Aujourd'hui, mardi 19 janvier, en conférence de presse, une journaliste de CJAD a posé une question très intéressante au premier ministre, lequel est à deux jours de sa fameuse «rencontre-exercice-de-relations-publiques» sur l'économie.
Après lui avoir parlé de cette fameuse commission d'enquête sur l'industrie de la construction que M. Charest refuse et refusera toujours de créer, la journaliste lui demanda: «Do you think, you'll be able to successfully shift the public's focus to the economy?» (Pensez-vous que vous réussirez à déplacer l'attention du public sur l'économie?)
«Déplacer l'attention»? Sacrée bonne question.
Tenter de déplacer l'attention d'un sujet controversé et coûteux dans les sondages, n'est-ce pas là ce qu'on appelle de la «stratégie» politique? Ou, ce que d'aucuns qualifieraient d'«écran de fumée»?
Et la réponse du premier ministre fut en effet celle-ci:
«The issue in 2010 is the economy. My Government was elected to deal with two matters: to manage the economic crisis and to prepare the economic renewal, growth, hein? On a été élus sur deux choses: gérer la crise, préparer la reprise. Alors, on a bien géré la crise. Je pense qu'on peut aujourd'hui dire que le gouvernement, et le Québec, s'est bien sorti de la crise. Demain puis après-demain, on va discuter de comment préparer la reprise dans ce contexte budgétaire, et nous allons le faire dans un contexte où on veut une discussion sur le long terme.
So, you know, sorry if I'm… those are the two things: manage the economic crisis, which we've done well, and to prepare. And the issue for us in 2010 is the economy. C'est ça, l'enjeu au Québec, c'est l'économie, l'économie, l'économie.»
Bref, comme disait l'autre: «It's the economy, stupid!».
Comme si de voir à éradiquer la corruption et les dépassements scandaleux de coûts pour les infrastructures, ça ne ferait pas aussi partie de s'occuper de l'économie du Québec…
Et comme si la traduction «politique» de l'expression «It's the economy, stupid!» devenait tout simplement: «C'est l'économie stupide!».
«Stupide» comme une économie dont on se sert comme prétexte pour ne pas s'attaquer à quelques problèmes de fond, comme la collusion et la corruption, qui minent pourtant, elles aussi, les finances publiques…
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@ Photo tirée du sketch légendaire de Monty Python – «The Ministry of Silly Walks».
Source: http://assets.nydailynews.com/img/2008/04/09/amd_johncleese_2.jpg
Le mythe le plus persistent au Québec c’est que les libéraux rime avec performance économique. Or depuis 25 ans les chiffres nous disent le contraire.
En 1994, après 9 de pouvoir les libéraux nous laissent avec un déficit de 6 milliards (et un gonflement record de la dette). Le PQ a pris le Québec dans une sinistrose économique (13,4 % de chômage à Montréal en 1994) et a rétabli le déficit zéro et la croissance à 4,2 % en 2002. Depuis 2003 le PIB du Québec est en déclin constant; et nous sommes encore en déficit avec un gonflement record de la dette:
« Avec les déficits prévus, la dette bondira de 148 milliards en 2008 (50 % du PIB) à 170 milliards en 2011 (54 % du PIB). En incluant les passifs des sociétés d’État, des réseaux de la santé et de l’éducation, la dette totale du secteur public québécois devrait atteindre 208 milliards en 2009, soit 68 % du PIB. »
Un sondage récent montre que la majorité au Québec pense que les finances publiques sont dans un état précaire voir catastrophique. À quel moment les observateurs politiques vont se réveiller à cette réalité.
Et je ne vous ai pas parler du démembrement de la Caisse après une sous performance de 17 milliards comparé au fond semblable en 2 ans. Ni de la Vandal-isation de l’Hydro Québec; des PPP des FIERS, alouette je te plumerai …
On a affaire au pire gouvernement de notre Histoire avec un grand H.
Une petite rencontre pour jaser, à bâtons rompus peut-être, de l’économie en général, cela ne peut pas faire de mal. Et, qui sait, il pourrait même en sortir quelque chose d’utile…
Et puis, quoi que fasse le gouvernement en place, de quelque parti qu’il soit, il sera toujours critiqué de tous côtés. Jamais ce ne sera la chose qu’il aurait fallu faire.
Mais attendons un peu avant d’accabler automatiquement un gouvernement qui indique vouloir faire un peu le point sur une question dont dépend tout le reste. Notre grand filet de mesures sociales au Québec coûte très cher. Et si l’économie ne prend pas beaucoup de mieux, sur des bases reposant sur des projections réalistes et relativement fiables (selon ce qu’on peut prévoir), nous pourrions tous rapidement écoper.
Parmi toutes les priorités du moment, et malgré d’inévitables désaccords quant à ce qui pourrait s’avérer le plus prioritaire du lot, il demeure que l’économie mérite qu’on y prête une grande – et urgente – attention.
Dans quelques jours, nous verrons bien si cet exercice auquel va se livrer le gouvernement aura permis de faire quelques pas, même de tout petits pas, en avant. D’heureuses surprises sont toujours possibles, après tout…
Les libéraux n’ont pas l’envergure pour produire une stratégie d’État pour relever le défi qui se pose: Améliorer la productivité politique et économique du Québec.
Pour imaginer une solution il faut sortir du cubicule provincial et du clivage droite gauche.
………..
M Facal publie un livre cette semaine. Un large tour d’horizon pour répondre aux questions « qui comptent dans la vie d’un peuple: Qui sommes-nous? Où en sommes-nous? Comment en sommes-nous arrivés là? Où devrions-nous aller? Que faire pour nous y rendre?».
Il nous invite à sortir du cubicule provincial pour imaginer des solutions d’envergure aux défis qui se posent.
Sortir du cubicule provincial veut dire, arrêter d’imaginer qu’une stratégie d’État d’envergure pour améliorer la productivité puisse venir d’un demie État annexé enfermer dans un système politique dysfonctionnel qu’est le fédéralisme (à moins que l’on trouve un seul « expert » pour nous dire que le dédoublement des couts et et la lourdeur du processus décisionnelle inhérents à ce sytème politique, soit la recette de la productivité).
