Pause Bastarache. Et aussi, parce que la vie politique et littéraire continue…
En ce 40ième anniversaire de la Crise d'octobre: sortie d'un ouvrage fascinant et essentiel sur un aspect important, mais foncièrement méconnu au Québec, soit les réactions et points de vue hautement critiques au Canada anglais de politiciens, journalistes et intellectuels quant à la manière dont cette crise fut «gérée» par Pierre Trudeau et son gouvernement.
Bref, une pièce maîtresse manquante jusqu'ici permettant de mieux saisir toute la complexité de la dynamique politique hors-Québec au moment de la Crise d'octobre.
Ce livre est Trudeau's Darkest Hour, War Measures in Time of Peace, October 1970, des politologues Guy Bouthillier et Édouard Cloutier (Baraka Books).
Voir: http://www.vigile.net/TRUDEAU-S-DARKEST-HOUR
De ce livre, encore une fois essentiel, je dirais surtout ceci: «Enfin».
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À l'émission C'est bien meilleur le matin, le journaliste Marc Laurendeau en faisait d'ailleurs aujourd'hui un excellent compte-rendu.
Hier, à l'émission Pourquoi pas dimanche. M. Laurendeau s'entretenait également avec Joël Le Bigot sur le sujet de la Crise d'octobre: http://www.radio-canada.ca/emissions/samedi_dimanche/2009-2010/chronique.asp?idChronique=119689
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À cette époque tout le Québec s’est fait «enfirouapper» par Ottawa, Trudeau et ses rois nègres québécois Drapeau, Bourassa et al.
Avec le temps la vérité commence à sortir des cercueils et des tombes. Thomas Clement (Tommy) Douglas, Eric William Kierans, la GRC même indiquent toute l’exagération et l’abus alentour de la gestion de cette crise.
À Le Bigot, samedi/dimanche matin à RC on apprend même que des enquêtes policières bien menées auraient rapidement et efficacement contrôlé la situation. On en connaissait beaucoup plus qu’on le prétendait à l’époque.
Trudeau et son gouvernement se sont vraiment servi du prétexte de cette crise pour tenter de détruire la montée souverainiste au Québec. Leurs actions étaient nettement excessives et antidémocratiques. Ils ont carrément monté en épingle une situation certes sérieuse mais nettement disproportionnée au regard des mesures prises pour la gérer.
Mais retenons que cette analyse est faites ici par des membres éminents du Canada Anglais. Donc difficile de les accusés d’être souverainistes ou d’allégeance felquiste.
Une tache noire de l’histoire canadienne …
«Les grands hommes appellent honte le fait de perdre et non celui de tromper pour gagner.»
[Nicolas Machiavel]
En Octobre 70 un pays membre du G 7 impose déclare la guerre (Mesures de guerre) à une « armé » qui tenait dans un garde robe. S’en suit la plus grande violation des droits dans un pays occidental.
Cette violation des droits avait cependant débuté bien avant, En Décembre 1969, le cabinet de Trudeau adopte un Mémorandum pour placer sur le même pied le mouvement souverainiste et l’ennemi communiste soviétique. Ce qui donne la porte à tout les abus de sa police politique.
Mais cette police Stasi canadienne opère depuis des décennies contre les « suspects » politique du Québec. Parmi eux René Lévesques qui a fait l’objet de surveillance policière pendant plus de 40 ans !
Me Pierrre Cloutier a fait venir son dossier (2500 pages pratiquement tous barbouillé de noir). Il a écrit une lettre aux journaux à l’époque. Aucun ne l’a publié. Suite à cette histoire j’ai écris un texte:
http://www.vigile.net/La-STASI-canadienne-Le-silence-des
Bonjour Mne.Legault
Un vrai scandale.
Et bien 40 après la Crise d’octobre, CBC présente un documentaire en 3d sur la dernière visite de la reine. A mon bureau de poste, pas de lunettes en 3d telles que promises.
http://www.cyberpresse.ca/arts/television/201008/11/01-4305722-un-documentaire-en-3d-sur-la-reine-a-cbc.php
Octobre 1970 avait avec ses mesures de guerres abusives le but d’écraser la Nation Québecoise dans la peur , mais 6 ans plus tard ce fut le contraire avec l’élection du Parti Québecois
Un livre portant sur « les réactions et points de vue hautement critiques au Canada anglais de politiciens, journalistes et intellectuels » rédigé par deux co-auteurs apparemment bien francophones.
Avec, de plus, un titre quelque peu racoleur, satiriquement « négatif » tel que: « Trudeau’s Darkest Hour, War Measures in Time of Peace, October 1970 ». Voilà qui dès le départ tend à miner la crédibilité, l’objectivité et l’impression que le contenu saura s’en tenir aux faits. À tous les faits, et non pas seulement à une brochette choisie.
À prime abord donc, il semblerait que l’on ait ici droit à un compte rendu selon une approche tendant davantage vers une certaine opinion que désirent exprimer les co-auteurs, que d’un compte rendu à caractère vraiment factuel et historique. Une relecture personnelle, possiblement.
