Suivre la couverture de ce qui se passe à Haïti, du confort de nos salons, c'est comme regarder un film d'horreur.
Mais en sachant que ce film, ce n'est pas de la fiction et que les femmes, les hommes et les enfants qu'on y voit ne sont pas des «figurants»…
Et pourtant, devant cette réalité crue et dure, devant les images de vraies vies et de vraies morts, devant ces enfants parfois sauvés par «miracle» ou parfois rayés de la vie en quelques heures, nous demeurons des spectateurs et des spectatrices.
D'éternels gérants d'estrade complètement dépassés par l'ampleur des événements et la proximité, ici, chez-nous, de tous nos voisins, amis, collègues ou connaissances d'origine haïtienne.
Et pourtant, malgré tout, on tente de faire ce qu'on peut pour aider. On donne de l'argent, comme on nous demande de le faire avec raison. On tente de comprendre. Mais comment comprendre vraiment ce qu'on n'a jamais vécu? Ni de près, ni de loin. Mais on peut compatir.
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D'autres partent pour Haïti – médecins, infirmières, soldats, policiers, travailleurs communautaires, organismes humanitaires et autres -, déterminés à faire ce que dois. Courage à eux et à elles.
On espère également que la communauté internationale ne se détournera pas lorsque les caméras du monde auront quitter Haïti pour aller couvrir le prochain désastre.
On espère qu'Obama fera preuve de leadership. On espère, on espère, on espère.
On espère que nos portes continueront à s'ouvrir pour eux, pour elles, pour les orphelins.
Mais pendant ce temps, les Haïtiens et les Haïtiennes vivent leur séjour en enfer. Mais pas un enfer de superstitions. Un vrai.
Comme seuls les enfers sur terre peuvent l'être…
Ce n'est donc pas pour rien si l'expression «enfer sur terre» est reprise un peu partout depuis les derniers jours.
Elle saute aux yeux et elle dit ce qu'elle a à dire…
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Un peuple courageux? Sans aucun doute. Un peuple résilient? La preuve en est faite.
Mais lorsque la poussière sera retombée, comme on dit, ce sera à eux, à leurs dirigeants (sûrement que de nouveaux émergeront éventuellement de ces ruines), de même qu'à nos propre dirigeants politiques occidentaux de voir à ce que ce peuple ait les moyens, enfin, lui aussi, de vivre et de fonctionner dans la dignité.
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L’enfer…C’est aussi ce que l’on ressent.
Pour Haïti, et tout particulièrement pour la région de Port-au-Prince, le dernier séisme était le pire en 200 ans. La violence de la secousse vient surtout rappeler la configuration dangereuse de son environnement, et le risque de nouveaux séismes majeurs, toujours présent.
Questionnement : Est-ce que son beau temps vaut les risques de ses tremblements, pour se reconstruire dans le même environnement ? Si oui, reconstruire en ciment ? En légers matériaux, assez forts pour résister aux ouragans, aux typhons et aux inondations ? Ou émigrer, en majorité, vers un autre pays, avec meilleure administration et un territoire assez grand, pour faire vivre correctement ces millions d’habitants, encore vivants ? L’Afrique, les États-Unis, le Canada, l’espace est grand.
Humainement, la question mérite d’être posée correctement, dès maintenant.
Les Zamaricains se sentent « chez eux » en Haïti. Et ça n’a rien de très nouveau.
Ils ont rapidement pris le contrôle de l’aéroport de Port-au-Prince. Et l’ont rendu fonctionnel. Bravo.
Mais à cette magnanimité correspondent aussi quelques effets secondaires moins désirables. Cette nuit, entre deux sommeils, j’ai entendu à la SRC que priorité semblait avoir été accordée aux besoins « politiques » des Zamaricains, par exemple pour la visite de Hillary Clinton.
À ce sujet: » Mais la mainmise américaine sur l’aéroport de Port-au-Prince provoque des grincements de dents. Sur place, un haut responsable français a déclaré avoir protesté hier officiellement après qu’un avion-hôpital a été interdit d’atterrir. Paris a démenti ensuite toute protestation. »
source: http://fr.euronews.net/2010/01/17/seisme-en-haiti-visite-eclair-d-hillary-clinton/
Protestation ou non, ça n’est pas pertinent. Ce qui importe, par contre, c’est que les Zamaricains aient donné priorité à l’avion transportant Clinton plutôt qu’à un avion-hôpital français.
Certes, l’avion Clinton transportait aussi des vivres; mais des vivres et de l’eau, l’aéroport en est rempli. Un avion-hôpital est plus utile. Pour l’instant…
= = =
Rien de très nouveau, ai-je écrit plus tôt. En effet, entre 1915 et 1934, les États-Unis occupent militairement Haïti, alors en état d’insurrection civile. L’économie haitienne est détournée au profit de certaines corporations US. Et les USA ont maintenu un contrôle sur les douanes haïtiennes jusqu’en 1946.
