Vous avez peut-être vu les deux entrevues dominicales de Jean Charest? Celle donnée à Larocque-Lapierre (TVA) et celle accordée à Tout le monde en parle (SRC)…
http://www.ledevoir.com/politique/quebec/312466/offensive-mediatique-de-charest
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Voici comment je voyais le contexte politique et médiatique dans lequel ces entrevues allaient se dérouler:
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Comment «survivre» politiquement?
Sans surprise aucune, M. Charest a donné, encore une fois, les mêmes «explications» qu'il fournit à répétition.
Mais dans ces deux entrevues, il a également martelé qu'il comptait sur les éléments suivants pour tenter de survivre politiquement à 2011:
1) La création d'une unité «permanente» de lutte contre la «corruption» basée plus ou moins sur le modèle de New York;
2) La «volatilité» de l'opinion publique (et pourtant, la tendance contre son gouvernement dans les sondages est marquée depuis un an et demi…);
3) Que ce n'est «pas seulement» lui qui serait blâmé par la population, mais «toute la classe politique»;
4) Une élection fédérale qui aurait probablement lieu, selon lui, au printemps ( le premier ministre semble considérer que cela l'aiderait?…);
5) Que l'exploitation des gaz de schiste se ferait selon les «meilleures» normes «au monde» (!?!?);
6) Un discours inaugural;
7) Bref, selon le premier ministre: «la nouvelle année va nous permettre de nettoyer l'ardoise sur un certain nombre d'enjeux»…
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Un 4ième mandat?
Bien entendu, M. Charest a déclaré qu'il finirait son mandat et en demanderait même un quatrième!
Mais que pouvait-il dire d'autre?
De fait, à ce chapitre, il est loin d'être le premier chef de gouvernement au monde à jurer, la main sur le coeur, qu'il ne quittera pas… et ce, avant de le faire tout de même lorsque la situation devient proprement invivable pour le chef, son gouvernement et son parti.
D'ailleurs, les chefs de gouvernement aux prises avec des fins de régime pénible et/ou qui font face à une défaite presque certaine en fin de deuxième mandat, eh bien, la plupart ont simplement tendance à trouver un prétexte quelconque pour démissionner quelque part avant la fin de leur ultime mandat.
Au Canada ou au Québec et ce, seulement dans l'histoire très récente, on peut penser à Brian Mulroney, Lucien Bouchard, Pierre Trudeau, etc…
Que voulez-vous? Les «sauveurs» finissent presque toujours par se sauver…
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80% des Québécois ont-ils tort?
Mais voici ce qui m'a le plus frappée chez M. Charest, autant dans ces dernières entrevues, que dans ses nombreuses interventions et discours des dernières semaines, incluant évidemment, lors des périodes de questions:
c'est en fait de voir un premier ministre occuper de multiples tribunes dans le seul et unique but de tenter de convaincre les Québécois que 80% d'entre eux ont irrévocablement tort depuis dix-huit mois d'exiger la création d'une commission d'enquête élargie...
Un peu comme si M. Charest ne voyait pas qu'en s'entêtant ainsi, son véritable message est que seul lui et son gouvernement ont raison sur le fond de cette question, alors que la vaste majorité des citoyens, eux, n'y comprendraient rien.
Et, en passant, ce n'est certainement pas en répétant ad nauseam qu'une commission d'enquête serait une «mauvaise idée» parce que «ça prend un an avant que ça parte», que le premier ministre convaincra qui que ce soit.
Dans la mesure où, dans les faits, cela fait déjà un bon gros dix-huit mois que les Québécois en réclament une. Et qu'en avril 2009, on marquera déjà le deuxième «anniversaire» de la première demande présentée en ce sens par l'ADQ…
Alors, un quatrième mandat pour le premier ministre?
Évidemment, tout est possible en politique. Même ce qui est hautement improbable.
Mais mon petit doigt me dit que même un joueur de la trempe d'un René Angélil ne miserait pas très cher là-dessus…
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@ Photo: Cyberpresse
@ Pour visionner Tout le monde en parle: http://www.radio-canada.ca/emissions/tout_le_monde_en_parle/saison7/document.asp?idDoc=127209
Réponse catégorique à la question évoquée dans le titre du billet: NON!