Ce qui, bien entendu, s’avère le droit le plus strict de tout auteur de présenter à sa manière ce que d’autres présentent selon la leur. Mais à toutefois prendre avec un grain de sel, lorsqu’il s’agit de textes d’opinion.
Qu’il s’agisse d’opinions bienveillantes ou malveillantes.
Pour moi l’un des aspects les plus ignobles de la fameuse crise dite d’octobre (la crise se mijotait depuis longtemps et «octobre» n’a été qu’un moment culminant), c’est que plusieurs des grands responsables de ce néo-duplessisme, à plusieurs égards plus despotique et plus «oppressif» que le duplessisme réel, étaient des personnes qui avaient dénoncé et combattu Duplessis et le duplessisme. Parmi ces crapules inoubliables, il y avait le minabilissime Jean Marchand, ancien président de la CSN. Et je ne parlerai pas du pitoyable Marc Lalonde ou de l’«étonnant» Gérard Pelletier.
Personnellement je crois que Trudeau a, à l’occasion, mis en place des mesures qu’on peut qualifier de progressistes et d’historiquement nécessaires.
Mais pour moi, Pierre Trudeau restera toujours ce roitelet arrogant qui a lancé le fameux JUST WATCH ME! Pour moi l’ensemble de son oeuvre, parfois positive, a été néantisée et pulvérisée par ces moments jubilatoires (et orgasmiques) pendant lesquels Trudeau et le nauséabond Jean Drapeau ont supprimé la démocratie et ressuscité Duplessis, lequel n’a jamais fait mettre en prison (en même temps) plusieurs centaines de personnes.
Toute réflexion analytique sur la crise d’octobre (que j’ai vécue de manière insoutenable) m’intéresse profondément.
JSB
@Claude Perrier
Où allez-vous chercher que deux universitaires de haut niveau avec des doctorats d’universités prestigieuses, professeurs en science politique, aient décidés de faire une étude et une analyse d’un évènement historique avec l’intention, a priori, de prouver leur point de vue ?
Bien que ne l’ayant pas lu, l’information qu’on en donne m’amène à penser que l’ouvrage n’est absolument pas un texte d’opinion, mais une analyse des témoignages de personnes signifiantes sur les évènements en question.
Vous semblez oublier que le titre d’un tel genre d’ouvrage évoque généralement la conclusion des auteurs. Le titre est donc attribué à posteriori.
Mais peut-être est-ce pour vous une façon normale de nuire à la réputation des gens : leur attribuer des intentions que vous supposez exister. Avez-vous réfléchi que ce qui peut-être votre façon de penser et de faire peut ne pas être la leur ?
Dans la plus pure tradition de Jacques Ferron, createur et ideateur du parti Rhinoferoce, tendance Ionesco, je vous offre ceci:
LE MANIFESTE DU PLQ
Testament visionnaire des PeLQuistes:
Le Fond de solidarité du Québec n’est pas le Messie, ni un Robin des bois des temps modernes. C’est un regroupement de investisseur qui n’ont de québécois que le nom, et encore, qui sont décidés à tout mettre en œuvre pour que le peuple du Québec perde définitivement les mains sur le volant de son destin.
Le Fond de libération liberal du Québec veut l’investissement de Total en sol Québécois, réunis dans une société de porteurs d’eau purgée à jamais de sa clique de separatisses voraces, les « big boss » syndicaux et leurs deux de pique de la Révolution tranquille qui ont fait du Québec leur chasse gardée de l’équité salariale et de la rémunération juste et appréciable des employes de la FIQ.
Le Fond de de commerce de la libération libérale du Québec n’est pas un mouvement d’agression fédérale, mais la réponse à une dépression et une négation de l’unité nationale du Québec, celle organisée par la haute finance par l’entreprise des marionnettes du pouvoir féodal incorporée et qui n’ont de morale que l’appellation a peine contrôlée par l’état libéral. gouvernements fédéral et provincial (le show de la Caisse de depot, le bill 103, la carte électorale du Grand Nord, la taxe dite de « progrès social imposée par avance aux malades» (sick), par Gesca, les vendeurs d’assurance en collet montré du gaz de schistes qui fait exploser les normes du BAPE, les gars de Lapalme d’or de la commission Bastarache).
Le Fond de libération neo-liberal du Québec s’autofinance d’impôts volontaires (Loto-Quebec, SAQ) prélevés à même les contribuables qui vivent la même surexploitation patronale et statique que les ouvriers d’hier (dans les banques, les compagnies de finance, n’auraient jamais tolérée). Un vrai libéral vous parlera toujours de la paperasse des bureaucrates de Québec en oubliant toujours, curieusement, de vous dire que les multinationales fabriquent elles-mêmes des quantités industrielles de déchets de paperasse.