Le défi auquel fait face le Québec est le même auquel ont eu à faire face les Pays d’Europe du Nord dans les années 80-90. Le modèle social démocrate devenu trop lourd et couteux entrainait des déficits monstrueux, qui remettait en question les missions sociales. L’ampleur du défi supposait une réforme complète de l’État.
Le cas de la Suède mérite notre attention: http://www.larevueparlementaire.fr/pages/RP881/RP881_debats_partus.htm
Ce pays a réussit (1993-200) à faire passé son déficit de 12 % du PIB à plus 3% (C’est comme si le Québec passait de 25 milliards de déficit à plus 6 milliards en 7 ans). La charge étatique a été. réduit de 13 % du PIB dans ce pays qui a un des taux de syndicalisation le plus élevé au monde. (Maudit syndicats)
C’est ce que l’on appel un stratégie d’envergure pour améliorer la PRODUCTIVITÉ POLITIQUE de l’État. Bref optimalisé sa fonctionnalité !
Pour comprendre les conditions que le Québec doit réunir pour relever le défi que la Suède a relevé, il faut sortir du cubicule provincial dans lequel se débat la gauche et la droite. C’est à cela que nous invite M Facal.
Les deux conditions pour que le Québec se hisse dans le TOP TEN mondial en terme de création et répartition de richesse:
UN. Le Québec doit sortir du système dysfocntionnel de gestion politique qu’est le fédéralisme; et, rependre le contrôle de l’ensemble de ses capacités d’agir d’État. Condition indispensable pour avoir une stratégie cohérente de développement.
DEUX: Rétablir la cohésion nationale, en regroupant le gouvernement le patronat et les syndicats ,et als… pour relever le défi d’améliorer la productivité politique et économique de l’État du Québec. Car on a les moyens de se payer les missions sociales, mais pas celui de les gérer avec un demie État dysfonctionnel, annexé dans ce système fédéral.
Bref M Facal nous invite à sortir du cubicule provincial et envisager une réforme complète de l’État.
Pour une vue d’ensemble de l’économie mondiale dont nous sommes victimes, lire l’excellent article écrit par M. Maurice Allais, pas Alphonse, prix Nobel français d’économie de 2002.
Sur Vigile.net, rubrique économie. Encore là il y a quelques minutes.
M. Allais tient des propos percutants, dérangeants pour les maîtres du monde. Propos lucides de surcroit.
Bonne lecture.
Bonjour à tous,
Avec en toile de fond lors de ce congrès libéral sur l’économie et ce, en temps de crise < Les valeurs libérales de Monsieur Claude Ryan > qui sont la Bible des libéraux au Québec ! Car en voulant à tout prix envisager les moyens de s’en sortir tout en protégeant les ACQUIS SOCIAUX à tout prix en ayant augmenté le salaire minimum de $0.50 sous les trois dernières années en faisant à ce niveau en trois ans ce que les Péquistes n’ont même pas atteint en 18 ans de gouvernance ! Et en ayant quelque peu augmenté les barèmes de l’Aide Sociale en même temps alors que les Péquistes y sabraient à grand coups de hache !
Mais serait-ce que d’avoir du culot tout simplement que de dire le contraire ? Car le Parti Québécois n’a aucune crédibilité à gauche ayant toujours gouverné plus à droite que les libéraux ! Et simplement avoir la démarche intellectuelle de le faire que de l’admettre en toute honnêté ! Car en jouant les < vierges offensées > comme vous savez si bien le faire en versant toujours dans la démagogie du < flasher à gauche> seulement ! Car les libéraux ont été élus à visière levée soit : Économie, économie, économie…….Et ils le font eux-autres en respectant les plus démunis de la société québécoise même s’ils ne sont pas de leur BASSIN électoral car c’est votre propre < BASSIN ÉLECTORAL > à vous les Péquistes que les libéraux respectent car non pas par électoralisme ! Diantre, est ce que cela existe l’honnêteté intellectuelle ? Et encore une fois, est-ce qu’il y a un Péquiste dans la SALLE et qui peut ne pas être démagogue ? Car comme je dis fréquemment à tous : ( Je veux bien écouter attentivement ce que tu me dis, je veux bien lire attentivement ce que tu écris ……mais ce qui importe pour moi, je regarde attentivement ce que tu FAIS ! Car seulement les gestes et les démarches effectuées pour moi comptent car les mots ne sont que du VENT et que seulement l’action compte et ainsi en déduire à l’anglaise : < Put your money where your mouth is ! > …….Car debout, les MORTS VIVANTS, pour que l’on puisse changer vos draps ! Et merci, de Eran Basque.
Bonjour à tous,
Car voulant être expéditif pour en finir avec le texte précédent, après avoir cliqué sur Envoi, je fis le constat désopilant d’avoir écrit Eran Basque en me souvenant dans l’hilarité du Canadien errant, banni de ses foyers ! Et avant que certains spécialistes cherchant la mouche sur le coche et même en dessous du coche me le rappelle car étant spécialisation de < frustrés > tout bonnement car écrivant d’un seul jet, erreur quelque fois oblige ! Et merci encore du Canadien errant Erwan Basque.
Les menteurs compulsif ont tous un point en commun, une mémoire sélective et parfois ils sont atteints d’amnésie temporaire. Le PM Charest et le maire Tremblay en sont des exemples parfaits.
Charest ne retient du passé que celui ou le PQ était au pouvoir et nous l’avons remarqué amplement pendant la dernière campagne électorale. Charest évidemment n’aime pas non plus le présent et être à la tête d’un gouvernement aussi minable je ferais probablement comme lui. Après trois mandats minable tu n’a pas le choix, tu regarde vers le futur !
Comme menteur compulsif notre PM nous fait croire que si le Québec s’en est sortie pas trop mal pendant la crise financière c’est grâce à son gouvernement ! Pendant la crise financière notre Patapouf national a tenté de se cacher mais le rendement de la Caisse de dépôt et les grosses menteries de Madame la Ministre des Finances lors de la campagne électorale l’on obligé de sortir un peu la tête de son trou de sable pour essayer de calmer le jeu.
Le futur et l’économie sont les ingrédients préférés pour celui qui veut faire oublier le présent et le passé !
Bonsoir à tous,
Question à un Péquiste: < Est-ce que vous constatez tous les dommages causés par la gouvernance du Parti Québécois dans le filet SOCIAL du Québec ? >
Réponse de Péquiste : < Oui, mais t'as tu vu ce que Trudeau a fait en 1982 ? >
Car et toujours comme des < couleuves > ! En te glissant entre les mains et tous pareils dans le DÉNI ……..Et merci, de Erwan Basque .
