On sait déjà que François Legault et Charles Sirois sont sur le point de créer leur nouveau parti dit de «centre-droit» et plus ou moins nationaliste.
Voilà qu'un des ex-députés péquistes démissionnaires – Jean-Martin Aussant -, songe tout au moins, sans que la décision définitive n'ait encore été prise, à peut-être créer lui-même un nouveau parti indépendantiste dont l'objectif serait de celui-ci: l'élection d'un tel parti enclencherait le processus d'accession à la souveraineté.
Cette hypothèse, j'en faisais état dans The Gazette – édition du 30 juillet -, dans le cadre d'un long texte d'analyse sur la crise actuelle au sein du PQ:
http://www.montrealgazette.com/life/Opinion+return+great+divide/5182783/story.html
Et, on en parle également ce matin dans quelques quotidiens.
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Voir aussi: http://www.radio-canada.ca/nouvelles/Politique/2011/08/03/001-aussant-creation-parti.shtml
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(*) Maintenant, si vous le permettez, je retourne à nouveau à ma période de vacances….
M. Aussant, père de 2 jumeaux aux couches, ne doit pas bien, depuis quelques mois, dormir la nuit. C’est probablement la raison de son manque probable de repos qui le rend agressif avec le PQ qui lui tombait sur les nerfs, principalement, Mme Marois et sa mautadite gouverne souverainiste, trop molle pour LUI.
Ce nouveau parti dont le chef serait naturellement, M. Aussant, lui-même, auto-proclamé, n’est qu’une hypothèse, très…hypothétique vu qu’il n’a pas de vraiment de suivants importants sauf ceux qui croient que la séparation du Québec d’avec le Canada pourrait se faire après une élection du genre référendaire, de son nouveau parti, pas encore en vie, même s’il y avait moins de 50 % de séparatistes au Québec, ce que M. Aussant vient de confirmer.
J’ai hâte de savoir comment le Canada réagirait à la déclaration unilatérale d’indépendance du Québec, avec une minorité de séparatistes québécois. Ayoye !
M. Aussant se préoccupe nullement du fait qu’un autre parti séparatiste diviserait les votes séparatistes , ce qui aiderait certainement au PLQ. Allô !
Les séparatistes se séparent comme de véritables séparatistes. La panique est prise solide chez-eux, parce qu’ils croient que c’est la faute du chef, qu’il faudrait changer, pendant que c’est l’option qui fait défaut, la simple souveraineté, synonyme de séparation.
Mme Legault, suite à la lecture de votre analyse du 30 juillet dans The Gazette voici deux citations qui me viennent à l’esprit.
« D’ici là, sans repos ni halte, en communauté de sentiment avec les assoiffés d’un mieux être, sans crainte des longues échéances, dans l’encouragement ou la persécution, nous poursuivrons dans la joie notre sauvage besoin de libération. » Paul-Émile Borduas
« Ce qui m’effraie, ce n’est pas l’oppression des méchants, c’est l’indifférence des bons. » Martin Luther King
D’ici peu les Québécois seront devant l’évidence d’un choix incontournable à faire entre l’indépendance pure et simple et la disparition pure et simple de l’entité nationale québécoise.
Bonjour Mne.Legault
Voici ce que j’écrivais ce matin sur ce ballon envoyé en l’air qui demeurera un non-évènement selon moi.
Est-ce que chaque groupuscule au sein d’une option politique doit fonder un parti à chaque fois qu’il y a des divergences d’opinion parmi ses membres?
M.Aussant que je ne connaissait pas n’y d’ève ni d’Adam avant son 5 minutes de gloire lors de sa démission va être très vite rattraper par la réalité quand il réalisera qu’il est beaucoup plus facile de critiquer dans les estrades que d’embarquer sur la patinoire.
Celui qui doit se torde de rire en voyant les indépendantistes scorer dans leur propre filet, c’est Jean Charest qui continuera à faire profiter son entourage de nos ressources naturelles.
En accord (54) »En désaccord (8) »
http://www.radio-canada.ca/nouvelles/Politique/2011/08/03/001-aussant-creation-parti.shtml
Notez que suite à ce commentaire, aucun constipé bi-polaire n’a senti le besoin de me parler de ses selles et j’aimerais qu’il en demeure ainsi. Merci
M. Gascon, c’est ça le problème de votre suggestion du tout ou rien, entre la fédération actuelle et la sortie totale du Canada du Québec. Si les Québécois ont à choisir entre ces 2 extrêmes, ils vont choisir majoritairement la fédération, selon les sondages, à cause de leurs craintes économiques et pour plusieurs, de leur attachement au Canada, comme Canadiens.
Ça prendrait une autre solution plus rassembleuse pour nous mieux protéger le français mais, avec un lien canadien, afin de ne pas perdre notre citoyenneté vu que trop de Québécois ne veulent pas la perdre.
Monsieur Bousquet !
Vous en avez du culot quand même !
Les séparatistes ne se séparent pas Monsieur Bousquet c’est plutôt le PQ qui est devenu un parti autonomiste avec Pauline Marois et qui s’ éloigne des séparatistes . Toute une différence ! ADQ et PQ même combat ! Un a droite et l’autre qui n’a pas encore trouvé sa place ! Evidemment avec un parti d’hésiteux faut pas s’attendre à des positions fermes et précises !
Les séparatistes , dont je suis , veulent voter pour un parti dont l’objectif est de faire du Québec un pays avec ou sans entente si le Canada boude dans son coin !
