Fêtons le Québec ensemble – notre coeur, notre raison, notre passion d'être et de tenir le coup encore et encore!
Et avec une pensée toute spéciale, aimante et reconnaissante pour Pierre Falardeau, Bruno Roy et Michel Chartrand…
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20 commentaires
Vu hier soir sur le site des célébrations, Mme Marois faisant la queue pour aller se soulager dans une toilette portable et buvant une bière à même la bouteille. Elle fait vraiment partie du peuple….
Bonne fête à tous les Québécois francophones et à ceux qui veulent le devenir en apprenant et en se servant de la langue française au Québec.
Une pensée particulière à Mme Marois, qui tire bien son épingle du jeu, et au PQ, attaqués par les fédéralistes et même, par les souverainistes purs et plus pressés que la majorité et par les 3 belles-mères, Messieurs Parizeau, Bouchard et Landry qui, tous ensemble, devraient continuer de donner un coup de main au parti à la place de le critiquer jusque dans les journaux de Toronto et sur la place publique. Ils pourraient le faire en privé et/ou à l’intérieur du parti, pour mieux faire passer leurs idées qui n’ont pas toujours été infaillibles dans le passé.
Nos 3 belles-mères ne se rendent pas compte qu’ils nuisent à leur cause à moins qu’ils préparent un « putch » du chef, chose très prisée au PQ..
On met le doigt directement sur le bobo; dans ce vidéo on appelle un chat, un chat. On y chante tout haut, ce qu’on pense tout bas quand on entend les Québecois applaudir à la Fête nationale lorqu’on parle d’indépendance.
Bonne fête nationale du Québec.
Voilà une belle journée pour démontrer que le peuple québecois est aussi patriotique envers le Québec que les Canadiens le sont envers le Canada.
Longue vie au peuple québecois dont sa culture, sa langue et ses spécificités font l’envie du monde entier et ce qui nous distingue du reste de l’amérique du nord.
Bonne fêtes à tous les Québécois!
Etant un souverainiste convaincu depuis des décennies j’ai de moins en moins le cœur a la fête depuis le dernier référendum de 95. Ce matin en ouvrant mon ordi je vois une photo de la foule des Plaines D’Abraham drapeau du Québec en main fêter la Saint-Jean. J’imagine un instant que la majorité de cette même foule de la ville de Québec voteront soit pour le PLQ ou l’ADQ aux prochaines élections. Cette même région dont le » Non » au dernier référendum a été très populaire.
Je regarde aussi le nom de quelques artistes présent à cette fête. Des Xavier Caféine, Vincent Vallière ou Annie Villeneuve, RIEN pour faire vibrer la cause d’un Québec affranchi et souverain avec eux n’est-ce pas ! Bien sûr la fête de la Saint-Jean est pour tout les Québécois diront les fédéralistes et les souverainiste-fédéraliste –francophones-canadien-français –autonomiste et pour un Québec indépendant dans un Canada Unis ! On connaît la chanson ! Faut pas trop faire vibrer son appui a la souveraineté de peur de déplaire aux francophobes du Québec et de se faire faire les gros yeux par les maitres anglo-saxon du ROC !
Je regarde les sondages, 15 ans après le dernier référendum et je me rends compte que la » cause » semble sur le respirateur artificiel, qu’après les boomers les mêmes Vincent Vallière et Annie Villeneuve chanteront tout simplement en anglais. Que la majorité des X auront des enfants a l’école anglaise et seront très heureux de les entendent parler anglais entre-eux .
J’entends les Parizeau et Marois s’obstiner sur une stratégie souverainiste seulement à cause de l’indifférence, de la peur et l’individualisme d’une population qui ne pense qu’a l’économie, la LEUR par celle des autres évidemment. Je vois le parti politique du Québec le plus corrompu de notre histoire être encore vivant et ayant encore des chances de revenir au pouvoir ( avec ou sans Charest ) car notre peuple a tendance à oublier de façon pathologique.
Aux prochaines élections fédérales le BLOC continuera d’avoir un grand succès car le bon peuple se sert de l’élection fédérale pour se déculpabiliser de ne pas avoir le courage de voter très majoritairement souverainiste aux élections provinciales. La thérapie idéale pour les pas de courage.
Je ne fêterai pas la Saint-Jean, je ne regarde plus le spectacle de Montréal et celui de Québec. Par contre je voterai pour le PQ jusqu’à ma mort et je voterai OUI à un autre ou deux autres référendums sur la souveraineté. Mon geste sera beaucoup plus important que de se promener avec le drapeau du Québec le 24 juin et celui du Canada la semaine suivante.
Fêter quoi au juste ?
Bonne fête nationale à tout le monde! Amusez-vous comme des fous!
Merci Mme Breault pour votre lien 😉
Collectivement nous existons de moins en moins puisque le Québec en tant qu’ensemble me semble se composer davantage de consommateurs que de concitoyens.