En effet le Premier Ministre est en grande tournée pour nous « chanter la pomme », et tel un rossignol qui n’émet que trois ou quatre sons, il ne cesse de répéter les mêmes idées saugrenues.
C’est la tactique de la tentative d’épuisement, où l’on dit au gouvernement libéral, qu’à force de refuser l’inévitable, l’inévitable va disparaître, non pas parce une autre option plus logique va apparaître, mais parce que la population va s’épuiser à force de crier son mécontentement.
Mais ce pari du gouvernement Charest est voué à l’échec. Cette fois-si son bluff ne passe pas, nous savons tous que les cartes dans sa main sont inadéquates pour remporter la mise, son « poker face » laisse transpirer trop de failles.
Que dire de plus?
Votre analyse est juste et on ne peut qu’y souscrire.
Fasse le ciel que Jean Charest piétine le Chemin de Damas, tombe en bas de son cheval et débarasse le plancher au triple galop, ventre à terre, après être remonté en selle tout de même. 🙂
Que le ciel vous\nous entende.
Amen
Peut être suis-je optimiste mais je crois que cet homme traqué de toute part n’attend que le moment et les circonstances les plus favorables pour son départ.
Personnellement il n’a plus rien à gagner d’être le chef de son parti et Premier ministre de la colonie; la collusion et la corruption est dans la mire de tous au Québec et il a du renoncer, pour les années futures, à sa prime annuelle de 75,000$ reçue du Kwibek Liberal party depuis 10 ans.
Je n’ai absolument pas été impressionné par la prestation de M. Charest, hier à TLMP. Il ne m’a pas convaincu non plus de la justesse de sa position sur les nombreux dossiers litigieux sur lesquels il continu à avoir une attitude méprisante pour les citoyens.
Je continu à penser que le gouvernement Charest devrait être chassé le plus rapidement possible. Or pour y arriver je n’ai qu’un seul espoir: que quelques simples députés libéraux quittent les rangs de leur parti corrompu pour siéger comme indépendants, rendant ainsi possible l’adoption au printemps prochain d’une motion de censure envers le présent gouvernement, provoquant ainsi des élections générales.
Ces quelques députés rendraient ainsi un très grand service aux citoyens québécois et plusieurs leur en seraient très, très reconnaissants.
Bref, je ne vois pas ce que Charest avait à faire là. Il m’a juste conforté dans ma colère contre lui et son gouvernement corrompu.
«Le gouvernement s’occupe de l’emploi. Le Premier ministre s’occupe personnellement de l’emploi. Surtout du sien.» [Coluche]
En effet, il pourrait bien en gagner une autre avec Mme Marois qui refuse de s’excuser d’avoir participé au vote du 14 décembre 2 000, pour diaboliser M. Michaud, comme un antisémite, pendant que Monsieur Facal s’en est excusé très clairement plus 4 autres députés du PQ dont Mme Beaudoin, et M. Gendron qui l’ont fait dernièrement.
M. Bouchard, inflexible, a préféré démissionner que de s’excuser et il semble que Mme Marois préfère prendre le même chemin de se sentir incapable d’avouer une erreur évidente qui blesse un des siens. Ça va faire 10 ans vendredi de cette semaine. Ça serait le temps de rendre justice à M. Michaud, chaud défenseur du français au Québec.
Dans notre système actuel « un quatrième mandat » est malheureusement possible même pour un parti qui agit contre l’intérêt et la volonté de la très grande majorité de la population, même 80%. Dans cette situation actuelle, il est clair que notre système électoral et de gouvernance n’est pas a la hauteur. Après tout, il date d’une époque, où la moitié de la population n’avait pas le droit de voter(femmes), quand on ignorait le nombre de planètes dans le système solaire et quand les meilleurs chirurgiens étaient ceux qui pouvaient amputer un membre le plus rapidement. Comment peut-on qualifier un gouvernement qui agit contre la volonté de 80% de la population de démocratique? A mon avis la population doit se mobiliser et mettre de l’avant un système électoral plus démocratique, plus proportionnel et représentatif, moins perméable à la corruption, financé publiquement, plus ouvert et moins hiérarchique(ligne de parti, omerta, nomination partisane), sujet a des choix démocratiques spécifiques(initiatives, élection de ministre ou de président de société d’état) et a la sanction de la population(rappel).