Nous serons peut-être pas très nombreux mais je vais sûrement voter pour un parti comme celui-là plutôt que de danser la valse hésitation avec les » hésiteux » du Québec .
Avec le PQ l’objectif est très clair actuellement , permettre a une madame qui a donnée beaucoup a ce parti de devenir PM de la Province de Québec ! Après ??? Who cares !
De toute façon avec Pauline les carottes sont cuites pour le PQ depuis un bon bout de temps !
Voici le portrait politique du Québec moderne !
Les séparatistes , les fédéralistes et les hésiteux qui empruntent plusieurs noms tellement ils ne savent plus ou donner de la tête !
Monsieur Goyette !
Le PQ avec madame Marois ne gagnera jamais une élection . La madame ne passe tout simplement pas dans la population mais la petite famille péquiste ne voulait pas d’autre chef qu’elle quitte a sacrifier des » tonnes » de votes . En plus celui qui a le vent dans les voiles ce n’est pas Charest et ses non-réalisations mais Legault !
Avec cette histoire du tunnel Ville-Marie qui nous tombe sur la tête et les irresponsables que sont les Sam Hamad et les cadres supérieurs du MTQ , qui servent les intérêts du Parrain et de ses amis du privé , le PLQ vient de manger un autre uppercut et il finira par ne plus être capable de se relever .
Bien oui M. Asselin, qui est-ce que vous voyez à la place de Mme Marois, à la chefferie du PQ qui pourrait aller chercher tous ces votes perdus là ?
Le mal est fait M.Bousquet !
Fallait y penser avant !
Le PQ aura de sérieuses difficultés a se remettre sur les rails ! Peut-être qu’ après un mandat avec Legault la popluation regardera la situation de façon différente .
Les Dieux et les Idoles se font rare ! Le dernier grand narcissique de cette trempe est maintenant a la solde de l’industrie privé , lui et son grand ami , les deux héros du verglas !
Le Québec est dans une impasse et le Canada apppppplaudi !
Il me semble, M. Asselin qu’il n’est jamais trop tard pour savoir ce que l’on veut. Si Mme Marois démissionnait vendredi de cette semaine, qui est-ce que vous souhaiteriez voir comme chef du PQ, qui aurait des chances d’aller chercher tous ces votes séparatistes purs et durs qui trouvent que Mme Marois ne l’est pas assez.
Je crois que si toutes les personnes qui essayent de détruire Mme Marois essayaient plutôt de la favoriser la population regarderait à deux fois et pencherait fort probablement vers le P.Q,A force de taper sur quelqu’un le monde fini par le croire,mais parlez en en bien et ils vont finir par le croire aussi.EX » Jack Layton.
@ Réjean Asselin
Il s’est dit tellement de chose au sujet du leadership de Pauline Marois et ça continue tous les jours sur le site de Vigile.net que je n’ai rien à rajouter.
L’ ère passe-parout.
Cependant je constate que le ton employé par nos dirigeants qui n’arrivent à conquérir qu’à peine 40% des électeurs pour prendre le pouvoir autant dans le domaine municipal, provincial que fédéral est infantilisant style Coeur de pirate
.http://www.youtube.com/watch?v=PaUI6Tvd1sA
L’affable et ventripotant Stephen Harper dont jamais le vent ne s’oulève une mèche de ses cheveux est apaisant, rassurant et n’emploie jamais de vulgarité. Le tout me passe sur le dos comme l’eau sur le dos d’un canard Jean Charest ferait la joie des tous petits dans un remake des aventures de Saturnin.
http://www.dailymotion.com/video/xbikq4_saturnin-generique-du-debut_fun
Quand à nos célèbres deux maires flamboyants, l’un sorti directement d’un vaisseau de l’espace et l’autre se prenant pour Napoléon, on s’aperçoit qu’on vit encore à l’époque de la ribouldingue.au Québec.
Madame Marois qu’on surnomme la castafiore ne fait pas exception à la règle donc elle a sa place parmi nos p’tits bohommes préférés.
Désolé pour mes habituelles erreurs de frappe.
« bonhommes préférés » et il y en a sûrement d’autres…
Mme Huguette Daigle, d’accord avec vous, ce sont les purs et durs qui sont durs avec Mme Marois. Ceux qui détiennent LA vérité à l’effet que c’est la faute du chef su leur chimère n’avance pas.
Vvous êtes très « impoli » envers les 193 pays indépendants membres de l’ONU, ces peuples très heureux et fiers de leur indépendance que vous qualifiez de « chimère ». C’est pas très gentil ça M. Bousquet.
M. Gascon, une chimère est une vaine imagination « une affaire qui n’arrivera pas ». Je ne dis pas que ce n’est pas souhaitable ni vivable, seulement que ça n’arrivera pas. Pourquoi ? Trop de confort pour le Québec dans le Canada, pas de discrimination palpable, peu de chômage, peur d’un boycott économique, de partition etc.
Nous pouvions croire à la souveraineté-association « pas la simple séparation » jusqu’au référendum de 1980 mais après le référendum de 1995, l’espoir de la séparation s’est juste éteint.
Si vous attendez la séparation du Québec, son indépendance pour être heureux, vous allez, selon moi, attendre longtemps sauf si le fédéral se coule lui-même en interdisant le français au Canada. Pour être heureux dans un pays indépendant, il a toujours un déménagement au Sud-Soudan qui l’est devenu, dernièrement.