Les mots consommateurs et concitoyens, s’ils partagent le même préfixe, mènent à une finalité on ne peut plus opposée…
Au Québec il y a trop de kiwis et pas assez d’hommes.
Objecteur conscient a raison d’écrire : «le Québec en tant qu’ensemble me semble se composer davantage de consommateurs que de concitoyens »
Le Québécois se trouve bien balancé avec le coeur à gauche, la poche à droite et le vote au centre, entre la chèvre et le chou.
M. Asselin a raison, c’est bien beau de vibrer mais c’est plus efficace de voter correctement, ce qu’il a fait et fera. Bravo pour la persévérance !
Bonne St-Jean à tous les Québécois.
Ai regardé et écouté RBO. Très souvent, les artistes voient plus claire que les politologues.
Merci pour ce rappel.
À chaque année c’est la même maudite affaire! Le soir du 23 juin sur les Plaines, c’est le spectacle désolant du festival du colon intoxiqué. Intoxiqué par l’alcool ou par les cochonneries achetées à un petit con de revendeur des motards ou des gangs de rue, ou intoxiqué par les deux à la fois. Des jeunes avec l’air absent et euphorique de ceux qui ont trop consommé d’alcool ou de cochonneries et qui souhaitent « bonne St-Jean » à tous ceux qui passent devant eux un peu comme les employés des commerces souhaitent « Joyeux Noël » aux clients, machinalement, par réflexe, par habitude ou par conditionnement, sans trop avoir l’air de savoir ce qu’ils souhaitent exactement.
La dernière fois que je suis allé au spectacle sur les Plaines, le 23 juin 2008, après avoir traversé la masse de jeunes intoxiqués, je me suis retrouvé au milieu de personnes qui ne prêtaient pas la moindre attention à ce qui se passait sur la scène, qu’il s’agisse de la petite leçon d’histoire donnée par Guillaume Lemay-Thivierge, du discours à la gloire de la langue française prononcé par Guylaine Tremblay ou des chansons des artistes invités. Comme au spectacle de Sting au Festival d’été 2009, on aurait dit que beaucoup de monde était là pour pouvoir dire qu’ils étaient là plutôt que pour assister à un spectacle.
À la fin du spectacle, nouvelle traversée de la masse d’intoxiqués. À la sortie, au milieu d’une foule très nombreuse et très compacte, je me suis retrouvé devant un jeune que le trop plein d’alcool ou de cochonneries rendait agressif et menaçant chaque fois que quelqu’un se poussait contre lui ou qu’il se cognait à quelqu’un d’autre. Si ce n’avait été d’un de ses amis, plus sobre celui-là, pour le calmer, il aurait probablement fini par frapper quelqu’un.
Passé la sortie, en montant la petite côte qui mène au jardin Jeanne d’Arc, une jeune femme étendue par terre, entourée de ses amis, et qui criait d’une voix plaintive « chus pu capable ». Probablement le résultat pas surprenant d’un mélange d’alcool et de drogues, question de faire un plus gros « party ». Je suis passé à une dizaine de mètres de cette scène pitoyable en espérant qu’un de ses « amis », peut-être le petit crétin qui lui a fourni la cochonnerie, était allé chercher des secours pour amener cette jeune femme à l’hôpital.
Ensuite, passage dans la petite rue à côté du Concorde, celle où se trouve la statue du Général de Gaulle. Encore un paquet d’adolescents et de jeunes adultes surexcités et/ou intoxiqués qui vont et viennent dans les rues avoisinantes des Plaines en gesticulant, en criant et en brandissant des drapeaux du Québec ou des Patriotes. La seule bonne note que je donne à tous ces petits et grands imbéciles qui nous font honte à chaque Fête nationale, c’est que malgré leur état d’ébriété, ils sont encore capables d’exercer un contrôle minimal d’eux-mêmes, car il y a des villes ailleurs dans le monde où les morts se compteraient par dizaines dans un tel attroupement de personnes ivres.
Ceci dit, toutes les St-Jean sur les Plaines ne se passent pas sans incident dramatique. En 2009, un jeune imbibé d’alcool s’est tué en tombant du toit où il était monté pour mieux voir le spectacle. Le mort de la St-Jean le plus mémorable des 20 dernières années est ce drogué qui se prenait pour Jésus et qui a voulu marcher sur le feu de la St-Jean. J’ai lu que ses amis l’avaient rattrapé à temps à ses tentatives précédentes de démontrer sa nature divine en marchant sur les flammes.
Le triste spectacle de la foule sur les Plaines le soir de la St-Jean fait tellement honte à voir pour l’indépendantiste que je suis que je me demande comment se fait-il que les fédéralistes n’en ont pas encore fait un documentaire à diffuser en boucle à heure de grande écoute. Le message sous-entendu de ce documentaire serait « imaginez un pays avec ces idiots-là ». Charest et sa bande de petites crapules seraient réélus pour les 20 prochaines années.
