Le renommé expert en marketing versé dans les secrets de l'esprit «reptilien», Clotaire Rapaille, recevait cette semaine sa mission officielle des mains du maire Régis Labeaume: découvrir le «code culturel» de la ville de Québec pour lui donner une nouvelle image et un nouveau slogan.
@ Photo: www.rapailleinstitute.com
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Coût estimé: autour des 300 000$
Est-ce trop cher payé?
Le résultat en donnera la réponse…
http://www.radio-canada.ca/regions/Quebec/2010/02/03/004-rapaille_demarche.shtml
Et pour voir aussi le site très particulier du monsieur en question (ça vaut la peine…):
http://www.rapailleinstitute.com/
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Évidemment, on souhaite bonne chance à la belle ville de Québec… Pour vrai.
D'autant plus que du côté de Montréal, disons que son administration n'aurait pas de leçon à donner à Québec dans le domaine de l'argent bien ou mal dépensé dans le département des slogans ou des logos. Aucune leçon à donner.
Pour fin de mémoire: En 1981, le fameux nouveau logo «rosace» commandé par la Ville de Montréal avait déjà coûté près de 400 000$ à l'époque…
Puis, en juin 2003, l'administration Tremblay dévoilait le même logo, mais «rafraîchi», cette fois-ci pour la minuscule somme de 12 000$. (Le Devoir, 5 juin 2003)
Mais en 2008, ça se gâtait à nouveau. La Ville de Montréal se retrouvait avec un autre «nouveau» logo, celui-là pour usage à l'international, en forme de gros «M» multicolore et au look enfantin. Et ce, à un coût de 487 000$.
http://www2.infopresse.com/blogs/actualites/archive/2008/10/29/article-28892.aspx
http://www.canoe.com/archives/infos/quebeccanada/2008/10/20081029-080500.html
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Bref, encore une fois: bonne chance Québec.
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Mais croyez-vous que dans les «groupes de participants» que M. Rapaille rencontrera pour sonder leur «vision» de Québec se trouvera aussi son principal ambassadeur? (En toute amitié pour la belle Capitale…).
Bonjour à tous,
Mais quelle géniale idée que celle de Monsieur Régis Labaume de consulter cet éminent psychanalyste de réputation internationale que ce Monsieur Clothaire Rapaille qui vit dans la Grosse Pomme, soit New-York, ville par excellence de la disparité et de la non conformité tout azimut ! Oui, Québec en avait surtout bien besoin et ce voyage dans son < inconscient collectif > par cet éminent psychanalyste sera bénéfique pour le futur. En voulant cibler des strates précises de la société québécoise par < groupes identifiés > par la Maison Léger Marketing qui par son expertise fera la lumière sur cette ville qui vit dans le passé et replié sur elle même dans son conservatisme !
Et ce montant est peu cher payé et souhaitant que Monsieur Jean Charest soit un observateur attentif car dans peu de temps, nous nous devrons de faire la même chose et ce, malheureusement car besoin oblige, avec le Québec profond !
Finalement, pour ceux qui l’ignorent encore, nous sommes passés vitesse Grand V au 21ème siècle et ce depuis 10 longues années ! Merci, de Erwan Basque.
Pas plus tard qu’hier, lors d’un discours du maire Lebeaume pour l’inauguration d’une nouvelle exposition au Musée des beaux-arts du Québec (très intéressante exposition sur la haute couture en passant, Dior et compagnie), celui-ci a de nouveau invoqué le nom de Clotaire Rapaille pour le défendre ou pour montrer qu’il était derrière lui (parce que devant, si on se fie au caricaturiste du Soleil dans l’édition d’aujourd’hui…). Je n’ai pas pu m’empêcher de faire un jeu de mots, facile diront certains, disant que le maire Labeaume était un homme rapaillé… Mes excuses à Gaston Miron.
Faut le faire, aller chercher un français complètement américanisé dont le site est en anglais seulement pour venir » moderniser » l’image de la ville du petit maire Labeaume .
Déjà nous savions que le petit maire avait de la difficulté avec notre passé, avec l’histoire » française » de sa belle petite ville. Déjà lors des fêtes du 350 Ième Monsieur le petit maire et ses pantins ont tout fait pour balayer sous le tapis Samuel de Champlain et la naissance de cette ville au début du régime français. Faut comprendre que le gouvernement fédéral a tout fait pour s’imposer comme le principal bayeur de fonds de cette fête.