Je constate que le nom de Errant vous sied tres bien. Vous parlez de deni, mais qu’en faites vous.
Je relis votre texte et je ne sais pas si je dois en rire ou en pleurer. Vous établissez comme grande réalisation de votre équipe de reve gouvernementale une augmentation (considérable) du salaire minimum. Le calcul est simple, il s,agit d’une augmentation de 20$ semaine. Quand on parle de grande réalisation, de changement extraordinaire pour aider ces travailleurs j’en suis encore tout ébranlé.
Le reste de votre texte, des lieux communs, sans l’appuie d’exemple, rien de concret. On y reconnait toute l’ampleur d’un discours que nous connaissons bien, nous le vierges offensées.
Une phrase sans importance pour des paragraphes de reproches sans aucun fondement.
Faites nous plaisir dans votre errance: forgez-vous une pensée, ou tout au moins une vision cohérente dans votre argumentation, et revenez-nous avec autre chose que cette pauvre addition de mot vide de sens et rempli d’une animosité qui ne sert pas bien votre présence ici. Sachez que votre référence au déni se rapporte plus à votre ( j’allais texte, mais le mot est trop fort) rapport avec l’ennemi qu’à votre pertinence ou encore moins participation à un débat à la hauteur de ses aspirations.
Tristement votre, un aliéné séparitisssss
parce qu’un pays s’est que vous n’en voulez pas, ou du moins n’en comprenez pas la nécessité…
Faut-il en rire ou en pleurer, je n’ai pas le coeur à le dire…on voit souvent des cons passer
Bonjour à tous,
Et si vous pouviez me faire la démonstration du contraire, cher Monsieur Fontaine sur les différences existant entre les deux gouvernances citées dans le texte précédent ! Et, en ayant bien bien sûr la gouvernance du Parti Québécois sur une période de 18 ans bien en vue ainsi que la gouvernance actuelle de ces libéraux que vous semblez mépriser et le pourquoi ! Je veux bien croire en mes errances mais de mes yeux , je fis le triste constat que sur le plan social, le Parti Québécois se permettait impunément de sabrer à grand coups de hache dans le social car sachant fort bien que cette clientèle leur était acquise et que les personnes les plus démunies se boucheraient le nez et se fermeraient carrément les yeux sur les dérives de droite du Parti Québécois car leur Nationalisme était plus FORT QUE TOUT ! Et cet aveuglement volontaire cessa légèrement avec l’arrivée que nous qualifierons d’inopinée de Québec Solidaire dans le décor pour au moins avoir une alternative de gauche sans que ce ne soit que du VENT ! Et merci, de Erwan Basque.
Est-ce que vouloir un pays ca veut dire qu’on est nécessairement Péquiste. Est-ce que ca veut dire que le Pays serait toujours gouverner par ce parti.
Objectif, moyen, déploiement. Si Robert Bourassa avait eu ce que ca prend, il était dans la meilleur position pour le faire.
Mais non. Les Libéraux n’ont pas de vision, plutot des intérets et quand vient le temps d’en parler, ils se défilent,
Pas important la corruption…pas important les problemes d’éthique, les conflits d’intérets,
Economie, économie, économie…comme si ce veut se satisfaisait à lui-seul…
Bien sur cette clientele est depuis fort bien servie puisqu’elle dispose dorénavant de 20$ de plus par semaine pour atteindre le bonheur économique, économique, économique.
J’accepte volontiers vos remerciements, je vous inviterais bien à un souper mais j’ai déjà un gagnant…
L’aliéné séparatissss
Le levier économique
La Caisse de dépôt a été fondée pour être un levier économique pour le Québec pas pour s’amuser aux jeux de hasard (bourse) !!!
Ils ont perdu 40 milliards en s’amusant ainsi, ils ne trouvent pas que c’est assez !!!
Qu’ils se reprennent un peu en main…
Il est vrai qu’il aurait été difficile à l’époque de réaliser notre souveraineté, sans une force économique forte, l’argent c’est le nerf de la guerre.
L’argent ce n’est pas une fin en soi, mais ça en prend…
C’est la vie. Alors, faut vivre avec.
Cette Caisse c’est le plus beau cadeau que monsieur Parizeau nous a laissé. Il nous faut y en être très reconnaissant.
Alors à nous d’en profiter maintenant !
La Caisse doit vendre immédiatement tout ce qu’elle a dans les bourses, actions, etc. L’élastique arrive au maximum et il est à la veille de casser. La bourse est basée sur du virtuel, cet argent n’existe pas. Donc, en temps de crise, d’inflation, les revenus baissent (l’achalandage baisse dans les commerces) ils manquent donc de liquidité pour payer leur épicerie.
Les banques sont sur les nerfs et ne prêtent pas trop et c’est normal, c’est d’ailleurs ce qu’elles doivent faire. Ils doivent donc vendent des actions pour tenter d’aller chercher du vrai argent. De plus, si c’était quelques uns…mais c’est généralisé, tout le monde a le même problème, alors tout le monde va vendre afin d’aller se chercher de la liquidité.
Cependant, de la manière dont la bourse fonctionne c’est que si la demande monte, la devise (ou l’action) augmente, mais si elle descend sa valeur diminue. Par ricochet, si plusieurs vendent la demande diminue donc sa valeur aussi. Si une action vaut présentement 10 dollars, si aujourd’hui il se vend pour plusieurs millions de cette action, à la fin de la journée vos 10 dollars vaudront peut-être que 8 dollars.
À l’ouverture des bourses le lendemain, vous vendrez tout ce que vous avez de cette action afin de limiter les dommages. Mais vous ne serez pas le seul à avoir eu cette idée. Résultat l’action va descendre encore plus et il y aura encore plus de gens qui les vendront. C’est un peu comme…l’envers de la spéculation, son contraire. Tout l’argent créé artificiellement s’envolera comme de l’argent de monopoly. Tout ce qui a été gagné de manière incorrecte par rapport au capitaliste (pur, sans corruption) doit maintenant être perdu pour se rééquilibrer.
Tout ce qui monte, redescend, qui vit par l’épée, meurs par l’épée. Qui manipule le système périra par le système. Le temps est écoulé, le sablier doit être retourné.
