«Le gouvernement fédéral canadien a annoncé aujourd'hui qu'il était prêt à offrir à Haïti une aide égale à celle des citoyens canadiens et allant jusqu'à 50 millions de dollars canadiens, ce qui porterait potentiellement le total de l'assistance canadienne à 100 millions (97 M USD).
"Le Canada fera les mêmes contributions que les citoyens canadiens font aux organisations caritatives canadiennes reconnues afin de soutenir les efforts d'aide humanitaire et de secours pour un total de 50 millions ce qui est un potentiel de 100 millions", a indiqué le chef de la diplomatie d'Ottawa Lawrence Cannon lors d'un point de presse.»
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Deux questions, si vous le permettez:
1- Comment se fait-il que le gouvernement semble attendre que les citoyens «donnent» avant de décider combine il «donnera» lui-même?
2- Comment se fait-il qu'il impose un montant «plafond» sans même savoir si cela sera suffisant? Les besoins étant, on en conviendra, gigantesques dans les circonstances.
Je pose ces questions parce que dans certaines situations de catastrophe à l'étranger, le gouvernement précédent avait, lui aussi, parfois, cette tendance à «donner» un dollar pour chaque dollar «donné» par les citoyens à des organismes de charité reconnus.
Un peu comme si c'était un téléthon.
Ou, qu'un gouvernement national était incapable de décider du montant en argent comptant qu'il offrira indépendamment de ce que font les Canadiens privément…
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Même s'il est vrai que le gouvernement offre également de l'aide sous d'autres formes, il reste que ces questions se posent.
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Bref, ne serait-il pas temps de faire sauter ce type de plafond artificiel et de dissocier les décisions gouvernementales dans ce domaine des décisions prises individuellement par des citoyens?
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@ Ajout (dimanche 17 janvier):
Ce problème d'imposer un «plafond» à ce montant, de plus, en se basant sur un critère aussi aléatoire que les dons privés des citoyens, a valu au premier ministre Harper d'être questionné précisément sur ce point en conférence de presse samedi matin.
Il a précisé que ce plafond «pourrait être plus élevé», mais on ne sait trop pourquoi, toujours à la condition que les Canadiens donnent plus que ces 50$ millions.
Nonobstant, le gouvernement fédéral semble de plus en plus déterminé à offrir une aide importante. Et ce, sous diverses formes.
Car ce ne sont certes pas les besoins qui manquent et vont manquer à Haïti.
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@ Photo: REUTERS / Jorge Silva
Si les canadiens donnent 25 millions, le Canada n’en donnera que 25 alors qu’il peut en donner 50?
Le Canada a envoyé le 13 janvier 5 millions en aide humanitaire d’urgence à Haïti…..il sera en plus du 50 millions ou inclus?
http://www.acdi-cida.gc.ca/acdi-cida/ACDI-CIDA.nsf/fra/NAT-1139845-JLJ
Envoyé dans un autre lieu, ce texte en dessous repris se trouve à répondre partiellement à un aspect soulevé par J.Legault tout en restant dans le sujet.
Sur le sujet précis de l’article.
Premier commentaire
À quoi s’attendre du gouvernement Harper dont les valeurs sont parallèles à celles de la population albertaine qui pourrait voté républicain si la province devenait un État américain!
Qu’importe si la représentante de sa majesté est d’origine haïtienne cela ne dérange pas Harper qui ne trouve de vertu que dans l’exploitation des sables bitumineux!
Chez les conservateurs américains ou canadiens l’argent se mérite par la sueur et l’économie est chose fragile toujours menacé par l’instabilité de ses cycles. Autrement dit, l’économie réelle est précaire sensible à la rareté des richesses et à la pénurie. Alors, un maximum de 100 millions pour Haïti c’est plus qu’assez pour Harper si même dans la réalité le déficit budgétaire est bien apparu malgré les principes idéologiques des conservateurs.
Second commentaire
Haïti doit être mis sous protectorat des Nations Unis comme cela fut fait pour des territoires de l’ex Yougoslavie. La bourgeoisie locale mulâtre d’Haïti s’est avérée étant comme la plus injuste de toutes dans le monde depuis l’indépendance contre la France. Suite à ce désastre géologique qui s’est abattu contre un pays ravagé déjà par le mal développement comme dirait l’écologiste René Dumont, (figure marquante de la critique des inégalités Nord Sud des années 70 à 1990) les élites du pays créole n’ont pas la compétence pour gérer la catastrophe.