Le lendemain, à la radio de la SRC, après une brève mention du spectacle et quelques commentaires sur la prestation des artistes invités, on passe rapidement au bilan des incidents déplorables et des arrestations. Et on tape sur ce clou toute la journée à chaque bulletin de nouvelles.
Une semaine plus tard à la Fête du Canada, on a un tout autre traitement. La radio de la SRC nous sert une émission en direct de la capitale nationale (comprendre « Ottawa ») où on nous rapporte le déroulement de cérémonies solennelles empreintes de dignité et de respectabilité : relève de la garde du Parlement, revue des troupes par la Gouverneure générale, reportages sur les institutions canadiennes où leur dignité et leur respectabilité sont mises en valeur, etc. L’an dernier, en 2009, nous avons même eu droit à un reportage sur une dame originaire du Rwanda qui allait recevoir sa citoyenneté canadienne l’après-midi même lors d’une cérémonie présidée par la Gouverneure générale. De toute évidence, la future citoyenne avait très bien apprise la cassette du parti, répétant régulièrement qu’au Canada, avec sa citoyenneté, elle et ses enfants sont des personnes au sens de la loi. Allusion même pas subtile à la Charte des droits et libertés de la personne. La même charte qui a servi à démanteler la loi 101 article par article, gracieuseté de la ténacité de Brent Tyler entre autres. Je me demande si on en fait autant à la radio anglaise de la CBC pour mousser le Canada et l’identité canadienne.
Le soir du 1er juillet, on diffuse en direct à la télévision et à la radio le spectacle de la Fête du Canada. Il y a deux ou trois ans au réseau français de la télévision de la SRC, on a surtout montré les artistes francophones. Ce qui a fait dire à une de mes proches qui connaît très bien le Canada-anglais pour y avoir grandit que c’était vraisemblablement un choix éditorial car les artistes francophones n’ont probablement pas autant de place pendant le spectacle à Ottawa.
Et le 2 juillet, est-ce qu’on nous parle des débordements et est-ce qu’on nous fait le bilan des arrestations des Canadiens qui ne savent pas se contrôler parce qu’ils sont trop éméchés? Non, rien. Déjà le lendemain, on ne parle plus du 1er juillet. On pourrait facilement croire que la fête du Canada à Ottawa s’est passée sans débordements et que les Canadiens sont des gens polis et bien élevés qui savent célébrer leur pays sans sombrer dans les excès de toutes sortes, contrairement à ces Québécois qui ne savent pas se tenir le soir de la St-Jean. Pourtant, quiconque a vécu à Hull sait très bien comment se comportent les anglais ivres quand ils viennent poursuivre leur beuverie de notre côté de la rivière des Outaouais.
On parie combien que ça sera encore le même traitement médiatique cette année?
Florent Marquis
Québec
C’est le temps de fêter en tant que peuple québécois, dans le respect et la non-violence ! Soyons fière de nos origines !
Excellente analyse M. Marquis, et combien juste sur le comportement des Ontariens qui vennaient se saouler la gueule au Québec. Le Québec était pour eux l’équivalent de l’Afrique pour les colonisateurs : tout est permis. Nous ne sommes plus en pays civilisé. Allez-y! Cassez tout! Si ça vous chante.
Radio-Canada n’est plus la radio d’état mais bien la radio\télé du gouvernement. La Crise d’octobre a bousculée bien des notions de justice et d’équité. Comme l’a si bien dit M. Jean Pelletier : » Nous étions en guerre. » J’ajoute, nous le sommes toujours.
Parlant de guerre. Les soldats Américains se plaignent que le haut commandement les force à respecter les droits des civils dans les combats contre les Talibans. Cette politique met d’avantage à risque la vie des soldats. Il est plus prudent de tirer dans le tas, sans discriminations, que de bien juger sur qui l’on tire.
Ottawa non plus ne fait pas dans la dentelle. La propagande se moque de la vérité équilibrée. Au Québec, on est des barbares, en Ontario on sait vivre. On oublie facilement que des milliers de Québécois et de Franco-Ontariens fêtent aussi la Confédération à Ottawa. Quels sales hypocrites.
Fête nationale ne signifie pas célébration infinie. Lu les opinions pessimistes comme les messages de joyeuse fête nationale.
Ce qu’on peut fêter c’est la survie des descendants de la Nouvelle France depuis 1763, on peut fêter le pays existant de facto. Il est vrai toutefois que la célébration d’un peuple nié par la constitution canadienne limité à son statut de province dont la survie ne tient plus à la seule démographie mais à une immigration incertaine. Célébrer la fête nationale du Québec c’est un phénomène relatif dans ces conditions.