L’aide US, aussi massive et opportune soit-elle, n’est pas toujours désintéressée…
Dans le même ordre d’idées, les Israéliens ont dégagé des victimes des décombres… devant les caméras; le clip est disponible sur un site israélien. Bravo.
Mais quand l’aide humanitaire devient trop ostentatoire (Clinton, le sauvetage israélien), elle cesse d’être une aide humanitaire et devient un outil de propagande.
Bonjour à tous,
Et c’est peu dire que quelquefois, une image vaut mille mots ! Il était stupéfiant de constater dans des images de la société d’état de Radio Canada les tentatives inopinées avec les moyens de fortune des sauveteurs ! Car dans plusieurs situations d’urgence face au manque de médicaments, on vit des médecins désinfecter les plaies ouvertes et les différentes blessures avec le meilleur rhum brun et ambré au monde, soit le rhum Barbancourt d’Haiti avec de pleines bouteilles de ce rhum dont l’étiquette fût flamboyante dans une situation d’une telle urgence ! En espérant que ces images captées dans le feu de l’action ne soient pas utilisées dans un avenir prochain comme un tremplin publicitaire pour en mousser les ventes, car ce rhum plus que centaine n’a pas besoin d’une telle mise en marché ! Et merci, de Erwan Basque.
Bonjour à tous,
Car et pour souligner l’offre du Sénégal par l’entremise de son gouvernement en place d’offrir un lopin de terre fertile à tous les Haitiens qui le désirent, et ce gratuitement, de retourner dans leur mère patrie, soit l’Afrique ! Car les ancêtres des Haitiens dans une histoire pas si lointaine furent capturés par certains au Sénégal pour servir de bêtes de somme dans cet esclavagiste éhonté ! Et que dire de ce baroud d’honneur de la France dès le lendemain du sinistre car leur avion fut empêché de se poser comme tous les autres dû à l’encombrement de l’aéroport local, soit Toussaint ! Et la situation est réglée depuis longtemps, soit dès le lendemain de ce déchirage de chemise tout à fait Hexagonal ! Car il ne faut surtout pas en faire de la démagogie ! Et merci, de Erwan Basque.
« D’accord avec Warren Peace »
Je tiens généralement pour prémisses que les États-Unis ne donnent jamais rien pour rien…
Comme dans le cas de la libération de la France durant la guerre 1939–1945… Ils étaient aussi là pour se graisser la patte…
Lors d’une des dernières graves déstabilisations en Haïti, il y a de cela 10 ou 15 ans, les Américains avaient envoyé des soldats, non simplement pour offrir leur aide, mais pour s’assurer d’empêcher les Haïtiens de sortir immigrer pour rentrer aux États-Unis.
Ces soi-disant secouristes jouaient donc aussi aux agents de la douane américaine avec des navires de guerres qui surveillaient les côtes.
Christian Montmarquette
Pour comprendre: http://www.vigile.net/Haiti-doublement-maudite
…………
Ce que le Québec devrait faire:
…………..
Un appel au Gouvernement du Québec de la part de M Gilles Rhéaume:
………………………………
COMMUNIQUÉ DE PRESSE
Pour publication immédiate
Drame haïtien :
LA LQFC demande à Jean Charest de faire comme René Lévesque
avec les »Boatpeople »et d’ouvrir grandes portes du Québec aux réfugiés
Voici le texte d’un appel pressant lancé par le porte-parole de la LQFC au Premier ministre du Québec :
»Inspirez-vous donc de René Lévesque et de son ministre de l’Immigration, Jacques Couture qui, il y a 30 ans, accueillirent généreusement les »Boatpeople » du Vietnam dont les enfants font aujourd »hui la fierté du Québec français. Le Québec fut le premier État du monde à faciliter le sauvetage de ces malheureux Vietnamiens. Tenez-vous debout devant Ottawa !
Pourquoi ne réussiriez-vous pas comme le grand René Lévesque l’a fait, il y a 30 ans, à convaincre Ottawa de laisser le Québec accueillir des dizaines et des milliers d’Haïtiens ? N’ayez pa peur d’Ottawa, imposez-vous ! Haïti et le Québec appartiennent à la même famille. Les Haïtiens ont déjà beaucoup donné au Québec. Il faut accueillir tous ceux qui le désirent. Cessez de vous cacher derrière le gouvernement du Canada, le Québec peut faire plus et mieux pour Haïti. »
L’enfer sur terre.Les mots sont bien choisi Madame Legault.
Mais…
Coup de chapeaux aux Haitïens et Haïtiennes, j’ai vu encore de l’espoir dans leurs yeux. Ils veulent recommencer encore, malgré tout.
Ils méritent toute notre admiration.
Nous qui sommes prévilégiés devrions prendre conscience plus souvent de notre chance.
Continuons de les supporter, en essayant d’oublier les agissements souvent contreversés de nos voisins les Américains et soulignons l’implication saine du Canada.
