Ça ne s'invente pas…
Voici ce que Cyberpresse rapporte:
«La commission parlementaire qui se penche ce matin sur le lock-out au Journal de Montréal a perdu son parlementaire le plus pugnace. On a refusé à Amir Khadir d'y participer ce matin. Il peut néanmoins rester dans la pièce et assister aux échanges.
M. Khadir n'est pas membre de la commission de l'économie et du travail. Il voulait y participer, entre autres car le quotidien est situé dans sa circonscription de Mercier.
Pour y participer, le représentant de Québec solidaire avait besoin d'un consensus des députés membres de la commission. Les libéraux puis les péquistes s'y sont opposés. Ils ont discrètement manifesté leur opposition au président de la commission, devant une salle remplie, peu avant que témoignent les syndiqués lock-outés du Journal de Montréal. « En deux ans de présence à l'Assemblée nationale, c'est la première fois que je me vois refuser la parole en commission parlementaire», s'est-il plaint.
On s'attendait à ce que M. Khadir fasse un interrogatoire serré au patron de Quebecor, Pierre-Karl Péladeau, qui parlera ce matin à 11h. C'est M. Khadir qui avait posé les questions les plus difficiles et critiques à Henri-Paul Rousseau lors de la commission parlementaire qui examinait les pertes de la Caisse de dépôt et placement du Québec.
La ministre du Travail, Lise Thériault, n'a pas demandé de participer à la commission, ce qu'elle aurait pu faire. Le PQ s'est dit « très déçu » par son absence.»
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Les péquisssses ne veulent plus d’Amir Kadir sur la scène du parlement p-c-qu’il est devenu trop populaire dans les sondages; PK Péladeau aurait de toute façon utilisé le véto de son empire sur son laquais John James Charest pour l’empêcher de sièger à SA commission.
Comme quoi le PQ ne se distingue pas suffisamment du PLQ.
QS est un parti séparatiste. Le PQ est censé être un parti séparatiste. Le PLQ est un parti fédéraliste. Pourquoi le PQ n’a-t-il pas soutenu un frère d’armes? Parce que le PQ est plus près des Libéraux que des Québécois Solidaires. Preuve à l’appui. Dis-moi qui tu fréquentes je te dirai qui tu es.
Les Péquistes fréquentent les Libéraux et leurs amis. CQFD
Un geste vaut mille mots. Il y a des petits gestes qui trahissent. C’en est un.
Tirez vos propres conclusions. Ça sent mauvais.
M. Kadir a la mauvaise habitude de dire que l’Empereur est nu alors que personne d’autre n’a se courage. Ça y’apprendra! (ironie)
M. Kadir s’est fait des ennemis en pataugeant dans
l’ antisémitisme.Demander de boycotter un marchand québécois qui vend des souliers Made In Israel…n’est pas de bonne guerre nulle part.
Il ne le fait pas contre tout ce qui est Made In China !!!
Je n’ai pas de carte de membre du PQ ni ne suis un militant. Pour être clair. Un électeur du PQ point pourvu de ses doutes.
En ce qui concerne Khadir mérite-t-il de se faire octroyer une auréole de sainteté sur la tête? Participer et faire participer QS au boycott individuel d’un commerce au nom de la lutte anti israélienne pendant des semaines est pathétique!!!
Objectivement. QS dans un scrutin serré ne pourra par le système électoral existant que favoriser les libéraux.
Quant au rejet de la présence de A.Khadir dans la commission parlementaire, c’est techniquement possible, il est le seul député de son parti au parlement.
Quant à QS et la souveraineté. Ce parti ne vise qu’à créer un NPD québécois sur le dos de la souveraineté. Faudrait que les souverainistes voient clair que si l’on peut douter de la motivation du PQ à relancer le processus d’un pays pour le Québec. À ce que je sache, on entend très rarement parler de souveraineté à QS.
Il faut voir, A.Khadir comme un social démocrate. Patriote québécois, j’en doute encore.
M. Khadir s’est expliqué à une télé il y a quelques jours. Je ne me souviens plus où s’était. 🙁
Il a affirmé qu’il ne souhaitait que le boycott des chaussures faites en Israèl, non le boycott du reste de sa marchandise et du marchand contre qui il n’avait aucun autre grief. Il a déploré le dérapage de la question.
Il n’est pas pour le boycott du marchand, seulement les chaussures faites en Israèl. Cela est juste et bon, comme disait l’autre.