Un ami me disait que nous devrions corrompre le PM pour qu’il parte. Il y a présentement près de 250 000 personnes qui ont signé la pétition exigeant sa démission. Si tous ceux et celles qui ont signé la dite pétition, donnaient 10 $ chacun, on aurait 2 500 000 $ à lui donner pour qu’il quitte.
Moi pour 10 $ je trouve que ça vaudrait le coup.
Benoit carré
Laval
Si M. Charest est élu une quatrième fois, ça sera parce que nous ne méritons pas mieux. Ça ne serait, quand même pas, la faute aux Ontariens.
Jamais tout exploserait
Vous avez bien raison M. Bousquet de viser Mme Marois. Son attitude est injustifiable, indéfendable, méprisable. Cela n’augure rien de bon si jamais elle devenait première ministre.
Nous avons un premier ministre qui se moque de nous et un chef de l’opposition qui se moque de la justice la plus élémentaire. Ça promet.
Je ne croyais jamais dire ça, mais je souhaite, désormais, la défaite de Mme Marois lors du congrès, pour refus de corriger une injustice flagrante, intolérable. Mme Marois n’a-t-elle que des ambitions politiques? Pas de coeur? Humm! Ça sent mauvais…
Maintenant, qui pouraît la remplacer? Quelqu’un qui a demandé pardon à M. Michaud serait un bon début. Au moins, cette personne aurait le coeur à la bonne place.
M. Carré, faudrait avoir un solide contrat, autrement, il prendrait l’argent et resterait en poste.
M. Gingras, si elle ne s’excuse pas rapidement, elle risque de perdre le poste de chef du PQ.
Bonjour
Force est de constater que M.Charest a raison sur un point, les péquistes passent leur temps à se chamailler sur le dos de leur chef(fe) dans l’opposition, imaginez-les aux pouvoir!
En plus, M.Charest tape sur le clou de la peur de la souveraineté pour s’accrocher alors qu’on reproche à Madame Marois de ne pas aller assez vite, chez les siens.
De toute manière, je ne crois pas un seul instant à la sincérité de M.Charest de vouloir rester encore bien longtemps, surtout après une dimunition de salaire de $75,000/an et la défaite dans l’élection partielle de Kamouraska, beaucoup plus humiliante qu’il le laisse paraître.
Sérieusement, c’est Jean Charest qui récolte le taux de satisfaction le plus bas depuis des décennies en tant que PM du Québec… et la solution serait de désavouer le leadership de Pauline Marois en avril prochain après la très récente victoire dans Kamouraska-Temiscouata?!
LOL
Et après on tombe des nues à l’idée que Jean Charest puisse briguer un quatrième mandat!
Pas surprenant. Après avoir fait face à une opposition officielle dirigée par un Mario Dumont ignorant le sens du mot « équipe »; le chef du parti Libéral pourrait VOIR les sondages à son égard redevenir favorable en continuant à faire face à une opposition péquiste incapable de comprendre les vertus d’un leadership tranquille et incontesté de son chef…
C’est si difficile que cela de découvrir ou souligner les qualités de chef d’équipe de Pauline Marois?
Ridicule.
Incroyable mais vrai!
Au lieu d’affûter les couteaux derrière le dos de leur chef, les nationalistes du Québec devraient prendre une résolution en janvier 2011: trouver de nouvelles manières de soutenir et mettre en valeur une femme politique que Jean Charest lui-même louageait lors de son retrait de la politique… avant la déroute du PQ avec Boisclair.
Jean Charest est comme le général La Palice. De lui aussi l’on pourra dire, comme de l’autre : un quart d’heure avant sa mort, il était encore en vie…
À moins de truquer les futures élections, J.J.Charest ne pourra s’offrir contre toute attente de quatrième mandat.