Pierrette Grégoire, Magog.
»Inspirez-vous donc de René Lévesque et de son ministre de l’Immigration, Jacques Couture qui, il y a 30 ans, accueillirent généreusement les »Boatpeople » du Vietnam dont les enfants font aujourd »hui la fierté du Québec français.
D’accord avec Jean-Claude Pomerleau.
Il faut ouvrir les portes du Québec !
Christian Montmarquette
Entre l’enfer sur terre et jamais je ne t’ai promis un jardin de roses….il me semble qu’une vie digne est possible pour les Haïtiens et Haïtiennes pour le futur avec toute l’expérience humaine que nous avons acquise depuis des millénaires dans tous les domaines. Avec aussi de l’optimisme et de la bonne foi.
En disinfectant les plaies avec du rhum, ne risque-t-on pas pas de voir les blessés lécher leurs plaies et en redemander? 🙂
Un sourire en cas de malheur vaut bien une prière.
» Lors d’une des dernières graves déstabilisations en Haïti, il y a de cela 10 ou 15 ans, les Américains avaient envoyé des soldats, non simplement pour offrir leur aide, mais pour s’assurer d’empêcher les Haïtiens de sortir immigrer pour rentrer aux États-Unis. »
On est jamais aussi bien servi que par sois-même.
Corporate America n’est pas généreux. Corporate America est opportuniste. Les compagies de ciment cotées en bourse se lèchent les doigts. Le malheur des uns fait le bonheur des autres, c’est bien connu.
Et que la vie est bien faite.
L’aide internationale est essentielle. Nos dons le sont tout également mais la question à se poser, après toute cette horreur, est :
À qui profite la situation actuelle (politique, économique, etc) de Haïti pour quelle perdure de génération en génération ?
Seulement avec cette réponse les changements futurs peuvent se produire et être durable.
Bonjour à tous,
Mais quel est ce soudain < human interest > de la Société Saint Jean-Baptiste ? Et ce, dans une parade dans les rues de Montréal hier avec les deux drapeaux flottant au vent, soit celui du Fleurdelisé et celui d’Haiti ! Car ce n’est surtout pas le temps d’afficher des drapeaux ! Et si tu aimes vraiment les autres d’une facon inclusive, et pourquoi pas nos amis anglophones aussi ? Car tout ceci me ramène en arrière dans cette journée glaciale où 200,000 personnes et plus marchèrent contre l’invasion américaine de l’Irak ! Car voulant se faire du capital politique et se donner une visibilité fortuite en ce jour de manifestation pour la paix avec pour symbole un Drapeau Blanc, de petits futés de Péquistes en paire de deux distribuaient allègrement de petits drapeaux du Québec en plastique s’il vous plait et ce, à pleines boîtes ! Et pas besoin de mentionner que ce manque flagrant de classe a été une source de dérision sur le Vieux Continent………Et merci, de Erwan Basque.
le manque de classe dont se plaint Erwan le fédéraliss dogmatique, je le vois ailleurs.
M. Basque, vous qui êtes cultivé jusqu’aux bouts des doigts, vous devez certainement avoir d’autre sujets de conversations que le nationalisme, même québécois.
Tout de même…
Corrigez-moi si je me trompe.
Au retours de mon travail, j’ouvre la télé à RDI que j’écoute d’une oreille pendant que fais d’autres tâches comme préparer le souper. Voila, ais-je bien entendu Michel C. Auger, invité à tracer un bilan de l’aide canadienne à Haïti, dire que la présence dans les médias des Ministres conservateurs de Steven Harper qui volent au secours des sinistrés haïtiens est politique et qu’on a hâte de voir si ça va les faire monter dans les sondages?
Si oui, ne trouvez-vous pas cela franchement odieux?
Sinon, je me suis trompé sur toute la ligne et je m’en excuse sincèrement et promet d’écouter mieux les nouvelles à RDI la prochaine fois.
Merci.
Voilà que des images surgissant à l’improviste et qui crèvent nos écrans de télévision avec de vrais morts et de vrais vivants, habitués que nous sommes pourtant à y voir tant de spectacles de fausses morts et de fausses vies qui se veulent pourtant si réelles que nous avons fini par les confondre et à trouver normale une société donnée comme un spectacle parmi d’autres, nous déstabilisent dans notre paradisiaque confort, fut-il peuplé de ces habituels cauchemars ou rêves irréels. La réalité nous rattrape et dépasse toutes les fictions d’une bonne tête, d’une tête de mort en sursis.
