Il y a de bonnes chances que l'Histoire retienne ses deux mots comme les principaux qualificatifs de la Commission Bastarache… Auxquels ils pourront aussi ajouter «iniquité».
À cette enseigne, même la sortie attendue demain de son rapport vogue un peu dans toutes les directions.
Les derniers exemples en date d'aujourd'hui:
– Après avoir refusé, sans raison valable, de tenir un huis-clos au préalable pour les journalistes, la commission se ravise. (Le huis-clos était pourtant de toute évidence nécessaire dans la mesure où le rapport de 300 pages ne sera rendu public qu'à 14h30…)
– Refus d'y admettre les procureurs.
– Aucun exemplaire donné à l'avance aujourd'hui à Me Marc Bellemare (dont les allégations ont mené à la création de ladite commission), alors que le premier ministre et le gouvernement reçoivent les leurs. (Ce refus, par contre, ne provient pas du commissaire, mais du bureau du premier ministre. Ce qui ne fait rien, non plus, pour l'image d''indépendance de la commission.)
Et la journée n'est pas terminée…
L’image de cette commission ne peut pas être perdue, elle n’en a plus depuis le début.
Bonjour
Tout le monde sait que cette Commission Bastarache, c’est de la merde servie dans un bas de soie. C’est probablement de l’insérer dans le bas qui qui pose le plus de difficulté à John James Charest et sa bande de charlatans.
http://vdaucourt.free.fr/Mothisto/Napoleon4/Napoleon4.htm
@ Et maintenant, ceci:
http://www.cyberpresse.ca/actualites/dossiers/commission-bastarache/201101/18/01-4361298-les-juges-souhaitaient-voir-le-rapport-avant-sa-publication.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_B4_manchettes_231_accueil_POS1
Quel mauvais feuilleton…
Pourvu qu’on n’ait jamais la très épouvantable idée de nous repasser un jour le tout en « reprise ». Parce qu’avec la multiplication des chaînes-télé, la tendance est de tout ressortir, par les temps qui courent.
« La soeur volante », « Jinny », « Ma sorcière bien-aimée », ça va.
Mais svp pas de « Commission Bastarache ». Ni de « making of »…
Une fois aura amplement suffi.