À l’âge de 9 ans, j’ai eu ma première crise existentielle…j’avais l’impression d’être tombé sur la mauvaise planète. Je trouvais le monde tellement injuste. Pourquoi des riches et des pauvres ? Pourquoi des enfants en santé et d’autres malades ? Mais pire encore !! Je faisais parti de ce groupe, de cet animal que l’Église Catholique, encore très présente à Sainte-Thérèse de Lisieux (Beauport, banlieue de la ville de Québec), appelait UNE FILLE !!!
Ma grand-mère maternelle a eu 18 grossesses…elle avait peut d’aller en enfer si elle n’étais pas toujours enceinte…et je suis née à l’hôpital de l’Enfant-Jésus…
En plus, à un mois d’existence, j’ai eu ma première visite chez le dentiste !!
Je suis née avec une dent, eh oui. Le vieux pédiatre de l’hôpital n’avait jamais vu ça. D’après lui c’était une malformation osseuse sous ma gencive, une petite peau fine et rose la recouvrait dans les premières heures. Finalement après quelques jours, c’était vraiment une dent. Ma mère » Rêne du foyer » m’allaitait, ça aurait été un pêché de ne pas le faire…Alors, imaginez sa douleur.
Il paraît qu’ils étaient 6 personnes pour m’empêcher de bouger chez le dentiste pour l’extraction…
Cette petite anecdote, pour conclure que oui la justice existe. La raison pour laquelle on a de la dificulté à en prendre conscience, c’est parce qu’elle fonctionne sur une longue période de temps, la justice se fait dans le temps. Voilà pourquoi on nous cache notre histoire !
Une vie d’homme, c’est très court, trop court. Cependant en connaissant le passé en l’additionnant à aujourd’hui la lumière est !! Ça nous donne une plus grande période de temps pour faire une analyse plus complète.
Si par exemple, aujourd’hui, je me demande à 40 ans, si les religions c’est une bonne chose dans notre société, j’hésite un peu, je ne sais pas trop. Mais dès que j’ai étudié l’histoire, ma vision s’est éclairé tout de suite en observant les religions à travers les siècles, leurs effets et le retour au religieux qui tente de se faire présentement au Québec et ce que les philosophies religieuses donnent partout ou elles sont dans le monde, c’est maintenant vraiment clair pour moi ! Hors de tout doute, qu’ils nous faut plutôt se diriger vers la laïcité de notre société.
Et ce sans pitié, il n’y aura qu’un gagnant, ça sera nous ou eux !!
L’esclavage religieuse, non merci !!
À la guerre comme à la guerre !
Je n’ai aucune pitié pour les sans pitié !
Avec les chiens on parle en chien, c’est le seul langage qu’ils connaissent.
Ça va bien aller, nous sommes les Gaulois d’Amérique, Ils ne nous auront pas ces Romains !!!
J’ai donc, pris conscience que finalement la justice existe. Cybèle tient la grande balance de la vie et lorsque pendant son sommeil quelques uns en profitent pour jeter des pierres d’un côté de la balance et qu’il là déséquilibre. Lors de son réveil, Cybèle en passant dans le ciel, tel une comète, si elle daigne jeter un coup d’œil sur nous, elle déposera dans l’autre plateau de la balance un poids équivalent pour rééquilibrer celle-çi.
Plus le poids du déséquilibre est lourd, plus sera lourd, donc radicale, l’effet de cette cause.
Quoi qu’il en soit, pour en revenir à notre sujet, c’est un peu comme la spéculation, la bulle spéculative mais en envers. » La décroissance spéculative ». La roue va dans l’autre sens. On ne peut pas l’arrêter. Sachant ça, il faut limiter les dommages au maximum, c’est une course contre la montre. Ceux qui vont retirer le plus vite, sont ceux qui vont perdre le moins.
Il faut donc que les gestionnaires de la Caisse retirent immédiatement tout ce qu’ils ont à la bourse, tout, dans toutes les bourses avant que ça s’effondre (tous les Québécois devraient aussi le faire d’ailleurs…). Qu’ils gardent leur liquidité ça va être le temps d’acheter, de ramasser tout ce qui tombe pour pas cher. Les prochaines années appartiendront à ceux qui auront de la liquidité.
Qu’ils vendent aussi tout leur pétrole et toute leur devise américaine l’économie américaine va s’effondrer, donc leur dollar aussi. De surcroît, ils ont trop inventé d’argent (imprimé). Cet argent n’existait pas, c’était un peu comme de l’argent de monopoly, personne n’a travaillé pour gagner cet argent !!
Le système capitaliste (pur, non corrompu) se gère de part lui-même, nous n’avons même pas besoin de nous occuper de rien. Pourquoi se penser Dieu et vouloir le manipuler mieux que le système le fait lui-même, tout est parfait comme ça ??
Donc, à cause de tout le faux argent imprimé aux États-unis, le système va corriger la situation, va tenter d’équilibrer les choses en créant une déflation, afin de restabilser. Ils n’ont pas le choix, c’est une question de temps. Probablement aux environs du deuxième trimestre de cette année.
Ce qui aura pour effet de faire descendre énormément le dollar américain, celui-ci étant un dollar refuge, de plus, il y a bien des pays instables dans le monde, les gens vont vendre leur devise américaine et se chercher une autre devise en amérique. Et quelle autre monnaie, après le dollar américain, en Amérique qui est la plus sure ? La monnaie canadienne ! Donc, que la Caisse, les fonds syndicaux et les Québécois achètent au plus vite le maximum de devise canadienne, elle va monter en flèche jusqu’au moins le 31 mars 2010, après je ne sais pas encore, ça dépendra de l’interaction des autres pays.
Pour l’argent retirer des marchés boursiers, achetez de la devise canadienne, gardez votre liquidité pour ramasser, les compagnies et propriétés qui vont tomber dans les prochaines années. Et/ou, les certificats de dépôts de placement Québec, devraient êtres surs. Ceux des Caisses populaires et de la Banques Nationale, sont un peu plus risquer mais devraient passer à travers. Un peu, d’Euros et du Yen.