Bien sûr tous nos fédéralistes se réjouissent de cette initiative du petit maire.Faire oublier la plus important partie de notre histoire fait partie d’un statégie toute fédéral quiremonte à Lord » pour manipuler les gens et faire de la ville de Québec une belle petite ville canayenne. C’est bien connu, un peuple qui ne connaît pas son histoire c’est facile à manipuler.
Le nationalisme est une bibitte à proscrire au Québec, par contre le nationalisme canadien, américain, français, anglais etc. c’est quelques choses de très important. Même le nationalisme Mohawk est bien vivant, regardons simplement de l’autre côté du Pont Mercier ce qui arrive avec les blancs de la réserve. Cette purification de la race digne des nazis trouvera certainement des appuis de la part de nos fédérastes habituels ! Pendant que le petit maire colonisé fait tout pour balayer le fait français de sa ville cette petite réserve de l’autre côté du Pont Mercier fait TOUT et même de façon démesurée pour protéger son histoire et son origine.
Deux geste démesurés tant qu’a moi !
J’oubliais un point important !
Plutôt que de donner 300,000 $ à un flyée dont Sarkosy doit être fier , moi je pourrais pour beaucoup moins cher aider le petit maire .
Premièrment changer le nom de la ville pour : Queen City
Deuxièment un petit slogan comme celui-ci : The most beaufitul french town in Canada !
Bonjour à tous,
En considérant les faits d’armes de ce psychanalyste réputé et surtout reconnu dans ce milieu restreint de la haute voltige, nous nous devons de constater que la ville de Québec qui par je ne sais trop quel < chasseur de tête > a décider de mandater cet expert de < l'inconscient collectif > qui couchera la ville de Québec sur le divan du psychanalyste ! Car la ville en avait bien besoin. Déjà, Monsieur Lothaire Rapaille a su distinguer que la ville de Québec souffre d’un complexe d’infériorité évident en surcompensant par un de supériorité ! Et c’est peu dire avec un échantillon identifié d’une certaine strate de la population Québécoise qui s’est déjà couchée sur le divan en laissant aller ses émotions viscérales. Histoire à suivre car ce travail de psychanalyse se poursuit avec divers intervenants triés sur le volet par la Maison Léger Marketing qui connait bien les 36 cordes sensibles du Québécois….Un travail de longue haleine pour formater en mieux l’attitude et les perceptions du Québécois. Merci, Erwan Basque.
J’ai un logo à proposer pour la ville de Québec…
Ce serait un gros « Q » stylisé, aux couleurs du drapeau du Québec.
Ben quoi? Pourquoi chercher plus loin? C’est connu de tous. Le « Q » est un extraordinaire vendeur, probablement le plus efficace qui soit. Je pourrais vous fournir quelques arguments massus mais, pour des raisons de nétiquette, je m’abstiendrai.
Comme le chantait si judicieusement Robert Charlebois « … parc’qu’ici au Québec tout commence par un Q pis fini par un bec. »
Un slogan avec ça…
Tout le monde sait que l’expression « Ça vaut pas le « Q » » signifie que ça n’a pas de valeur. Si on disait alors le contraire, que… Québec, ça vaut le Q, tout le monde comprendrait instantanément que Québec ça vaut, disons, le déplacement ou le détour.
« Québec, ça vaut le Q »… et je le sais pour y avoir habité un bon moment.
Je crains que Clotaire me pique mes idées et qu’il empoche des centaines de milliers de $ à ma place.
Si je ne m’abuse, lors des dernières élections au Canada, mis à part l’ensemble du Québec, seule la région de Québec et de la Beauce avait voté pour les conservateurs à Ottawa. Essayez d’y comprendre quelque chose!
En 2009, Harper s’est trouvé deux experts en relations publiques sur le territoire même des États-Unis, et ce, pour mieux pénétrer, économiquement parlant, le territoire des États-Unis. Un de ces experts travaillait sous l’administration Bush et l’autre sous Clinton.
Le maire de la ville de Québec demande de l’expertise externe, tout comme si on n’avait pas déjà toute l’expertise qu’il nous faut ici même.
Donc, si j’ai bien compris, ce qui est bon pour les conservateurs est bon pour le maire de Québec. Vive l’identité québécoise « Made in US » par un « French-Yorker » à la mode. C’est un peu comme « Ignare-tieff », qui a tenté de nous faire croire en ses racines profondément canadiennes, alors qu’il a passé la plus grande partie de sa vie aux États-Unis.