« Les impuissances d’argent, du statu quo mon nono, la plupart des tuteurs traditionnels et institutionnels ou constitutionnels de notre peuple du Kebek, ont obtenu la réaction qu’ils espéraient, les deux mains sur le volant d’un autobus qui roule a tombeau ouvert jusque dans les eboulements du PPP exponentiel du changement de cap perpetuel pour le CHUM que nous ne verrons jamais de notre vivant – comme le troisième référendum gagnant. Nous, OUI, NOUS avons travaillé comme jamais ; pour le parti de celui pour lequel NOUS allons continuer à travailler: le parti de René Lévesque, remembe @pril 29 1970? C’est avant octobre, non?
Nous avons cru un moment qu’il valait la peine de canaliser nos énergies, nos impatiences comme le dit si bien René Lévesque, dans le Parti libéral de la révolution de Lesage, mais la victoire libérale de Bourassa par la suite montre bien que ce qu’on appelle démocratie au Québec n’est en fait et depuis toujours que la propagande polie des plus riches et des mieux nantis de ce parti, parti pour la gloire lorsqu’ils quittent le parti, d’ailleurs. La victoire du Parti libéral en ce sens n’est en fait que la victoire des faiseurs d’élections, John Parizella en tête.
En conséquence, le parlementarisme britannique, c’est bien fini et le Fond de libération liberale du Québec est a sec. La future Republique du Quebec ne se laissera jamais plus distraire par les miettes électorales que les capitalistes anglo-claxons lancent dans la basse-cour des tribunaux administratifs québécois à tous les quatre ans, parfois moins.
Nombre de Québécois ont compris et ils vont agir comme du monde: en votant. Jean Charest, dans l’année qui vient va prendre de la maturité comme un frui déjà trop mur lorsqu’on l’a elu a la fin 2008 : 100 000 travailleurs révolutionnaires organisés et cultivés vont faire sauter les boites vocales et les boites de courriels de ce gouvernement dépassé par son propre rendement !
Oui il y en a des raisons à la victoire libérale. Oui il y en a des raisons à la pauvreté, au derives du francais de Montreal, aux maudits delais du CHUM, au fait que vous M. Bastarache de la cour Superieur en rien a la plus haute cour du Quebec, et vous aussi vous M. Fava et cie de Ville de Québec qui gagnez cent quatre vingt millions de dollars en provenance de l’Hydro-Quebec en retour de vos faveurs de peddlers d’elections truquées provinciales, vous ne vous sentirez pas libres en notre pays en devenir, le Québec, si nous changeions les regles de financement aux prochain scrutin provincial, n’est-il pas vrai?.
Oui il y en a des raisons, et les gars de la Lord les connaissent, les pêcheurs de la Gaspésie, les amerindiens de la Côte Nord, les mineurs de Kamouraska, de Québec inc. Crinquee sur le drink a trois heures de l’apres-midi, de l’Abitibi-Bowaterloo des contrats, les ceuses qui connaissent eux aussi les limites des raffineries Shell et du pouvoir fédéral dans l’Est de Montréal, ces raisons sont critique de la raison pure d’une émotion nationale battue en brèche. Et les braves travailleurs de Quebecor que Peladeau a mis dehors depuis plus de 600 jours, Christine Lapierre qui roule n’amasse pas mousse, elle fait quoi contre cela?
Oui il y en a des raisons pour que vous, M. Tremblay de la mairie de Montreal, et vous, M. Harper, qui travaillez dans la destruction en Alberta autant qu’en Afghanistan, vous ne pourrez vous payer des relationnistes avec assez de talent pour empecher la population de vous sacrer dehors de vos fonctions electoralistes a tous crins.
Oui il y en a des raison pour que vous Madame la lieutenant-gouverneur du Quebec en proces dans sa belle chaise roulante, elle ne puisse se payer plus longtemps la tête des petites gens avec ses voyages au restaurant elle avec.
Oui il y en a des raisons pour que le CH perdent cette saison. Perde des partisans de hockey, pas des partie de la LNH. M. Boivin et son petit refrain du « ca viendra, ca viendra, des francos qui ne patine pas sur la bottine dans le centre-ville de l’arena des castors de Bell et bien pas simple de gagner en francais au Quebec. C’est plus facile de le faire a la vitesse de l’eclair en Floride, pour le plus grand bonheur des snowbirds de Tampa.
Les frères Molson saluent les vraies dans la loge, en regardant compter les héros québécois de l’équipe adverse fabriquée par Steve Yzerman et dirigee par Boucher – qui ne tiens pas de camps d’extermination des recrues, lui.
Nous en avons soupé du fédéralisme canadien qui achete l’UPA et les producteurs laitiers du Québec pour satisfaire aux besoins anglo-claxons du Commonwealth . Et aussi de ce federalisme conservateur-liberal minoritaire qui envoie des jeunes et moins jeunes en prison en accrochant des journalistes accredites au passage.
Nous en avons soupé, et de plus en plus de Québécois également, d’un gouvernement de mitaines qui fait mille et une acrobaties pour charmer les millionnaires du monde entier en les suppliant de venir sortir l’eau potable du Québec, une bouteille de 500 ml a la fois en fournissant 7 dix millieme de cent pour chaque litre.