S’ils vous aient possibles de vous débarrassez de tout vos certificats de dépôts du gouvernement fédéral, débarrassez vous en. Le fédéral devrait faire faillite d’ici environ 10 ans. Ne vous en faites pas, ça va brasser un peu au Québec aussi, mais on s’en sortira assez bien. Cependant, il est primordial de faire notre souveraineté avant que cela n’arrive, si non, on coulera avec eux.
C’est parfait qu’ils aient transféré la bourse de Montréal à Toronto, nous en sommes débarrassé…avant qu’elle ne s’effondre. En plus, en temps et lieux on enverra la facture de 10 milliards au fédéral pour ce vol lorsque ça sera le temps de négocier l’achat des infrastructures appartenant au fédéral.
Ça nous permettra de créer une nouvelle sorte de bourse. Mieux règlementée et encadré, ou il sera difficile de spéculer. J’ai ma petite idée là-dessus, j’y reviendrai.
De surcroît, nous allons créer la première bourse verte mondiale !
Ensuite, concernant d’Intrawest, Fortress Investment Group,
» Les créanciers ont ordonné la tenue, le 19 février, d’enchères au cours desquelles on mettra en vente des titres de propriété indirects et des participations dans des stations d’Intrawest, a rapporté l’agence Bloomberg. Un avis public a été publié mardi à cet effet dans des journaux américains, dont le Wall Street Journal. »
Lien : http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/economie/canada/201001/20/01-941201-les-creanciers-dintrawest-veulent-mettre-ses-actifs-aux-encheres.php
» …on mettra en vente des titres de propriété indirects et des participations dans des stations d’Intrawest,… »
Non !!! C’est de la merde, ça ne vaut rien et ça en vaudra encore beaucoup moins bientôt. Tous les titres vont chuter. Premièrement, ça ne règlera pas leur problème, ça ne fait que le reporter !!
Même s’ils réussissaient à vendre pour 500 millions de titres (montant de leur paiement dû), ils vont faire quoi pour le prochain paiement ? Et pour payer l’épicerie ? Ça ne serait que parti remise…
Alors, si j’étais monsieur Sabia, en passant si monsieur Sabia n’est pas apte à lire un contrat et à le signer, qu’il a absolument besoin qu’un agent commercial, ami du PLQ, lui tiennent son crayon pour une dizaine de millions d’honoraires, …qu’il démissionne je vais y aller m’en occuper !!!
Quoi qu’il en soit, que Sabia aille voir les créanciers et qui leur propose ce qui suit: qu’il leur offre, 1.3 milliard maintenant, pour acheter tout. Le Québec en deviendrait propriétaire, ce n’est pas comme partir quelque chose à zéro, ça roule, les employés sont déjà en place, ça sauverait leur emploi en plus.
S’ils refusent, les aviser, que pas de problème nous ne sommes pas pressés, on va attendre. C’est ça tout de suite et ils limitent les dégâts, ou alors, on n’attends qu’ils se place sur la protection de la faillite et on ramassera le tout pour environ 700 à 800 millions, ce que ça coûtera aux créanciers, à partir de ce moment en honoraires de comptables, d’avocats, de syndics, ça va peut-être prendre 5 à 10 ans avant de tout finaliser. Ils devraient peut-être leur rester 0.10 cents dans la piastre ???
Ça ne courre pas les rues, présentement, le monde qui ont un milliard et plus dans leur poche pour acheter…
De surcroît, c’est un bon achat pour le Québec, dans environ 5 ans, ça vaudra le double de notre investissement. Ça c’est du rendement !!!
Cependant, même si se serait le cas, il serait préférable de le garder. Car en investissant dans la pierre on ne se trompe pas, avec le temps ça augmente toujours. Mais de plus, c’est une vache à lait.
Si je n’ai pas d’argent mais que j’ai une vache, je pourrais être tenter de la vendre et d’avoir un gros montant d’argent tout de suite avec lequel je pourrais payer mon épicerie pour plusieurs mois, même me payer du luxe. Mais lorsque je n’aurai plus d’argent, je ferai quoi pour payer mon épicerie ???
Je serais mieux de traire ma vache et de vendre son lait. Ainsi je ne pourrai peut-être pas me payer du gros luxe, mais j’arriverais à payer mon épicerie à chaque jour et pour toujours. (Pour sa durée de vie, mais elle enfantera et continuera à me produire), sur le long terme, c’est plus payant.
Le Mont Tremblant, c’est une vache à lait, il y a de l’argent qui entre à chaque jour. Ils ont fait combien de profits l’an passé ??? Cet argent, elle pourrait être investi dans nos hôpitaux, nos écoles, renflouer nos fonds de pensions et les pertes de la Caisse.
Ça aiderait à payer l’épicerie !!!
Donnez du poisson à quelqu’un qui a faim, ne sert à rien, ça ne règle pas son problème, que va-t-il manger demain ? Ça ne fait que reporter son problème à demain. Il faut plutôt lui apprendre à pêcher. Le rendre autonome. Il faut donner des vaches à lait au Québec, le rendre autonome.
C’est pour cette raison, qu’il faut aussi que Charest se déniaise et qu’il fasse ce qu’il doit faire dans l’intérêt des Québécois et qu’il nationalise la raffinerie de Shell.
Un petit avertissement à Charest, en passant…présentement un recours collectif est entrain de s’organiser pour demander à l’international, puisque la Chambre des commune est fermée, une mise sous-tutel de la Caisse de dépôt et du Gouvernement Charest. De plus, il n’est pas sorti du bois avec le peuple, on peut même lui couper sa pension de l’Assemblée et le poursuivre criminellement. Il ne sera pas au pouvoir éternellement. Alors qu’il marche les fesses serrées, on le surveille.
Même chose pour Vendal d’Hydro Québec, tous les pots de vins qu’il reçoit, il devra leur rembourser, car si il fait cet achat avec le Nouveau Brunswick, on va la contester et la faire annuler. Je rappellerais à monsieur Vandal, qu’Hydro ne lui appartient pas personnellement, qu’il m’appartient et appartient à tous les Québécois !!! Je lui rappellerais aussi que nous ne vivons pas en dictature mais bien en démocratie !!
Non seulement nous faire annuler ce contrat mais en plus l’État va le poursuivre jusqu’à ce qu’il se retrouve à la rue et criminellement aussi à part ça.
Alors monsieur Vandal, veuillez agir en conséquence !!!