Décidément, la politique est schizophrénique! Analysez-moi ça, monsieur qui déjà?
Hé, hé! Le « code culturel de la ville de Québec »! Vous voulez rire! Assurément, c’est en votant pour les conservateurs qui méprisent la culture québécoise qui vous le trouverez ce code! On appelle ça la négation même de sa propre identité. Ce que les nuages doivent être noirs de pétrole au-dessus de vos têtes à Québec! Tiens, ce serait un bon thème pour les Têtes-à-claques.
Je suis heureux de ne pas habiter à Québec.
Tiens! Je l’ai trouvé la nouvelle identité profonde de la ville de Québec, qui pourrait se résumer dans la contraction visuelle : Q exposant n, « n » pour négation de sa propre valeur culturelle. A-t-on besoin d’un psychiatre pour comprendre ça?
Je ne comprends rien à cette histoire. J’avais cru comprendre que les fêtes du 400e avaient été un franc succès. Des centaines de milliers de touristes ont envahi la Vieille capitale, tous s’en félicitaient et tout d’un coup, Québec est malade, Québec a besoin d’attention particulière. J’en ai manqué des bouts certains.
On dit que le mieux est l’ennemi du bien. Je me demande ce que ce Franco-Américain farfelu va bien pouvoir apporter d’extraordinaire à cette petite merveille qu’est la ville de Québec. Fasse le ciel qu’il suggère de contruire des parkings, nombreux, peu dispendieux, avec service de navettes, en périférie de la Vieille capitale afin de soulager les touristes de ce cauchemard qu’est le parking à Québec. Mais ce simple conseil vaut-il 300 000 $, fussent-ils canadiens?
D’après moi, le maire Labeaume a trop bu de Red Bull l’hiver dernier. C’est dangereux, vous savez, toute cette caféine.
La région de Québec, incluant la Beauce, vote bleu parce que c’est la couleur des anciens Nordiques…probablement.
Suis-je le seul à craindre que l’obsession de maestro Rapaille à vouloir tirer son matériel promotionnel de l’inconscient collectif des habitants de Québec risque de lui causer de biens mauvaises surprises…..la région de la Capitale nationale étant reconnue comme le lieu des plus étranges et déplorables ambivalences : nos fonctionnaires – ils sont nombreux à Québec et syndicalisés – y votent pour des politiciens prêchant les PPP et l’anti-syndicalisme; la masse de nos très nombreux étudiants post-secondaires – le fleuron de notre jeunesse supposément pro-environnementale – ignorent les dégâts d’une urbanisation toujours plus outrageante et frivole ouverte à toute nouveauté sans distinction, comme Rabaska; notre milieu culturel, reconnu, y tolère un foyer prolifique de radio-poubelle; l’élection d’un maire y est devenue la recherche d’un roi petit…..
La meilleure image de marque pour Québec ne devrait-elle pas plutôt être développée à partir de gens qui aiment profondément notre région, qui la vénêrent et la respectent, comme nos visiteurs européens par exemple…
J’oubliais, les Québécois de Québec au Québec votent quelques fois rouge au provincial, principalement parce que le chef du PLQ, M. Charest mire bleu, sa vraie couleur intérieure qui lui sort même, par les yeux.
$487000 pour pondre cet horrible logo « M » ?…..Ce bel argent aurait été plus utile à l’Accueil Bonneau ou à pops du Bon Dieu dans la rue.
Bonjour à tous,
En voulant surtout faire porter l’expertise sur < la facette reptilienne > du Québécois moyen, Monsieur Clothaire Rapaille sondera aussi l’inconscient collectif de < certains amateurs de sports, bonsoir ! > qui boivent de la < Bleu > et du < Papsi > qui n’ont pas eu le temps encore de réaliser que < Les Nordiques > c’est bel et bien fini et que le Bonhomme a pris de l’âge et vieillit très mal en attendant de se mouvoir avec des béquilles…..Merci, de Erwan Basque.
L’opinion de Paolo Mitiou ci-dessus, même si lancée à la rigolade – c’est bien de la rigolade, non? – me paraît très sensée.
Pourquoi aller bêtement dépenser pour se faire dire, et probablement avec moins d’à-propos, ce que l’on sait déjà soi-même et que l’on pourrait facilement exprimer en deux ou trois minutes sur un petit bout de papier, accoudé à un coin de la table de cuisine?
