En février, face aux allégations faites par le Parti québécois, et surtout, le député de Gouin, Nicolas Girard, sur la saga des garderies privées et du financement du PLQ, le ministre de la Famille, Tony Tomassi, avait traité de «racistes» les propos du PQ…
Et la semaine dernière, face à des nouvelles allégations sur de présumés travaux faits par le compagnie familiale pour une garderie privée, le ministre semblait encore une fois en faire une «affaire» d'attaques contre les «immigrants» en défendant l'honneur de son père, arrivé ici, encore tout jeune…
Ce penchant de M. Tomassi à voir du racisme ou des préjugés là où se posent plutôt de très sérieuses questions d'éthique est évidemment gênante. Très gênante. Pour lui et son gouvernement.
Mais il soulève également une question parente:
Le jour où Tony Tomassi sera appelé par Jean Charest à aller relever de «nouveaux défis», dans un autre ministère ou sur un joli banc arrière, demandera-t-il aussi alors à son propre premier ministre s'il le «tasse» pour cause de préjugés ou de racisme?
La question, bien sûr, étant purement ironique…
Cela étant dit, il est évident que faire de Tony Tomassi l'«agneau sacrificiel» de la saga des garderies privées et du financement politique, débarassera le gouvernement d'un de ses communicateurs les plus incompétents. Et du moment où même le président de l'Association des garderies privées demande crûment et très publiquement sa tête, le compte à rebours est de toute évidence commencé pour le ministre de la Famille.
(Mais ce qui, en passant, n'en ferait aucunement une «victime» de quoi que ce soit. Hormis peut-être de sa propre turpitude. Car de toute façon, les «bons soldats» savent toujours se sacrifier lorsqu'on leur demande de le faire et savent attendre le jour où leur «sacrifice» sera remercié d'une manière ou d'une autre. Donc, pas de «victime» réelle dans ce portrait.)
Le vrai problème, par contre, est que cette «mutation» éventuelle et inévitable, si vous me permettez de le rappeler, ne régléra absolument rien quant au fond du problème… Voir: http://www.voir.ca/blogs/jose_legault/archive/2010/04/27/avec-ou-sans-tony-tomassi.aspx
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@ Photo: Robert Mailloux, La Presse.
A quelques occasions, j’ai comparé Jean Charest à Rénald Paré, le gérant de Caisse Populaire de St-Léonard marié à Creton dans la Petite vie.
Claude Meunier, malgré son imagination débordante dans la comédie burlesque n’aurait jamais pu écrire la pitotoyable mise en scène dirigée par Jean Charest à l’Assemblée nationale du Québec ces derrnières années.
A quand un Métro-star pour Jean Charest?
L’ère du PQ nous a toujours donnée de la Politique de chialage, 250 millions pour la GASPÉSIA ou est allé cet argent et à qui, la MILDavie que le PQ a sauvé à plusieurs occasions avec notre argent, elle est ou cet argent maintenent???dans les poches des amis(es) Péquistes. Continuez à chialer les Péquistes et surtout à vous fermer les yeux.
Jean Pelletier est visiblement à court d’argument pour essayer de défendre l’indéfendable.
Là ce sont les libéraux qui magouillent depuis 2003. Il n’ya pas une semaine qui passe sans qu’on découvre des affaires qui ne sentent pas bon dans l’entourage de John Charest. On chialera contre les méchants péquisses quand ils seront au pouvoir.
Les garderies nous font oublier que calamité Charest a fait passé le contrôle de la Caisse en des mains étrangères: Alerte rouge
http://www.vigile.net/La-Caisse-Alerte-rouge
C’est bien connu, et le professeur Peter en a même fait un livre ayant eu un succès énorme, soit le fameux « Principe de Peter », chacun a tendance à se hisser jusqu’à son niveau d’incompétence.
Arrivé là, plus rien d’utile n’est accompli.
Et si les choses vont si souvent aussi mal un peu partout, c’est qu’il y a beaucoup d’incompétents en poste ici et ailleurs dans le monde. Des incompétents à pleins boisseaux…
Et, apparemment, M. Tomassi n’est qu’un autre navrant exemple de plafonnement professionnel…
Le problème avec Tomassi c’est Charest et le PLQ. On n’a pas à chercher plus loin, il est là !
Le PLQ est un parti en décomposition qui exulte de partout des matières putrides. Tomassi en est une. Bien sûr il y aura toujours des charognards qui chercheront à profiter de toutes ces émanations malodorantes, les petits amis du parti qui ont versé des sommes importantes pour avoir droit aux premières places et s’assurer ainsi de lécher le cadavre.
Il est grandement temps que les anticorps de notre société se mettent à l’œuvre pour nous débarrasser de ce corps nécrosé avant que la gangrène se propage encore plus.
Allez oust ! Dehors Tomassi et emportez avec vous le PLQ. Nous y gagnerons tous.
Personnellement, je serais curieux de connaître le nom du fonctionnaire qui a donné le feu vert à un entrepreneur qui avait perdu son permis, M. Tomassi. Comment peut-on contourner la loi si facilement au Québec?
S’agit-il du même fonctionnaire qui octroyait des contrats d’asphaltage à la compagnie ABC pour faire plaisir au ministre?
Il est grand temps de faire le ménage dans ce ministère de la corruption systématique.
La nomination de ce ministre, M. Tomassi, est pour le moins surprenante. Un incompétant de première classe. M. Charest à le don de faire de mauvais choix.
Il y aura beaucoup de pots cassés à recoller après son départ. Quelle catastrophe abulante que ce John James. On nous a bien eu.
Avec la bonne performance du Canadien dans les séries de la LNH, Jean Charest n’a plus rien à craindre de la grogne populaire, les partisans n’ont de yeux que pour le hockey.
C’est sans doute pourquoi tout le monde se fout éperdument qu’il se trouve dans une foire à Chicago ou que Tony Tomassy fasse parti d’un gang de rue de St-Léonard.
Regarder la photo de ce ministre ici-haut et vous avez l’image du PLQ dans son ensemble , un arrogant en cravate avec en prime un regard de victime des méchants racistes souverainistes .
A Monsieur Pelletier , soyez-sûr que nous continueront a chialer pendant que VOUS les » libérow » fermer les yeux et boucher votre petit nez volontairement !
@Monsieur Jean Pelletier
Nous ne sommes plus dans une situation «Parti Libéral» contre «Parti Québécois». Nous sommes dans une situation «Population» contre «Classe politique».
Alors s’il-vous-plaît, arrêtez de nuire au débat en ramenant ce qui se passe à de viles querelles de parti.