On parle beaucoup de communauté internationale comme si elle coulait de source ce qui n’est pas vraiment le cas puisque les transnationales et les milieux financiers des grandes capitales autour de grands pays ou entités politiques comme la Chine, les É.U ou l’Union Européenne se déterminent comme les véritables agents de cette planète.
Ces grands acteurs du monde aux intérêts plutôt particuliers pourraient se montrer plus crédibles si ils investissaient sans attendre de retour sur capital important au moins 3 à 4 milliards à Haïti mais là on rêve peut on croire.
Quelques milliards pour reboiser une partie du pays, des milliards pour reconstruire et construire enfin des infrastructures et des bâtiments et blocs à logements capables de résister aux secousses occasionnelles d’une terre propice aux fissures géologiques.
La communauté internationale existera le jour ou elle fera mieux que de réagir en situation d’urgence.
Bonjour Mne.Legault.
La croix rouge, l’armée, les casques bleus, ect… tant mieux, j’approuve à 100 % l’aide humanitaire canadienne pour secourir Haïti sous le choc.
Mais preuve qu’un malheur ne vient jamais seul, les conférences de presse larmoyantes de nos politiciens (Jean Charest), les serrages de main à l’aéroport de Stevan Blaney, Denis Coderre à l’arrivée des premiers rescapés, la présence de journalistes avides de sensationnalisme me lèvent le coeur.
Ce sera mon seul commentaire.
Que doit-on comprendre de cette annonce « Canada will equal Canadians’ contribution »?
Si vous n’êtes pas d’accord avec une contribution gouvernementale, alors abstenez-vous de contribuer sur une base individuelle ou corporative?
Pauvres Haïtiens!
Lorsqu’un pays subit déjà un déficit, un déficit qui n’est pas prêt de disparaître dans un avenir prévisible, je trouve acceptable qu’il donne 100 millions de $, fussent-ils canadiens.
Cela dit, il serait beaucoup plus utile d’avoir des canadiens sur place qui veilleraient à ce que notre aide, matérielle et monétaire, ne disparaissent pas dans les poches des criminels qui foisonnent dans ce pays, en commençant par la classe dirigeante.
On a déjà tenté la reforesation, mais les habitants se sont vus contraints de couper les arbres, encore une fois, car on ne leur donne pas le kérosène nécessaire à la cuisson. C’était très intelligent. 🙁
Si nous voulons sincèrement aider ce pays, il faut se résigner à y être pour des dizaines d’années. Le temps de tout construire socialement. Il faut de la nouriture pour tous, adultes et enfants. Un enfant au ventre creux n’est pas réceptif à l’éducation : primo vivere, n’est-ce pas.
Il faut de la justice sociale, et un système judiciaire efficace, du policier au magistrat, tous bien payés afin de combattre la corruption.
Il faut surtout contenir, maîtriser, cette classe dirigeante qui n’a nulle intention de lâcher le morceau en faveur de maudits pauvres qui n’ont que ce qu’ils méritents, comme le chante Plume.
Premièrement, établir la justice sociale, le reste suivra, automatiquement. Ce n’est pas 100 millions qu’il faut, c’est du temps, de l’énergie. Et ça, ça exige de l’amour, de l’amour du prochain, comme le prêche le Dieu de Herr Harper et de tous ces soit disant chrétiens du dimanche.
Donner de l’argent, c’est ce que font les gens qui veulent se débarasser d’un gêneur. Donner du temps, ça c’est plus respectable et efficace. Surtout, plus apprécié par les récipiendaires.
Du temps! Ah! Seigneur et pis quoi encore?
Donner de l’argent. La facilité et la bonne conscience.
Encore une fois, merci la France d’avoir saigné à blanc, à quatre reprises, cette population : compensations obligent. Ça leur apprendra à être indépendants.
Bonne nuit!
