ne sommes pas obligés de toujours endurer ses délires !
@Erwan Basque
» Et pourquoi un OUI gagné par la peau des dents avec 50% plus une seule voix serait-il valable et, BINGO, l’affaire est dans le sac tandis qu’un NON gagné avec 50% des voix plus 55,000 voix de plus que le 50% n’est pas reconnu par les nationalistes ? »
Un non à 50% + 55000 voix, pas reconnu par les Nationalistes?
Vous divaguez. What else is new?
Que je sache, Parizeau n’a pas fait l’indépendance et décrété unilatéralement l’indépendance. Ni Bouchard. Ils ont reconnu le résultat; mais c’est la « cause » du résultat qu’a dénoncée Parizeau.
Chrétien n’a pas joué « fair play ». Il n’a pas laissé les deux camps (le OUI et le NON) s’affronter à forces égales. Il a plutôt investi l’argent sale des commandites dans la bataille; son parti, d’ailleurs, ne s’en est pas encore remis. C’est ÇA que les nationalistes ont sur le coeur. Pas le résultat (défaite serrée). La défaite serrée fait mal. Mais c’est la tricherie qui fait serrer les dents.
Très bien écrit avec retenue M. Peace, félicitations !
Qui est le véritable perdant du Référendum de 95 ? Ce que le temps révèle c’est que le perdant est le Parti Libéral du Canada ! Et avec lui le Canada de Trudeau.
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Dans la dernière semaine de campagne Chrétien se voyant perdu s’est mis à pleurer dans son bureau. Psychologiquement il a intériorisé la défaite. Le Plan B fut sa réplique, or il s’agit d’un plan de perdant qui a piégé son parti pour la suite de l’histoire. Peu importe les commandites le Québec allait devenir une terra ingrata pour les héritiers de Trudeau.
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Les héritiers de Trudeau avaient jurer de mettre le Québec à sa place, or ce que révèle le temps c’est que c’est la nation québécois qui a mis le PLC à sa place: Dans les limbes du pouvoir.
Et savez vous quoi ils ne l’ont pas encore compris. Il leur faudra du temps.
http://www.vigile.net/La-victoire-de-la-nation
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Le Temps est une variable de la géopolitique. On ne peut ni l’acheter ni l’écarter.
Vous avez entièrement raison M. Pomerleau, M. Chrétien s’est prostitué, pendant le référendum de 1995, avec son parti Libéral fédéral et les commandites. Il a perdu sa réputation au Québec et celle de son PLC. Il s’est senti obligé de déménager en Ontario pour sa santé et sécurité physique et mentale.
Bonjour à tous,
Et bien, parbleu, j’aurai tout entendu même avec des vertes et des pas mûres ! Quand dans les jours suivants et ce, même le lendemain du référendum, les nationalistes montaient aux barricades, déchiraient leurs chemises sur l’Agora et dans le Québec profond et exigeaient tout de suite un autre référendum et que ca saute ! Mais diantre, pourquoi vous affublez d’une telle devise si votre mémoire est strictement sélective ? Et de ne jamais vous souvenir de rien si cela ne fait pas votre affaire ! Et bien, si vous avez respecté cette décision démocratique, cessez de vouloir en faire en autre et montrez tout de suite vos cartes aux Québécois et dites leur dès maintenant si on joue dans une série trois de cinq ou bien vous préférez un série quatre de sept ! Car Ottawa mène actuellement 2 à 0 dans ce duel épique ! Et Monsieur Lucien Bouchard dans l’entrevue avec Monsieur Bernard Derome a confirmé la validité de ce NON ainsi que Monsieur Mario Dumont qui en a pris acte et le respecte car peu après, son propre parti a pris l’orientation de l’affirmation Nationale mais en frappant à bras raccourcis sur les nouveaux arrivants pour mousser la Cause de l’affirmation Nationale et constatez le vous même, ces petits chenapans de Péquistes sont en train de voler le programme de l’ADQ……Merci de Erwan Basque.
@Erwan
» Et bien, parbleu, j’aurai tout entendu même AVEC des vertes et des pas mûres ! »
Pauvre monsieur Basque! Vous confondez vos oreilles avec des pommes vertes, pas encore à maturité! Vous savez, c’est avec les oreilles que l’on entend. Pas AVEC des vertes pas encore mures!