Nous vivons dans une société d’enseignants trop souvent illetrés, terrorisés par les devoirs de l’education.
Encore colonisés spirituellement par l’Église capitaliste romaine avec son cardinal Ouellet pro-vie qui fait reagir les pro-choix au XXIe siecle!!
Travailleurs de la production, des mines et des forêts ; travailleurs des services, enseignants et étudiants, chômeurs, prenez ce qui vous appartient, votre travail, votre détermination et votre liberté.
Intellectuels du Québec, commencez dès aujourd’hui à reprendre ce qui vous appartient ; prenez vous en main tout simplement en ecrivant une lettre, un courriel de remerciement pour les PeLQuistes en mal de publicité du Québec.
Faites vous-mêmes votre révolution tranquille avec le sourire dans la voix, dans vos quartiers, dans vos milieux de travail. Et si vous ne le faites pas vous-mêmes, faites-le pour les autres qui n’en n’ont pas le temps.
Notre lutte ne peut être que victorieuse. On ne tient pas longtemps dans la misère et le mépris un peuple en réveil.
Vive le Québec libre !
Vive les camarades qui sont encore assez fou pour faire de la politique !
Vive la révolution québécoise !
Vive le Front tout le tour de la terre de libération du Québec !
re: Steve Boudrias
Arrêtez le quelqu’un !
Dieu sait que j’ai pu détester Trudeau, mais en ce qui concerne la loi des mesures de guerre et les arrestations arbitraires, c’est plutôt Bourassa qu’il faut blâmer. Il semble que Trudeau ait été tout d’abord réfractaire à cette idée, et que c’est Bourassa qui l’a « harcelé » pour qu’il y ait recours. Notre Boubou national aurait même approuvé personnellement la liste de personnes à arrêter qui comportait, entre autres, les noms des poètes Gérald Godin et Gaston Miron.
Allez plutôt jeter un coup d’oeil par là :
http://www.historiatv.com/emission/enquetes/
Maintenant, expliquez-moi pourquoi, moi qui suis un indépendantiste convaincu, je n’ai jamais pu détester Bourassa, alors que je vomissais l’arrogant PET? Serais-je masochiste? Ou est-ce parce que Boubou était ami avec Bourgault, l’un de mes héros personnels?
Question troublante…
Bourassa, pourtant Libéral, est celui qui a fait, à l’Assemblée nationale, en 1990 sauf erreur, ce qui fut le plus près que le Québec a connu d’une déclaration d’indépendance.
« Quoiqu’on en dise, quoiqu’on en pense… »
Dieu sait que j’ai pu détester Trudeau, mais en ce qui concerne la loi des mesures de guerre et les arrestations arbitraires, c’est plutôt Bourassa qu’il faut blâmer. Il semble que Trudeau ait été tout d’abord réfractaire à cette idée, et que c’est Bourassa qui l’a « harcelé » pour qu’il y ait recours. Notre Boubou national aurait même approuvé personnellement la liste de personnes à arrêter qui comportait, entre autres, les noms des poètes Gérald Godin et Gaston Miron.
Allez plutôt jeter un coup d’oeil par là :
http://www.historiatv.com/emission/enquetes/
Maintenant, expliquez-moi pourquoi, moi qui suis un indépendantiste convaincu, je n’ai jamais pu détester Bourassa, alors que je vomissais l’arrogant PET? Serais-je masochiste? Ou est-ce parce que Boubou était ami avec Bourgault, l’un de mes héros personnels?
Question troublante…
Il est notoire que les enfants battus, une fois adultes, battent aussi leurs propres enfants. C’est déplorable mais c’est ainsi.
Il s’en suit donc que les adversaires de Duplessis ont imité de dernier, inconsciemment, on peut le supposer. Soyons généreux. 🙂
Il tombe sous le sens que les fédéralistes à Ottawa ont exploité au maximum l’occasion qui s’offrait à ces prétendus démocrates. La Démocratie quand tout va bien, mais pas quand ça va mal.
Tous les empêcheurs de tourner en rond au Québec, ou presque tous, ont été arbitrairement arrêtés afin de leur faire les pieds. Des simples citoyens qui osaient interroger leur administration municipale jusqu’aux sympathisants du FLQ qui ne se cachaient pas pour afficher leurs couleurs, après tout, en démocratie, c’est ce qui est permis, n’est-ce pas? Tous ces gens-là se sont retrouvés derrière les barreaux pour se voir relacher, sans accusations, des semaines ou des mois plus tard.
Seul le NPD a voté contre la Loi des mesures de guerre. Il est bon de s’en souvenir. En Europe, en Allemagne et en Italie tout particulièrement, là où on vivait un vrai cauchemard, avec la Bande à Bader et les Brigades rouges, on a pas mis en place des mesures semblables à la Loi des mesures de guerre. On s’est contenté de laisser la police et les services secrets faire leur boulot. Avec succès. On sait maintenant que les Brigades rouges étaient en cheville avec la CIA. 🙁 A qui profitte le crime?