Il n’est pas question d’augmenter les taxes et les impôts par les temps qui courent, le prolétariat en a assez sur les bras. Qu’ils aillent chercher l’argent ailleurs.
Qu’ils envoient aussi des mises en demeure à toutes les mines qui n’ont pas payer leur redevances, avec 30 jours pour payer, si non qu’ils fassent une saisie avant jugement sur ces dites mines et pour en êtres usufruit jusqu’au remboursement de leur dû. S’ils font faillites, on les achètera, ce n’est pas nos problèmes, ils n’avaient qu’à nous payer. Depuis le temps que ça traîne !!! Ça nous ferait d’autres vaches à lait pour renforcer notre économie.
Les frais environnementaux doivent êtres aussi payés !!
Changement de propos, bravo à madame Marois ! Elle a raison, il faut accueillir les haïtiens pour plusieurs raisons. Premièrement j’ai été surprise d’apprendre qu’il y avait tant d’Haïtiens à Montréal. Ça signifie qu’on en entends pas parler, autrement dit on n’a pas de trouble avec ce peuple. Ils s’intègrent bien à nous. Mais le plus important est qu’ils parlent Français. De plus, ils sont jeunes en général. C’est de la main d’œuvre dans la fleur de l’âge qui débarquerait.
Les Québécois ont déjà aidé les Vietnamiens, ils ont un grand cœur, ils vont aussi aider les haïtiens. Il n’y a pas de gouvernement à Haïti présentement, qu’ils nous envoient les orphelins, qu’ils prennent leur nom, leur photo et que soit fait le suivi ou chacun sera au Québec. On s’occupera des papiers plus tard !! S’ils veulent qu’on en retourne certains en Haïti parce qu’ils ont retrouvés les parents, on les retournera.
C’est les régions qui manquent de jeunes qui seraient heureux. Je suis persuadé qu’ils y auraient beaucoup de retraités ou de parents qui pourraient en prendre sous leurs ailes. Il faudrait aussi en faire débarquer beaucoup à Montréal, question de franciser un peu Montréal pour corriger les négligences des dernières années en matière d’immigration. Il faudrait aussi couper l’immigration, de l’Inde, des pays musulmans et des juifs hasidim. Ils ne s’intègrent pas !!! Les islamistes parlent français mais n’arrêtent pas de nous écœuré avec leur voile et leur miniret, ça fait !!! Et les autres groupes refusent d’apprendre le Français. Alors qu’ils restent chez eux ici on parle Français !!
Il faudrait cependant aviser la communauté Haïtienne que nous sommes bien près à accueillir vite leurs cousins et familles, on règlerait les papiers plus tard, mais on a pas les moyens de tous les faire vivre. Donc, ça va à condition qu’ils prennent en charge financièrement leur famille jusqu’à ce qu’ils se trouvent des emplois et soient autonomes, on ne donnera pas d’argent aux familles, on ne peut pas économiquement.
Concernant Harper, la Chambre des communes est fermée, on pourrait demandé à l’international de mettre le fédéral sous tutelle si on voulait, alors qu’ils ne viennent pas nous écoeuré ! Ça serait pas trop bon non plus pour lui de passer pour un chien sale envers toute la communauté internationale en plus que dans l’opinion publique canadienne et québécoise, ça serait pas très bons pour les sondages, si chers à son cœur…
De plus, que voulez-vous qu’Harper fasse ??? Qu’il débarque avec l’armée pour menotter les Haïtiens et les retourner dans leur pays ??? L’armée québécoise refuserait d’obéir !!
Donc madame Marois a raison, on s’en fout d’Harper, qu’on les fasse venir, on n’a pas besoin de lui pour ça. Soyons autonomes et maître chez-nous !
Monsieur Charest devrait écouter madame Marois là-dessus, c’est des électeurs potentiels et ça le ferait remonter un peu dans l’opinion publique québécoise…
SYLvie R. Tremblay, Jeanne du LYS
C’est vrai il faut ce concentrer sur l’economie. Je crois que les gens perdent trop de temps a parler de culture et de separation au Quebec. Ca devient tres fatigant a la fin. Il faudrait que les canadiens apprennent a aimer le capitalisme intelligent et creatif. C’est la seule solution si les gens veulent garder leurs surplus de services qui sont offert au Canada et surtout au Quebec. Car on ne pourra pas toujours compter sur l’Alberta pour payer la liste d’epicerie.
Sur papier le capitalisme pourrait être intelligent et créatif mais dans les faits ceux et celles qui profitent le plus du capitalisme actuel sont une minorité pour qui l’égoïsme et les profit démesurés sont beaucoup plus important que l’intelligence et la créativité !
Se pourrait-il que notre PM agisse selon les voeux de son Papy Desmarais dans cette histoire ! Préparer l’avenir en fonction des intérêts du GRAND Boss !
A Mr Kruijmer,
C’est vrai que de temps perdu à parler de culture. Pourquoi une identité. Pourquoi savoir d’ou l’on vient et surtout savoir ou l.on veut aller. L.économie nous dicte si simplement ou etre, d’abord quoi s’acheter et pourquoi ne pas s’en contenter pour nous définir comme entité. J’achete donc je suis.
Simplement expliqué cher Mr. je vous invite tout de suite à un souper. Restez tel que vous etes, puisque vous etes à n’en pas douter un gagnant. Mais en premier lieu visionnez ce film francais, et si vous le pouvez tenter de vous identifier.
A toutes ces personnes qui ne comprennent rien, à ces gens qui n’ont d’objectif qu’eux memes, que leur consommation si pauvre qu’elle est dictée par d’autres, à tous ces gens sans pays, sans appartenance, dépourvus d’identité propre laissez -nous , pauvre survivant à ce que nous avons été,. survivant dans nos reves à ce que nous voulons pas etre, laissez -nous conduire nos reves plus loin que ce que vous avez adopté. Laissez nous poursuivre ce reve, auquel vous adhérez sans comprendre le sens. Puisque nous sommes le rempart de l’etre, puisque nous somme le vestige de ce reve, seulement etre autre chose que de n’etre. Jen sais je vous perds, et surtout je vous plein, à force de ne pas etre on oublie d’exister, et on se défini dans l’oeil de ceux qui nous ont conquit.
Triste discours à quelqu’un qu’on acceuil et qui nous renies , à force de renouveau ont oublie l’essentiel, nous pouvons acceuillir que ceux qui nous respectent, et nous ne devrions accepter que ceux qui nous comprennent.