= = =
» Car Ottawa mène actuellement 2 à 0 dans ce duel épique ! »
Bin non, M. Basque. Cette fois, vous confondez avec une finale de Hockey entre les Sénateurs et les défunts (et sans doute futurs) Nordiques…
En 80, j’avais deux fils; l’un était à la pré-maternelle, et l’autre au lait maternel. Et moi, j’étais un jeune trentenaire plein de fougue.
En 95, un de mes fils a pu voter. Tout comme ses grand-parents maternels, décédés depuis.
Si un nouveau référendum était tenu en 2020? Moi je serai mort, mes trois enfants iront voter, tout comme l’ainée de mes petites-filles.
C’est que si le Québec n’a pas bougé, ses habitants se renouvellent.
Au nom de quel principe le NON que vous avez enregistré en 1995 pourrait-il empêcher ma petite-fille, qui n’était pas encore née, de voter pour (ou contre) la souveraineté du Québec en 2020?
Quel débat stérile. Va bien falloir un chef souverainiste assez courageux pour en proposer un référendum. Ensuite va falloir un chef avec le courage de poser LA question sans l’enrober dans le chocolat du passeport, de la devise et de l’armée canadiens. Ensuite faudrait que la majorité l’endosse, ici on parle de la majorité de TOUS les Québécois pas seulement la victoire morale d’une majorité de francophones.
Le Canada serait alors obligé de négocier, mais quel Canada , car 25 % des députés à Ottawa sont élus du Québec. Donc va bien falloir que le ROC se constitue un nouveau régime politique qui pourra négocier. Rien n’obligera ce dernier à négocier selon les principes établis par les souverainistes. Comment traiter les nations autochtones si certaines votaient pour rester attaché au Canada, par exemple ? Comment partager la dette, per capita ou proportionnellement à l’économie, la différence est de plusieurs dizaines de milliards de dollars.Tout cela pourrait prendre des années.
Mais personne n’ose parler des vrais enjeux, on aime mieux dénoncer les intentions passées d’un Jean Chrétien, par exemple. Mais Jean Chrétien , en tant que député élu du Québec, n’aurait plus de siège à Ottawa et aurait été un PM illégitime. Pourquoi s’en prendre à lui qui même s’il avait voulu accepter un résultat serré pour le OUI, il n’aurait pas eu le pouvoir de le faire ?
Alors, vous voyez comment tout ce débat est inutile et surtout virtuel étant donné l’état moribond du mouvement .souverainiste
Mme Legault, je préfere et de loin votre 2e billet sur Lucien Bouchard. Il est beaucoup nuancé, respectueux de la réalité. J’ai cru lire dans vos propos quelques nuances que j’avais émise lors de notre dernier dialogue ici et sur mon blogue. j’ose croire que je vous ai influencé….
L’analyse de tous les propos de ce billet et des blogueurs se résume dans la sempiternelle » façon d’accéder à la Souveraineté » La méthode des purs et durs parizeauiste et la méthode des conditions gagnantes de Lucien Bouchard moins rapide mais à mon avis est plus apte à rassembler une majorité.
Je ne veux pas faire un trop long commentaire sur vos billets…J’invite ceux et celles qui veulent lire ma réaction plus étoffée à vos billets sur mon blogue ici http://lumenlumen.blogspot.com/
Bonjour à tous,
Car d’emblée, nous nous devons de constater que les Nationalistes québécois ont encore beaucoup de chemin à faire dans leur cheminement de la compréhension de la démocratie… Mais déjà, certains d’entre eux s’éveillent à cette compréhension et acceptent que si dans un plus qu’incertain référendum à venir, la question se devra d’être CLAIRE et sans ambiguité , et que l’oxymore de la souveraineté-association et de la souveraineté-partenariat sera relégué aux oubliettes, car comme lors du Référendum au Monténégro, la Communauté Internationale veillera au grain pour que plus jamais dans l’Histoire une telle fraude intellectuelle ne survienne et une telle insulte à l’intelligence. Et comme la Commission de Venise s’est penchée sur le référendum monténégrin, d’autres instances se pencheront sur le cas du Québec, et ce soyez en sûrs et certains….