< < D'ici peu les Québécois seront devant l'évidence d'un choix incontournable à faire entre l'indépendance pure et simple et la disparition pure et simple de l'entité nationale québécoise. >> J-P G
Il y a quelques jours, quelqu’un, sur ce blog a fait allusion aux Ecossais, aux Irlandais qui ont perdu leur langue, mais pas le reste de leur culture. Ils sont demeurés Ecossais, Irlandais, malgré tout.
Ce sort nous attend peut-être. Il serait malheureux, désolant. D’étoile resplendissante, brillant de mille feux, nous ne serions plus qu’une naine blanche. Visible, mais pas remarquable comme avant.
On peut vivre comme naine blanche et s’en bien porter. Ce n’est pas flamboyant mais c’est vivable. C’est peut-être ce que souhaite la majorité des Québécois francophones. Tourner la page. Passer à l’étape suivante.
Je ne le souhaite pas. Nous ne serions pas morts, mais différents. Anglophones et Québécois. Ce serait une catastrophe culturelle et uniquement une catastrophe culturelle. La vie continuerait. Plus calme. Enfin, sans cette question lancinante, ulcérante, dévorante.
Ce ne serait pas un plus que d’être assimilés. Ce serait plus reposant, tout simplement. Est-ce cela qui nous guette? Est-ce cela qui nous attends? Diantre!
Mais oui M. Bousquet, vaut mieux la dépendance du Québec dans le plussse meilleur pays au monde que dans le Soudan du Sud…la confiance du colonisé réside en sa dépendance du maître.
@ Réjean Asselin qui écrit :
«Les séparatistes , dont je suis, veulent voter pour un parti dont l’objectif est de faire du Québec un pays avec ou sans entente si le Canada boude dans son coin !» – Réjean Asselin
L’indépendance sans progrès social ne nous avancerait pas à grand chose, alors que le progrès social pourrait faire beaucoup sans l’indépendance.
Il me semble que Québec Solidaire nous propose le meilleur des deux mondes…
En fait avec Québec Solidaire, advenant un refus des Québécois d’appuyer l’indépendance, nous pourrions au moins espérer une société meilleure.
Parfois, je ne comprends pas les Québécois…
Pourquoi faudrait-il que l’indépendance obnubile toutes les autres questions et éventualités..?
Christian Montmarquette
.
@ Réjean Asselin qui écrit :
«Les séparatistes, dont je suis, veulent voter pour un parti dont l’objectif est de faire du Québec un pays avec ou sans entente si le Canada boude dans son coin !» – Réjean Asselin
Il me semble que l’indépendance sans le progrès social ne nous avancerait pas à grand chose, alors que le progrès social pourrait faire beaucoup sans l’indépendance.
Il me semble que Québec Solidaire nous propose le meilleur des deux mondes…
En fait avec Québec Solidaire, advenant un refus des Québécois d’appuyer l’indépendance, nous pourrions au moins espérer une société meilleure.
Parfois, je ne comprends pas les Québécois…
Pourquoi faudrait-il que l’indépendance obnubile toutes les autres questions et éventualités..?
Christian Montmarquette
.
M. Gascon, nous pouvons passer notre vie à être dépendants sans que ça nous fasse trop souffrir ni mourir, en étant dépendants : De nos parents, de nos patrons, de nos clients, de l’amour de notre conjoint(e), de nos investissements, de nos gouvernements, de l’humeur de nos voisins, de la température en vacances, des imprévus et des malheurs inattendus etc.
Si le Québec était aujourd’hui indépendant, que feriez vous de différent ?.
Le progrès social M. Montmarquette, c’est quand il y a peu de chômage et plein d’emplois disponible, tellement que ça prend des Mexicains pour venir les remplir au Québec à la place de nos chômeurs ou de nos BS, capables de travailler mais…pas tentés à la grosse chaleur d’été. Pas de doubler les montants de BS pour les aptes au travail, comme le suggère Québec solidaire, pour les plus encourager à ne rien faire.
Comme disait le grand Félix : Si vous voulez tuer un homme, donnez-lui de l’argent à ne rien faire. Pour vivre en socialiste, il y a la Chine mais s’en vient aussi…capitaliste. Il y a aussi Cuba, avis aux intéressés.
Seul M. Bousquet ignore que toute la différence entre la dépendance et l’indépendance réside dans le pouvoir politique exclusif d’un peuple sur son territoire de promulguer toutes ses lois, de prélever tous ses impôts et taxes et conclure des ententes et traités avec les pays alliés de son choix, incluant même le Rocanada.
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Il faut que l’indépendantisme redevienne un mouvement.
À mon humble avis, il faut commencer à délester les partis politiques de la question nationale, qui, plutôt que de contribuer à libérer le peuple de son oppression politique, contribue à faire stagner le Québec sur cette seule et unique question. Et pour ce faire, il faudrait désormais que ce soit le peuple qui s’en réapproprie le leadership.
Je crois de plus en plus, et ce, à l’instar de ce que pensait le fondateur du RIN lui-même, André d’Allemagne, que l’indépendantisme devrait se constituer en «mouvement» et non en partis politiques.
Car les partis politiques, et on le constate de plus en plus, divisent le mouvement indépendantiste, et rompent l’unité des indépendantistes à sa base.