Sans doute que la propension au pessimisme relève partiellement aussi de nos personnalités mais là..
F.Marquis, bien décrit par vous. Les concerts extérieurs sont propices aux beuveries et au placotage d’amis se foutant du spectacle rien de nouveau là dedans. Le festival d’Été de Québec payant permet les mêmes tendances. Présent à Québec pour le festival 2009, pendant la soirée de spectacle de L.Mackennit et de Claire Pelletier on entendait beaucoup de jacasserie.
Quant à Radio Canada, le réseau d’après son ombudsman prétendu indépendant ne serait que public et ne serait pas redevable de sa source de financement fédéral. En s’intéressant au protocole pendant la fête du Canada, le réseau SRC prouve son affiliation et par bien d’autres choses encore.
Joyeuses célébrations malgré tout provenant d’une sorte de bougon!
Bonne Saint-Jean-Baptiste a vous, Madame Legault !
Bonne fête nationale.
Alors que s’amorce à Toronto le Sommet des dirigeants du G-8 et du G-20, au Québec le sommeil du G-oublié de Jean Charest tire-il à sa fin.
Advenant un conflit syndical dans le secteur de la construction, l’opération marteau et une enquête publique dans ce domaine sont elles compromises avant d’avoir vu le jours?
Bonne Fête, Québécois!
Québécois, vous avez le droit de conserver votre identité francophone et de culture chrétienne. Vous avez le droit d’être différents des autres peuples, ni meilleurs ni pires, comme tous les autres pays ou nations qui ont des langues et des cultures qui leur sont propres. Vous avez le droit de célébrer ce que vous êtes. (Le terme Québécois inclut ici tous les néo-Québécois qui veulent s’intégrer à la majorité québécoise.)
Le Québec n’est pas un petit pays. Mais il compte trop de dépendantistes et de peureux qui devraient s’ouvrir les yeux et le cœur à leur vrai pays, le Québec.
En 2006, le PIB du Québec s’élevait à 230,6 milliards de $ US, soit 19,7 % du PIB canadien. En 2006, l’État du Québec se situait ainsi au 22e rang dans monde quant à son produit intérieur brut (PIB) par habitant de 30 143 $ US, derrière Singapour et la France, mais devant l’Italie et l’Espagne. Sur le plan de la superficie de son territoire (1 667 441 km2), le Québec souverain se placerait au 18e rang dans le monde et, en regard de la population (7 651 531 habitants), il se situerait au 94e rang. Dans le même peloton que plusieurs pays européens de taille comparable (Norvège, Danemark, Suède, Suisse, Irlande, etc). Cela malgré le fait que nous n’ayons pas le plein contrôle de nos impôts, et malgré l’histoire séculaire d’un Québec rapetissé par les politiciens fédéraux.
On n’est pas né pour un petit pain, on est capable. Malgré les entraves d’Ottawa, nous avons réussi à nous imposer dans plusieurs domaines dans le monde. Il est temps que le Québec soit le maître de son avenir. Nous avons pleinement le droit d’être ce que nous sommes. Il faut faire la souveraineté du Québec.
À en croire certains, il faudrait ne plus fêter massivement la Saint-Jean de peur que quelques éléments isolés ne viennent troubler la fête. Cette problématique puritaine, je la laisse aux supporters de la fête du Canada. Qu’ils se fassent le plus discret possible, presque absents tant qu’à suivre cette logique et que grand bien leur fasse. Même si des éléments perturbateurs se mêlent forcément à toute manifestation de masse, je demeure convaincu qu’il faut fêter haut et fort la Saint-Jean. Le programme de ces fêtes fera forcément des mécontents. Comment pourrait-il en être autrement ! Mais il y aura toujours au travers des moments forts susceptibles de marquer l’imaginaire et d’aller dans le sens d’une affirmation plus grande du Québec et des Québécois. Bonne fête nationale à tous.
Il est quand même très divertissant de voir les Québécois célébrer le Québec en faisant aller leurs petits drapeaux, assis sur leur caisse de 24. On voit partout les petites fêtes de quartiers avec des chansons, de la bière et du « popcorn ». La soit disant fête de la Saint-Jean Baptiste ressemble davantage à un festival du multiculturalisme. On voit tous ces « Québécois » faire aller leurs petits drapeaux le 24 juin et une fois le festival terminé, tout le monde se dépêche à aller les cacher. Pendant ce temps, tous les ghettos de Montréal n’ont aucune gène à afficher les drapeaux de leur pays, et ce, pendant des semaines et même toute l’année (les Italiens par exemple et bien d’autres). Qu’on arrête de nous prendre pour des caves avec un festival de la confusion qui esasaie de nous endormir. Quant à subir l’hypocrisie par cette fausse fête nationale, il vaudrait mieux célébrer exclusivement le Canada multilingue, multiculturel, multiconfusionnel et multiconflictuel, car, cette situation reflète bien mieux notre triste réalité.