En effet, la Commission de Venise, probablement encore éberluée de cette fraude intellectuelle à la québécoise se décida d’encadrer et de baliser le référendum monténégrin de 2006….Et la Loi sur la Clarté de Monsieur Stéphane Dion fut retenue et appliquée pour ce référendum….. Et la Commission de Venise en demanda encore plus, car exigé de l’Union Européenne incluant la France…..Une entente entre les deux parties concernées sur le libellé de la Question qui se devait d’être claire et limpide, le seuil requis pour que le référendum fût accepté, car la barre fût mise à 55% et interdiction aux deux belligérants de jouer chacun de leur côté sur ( LES ÉMOTIONS NATIONALES ) car on ne construit pas un nouveau pays avec des émotions mais avec logique et avec de la raison……
De plus, la Loi sur la Clarté de Monsieur Stéphane Dion dont la réputation à l’internationale en est une de sommité en cette matière, ce CLARITY ACT , cet habit sur mesure fait pour encadrer un éventuel référendum à venir au Québec suite à la mauvaise foi des Nationalistes québécois, et bien dans cet habit sur mesure pour ici, on en habilla le Monténégro si bien que, si nouveau référendum il y a, le Québec sera obligé de revetir un vêtement usagé car ayant servi déjà pour le Monténégro et croyez en vos oreilles, cette Loi sur la Clarté a démontré son efficacité et la preuve en a été faite par un précédent. Le référendum monténégrin dépassa légèrement la barre du OUI fixée à 55% et ce même Monténégro attends encore de faire partie de l’Union Européenne…..
Finalement, le plus grand de tous les mythes que les nationalistes québécois auront à déconstruire est la mythologie du 50% plus une voix qui t’amènera dans le très énigmatique ( CONCERT DES NATIONS ) du non moins énigmatique Monsieur Bernard Landry….. Car cela ne sera pas UN DIVORCE DE VELOURS car tu ne peux abuser de la confiance populaire en lui laissant croire que tu peux fonder un nouveau pays avec seulement la moitié de ses habitants plus une seule voix et ce, contre l’autre moitié de la même population qui n’en veux PAS……. Car ce nouveau pays sera ingouvernable et croyez le bien…. Car dans tous les autres pays qui, par référendum populaire ont accédé à leur indépendance de cette facon relevait d’un appui massif de leurs populations concernées et tous par des victoires bien en haut du 75% de OUI de leur électorat. Et ici, les nationalistes regardent bêtement leurs leaders d’opinions, ces manipulateurs de la pire espèce qui les bernent littéralement depuis plus de 40 ans en TIRANT SUR LA FLEUR POUR LA FAIRE POUSSER…… Foutaises et merci, Erwan Basque.
Le programme des commandites a été mis sur pieds après le référendum de 1995.
Lors du référendum de 1980, le gouvernement Trudeau a dépensé des millions de dollars pour combattre le référendum. Ajouter à cette tactique, le mensonge du Non. Voter Non c’est comme voter Oui. Des naîfs ont voté Non, M. Trudeau était tellement séduisant; M. Lévesque tellement chiffoné, moins respectable, physiquement. Présentant moins bien… Après tout, M.Trudeau était Premier ministre du Pays; M. Lévesque n’était qu’un Premier ministre de province… L’image a gagnée, pas le fond. Pas l’intelligence des enjeux.
En 1995, encore une fois, les fédérastes ont mis le paquet. Ils ont encore une fois manipulé la Court de la citoyenneté. A la guerre on ne fait pas dans la dentelle. On vise la jugulaire. C’est ce qu’ils ont fait. En trichant. Mais qu’à cela ne tienne, ce qui importe, c’est la victoire et les victorieux écrivent toujours l’histoire. On a gané! On a gagné! La, la, lalaire! etc.
Encore une fois on s’est fait avoir par des gens sans scrupules et par une tactique, la nôtre, qui n’était pas la bonne : trop d’ambiguité. On ne pose pas une question de vie ou de mort avec une phrase qui comporte une principale et une subordonnée. Nos adversaires ont su exploiter cette faiblesse.
On s’est tiré dans le pied. Ayoye!
M. Lépine écrit : «Ensuite va falloir un chef avec le courage de poser LA question sans l’enrober dans le chocolat du passeport, de la devise et de l’armée canadiens.»
Bien là, un passeport et l’armée canadienne ne sont plus du chocolat au point de vue international à cause de la pollution et de la torture permise par le Canada. Pour ce qui est de la devise canadienne, tout le monde peut s’en servir ou la changer pour la devise américaine.