D’ailleurs, avec une vigoureuse reprise en main par le peuple et par ledit mouvement de la question nationale, les citoyens pourraient enfin voter normalement – et surtout concrètement – sur l’axe gauche-droite, plutôt que sur l’axe fédéralisme-souverainisme, qui, on le sait, en plus, n’a rien de garanti, et qui laisse même tout le loisir à certains partis politiques souverainistes d’administrer la province d’une manière complètement libérale, de droite et à la faveur des entreprises plutôt qu’à la faveur des citoyens ordinaires.
Si Jean-Martin Aussant recherche une solution nouvelle, unitaire, rassembleuse, c’est à cette solution qu’il devrait songer, et non de refaire ce qui a déjà été fait et qui, avouons-le nous, a échoué.
«La véritable erreur, c’est de refaire la même une deuxième fois.»
– Inconnu
Christian Montmarquette
QS-Montréal
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@ Gilles Bousquet,
Les véritables B.S. Monsieur Bousquet, sont ces millionnaires, mafia du béton et autres sangsues de l’État, qui se baladent en yatcht dans les Bermudes et autres paradis fiscaux avec l’argent des contribuables, et non les miséreux qui doivent essayer de survivre avec 6,000$ par année et que vous pointer constamment du doigt de vos préjugés depuis des années.
Si vous vous cherchez des boucs émissaires, arrêtez de vous en pendre à ceux qui sont dans le besoin comme les minus de l’ADQ et autres Mario Dumont de ce monde.
Et attaquez-vous donc aux véritables bandits qui sont en train d’abaisser le Québec au niveau des pays du Tiers-monde.
Christian Montmarquette
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Merci M. Gascon, je ne savais pas ça, vous me l’apprenez…merci beaucoup de ce renseignement précieux qui pourrait bien me faire revirer séparatiste, afin de ne plus dépendre du Rocanada, le vilain colonisateur anglophone et francophobe.
Adien Canada et Canadien-français, vive le bonheur québécois séparé !
M. Montmarquette, je suis entièrement d’accord avec la proposition de QS de mettre sur pied une constituante dont les membres seraient élus au suffrage universel; et c’est à cela que Jean-Martin Aussant devrait se vouer en créant comme vous lui suggérer un mouvement rassemblant tous-tes les citoyens-nes déterminés à un règlement de cette question nationale québécoise. Cette procédure a l’avantage d’être celle la plus rassembleuse, la plus démocratique. Cela créerait inévitablement, de mémoire d’homme, un élan de solidarité chez le peuple québécois jamais égalé. (:-»)
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@ Jean-Pierre Gascon
Merci de votre commentaire et de votre appui Monsieur Gascon.
C’est fort encourageant.
Cela fait près d’un ans que je mijote cette idée.
J’en ai souvent parlé chez Vigile, mais je ne sais pour trop quelle raison, elle ne semble pas… accrocher…
Sans doute-là encore, ..question de paysannerie…
Mais, je suis confiant que l’espoir est du côté du mouvement citoyen non partisan.
Mais, la multiplication des tendances et des partis politiques souverainistes forcera à mon avis la chose.
Salutations cordiales,
Christian Montmarquette
QS-Montréal
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Correction :
Sans doute-là encore, ..question de : «partisanerie»
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M. Montmarquette, je suggère à Amir Khadir et Françoise David de sortir cet automne sur la place publique pour réclamer haut et fort un élan de grande solidarité des Québécois pour la création d’un mouvement appelant à remettre au peuple tout entier la responsabilité d’un règlement à l’imbroglio constitutionnel qui perdure depuis maintenant trop de décennies.
Ce n’est qu’avec un effet d’entrainement créé par une base citoyenne d’envergure que tous, incluant Vigile et les partis politiques, nous nous verrons obligés d’entreprendre cette démarche, cet acte d’autodétermination, qu’est la constituante.
La Coalition pour l’avenir du Québec a récolté 139 600 $ ces six derniers mois.
Lisez la liste de quelques-uns des donnateurs bailleurs de fond et vous verrez qu’au Québec, rien ne change.
Parmi les 441 donateurs recensés par la CAQ, on retrouve des personnalités et hommes d’affaires connus :
•Marcel Dutil, président du conseil d’administration de Canam et ex-militant de l’Action démocratique du Québec
•Hubert Bolduc, vice-président chez Cascades et ancien porte-parole du premier ministre du Parti québécois Bernard Landry
•Mario Charpentier, ancien président de l’ADQ
•Roger Frappier, producteur
•Richard Speer, producteur
•Maxime Rémillard, copropriétaire de V Télé
•Tulio Cedraschi, ancien président de la caisse de retraite du CN
•Pierre Fitzgibbon, grand patron de la firme de suppléments naturels Atrium Innovations
•Benoît La Salle, PDG de la société aurifère Semafo
•Laurent Verreault, président du conseil de l’équipementier GLV
•Tony Mignacca, président des magasins de plein air Sail
•Luciano Del Negro, vice-président du Conseil canadien pour la défense et la promotion des droits des juifs et d’Israël
•Sylvain Lévesque, président de l’Association des garderies privées du Québec (AGPQ)
http://www.radio-canada.ca/nouvelles/Politique/2011/08/04/002-coalition-legault-liste-donateurs.shtml
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Vous pouvez faire parvenir votre proposition aux adresses suivantes :
Québec Solidaire [email protected]
Françoise David [email protected]
Amir Khadir [email protected]
Merci de votre intérêt,
Christian Montmarquette
Membre et militant de Québec Solidaire depuis ses origines.