Vu hier soir sur le site des célébrations, Mme Marois faisant la queue pour aller se soulager dans une toilette portable et buvant une bière à même la bouteille. Elle fait vraiment partie du peuple….
Bonne fête à tous les Québécois francophones et à ceux qui veulent le devenir en apprenant et en se servant de la langue française au Québec.
Une pensée particulière à Mme Marois, qui tire bien son épingle du jeu, et au PQ, attaqués par les fédéralistes et même, par les souverainistes purs et plus pressés que la majorité et par les 3 belles-mères, Messieurs Parizeau, Bouchard et Landry qui, tous ensemble, devraient continuer de donner un coup de main au parti à la place de le critiquer jusque dans les journaux de Toronto et sur la place publique. Ils pourraient le faire en privé et/ou à l’intérieur du parti, pour mieux faire passer leurs idées qui n’ont pas toujours été infaillibles dans le passé.
Nos 3 belles-mères ne se rendent pas compte qu’ils nuisent à leur cause à moins qu’ils préparent un « putch » du chef, chose très prisée au PQ..
Bonne fête également Mme Legault. Ça vaut le coup de visiter ce site: http://pourquedemainsoit.wordpress.com/2010/06/23/fier-detre-quebecois/#comment-4319
On met le doigt directement sur le bobo; dans ce vidéo on appelle un chat, un chat. On y chante tout haut, ce qu’on pense tout bas quand on entend les Québecois applaudir à la Fête nationale lorqu’on parle d’indépendance.
Bonne fête nationale du Québec.
Voilà une belle journée pour démontrer que le peuple québecois est aussi patriotique envers le Québec que les Canadiens le sont envers le Canada.
Longue vie au peuple québecois dont sa culture, sa langue et ses spécificités font l’envie du monde entier et ce qui nous distingue du reste de l’amérique du nord.
Bonne fêtes à tous les Québécois!
Etant un souverainiste convaincu depuis des décennies j’ai de moins en moins le cœur a la fête depuis le dernier référendum de 95. Ce matin en ouvrant mon ordi je vois une photo de la foule des Plaines D’Abraham drapeau du Québec en main fêter la Saint-Jean. J’imagine un instant que la majorité de cette même foule de la ville de Québec voteront soit pour le PLQ ou l’ADQ aux prochaines élections. Cette même région dont le » Non » au dernier référendum a été très populaire.
Je regarde aussi le nom de quelques artistes présent à cette fête. Des Xavier Caféine, Vincent Vallière ou Annie Villeneuve, RIEN pour faire vibrer la cause d’un Québec affranchi et souverain avec eux n’est-ce pas ! Bien sûr la fête de la Saint-Jean est pour tout les Québécois diront les fédéralistes et les souverainiste-fédéraliste –francophones-canadien-français –autonomiste et pour un Québec indépendant dans un Canada Unis ! On connaît la chanson ! Faut pas trop faire vibrer son appui a la souveraineté de peur de déplaire aux francophobes du Québec et de se faire faire les gros yeux par les maitres anglo-saxon du ROC !
Je regarde les sondages, 15 ans après le dernier référendum et je me rends compte que la » cause » semble sur le respirateur artificiel, qu’après les boomers les mêmes Vincent Vallière et Annie Villeneuve chanteront tout simplement en anglais. Que la majorité des X auront des enfants a l’école anglaise et seront très heureux de les entendent parler anglais entre-eux .
J’entends les Parizeau et Marois s’obstiner sur une stratégie souverainiste seulement à cause de l’indifférence, de la peur et l’individualisme d’une population qui ne pense qu’a l’économie, la LEUR par celle des autres évidemment. Je vois le parti politique du Québec le plus corrompu de notre histoire être encore vivant et ayant encore des chances de revenir au pouvoir ( avec ou sans Charest ) car notre peuple a tendance à oublier de façon pathologique.
Aux prochaines élections fédérales le BLOC continuera d’avoir un grand succès car le bon peuple se sert de l’élection fédérale pour se déculpabiliser de ne pas avoir le courage de voter très majoritairement souverainiste aux élections provinciales. La thérapie idéale pour les pas de courage.
Je ne fêterai pas la Saint-Jean, je ne regarde plus le spectacle de Montréal et celui de Québec. Par contre je voterai pour le PQ jusqu’à ma mort et je voterai OUI à un autre ou deux autres référendums sur la souveraineté. Mon geste sera beaucoup plus important que de se promener avec le drapeau du Québec le 24 juin et celui du Canada la semaine suivante.
Fêter quoi au juste ?
Bonne fête nationale à tout le monde! Amusez-vous comme des fous!
Merci Mme Breault pour votre lien 😉
Collectivement nous existons de moins en moins puisque le Québec en tant qu’ensemble me semble se composer davantage de consommateurs que de concitoyens.
