Refaire les mêmes combats?

À mon avis, la Fédération des femmes du Québec erre royalement. L’idée que nous pouvons faire une chose quand nous sommes moins nombreux est une idée totalement idiote. Ça doit être des femmes nommées par le PLQ-Charest via son système de placement, plus ou moins lié à la caisse électorale de ce parti, excellent collecteur de fonds.

Faudrait retenir le principe de l’obligation de défendre les visages voilés partout sauf dans les maisons privées.

Bien oui M. Paquet, c’est normal de changer de sujet de temps en temps…au moins…genre, pour varier la vie et ne pas toujours frapper sur le même clou. Ç’est un problème ? Vous ne cherchez pas la chicane pour passer le temps ?

Rassurez-vous, il y a encore des femmes qui défendent les femmes, l’égalité homme-femme et les acquis sociaux si chèrement gagnés des cinquante dernière années :

http://www.assnat.qc.ca/fr/video-audio/AudioVideo-33133.html

Le combat n’est jamais terminé !

L’heure est aux personnes bornées, semblerait-il.

Celles-ci prennent du galon depuis un moment déjà. Non pas seulement du côté du Tea Party chez nos voisins américains*, mais hélas ici-même également, notamment à la Fédération des femmes du Québec (FFQ).

Le monde ressemble trop souvent à un asile d’aliénés. Et plus on y regarde de près, plus on dirait que ce sont les fous et les folles qui en ont pris le contrôle…

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* (Tea Party: une nuisance politique et un affront au bon sens, sévissant depuis peu aux États-Unis, et dont – ouf! – une des candidates-vedettes aux élections d’hier a mordu la poussière, soit la républicaine Christine O’Donnel. Dans La Presse d’aujourd’hui, 3 novembre 2010, voici quelques mots à son sujet: « Grâce à ses prises de position contre la masturbation, la théorie de l’évolution, l’homosexualité et les relations sexuelles hors mariage, cette figure de proue du Tea Party était sans doute la candidate la plus controversée des élections. » Et, fort probablement également, la plus bornée.)

La FFQ prend l’ombre pour la proie.

Ce serait faire œuvre civilisatrice aidant les prisonnières du voile intégral que de le condamner. Au lieu, la FFQ préfère proposer un droit à la pièce. Un droit pour les peux nombreux, un autre pour les plus nombreux. Quelle absurdité ! Ce n’est pas en acceptant un comportement répréhensible qu’on facilite son éradication. La FFQ accepterait-elle que des femmes soient violentées au seul motif que peu le sont. La position de la FFQ est scandaleuse et doit être dénoncée haut et fort par les femmes elles-mêmes en premier.

Que notre FFQ en arrive à prendre une position semblable me semble tout à fait antinomique par rapport à sa vocation principale de défense des femmes. Comment accepter que les enfants finissent par trouver normal qu’une femme soit affublée d’un voile (intégral ou pas) au travail, même si celui-ci se déroule à la maison ?

Ce n’est pourtant pas compliqué : les signes religieux doivent être réservés à la sphère privée et aux lieux de culte, point à la ligne. Les femmes devraient être les premières à comprendre et à défendre ce principe.

Voilà une belle occasion de resortir l’ami Kant : Si tout le monde faisait ça, qu’elles en seraient les conséquences? Ce n’est pas le nombre mais la chose qui rend le geste immoral, inacceptable, antisocial.

Je rappèle que couvrir la chevelure des femmes date de l’époque sumérienne, il y a 6 000 ans. Mohamed n’était pas né, ni Abraham. Alors l’aspect religieux… C’était une décision politique, destinée à humilier les femmes qui avaient tenu le haut du pavé pendant des millénaires et qui ne s’étaient pas privées de humilier, de bafouer les hommes. Pourquoi se gèner?