Est-ce que M. Khadir va nous dire ce qu’il aurait demandé à M. Péladeau pour l’embêter comme il faut et faire plaisir aux lockoutés avec leur gros fonds de grève de 2 ans « clair d’impôt » plus du travail à rue Frontenac ?
Ce serait si merveilleux que les suggestions du syndicat de boycotter ce journal, pour le fermer. Coupez la branche où on est assis ne fait mal que quand elle cède pour de bon.
Si le boycott des syndiqués avait réussi à fermer le Journal de Montréal, qui aurait gagné ? Les syndiqués ou la grosse Presse de Gesca, selon vous ?
Quoi qu’on dise de QS, le parti sera toujours handicapé par l’absence d’un scrutin uninominal-proportionnel du type mixte et relativement handicapé par la pensée générale de droite qui domine tout le continent, les É.U au premier chef. Un parti comme Québec Solidaire est le symptôme surtout d’une sorte d’éclatement politique du Québec francophone ainsi après l’ADQ qui est né du PLQ de Bourassa, QS émerge du PQ de Bouchard. La boucle est bouclée d’une sorte de crise politique chronique qui détermine un avenir assombri du Québec français qui ne croit plus en un chef de parti de façon décisive.
QS n’est pas un parti de gauche fondé au sein d’un nouveau pays du Québec. QS apparaît dans la province canadienne du Québec dont les forces du statu quo sont dominantes. Le résultat QS est plus qu’incertain…
En référence à M.Gingras, il faudrait rappeler à monsieur Khadir que la question internationale de la visibilité du Québec francophone devrait en priorité l’intéresser avant celle du Proche Orient.
M.Khadir s’occupe essentiellement des problèmes du Québec en tant que chef d’un parti d’opposition et c’est à l’Assemblée nationale que cela se passe. Péquistes et libéraux se sont payés la tête de M.Khadir aujourd’hui et de ses électeurs c’est douteux probable, cela donne au moins l’occasion de s’interroger sur QS et son co chef.
Décidément, on aura tout vu! Khadir devrait pouvoir participer à ses débats.
Le PLQ et le PQ viennent encore de perdre des points. Que voulez-vous, lorsqu’on n’est pas doué! Certes, j’exagère, mais ce n’est vraiment pas fort, surtout lorsqu’on prétend défendre une structure démocratique.
Se sentant menacés, ils veulent probablement faire de QS un « Québec seulitaire »! Ça démontre une fois de plus leur étroitesse.
Dommage!
Personnellement dans le dossier du lock-out du JdM je n’appui aucunement la direction et PKP . Je n’ai pas plus respect pour PKP que je peux en avoir pour Papy Desmarais . Ces gens en mènent trop large au Québec avec leur fric. En plus, PKP est un petit fils à papa qui a eu la chance d’avoir son père avant lui tout simplement.
Amir Khadir n’est pas sans défauts mais il est un des seuls avec peut-être Jacques Parizeau à ne pas se laisser intimider par nos deux moineaux de Gesca et Québécor ! Et encore une fois le PQ de Pauline Marois manque de courage devant le petit show médiatique de l’anti-syndicaliste notoire PKP . Peut-être que Pauline n’a pas appréciée que le chef de QS soit plus populaire qu’elle ? Pourtant elle devrait s’en inspirer plutôt !
Pour ceux et celles qui penchent du côté de la direction du JdM et qui s’imagine que Péladeau fils serait un atout pour la marche vers la souveraineté du Québec me font bien rire. Péladeau est a » l’argent » et au » Kodak » point a la ligne.
Je n’en reviens tout simplement pas de cette peur à peine voilée qui habite nos politiciens quand viens le temps de faire face au Desmarais et Péladeau de ce monde !
Pauvre Québec !
Il va falloir que les partis, qui nous convoquent pour un avenir meilleur, sachent le faire en nous faisant comprendre par leurs actes, que les valeurs démocratiques et surtout citoyennes, soit celles qui ne concernent pas seulement un aréopage d’élites économiques, pouvant par ailleurs rémunérer fort bien des conférenciers tous azimuts leur vantant les bienfaits pour eux de quelque traité de libre échange, et cela sans égards aux dommages collatéraux pour l’ensemble des citoyens dont les services, pourtant essentiels pour eux, dans les domaines de la santé, de l’éducation, des services sociaux, ou encore dans l’exploitation à leurs profits citoyens des ressources naturelles, sont prisent en compte pour l’ensemble des citoyens concernés par ces projets. Pas seulement en nous brandissant la couleur d’un drapeau sous les yeux.