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@Christian Montmarquette
Votre approche mérite certainement une réflexion sérieuse. Depuis quelques années je constate qu’effectivement la question de la souveraineté devrait concerner tous les citoyens québécois, de la gauche, du centre ou de la droite. Je me dis qu’une fois la souveraineté déclarée et une constitution québécoise promulguée, on décidera bien si le Québec sera de gauche ou de droite.
Mais cette approche se butte à sa faisabilité. Dans notre système, quel parti politique acceptera, une fois rendu au pouvoir, d’embarquer dans un tel processus ? Actuellement je n’en vois pas.
Pourrait-il se former au Québec un parti politique sans orientation gauche/droite dont l’unique mission serait faire l’indépendance en prévoyant sa propre disparition une fois l’objectif atteint en laissant tout l’espace politique aux autres partis politiques de la gauche ou de la droite ? (Mais il me semble que ça me rappelle quelque chose …)
Actuellement je ne vois pas cette hypothèse réalisable. Peut-être l’opinion publique n’est-elle pas mûre. En attendant nous assistons aux éternels discours et redites des mêmes porte-flambeaux. Les mêmes arguments et contre-arguments nous sont servis. Ça devient lassant à la longue et il faut être un peu maso pour rembarquer dans ces diatribes. En réalité tous les partis politiques ne pensent qu’à prendre et conserver le pouvoir.
Mais tout n’est pas joué, loin s’en faut … J’en veux comme exemple ce qui se passe à Ottawa avec le NPD. Il s’agirait de quelques incidents avec d’autres viaducs s’effondrant ou d’une révélation journalistique surprenante pour changer significativement la dynamique politique au Québec. N’oublions pas qu’avec quelques notes seulement on écrit sans fin des symphonies, toutes plus intéressantes les unes que les autres.
«Ce que la chenille appelle la fin du monde, le Maître l’appelle un papillon.»
[Richard Bach]
@ Denis Drouin,
LIBÉRER LA QUESTION NATIONALE DES PARTIS POLITIQUES
Tout d’abord, merci de votre commentaire et d’ainsi me permettre d’exposer mon approche.
Pour répondre à votre question, je dirais, qu’on ne fait pas du neuf avec du vieux et qu’on innove pas sans provoquer une certaine critique. – C’est parfaitement compréhensible.
Tout en reconnaissant la démarche de Québec Solidaire, il faut comprendre que ma proposition personnelle, elle, est citoyenne, non partisane, non électorale et autonome.
Et c’est dans un esprit républicain de responsabilisation et d’auto-gouvernance qui me vient directement Michel Chartrand, qui estimait qu’on ne doit pas attendre après les autres pour faire ce que l’on peut faire soi-même qu’elle a été faite.
Vous comprendrez aussi que ce texte relativement rudimentaire et est en cours de rédaction et de conception. Il ne s’agit donc pas de la proposition finale, mais plutôt de son concept.
* * *
«Proposition et procédure d’accession à l’indépendance par la voie citoyenne autonome, non partisane.» :
1.0 : Il faut fonder un mouvement pour l’indépendance.
1.1 : Il faut créer un comité pour écrire une constitution provisoire et une déclaration d’indépendance.
2 : Il faut ouvrir un site internet et mettre le projet en ligne.
3: Il faut faire une campagne de financement via ce site internet , une campagne de mobilisation et médiatiser le projet.
4 : Il faut obtenir la liste électorale du DGEQ et créer des associations de mobilisation et d’information dans les 125 circonscriptions électorales du Québec et mettre en place des bureaux de votes.
5 : Il faut faire signer ladite Constitution provisoire et cette déclaration d’indépendance, soit en ligne, sur ledit site internet, soit sur papier par chaque citoyens possédant la qualité d’électeur jusqu’à l’atteinte d’une majorité.
6 : Une fois cette majorité atteinte, il faut déclarer l’indépendance et la faire progressivement reconnaître par les autres pays et les instances internationales compétentes.
7 : Il faut créer une large assemblée constituante et procéder, tel que prévu dans la constitution provisoire, à la rédaction et à l’adoption de la constitution permanente.
* * *
Les avantages de cette approche citoyenne sont fort multiples, puisqu’en plus de mettre à contribution la base militante indépendantiste au quotidien et d’en refaire l’unité dans le combat, il n’y a pas de case «Non» et pas de référendum perdant.
Le tout pouvant se dérouler dans un délais beaucoup plus raisonnable qui pourrait s’étaler sur un an, ou même quelques années, plutôt que dans une campagne marketing à la course et risquée sur seulement 30 jours.
L’approche citoyenne procurant donc en plus, le temps nécessaire aux militants et militantes de la base de travailler à convaincre et à instruire les citoyens et de travailler au financement.
De plus, si jamais la majorité d’appuis est atteinte alors qu’un parti souverainiste ou une majorité de députés souverainistes étaient au pouvoir, l’Assemblée nationale pourrait se servir de ces appuis signés d’avance pour déclarer et légitimer l’indépendance du Québec.
Autrement dit, dans une tel cas, c’est comme si le gouvernement avait déjà un référendum gagnant en poche pour déclarer l’indépendance.
Pour finir, cela aura aussi l’avantage de démasquer les faux partis indépendantistes qui n’appuieront pas la démarche légitime d’un peuple que l’on prétend pourtant constamment … Souverain…
___________________
Christian Montmarquette
Montréal,
Ce jeudi, 4 aout 2011.