Il n’y a pas qu’au Québec que la pensée unique, tant dénigrée par Trudeau dans ses discours contre les méchants Séparatistes, sévit. 🙂 Elle est bien en place dans toutes les sphères du pouvoir à travers la planète.
Lors de cet épisode, La Crise d’octobre, nous, les Canadiens\ians avons atteint le fond du baril et avons affiché nos vrais couleurs. Nous parlons bien, mais agissons mal. Les principes, c’est bien embêtants. Appuyez-vous fortement sur vos principes, ils finiront bien par céder. Et, la dernière. Mettez vos principes au fond de votre poche, et votre mouchoir par dessus.
Seuls les grands hommes vivent selon des principes difficiles à respecter en temps de crise… Tommy Douglas et les gens du NPD étaient de cette trempe.
Pour ce qui est des services secrets, dans une démocratie ils surveillent les ennemis de l’extérieurs et leurs complices de l’intérieur. Confondre adversaires politiques et ennemis de l’intérieur est le propre des gens petits. Combien de Chinois sont emprisonnés pour espionage industriel? On a trop peur de déplaire à ce géant à plus d’un titre. Cependant, lors de la lutte au FLQ, on empêchait des sympathisants ou des membres du FLQ de travailler. On rendait visite à l’employeur et on le menaçait de tracasserie adminsitratives fort désagréables. Exactement comme on faisait aux USA, lors du McArtisme, et en URSS sous Staline et après. La dissidence n’est admirée qu’à l’étranger et sous les régimes officiellement dictatoriaux : les méchants, ceux qui ne sont pas dans notre camp. Nos dictateurs à nous, les bons, ont la bride sur le cou.
Profitons de la liberté qu’il nous reste pour nous exprimer sans crainte, pour le moment. Lorsque Herr Harper et ses sbires auront une majorité confortable en Chambre, il y a des sites qui vont disparaître et des voix seront réduites au silence. Déjà, nous savons, par expérience personnelle, que toute vérité n’est pas bonne à dire et qu’il est impossible de le dire dans les grands média. Si la tendance se maintient…
M. Bourassa était jeune, beaucoup trop jeune pour occuper ces fonctions et il a été rapidement dépassé par les évènements. Il a aussi été facilement manipulé par Ottawa qui voyait là une occasion rêvée de montrer qui était le plus fort dans cette éternelle querelle de juridictions.
Le fait que Marc Lallonde persiste encore et signe en dit long sur cet individu de bas étage qui occupait les hauts échelons du pouvoir. Une personne digne, noble de coeur, aurait fait amende honorable à la première occasion. Mais pas ce drôle. Le mépris le consume, et il mourra le coeur noir, comme il a vécu.
Un commentateur politique de la vieille école le qualifiait d’immonde. Je ne me permettrais pas. 🙂
Ne me prêtez pas d’intentions malveillantes, Monsieur Drouin…
Si j’exprime des réserves à l’égard d’un ouvrage (quelque peu opportuniste, il me semble), ce n’est assurément pas dans le but malsain de nuire à la réputation de qui que ce soit. Cela n’est pas du tout dans mon genre.
Et puis, le titre d’un ouvrage est souvent fortement le fait de l’éditeur. Question de favoriser la vente du livre.
Cela dit, n’ayant pas plus que vous lu celui-ci, mais considérant par contre qui en sont les co-auteurs, il me paraît assez raisonnable d’y voir au moins la possibilité que des faits y aient été un peu occultés. Que plusieurs éléments aient été choisis dans le but d’appuyer une certaine vision des événements.
Mais, comme je l’ai déjà mentionné, je n’ai pas encore lu le livre.
En espérant que ces petites précisions vous seront utiles.
@Claude Perrier
Les co-auteurs sont Guy Bouthillier et Édouard Cloutier que vous semblez assez bien connaître pour supposer qu’ils ont occultés des faits. Sur quoi appuyez-vous cette assertion ? Quels faits, si tel est le cas auraient-ils occultés ? Si vous avez quelques lumières qui pourraient étayer vos affirmations, il serait intéressant de les faire connaître. Autrement …
@Alain Cormier
Robert Bourassa a été élu la première fois en 1966 avec René Lévsque, les deux pour le PLQ. Bourassa était un jeune économiste avec un discours moderne tout comme Lévesque qui défendit la nationalisation de l’électricité.
À l’époque Bourassa véhiculait une idée de modernité. C’est peut-être là que vous pourriez retrouver l’explication au fait que vous ne le détestiez pas autant que Trudeau qui, lui, s’est construit politiquement en abaissant et écrasant le Québec.
Vous êtes, comment dire, « délicieux » dans votre réplique, Monsieur Drouin…
Mais puisque ni vous ni moi n’avons encore lu ce livre de co-auteurs que je semblerais « assez bien connaître » selon vos dires, que pourrais-je ajouter à mes impressions en ce moment?
Plutôt, dites-nous, Monsieur Drouin, vous qui n’avez pas plus que moi lu ce livre, ce qu’il faudrait en penser. Voilà qui serait certainement plus utile pour nous tous ici.