Mais encore faut-il ne pas en rester à ce premier moment qui n’est qu’un superficiel ébranlement de la conscience que les recours à des dons, mêmes généreux, n’empêche pas qu’ils ne demeurent au final que des manières d’endormir notre conscience jusqu’au prochain désastre assisté. Bien plus que de chercher à voir et à voir encore, il nous faut maintenant chercher à comprendre, à comprendre ce qui se cache derrière ces éboulis si vite consentis à une vague d’impact dévastatrice, qui ailleurs ne fait pourtant pas toujours tant de dégâts, humains et matériels. Pourquoi de tels écarts dans la résistance devant les effets des désastres ? Ne serait-ce pas comme une illustration de ce que l’on nomme les conséquences d’un colonialisme économique dont les effets pervers se manifestent ainsi ? Les bras des travailleurs haïtiens ne seraient-ils bons qu’à prêter leur force de travail à ceux qui les payent le prix d’une misère, qu’ils soient du pays, d’un pays juste à côté ou d’un pays plus lointain ? Ces images creusent ces questions dans celui qui s’interroge le moindrement sur ce qu’il voit là.
La Ministre de l’Immigration du Québec, une dame qui d’ordinaire s’exprime en un français châtié, a affirmé sur les ondes de Radio-Canada ce midi que la situation du Kosovo, où le Québec avait généreusement ouvert ses portes, et la situation en Haïti, ne sont pas comparables.
Elle a terminé son intervention par deux phrases parfaitement incompréhensibles car la syntaxe était parfaitement fautive. On a rien compris. Elle non plus, fort probablement. On l’a lancé à l’eau en lui donnant comme mandat de nous raconter des sornettes. Ce qu’elle fit, mal. C’est tout à son honneur.
Encore une fois, le gouvernement Charest nous prend pour des cruches que l’on peut remplir à volonté.
Saura-t-on un jour ce qui différencie le Kosovo de Haïti? Les ordres ont dû venir d’Ottawa. Pas de nègres chez-nous. On en a suffisamment comme ça. De plus, ce sont des papistes… Ah! les vilains.
Appréciation du commentaire de S.Gingras dans le Carnet Religion de A.Crevier. Comme l’a dit simplement une intervenante de ce Carnet:
-le responsable du tremblement de terre s’appelle Géologie-
Lucie Dubois, Verdun
Être sous les tonnes de gravats, isolé par les débris ou blocs de bétons, les jambes ou les bras bloqués ou broyés, voir une étincelle de lumière tout en attendant les voix et les bruits humains de la rue. Souffrir physiquement et moralement par la conscience de cet enfermement qui attend la délivrance ou la mort tout en respirant enterré vivant les odeurs de la putréfaction des corps. Si cela ce n’est pas l’horreur et l’angoisse inqualifiable. Et l’horreur seconde d’attendre les secours dans les rues sans toit ou abris en étant réduit à faire partie d’une masse de gens en demande d’aide.
Pire catastrophe naturelle si ici même en tant que spectateur de notre vivant.
Il faudrait par ailleurs avoir accès à des études complètes sur la nature de l’ensemble des invasions ou opérations U.S sur l’île y compris l’invasion de Saint Domingue en 1965 en pleine crise post cubaine pour mieux comprendre l’histoire d’Haïti et de cette île au 20ème siècle.
Mister Basque, Si vous êtes breton, vous vous faites plaisir de vous en prendre aux Français qui ont colonisés, mis sous sujétion la Bretagne tout en proclamant par extension que les Québécois sont des Français d’Amérique qu’il faut détester tout comme l’église catholique doit l’être parce qu’elle à fait taire les anciennes coutumes païennes en Bretagne.
À chacun ses hantises même si cela se fait par la pratique du racisme.
Vous n’avez pas tout faux mais vous affirmez beaucoup quand même d’énormités.
Bonsoir à tous,
Et ce qu’il faut comprendre, Monsieur Gingras, c’est que toute récupération politique est odieuse ! Et que si, avoir vu de mes yeux des Canadiens se pavaner avec le drapeau Canadien et le drapeau Haitien dans un but de soi-disant solidarité, je l’aurais dénoncé avec virulence car cet < human interest > n ‘est surtout pas de mise présentement ! Merci, de Erwan Basque.
Sur le blogue de Chantal Hébert, le sujet du jours: » Sortir Denis Coderre des boules à mite. » Chantal Hébert indique calirement que les Partis politiques libéral et conservateur sont dans une course pour tirer davantage profit de la crise humanitaire haïtienne.
Il va de soi que Jean Charest et sa Ministre de l’immigration, Yolande James n’échappent pas à cette course de visibilité pas désintéressée.
M.Goyette. RDI est une chaîne qui examine les calculs des politiques mais cela est secondaire. RDI en tant que chaîne publique sous orientation fédérale va toujours chercher comme à travers l’événement du séisme à promouvoir les actions des gouvernements fédéraux ou mieux encore les opérations de marketing de visibilité canadienne mises en scènes par des institutions comme celles du Gouverneur Général. Ce qui a été manifeste pendant le 400ème siècle de Québec ici ou en France, la Gouverneure Générale a vendu la salade canadienne nonobstant le deuil actuel d’une Michelle Jean ce qui ne m’empêche pas de constater toute l’opération de communication transversale qui s’effectue pendant les secours en Haïti pour vendre la marque de commerce Canada et cela bien appuyé par Radio Canada et RDI.