Cher Mr si notre culture vous pèse si pourquoi ne pas en adopter une autre, ailleurs…
tristement votre, cher ennemi de ce qui me reste
aliéné séparatissssssss
Mr Asselin, comme je disais à mon fils, mais je n’en connais pas la source, Le Capitalisme c l.exploitation de l’homme par l’homme, er le communisme c’est le contraire…bonne nuit mr Kruijmer
Comme je regrette ces fautes , je devrais peut-etre me relire
Bonsoir à tous,
Et je cite Monsieur Fontaine : < Pas important la corruption, pas important les problèmes d'éthique, les conflits d'intérêts.....> Et si les libéraux ne veulent pas en parler, c’est pour vous protéger de vous-mêmes, les Nationalistes ! Car en étalant le tout sur la place publique, vous gaspillerez vos énergies vitales en faisant du tout un < drame national > qui vous perturbera pour au moins 100 ans ! Car toujours deux poids, deux mesures ! Avec les Péquistes, on se bouche le nez et on se ferme les yeux ! Mais là, c’est différent car il faut bien se mettre un os sous la dent pour raviver la Cause qui bât de l’aile comme un oiseau blessé….. Et merci, de Erwan Basque.
La croissance économique telle qu’on l’a connue après la Deuxième Guerre mondiale 1939-1945 était possiblement une exception de l’histoire de l’humanité. La démographie mondiale n’était pas trop élevée et les ressources naturelles étaient certainement moins surexploitées. La dynamique des changements démographiques peut aider à comprendre plusieurs éléments. Les rêves et habitudes de vie lorsqu’une planète compte 3 milliards de personnes, ne sont pas nécessairement souhaitables lorsqu’on compte plus de 7 milliards de personnes.
Le monde a beaucoup changé depuis. La démographie de la planète a plus que doublé depuis les années 1960. Ce qui créé une pression énorme sur les ressources de notre planète. Les années 1980 et 1990 on été les années « de la nouvelle économie », l’ère de l’hyper productivité industrielle où la production allait plus rapidement que la consommation, et ce, à l’aide de l’informatisation et de l’automatisation des chaines de production. Au cours de ces mêmes années et lors des années 2000 jusqu’à maintenant, on a délocalisé massivement les emplois des pays industrialisés vers la Chine, L’Inde, le Mexique et autres, détruisant graduellement une base économique importante de nos sociétés. La dérégulation des marchés s’est installée sous les administrations Thatcher et Reagan, et s’est achevé sous l’administration Clinton vers 1998 si je ne m’abuse. La dérégulation, la mondialisation et l’hyper productivité ont permis à de nombreux pays de créer de la richesse au sein de plusieurs populations défavorisées. Des pays ont émergé, étant les nouveaux riches, la Chine est l’exemple le plus probant.
Tout cela ne s’est pas fait sans bouleverser les systèmes économiques partout dans le monde. Nous avons traversé plusieurs dizaines de crises depuis les années 1970. Dans un contexte de surproductivité matérielle, pour stimuler davantage la croissance économique, on a poussé à l’extrême les systèmes de crédit. Et c’est justement par le crédit qu’on a pu créer un contexte de surconsommation pouvant pour un certain temps suivre le rythme de l’hyper productivité, ce qui favorisait une grande concentration de richesse dans les mains des grandes institutions bancaires et des grandes entreprises industrielles, et ce, tout en ne retournant pas les mirobolants profits aux sociétés et à la politique sociale.
Vers 2002, je crois, Bush avait dit à son peuple « consommez ». Les gens avaient très bien saisi le message, ils ont consommé et ils se sont surendettés, ce qui a créé le contexte d’une hyper bulle financière dans les marchés de l’immobilier entre autres. Et pendant ce temps, les emplois stables disparaissaient les uns après les autres. Des grandes banques telles que J.P. Morgan et autres en profitaient pour multiplier des fonds spéculatifs jusqu’à 56 000 milliards de dollars. La bulle a explosé en 2009, si bien qu’en 2010, on retrouve 34 états américains en situation de faillite, un taux de chômage moyen avoisinant les 11%, certains endroits ont des taux de chômage de 17%, alors que d’autres endroits enregistrent des taux de 50% de chômage. On peut parler d’un pays mis en faillite par les stratégies financières des grandes banques, par le contexte du surendettement, la politique étrangère américaine basée sur l’hégémonie planétaire, par la nouvelle dynamique du marché du travail et de la délocalisation des emplois, chocs pétroliers, etc.
C’est un triste constat, mais selon la démographie actuelle et de sa dynamique mondiale, je crois qu’on ne peut plus agir et concevoir le monde économique tout comme on l’a fait lors du 20e siècle :
– il y a beaucoup plus de gens, les espèces vivantes disparaissent à un rythme jamais atteint dans le cours de l’histoire, les ressources pétrolières ne seront disponibles que pour environ 80 ans, ce qui est très court dans l’histoire de l’humanité ;
– nous sommes tous extrêmement dépendants du paradigme pétrolier, la santé des économies des pays industrialisés repose presque entièrement sur cette seule ressource qui entre la fabrication de plus de 500 produits dérivés ;
– les luttes pour le contrôle des ressources se multiplieront, c’est une question de survie, ces luttes, tout comme on les connait de nos jours s’amplifieront probablement, ce qui aura des conséquences très néfastes sur la stabilité économique de la planète ;
– les grandes banques et les industries devront accepter une forme de régulation ou de taxations accrues de leurs profits pour faire profiter les populations, voir assurer la cohésion ou la pérennité des populations;
– il m’apparait clair qu’on devra tout faire pour préserver les différents modes de vie et d’exploitation des ressources sur notre planète, car c’est justement cette diversité culturelle qui permet aux différents systèmes un certain équilibre et une forme de renouvellement ;
– le rêve américain a si bien été vendu partout dans le monde, mais je crois que lorsqu’on est un peu informé, ce rêve ne peut pas se réaliser de manière globale, sans risquer l’épuisement des êtres et des ressources sur notre planète ;
– on devra travailler fort pour la mise en place d’une éthique globale, car la dynamique de l’ensemble de notre planète n’est pas du tout la même avec 1 milliard, 3 milliards ou 7 milliards de personnes ;
– nous devons apprendre à partager, coopérer et changer nos habitudes de vie sur une base beaucoup plus large que tout ce que nous avons fait depuis les 100 dernières années, le défi étant de vivre en harmonie malgré les différences culturelles, l’histoire nous enseigne qu’il est difficile de nourrir de grands espoirs à ce niveau, très malheureusement. Nous devons collaborer globalement. Les guerres actuelles n’aident pas à créer ce climat de collaboration globale, car les stratèges de plusieurs pays connaissent parfaitement les enjeux pour la survie des élites mondiales, les mains mises sur les ressources pour empêcher d’autres pays de compétitionner l’hégémonie des pays néo impérialistes ;
Alors, bien sûr, ça prend des sommets économiques à tous les niveaux, mais on doit garder à l’esprit l’ensemble de la problématique. Le virage vert me semble inéluctable si on ne veut pas que les générations futures soient piégées dans la grande rupture à venir du paradigme de l’économie pétrolière, car elle se produira tôt ou tard, et ce n’est pas 20 ans qu’on doit prévoir, mais 40 à 80 ans. Ce thème m’apparait être d’une importance vitale et devrait être au cœur de toute discussion. La responsabilisation à tous les niveaux doit être le mot d’ordre.
