Depuis le printemps 2009, les sondages ont indiqué à répétitition que plus de 80% des Québécois la veulent, cette commission d'enquête publique sur les allégations de collusion et de corruption dans l'industrie de la contruction, le processus d'octroi de contrats gouvernementaux et le lien de tout ce portrait pas très joli avec le financement des partis.
Rien de moins.
Mais rien ne fut, ni ne sera fait en ce sens..
Et donc, depuis le printemps 2009, le gouvernement Charest martèle qu'il faut s'en remettre à la police… Tenez, «martèle», ça rappelle «Marteau»…. comme dans «Opération Marteau»…
Mais depuis deux semaines, la mafia et les allégations de corruption au niveau municipal opèrent un retour en force dans l'actualité.
«Les nouvelles révélations quant aux liens entre la Mafia et l'industrie de la construction au Québec ont rebondi aujourd'hui à l'Assemblée nationale.Pour la chef de l'Opposition péquiste, Pauline Marois, les reportages qui révèlent que la mafia recueille 5% des contrats obtenus par un cartel de 14 importants entrepreneurs québécois démontrent la nécessité de tenir rapidement une enquête publique sur l'industrie de la construction. (…)
«Pendant combien de temps nos taxes vont-elles faire vivre la mafia?» a lancé Mme Marois à l'Assemblée nationale.
Mais pour le premier ministre Charest, les révélations de Radio-Canada démontrent justement qu'il faut s'en remettre aux enquêtes policières. Ces enquêtes sont les seules susceptibles de déboucher sur des accusations criminelles.» Extrait de: http://www.cyberpresse.ca/actualites/quebec-canada/politique-quebecoise/201011/10/01-4341255-mafia-et-construction-les-enquetes-avancent-assure-charest.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_B4_manchettes_231_accueil_POS2
Voir aussi: http://www.radio-canada.ca/nouvelles/societe/2010/11/09/002-liens-rizzuto-construction.shtml
Et au Téléjournal de ce soir, il y aura un reportage sur des proches de la mafia et des dirigeants de la FTQ qui auraient acheté des condos dans une tour financée par un prêt illégal.
Ouf… N'en jetez plus, la cour est pleine…
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Dans ce contexte empoisonné, pas surprenant que ce matin, le tout ait rebondi, une fois de plus, à la période de questions. La routine habituelle, quoi.
Alors que la chef de l'opposition officielle, Pauline Marois, parlait de la nécessité de briser l'«omerta» entourant ce qui est en voie de devenir une véritable montagne d'allégations troublantes et qu'on accusait le gouvernement, par son inaction, de se faire le «complice» du crime organisé, le premier ministre, le ministre de la Sécurité publique, le ministre de la Justice et le ministre des Affaires municipales ont entonné en choeur leur même refrain: attendons le résultat des enquêtes policières!
Nonobstant, bien entendu, ce petit détail: des corps de police eux-mêmes ont demandé une enquête publique….
Mais ce matin, l'Oscar du cabotinage est allé au ministre des Affaires municipales, Laurent Lessard.
Répondant à une énième question de l'opposition officielle sur le sujet et se remettant toujours aux pouvoirs magiques de la police plutôt qu'à une commission d'enquête, il s'est exclamé à propos d'on ne sait trop qui, dans les faits: «On veut pas les envoyer à la télévision, on veut les envoyer en prison!»
Eh bien, les Québécois aussi, ils aimeraient voir en prison ceux qui volent les fonds publics par corruption et collusion… mais ils craignent, voyez-vous, de ne pas vivre assez vieux pour le voir.
Ce qu'ils veulent, c'est qu'une commission d'enquête publique et indépendante déconstruise – si vous me passez l'expression dans les circonstances – le SYSTÈME qui semble s'être installé.
Ce qui, en passant, n'empêcherait aucunement la police de faire son boulot. Bien au contraire…
Or, dans la mesure où plus le temps passe, plus les allégations se multiplient et plus le premier ministre refuse d'agir de manière concrète, il ne pourra dorénavant reprocher à la population de croire dur comme fer qu'en bout de piste, son gouvernement aurait peut-être des choses à cacher.
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@ Et ce petit rappel: http://www.voir.ca/blogs/jose_legault/archive/2010/10/27/mafia-construction-amp-politique.aspx
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@ Photo: PC
Notre gouvernement très provincial sent la mafia à plein nez. Les amis de nos amis qui fournissent à notre caisse électorale sont nos grands amis.
Le PLQ Charest remercie, au nom de sa caisse électorale débordante, le saint frère André pour faveurs obtenues. Le PLQ au grand complet devrait monter les marches de l’Oratoire à genoux dimanche prochain. L’argent, autrement, est si difficile à collecter.