J’écoute avec sens critique Radio Canada et à chaque fois que ses images m’envoient fréquemment à la figure l’unifolié canadien, je rejette mentalement ses effets désirés subliminaux. Tout comme la mention régulière d’un aéroport faussement baptisé Montréal-Trudeau qui est une disgrâce pour le Québec. C’est Dorval cet aéroport ou sinon Montréal-Trou d’eau. Ce qui est beaucoup mieux! Au Québec, se laisser faire et se faire imposer le nom d’un inqualifiable individu pareil dans un lieu, quelle honte! À quand un lieu au Québec pour un autre salaud pareil. Ah Chrétien! Ah oui, faut qu’il meure avant. Alors, je lui souhaite longue vie et qu’il s’installe pour de bon à Ottawa, la canaille.
Catastrophe à Haïti mais aussi opération de communication du gouvernement d’Ottawa et de l’armée canadienne à travers les opérations de secours et demain probable de la Gouverneure Générale. -On peut mâcher et marcher en même temps- selon le proverbe c’est toujours le même principe.
Suis un peu hors sujet mais c’est plus fort que moi, RDI que j’écoute peu m’énerve.
M.Audet. L’écran télé n’est jamais qu’une fenêtre lointaine sur des portions du monde. On peut imaginer la catastrophe, on ne la vit pas, nous ne sommes pas dedans. Nous sommes des yeux.
M. Bouchard. Ce que j’en ai dit, c’est justement pour que nous n’en restions pas qu’au seul regard !
@ Pierre Bouchard
C’est comme la fois où l’astraunote Julie Payette s’est envolée vers la plate-forme orbitale. A RDI, j’ai dû entendre le mot Canada seize fois en deux minutes.
Donc les politiciens canadiens se font présentement du capital politique sur le dos des sinistrés haïtiens avec notre argent et tout le monde trouve ça normal, on dirait.
En accord, M.Goyette sur les mots Canada, Canadiens et autres variantes que nous entendons souvent à RDI.
M.Audet. J’approuve votre premier texte toutefois la réalité… Ma remarque s’inspirait après votre lecture de cet extrait du texte de Madame J.Legault: (…) Et pourtant, devant cette réalité crue et dure, devant les images de vraies vies et de vraies morts, devant ces enfants parfois sauvés par «miracle» ou parfois rayés de la vie en quelques heures, nous demeurons des spectateurs et des spectatrices.(…)
Ma première idée fut de suggérer l’abandon de ce lieu maudit et de proposer de trouver une terre d’accueil pour ce peuple victime. Mais je vois que l’idée a fait du chemin, à lire les autres commentaires.
L’Afrique? L’idée est à prime abord séduisante, puisqu’il s’agit de descendants africains. Mais quelle Afrique? L’Afrique de la corruption et de la dictature? Les Haïtiens ont déjà donné…
Le Canada ? Les exilés haïtiens tolèrent notre climat faute de s’y habituer. Mais, en plus de devoir supporter les rigueurs du pays « le meilleur au monde », ils devraient sacrifier plusieurs générations avant d’être considérés comme des citoyens à part entière. S’ils y parviennent un jour… Il suffit de se rappeler du long et laborieux cheminement des « conquis » que nous fûmes.
Les Haïtiens ne sont pas tous des Dany Laferrière, cela dit sans vouloir insulter qui que ce soit parmi ce peuple déshérité. L’analphabète n’est pas responsable de son état; l’analphabétisme se nourrit de l’analphabétisme.
Et puis, dans tous les pays pauvres, il y aura toujours des sédentaires qui, en dépit des mauvaises conditions d’existence de leur pays natal, refuseront de s’enraciner ailleurs. Et le malheur repoussera petit à petit sur les roches brûlantes et dénudées d‘Haïti.
Non, il faut se cracher dans les mains et reconstruire, avec l’aide de tous, sans ingérence. Il faut reboiser, il faut peut être inverser le paradigme haïtien et en faire le premier vrai pays écologique. Utopie? Pas si l’humain des pays nantis se montrait désintéressé.
La meilleure chronique que j’ai lue sur Haïti a été écrite par Patrick Lagacé : Haïti, je me souviens
http://www.cyberpresse.ca/opinions/chroniqueurs/patrick-lagace/201001/15/01-939284-haiti-je-me-souviens.php
En effet un pays sans classe moyenne est voué à la décrépitude. Haïti et tous les pays sans « milieu » (pour reprendre l’expression de M. Lagacé) en sont les preuves navrantes.
Et si en plus la nature rajoute « un chausson avec ça », on se trouve devant le fiasco actuel.
Pauvre Haïti !