Toutes les démocraties corrosives que nous connaissons parce que carencées dans leur source en accordant un pouvoir ultime de décision à un individu ne le sont démocratiques que médiocrement. Le pouvoir ultime de décision d’un individu en démocratie empêche les discussions à n’en plus finir entre dirigeants. Très bien, le revers de la médaille toutefois c’est de voir au pouvoir des individus comme Sarkozy et Charest rejeté par 75 à 85% de la population citoyenne. Par ce -pouvoir ultime de décision-, J.J.Charest n’a en présence des médias qu’à user du monologue, d’une intonation vocale marqué dans une parole fermée pour se défiler en permanence devant l’opposition populaire. Défilement d’un premier ministre qui ne se sait pas aimé parce que l’ensemble de son œuvre, corruption incluse, mérite un retentissant 2.5 sur 10 depuis 2003!!
Une opposition substantielle au PQ et la croissance-déclin de l’ADQ avec essor partiel de QS dans l’électorat francophone aura permis à un Charest moyennement populaire jamais adulé de rester P.M depuis presque 8 ans. Il est temps que ça cesse, la première condition étant que le PQ retrouve une crédibilité populaire stable ce qui n’est pas connu depuis au moins 10 ans.
C’est pourquoi si madame Marois veut rester chef, elle devra apprendre à reconnaître des erreurs comme celle envers Yves Michaud dont elle est l’une de celles qui ne sont pas excusées dont la député Nicole Léger de Pointe aux Trembles. Les libéraux dont Charest agitent l’épouvantail du nationalisme ethnique face à la motion de réparation de A.Khadir pour Y.Michaud et que fait le PQ en réaction? Il devient confus, il ne sait comment réagir et laisse Charest définir le patriotisme québécois comme malsain. Il est possible pour les citoyens internautes d’écrire dans Contact sur le site du PQ afin d’inviter P.Marois tout au moins en tant que chef d’écrire sa lettre d’excuses envers Yves Michaud par justice et pour elle même dans le but de montrer que son leadership est crédible.
http://pq.org/
Quant à Radio Canada, la chaîne générale devra mettre fin à TLMEP et faire l’adaptation québécoise du talk show français de France 2: On n’est pas Couché, formule réunissant un animateur populaire avec un journaliste politique et un chroniqueur plutôt qu’un humoriste. C’est France 2 qui est d’aujourd’hui qui mélange mieux la variété avec l’information que Tout le Monde en Parle de SRC. Pourquoi pas un ONPC québécois réunissant un journaliste souverainiste de gauche avec un journaliste ou chroniqueur fédéraliste de droite. Adapter On n’est pas Couché ferait t-il peur à Radio Canada?
Un lien ici pour donner une idée de l’émission pour ceux qui ne connaissent pas:
http://pq.org/
http://on-n-est-pas-couche.france2.fr/
Attention au double piège. Je parle de pièges pour la réflexion et la santé de la démocratie.
1- Il ne faut pas prendre les sondages pour des décisions électorales. Si vous ne faites pas la différence, il ne faudrait pas oublier que les citoyens font en général cette différence. Surtout ne pas extrapoler jusqu’en 2012 les résultats d’un sondage réalisé en 2010.
2- Il ne faut pas s’exclamer, comme le fait Michel Guay et d’autres que « tout exploserait » si le parti libéral avec Jean Charest comme chef était reporté au pouvoir en 2012. Pourquoi des citoyens seraient-ils de si maivais perdants qu’ils ne respecteraient pas les résultats d’une élection générale honnête et transparente.
Dites-nous, sur quel principe se fonderait Michel Guay et ses amis pour contribuer à faire tout sauter parce que les Québécois auraient décidé librement, dans leur sagesse, d’élire en mjorité des députés du parti libéral, sachant que leur chef serait désigné premier ministre.
Je me demande si c’est uniquement l’absence de programme politique, ou la faiblesse de leur chef, ou le manque de respect pour la démocratie qui a permis l’élection d’un gouvernement majoritaire en 2008, qui font que certains citoyens n’ont pas de mots justes ni de stratégie claire, mais exigent que le gouvernement légitimement élu abandonne le pouvoir, parce qu’ils voudraient que leur parti favori l’erxerce à la place du parti qui a été élu.