Comme si l’avis d’étrangers, accompagné d’une grosse note d’honoraires, valait davantage que la simple évidence. Comme si ce que nous percevons, naturellement et sans effort, ne suffisait pas.
Par ailleurs, le rappel fait par Madame Legault du fameux logo « Smarties » de la ville de Montréal, cette nullité dévoilée en 2008, logo qui fut un gaspillage éhonté de 487 000$ (comme si nous avions un puits sans fond de dollars à flamber!), vient soulever en moi une interrogation: ce M puéril et non-représentatif a-t-il déjà servi pour la promotion de Montréal à l’international, tel que cela devait être le cas?
Si oui, pourquoi? Et si non, pourquoi?
Enfin, mince et étrange consolation, puisque nous n’avons plus d’argent à flamber, que nous sommes dans le trou (et les nids de poule), nous ne pourrons plus pour un certain temps gaspiller sur des futilités hors de prix. À Montréal, du moins – ce qui est fortement à espérer…
Quant à Québec, on vient d’y faire l’éclatante démonstration que l’expérience des autres ne sert jamais: chacun doit se mettre personnellement les pieds dans les plats pour – peut-être? – finir par apprendre.
Consternant.
Beaucoup plus que de nous donner l’occasion de faire de la psychanalyse à bon marché à la manière du Jourdain de Molière, cet événement autour du lifting des images de marque à la Rapaille devrait nous donner l’occasion de réfléchir sur un autre type d’inconscient, un inconscient qui lui n’a rien de la fumisterie d’un hypothétique inconscient collectif, lequel n’existe pas et ne peut d’ailleurs pas plus exister que le pourrait un hypothétique conscient collectif, mais sur un inconscient bien réel celui-là, soit celui qui appartient en propre à des individus, celui de certains hommes politiques.
Au-delà de ce qu’il faut dire sur la propension maintenant bien établie de gouverner et de faire de la politique à partir de l’image, ce qui nous oblige à constater la manipulation évidente des citoyens à partir de procédés qui empruntent à la publicité à base d’inconscient et de ressorts psychologiques leurs armes pour vendre des images, à défaut de programmes politiques et de réalisations, il nous faut maintenant aussi regarder derrière ces images empruntées pour la gouvernance pour y apercevoir les visages de ces hommes politiques qui se cherchent ainsi leur propre image. À partir de celles qu’ils désirent imputer, qui à une ville, qui à une province, qui à un pays, en s’identifiant à celles-ci, ne serait-on pas tenté d’y percevoir cette phrase célèbre : miroir, dis-moi qui est le plus beau.
Bien sur, cette dérive démocratique est insidieuse. Cela commence par l’acceptation de la manipulation publicitaire dans le monde des objets, une dérive maintenant considérée comme étant parfaitement normale, même si elle entraîne dans son sillage le surendettement des individus et parfois, des crises de surconsommation comme le monde du capitalisme financier en vit présentement une. Puis de fil en aiguille, cette tendance dépasse le monde de la consommation pour aboutir à une autre sorte de produit, les offres politiciennes de services. Je m’écarte beaucoup du sujet de départ avec cette conclusion puisqu’il consistait à discourir autour du projet d’une ville et de sa région immédiate de se donner une visibilité plus accrocheuse dans le but de rentabiliser des investissements des entrepreneurs du secteur touristique. Mais lorsque cette entreprise est menée à même des fonds publics déjà rares et prélevés de manières non proportionnelles à la fortune de chacun, il faut que ces quidams acceptent que la facture leur rebondisse au visage.
Je m’inquiète de ce qu’on laisse à une espèce de dandy à l’allure surannée le soin de décoder l’âme des habitants de la ville de Québec, alors qu’il vient de démontrer sa profonde habileté à manipuler l’histoire, en jetant de la poudre aux yeux.
En effet, n’a-t-il pas clamé que son enfance a été bercée au son des chansons de Félix Leclerc?
J’aimerais bien savoir l’âge exact de ce prestidigitateur. Seulement à son apparence, il est permis de douter de ses propos. Son enfance a eu lieu bien avant que les vieux tourne-disques de l’époque n’aient diffusé les chansons de Félix.
Il ne faudrait pas charrier, Clotaire. Vous feriez mieux de vous taire.
De plus, vous vous en êtes pris à l’image « vieillissante » de Québec.
