Ce mercredi après-midi, l'internaute Marie-Andrée Paquet mettait en ligne sur Twitter cette photo postée à peine quelques heures auparavant sur le site Facebook de la député démissionnaire Louise Beaudoin.
La photo – prise dans le décor bucolique de Charlevoix, le comté de Mme Marois -, il va sans dire, a fait tout un effet.
On y voit donc l'ex-député péquiste Camil Bouchard et les quatre démissionnaires – Pierre Curzi, Louise Beaudoin, Lisette Lapointe et Jean-Martin Aussant.
Ce soir, on rapportait donc que «ces quatre souverainistes qui siègeront comme indépendants à l'automne auraient également discuté de mécanique parlementaire, des privilèges de parole et des budgets alloués aux élus pour la recherche. Ils se sont réunis dans Charlevoix, où Louise Beaudoin passe ses vacances. Fait à noter, il s'agit aussi de la circonscription que représente Pauline Marois, la chef du Parti québécois, à l'Assemblée nationale.» Extrait de: http://www.radio-canada.ca/nouvelles/Politique/2011/07/13/001-rencontre-demissionnaires-pq.shtml
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En fait, cette photo confirme ce qui était déjà évident.
Soit qu'ayant maintenant repris leur liberté de parole, pour la suite des choses, ces quatre voix entendent continuer à se faire entendre au sein du mouvement souverainiste, de même que sur la scène publique.
Pour Pauline Marois,elle confirme qu'en effet, la crise au PQ ne prend pas de vacances… http://www.voir.ca/blogs/jose_legault/archive/2011/07/13/une-crise-qui-ne-prend-pas-de-vacances.aspx
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@ Photo: Ulysse Lemerise Bouchard
Les péquistes sont toujours suicidaires.
Pessimiste ment.
Les séparatistes séparés qui ne se rendent pas compte que les Québécois ne veulent pas de la simple séparation sauf 13,4 %, ce qui est loin du compte pour réussir le projet.
Nous allons avoir, comme séparatistes, le PQ, Québec solidaire, ce groupe de 4 mutins ainsi qu’un parti qui ne lève pas, le PI qui auront à se diviser le 13,4 % de votes. Allô !
Le PQ a abandonné l’association de M. René Lévesque, ce qui était les bretelles qui tenaient les culottes de la séparation. Vont tous avoir les fesses à l’air si ça continue de cette façon.
La seule réelle chance du PQ était la gouvernance provinciale souverainiste, très bonne idée de Mme Marois mais, comme plusieurs « incompris » péquistes ne comprennent pas la situation québécoise, en voulant s’en débarrasser, ils se dirigent, séparés, dans un mur.
Le couple Parizeau-Lapointe va avoir été, finalement, un solide apport au fédéralisme canadien.
Considérant que les sondages montrent que 86,6 % des Québécois veulent rester dans le Canada « une forme de lien canadien », c’est qui le cave au PQ qui a enlevé, dans son article numéro 1 de son programme », l’association de la souveraineté avec le trait d’union entre ces 2 mots sans remplacer le concept de M. Lévesque par autre chose de plus rassembleur, à la place de durcir son objectif constitutionnel qui en est maintenant un de simple séparation « la souveraineté seule » ?
À voir l’air jovial qu’affichent les cinq, c’est à sérieusement se demander dans quel univers parallèle ce groupe habite…
Leur départ tapageur du seul parti politique pouvant un jour peut-être faire avancer un peu la « Cause », un départ sous un prétexte commode mais peu crédible sur le fond, et cela vraisemblablement à l’instigation d’un ancien calife très impatient de foncer dans un mur (qu’il ne voit possiblement pas?), vient très probablement de sonner le glas d’un mouvement souverainiste capable de mener à la souveraineté québécoise peu importe quand.
Même si je suis non-souverainiste, et cela pour diverses raisons principalement favorables au Québec, je ne peux que fortement me désoler de constater avec quelle invraisemblable maladresse les souverainistes seront parvenus d’eux-mêmes à se saborder, sans la moindre intervention extérieure…
Et ces cinq aux sourires béats!
Petite rectification M. Perrier, M. Aussant n’a pas l’air jovial mais un peu hautain du futur chef sérieux avec la main dans la poche, pour se distinguer encore des 3 autres plus le conseiller M. Camil Bouchard, démissionné avant, l’air de narguer Mme Marois dans son comté.
Un autre coup de couteau dans le dos.
M.Bousquet semble travaillez pour Léger Marketing depuis quelques semaines ! Un emploi d’été ?