Bonsoir à tous,
Et surtout vouloir être compris d’avoir pu être sidéré de voir enfin des Nationalistes Québécois donnant des lecons d’ouverture aux autres soit les Canadiens ! Car depuis toujours en reprochant au reste du Canada de vouloir faire venir les Autres pour nous anéantir en tant que Québécois ! Car la tendance manifeste a cessé de se maintenir et je n’en crois pas encore mes yeux ! Ce que le reste du Canada doit être content car son tour d’être enfin accepté par les Nationalistes Québécois viendra sûrement ainsi que les Anglophones et nos compatriotes de religion musulmane ! Et vu que à l’intérieur même du Canada, le Québec a plein pouvoir sur ses choix d’immigration en choisissant surtout des nouveaux venus venant de pays francophones, ce que Monsieur Gérard Bouchard et Monsieur Charles Taylor doivent être contents car la Commission Bouchard-Taylor reprends vraiment dans le vif du sujet au mois de Mai 2010 et en mettra plein la vue au monde entier pendant une année ! Et en espérant de tout coeur que les BOTTINES continuent de suivre les BABINES jusqu’après la Commission car ainsi, et pour tous, l’honneur sera enfin sauf et c’est ce qui compte, l’ouverture aux Autres ! Merci, de Erwan Basque.
Bonsoir à tous,
Et très bon article sur Haiti par Monsieur Patrick Lagacé qui me réconforte dans mes propos tenus sur Haiti en ces derniers jours me démontrant qu’au moins une personne ait eu le courage de dire et de soutenir la même affirmation ! Encore merci, de Erwan Basque.
« Un bateau de croisière sur une plage d’Haïti »
Source : http://www.cyberpresse.ca/actualites/ailleurs-sur-le-web/201001/18/01-940407-un-bateau-de-croisiere-sur-une-plage-dhaiti.php
«Haïti au Québec»
C’est une image très difficile à prendre que celle publiée aujourd’hui par Cyberpresse mais extrêmement utile pour éveiller les esprits.
Mais je dois dire que j’ai le même genre de sensations lorsque je vois parader des Mercedes, des Jaguars ou de luxueux véhicules récréatifs dans les quartiers pauvres de Montréal devant des agglomérations de HLM délabrés quasi-abandonnés par la ville.
Ces «touristes» – là, n’ont pas «l’honneur», eux, de faire les manchettes et d’avoir leur photo dans le journal…
Le revenu moyen des Haïtiens est d’environ $ 2 par jour ; ce qui est sensiblement la même chose pour une personne à l’aide sociale au Québec ($ 574 par mois).
Je ne compare évidemment pas l’hécatombe actuelle que subit Haïti avec la situation du Québec, même s’il faut préciser qu’il y a 30,000 itinérants à Montréal qui vivent en constant état d’urgence.
J’espère simplement que cette misère dont nous nous émouvons si facilement pour les autres, contribuera à nous réveiller et à nous sensibiliser à celle qui existe, ici, chez nous, au Québec, et depuis fort longtemps, que nous jugeons si sévèrement, et que nous refusons toujours de combattre.
En toute solidarité avec le peuple Haïtien,
____________________
Christian Montmarquette
Militant pour l’éradication de la pauvreté au Québec
Référence :
Haïti, population vivant avec moins de 2$/jour :
http://www.centraledesnations.com/haiti
Un bateau de croisière sur une plage d’Haïti :
http://www.cyberpresse.ca/actualites/ailleurs-sur-le-web/201001/18/01-940407-un-bateau-de-croisiere-sur-une-plage-dhaiti.php
.
Bonjour à tous,
Et en remerciant Monsieur Jacques Despins pour le lien suggéré et par ce biais de La Presse avec Monsieur Patrick Lagacé qui fait par un brillant exposé et démontre l’importance d’avoir une < Classe Moyenne > car tout repose sur ces travailleurs ! Et ce, dans un trait de plume, en dénoncant le fanatisme religieux des Haitiens et aussi leur Nationalisme a fleur de peau et exacerbé à outrance !
En effet, dans un commentaire précédent, je me qualifiais au niveau de l’échiquier politique de l’extrême-centre pour ainsi être conscient et surtout observer avec circonspection tous ceux qui veulent mon < BIEN > soit < vide tes poches et tais-toi > car en savant fort bien que certains à droite ne paient pas leur quote-part par certains échappatoires fiscaux et se cachant derrière le paravent de < certains chevaliers blancs > ainsi que derrière la fumisterie < de personnes morales > en s’incorporant ou en s’enrégistrant en société, et je respecte le tout, étant leurs droits….
En outre, ce que je respecte moins, c’est ce discours politicien qui s’allie avec eux pour demander de déshabiller Pierre de la classe moyenne pour ainsi habiller Paul, Jacques, Sylvain, Hugo et s’il en reste, habiller Pauline ! Car de cette < pseudo-gauche > qui a faim et qui veut aussi mon BIEN ! Étant un bassin électoral immense dans ce Québec adoré qui aime bien se nourrir des mamelles de l’ÉTAT ! Et ainsi en nivellant par le bas la < classe moyenne > pour l’amener à petit feu dans l’indigence totale allant rejoindre la base des 44% de Québécois qui ne paient pas un sou d’impôt sur le revenu !