Le test d’écrire avec copier coller afin d’améliorer notre texte est un échec.
Pour faire des paragraphes, il faut que j’écrive directement dans le rectangle blanc de Voix Publique et que je corrige mes fautes dans le rectangle. Il y a des problèmes de fonctionnalité dans Voir. Mon texte au dessus est lisible seulement si on lit lentement . Y a t-il un -pilote dans l’avion de Voir-?
Quatre mandats, M.Charest, comme Maurice Duplessis,? Duplessis serait votre modèle politique, J.J.Charest. La durée en tant que P.M, l’importance accordée aux infrastructures et aux contrats tout cela M.Charest vous apparente à un Duplessis junior ou moderne. Comment en êtes vous arrivé là, J.J.Charest? D’autant qu’au moins, M.Duplessis enclin au favoritisme comme vous n’en défendait pas moins les pouvoirs de la province de Québec, ce que vous ne faites même pas!
Ce vieil adage de Québec en guise de rappel.
-Je suis un chien qui ronge l’os
En le rongeant, je prends mon repos.
Un temps viendra qui n’est pas venu
Que je mordray qui m’aura mordu.-
Charest, le maître de l’esquive, ne pourra tromper que lui-même, lorsqu’il dit qu’on doit juger d’un premier ministre au terme de son mandat plutôt que sur un article de journal, en faisait bien sûr référence au salissage médiatique dont il serait la victime. Le pauvre! Il aura eu trois mandats, ce qui est plus que suffisant pour juger.
Encore une fois avec cette simplification outrancière, il rejette du revers de la main tout l’excellent travail qui a été fait par les médias, d’excellents journalistes, etc. C’est grâce à eux que la démocratie s’opère actuellement, car de toute évidence nous n’aurions jamais pu compter sur Jean Charest pour connaître le fond de l’histoire. Certes, il ne s’agit pas que d’un simple article de journal, la dernière année a très bien fait ressortir qu’il s’agit d’un problème systémique, dont seule la police ne saurait s’occuper entièrement.
S’il y a eu un salissage médiatique, c’est bien parce qu’une personne a eu les mains sales quelque part! Les enveloppes brunes, ça finit par déteindre sur les mains! Surtout lorsqu’elles remontent au sommet de la pyramide, à celui-là même ayant mis d’énormes pressions sur ses ministres pour qu’ils rapportent 100 000 $ à la caisse du parti.
Il se contredit lui-même lorsqu’il dit qu’on ne doit pas mettre trop de pression sur la police, alors que lui-même relègue entièrement le dénouement des enquêtes au seul corps policier, dont certains policiers ont mentionné récemment qu’on ne leur donnait pas véritablement les moyens nécessaires pour aller jusqu’au bout! C’est tout dire! Charest contrôle tout de son bureau! Il utilise une démagogie des plus simplistes!
80 % de la population ne peut pas se tromper à ce point.
Au départ James John Charest n’aurait jamais été Premier Ministre du Québec si nous l,aviions poursuivi pour le vol du référendum et le viol de la loi référendaire .
Cet ennemi de notre Nation francophone doit être exclu de netre Assemblée Nationale
Je crains en effet, en espérant me tromper, que les Québécois auront « oublié » les horreurs libérales, arrivé en 2012.
Il est connu que la population moyenne a une mémoire d’environ 6 mois en politique.
Il nous revient de s’assurer que cette mémoire ne flanche pas d’ici les prochaines élections.
John James Charest est, et cela me renverse moi-même, la créature politique canadienne la plus répugnante dont je puisse me souvenir, une coche au-dessus de Jean « Vol de référendum » Chrétien et de Pierre « Mesures de guerre » Trudeau, ce qui n’est pas peu dire.
Bourassa, en 1976, croyait aussi être réélu et le taux d’insatisfaction à son endroit était plus bas que celui de John-James et on sait ce qui est arrivé; il fut même battu dans son comté par le regretté poète (emprisonné par Bourassa) Gérald Godin.