.
M. Montmarquette, tout louable puisse-t-elle être, votre proposition ne s’adresse qu’aux indépendantistes. Mais ce à quoi je faisais référence était un mouvement citoyen général s’adressant à toute la population réclamant la création par le gouvernement du Québec d’une constituante dont les membres seraient élus au suffrage universel. Constituante dont le mandat serait l’élaboration d’un projet de constitution qui serait soumis au peuple par référendum. Voilà pour moi la définition d’un processus non partisan relevant incontestablement d’un acte d’autodétermination par le peuple québécois.
Cordialement, JPG
À M. Montmarquette qui écrit : «Et attaquez-vous donc aux véritables bandits qui sont en train d’abaisser le Québec au niveau des pays du Tiers-monde.»
Est-ce que vous pourriez en nommer 3 ou 4 de ces bandits ?
S ceux que vous nommez « bandits» quittaient le Québec en gang, le Québec pourrait bien vivre comme Haïti…plus ou moins.
Si vous voulez continuer de vivre dans un pays riche et sécuritaire, faudrait continuer d’encourager le capitalisme et le coopératisme avec un bon filet social mais, pas trop pour ne pas décourager le peuple de travailler à son bonheur.
D’accord pour tenter de fermer les paradis fiscaux et pour emprisonner les fautifs.
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Merci de l’échange Monsieur Gascon.
Mais pour répondre à vos objections, je ne vois pas qui l’indépendance et le projet de Constitution pourrait bien intéresser d’autre que des indépendantistes ?
Dans un tel contexte, je crois que les forces fédéralistes ne se feront sans doute surtout que critiques, et se réclameront plutôt de la Constitution canadienne.
D’ailleurs, à quoi bon convoquer une Assemblée constituante pour rédiger une constitution ne mènerait pratiquement nulle part, puisque que sans l’indépendance, c’est la Constitution du Canada, la Cour suprême du Canada qui demeurent en vigueur ?
Par contre, même si l’appel à la mobilisation s’adresse principalement aux forces indépendantistes, tous les citoyens sont invités à participer.
D’ailleurs, l’adoption de la Constitution permanente à laquelle je fais référence se ferait par comme vous le dites avec une Assemblée constituante dûment élue.
Je ne vois donc pas tant de contradictions entre votre proposition et la mienne.
Christian Montmarquette
Montréal
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Pour corriger le déficit social dans les domaines de la santé, de l’éducation, du revenu et du travail. Pour corriger le déficit démocratique et le fonctionnement du pouvoir. Pour assainir les finances publiques et protéger nos valeurs. Il ya un outil qui peut être très utile pour y arriver et inclure tout cela: une Constitution.
Cela pourrait ce faire dans le statut actuel du Québec. Le mouvement d’appui pour une Constitution québécoise propose cette avenue au http://www.macqc.org
@Christian Montmarquette
Un Québec social-démocrate ne sera possible qu’après avoir fait notre souveraineté . Pour le moment la moitié de nos taxes sont administrés par Ottawa et le Canada ne deviendra pas un pays de centre-gauche avant la semaine des trois jeudis . Il nous faut tout nos billes pour réaliser un projet de société distinc et non la moitié . Québec Solidaire n’a pas et n’aura pas assez d’appui pour prendre le pouvoir et réaliser la souveraineté d’ici les 25 prochaines années ! La gauche comme QS fait peur a l’électorat en général même si la population semble beaucoup aimez votre chef .
Le PQ de madame Marois est maintenant un parti autonomiste et un bon membre de ce parti sur ce blogue du nom de Gilles Bousquet représente très bien l’orientation des membres fidèles a Pauline Marois quand il mentionne que la souveraineté est une » chimère » soit » une affaire qui n’arrivera pas » et nous pouvons très bien comprendre la démission des quatres membres important de ce parti !
Bien sûr la venue d’un nouveau parti indépendantiste n’est pas l’ idée du siècle mais dans quel parti les souverainistes se reconnaitront désormais !Dans Québec Solidaire ou l’appui de la population est rachitique et le projet de mise en marche de la souveraineté nébuleux ou au PQ ou les membres ( nombreux ) comme Gilles Bousquet croient que la souveraineté est une » chimère » et qu’ils souhaitent de tout coeur que Pauline Marois devienne Première Ministre de la Province de Québec !
Par facile la situation actuel pour les gens qui espèrent faire du Québec un pays !
Si aux prochaines le PQ va en guerre avec nos autonomistes qui considère la souverainté comme une » chimère » et qui ne veulent surtout pas déplaire a nos amis du ROC ( un peu comme madame Turmel qui semble avoir très honte de son passé ) je vais probablement voter pour QS pour une seule raison , envoyer le plus de députés de gauche a Québec si Legault et ses petits Lucides mènent de façon importante dans les sondages. Par contre si le PQ change de chef et d’orientation en remettant la souveraineté a la place ou elle doit être alors je verrai !
Voyez-vous M.Montmarquette j’aime Québec Solidaire et j’ai beaucoup d’amis qui en sont membres mais je suis avant tout un souverainiste et je crois que c’est la journée ou nous ferons du Québec un pays que les changements importants s’effectueront et non l’inverse .
@ M. Montmarquette,
Malencontreusement j’ai par mégarde fait parvenir que la moitié du commentaire vous étant adressé ci-haut que voici en entier.