Les mots consommateurs et concitoyens, s’ils partagent le même préfixe, mènent à une finalité on ne peut plus opposée…
Au Québec il y a trop de kiwis et pas assez d’hommes.
Objecteur conscient a raison d’écrire : «le Québec en tant qu’ensemble me semble se composer davantage de consommateurs que de concitoyens »
Le Québécois se trouve bien balancé avec le coeur à gauche, la poche à droite et le vote au centre, entre la chèvre et le chou.
M. Asselin a raison, c’est bien beau de vibrer mais c’est plus efficace de voter correctement, ce qu’il a fait et fera. Bravo pour la persévérance !
Bonne St-Jean à tous les Québécois.
Ai regardé et écouté RBO. Très souvent, les artistes voient plus claire que les politologues.
Merci pour ce rappel.
À chaque année c’est la même maudite affaire! Le soir du 23 juin sur les Plaines, c’est le spectacle désolant du festival du colon intoxiqué. Intoxiqué par l’alcool ou par les cochonneries achetées à un petit con de revendeur des motards ou des gangs de rue, ou intoxiqué par les deux à la fois. Des jeunes avec l’air absent et euphorique de ceux qui ont trop consommé d’alcool ou de cochonneries et qui souhaitent « bonne St-Jean » à tous ceux qui passent devant eux un peu comme les employés des commerces souhaitent « Joyeux Noël » aux clients, machinalement, par réflexe, par habitude ou par conditionnement, sans trop avoir l’air de savoir ce qu’ils souhaitent exactement.
La dernière fois que je suis allé au spectacle sur les Plaines, le 23 juin 2008, après avoir traversé la masse de jeunes intoxiqués, je me suis retrouvé au milieu de personnes qui ne prêtaient pas la moindre attention à ce qui se passait sur la scène, qu’il s’agisse de la petite leçon d’histoire donnée par Guillaume Lemay-Thivierge, du discours à la gloire de la langue française prononcé par Guylaine Tremblay ou des chansons des artistes invités. Comme au spectacle de Sting au Festival d’été 2009, on aurait dit que beaucoup de monde était là pour pouvoir dire qu’ils étaient là plutôt que pour assister à un spectacle.
À la fin du spectacle, nouvelle traversée de la masse d’intoxiqués. À la sortie, au milieu d’une foule très nombreuse et très compacte, je me suis retrouvé devant un jeune que le trop plein d’alcool ou de cochonneries rendait agressif et menaçant chaque fois que quelqu’un se poussait contre lui ou qu’il se cognait à quelqu’un d’autre. Si ce n’avait été d’un de ses amis, plus sobre celui-là, pour le calmer, il aurait probablement fini par frapper quelqu’un.
Passé la sortie, en montant la petite côte qui mène au jardin Jeanne d’Arc, une jeune femme étendue par terre, entourée de ses amis, et qui criait d’une voix plaintive « chus pu capable ». Probablement le résultat pas surprenant d’un mélange d’alcool et de drogues, question de faire un plus gros « party ». Je suis passé à une dizaine de mètres de cette scène pitoyable en espérant qu’un de ses « amis », peut-être le petit crétin qui lui a fourni la cochonnerie, était allé chercher des secours pour amener cette jeune femme à l’hôpital.
Ensuite, passage dans la petite rue à côté du Concorde, celle où se trouve la statue du Général de Gaulle. Encore un paquet d’adolescents et de jeunes adultes surexcités et/ou intoxiqués qui vont et viennent dans les rues avoisinantes des Plaines en gesticulant, en criant et en brandissant des drapeaux du Québec ou des Patriotes. La seule bonne note que je donne à tous ces petits et grands imbéciles qui nous font honte à chaque Fête nationale, c’est que malgré leur état d’ébriété, ils sont encore capables d’exercer un contrôle minimal d’eux-mêmes, car il y a des villes ailleurs dans le monde où les morts se compteraient par dizaines dans un tel attroupement de personnes ivres.
Ceci dit, toutes les St-Jean sur les Plaines ne se passent pas sans incident dramatique. En 2009, un jeune imbibé d’alcool s’est tué en tombant du toit où il était monté pour mieux voir le spectacle. Le mort de la St-Jean le plus mémorable des 20 dernières années est ce drogué qui se prenait pour Jésus et qui a voulu marcher sur le feu de la St-Jean. J’ai lu que ses amis l’avaient rattrapé à temps à ses tentatives précédentes de démontrer sa nature divine en marchant sur les flammes.
Le triste spectacle de la foule sur les Plaines le soir de la St-Jean fait tellement honte à voir pour l’indépendantiste que je suis que je me demande comment se fait-il que les fédéralistes n’en ont pas encore fait un documentaire à diffuser en boucle à heure de grande écoute. Le message sous-entendu de ce documentaire serait « imaginez un pays avec ces idiots-là ». Charest et sa bande de petites crapules seraient réélus pour les 20 prochaines années.