Il me semble que suite aux pratiques controversés mises à jour par les journalistes de l’émission « Enquête » et du style de gestion particulier de Marc Gascon, maire de St-Jérôme et actuel président de l’UMQ, ce magistrat n’a d’autre option que de se retirer de toutes les charges publiques encore sous son influence.
À défaut, les autres membres de l’UMQ et du conseil municipal doivent convenir qu’ils entérinent les pratiques en cours au sein de la ville de St-Jérôme, opinion qui n’est pas nécessairement partagée par les citoyens honnêtes qui regardent jongler ce cirque.
Avec ou sans le consentement de la médiocratie libérale, nous l’aurons cette enquête publique portant sur la proximité entre le crime organisé, le domaine de la construction, le financement des partis politiques et l’attribution des contrats du ministère public aux généreux donateurs à la caisse électorale dont les protégés présentent des CV identifiés par des post-it ! Gouverner par patronage équivaut à faire la promotion de la médiocrité. Le gouvernement de JJ Charest est l’incarnation de cette sinistre réalité.
La mafia veut poursuivre le gouvernement Charest pour atteinte à leur réputation.
http://blogues.canoe.ca/ygreck/general/mafia/#comments
Nos taxes et impôts font vivre les entrepreneurs qui font vivre la mafia qui fait vivre les politiciens qui font vivre les entrepreneurs qui font vivre la mafia qui fait vivre les politiciens qui font vivre les entrepreneurs qui font vivre la mafia qui fait vivre les politiciens qui font vivre les entrepreneurs qui font vivre la mafia qui fait vivre les politiciens qui font vivre les entrepreneurs qui font vivre la mafia qui qui fait vivre les politiciens qui continuent à nous taxer et à nous imposer qui ….
C’est t’y assez beau ça ! C’est ça un PPP ? La ré-ingénierie de l’État, ça doit être ça.
«Malheureusement, nos politiciens sont soit incompétents, soit corrompus. Quelquefois les deux en même temps, le même jour.»
[Woody Allen]
Les citoyens de Kamouraska écoutent ils les mêmes nouvelles que nous ? C’est ce que nous sauront le soir de l’élection.
@ Mario Goyette: excellent ! lol
Bref, si je comprends bien, voter pour le PQ, c’est risquer un référendum et une commission d’enquête.
Continuer à voter ou soutenir le PLQ, c’est faire confiance à un état policier qui refuse d’écouter la police ou de suivre la tendance lourde d’une série de sondages qui vont dans le sens contraire de la volonté bienveillante du PM du Québec.
C’est bizarre, on reproche souvent aux politiciens de gouverner au pif, déplaçant le gouvernail au gré des marées dans l’opinion publique.
Toutefois, on ne semble pas trop s’attarder au moment fort d’un gouvernement faible lorsque celui-ci décide contre toute logique d’aller dans le sens de l’opinion de la population.
Bien entendu, il ne s’agit pas de devenir fou et de donner le pouvoir à Léger & Léger ou autres fabrique d’opinions mais force est de constater que le rejet de certains chiffres au sein de gouvernement clientéliste en révèle bien plus sur les véritables motivations d’une formation politique que l’on associe depuis bien longtemps, très longtemps, très très longtemps au pouvoir de l’argent et de tous ceux qui nient un simple fait: le Québec est une Nation capable de se gouverner elle-même et qui a intérêt à le fair au plus vite afin de faire le ménage dans son sous-sol et son grenier en même temps.
Suggestion de film pour arrêter de tombée des nues face aux scandales:
1972. Duplessis, et puis après?, de Denys Arcand
ou bien
Duplessis, la série télévisée de Denys Arcand
Note en passant, il est assez comique de constater que Jean Lapointe aura été la « vedette » du film Les Ordres, celui de la série sur Duplessis… pour finir sénateur à Ottawa… Comme quoi, quand ça paye pas, c’est Québécois. Quand ça paye, c’est Ottawa.
@ Denis Drouin
Bravo! Vos venez de décrire le mouvement perpétuel! Vous devriez faire breveter votre invention, vous deviendriez riche à craquer.
Jean Charest préfère s’en remettre à la police, moins compromettante qu’une commission d’enquête.
http://www.youtube.com/watch?v=RE0xuiX54P8
Effectivement Charest et ses commandités organisés en mafias méritent la prison à vie sinon l’exclusion hors Québec .
@ Mario Goyette
Dommage que l’escouade Dunkin Donuts aient été remplacée par l’esprit scout des Timbits.