Toute louable puisse-t-elle être, votre proposition ne s’adresse qu’aux indépendantistes. Mais ce à quoi je faisais référence était un mouvement citoyen émanant de la population en général réclamant la création par le gouvernement du Québec d’une constituante dont les membres seraient élus au suffrage universel.
Une constituante dont le mandat serait l’élaboration d’une constitution d’un Québec dont le statut politique serait l’élément premier de ce document soumis au peuple par référendum. Voilà pour moi la définition d’un processus non partisan relevant d’un acte incontestable d’autodétermination par le peuple québécois.
Voici les règles et procédures de l’élection des constituant(e)s qui selon moi seraient acceptables:
– L’élection des membres de la constituante (les constituants) au suffrage universel selon moi devrait avoir lieu dans les trois mois suivant la date de fermeture des mises en candidatures au titre de constituant(e), dans les 125 circonscriptions du Québec.
– La campagne d’investiture à un poste de constituant(e) aurait une durée minimum de 25 jours et un maximum de 35 jours.
– Toute personne ayant recueilli un minimum de 250 signatures de citoyens de sa circonscription (1% des électeurs inscrits à la liste électorale) avant la date de fermeture des candidatures pourrait se présenter comme candidat(e) à la campagne d’investiture à un poste de constituant(e).
Cordialement, JPG
ADDENDUM
J’ai omis d’ajouter une règle étant le « nerf de la guerre » de toute campagne électorale, celle du financement des dépenses électorales que voici:
– Une somme maximum de dépenses électorales par candidat, soit un montant de dépenses raisonnable devant être déterminé par le législateur pour ne pas faire de cette élection qu’une élection de millionnaires à la solde du pouvoir de l’argent.
M. Asselin, je ne prétends parler au nom du PQ, seulement une idée personnelle, cette idée de chimère de séparatistes purs et durs qui croient qu’ils vont virer les fédéralistes en souverainistes en assez grand nombre pour obtenir un solide OUI au prochain référendum sur la séparation, vu que la souveraineté-association de M. Lévesque a été retirée du programme du PQ, par erreur, je crois. Que ceux qui croient que la simple séparation du Québec « sa sortie du Canada » va se faire, je leur souhaite bonne chance…sincèrement.
Je ne suis pas nombreux mais semble assez seul actuellement à croire au PQ, pour mieux faire avancer le Québec et la langue française, mais pas à son objectif constitutionnel : La séparation. Ce parti devrait, il me semble changer d’option constitutionnelle…éventuellement, quand ils vont voir plus clairement que la séparation, avant M. Lévesque, n’attirait que 8 % de séparatistes.
Tout ceci ne va absolument nulle part. Et tous les intervenants s’en sont évidemment rendus compte. Qu’ils l’aient reconnu ou pas.
Parce que la « réalité » seule détermine ce qui pourrait être possible.
Alors, à quoi ressemble-t-elle, par les temps qui courent, cette foutue « réalité »?
Eh bien, à ce que j’observe, cette « réalité » a plus que jamais des allures de division.
Du moins du côté du mouvement souverainiste.
Un mouvement qui n’en est apparemment plus vraiment un puisque c’est la pagaille complète en ce qui concerne une option politique qui, hier encore ou presque, gardait une certaine – quoique très affaiblie – visée commune. Avec possiblement de toutes petites chances encore de parvenir à en séduire assez pour une victoire à l’arraché quant à son objectif de séparation.
Mais avec ce parfum d’un possible nouveau parti flottant dans l’air, c’est le dernier clou dans le cercueil… Le schisme enclenché par Jacques Parizeau a fait des dégâts tels que seul un miracle pourrait à présent nettoyer l’agora souverainiste.
Cela étant, la véritable « réalité » ne se conjugue plus que selon ce paradigme me paraissant dès lors incontournable: soit François Legault et sa coalition parviendront à tirer leur épingle du jeu à la prochaine élection québécoise, soit Jean Charest (plus aguerri…) gardera son fauteuil de premier ministre.
Serait-ce une bonne chose pour le Québec?
Cela n’est aucunement pertinent à cette analyse de la situation.
M. Montmarquette,
Le document final d’une constitution québécoise élaborée par des membres élus au suffrage universel formant la constituante ne pourra, j’en conviens, satisfaire 100% des Québécois…les fédérastes pro-colonialistes, les fédéralistes asymétriques, les autonomistes mous, les autonomistes purs et durs, les souverainistes mous, les souverainistes purs et durs, les indépendantistes, les sécessionnistes et enfin les méchants séparatisssses.
Après une année ou deux de travaux de la constituante et un référendum sur ses conclusions, croyez-vous vraiment que nous aurons accouché du statut quo ? Moi je ne le crois pas.
Cette démarche du peuple québécois en sera une de souveraineté nationale. Nous aurons établi un rapport de force tel que le Rocanada sera, face à la communauté internationale, contraint de prendre acte des conclusions d’une démarche démocratique incontestable d’une nation libre d’assumer pleinement son propre destin, donc tenu à abandonner sa sujétion politique sur le Québec.
Commenceront alors des négociations de nation à nation afin d’arriver à une entente, soit conclure un traité international acceptable aux deux parties.
Voilà un scénario qui ne me déplairais aucunement en tant qu’indépendantiste.
Très heureux d’échanger avec vous. JPG
@Gilles Bousquet
Vous n’êtes pas nombreux ???
Je l’espère pour votre santé psychologique ! Lol !