René Lévesque avec la souveraineté-association ( les bretelles…. SIC) a perdu son pari lors du premier référendum. Les bretelles ont commencées a » slaquer » un peu plus lors de la » nuit des long couteaux » avec Pet Trudeau et ses petits amis du ROC. Mais hélas les bretelles n’ont pas tenu le coup lors de l’arrivé de Mulroney en 1984 et de l’utopique » beau risque » de M. Lévesque ! Nous assisterons plus tard à l’échec de l’entente du Lac Meech gracieuseté de vos amis bien aimés du ROC.
Maintenant vous nous parlez avec enthousiasme de la gérance provincial-souverainiste de Pauline Maoris qui est en fait le programme de l’ADQ et de M. Allaire modifié a la sauce Pauline. Programme de l’ADQ avant que celui-ci se transforme en Parti Conservateur du Québec…of course !
En plus vous nous informez que 86 % des québécois veulent rester dans le Canada ! Tout compte fait je crois que vous ne travaillez pas pour Léger Marketing mais probablement pour CROP et la famille Desmarais !
Monsieur Bousquet malgré vos statistiques de bonhommes sept heures la seule vraie statistique est le manque d’appui totale envers Pauline Marois avec ou sans Jacques Parizeau dans les décors. Entre deux autonomistes la population choisira Legault pour la nouveauté et la confiance (hélas) envers celui-ci !
Alors, M. Asselin, vous classez M. Jean-Marc Léger, le fils du ministre péquiste, dans la famille fédérale ? Un menteur ? Un tricheur ? Un ambassadeur du fédéralisme canadien ?
Est-ce que vous avez écouté la vidéo recommandée où il confirme la chose : 67 % des souverainistes veulent rester dans le Canada ?
M. Legault ne se déclare pas autonomiste mais nationaliste québécois très fédéraliste avec M. Sirois, son égal, dans sa barque politique.
Mme Marois propose de gouverner la Province comme un parti souverainiste et doit placer, pour l’instant, la souveraineté au congélateur, en attendant une grosse gaffe du fédéral parce que 13,4 % de Québécois qui veulent sortir le Canada du Québec, il n’y a rien à faire avec ça, même à longue échéance.
Je suggère au PQ de réviser leur option séparatiste à long terme à une sorte de véritable confédération ou de fédéralisme décentralisé, ce qui est peut-être possible, avec les Conservateurs. Si le PQ avait une option communiste, je lui suggérerais de l’abandonner aussi par manque d’amateurs. québécois.
M. Asselin, si j’ai cité M. Jean-Marc Léger à répétition, c’est que personne ne semble se demander pourquoi 67 % de souverainistes veulent rester dans le Canada. Je n’en reviens pas. Me semble qu’on est souverainiste ou qu’on l’est pas, comme le dirait Mme Bolduc.
Suite à ce constat, nous voyons bien ici que le PQ se trompe en suggérant la simple souveraineté du Québec sans attache avec le Canada. S’il ne change pas d’objectif, ce parti pourrait bien se faire laver par Messieurs Legault et Sirois comme M. Duceppe s’est fait laver par un parti fédéraliste et des inconnus comme candidats.
Il doit bien y avoir assez d’experts constitutionnalistes au PQ pour trouver une solution constitutionnelle plus rassembleuse. Allez, au travail !
« Considérant que les sondages montrent que 86,6 % des Québécois veulent rester dans le Canada »
Hola, on se calme.
Les sondages, quels sondages?
Celui de Léger, le vendu? Bonjour la crédibilité.
Vous n’avez jamais entendu dire qu’on fait dire ce qu’on veut aux sondages?
Ne fais pas de projection, si TU veux rester dans le Canada, fine, t’as le droit de te faire assimiler à cette bande de rednecks racistes sans personnalité ni avenir.
Comment se fait-il que les sondages dont les résultats nous déplaisent sont toujours mensongers? Ce ne sont pourtant que des statistiques…
P’têt que Vigile devrait en sortir aussi des sondages…
Et puis l’assimilation; Lise Payette aurait sorti une étude en 1989 qui prédisait l’assimilation 25 ans plus tard. Eh ben…
Quand on va pas que ça marche, on veut pas….
M. Éric Messier, voici d’autres statistiques qui démontrent bien la fragilité de l’option de faire sortir le Canada complètement du Québec.
Les sondages suivants démontrent clairement que M. Lévesque avait eu raison en 1968 de proposer la souveraineté-association à la place de la simple séparation :
Un sondage Léger marketing d’avril 2005 soulignait, suite au scandale des commandites, que 54 % des Québécois auraient voté OUI à la souveraineté-association et « 56 % des souverainistes voulaient que le Québec continue de faire partie du Canada ».
Un autre sondage de Léger Marketing, de mai 2005, soulignait que 46 % voteraient OUI pour l’indépendance pure et 54 % voteraient OUI pour la souveraineté-association. 75 % des Québécois se disaient fiers d’être canadiens. 33 % se disaient fédéralistes et 62 % non fédéralistes, souverainistes ou autre chose dont 58 % se disaient autonomistes. Les 2 sondages de 2005 révèlent que, même si les Québécois avaient voté OUI à 54 %, 75 % se disaient fiers d’être canadiens.