Sinon, tenons-nous-en à des impressions (à confirmer ou infirmer éventuellement)… Et quand quelqu’un l’aura enfin lu ce livre, et qu’il nous en dira ce qu’il en pense et pourquoi, nous pourrons alors avancer de quelques pas.
Et, d’ici ce développement, mes impressions valent probablement autant que les vôtres, non?
Enfin, merci tout de même d’accorder un peu d’attention à mes propos.
Pour renchérir sur l’aspect littéraire de la littérature, ceci:
http://fr.canoe.ca/divertissement/livres/nouvelles/2010/09/21/15422681-ca.html
Un article d’un auteur que je respecte énormément, que j’ai rencontrer dans un salon du livre a Montréal et qui a déjà eu une place de choix dans cet hebdo VOIR: Jean Barbe.
Extrait: « Louis Hamelin publie aujourd’hui chez Boréal La Constellation du Lynx, son roman sur la crise d’octobre et la mort de Pierre Laporte.
Ceci est une chronique littéraire, pas un roman. On ne fera donc pas durer le suspense: La Constellation du Lynx est une formidable réussite littéraire, un livre magnifiquement construit, passionnant d’un bout à l’autre, encore plus riche que son matériau historique —et Louis Hamelin s’est hissé, à force de patience, de travail acharné et de talent, au statut des grands écrivains contemporains, tous pays confondus. »
A vous de lire le reste.
La réelle fiction vaincra! Faitzons imprimer les affiches!
@ M. Drouin
On va m’arrêter le jour ou ma Cause avancera, pas avant. 😉
Pour célébrer le 100e anniversaire d’un pays encore plus mal pris que nous malgré l’ALENA:
« Je préfère sourire debout plutôt que de survivre a genou en sucant la graine du système.. »
Emilmazo Laputa
Sérieusement, depuis que l’ancien PDG de Coca-cola a pris le contrôle du M’excite, les cartels de la drogues n’ont jamais été aussi méchant. J’imagine que c’est cela la magie de la démocratie de Disney.
Tchèque ca, je suis certain que Stephen Harper ou Michael Ignatieff vont se faire photographier aux cotes de Mickey Mousse ou du Pere Nowell prochainement.
L’halloween devrait être un congé férié au Canada tellement on a de députés déguisés en démocrates au parlement d’Ottawa. Layton inclut avec son amour pour la chasse au canard qu’il a désavouer trop tard.
@Claude Perrier
Je n’ai aucun problème avec l’expression des impressions de tout un chacun. Mais par simple honnêteté intellectuelle je prends bien soin de nommer impression ce qui est une impression. Je me fait un devoir de ne pas laisser supposer que je connais ce que je suppose uniquement.
Auriez-vous fait de même que votre billet eut été intéressant. Mais sa facture ne nous amenait vers l’appréciation de vos impressions, mais bien de faits que vous ne faites que supposer. Grosse différence.
Il suffit de revenir de l’extérieur pour retourner dans ce Québec pour constater comment la situation est déprimante. Lorsqu’une partie importante de l’élite francophone québécoise depuis Trudeau et bien avant vend le Canada contre son propre peuple d’Octobre de Bourassa et Trudeau jusqu’à l’incurie du gouvernement Charest il est difficile de ne pas être enragé par ce milieu du droit surpayé attaché majoritairement aux partis libéraux du Canada et du Québec qui toujours s’acharnent contre l’amélioration du statut politique et social des gens du Québec.
C’est comme si le Québec subissait un ordre de collaboration à la Vichy mais sans nazisme, une collaboration chronique de la part de soi disantes élites qui n’ont que faire des conditions d’avenir d’une nation isolée sur le continent et principalement non reconnu par le Canada.
Trudeau avant Charest par l’autoritarisme plus que par la corruption a été un membre actif de ces collaborateurs que vomissait un Charles de Gaulle sur le plan politique qui au contraire dans le contexte français en 39-45 a travaillé pour sortir la France d’un état de subordination suite à la victoire nazie et a accordé finalement l’indépendance à l’Algérie. Dans ce cadre au nom d’une fausse morale d’universalisme abstrait et tronqué, Trudeau n’apparaît pas dans l’histoire comme un éthicien de la charte des droits en fait plutôt en tant que premier ministre d’un parlement élu qui a suspendu les libertés démocratiques comme seul un dictateur se permet de le faire.
Le nom d’un Canadien qui compte à l’heure des infos connus dans ce livre c’est celui de Tommy Douglas qui PENDANT la CRISE a osé se poser en dissident envers sa majesté néo duplessiste Trudeau. En rappel d’une chronique de René Lévesque publiée dans le Journal de Montréal en 1971 et dans un livre récapitulatif chez Québec Amérique c’est Douglas promoteur de l’assurance maladie au Canada qui mérite notre respect pour sa lucidité et son courage au moment de la promulgation des mesures de guerre ce que Lévesque avait bien démontré dans son texte.