Ces comportements responsables seront toujours placés au-dessus des valeurs politiciennes par la plupart des citoyens qui ne retirent de leur vote que des intérêts bien réels, et non ceux aléatoires et évanescents que peuvent avoir ceux qui se font les acteurs engagés de ces luttes politiciennes. Est-il nécessaire d’être plus clair !
Le seul député pouvant se permettre une véritable indépendance d’esprit, est Khadir. C’est le seul qui pourrait dire son fait à PKP, sans avoir peur de perdre son vote! Le PQ et le PLQ (tout comme l’ADQ d’ailleurs) tremblent probablement devant la perspective de s’aliéner le vote des grands propriétaires de presse (et leurs sujets!). D’accord, le PQ a déjà le grand manitou de La Presse contre lui, mais il y a certains chroniqueurs ou journalistes de ce journal qui peuvent lui être, selon les circonstances, plus favorables.
De toute façon, Khadir trouvera bien le moyen de faire une intervention à ce sujet, sans participer à la commission.
M. Asselin écrit : «Je n’ai pas plus respect pour PKP que je peux en avoir pour Papy Desmarais . Ces gens en mènent trop large au Québec avec leur fric. En plus, PKP est un petit fils à papa qui a eu la chance d’avoir son père avant lui tout simplement. »
Si les souverainistes repoussent tous les riches, en les méprisant, est-ce que le Québec indépendant va se faire seulement avec les pauvres ? Nous n’irons pas loin en tentant d’égaliser les Québécois par le bas.
@Gilles Bousquet
Premièrement je ne parle pas de » tout » les riches du Québec et je ne suis pas de ceux et celles qui s’écrase devant des pachas qui se comporte de façon méprisante envers les indigènes que nous somnmes a cause de leur fric et de leur pouvoir .
Personnellement je nous souhaite un Québec indépendant ou les travaillleurs , les malades , les pauvres , les femmes et les enfants se feront respecter par les dirigeants politique et économique .
Quand un dirigeant d’entreprise méprise aussi ouvertement ses employés ( et ce n’est pas une première dans son cas ) les courbettes des politiciens deviennent innaceptable surtout venant d’un parti souverainiste .
Il y en a qui trouvent approprié d’encenser Amir Khadir, pour la raison (à ce qu’il appert) que celui-ci ne serait pas « obligé » envers les nantis de la société, qu’il s’agisse de libéraux ou de péquistes.
Cette « qualité » lui permettrait ainsi de pouvoir s’exprimer librement, sans contraintes, et de dire… n’importe quoi!
Parce que c’est ce fait de « dire n’importe quoi » qui caractérise le plus ce député solitaire d’un parti solidaire. Le simple fait qu’il ait encouragé le boycott d’un commerçant de sa propre circonscription – prétextant bien sûr que c’était plutôt certains produits vendus que le commerçant lui-même qu’il visait – démontre bien la pauvreté de jugement dont il est affublé.
Accorder la parole à pareil déconnecté lors d’une assemblée où il n’a pas davantage sa place que quelque autre député d’arrière-banc, même en invoquant le prétexte que le Journal de Montréal soit situé dans la circonscription qu’il représente, serait courir le risque que la séance ne dérape en un cirque déplorable.
Sans qu’il soit même nécessaire que le député solidaire ne se remette encore une fois au lancer de la chaussure.
Enfin, je noterai que si Amir Khadir serait le député le plus populaire au Québec selon les sondages, cela tient vraisemblablement au fait que celui-ci n’est tenu à aucun résultat à l’égard de quoi que ce soit. Il peut ainsi se borner à critiquer et critiquer tout ce qui bouge, ou ne bouge pas tant qu’à y être, sans la moindre responsabilité relativement à mieux organiser en pratique ce qu’il peut vilipender à répétition.
Pas de responsabilités, ce député.
Ce qui l’aura, à le voir aller, convaincu que « pas de responsabilités » l’autoriserait tout naturellement à un comportement irresponsable…
Et l’on s’étonnerait – et même s’offusquerait – ensuite que des parlementaires (au moins un peu plus conscients de leurs responsabilités) s’opposent à inclure dans un débat où il n’a pas sa place un député ayant à diverses reprises déjà lourdement démontré son immaturité?