Le lendemain, à la radio de la SRC, après une brève mention du spectacle et quelques commentaires sur la prestation des artistes invités, on passe rapidement au bilan des incidents déplorables et des arrestations. Et on tape sur ce clou toute la journée à chaque bulletin de nouvelles.
Une semaine plus tard à la Fête du Canada, on a un tout autre traitement. La radio de la SRC nous sert une émission en direct de la capitale nationale (comprendre « Ottawa ») où on nous rapporte le déroulement de cérémonies solennelles empreintes de dignité et de respectabilité : relève de la garde du Parlement, revue des troupes par la Gouverneure générale, reportages sur les institutions canadiennes où leur dignité et leur respectabilité sont mises en valeur, etc. L’an dernier, en 2009, nous avons même eu droit à un reportage sur une dame originaire du Rwanda qui allait recevoir sa citoyenneté canadienne l’après-midi même lors d’une cérémonie présidée par la Gouverneure générale. De toute évidence, la future citoyenne avait très bien apprise la cassette du parti, répétant régulièrement qu’au Canada, avec sa citoyenneté, elle et ses enfants sont des personnes au sens de la loi. Allusion même pas subtile à la Charte des droits et libertés de la personne. La même charte qui a servi à démanteler la loi 101 article par article, gracieuseté de la ténacité de Brent Tyler entre autres. Je me demande si on en fait autant à la radio anglaise de la CBC pour mousser le Canada et l’identité canadienne.
Le soir du 1er juillet, on diffuse en direct à la télévision et à la radio le spectacle de la Fête du Canada. Il y a deux ou trois ans au réseau français de la télévision de la SRC, on a surtout montré les artistes francophones. Ce qui a fait dire à une de mes proches qui connaît très bien le Canada-anglais pour y avoir grandit que c’était vraisemblablement un choix éditorial car les artistes francophones n’ont probablement pas autant de place pendant le spectacle à Ottawa.
Et le 2 juillet, est-ce qu’on nous parle des débordements et est-ce qu’on nous fait le bilan des arrestations des Canadiens qui ne savent pas se contrôler parce qu’ils sont trop éméchés? Non, rien. Déjà le lendemain, on ne parle plus du 1er juillet. On pourrait facilement croire que la fête du Canada à Ottawa s’est passée sans débordements et que les Canadiens sont des gens polis et bien élevés qui savent célébrer leur pays sans sombrer dans les excès de toutes sortes, contrairement à ces Québécois qui ne savent pas se tenir le soir de la St-Jean. Pourtant, quiconque a vécu à Hull sait très bien comment se comportent les anglais ivres quand ils viennent poursuivre leur beuverie de notre côté de la rivière des Outaouais.
On parie combien que ça sera encore le même traitement médiatique cette année?
Florent Marquis
Québec
C’est le temps de fêter en tant que peuple québécois, dans le respect et la non-violence ! Soyons fière de nos origines !
Excellente analyse M. Marquis, et combien juste sur le comportement des Ontariens qui vennaient se saouler la gueule au Québec. Le Québec était pour eux l’équivalent de l’Afrique pour les colonisateurs : tout est permis. Nous ne sommes plus en pays civilisé. Allez-y! Cassez tout! Si ça vous chante.
Radio-Canada n’est plus la radio d’état mais bien la radio\télé du gouvernement. La Crise d’octobre a bousculée bien des notions de justice et d’équité. Comme l’a si bien dit M. Jean Pelletier : » Nous étions en guerre. » J’ajoute, nous le sommes toujours.
Parlant de guerre. Les soldats Américains se plaignent que le haut commandement les force à respecter les droits des civils dans les combats contre les Talibans. Cette politique met d’avantage à risque la vie des soldats. Il est plus prudent de tirer dans le tas, sans discriminations, que de bien juger sur qui l’on tire.
Ottawa non plus ne fait pas dans la dentelle. La propagande se moque de la vérité équilibrée. Au Québec, on est des barbares, en Ontario on sait vivre. On oublie facilement que des milliers de Québécois et de Franco-Ontariens fêtent aussi la Confédération à Ottawa. Quels sales hypocrites.
Fête nationale ne signifie pas célébration infinie. Lu les opinions pessimistes comme les messages de joyeuse fête nationale.
Ce qu’on peut fêter c’est la survie des descendants de la Nouvelle France depuis 1763, on peut fêter le pays existant de facto. Il est vrai toutefois que la célébration d’un peuple nié par la constitution canadienne limité à son statut de province dont la survie ne tient plus à la seule démographie mais à une immigration incertaine. Célébrer la fête nationale du Québec c’est un phénomène relatif dans ces conditions.
Sans doute que la propension au pessimisme relève partiellement aussi de nos personnalités mais là..