Un sondage en ligne Angus Reid-La Presse, réalisé les 4 et 5 juin 2 009 auprès de 805 Québécois : 32% croient que «le Québec a suffisamment d’autonomie et devrait demeurer au sein du Canada. 28% croient que «le Québec devrait être un pays séparé et indépendant. 30% croient que «le Québec a besoin de plus d’autonomie, mais devrait tout de même demeurer au sein du Canada.
Quand cette firme demande directement si le Québec devait être un pays séparé du Canada, le Oui chute à 34%. Le Non atteint 54%. Ils ont identifié des domaines où le Québec devrait avoir plus de pouvoirs : 34 %, la culture, 33 % l’économie et 26 % la fiscalité.
P.s. M. Léger serait maintenant un vendu ? Je croyais que c’était CROP ou les sondages de la Presse. Sont maintenant tous des vendus ?
Si ça allait si bien pour la souveraineté, le PQ irait rapidement au référendum.
M. Bertrand a raison d’écrire : «Quand on va pas que ça marche, on veut pas…. »
Ça me fait penser à un employé qui passe sa vie à critiquer son patron sans jamais le quitter. « Love me our leave me » me semble. Même chose pour le conjoint ou la conjointe ou le pays. Aime-le pendant que tu es dedans, sans double-sens, ici.
Il y a une sorte de personnes, dans toutes les civilisations, qui ont l’esprit top créatif, ce qui les rend très critique envers tout : Trop froid, trop chaud, trop sec trop mouillé, l’oeil sur le petit défaut mais pas sur les qualités. Les autres sont tous des colonisés, des mous, des dégénérés, des traîtres, des vendus, des collabos des fédéralistes, des vilains séparatistes, des infidèles, des caves, pour résumer
Tentez de vous relaxer naturellement ou avec une petite pilule ou autre chose…en attendant le moment si charmant.
Discussion sur les statistiques de Léger MARKETING; quelle perte de temps et d’énergie que sont ces sondages commandés par on ne sait qui pour seul but de vendre des journaux et faire marcher les camelots.
Sonder des coeurs et des reins à partir d’une question fourre-tout formulée pour tout et rien dire, interpréter et tirer des conclusions des résultats statistiques de ces sondages est d’un ridicule consommé. Jean-Marc Léger ne fait qu’un bouffon de lui-même ne divertissant que ceux et celles ayant beaucoup temps à perdre.
M.Bousquet
Jean Marc Léger semble avoir choisi le camp des lucides de la droite avec Legault comme chef de file tout comme son patron PKP . Avec Bouchard comme porte-parole d’une industrie privé aux objectifs douteux et PKP et son empire de plus en plus proche de Harper nos lucides auront beaucoup de » temps d’antennes » si ont peut dire et des sondages en leur faveur évidemment .
Si nous sommes obligés de vivre avec des sondages faudrait quand même que les entreprises qui les font soient un peu plus impartiales ! Non ?
Un sondage Léger montre plus haut, après le scandale des commandites, donne 54 % à la souveraineté-association, ce n’est quand même pas un sondage d’un fédéraliste biaisé.
Si vous affirmez que tout ce qui compte au Québec vire fédéraliste, faudrait se demander pourquoi ils le font, à la place de les insulter.
Si le nouveau parti nationaliste fédéraliste, la CAQ Legault-Sirois, va chercher une grande quantité des votes de ceux qui se disent souverainistes, faudrait alors nous demander s’ils sont vraiment souverainistes ou seulement nationalistes, dans le Canada.
M. Gascon, c’est facile d’écrire « une question fourre-tout » mais quand on demande à un souverainiste s’il veut quand même rester dans le Canada, si le Québec devient souverain, et qu’il y en a 67 % qui répondent OUI, faut que le souverainiste convaincu commence à avoir peur pour la séparation, la sortie du Canada du Québec et ça rassure, en même temps, le fédéraliste.
Depuis le temps que cette question sur l’indépendance du Québec est posée et demeure évasive, même avec l’esprit de famille de nos quatres
mousquetaires, la réussite est-elle assurée?
À moins que nos quatre démissionnaires s’orientent vers un futur intergénération et décident de rajeunir leurs idées de manière à rejoindre le plus d’esprits libres possible. Simple suggestion…
Nous avons une station spatiale dans l’espace, les bourses sont mondiales,les réfugiés sont de plus en plus nombreux,Wallmart veut s’installer en Afrique etc. etc. la politique est-ce si importrant surtout quand tout le monde en connaît les dessous. Les coups de couteaux se donnent de part et d’autre Monsieur Bousquet.