Si le Québec vit dans un état vichyste soft permanent défendue par les Charest, Saint Pierre, Normandeau, Coderre, Cauchon, Verner, Bernier. La France malgré ses problèmes d’aujourd’hui n’en reste pas moins un pays souverain qui connaît ses boulevards appelés Place de la Résistance en honneur de ceux qui ont libérés la France et qui l’auraient faits aussi si les envahisseurs avaient été anglais plutôt qu’allemands. Le Québec lui connaît ses statues en honneur de Wolfe, ses rues rappelant le souvenir de généraux anglais victorieux témoignage d’une société masochiste et malade qui à travers la commission Bastarache des libéraux pour les libéraux s’illustre en miroir distorsionné.
Les Rondeau, Fava, Lalonde, Marchand, Pelletier, Trudeau, Charest c’est tout fait de la même eau, ils agissent et ont agis pour nous convaincre nous Québécois que nous sommes petits. Leurs actions consistent à rendre malade notre psyché collective. Pourquoi leur donner raison?
http://www.cyberpresse.ca/le-soleil/opinions/carrefour/201002/05/01-946880-gloire-aux-conquerants.php
@Pierre Bouchard
Votre sens de l’indignation vous honore M.Bouchard. J’y souscris car en même temps qu’on y perçoit votre humanisme, il pointe du doigt des personnages qui pour beaucoup ont peu ou pas de colonne vertébrale et qui préfèrent donc vivre aplatis et serviles plutôt que debout.
Toutefois, je ne penserais pas que nous puissions comparer notre situation à ce qu’ont vécus les Français sous Vichy. Certes il y a eu l’épisode sordide de la pendaison des Patriotes, mais ici et maintenant peu d’hommes ou de femmes seront mis au poteau par les leurs. Sur ce point je préfèrerais me garder une petite gène.
En terminant, vous savez sans doute que Montréal peut s’enorgueillir d’avoir une rue nommée en l’honneur d’une personne qui ne fut pas seulement notre conquérant mais aussi peut-être le premier à utiliser l’arme bactériologique pour détruire un peuple : Amherst.
Bonjour,
A quoi bon essayer de refaire le passé ! Nous avons le choix de l’accepter où de passer sa vie furieux en s’autodétruisant soi-même. Et si la France n’avait pas voulu échanger ces quelques arpents de neige pour de majestueuses îles ensoleillées afin d’exploiter la canne à sucre, avec cet échange conclu avec l’Angleterre, le marché du sucre étant à Paris alors que le marché de la fourrure était comme de raison à Londres, la Crise d’Octobre ne serait pas survenu car nous serions tous Américains adorant la bannière étoilée où peut-être bien que l’Étoile de la Louisiane du Nord y luirait un peu…..Merci, Erwan Basque.
@ monsieur Basque
Je reconnais dans vos propos enfin quelque chose qui mérite d’être commenté.
Il est vrai que Laurier lui-meme, en bon canadien de son époque aurait déclaré que si on lui donnait le choix, il ne reviendrait pas en arrière se placer sous l’autorité de la France.
Georges-Ethienne Carrière, ou un autre acteur important de la création du canada en 1867, mettait plus de vigueur a chanter les vertus du loyalisme et le grand empire sur lequel on disait que le soleil ne se couchait jamais, étant donnéem la multitude étendue de son terrain de jeu colonial.
Le Commonwealth est encore une idée impériale célébrée aujourd’hui dans bien des pays ayant été sous l’autorité britannique.
C’est un point de vue qui se défend d’un point de vue politique et économique, certes.
Mais l’indépendance politique va bien au-dela de l’économie et les copains d’abord, OUI, et le reste de la population par-dessus bord d’un autre Titanic boursier en puissance (double dip recession).
Je suis né deux ans après octobre 1970 et j’avais 8 ans lorsque j’ai vu René levesque mordre la poussière en regardant les résultats passés sous lui de droite a gauche au bas de l’écran de télévision.
J’ai vu et entendu le discours de Trudeau adressé a un ancien ami de jeunesse.
Il n’y avait pas de mépris dans ce discours, seulement une volonté de panser les blessures de tout le monde après un combat fratricide ayant déchiré des familles a travers le pays.
Bref, on peut croire que le Québec serait miserable s’il avait choisi la révolution américaine plutôt que les reformistes patriotes.
J’ose plutôt croire que, aujourd’hui, nous pouvons faire un pays indépendant de tout le monde culturellement parlant et demeurer democrate et responsable face aux très nombreuses et effrayantes injustice de ce monde.
Et je ne pense pas a la famine du Niger en ce moment, je pense AUSSI aux citoyens du Québec qui ont soif de liberté et de justice ICI et maintenant.
Je crois sincerement a nouveau aujourd’hui que les Québécois pourraient donner l’exemple au monde qu’il est possible d’émerger politiquement de la servitude volontaire et la propension au suicide collectif progressif en affirmant une fois pour toute sa différence aux yeux du reste du monde.