En outre, le fait d’observer ces revendicateurs patentés comme < les pleureuses du Plateau Mont-Royal > et les pleureuses < d'Hochalaga-Maisonneuve > qui sont de toutes les manifestations possibles et impossibles et se permettant même de marcher le 1er de Mai en soi-disant solidarité avec les travailleurs avec à leur tête le < SAUVEUR SUPRÊME > qu’est ce Monsieur Gilles Duceppe car coûtant plus de $300,000.00 par année en émoluments et frais de transport au Trésor d’Ottawa pour se permettre de profaner ce chant sublime de l’Internationale !
Cependant, et avant tout d’identifier ce qu’on sont dans mon jargon < les pleureuses > , je veux spécifier que ce sont et des hommes et des femmes assis en cercle l’été en encore en cercle l’hiver autour d’une table fumant < du tousse-tousse > et alternant les < GLOU-GLOU > bien audibles en refaisant le monde et parlant savamment du sort des papetières en Gaspésie, du triste sort des mineurs d’Abitibi et de l’ÉOLIENNE pas dans ma cour, du nucléaire avant de finalement aller au plat principal, soit la Cause Nationale et des Sauveurs Suprêmes tant attendus en plus de pérorer sur la date du prochain référendum à venir car dans 1,000 jours , croyaient-ils mais vu la forte propension de se tromper dans les chiffres de sa gouvernance, et si Monsieur Bernard Landry s’était trompé d’un ZÉRO, car peut-être voulait-il plutôt parler de 10,000 jours ….. ce qui veut dire que l’on a encore une chance car 10,000 jours, cela veut dire dans près de 30 ans !
Finalement, car moi me qualifiant de gauche sur le plan social, en étant d’extrême-centre pour regarder les choses ainsi évoluer, étant beaucoup plus < agriculture que culture > car plus vrai en ne sonnant pas faux, je veux spécifier que le 1er de Mai est la fête des Travailleurs, des ouvriers, des artisans de toutes sortes, ces Producteurs de l’Internationale qui le poing brandi bien haut, dur comme fer, dévasté de crevasses, de coupures,et avec de la CORNE dans les mains chantent l’INTERNATIONALE en la vibrant dans tout leur être, et non pas accompagné d’un Sauveur Suprême avec ses thuriféraires de la go-gauche essentiellement ! Et merci, de Erwan Basque.
Bonjour à tous,
Car pour contrer cette sinueuse observation de la pauvreté Haitienne en faisant par amalgame un cas similaire avec la pauvreté endémique québécoise, je voudrais m’insurger en faux et constater que l’Haitien travaille 10 longues heures par jour et plus pour gagner son $2.00 quotidien et souvent 7 jours par semaine en réussissant ainsi à survivre ! Et ce sans soins médicaux gratuits et hospitalisation aussi, soins dentaires minimums gratuits, soins de l’optométriste ainsi que les médicaments gratuits pour la plupart car le < ticket modérateur sur les médicaments en chargeant des frais mensuels élevés > a été aboli par les libéraux de Monsieur Jean Charest dû à cette opération des Péquistes sur le dos des démunis……..Et on se dit de gauche ! Allez va, amateur de sports, bonsoir !
De plus, ne surtout pas ignorer les habitations à prix modique, les banques alimentaires de toutes sortes, le vêtement usagé en bon état gratuit dans certaines ressources, les repas quotidiens gratuits dans beaucoup d’endroits ainsi que les comptoirs alimentaires, les cuisines collectives et les < achats groupés > ainsi que l’ouverture pour partager un logement….
Finalement, comme ma grand-mère disait si bien en ironisant un peu que < le calcul vaut le travail > car avec du temps pour ce faire ! Car que faisaient les démunis du Québec avant 1970 ? Car cette année de 1970 avec les libéraux de Monsieur Robert Bourassa en étroite collaboration avec Ottawa et Monsieur Pierre-Elliot Trudeau imposèrent les mesures sociales au Québec avec Monsieur Claude Forget ainsi que l’aide juridique, la cour des Petites Créances je crois car de mémoire peu de fois vacillantes mais quand même ainsi que l’assurance-hospitalisation de Monsieur Claude Castonguay soit la < castonguette > dans le jargon ! Ainsi, en revisitant le triste journal de < La Nation > d’un passé pas si lointain avec Monsieur Paul Bouchard et aussi Le Devoir de l’époque, vous vous verrez obligés de constater que le Nationalisme Québécois s’opposait farouchement à toutes mesures sociales car c’était du Communisme associé aux Libéraux de l’époque,soit les Rouges ! Et ce en poussant à tout prix sur le < Corporatisme> à l’américaine et allez voir….. Et merci, de Erwan Basque.