Pour ce qui est de M. Chrétien, si le OUI avait gagné en 1995 M. Chrétien n’aurait pas perdu son siège automatiquement. Il serait demeuré P.M. canadien, tant que la souveraineté du Québec n’aurait pas été réalisée et, il s’y serait fermement opposé.
M. Bousquet qualifie le Canada de pays de torture et de pollution, faut croire que les gens ne voudront plus immigrer ici et que nous allons commencer à émigrer !
Je trouve que vous concluez assez vite merci. M. Bouchard nous disait qu’il fallait se séparer du Canada parce qu’il était presque en faillite avec ses déficits budgétaires gigantesques. On verra bien si jamais, et il faut répéter le si, on avait un autre référendum.
J’ai hâte de voir cela inclus dans la question: voulez-vous renoncer automatiquement à votre citoyenneté canadienne ou préférez-vous le passeport québécois unique.
« Ils ont encore une fois manipulé la Court de la citoyenneté »
S. Gingras
C’est une fausseté patente. Personne n’a obtenu la citoyenneté canadienne qui n’y avait pas droit. Ce que le fédéral a fait c’est de s’occuper du « backlog » de demandes qui trainaient, ce qui était tout à fait légitime. Imaginez pour une seconde si l’inverse s’était produit , disons que les immigrants éligibles à la citoyenneté favorisaient majoritairement le OUI dans les sondages et que le fédéral trainaient leurs demandes en longueur pour les empêcher de voter. Il y aurait eu une trainée de chemises souveraistes déchirées de Gaspé à Val d’Or !
Entretemps il est amusant de lire toutes les conjectures souverainistes sur la couleur des pyjamas de Jean Chrétien
Bonsoir à tous,
Et si par hasard et ce, sur une Planète pas très loin de chez-vous , je veux dire votre Planète Québec où la confusion règne en maitre chez les Nationalistes Québécois qui fait que se poser la question suivante peut s’avérer incendiaire mais posons cette question quand même : ( Est-ce qu’il se pourrait que votre Nationalisme et la démocratie comme telle soit tout à fait incompatible car opposé l’UN à L’AUTRE car la démocratie et votre Nationalisme ne peuvent difficilement s’accommoder car étant une chose et son contraire…. Non pas un oximore, mais bel et bien deux visions totalement opposées l’une à l’autre et votre DÉNI légendaire en est la principale cause…….Pensez-y bien si vous en êtes capables et bonsoir de Erwan Basque.
Bonsoir,
Et pourquoi le Parti Québécois s’est battu bec et ongle pour éviter que les boites du scrutin référendaire de 1995 soient ouvertes afin de vérifier le pourquoi sur le fait que sur les 89,000 votes rejetés au Référendum de 1995, et oui 87,000 de ces votes étaient des votes pour le NON et refusés par des scrutateurs nationalistes trop zélés et aveuglés par la Cause car tous les moyens sont bons…..Et plusieurs de ces scrutateurs ont paradé devant la Cour de Justice en ayant une sentence suspendue par le juge Monsieur Allan Gold qui a compris dans sa sagesse que ce pouvait fort bien être une erreur commune de la jeunesse. Et c’est ainsi que le Groupe Alliance Québec essaie de plaider le tout devant l’organisation des Nations Unis, soit l’ONU. Et merci de Erwan Basque.
Bien que 50% +1 soit la norme, on ne fait pas un pays fort avec ce score, surtout quand on considère la molesse de conviciton des Québécois à l’égard de la nécessité de faire un pays…
La plupart des pays qui ont émergé depuis 20 ans ont été créés avec des appuis populaires de plus de 65 %… Seul le Monténégro a eu moins de 60%… L’autre exemple est un divorce à l’amiable : Rép. tchèque et Slovaquie.
Si 1995 s’était soldé avec 50%+1, il aurait fallu tenir compte de ce score faible pour forcer le Canada à négocier un transfert des responsabilités majeur, mais il aurait été difficile de proclamer unilatéralement l’indépendance… De toute façon, la question de 1995 portait sur un projet de partenariat à négocier AVANT de proclamer l’indépendance… Il aurait donc été normal de négocier. Et je tiens à rappler que Lucien Bouchard avait été nommé par M. Parizeau Négociateur en chef en 1995…
Nous avons raté l’occasion de voter OUI et il faut maintenant réinvestir les pouvoirs qu’il nous reste de façon adéquate :
– Nos ministères communiquent en anglais avec nos immigrants,
– Nos cours d’histoire et de culture religieuse dévalorisent la culture d’accueil québécoise au profit d’un multiculturalisme à la canadienne,
– Nos ressources naturelles sont sous-traitées à des compagnies étrangères…
Soyons souverains dans nos domaines de compétence avant de rêver à contrôler d’autres pouvoirs !