D’une certaine manière, le « cas » d’Amir Khadir me fait penser à celui de l’ADQ qui en menait large… jusqu’à ce que cette formation politique ne devienne l’Opposition officielle et ne fasse alors rapidement la démonstration de son incompétence réelle une fois aux prises avec quelques responsabilités.
Espérons que nous n’aurons jamais à subir pareille situation avec Amir Khadir. Déjà qu’il dise et fasse n’importe quoi à répétition s’avère bien assez pénible – et très réducteur quant au rôle que devrait jouer dans une société évoluée un député démocratiquement élu.
Khadir peut parler librement, dire le fond de sa pensée et poser des questions que d’autres, trop préoccupés par les votes à leur parti, n’oseraient pas poser. Faut-il sérieusement lui reprocher de ne pas avoir la langue de bois ? Que les sépulcres blanchis se tournent dans leurs tombes me fait bien rire …
Mais plus sérieusement voici une tache pour le PQ. Khadir, à l’évidence commence à faire peur au PQ et Marois a perdu une bonne occasion de coordonner babines et bottines.
«La politique a sa source dans la perversité plus que dans la grandeur de l’esprit humain.»
[Voltaire]
M. Asselin, dans le cas du Journal de Montréal, ce sont ses travailleurs qui ont méprisé leur journal, en risquant de le faire disparaître, par leurs demandes aux Québécois de le boycotter.
Les travailleurs de ce journal, les mieux payés au Québec, refusaient de considérer la réduction de leurs effectifs, même si les journaux écrits ont plein de nouveaux concurrents plus rentables, principalement sur Internet.
La CSN, grosse entreprise rentable, aime bien risquer la fermeture des entreprises avec ses vieux réflexes de confrontation des méchants boss.
Par delà le fait que cette commission, chargée d’entendre celui qui est placé au centre d’un conflit de travail qui perdure, ne puisse prétendre, au vu et au su de ses agissements, représenter toutes les opinions, il faudra bien qu’elle finisse par répondre à la seule vraie question posée par cet interrogatoire, soit celle de l’efficacité de la loi des briseurs de grèves.
Déjà, la position du magnat de presse est campée, comme l’est d’ailleurs celle d’une partie, sans doute non négligeable, du patronat et de ses suivants, pour qui cette loi doit disparaître. Au final, c’est la population qui tranchera, elle qui sait pertinemment que ses chances d’obtenir des gains dans une négociation dépendent des rapports de force entre les parties. Sans une loi qui interdit de passer à côté de ce contrat de société par des moyens détournés, briseurs de grève ou équivalents, la partie des travailleurs, pourtant l’immense majorité de la population puisqu’elle englobe tout le monde à l’exclusion des patrons, est perdante au départ. En somme, cet exercice servira de marqueur pour déterminer qui des représentants politiques des partis peut se prétendre, sans biais systémique, le représentant de la population et qui pourra prétendre de ce fait être social-démocrate.
Par ailleurs, il serait pour le moins cocasse que des députés, ou des citoyens, en viennent à lancer l’anathème d’antisémite à l’endroit du seul représentant à l’Assemblée de Québec Solidaire. Cela ne rappellerait-il pas ce même anathème lancé jadis contre M. Michaud, en leur faisant dans un cas comme dans l’autre un procès d’intention que pourtant certains ont vertement dénoncé, tant ce rapprochement s’était à l’analyse avéré grossier. Serait-ce pour certains un procédé commode et plutôt vil de tenter de salir un adversaire quand les arguments pour faire valoir son point de vue font cruellement défaut.
M. Audet écrit : «Au final, c’est la population qui tranchera, elle qui sait pertinemment que ses chances d’obtenir des gains dans une négociation dépendent des rapports de force entre les parties.»
Le Québec est déjà plus syndiqué que ses voisins. Si tout ce qui a l’air de briseurs de grève est arrêté, ça voudra dire que les chances de fermer les entreprises ou de les obliger à payer des salaires qui ne sont pas compétitifs, ça les ferait fermer aussi.
Encore plus important, les entreprises, avant de s’établir dans un pays ou une province, épluchent les lois pour voir si elles peuvent leur convenir. Si non elles cherchent ailleurs, ce qui n’est pas tellement favorable aux travailleurs locaux. Ce n’est pas tout noir d’un côté et tout blanc de l’autre.