F.Marquis, bien décrit par vous. Les concerts extérieurs sont propices aux beuveries et au placotage d’amis se foutant du spectacle rien de nouveau là dedans. Le festival d’Été de Québec payant permet les mêmes tendances. Présent à Québec pour le festival 2009, pendant la soirée de spectacle de L.Mackennit et de Claire Pelletier on entendait beaucoup de jacasserie.
Quant à Radio Canada, le réseau d’après son ombudsman prétendu indépendant ne serait que public et ne serait pas redevable de sa source de financement fédéral. En s’intéressant au protocole pendant la fête du Canada, le réseau SRC prouve son affiliation et par bien d’autres choses encore.
Joyeuses célébrations malgré tout provenant d’une sorte de bougon!
Bonne Saint-Jean-Baptiste a vous, Madame Legault !
Bonne fête nationale.
Alors que s’amorce à Toronto le Sommet des dirigeants du G-8 et du G-20, au Québec le sommeil du G-oublié de Jean Charest tire-il à sa fin.
Advenant un conflit syndical dans le secteur de la construction, l’opération marteau et une enquête publique dans ce domaine sont elles compromises avant d’avoir vu le jours?
Bonne Fête, Québécois!
Québécois, vous avez le droit de conserver votre identité francophone et de culture chrétienne. Vous avez le droit d’être différents des autres peuples, ni meilleurs ni pires, comme tous les autres pays ou nations qui ont des langues et des cultures qui leur sont propres. Vous avez le droit de célébrer ce que vous êtes. (Le terme Québécois inclut ici tous les néo-Québécois qui veulent s’intégrer à la majorité québécoise.)
Le Québec n’est pas un petit pays. Mais il compte trop de dépendantistes et de peureux qui devraient s’ouvrir les yeux et le cœur à leur vrai pays, le Québec.
En 2006, le PIB du Québec s’élevait à 230,6 milliards de $ US, soit 19,7 % du PIB canadien. En 2006, l’État du Québec se situait ainsi au 22e rang dans monde quant à son produit intérieur brut (PIB) par habitant de 30 143 $ US, derrière Singapour et la France, mais devant l’Italie et l’Espagne. Sur le plan de la superficie de son territoire (1 667 441 km2), le Québec souverain se placerait au 18e rang dans le monde et, en regard de la population (7 651 531 habitants), il se situerait au 94e rang. Dans le même peloton que plusieurs pays européens de taille comparable (Norvège, Danemark, Suède, Suisse, Irlande, etc). Cela malgré le fait que nous n’ayons pas le plein contrôle de nos impôts, et malgré l’histoire séculaire d’un Québec rapetissé par les politiciens fédéraux.
On n’est pas né pour un petit pain, on est capable. Malgré les entraves d’Ottawa, nous avons réussi à nous imposer dans plusieurs domaines dans le monde. Il est temps que le Québec soit le maître de son avenir. Nous avons pleinement le droit d’être ce que nous sommes. Il faut faire la souveraineté du Québec.
À en croire certains, il faudrait ne plus fêter massivement la Saint-Jean de peur que quelques éléments isolés ne viennent troubler la fête. Cette problématique puritaine, je la laisse aux supporters de la fête du Canada. Qu’ils se fassent le plus discret possible, presque absents tant qu’à suivre cette logique et que grand bien leur fasse. Même si des éléments perturbateurs se mêlent forcément à toute manifestation de masse, je demeure convaincu qu’il faut fêter haut et fort la Saint-Jean. Le programme de ces fêtes fera forcément des mécontents. Comment pourrait-il en être autrement ! Mais il y aura toujours au travers des moments forts susceptibles de marquer l’imaginaire et d’aller dans le sens d’une affirmation plus grande du Québec et des Québécois. Bonne fête nationale à tous.
Il est quand même très divertissant de voir les Québécois célébrer le Québec en faisant aller leurs petits drapeaux, assis sur leur caisse de 24. On voit partout les petites fêtes de quartiers avec des chansons, de la bière et du « popcorn ». La soit disant fête de la Saint-Jean Baptiste ressemble davantage à un festival du multiculturalisme. On voit tous ces « Québécois » faire aller leurs petits drapeaux le 24 juin et une fois le festival terminé, tout le monde se dépêche à aller les cacher. Pendant ce temps, tous les ghettos de Montréal n’ont aucune gène à afficher les drapeaux de leur pays, et ce, pendant des semaines et même toute l’année (les Italiens par exemple et bien d’autres). Qu’on arrête de nous prendre pour des caves avec un festival de la confusion qui esasaie de nous endormir. Quant à subir l’hypocrisie par cette fausse fête nationale, il vaudrait mieux célébrer exclusivement le Canada multilingue, multiculturel, multiconfusionnel et multiconflictuel, car, cette situation reflète bien mieux notre triste réalité.