Je dis non à la haine des femmes. Vive l’égalité des sexes. Il n’y a que cela de valorisant. Pensons à toutes ces femmes qui sont venues ici avec l’espoir d’avoir laissé derrière elles cette civilisation qui les méprisait, les bafouait, les maltraitait. C’est un devoir de solidarité envers ces femmes qui attendent notre aide. En interdisant le port de quelque voile que ce soit, nous venons en aide à toutes ces femmes que leur famille contraigne à se déguiser. Elles devront bien un jour sortir de leur maison et ce jour, elles sortiront libres, émancipées, grâce à nous qui les auront protégées.

L’Islam exige que les musulmans respectent les lois du pays où ils résident. Nous n’avons aucune raison de nous priver de les contraindre à vivre selon nos valeurs. Ils doivent s’adapter, point à la ligne.

Les islamistes nous méprisent. Les musulmans nous respectent. Sachons faire la différence. Soutenons les musulmans assoiffés de justice. C’est pour cela qu’ils ont choisi le Canada, le Québec.

Solidarité.

La FFQ a envoyé un communiqué pour expliquer sa position :

http://www.ffq.qc.ca/2010/11/la-federation-des-femmes-du-quebec-ne-defend/

Elle nous dit entre autre:

«Nous croyons qu’il est préférable de cerner les impacts d’un tel projet avant de l’étendre plus largement. Cela explique notre réserve à y inclure les services de garde en milieu familial. Nous proposons au gouvernement de commencer avec les services publics et la fonction publique afin d’évaluer s’il y a lieu de l’étendre à d’autres secteurs.»

«Cerner les impacts» de l’actuel projet de loi….on est pas mal fins les québécois de s’en soucier. Et si les impacts sont négatifs, on recule?

Les terrains laissés libres par la Loi seront-ils investis au maximum pour nous en imposer? On connait leurs discours de domination, qui ne s’embourbent pas de nuances, dans leurs lieux de culte, même ici à Montréal.

Difficultés d’emploi, nous dit aussi la FFQ, à cause qu’elles portent le niquab par choix ou par coercition…Elles ont immigré pour avoir une meilleure vie. Elles sont chanceuses, les femmes d’ici ont, depuis plusieurs décennies, vu à ce nous ayons accès à l’éducation, au monde politique, de la finance, à l’emploi…enfin à tout ce qui fait partie du monde.

Pour nous, il n’est aucunement question de renoncer à quoi que ce soit d’un seul iota. Ni de refaire nos combats et remettre en question nos libertés tout à fait légitimes et qui ne mettent aucunement l’humanité en péril.Tout est là pour elles. Ces femmes n’ont qu’à s’en prévaloir. Nous avons un système judiciaire qui les protège de toutes représailles issues de leurs familles ou de leur communauté si cela devait se présenter. Elles y ont accès comme tous les citoyens et toutes les citoyennes.

S’ouvrir aux autres et comprendre les autres ne se fait pas qu’à sens unique. Je veux bien les comprendre, mais de leur côté elles doivent nous comprendre et connaître leur société d’accueil. Moi si un jour j’entre dans une mosquée, j’enlèverai mes souliers, point final. Je ne remettrai pas en question leurs règlements et ne les ferai pas modifier pour m’accomoder parce que j’ai peur de marcher nu pieds et attraper des microbes.

Concocter des lois à la carte….on va où avec ça?

Voici deux histoires vraies que j’ai vécus

Révolte, lapidation, yeux crevés dans les mouches et Banane

Cinq histoires en une , voilà l’aubaine Sénégalaise musulmane

J’étais à Dakar chez ma soeur , mon beau frère professeur coopérant et leurs trois garçons de 5 , 7 et 9 ans .

Je décide d’aller chercher le PIF à quelques kilomètres à pieds avec mes trois neveux des petits bonds aux yeux bruns

Un peu plus loin de notre domicile il y a un rassemblement de centaines de personnes qui se frappent les uns les autres pour voler du riz dans un immense camions qu’ils ont stoppés .
Le riz tombe dans le sable sale et des femmes à quatre pattes ramassent le tout, sable sale inclus .