@ Michel Guay
Pas besoin d’excommunier qui que ce soit. Nous sommes à une époque écologique, tout ce recycle, même les déchets de la société.
C’est méchant, je sais. Mais quand des hommes honorables se mettent à sentir aussi mauvais, on ne peut pas reprocher à la population de parler de poubelle, de ménage ou de recyclage en public…
Charest, sur cette photo, a l’air du diable en personne. Il ne lui manque qu’une belle paire de cornes rouges pour faire le plus bel effet de la réalité démoniaque.
@ Gilles Bousquet
Ne parlez pas du diable en plus, lui aussi pourrait se sentir insulté… s’il existe, bien sûr. 😉
« Jésus est bon, Jésus est partout
Mais la modération a bien meilleur goût »
RBO
Soyons sérieux! On ne va pas envoyer en prison de gens respectables qui se contentent de cinq % d’écrêmage. (pizzo) Allons donc.
De plus, ça marche. On construit à bras raccourcis, pas le CHUM, j’en conviens, mais on construit, on reconstruit, on démoli s’il le faut. Tout baigne. Tout le monde y trouve son compte. Enfin, les gens qui comptent y trouvent leur compte. Et en plus, tout ce beau monde contribue au parti. Que veut-on de plus.
Tout baigne, enfin, pour nous, au pouvoir. Alors, qu’on nous lâche la grappe avec des enquêtes qui ne nous apprendront rien. On sait déjà comment ça marche, et on en est satisfait. (texte ironique, au cas ou…)
Ici, à Aylmer, il s’en passe des bonnes avec les travaux de reconstruction des routes. On refait et on fait des travaux parfaitement inutiles, mais qui coûtent cher aux contribuables. On se garde bien de refaire, corriger des petites routes défoncées car elles sont petites précisément. Une grosse compagnie y trouverait pas son compte. Alors on » répare » des artères importantes pour faire plaisir aux amis. Faut bien que ça serve, des amis. Retour d’ascenseur. C’est la moindre des choses.
Ce n’est pas pour rien que le parti au pouvoir résiste de toutes ses forces à une enquête publique. Les conséquences seraient désastreuses. Voir le PLC après l’enquête Gommery. Le PLQ devrait changer de nom. J’espère que les Québécois verraient clair derrière cette manoeuvre poudre aux yeux. Un léopard, peu importe le maquillage, porte toujours ses taches sous son déguisement. Demeurons vigilants.
Voici ce que j’ai trouvé en seulement quelques secondes de recherche sur Internet, un article de La presse qui date de Février 2005.
Vito Rizzuto et la mafia canadienne auraient eu des milliards à investir dans le pont de Messine
André Cédilot
Ce sont des milliards de dollars que la mafia canadienne, avec à sa tête Vito Rizzuto, était prête à investir dans la construction du pont du détroit de Messine, qui doit relier la Sicile et la Calabre, à la pointe sud de l’Italie.
C’est du moins ce que laissent croire des extraits d’écoute électronique que la direction des enquêtes antimafia a rendu publics la semaine dernière, en annonçant l’arrestation, à sa luxueuse résidence de Rome, de l’ancien Montréalais Joseph Zappia, 80 ans, impliqué dans le scandale de la construction du Village olympique.
Dans des conversations que la police italienne a interceptées en 2003 et en 2004, et dont La Presse a obtenu des extraits, le vieil homme soutient qu’il dispose au Canada de 5 milliards d’euros- à peu près 8 milliards de dollars canadiens- pour le projet d’érection du pont entre la Sicile et le continent européen.
C’est en mettant bout à bout le contenu d’une série d’appels téléphoniques entre Zappia et des personnes à Montréal que les spécialistes italiens de la lutte contre le blanchiment d’argent affirment avoir obtenu la preuve de l’implication de Vito Rizzuto. » Il est comme Saddam Hussein, si on l’arrête c’est la fin du monde « , a notamment souligné Zappia, en parlant du chef mafieux montréalais.
Un jour, l’homme d’affaires italien a également informé un proche de Rizzuto à Montréal qu’il ne pouvait absolument pas être vu avec ce dernier, sinon sa crédibilité en souffrirait. » Je ne peux risquer d’être vu avec lui. Je ne le connais pas, et je n’ai pas à le connaître « , a-t-il lancé à son interlocuteur.
La suite
http://www.nicaso.com/pages/doc_page188.html
Charest dit : « Mais pour le premier ministre Charest, les révélations de Radio-Canada démontrent justement qu’il faut s’en remettre aux enquêtes policières. »
Mais c’est grâce à Radio-Canada qu’on en sait plus, pas la police.