M.Montmarquette, vous écrivez :
« Je ne compare évidemment pas l’hécatombe actuelle que subit Haïti avec la situation du Québec, même s’il faut préciser qu’il y a 30,000 itinérants à Montréal qui vivent en constant état d’urgence. »
Faux, archi-faux : svp, vérifiez vos sources! Je vous renvoie à :
http://www.parl.gc.ca/information/library/PRBpubs/prb991-f.htm#Une%20question
Vous dites : « Le revenu moyen des Haïtiens est d’environ $ 2 par jour ; ce qui est sensiblement la même chose pour une personne à l’aide sociale au Québec ($ 574 par mois). » Comme quoi, on peut faire dire ce que l’on veut aux chiffres! Et ne rien dire!
M.Montmarquette, c’est curieux mais on n’a pas beaucoup de nouvelles des champions de la gauche internationale, ALLO! Erwan, soit Chavez, ou Lula ou bedon Morales ou le vieux ratoureux Castro et frère! Pourtant, Haïti est dans leur cour!!!!
Mme Legault, Je vous cite : « On espère également que la communauté internationale ne se détournera pas lorsque les caméras du monde auront quitter Haïti pour aller couvrir le prochain désastre. »
Ça, c’est sûr Mme L. Tout ce qui va rester derrière, c’est une bande d’Oings amateurs et suceurs de subventions. Ce n’est pas avec ça que l’on rebâtira Haïti! Encore moins avec beaucoup de ces Haïtiens de Montréal qui espèrent s’en mettre plein les poches, comme avant, comme depuis toujours. Ils sont tous corrompus à l’os! En Haïti s’entend.
Ça, c’est sûr Mme L. que le désastre actuel en Haïti ne nous laisse pas indifférents, surtout pour les quelques-uns d’entre nous qui auront visité des favelas du Brésil ou du Pérou et de la Bolivie et même vécu un tremblement de terre. Mais ce n’est pas le « plaster » québécois et canadian de qques millions qui changera quoique ce soit à long terme. Et les promesses d’aide internationale, eh ben! Ce ne sont que ça, des promesses. On connaît la chanson!
Les Haïtiens doivent rester chez eux : on met l’état haïtien en tutelle pendant 10 ans plus 5 ans de transition. On recommence à zéro sans qu’aucun haïtien ne décide quoique ce soit à moins d’un encadrement très serré. On finance le cash-flow, on envoie des vrais experts avec de vrais moyens et ça va marcher. Les « do-gooders » iront gagner leur ciel ailleurs! Ou expier leurs péchés ailleurs….
C’est tout de même incroyable que l’on ait laissé pourrir Haïti de manière si FLAGRANTE. Pourtant, il y a une maudite gang de gens qui sont, devaient ou auraient du être au courant, non?
Bye
Bonjour à tous, faire la démonstration qu’il peut faire du < BIEN >……Et merci, de Erwan Basque.
Et pensez vous vraiment que les Yankees avec leur embargo économique sur Cuba suite à la loi Helms-Burton dont Monsieur Jesse Helms était l’ami de Monsieur René Lévesque laisseraient les Cubains de Monsieur Fidel Castro venir aider les Haitiens ? Les Américains avec le contrôle absolu sur l’aéroport Toussaint Louverture et sur toute < La Perle des Antilles > ne laisserons surtout pas Monsieur Hugo Chavez et Lula le brésilien en plus des effectifs cubains venir faire leur démonstration de solidarité car ne voulant surtout pas perdre la face en laissant le
Il y a longtemps qu’on savait que le peuple haïtien vivait juste au-dessus d’une importante faille sismique. On n’a pas fait grand-chose pour les aider à construire des immeubles pouvant résister à de tels tremblements de terre.
Les forces impériales américaines ou françaises n’ont jamais vraiment aidé ce peuple, l’article suivant fait très bien ressortir toute la problématique historique :
http://www.mondialisation.ca/index.php?context=va&aid=17054
Quelles images d’horreur et on se sent impuissant,
J’étais fiere de voir nos soldats apporter de l’aide,
Dans les grands magasins ou nous sommes invités a contribuer lors de nos achats je le faits, aussi par contre le soir au coucher je pense a ma chance d’avoir un toit au dessus de ma tête et un lit ca nous fait réfléchir et je sais que c’est un peuple croyant , je faits une prière a leur intention.
L St-P
@basque
» embargo économique sur Cuba suite à la loi Helms-Burton dont Monsieur Jesse Helms était l’ami de Monsieur René Lévesque »
Lévesque entretenait de « bonnes relations » avec Helms.
Qu’est-ce qui vous autorise à parler d' »amitié »? Amitié dans le sens qu’on entend sur Facebook, où les sourcils d’Ignatieff ont des milliers d’amis?
Ça coûte pas cher de publier un lien vers les sources confirmant ce que vous avancez, Mossieu Basque. Et ça fait plus crédible…