Par rapport à tout ce que je viens de mentionner, je crois que le discours de la croissance économique, basé sur les manières de faire des décennies précédentes ne tient pas la route. Nous avons un nouveau paradigme à inventer : le paradigme de l’économie verte. C’est une des clés, et il y en a d’autres. L’être humain n’a jamais manqué d’imagination. Nous avons pu créer des systèmes des transports perfectionnés, des autoroutes transnationales, etc. Avec les connaissances et techniques que nous avons de nos jours sur notre planète, en mettant les bonnes ressources à la bonne place en mode de coopération ou de collaboration, nous pourrons certainement traverser plus doucement la venue du prochain siècle, sans cette précieuse collaboration, nous pourrions plutôt assister à de très grands conflits exacerbés par les différents intérêts égoïstes. La collaboration sera le défi de l’espèce humaine dans son ensemble.
Le discours économique devra englober davantage le respect de la diversité culturelle ainsi que la reconnaissance à l’autodétermination, le respect des ressources de notre planète, la nécessité de cesser les guerres, redonner de l’espoir aux gens devenus trop cyniques à l’égard de la politique en général, et ce, en travaillant à redéfinir des valeurs se situant au niveau de l’humain pour l’humain, et non pas des valeurs de croissance économique où c’est ce sont les peuples qui semblent suspendus aux différentes courbes de croissance économique, ayant le vertige en regardant les dégâts tout en bas, là sous leurs pieds bien pendus. L’harmonie avec les autres et avec les ressources de notre planète, les gens ont soif de cela, je crois : ça ne peut s’accomplir que par l’accueil, l’hospitalité et la compassion.
Liens :
– Évolution de la population mondiale : http://fr.wikipedia.org/wiki/Population_mondiale
– Éthique globale : http://www.lecodepouruneethiqueglobale.com/
M. Bellefeuille, intéressant votre commentaire. Les idées, les visions et les solutions pour que tout un chacun ait ce qu’il faut pour profiter de la vie sont aujourd’hui aisément portées à notre connaissance. Force est de constater que les gens qui ont le pouvoir n’amorcent pas de mouvement pour instaurer ces nouveaux paradigmes, comme vous les appeler.
Je suis impressionnée de constater le savoir de monsieur et madame tout le monde. Le haut niveau de savoir de l’humanité en général. La volonté d’une grande majorité à vivre autrement pour que la vie continue sur notre planète.
Mais ça n’arrive pas. Mon impression est qu’on régresse. Il faut remettre en question nos structures sociales traditionnelles dont le fil d’Ariane est le pouvoir: Entreprises privées de biens collectifs, organisations politiques avec un chef de parti qui dérape plus souvent qu’autrement vers «le parti c’est moi!», les traités d’échanges commerciaux qui ont appauvris ou fait disparaitre des communautés ou des manières de vivre, des organismes de protection des uns et des autres (ONU, OMS, FMI, BM, les syndicats, les cours pénales internationales…. etc), les banques privées qui impriment l’argent, la sécurité (police, anti-émeute, armée), enfin la liste est longue……. ainsi que les dommages. Ces formes d’organisations ont favorisé la propagation de la délinquance. Les délinquants sont infiltrés partout et corrompent toutes ces structures qui ont été créées pour voir au bien de l’ensemble des populations, du moins en apparence.
Comment on change tout cela sans que ça saigne trop? Comment on annihile les délinquants? Quel mot faut-il inventé au-delà du pouvoir? Comment on s’organise pour arriver à vivre ensembles dans une certaine harmonie?
En écoutant tout ce qui se dit ces temps-ci sur Haïti, c’est la corruption, le trafic d’influences et les gouvernements et organismes en mal de reconnaissance qui vont reconstruire ce pays……inquiétant. Pourtant on aurait une bonne occasion, en tant qu’humanité du 21e siècle de leur faire profiter de tout notre savoir-connaissance et notre savoir-faire, tout en respectant les mœurs et valeurs de ce peuple.
Enfin, dans des temps meilleurs, comme Lise Payette l’écrivait dans un article du journal Le Devoir aujourd’hui, on pourrait p-e recommencé à chanter que «la misère serait moins pénible au soleil».
Et puis dans un monde idéal, on aura plus à fuir la misère parce qu’il n’y en aurait plus.
J’ai l’impression d’être comme les partisans du canadien qui rêvent encore de la coupe Stanley…
Si l’article de Mme Payette vous intéresse :
http://www.ledevoir.com/international/amerique-latine/281503/la-misere-serait-moins-penible-au-soleil
Bonsoir à tous,
Et si en plus des < amateurs de sports, bonsoir.....>, nous pourrions avoir les < amateurs de politique, bonsoir.....>, pour ceux qui croient encore dans le politique ! Car convaincu que l’audience serait encore plus forte ! Et si ( Du pain et des Jeux ) n’avait pas aussi un acolyte encore plus puissant soit : ( Du pain et de la Politique ) et tous les deux entretenu par le même pouvoir qui n’a qu’un seul but ultime soit de vous étourdir……Et merci, de Erwan Basque.