J-Félix Chénier
http://leblogueduvoisin.blogspot.com/
Bonsoir à tous,
Et merci de tout coeur, Monsieur Chénier , car vos commentaires sont de loin beaucoup plus perninents et ce, car j’extrapole, malgré votre jeune âge……Et de loin, plus pertinents que les commentaires de certains vieux boucs du nationalisme québécois qui en font un repoussoir…..
En effet, et avec votre ouverture d’esprit que je constate par vos propos, c’est toujours avec du recul que l’on peut comprendre une chose et ainsi en avoir une perspective éclairée……
Par ailleurs, si je m’adresse à vous, c’est dans cette perspective que vous êtes ouvert pour apprendre et ainsi évoluer au niveau des neurones, ce que peut de nationalistes peuvent faire car étant limités intellectuellement en s’abreuvant aux sources du Journal de Montréal, de Tivi-AHH et de Ti-Cul S..Et comme parmi eux, sans que ce soit des eunuques, ils n’ont pas les couilles requises pour passer la rampe des propos intelligents.
Finalement, et pour concrétiser le tout en vous avertissant que cela prends des COUILLES, cliquez Jean-Pierre Derriennic sur GOOGLE et aussi du même auteur encore sur GOOGLE soit : ( NATIONALISME ET DÉMOCRATIE ) et vous constaterez par vous même toute l’envergure de ce bourru BRETON comme moi-même, cette sommité reconnue au niveau international de par ses travaux de recherche au niveau universitaire.Cet immense professeur de Sciences Politiques que nous avons tous la chance d’avoir en nos murs car il enseigne à l’Université Laval de Québec. Car cet éminent professeur de Sciences Politiques a peut-être souvent un discours hermétique car ses interventions ne versent pas dans le populisme ambiant étant constamment confronté à des étudiants universitaires du 2ème et du 3ème cycle et souvent consulté dans les disciplines post-doctorales. Ainsi, bonne lecture de Nationalisme et Démocratie et si vous voulez bien, cela prends des couilles. Et surtout merci, de Erwan Basque.
M. Lépine, votre partisanerie vous aveugle. On a accéléré le processus. Ce qui a eu pour résultat que des gens, indésirables, ont été acceptés car on a pas pris le temps de faire les enquêtes usuelles. On a courcicuité le processus normal.
M. Chénier, je suis tout à fait d’accord avec vous. Exploitons au maximum nos juridictions. Communiquer en anglais avec des allophones, des pesonnes morales est du plus haut ridicule. Sous le PQ on le faisait, on continu avec les Libéraux. 🙁
M. Basque, vous êtes un phénomène. Il y a quelques jours vous nous asséniez que l’on ne pouvait être intellectuel et nationaliste simultanément. Et maintenant, on ne peut être nationaliste et démocrate simultanément. Qui a-t-il dans votre eau? De quel bois vous chauffez-vous?
Etes-vous le roi de la provocation?
@Basque le… Breton
» Et de loin, plus pertinents que les commentaires de certains vieux boucs du nationalisme québécois qui en font un repoussoir…..
En effet, et avec votre ouverture d’esprit que je constate par vos propos…bla bla bla »
Vous qui qualifiez le nationalisme de « maladie mentale », vous qui dénoncez les vieux boucs du nationalisme, voilà que vous valorisez maintenant l’OUVERTURE D’ESPRIT. Eh bin…
Quelle profession exercez-vous? Je parie que vous êtes scripteur de gags au réseau Ti-Vi-Ha ou à Ti-Cul-Esse, dont la rumeur court en Bretagne qu’il soit devenu Vi. Comme dans « visqueux »… ..