Vaste chantier à mettre sur pied:
Meilleur contrôle des naissances, reforestation, agriculture visant à l’autosuffisance alimentaire, édifices en bois plutôt qu’en béton, usines de traitement d’eau, instruction décentralisée en régions, fours à énergie solaire, chasse à la corruption …
Bon courage à ce peuple éprouvé.
@ Justement, ce problème d’imposer un «plafond» à ce montant, de plus, en se basant sur un critère aussi aléatoire que les dons privés des citoyens, a valu au premier ministre Harper d’être questionné précisément sur ce point en conférence de presse samedi matin.
Heureusement, il a précisé que ce plafond pourrait être plus élevé, mais on ne sait trop pourquoi, toujours à la condition que les Canadiens donnent plus que ces 50$ millions.
Nonobstant, le gouvernement fédéral semble de plus en plus déterminé à offrir une aide importante sous plusieurs formes.
Et ce ne sont certes pas les besoins qui manquent et vont manquer à Haïti!
D’après l’ONU, ce serait la plus grande catastrophe naturelle hors de tout doutes pire que le tsunami en Indonésie depuis au moins 50 ans. L’équivalent d’un gigantesque bombardement aérien.
Mentionné à la première chaîne radio de SRC.
Les opérations d’aide et de reconstruction et d’un développement amélioré devront être gigantesques. La responsabilité du premier *président noir des É.U sera importante. Barak Obama semble répondre à la catastrophe selon les infos obtenu dans ces premiers jours.
*président noir: Haïti est le pays symbole de l’esclavagisme des nations européennes du 17 et 18ème siècles. L’indépendance a été obtenue dans le feu et le sang contre les Français au début du 19ème siècle.
Haïti doit être mis sous protectorat des Nations Unis comme cela fut fait pour des territoires de l’ex Yougoslavie. La bourgeoisie locale mulâtre d’Haïti s’est avérée étant comme la plus injuste de toutes dans le monde depuis l’indépendance contre la France. Suite à ce désastre géologique qui s’est abattu contre un pays ravagé déjà par le mal développement comme dirait l’écologiste René Dumont, (figure marquante de la critique des inégalités Nord Sud des années 70 à 1990) les élites du pays créole n’ont pas la compétence pour gérer la catastrophe.
On parle beaucoup de communauté internationale comme si elle coulait de source ce qui n’est pas vraiment le cas puisque les transnationales et les milieux financiers des grandes capitales autour de grands pays ou entités politiques comme la Chine, les É.U ou l’Union Européenne se déterminent comme les véritables agents de cette planète.
Ces grands acteurs du monde aux intérêts plutôt particuliers pourraient se montrer plus crédibles si ils investissaient sans attendre de retour sur capital important au moins 3 à 4 milliards à Haïti mais là on rêve peut on croire.
Quelques milliards pour reboiser une partie du pays, des milliards pour reconstruire et construire enfin des infrastructures et des bâtiments et blocs à logements capables de résister aux secousses occasionnelles d’une terre propice aux fissures géologiques.
La communauté internationale existera le jour ou elle fera mieux que de réagir en situation d’urgence.
Erreur de bouton, texte en double, désolé.
Ceci, cette conclusion qui va dans le sens de mon texte en double copie involontaire. Le séisme et ses effets est aussi résultat du non développement du pays haïtien.
(…) Les Haïtiens espèrent beaucoup de la communauté internationale. Si des choses sont décidées à un très haut niveau, dans le cadre d’un vaste plan de reconstruction, alors les Haïtiens sont prêts à accepter cette dernière souffrance. La représentation de l’Etat, à travers le gouvernement décimé, étant touchée, c’est le moment d’aller droit vers le peuple et de faire enfin quelque chose d’audacieux pour ce pays.
http://www.lemonde.fr/ameriques/article/2010/01/16/haiti-le-temoignage-bouleversant-de-l-ecrivain-dany-laferriere_1292475_3222.html#ens_id=1290927
De l’argent! De l’argent! Toujours de l’argent!
Comme si c’était de l’argent qui allait vraiment arranger les choses…
Bien sûr qu’il en faut, un peu et même un peu plus encore, de cet argent. Pour réparer et remettre sur pied des tas de trucs. Mais donner de l’argent ne pourrait en aucun cas régler le problème de misère endémique qui sévit à Haïti, selon ce que j’en sais.