Voyez comme il nous remplit
http://www.ecoeurement.com
L’enquête policière ne peut pas faire cesser ces crimes et Charest et sa gang le savent .
Les coupables diront qu’ils sont coupables et jamais comme dans une enquête nous pourrons démanteler ce système fédéraliste mafieux installé au Québec par les libéraux en envahissant les localitées
Plus ça avance et plus mon rêve risque de se réaliser : Jean Charest finira sa carrière politique dans un asile d’aliéné en répétant du soir au matin enchevêtré dans une camisole de force : « Une commission d’enquête… Une commission d’enquête!!!!!!!! HAHAHAHAHAH!!!! ».
Advenant de trop gros soupçons de liens entre le Parti Libéral et la mafia (on jase là… hum hum…), leur obstination à ignorer les avis des journalistes, de la population, de l’opposition et maintenant des policiers… et les risques que ça implique au niveau du maintien de la paix sociale au Québec… est-ce l’ordre de tenir une Commission d’enquête forcée ne pourrait pas venir d’ailleurs? Je ne sais pas moi; d’Ottawa, des Gouverneurs Généraux, de la cours Suprême?
En somme, qui est-ce qui pourrait dire à Jean Charest : TU déclenches une Commission d’enquête que tu le veuilles ou non. On le sait tous, ce n’est pas Pauline Marois qui a ce pouvoir… mais qui l’aurait?
Le PLC et le PLQ couchent dans le même lit. On ne peut rien attendre d’Ottawa.
Les Conservateurs? Ils ne lavent pas plus blanc que blanc. Les Conservateurs sont près des Américains qui se sont toujours bien arrangés avec le crime organisé. Ce que les Américains craignent comme la peste, ce sont les terroristes qui eux s’attaquent au système économique et à ses symboles, humains ou matériel.
Le crime organisé ne dérange pas Corporate America, ni ses succursales au Canada. Cul et chemise, voilà comment ils sont.
Pierre Laporte, protégé par les frères Dubois. Les partis politiques, allimentés par le crime organisé. On pourra toujours attendre une ou des enquêtes. Les justiciers et les justiciables couchent dans le même lit, en cuillères. C’est-y pas beau?
@ Émanuel Champagne
Selon moi, seule une sortie soutenue et massive du peuple dans la rue exigeant la tenue d’une enquête publique ou la démission du gouvernement actuel peut faire plier JJ allias Omerta Charest. Désirer que des
étrangers interviennent pour que cette enquête ait lieu serait, pour le moins que l’on puisse dire, demander de subir une humiliation de plus.
Oublier les combines à la petite semaine. Voici la vrai affaire. Des milliards de contrats attribués par Hydro Québec dans le plus grand secret. Cette société publique (contrôlé par les libéraux) refuse de répondre à une ordonnance de l’Assemblée nationale pour divulgué ses documents aux élus !
http://www.cyberpresse.ca/actualites/quebec-canada/politique-quebecoise/201011/11/01-4341700-le-pq-accuse-hydro-quebec-doutrage-au-parlement.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_B4_manchettes_231_accueil_POS1
La mafia est en train de s’éliminer entre eux..on va sauver des millions, on n aura pas besoin de les garder en prison.
@Jean-Pierre Gascon
Vous le savez comme moi, la population ne se soulève pas. J’ai plutôt peur que cela ne mène à l’émergence de groupes radicaux, voir violents. Nous avons connu de dangeureux précédents ici au Québec et c’est pas si loin de nous que ça…
Le jour où un système sera reconnu comme individu civique, alors on pourra passer les menottes à ce système. C’est niaiseux, n’est-ce pas? L’argument des libéraux aussi.
» Oublier les combines à la petite semaine. Voici la vrai affaire. Des milliards de contrats attribués par Hydro Québec dans le plus grand secret. Cette société publique (contrôlé par les libéraux) refuse de répondre à une ordonnance de l’Assemblée nationale pour divulgué ses documents aux élus ! » M. Pomerleau
Ça c’est sérieux en effet. Qu’une société d’état envoie paître, impunément, l’Assemblée nationale me paraît suspect.
Qui donc contrôle Hydro-Québec? Ce patron est le premier responsable de cet outrage au parlement.
Ne peut-on pas expédier devant les tribuneaux quiconque est coupable d’outrage au Parlement. Je crois que cela se fait au Fédéral.
Il est temps que l’Assemblée nationale s’impose et fasse ce que la loi lui permet : porter des accusations devant les instances appropriées. Se tordre les mains, gémir que le monde est donc méchant n’arrange rien. Il faut mordre. Fini le temps de japper. Si l’Assemblée nationale ne fait pas ce qu’elle peut faire, selon la loi, elle perd toute crédibilité.