Pierrette Grégoire, Magog Qc.
Les sondages sont rarement trompeurs. Le Bloc savait, selon eux, plusieurs jours avant le vote du 2 mai dernier, qu’il s’en allait vers un désastre jamais vu, battu par un parti de purs inconnus qui n’ont même pas eu besoin de faire campagne.
Le Bloc avait les même objectifs constitutionnels que le PQ, pour le Québec. Faudrait que le PQ revoit ces objectifs là…me semble.
Monsieur Bousquet !
Le BLoc savait que les sondages seraient dévastateurs a cause des sondages précédents qui ont influencés le vote tout simplement . Dès le début de la campagne les sondeurs les plus influents ont fait en sorte que la marrée orange prennent de plus en plus d’ampleur et le reste suit automatiquement . Les électeurs indécis suivent les sondages et se rangent du côté du parti qui est en avance tout simplement .
La manipulation de la masse par les médias n’est pas un phénomène nouveau et les sondages font maintenant partie de cette réalité . Madame Legault sur un autre sujet de ce blogue se posait la question si les sondages devraient être interdit pendant une campagne électorale et je suis a 100 % pour une telle pratique . C’est évident que les partis ayant le plus de moyen$ seront toujours favoriser par les médias qui favorisent ces partis subtilement .
Ah! les sondages!
Ou plutôt, ah! L’analyse des sondages par les sondeurs eux-mêmes: quand le vendeur tente par tous les moyens de se rendre utile.
Il y a quelques décennies, les sondages étaient éparses. Sonder la population était laborieux, prenait du temps, coûtait cher.
Avec le développement des technologie, sonder est plus rapide et moins cher. Que faire alors pour que le produit que l’on offre en tant qu’entreprise de sondages soit toujours utile et profitable à l’entreprise? On débute l’analyse de ses propres sondages, on développe une supposée expertise, et on vend cette valeur ajoutée pour maintenir le client intéressé.
Qu’est-ce qu’un sondage au fond? Une série de questions que l’on pose à un échantillon représentatif de la population. Les questions, si elles sont simples et sans nuance, permettent un portrait clair. Par exemple: « si les élections avaient lieu aujourd’hui, pour quel parti voteriez-vous? »
Si les sondages faits au courant de la période électorale se résumaient à cela, à cette simple question, le sondeur n’aurait pratiquement rien à dire sur les résultats. Il n’aurait devant lui que des proportions, sans aucune idée des raisons qui poussent les individus de l’échantillon à choisir tel ou tel candidat.
Et bien évidemment, ce genre de sondage n’aurait que peu d’attrait pour les partis politiques qui cherchent à identifier leur public cible, ou les médias qui doivent alimenter la nouvelle.
Donc, les maisons de sondages se sont mises à réinventer la roue, en posant de multiples questions plus ou moins vagues, de façon à tenter (je dis bien tenter) d’avoir un portrait plus précis des électeurs.
Monsieur A voterait pour le candidat Z en raison de tel programme ou telle idée, alors que Madame B vote pour le parti 3 pour changer les choses.
Et nos grands experts des sondages ont donc développé cette expertise de l’analyse de leur propre travail. Existe-t-il une grille d’analyse qui permet d’authentifier que les questions d’un sondage donné sont équivalentes à celles des sondages précédents? Est-ce qu’un organisme indépendant évalue le travail des sondeurs? Est-ce que les médias se donnent la peine de simplement analyser eux-mêmes les sondages et les variations de l’opinion populaire dans le temps? Non. Les sondeurs offrent le produit, le définissent eux-mêmes, l’analysent et soumettent leurs propres résultats.
Il y a lieu de se questionner sur le travail des sondeurs et sur celui des médias (en l’occurrence l’absence de travail sérieux sur les sondages).
Nous sommes prisonniers des sondeurs.
Le peuple veut des chiffres! Le peuple veut des tendances! Le peuple veut des sondages!
Mais le peuple n’est pas politisé et ne fait pas l’effort de se renseigner sur les différentes options qui lui sont offertes.
Vive la vague!
Regardez comment on s’y est pris pour disqualifier Gilles Duceppe lors de la dernière élection fédérale, l’éliminant de la course dans la politique fédérale.
À la question : quel chef ferait le meilleur premier ministre, M. Layton, avec 27 % au Canada, n’a qu’un point de pourcentage de moins que Stephen Harper. Michael Ignatieff est laissé pour compte, à 13 %. Sur cette interrogation, les Québécois mettent M. Layton loin devant les autres, à 38 %.
http://www.cyberpresse.ca/le-soleil/dossiers/elections-federales/201104/17/01-4390804-sondage-national-angus-reid-le-soleil-la-presse-le-npd-rattrape-les-liberaux.php