Et le commentaire de Monsieur Gingras, un peu plus haut, indique une bien meilleure approche que de bêtement donner de l’argent: plutôt, donner du temps. Aider par notre présence. Ne pas nous contenter de jeter quelque dollars comme ça, en nous imaginant avoir fait notre part.
Ne donner que de l’argent équivaut à donner quelques poissons à une population affamée. C’est une aide bien temporaire. Ce serait beaucoup plus efficace de prendre le temp de montrer à cette population affamée comment pêcher. Celle-ci pourra alors se prendre elle-même en main – et le problème de misère endémique pourra enfin avoir de sérieuses chances de se résorber. Un jour…
….p-e pour ne pas avoir à payer trop de retour d’impôt…
@ M. Perrier,
À quand pour vous le grand départ?
Quand j’ai vu les images, ma première réaction a été de vouloir être là pour les aider….mais ma santé ne me le permet pas….alors j’ai donné à Médecins du monde, pcque j’estimais que dans l’immédiat, ils avaient besoin de soins médicaux. Ils avaient aussi besoin de grues, mais….
Pas de grand départ pour moi, Madame Bourassa…
Mais des gens en bien meilleure santé, et beaucoup plus qualifiés relativement aux besoins, seraient très utiles pour aider à reconstruire sur des bases plus solides cet endroit qui végète depuis trop longtemps.
Quelques dollars dans l’immédiat, certes. Mais surtout de l’aide au niveau de la formation, pour peut-être arriver à enfin casser le cycle infernal qui perdure.
Entedu ce matin chez Joël Lebigot : il n’y a jamais eu d’Etat haïtien. Il y a un peuple haitien, mais l’Etat n’a jamais existé. Donc, difficle d’aider un Etat inexistant.
Le gouvernemnent Harper, grand admirateur du Dieu de l’Ancien testament : Dieu vengeur ; pas le nouveau : Dieu d’amour, refuse d’ouvrir nos frontières aux malheureux Haïtiens comme un gouvernement précédent avait ouvert nos frontières aux Yougouslaves lors de leurs malheurs.
Evidemment, c’étaient des européens, des blancs. Les Haïtiens sont noirs. Pouah! Pas de privilèges pour de sales nègres, peut-on les entendre dire d’ici. Même dans les plus grands malheurs, le racisme tient bon. Et on se dit chrétiens. Mon oeil! oui. Sales types ces conservateurs!
Il faudrait sans aucun doute, une force d’occupation pacifique, une forme de colonialismes généreux, pour finalement créer cet Etat qui n’a jamais existé. Qu’est-ce que trente ans dans la vie des peuples? C’est sans doute le temps nécessaire à cette force d’occupation pour mettre sur pied et profondémemt enraciner les principes de base d’une saine démocratie.
Pas d’Etat, le bordel que l’on a connu depuis 1803.
M. Gingras, vous avez bien raison avec votre description de M. Harper, sorte de copie canadienne de M. W. Bush qu’il fait bon de ne plus avoir comme chef du pays voisin.
Nous nous sentons pas mal plus proches des éprouvés Haïtiens que de ces Conservateurs de l’Ouest canadien, gagne de sépulcres blanchis mais un petit peu pourris, pour demeurer poli.
Bonjour à tous,
Car peut-être ainsi comprendre cette forme de < défi > envoyé à la population Canadienne en les incitant à ouvrir leurs goussets car présentement, les fonds envoyés à la Croix Rouge en seulement quatre jours de l’ordre de 17 millions de dollars fracassent les records établis car le précédent record de collecte de fonds de la Croix Rouge remontait aux pluies diluviennes survenues au Saguenay qui récolta 25 millions de dollars en trois semaines ! Avec un désastre beaucoup moins important ! Et surtout voir l’envoi de DART par l’Armée Canadienne soit ( Disaster Assistance Response Team ) et tous les autres effectifs de l’Armée Canadienne qui jouera enfin son rôle traditionnel antérieur aux Conservateurs. Sans oublier la forte contribution de CBC Radio Canada, de RDI ainsi que de la Première Chaîne qui crée des hyper-liens pour venir en aide aux Haitiens désemparés qui veulent savoir, qui sont à la recherche de proches ! Et aussi d’accélérer le processus de réunification des familles Haitiennes en ouvrant les portes aux ascendants et descendants et ainsi faciliter leur accueil…….