J’attends la suite. On veut de l’action! On veut du sang… Que des têtes roulent. 🙂
Quand je me lève le matin et que je me dit que mes impôts vont encore servir à enrichir la mafia et Jean Charest, ça me met en colère.
M. Charest, maintenant que vous avez eu quelques mois de plus pour vous enrichir et pour garnir votre caisse électorale grâce à vos relations mafieuses, allez-vous enfin penser à nous les citoyens qui continuons à bûcher et à suer juste pour garder la tête hors de l’eau tandis que que vous continuez à encourager et alimenter la corruption au Québec ?
Je suis en colère contre tous les politiciens au pouvoir. Ils gardent tous un lourd silence. C’est sans doute qu’ils profitent tous de la «gamik».
Ma colère monte. Elle monte vraiment M. Charest.
Je viens d’entendre sur Radio-Canada à Christiane Charest des personnes commenter sur la nécessité d’instaurer une enquête publique sur la corruption et la mafia.
Anne Lagacé Dowson, Denis Coderre, donc un libéral officiel et une présumée libérale ( anglophone libérale de droite ?) quoi que officiellement candidate du NPD, défendre la position de Charest de ne pas instituer une enquête publique et de laisser faire la police. Bizarre mais prévisible tout de même.
Anne Lagacé Dowson démontre la raison qui fait que le NPD aura encore beaucoup de difficulté à s’imposer au Québec.
Quant à Coderre, il était évident qu’il répugne à se mouiller. Peut-être attend-il le départ de Charest. Pour faire quoi ? pensez-vous M. le président. (sur un air bien connu 😉 )
M. Labelle,
Je comprends votre colère. Je ressens beaucoup de colère moi aussi. J’ai l’impression que Charest et sa gang s’en mettent plein les poches avec mes impôts et mes taxes pendant que moi j’ai toute la misère du monde à rejoindre les deux bouts. Il y a tout même une maudite limite à faire rire de nous autres. Une autre affaire qui me choque. Qu’est-ce que fait mon député de Vimont, Auclair, dans toute cette affaire. Le notaire qu’il est profite-t-il des maudits contrats truqués ? C’est y pour ça qu’il se la ferme et ne dit rien. Moi j’aurais aimé qu’il démissionne. S’il l’avait fait, ma foi j’aurais voté pour lui, comme indépendant, pas comme libéral. Fini pour moi les libéraux de connivence avec la mafia de la construction.
Une suggestion en passant. Quand une personne se fait élire pour la première fois, au fédéral, provincial, municipal, on devrait prendre des photos de sa maison pis de son auto au jour 1 et en prendre d’autres après un bout de temps. Là on verrait que c’est pas vrai qu’on s’enrichie pas en politique. C’est le contraire .
Benoit Carré
André Labelle,
M Racine a une suggestion pour canaliser votre écoeurement. Voir son commentaire plus haut.
@ Émanuel Champagne
Avoir peur d’avoir peur n’est pas plus une solution que de faire appel à des sauveurs étrangers. Une cause juste ne peut être défendue que par la détermination et le courage de chacun(e) ayant la volonté de vaincre. Les vers de terre vivent sous le plancher des vaches et font mordre les poissons à l’hameçon et tous les Acurso de ce monde s’en portent mieux.
@ Émanuel Champagne
@Jean-Pierre Gascon
Je reprends une des citations déjà utilisées par M. Drouin :
« «Une petite rébellion de temps en temps, c’est comme un orage qui purifie l’atmosphère.» »
[Thomas Jefferson]
http://communiques.gouv.qc.ca/gouvqc/communiques/GPQF/Novembre2010/11/c3580.html
Jean Charest rencontre Tony Blair.
Été 2011
Jean Charest se livre.
Dans ses mémoires, Jean Charest parle abondamment de la Commission Bastarache qui lui a valu plusieurs critiques et une érosion de cote de popularité. « Sur la base de ce que nous savions, je reste persuadé que laisser Marc Bellemare parler représentait un risque plus important pour la sécurité du parti libéral que de le renverser. »
Du reste, histoire de redorer son image de perroquet de Paul Desmarais, Jean Charest a cédé les droits de ses mémoires à un centre de réhabillitation pour avocats libéraux blessés au combat.
http://www.radio-canada.ca/…/006-tony-blair-memoires.shtml
http://www.radio-canada.ca/…/006-tony-blair-memoires.shtml
http://www.radio-canada.ca/nouvelles/International/2010/09/01/006-tony-blair-memoires.shtml
Cette fois, c’est la bonne.
Les envoyer en prison?