Mais pour cela, il faut être plus d’un a croire que la Constitution d’un nouveau pays puisse être le garant d’un pays qui poursuivrait avant tout la paix sur le globe, dans le village, qu’une illusoire poursuite du bonheur.
Nous ne sommes pas Francais.
Nous ne sommes pas Anglais.
Nous ne sommes pas Américains.
Nous parlons francais et anglais pour la plupart et nous vivons sur un continent nommé en mémoire de Amerigo Vespucci.
Nous sommes le Quartier Latin d’un village global qui s’exprime en anglais, en mandarin, en indi, en hourdou et en arabe majoritairement.
C’est ce que je constate en ce moment.
Le gouvernement Fava Rond dos est aussi dangereux que le gouvernement PET BOUBOU . Mais je remercie tout de même Trudeau d’avoir sortie le Québec de la Constitution bidon Canadian et Bourassa pour ses deuxième mesures de guerres en 1990 .
Charest lui se contente de biffer son nom et d’analyser des crayons le temps que sa famille politique multiplie les commandites . 850 millions de $$$$ en contrats pour Fava.
Incroyable cette patience morbide de la Nation Québecoisse
Nos Patriotes de 1837/38 se sont fait écraser et nos Felquistes aussi.
La violence ne donne que des fruits amers même si ça peut défouler ses auteurs et supporteurs pour un court temps et passer dans l’histoire longtemps.
@Steve Boudrias & Erwan Basque
Votre réflexion n’est pas nouvelle. Repassez-vous la chanson «Cartier» de Robert Charlebois et Daniel Thibon. Il est vain de refaire l’Histoire, encore plus de remplacer les faits par des hypothèses qui reflètent soit des rêves idylliques, soit des cauchemars.
Pourquoi pleurer sur ce qui aurait pu être. D’autres le font …
«Ent’deux joints tu pourrais faire qu’qu’chose
Ent’deux joints tu pourrais t’grouiller l’cul»
[…]
«T’a un gouvernement qui t’vole à tour de bras
Blâme pas l’gouvernement mais débarasse-toé z’en
Couche-toé pas comme un chien pis sens-toé pas coupable
Moé j’te dis qu’t’es capable c’pays-là t’appartient»
[Charlebois; Entre deux joints]
Chanson écrite par Pierre Bourgault.
Je sais tout ça.
Le policier responsable avec les politiciens des mesures de guerres abusives et des arrestations abusives affirme qu’il n’a pas mis les felquistes sous arrêt pour pouvoir les suivre .
Grâce à ce policier honnête, on comprend mieux pourquoi le fédéral n’a pas arrêté les membres connus du FLQ.
L’inneffable Marc Lalonde persiste toujours et insiste pour affirmer que le Fédéral ne connaissait pas les membres du FLQ. Pourtant, tous les services de polices du Québec et la GRC connaissaient ces membres.
Soit on a pas crû bon d’en informer M. Lalonde, pas assez important dans la hiérharchie, soit M. Lalonde ment, comme souvent.
De plus, sachant cela, on comprend mieux la stratégie d’Ottawa qui a exploité au maximum la Crise d’octobre pour briser les reins des nationalistes dérangeants du Québec.
La démocratie lorsqu’il fait beau, comme un parapluie, et la protection de la démocratie en la mettant bien à l’abri dans un placard, pour ne pas l’abîmer. Mme Ferreti a écrit un texte magnifique sur la duplicité du Canada anglais dans notre histoire. Depuis la conquête jusqu’à demain matin. Hier, sur Vigile.net. A lire absolument pour comprendre comment ça marche au Canada.
Moi, sur ces question, j’ai choisi mon historien
http://ysengrimus.wordpress.com/2009/09/15/about-flq-a-propos-du-flq/
C’est une simple question d’intégrité élémentaire.
Paul Laurendeau
GRC : comment biffer le passé et réarranger l’Histoire
http://blogues.cyberpresse.ca/lagace/2011/10/06/grc-comment-biffer-le-passe-et-rearranger-lhistoire/
Je parle évidemment du cas du nouveau quartier général de la GRC, qui portera le nom de Maurice Nadon, commissaire de la GRC dans les années 1970, qui a non seulement encouragé et toléré des actes illégaux de la part d’agents de la police fédérale dans la lutte aux séparatisses, mais qui a en plus menti à ses patrons politiques sur la nature de ces activités, poussant le Solliciteur général Francis Fox à induire la Chambre des communes en erreur.
Voir : La Guerre secrète contre l’indépendance du Québec
Qui serait insensé de refuser à un oiseau de voler, prendre du planage pour admirer le beau paysage que le barbu de Nazareth nous a si généreusement légué. Comme refusé à la jeunesse sa maturité de 18 ans, ça n a pas d’allure.
Nous québécois sommes condamné de rester sujet de la couronne depuis la plaine d’Abraham jusqu’à nos jours, je pense que la GRC il sera bien temps de devenir la Gendarmerie Nationale du Québec (GNQ). C’est mon opinion si au Québec nous sommes libre de penser, s’exprimer, le temps de l’esclavagisme à un terme que le néo-x nous libère.