Vous êtes-vous regardé dans un miroir, sieur Clotaire?
Faut-il vraiment mettre les vieilleries au rancart, je vous le demande?
Le Sieur en question est né en 1941. Il n’a donc pas pu écouter les chansons de Félix pendant la guerre. Il a cependant pu les écouter pendant son enfance, après 1945 et le début des années 50.
Quelqu’un devrait dire deux mots au maire Labeaume. Il faut le ramener sur terre, brutalement. Il prend une tendance Jean Drapeauesque qui risque de coûter la peau des fesses aux Québécois.
La France a eu un Louis XIV qui l’a ruinée. Montréal, un Jean Drapeau qui a ruiné et Montréal et le Québec. Faut-il vraiment remettre ça avec un Régis Ier?
A quoi sert l’histoire si ses leçons sont perdues?
Bonjour à tous,
Point n’est besoin d’affirmer que cette étude commandée par la ville de Québec à ce psychanalyste de réputation internationale Monsieur Clothaire Rapaille s’avère plus que nécessaire pour se confronter au 21ème siècle ! Et Québec en a bien besoin ainsi que le Québec entier qui est aussi par la bande le miroir de la Vieille Capitale !
En effet, Monsieur Clothaire Rapaille doit sa réputation internationale sur cette assise indiscutable qu’il travaille avec la forte influence du plus grand des psychanalystes modernes soit cette sommité du nom de < Carl Gustav Jung > qui plus que tous les autres approfondit les recherches sur l’inconscient, sur les inconscients collectifs et les archétypes qui profilent les individus ainsi que les masses populaires dans un endroit donné. Et c’est strictement parce que Monsieur Clothaire Rapaille dont les travaux psychanalytiques reposent sur l’oeuvre de Carl Gustav Jung a atteint cette notoriété planétaire. Et que ceux qui en doute à en déchirer leur chemise auront certaines surprises en se regardant dans le miroir de cette étude.
Par ailleurs, Monsieur Clothaire Rapaille a beaucoup travaillé pour des multinationales sur le < coaching > qui se devaient d’identifier le profil des masses où elles avaient pignon sur rue en cernant l’inconscient collectif du lieu, et ainsi dégager une ligne directrice. Et que ceux encore qui en doute, n’oubliez pas que < les 36 cordes sensibles du Québécois ont été puisés dans les tréfonds de son inconscient collectif > et que tous les experts en marketing s’en servent de la plus joyeuse facon….
Finalement, en sondant le < profil reptilien > du Québécois, nous découvrirons les archétypes qui dorment dans son inconscient par < strates de populace > triées sur le volet par la Maison de Sondage Léger Marketing qui connait et de loin beaucoup plus les Québécois qu’ils se connaissent eux-mêmes. Et, en cernant le tout en départageant ce que les Québécois croient < être > en leur montrant plutôt ce qu’ils sont < dans la réalité > et comme dirait l’autre, le rêve est la < VOIE ROYALE > qui mène à l’inconscient et pas seulement pour l’individu. Merci, de Erwan Basque.
@ Sur l’«histoire» de Félix Leclerc: Jean-René Dufort, l’Infoman, en donnait ici les détails:
http://www.radio-canada.ca/audio-video/pop.shtml#urlMedia=http://www.radio-canada.ca/Medianet/2010/CBF/CestBienMeilleurLeMatin201002050815_1.asx
Et nous en avons également parlé, évidemment, lors de notre revue hebdomadaire de l’actualité à l’émission de Christiane Charette:
http://www.radio-canada.ca/emissions/christiane_charette/2009-2010/
Bonjour à tous,
Et par un heureux bouleversement des < perceptions > dans un futur assez près soit dans une Saint-Jean ou deux, quelle agréable surprise serait celle de voir les < vieilles souches jetées dans un immense feu de la Saint-Jean sur les Plaines d'Abraham pour la circonstance avec comme invité d'honneur Sir Paul McCartney qui dans cet évènement spécial d'un passage au 21ème siècle enlèverait la < ceinture fléchée > du Bonhomme Carnaval présent pour l’évènement en la jetant dans le feu de la Saint-Jean avec les vieilles souches > . Merci, de Erwan Basque.
Des supporters de Jung, Kropotkine, rassemblés autour d’un feu pour détruire dans un autodafé tous ces livres d’une science qualifiée par eux de science juive, cette appellation qui leur viendrait spontanément à l’esprit pour la décrire de la sorte. A-t-on besoin alors de rechercher des archétypes pour décrire de tels personnages. Il en est un fort simple, c’est celui de fachos.