Si les syndicats continuent à tirer et à gruger petit à petit, avec ses allocations de grève non imposables, venant des cotisations déductibles d’impôt, nous allons tous finir communistes, comme le parti communiste qui est membre de Québec solidaire, et pauvres. Le communisme était dessiné pour rendre service aux travailleurs qui se sont réveillés en Sibérie, assassinés, au chômage ou pauvres raides.
Pour extrapoler comme vous le faites, alors qu’il s’agissait dans mon propos de ramener le débat sur le sujet de cette chronique, je dirai que les arguments que vous mettez de l’avant sont en fait ceux des promoteurs de la globalisation, lesquels ont d’ailleurs leurs alliés dans des lobbies et des instances gouvernementales, déguisées pour la cause en secrétariat dont les noms changent au fil du temps, mais qui visent tous les mêmes objectifs qui sont ceux de la déréglementation et qui sous ce couvert de la simplification des règlements, soit de ceux de la libre circulation des marchandises, ont en fait dans leur collimateur la libre circulation des investissements et des services et de s’en prendre ainsi aux acquis obtenus pour la population dans les domaines de la santé, de l’éducation et de la sécurité de la main-d’œuvre. Leur argument principal dans ces négociations de dupes en est un soi disant de compétitivité des entreprises, alors que ne sont envisagés non pas la faisabilité des entreprises, mais les maximums de profits escomptés.
Je le répète, on ne peut se dire social démocrate et vouloir restreindre jusqu’à plus soif les pouvoirs encore aux mains des travailleurs. Les réductions de salaires consenties par des travailleurs n’ont d’ailleurs pas empêché des multinationales soit de fermer leurs succursales, soit de les délocaliser. L’argument des seuls salaires et des bénéfices marginaux ne tient pas le premier rôle dans la décision d’investir ici. Pour être globalement compétitif, comme certains le voudraient, il faudrait alors que les salaires d’ici s’alignent sur ceux du tiers monde, ce qui ne peut être envisagé sans risques….
Je dirai aussi que l’on ne peut se prétendre nationaliste et vouloir aligner ses politiques économiques et sociales sur les désidératas de ceux qui nous ont amené la globalisation avec des traités de libre échange global, impliquant non seulement les marchandises, mais aussi les investissements et les services.
Quant au Bonhomme Sept Heure que vous brandissez en disant qu’à ce rythme, nous allons devenir tous communistes, laissez-moi en rire. Je crois cet argument si irrationnel que je ne pense pas qu’il vaille seulement la peine d’être relevé plus avant. Ah oui, en passant, je ne suis pas membre de Québec Solidaire, ni de l’ADQ d’ailleurs, chose dont je ne suis pas trop sur quand je contemple les arguments et les opinions de certains…(
@Claude Perrier
En ce qui concerne la faculté de dire n’importe quoi c’est encore John James Charest le plus compétent dans ce domaine . Juste son témoignage devant son ami Bastarache nous prouve hors de tout doute que Monsieur Khadir a encore des croutes a manger .
Je le dit plus haut , Amir Khadir n’est pas parfait et loin de là mais ce type dit tout haut ce que nos politiciens frileux et a la merci d’intérêts extérieur au Parlement n’osent pas dire !
C’est un peu pour cela que les québécois semble l’apprécier n’en déplaise aux autres !
@Gilles Bousquet
Je ne connais pas , comme la majorité des gens , la teneur des discussions qui se sont déroulées lors des négociations avant le lock-out au JdM . Si vous vous êtes dans le secret des Dieux , grand bien vous fasse . En attendant je préfère la version des travailleurs en lock-out a celle de PKP . Une simple question d’ intuition !
M. Asselin, je ne connais pas peu les négociations au Journal de Montréal mais je sais que les employés se vantaient qu’ils avaient un gros fonds de grève, bon pour environ 2 ans et qu’ils refusaient de considérer la réduction importante du nombre d’employés, même si les conditions des journaux avaient considérablement changé. Les employés viendraient de céder sur ce point, après 2 ans et des appels aux Québécois à boycotter le journal, ce qu’ils n’ont pas fait…heureusement pour eux, s’ils désirent entrer un jour dans un journal encore ouvert à la place de la satisfaction d’avoir réussi leur boycott comme vengeance, pour le fermer ainsi.