En effet, face à ce désastre incommensurable où de sombres pronostics comment à poindre car certains observateurs parlent maintenant de la forte possibilité de 200,000 morts et plus de 250,000 blessés où les structures sont en ruines ainsi que des villes et villages détruits de fond en comble ! Et ce qu’il faut craindre, le choc émotif qui perdurera dans l’esprit de ceux qui vont décider de rester et de reconstruire avec une sorte d’épée de Damoclès qui resteras sûrement dans leur inconscient collectif d’Haitiens !
En outre, en écoutant < Dimanche Magazine > sur la Première Chaîne de Radio Canada consacrée exclusivement à cette tragédie, il était navrant de constater par l’entremise de ce vieux pote de Monsieur Léo Kalinda la situation Haitienne quand ce journaliste chevronné demandait aux sinistrés qui priaient en choeur et imploraient le Ciel de leur pardonner leurs péchés en récitant toutes les prières apprises par coeur de leur catholicisme en alternant les Notre Père et les Je vous salue Marie, en plus du Je crois en Dieu en récitant le chapelet en groupe ! Et face à ce constat , comment ne pas ignorer toutes les Communautés Religieuses de Soeurs et de prêtres québécois en service commandé de leur Église qui enseignent aux jeunes Haitiens de croire en Dieu et surtout de leur faire apprendre par coeur et la réciter quotidiennement la prière de la Nation par les Frères de l’Instruction Chrétienne qui s’intitule comme suit……. ( La Nation est un regroupement d’individus ayant les mêmes traditions, les mêmes moeurs, les mêmes aspirations, les mêmes intérêts et ordinairement les mêmes origines ! ) . Et c’est peu dire car comment cet Haitien composera avec la présence internationale qui veut reconstruire en collaborant avec eux car certaines voix déjà pointent qui réclament le départ des étrangers en leur affirmant qu’Ils peuvent fort bien s’arranger entre eux pour laisser à certains la possibilité de s’emplir les goussets au détriment de la populace !
Par ailleurs, pour vraiment comprendre la situation pathétique qui sévit en Haiti, d’abord en lisant cet article du Journal Le Monde qui en fait est à l’écrit ce que Monsieur Dany Laferrière disait de vive voix à Radio Canada dans le mot pour mot comme s’il l’avait appris par coeur ! Et aussi constater qu’il sauva la vie de son éditeur et ami Monsieur Rodney Saint-Éloi, cet immense écrivain reconnu partout dans la francophonie excepté ici au Québec ! Car étant l’artisan fondateur de « Mémoires d’encriers » qui édite la pléthore de ces merveilleux écrivains haitiens avec une culture incommensurable ! Car et surtout pour comprendre le volcan Haitien , cet activiste de Monsieur Rodney Saint-Éloi qui essaie tant bien que mal d’éveiller la conscience de son peuple en donnant une conférence en Novembre 2000 prononcée à Culturenet de Port-au-Prince et édité sur < île en île > en 2002 et le texte intégral est sur GOOGLE en cliquant cette longue et lourde phrase : < Combattre la toute puissance du ressentiment > et la réponse est là et toute crue qui explique les difficultés du peuple Haitien………
Finalement, dans Le Devoir du cahier F qui porte sur le LIVRE et en page 2 du Devoir d’hier, de Madame Caroline Montpetit, un long article sur les écrivains haitiens de la diaspora , il est quand même étonnant comment elle ose dans son long propos < glisser > si habilement en faisant dans un amalgame un écrivain comme tout les autres de ce Monsieur RODNEY SAINT-Éloi qui en plus est l’éditeur de tous les autres car allez savoir pourquoi ? Et merci à tous de Erwan Basque.