Bravo à notre Infoman préféré, qui a déconstruit les propos du sieur Clotaire Rapaille à propos des chansons de Félix qui auraient bercé son enfance pendant la guerre, jusqu’à jouer un rôle substitutif à son absent de papa. Hum!
Après avoir écouté cet extrait, j’en déduis que le sieur a profondément besoin d’amour. 😉
Quant à nous, après autant de calembredaines, nos attentes sont élevées.
Et une chose est certaine, le maire Labeaume a le sens du spectaculaire.
Attention avant de conclure avec tant d’assurance que notre Maire dilapide futilement l’argent de ses commettants avec son mandat accordé à Rapaille…. Vous sous-estimez nettement sa clairvoyance !
Régis Labeaume est parfaitement conscient qu’au rythme où il entend exciser au scapel, un après l’autre, les attributs patrimoniaux restants de la Grande-allée et de la périphérie du Vieux-Québec pour faire place à une architecture flamboyante de gros projets au style Las Vegas, il deviendra indispensable de faire la promotion de Québec autrement, soit avec une »nouvelle image de marque » devant servir d’alternative à l’imagerie de bucolisme exceptionnel que le restant de la planète a développée autour de notre région depuis presque 2 siècles.
J’ai dit Las Vegas…. mais j’aurais pu aussi écrire Disneyland. Régis l’a bien exprimé en janvier dernier en parlant de la prochaine crotte – la seconde en 10 ans – que le promoteur JARO se prépare à nous planter à l’entrée de notre Carré d’Youville tri-centenaire : une oeuvre résolument » éclatée… »
Doit-on vraiment s’éclater n’importe-où et n’importe-quand… Pauvre petit roi, petit !
Bonsoir à tous,
Mais quelle est cette soudaine montée de lait, où devrais-je dire montée de fièvre Nationale de certains qui osent dans leur petitesse critiquer le maire Monsieur Régis Labeaume en le traitant < d'homme rapaillé > ? Ayant connu ce Monsieur Gaston Miron personnellement et pour qui j’ai toujours eu du respect malgré nos divergences d’opinions car et malgré les injures faciles qui discréditent le propos, j’affirme , je persiste et je signe que tu es un < homme > seulement en haut des épaules et ceux qui en pensent le contraire sont tout simplement insignifiants même en ayant un beau plumage, soit celui du verbiage et rien de plus et je signe Erwan Basque.
Pour ceux que la chose intéresse, la fameuse théorie de l’inconscient collectif, si cher à Carl Jung, est basée sur une fraude scientifique qui a été dénoncée vers la fin des années 1990 dans le Time ou le Newsweek, que je lisais à l’époque.
Comme trop de scientifiques qui sont convaincus d’avoir raison, sans preuves pour étayer leurs croyances, il a cédé à la tentation et a faussé ses travaux. Il n’est pas le premier.
L’inconscient collectif est aussi réel que la poudre de perlimpimpim.
M. Labeaume devrait apprendre à aimer et respecter le vieux Québec. C’est ce qui fait le charme de la Vieille capitale. Si on désire admirer du neuf, on peut aller ailleurs. On a l’embaras du choix. Pour voir du vieux charmant, enchanteur, on doit aller à Québec, à Montréal ou à Trois-Rivières. Il y a aussi la route 2, entre Québec et Montréal.
Le vieux, c’est bon!
Bonsoir à tous,
Et pour mettre < la nouvelle capitale > au monde, les hautes instances municipales de Québec ont su avec doigté faire appel à un expert des < profondeurs de la psyché > influencé par nul autre que ce cet illustre Carl Gustav Jung qui prit ses distances de Sigmond Freud pour constater avec la psychanalyse que l’environnement et le milieu ambiant avaient autant sinon plus d’impact sur l’individu que le noyau familial comme tel et c’est ainsi que Monsieur Jacques Bouchard a su fouiller l’inconscient collectif des Québécois pour en dégager les 36 cordes sensibles et encore merci à la psychanalyse qui sait bien fouiller dans les méandres de l’inconscient, soit d’une facon individuelle ou d’une facon collective soit par ce qu’on qualifie dans le jargon de < focus groups > , qui sont dans les faits des strates représentatives d’une population dans un lieu donné…..Merci, Erwan Basque.