Que voilà une idée intéressante, quoique un peu embêtante… Parce que, paraît-il – je n’y ai personnellement jamais fait de visite (sauf au Monopoly…) – donc paraît-il que les prisons sont archi-pleines. Très populaires, nos prisons. La bonne compagnie ou la cuisine raffinée, peut-être…
Mais, plutôt que de leur faire construire des routes, puis les détruire afin de pouvoir les reconstruire, pour ensuite les recouvrir d’un pavé qui ne dure pas et continuellement dû pour un autre repavage de qualité douteuse, pourquoi ne pas occuper nos malfrats à enfin construire quelque chose d’utile et nécessaire: une bonne grosse prison!
Une prison située assez loin de tout, avec une route longue de plusieurs dizaines de kilomètres pour y arriver. De la sorte, ceux incapables de construire autre chose que des routes pourront s’occuper à leur spécialité pendant des kilomètres tandis que les plus versatiles pourront s’atteler au bâtiment perdu bien loin dans le décor.
En fin de compte, notre problème aura en grande partie été réglé par ceux-là même qui causent ledit problème. Tous ces malfrats pourront se retrouver entre amis et connaissances dans « leur » prison, au bout d’interminables kilomètres d’une route qui ne manquera certainement pas de se dégrader sous peu (comme toutes les autres), isolant alors davantage encore la bande de magouilleurs.
Et plus personne ne pourra crédiblement oser se moquer d’un ministre qui affirmerait haut et fort qu’il veut les envoyer en prison! Parce que de nouvelles places en prison, il y en aurait désormais.
(Faudrait ensuite songer à de nouvelles places en garderie, de nouvelles places à l’hôpital, de nouvelles places en résidences pour aînés, de nouvelles places… mais, chaque chose en son temps… Tout d’abord, de nouvelles places en sécurité maximum, ce serait un excellent premier pas!)
Pourquoi pas!
http://www.premier-ministre.gouv.qc.ca/
Je croyais que nous avions déjà un pénitencier au bout du monde. A Port-Cartier ou dans ce coin-là. Ce pénitencier a été qualifié d’inhumain car trop loin de la civilisation. Ce qui contraignait les visiteurs, parents et amis, à de très longues heures de route, des jours pour certains, et n’était pas bon pour le moral des hôtes de ces bois.
Je ne sais pas si on a déjà fermé ce pénitencier, mesure d’économie, mais M. Mulroney avait trouvé à l’époque que d’expédier des méchants à l’autre bout du monde était une bonne idée. Ça leur ferait les pieds.
Notre société est bien malade. Accorder toute cette importance à l’assassinat du chef de la vermine au Québec me donne beaucoup à penser. Drôle de sens des valeurs.
Le Parrain de la mafia fédéraliste le libéral John James Charest de la loge irlandos anglos orangiste semble vivre ses derniers jours avec ses collecteurs de fonds
2010, l’odyssée du vide libéral.
Le parr, le chef libéral John James Charest se moque de la « planète péquiste » alors que ses troupes sont perdues dans l’espace, en hibernation prolongée.
Comme le disait Charles Patenaude, le capitaine du Roméo Faffard dans une Galexie près de chez-vous: La nuit porte… la nuit porte… la nuit porte de garage..
M. Gingras, vous allez choquer les gens de Port-Cartier avec votre « à l’autre bout du monde ». Ils vont vous répondre que c’est vous qui êtes à l’autre bout du monde comme père de M. Gilles Vigneault qui répondait « Loin de quoi » à un journaliste qui lui disait : Vous demeurez loin M. Vigneault.
Dans ma hâte, j’ai oublié d’écrire que le père de M. Vigneault demeurait à Natashquan PQ et que « loi de quoi prend le signe ? à la fin.
Esssspliquez moi, un PQ tres tiède…ce que fait Duceppe en train de vendre la souverainneté en Espagne ou on lui demande c est ou le Québec et en France ou Sarko en a plein les bras. Charest en dans la cave et personne ne prend les guides au PQ. On ne gagne pas de terrain et pendant ce temps on parlotte blah blah blah..INCROYABLE..Y a tu un maitre dans la maternelle !!
Y en aura pas d’enquête sur l’Industrie de la construction. Est-ce qu’on pourrait gazouiller sur un autre sujet. On l’a pourtant vu. Devant une Commission d’enquête, les principaux témoins perdent la mémoire, n’ont pas d’agenda, n’ont pas de régistre téléphonique, disent le contraire de l’autre. Et on n’est pas plus avancé…
Faut-il le répéter, la Commission Gomerey n’a fait condamner personne. Ceux qui ont été condamnés faisaient déjà l’objet d’enquêtes policières, avant que la Commission Gomerey ne commence ses travaux. Si l’Opposition et le gouvernement se mettaient d’accord pour resserrer les contrôle des administrations municipales, des syndicats, des processus de soumission, des inspections des travaux en cours, etc… Et que les corps policiers ont les moyens de bien faire leur travail, on verrait de bons résultats.