Bonjour à tous,
Car et pour comprendre la situation québécoise dans tout ce charivari, il vous suffit de regarder en différé sur les ondes de Radio Canada en ce jour d’aujourd’hui le 17 de Janvier 2010 l’émission < Second Regard > pour ainsi constater que la Commission Bouchard-Taylor, et bien, ce n’est pas fini mais plutôt que cela commence ! Car dès le mois de Mai, les deux commissaires reprendront leurs travaux déjà amorcés il y a deux ans dans une autre commission Bouchard-Taylor qui durera un an à compter du mois de Mai au Québec dans d’autres consultations afin de porter le TOUT sur la scène Internationale en Juin 2011 pour en débattre sur le fond avec d’autres éminents spécialistes de la scène Internationale ! Et merci, de Erwan Basque.
Il vaut la peine de jeter un coup d’oeil intéressé sur l’interprétation religieuse du séisme par certains dans ce Carnet. M.Laferrière ne s’est pas trompé sur la nécessité de combattre une interprétation de malédiction, de mauvais sort sur le -cas- d’Haïti. Le Bouchard dans le Carnet c’est moi qui s’insurge sur les bêtises proférées tout comme d’autres heureusement. Alain Crevier, l’auteur de l’article semble cultiver une dangereuse ambigüité, normal puisque animateur de Second Regard. Sa vision moderne, ouverte du religieux connaît ses limites.
À lire absolument, article et réactions. M.Gingras tout comme d’autres pourriez ajouter votre grain de sel, vous spécifiquement S.Gingras partagez mes vues sur Harper, l’ancien testament et sur une sorte de conférence internationale se déroulant en parallèle avec les opérations de secours pour assister à une prise en charge du pays.
http://www.radio-canada.ca/nouvelles/carnets/2010/01/15/127379.shtml?auteur=2278
La catastrophe naturelle de proportion historique ne fait que qu’illustrer dramatiquement la fragilité de l’État Haitien. Cette non-fonctionnalité de l’État à une cause qui n’a rien à voir avec un Act of God:
http://www.vigile.net/Comment-ils-ont-ruine-Haiti
l’économie système c’est humain trop humain, M.Pomerleau.
Les balles de baseball officielles des ligues majeures américaines « Rawlings » sont fabriquées par le cheap labor haïtien. Les américains n’ont pas le choix, il faut sauver Haïti. La saison débute bientôt pour des millions de fans assis devant leurs téléviseurs derniers cris.
PLAYBALL!
Bonsoir à tous,
Car et voulant éviter de heurter la susceptibilité de certains soit < les amateurs de sports, BONSOIR ! > en voulant éviter de citer les commentaires lapidaires des deux commissaires soit Messieurs Gérard Bouchard et Charles Taylor au sujet de l’attitude de la population québécoise sur les conclusions de ce rapport ! Et tout ceci dans ce court reportage de 12.01 minutes sur Radio Canada dans cette émission du 17 de Janvier 2010 de < Second Regard > . Et surtout pour éviter de dire comme l’immense Jacques Brel dans son testament dans < Les Marquises > ce qui suit : « Quand on me demandes d’où je suis, je réponds FATIGUÉ ! » car étant Flamand . Ainsi, j’oubliais de mentionner l’appel envoyé du gouvernement du SÉNÉGAL qui offre à tous les Haitiens qui le désirent de retourner sur leur terre natale, soit le SÉNÉGAL où leurs ancêtres fûrent capturés pour devenir des esclaves de choix car constitués physiquement pour TRAVAILLER dur comme esclaves en Haiti ! Car tout ceci se passe de commentaires ! Et merci, de Erwan Basque.
Bonsoir à tous,
Et pour regarder Haiti par une autre fenêtre soit celle de la Première Chaîne de Radio Canada avec Madame Joane Arcand sur < Dimanche Magazine > avec les reportages de Monsieur Akli Ait Abdallah et de Monsieur Léo Kalinda pour comprendre qu’il faut sans faute démystifier cet < ACT of GOD > car d’une importance capitale suite à ce sinistre. Et merci, de Erwan Basque.
@Erwan
Vous pourriez expliciter votre 22h56?
Il est d’une importance capitale de démystifier l »Act of God ». En ce sens que…
En ce sens que: pauvreté? désorganisation sociale? corruption? absence de règlements de construction adéquats?
Vos commentaires pourraient être d’un certain intérêt si vous cessiez de parler en paraboles. POURRAIENT.