@Serge Gingras (10h27)
Basque affiche tout à la fois sa fierté d’être Breton (2h12) et son mépris du nationalisme. Cherchez l’erreur…
Basque s’émerveille de l’ouverture d’esprit d’un Chénier, mais qualifie les nationalistes de vieux boucs et le nationalisme, de maladie mentale. Cherchez l’erreur…
Au moins, il est cohérent dans son incohérence…
Bonjour à tous,
Et d’ouverture d’esprit, car étant d’origine bretonne, et amoureux de la France en étant encore plus amoureux de sa belle langue francaise ! Et comme Sir Paul McCartney avait répliqué à la horde de nationalistes bavant de rage qui voulaient empêcher ce grandiose musicien de venir sur les Plaines D’Abraham lors du 400ème de Québec, car au journaliste de Radio Canada en poste à Londres qui demande à Sir Paul de se prononcer sur la levée de boucliers des nationalistes québécois :Sir Paul leur répondit ceci dans son bel accent British : ( Et moi, mes meilleurs amis sont en Allemagne où je vais donner régulièrement des spectacles ! Est-ce que je dois cesser d’aller en Allemagne et y jouer parce que l’Allemagne et l’Angleterre ont déjà été dans le passé en conflit ? )
En effet, j’essaie de débattre sur le fond des idées et les attaques personnelles pour essayer de tuer le messager ne sont pas ma tasse de thé Earl Grey……Mais, je peux me permettre de tirer au flanc quand le besoin se fait sentir comme hier, Monsieur Peace quand vous avez insulté dans une réplique Monsieur Schwartz ( Peanut Butter ) car c’était gratuit et insignifiant…..Car ce Monsieur discutait sur le fond et je me suis dit dans mon fort intérieur que seulement un gars SAOUL peut se permettre une telle réplique, et voilà, car si je vous ai insulté du haut de votre superbe, et bien, je m’en excuse car j’adore les propos intelligents……
De plus, car par l’absurde, vous faites la démonstration éloquente que vous ne pouvez vous prétendre intellectuel et être nationaliste en même temps car votre nationalisme finit toujours par cannibaliser votre objectivité et votre raison….. Et vous en faites la preuve en étant de loin beaucoup plus nationaliste que JURISTE car c’est strictement sur le fond que l’on veut vous entendre et non pas en répliquant par des injures et des attaques gratuites…….
Finalement, encore au risque de me répéter, car faire de la pédagogie ce n’est pas facile bien évidemment et si de mon bon ami Plume Latraverse on entonnait : Et si tous ensemble, on se faisait une petite chanson, une petite chanson qui nous ressemble, jamais contente comme de raison, une petite chanson, C’EST PAS DE SA FAUTE, une petite chanson rien que pour nous autres…….Et que la vie est belle, Erwan Basque
@Basque dit le Breton
« comme hier, Monsieur Peace quand vous avez insulté dans une réplique Monsieur Schwartz ( Peanut Butter ) car c’était gratuit et insignifiant…..Car ce Monsieur discutait sur le fond »
Non, Obélix le Breton, ça n’était pas gratuit. Peanut Butter avait insulté mon intelligence, et il a répliqué que c’eut été bien difficile puisque d’intelligence je n’ai point, affirmait-il péremptoirement.
Et vous croyez vraiment que c’est moi qui lui ai manqué de respect? Si tel est le cas, VOUS manquez de discernement.
= = =
« par l’absurde, vous faites la démonstration éloquente que vous ne pouvez vous prétendre intellectuel et être nationaliste en même temps car votre nationalisme finit toujours par cannibaliser votre objectivité et votre raison…. »
Et votre raison à vous, qu’est-ce qui a bien pu la cannibaliser? Vos préjugés infects? Cette grande ouverture d’esprit qui vous porte au mépris de qui ne partage pas ces préjugés qui vous étouffent?
Un intellectuel, mossieu Obélix, c’est quelqu’un qui remet constamment ses connaissances en question. Vous vous gargarisez de vos a priori. Et vous prétendez me faire la leçon?
Bonsoir à tous,
Et ne vous en déplaise, Monsieur Peace, je ne me donne pas plus d’importance que seulement avoir une opinion et l’opinion que je vous livre par le biais de ce blogue n’est qu’une seule opinion parmi 7,500,000 autres au Québec et rien d’autre de plus….. Car la seule importance que mon opinion et moi avons, c’est que c’est vous même qui me donnez cette importance, et à l’opinion exprimée…. Bien à vous, Erwan Basque.
@ Une image vaut mille mots.. **********************************************************************