Mais on n’empêchera pas les traffiquants de tout et de rien de se faire la guerre et de s’entretuer s’ils ne sont pas contents.
M. Paquet vient se statuer qu’il faudrait éliminer toutes les commissions d’enquêtes, vu qu’elles sont totalement inutiles. Profonde réflexion, digne des 499 Libéraux qui n’ont pas voulu appuyer un militant de la circonscription de Groulx, Martin Drapeau, membre du Parti libéral du Québec depuis 30 ans, qui a tenté de présenter un amendement visant la tenue «d’une vaste enquête sur l’attribution des contrats publics au Québec, particulièrement à l’industrie de la construction.
À Gilles Bousquet et autres idéalistes. Il n’y aura pas de Commission d’enquête sur la situation dans le domaine de la construction, de la Mafia et de la collusion entre les syndicats, les firmes professionnelles et les contracteurs, parce que c’est la société québécoise dans toute sa diversité et avec toutes ses institutions qui doit régler ces problèmes, chacun dans son domaine.
Il n’y aura pas de Commission d’enquête parce qu’on ne peut pas demander à un gouvernement de se placer encore une fois dans une situation défensive, comme il l’a fait dans le cas de la commission Bastarache, où les activistes préfèrent croire ceux qui affirment plein de choses, sans aucune preuve, que d’attendre de voir si les accusations ont quelque fondement.
Il n’y aura pas de Commission d’enquête sur l’Industrie de la construction parce que les membres du gouvernement savent très bien que les critiques qui leur sont adressées le sont souvent par des partisans et des dirigeants de l’Opposition qui, faute d’idées et de programme cohérent pour se présenter en alternative crédible, préfèrent alimenter la grogne en multipliant les invectives et insultes qui n’ont rien à voir avec la réalité et avec l’exercice du pouvoir.
Il vaut mieux, à mon avis, mettre en place toute une série de mesures concrètes, pour faire échec au crime organisé sur le terrain, que de décréter une Commission d’enquête, tous les 10 ans, pour se rendre compte que, quelques années plus tard,on se retrouve encore au même point.
En guise de conclusion, je répète que la politique n’est pas faite par des anges, et que les occasions seprésentent, au cours d’élection partielles et d’élections générales pour « mettre dehors » un gouvernement qui ne ferait plus sont travail. Mais, avant de décider de le mettre dehors, les citoyens sont heureusement encore très nombreux à se demander par quoi on pourrait le remplacer.
Pour octobre 70 on a envoyé l’armée, pour la crise Mohawk on a envoyé l’escouade spéciale de la police, pour les sommets grand G on envoie la gendarmerie royale et l’anti émeute mais pour les sérieux soupçons de corruption à même les fonds publics, la petite police locale fait l’affaire….eh ben…
@ Georges Paquet
« Faire le mou et se taire » est la devise des vers de terre; vous ne voulez pas envoyez les bandits en prison, vous voulez seulement leur faire perdre les prochaines élections. Comment allez-vous enquêter sur l’allégation d’un système mafieux de financement du parti libéral autrement que par une commission d’enquête publique ? JJ Charest, par l’Opération marteau, maintient le secret et berne les Québécois. En mettant que de petits poissons en prison, croyez-vous que nous aurons assaini notre gouvernance et administration publique ? Tant qu’à faire, pourquoi ne pas inviter la mafia à déménager son siège social de la Sicile à Montréal ?
Loin de quoi? en effet. Tout est relatif. Loin de l’ouest du Québec, de Montréal, de Québec, allouette.
A Lévis, on a vu ces centaines de Libéraux bon teint faire corps avec les instances du parti. Le Chef ne veut pas d’enquête publique? Il n’y aura pas d’enquête publique. Affaire classée.
Que va faire le PQ de retour au pouvoir? Deux choses : une enquête publique, et remettre les fusions comme il les avait créées à l’origine. Une île, une ville. Finis les folies.
J’ai hâte de voir ça. Combien d’anglophones de l’ouest de l’île vont émigrer vers des cieux plus cléments et anglophones? On va bien rire.
M. Gingras, quand les anglos partent, c est aussi une partie des impots qui partent. Si ils partent ..ils en ont les moyens et ont été éduqués a nos frais en général.. et nous nous resterons avec les BS des ghettos ou on ne parle pas francais non plus.Le Québec est dans une impasse impossible a résoudre et quand on voit nos cheufs de toutes couleurs..je pleure.