Je quitte vite ce lieu de révolte avec mes trois protégés et à peine cinq minute plus tard voilà un autre rassemblement de centaines de personnes qui semblent en colère .
Cette foule lapide une femme d’une cinquantaine d’année qui pleure et s’agrippe au mur à chaque pierre qui l’a blesse. Mes trois neveux trop petits ne voient rien et je décide de quitter au plus vite .
Que celui ou celle qui n’a pas péché lui lance la première pierre . dans cette lapidation musulmane il semble que les lanceurs de pierres étaient tous des Saints et des saintes ?

Quelques rues plus loin un rassemblement d’enfants aveugles aux yeux crevés, par le Marabout , avec des aiguilles demandent l’aumône .

Vite je décide d’un retour express dans le quartier protégé des coopérants chez ma soeur ou tout ce que j’ai vu est confirmé par mon beau frère .

Le lendemain je décide de traverser le désert du Sahara au lieu de reprendre l,avion jusqu’au Maroc .

J’arrive à Saint Louis sur le stop et je me rend au port des pécheurs et au bidonville qui l’entoure .
Dans ce lieu entièrement insalubre j’ai vécu au moins une heure dans des centaines de milliers de mouches , celles ci attirées pas les entrailles des poissons éparses ici et là dans des amoncellement de détritus
Les Sénégalais avaient des mouches partout plein le visage et ne prenaient même pas la peine de les enlever .
C’est dans cette poubelles à ciel ouvert que j’ai trouvé mon singe Banane avec qui j’ai traversé le Désert du Sahara
À preuve que les lotus poussent dans les excréments .
Tout cela est impossible à oublier

Et la deuxième aussi inoubliable

120 yeux me regardent ((Iran)

Assis face à l’entrée du restaurant à la première table mon amie face à moi , elle se met à pleurer doucement . Qu’est ce qu’il y a ? Ils me regardent dit -elle, ils me regardent sans cesse .
Changeons de place dis-je et à sa place je constate que les 60 hommes présents dans le restaurant la regardent maladivement même de dos .

Et devant un repas pas agréable du tout elle me dit tu sais si je pleure ce n’est pas seulement à cause de ces 120 yeux de malades mais c’est parce que sur la rue lorsque nous marchons et que tu photographies ils passent à côté de nous et ils me touchent partout.

Je me disais : il ne doit pas y avoir autant de maniaques sexuelles même si mon amie brésilienne est superbe dans sa forme dans ses cheveux dans sa gestuelle et par ses vêtements et que dire de son visage unique au monde .

Je lui dit que je vais la protéger et que la manière que nous allons marcher ensemble pour visiter la Banque d’ali Baba ( des dizaine d’immenses urnes de diamants d’émeraude , d’améthyste etc) et d’un des palais richissime de Shah d’Iran à Téhéran ils ne pourront plus te toucher et s,ils te touchent je vais réagir.

Un premier maniaque lui touche et mon poing s’élance , il dégage en louvoyant, puis un deuxième , puis un troisième et nous retournons à l’hôtel .
J’ai commencé à comprendre que ce n’étaient pas des maniaques sexuels mais des fous de Mahomet qui voulaient l’obliger à se voiler .

Mon amie ne voulait plus sortir de l’hôtel même habillée pour les circonstances de cette Révolution islamiste totalitaire . Nous traversons et quittons l’Iran vers l’Afghanistan et là à Kaboul seulement une bonne partie des femmes sont sous des tentes grillagées complètement rédicules et le pire dans ces deux pays dans les transports il y a une section pour les hommes une section pour les femmes.

Comment une femme et même un homme peuvent sortir de ces genres d’évènements en restant normaux ? Impossible

Jamais dans ces transports d’apartheids sexistes jihadistes nous nous quittons des yeux

Je t’aime Elsa

Michel Guay