@ F. Langlois
« Pôvres petits Kébékois que nous sommes !!! » Si les anglos partent nous ne serons plus que seuls au monde !!! « Ah! pôvres pôvres de nous » Sniff! Sniff!
Jen-Pierre Gascon est très chanceux que la liberté d’expression, parfaitement respectée ici, lui permette de dire n’importe quoi. Trop facile d’insulter le gens, en les traitant de « vers de terre », et d’affirmer haut et fort, sans aucune preuve qu’il existe « …un système mafieux de financement du parti libéral… »
Allez-y, lancez vote merde à tout hasard, elle finira bien par éclabousser quelqu’un.
@ Georges Paquet
Peut-être lisez-vous ce que vous voulez bien lire. Vous omettez le mot « allégations » dans votre citation. En tout respect des opinions des blogueur(e)s j’émets aussi les miennes qui peuvent être naturellement toutes à l’opposé. Le chapeau vous va ou pas, à vous d’en juger.
Il existe un moyen, au-dessus de tout soupçon, qui permettrait au parti de ce gouvernement de dénouer le nœud gordien des allégations qui ’étoffent un peu plus à chaque jour qui passe, lequel se resserre d’autant plus que son chef se débat à tort et à travers, ce qui ne convainc plus personne, ni même les membres de sa propre formation, pour tenter de faire comme si ces allégations ne concernaient, ni de près ni de loin, des personnes impliquées dans le financement des partis politiques.
Ce moyen, tout le monde le réclame, sauf deux acteurs : le parti libéral et son chef d’une part et le secteur d’activité touché par ces allégations d’autre part. Est-il vraiment nécessaire d’en rajouter ?
Ne pleurez pas trop sur les pauvres québécois, M. Langlois, parce qu’il y a plein de riches qui cachent leurs biens dans les paradis fiscaux, ce qui rapporte à nos gouvernements…strictement rien. Nous avions même un riche ministre des finances qui ne se gênait pas pour y avoir recours. Il y en a déjà beaucoup qui sont partis pour l’Ontario quand le PQ a été élu en 1976 et qui sont revenus par intérêt.
Je trouve dommage que certaines personnes peuvent dire les pires bêtises allègrement mais que si quelqu’un (je l’ai fait) se lève pour dénoncer leurs âneries, leur (mon) commentaire n’apparait pas dans ce blogue.
Quelqu’un pourra écrire :«lancez vote merde à tout hasard, elle finira bien par éclabousser quelqu’un.» Ce sera bien. Mais on m’enlève le droit de lui répliquer sur le même ton. Jouit-il d’une immunité du seul fait qu’il accapare l’espace de ce blogue?
Benoit Carré
M.Georges Paquet
C’est faux «que la liberté d’expression, parfaitement respectée ici, lui permette de dire n’importe quoi.»
La liberté d’expression n’est pas respectée. Je crois donc qu’il y a de la censure.
En effet hier j’ai écrit un texte qui n’a pas été présenté. Il a donc été censuré. Dans ce texte je réagissais à certains de vos commentaires que je trouvais ahurissant de bêtise et de malhonnêteté intellectuelle. Je déplorais le fait qu’on semblait vous laisser dire n’importe quelle bêtise sans que personne ne réagisse. J’allais même jusqu’à me poser cette question : êtes-vous mandaté par les responsables de ce blogue pour jeter de l’huile sur le feu et ainsi alimenter la discussion. Je posais cette question car je ne pouvais pas comprendre qu’une personne comme vous, semblant normalement intelligente pouvait écrire de telles énormités particulièrement dans votre dernière missive s’adressant à «Jen-Pierre Gascon (sic)» 14 nov. 2010, 15:00
Salutations,
Benoit Carré
@ Benoit Carré
Vous avez raison de relever l’existence d’une certaine censure puisque sur tout site public de blogueurs on avertit de la modération (censure) avant parution de tout blogue. Cet exercice de modération ne peut être parfait et moi je l’accepte en autant que les opinions des blogueurs reflètent une diversités d’opinions (pour vs contre). Lorsque qu’on utilise des injures grossières cela se retourne généralement contre son utilisateur; mais faut-il d’abord reconnaître ce qu’est une injure, de l’ironie, une raillerie, une métaphore, une litote, etc. avant de conclure à l’injure (sans parler de la sensibilité des oreilles et des yeux de chacun(e) dans leur lecture (perception) qui, vous le savez, est très variable).
Bien à vous collègue blogueur !
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