Monsieur Perrier !
Votre question » serait-ce une bonne chose pour le Québec » est elle en fonction d’une possible élection du PLQ ? Ou l’élection du groupe Legault ?
En ce qui me concerne autant les fédéralistes que les souverainistes ne devraient en aucun cas souhaiter un autre mandat a John James Charest ….pour le bien commun !
Votre analyse et vos conclusions sont solides M. Perrier, comme d’habitude.
Tout n’est pas pris dans le ciment du côté séparatiste mais ça ne regarde pas très bien pour ceux qui veulent sortir le Canada du Québec. S’il n’y a pas de grosses insultes, venant du fédéral envers le Québec, le Canada va demeurer une fédération incluant toutes ses provinces actuelles, même l’Alberta séparatiste, avec son Wild Rose party, qui n’ira pas plus loin que le PQ, en fait de séparation.
Alors, M. Asselin, c’est un peu surprenant mais, je suis d’accord avec vos commentaires de 21h15 et principalement celui de 21h23.
Pour mieux sortir le gouvernement Charest, faudrait juste voter pour le candidat local qui a plus de chances e défaire celui du PLQ à la prochaine élection. Les derniers sondages locaux aident à savoir quel candidat est mieux ligné pour y arriver.
Premièrement @ Gilles Bousquet
Vous écrivez : «[…] faudrait juste voter pour le candidat local qui a plus de chances e défaire celui du PLQ à la prochaine élection.»
Quand allez-vous comprendre que sur une population entière cette stratégie du vote stratégique n’est rien de moins que suicidaire, sinon improductive ? Personnellement je la rejette complètement et sans aucun compromis.
Des élections c’est fait pour choisir et non pas pour ne pas choisir.
Deuxièmement, personne n’a répondu à ma question : «Pourrait-il se former au Québec un parti politique sans orientation gauche/droite dont l’unique mission serait [de] faire l’indépendance en prévoyant sa propre disparition une fois l’objectif atteint en laissant tout l’espace politique aux autres partis politiques de la gauche ou de la droite ? »
Est-ce à dire que personne n’a assez de couilles pour relever ce défi ? Ou est-ce parce que personne n’est en mesure, intellectuellement, de relever ce défi ?
Encore faut-il qu’un tel parti politique obtienne la majorité des votes afin d’exercer le pouvoir et être capable de promulguer des lois conséquentes. Autrement nous ne serons jamais que des « pelleteux de nuages »
Aujourd’hui, il me semble que nous recherchons la quadrature du cercle. Je ne vois de possibilité de réussite que dans le passage du temps qui, lui seul, peut apporter des éléments nouveaux, imprévus et possiblement favorables à une démarche souverainiste. Il s’agit donc, selon moi, de veiller à ce que la flamme ne s’éteigne pas. Tout comme une brise favorable peut ranimer une flamme, un souffle trop intense peu fort bien l’éteindre définitivement. Dit autrement, la fleur ne pousse pas plus rapidement si on tire dessus.
Alors, un nouveau parti politique, celui de Aussant ou celui de Legault, peut-il changer fondamentalement les choses. Celui de Aussant peut-être. Celui de Legault ne serait qu’une pause.
« Feindre d’ignorer ce qu’on sait, de savoir tout ce qu’on ignore, d’entendre ce qu’on ne comprend pas, de ne pas voir ce qu’on entend; voilà toute la politique.» [Beaumarchais]
@Denis Drouin
Très difficile d’imaginer un parti sans vraiment un programme » tirant » a gauche ou a droite . Sur le plan économique faut quand même qu’un parti se branche sur une idéologie ou une autre ! Centre-gauche ou centre-droit , gauche ou droite mais pas les deux en mêmes temps !
Un parti souverainiste seulement ! Sans un projet de société ?
Hummmmmm ! Pas sûr !
Le Roc à qui?
Le Roc à quoi?
Le Roc à Nada.
Le Roc à Nada…
(Refrain inspiré d’une tounette de Lulu Francoeur)
Ben, kin… Pourquoi pas?
M. Drouin, s’il n’y a pas de votes stratégiques, un gouvernement, que la grande majorité des citoyens veulent rejeter, peut être réélu par la division des votes des autres partis, quand il y en a plusieurs. Il peut même être réélu avec moins de 40 % des votes.
Choisir de sortir un gouvernement par le vote stratégique est aussi un choix.
Si la flamme du séparatisme n’habite pas un assez grand nombre de Québécois pour réussir, faudrait bien trouver une autre flamme, plus accessible, afin de ne pas perdre trop de temps et même, toute sa vie.
Oui, M. Bertrand, vous avez ici un bon commencement pour une bonne chanson française mais faudrait continuer la composition parce que ça arrête un peu trop raide. Je fais confiance à votre esprit créatif.
@ Réjean Asselin,
RA – Un Québec social-démocrate ne sera possible qu’après avoir fait notre souveraineté
CM – Pourtant, rien ne nous indique qu’un Jean Charest, un Mario Dumont ou un Lucide Bouchard ne dirigerait pas un Québec même indépendant, très à droite et d’une manière parfaitement néolibérale, pour ne pas dire antisociale. – Je crois même que ce serait sans doute facilement le cas. Les États changent, mais le capitalisme demeure. D’autre part, nombres d’avancées sociales ont été réalisées en plein régime fédéral, dont l’assurance maladie, le système d’éducation public, l’étatisation de l’hydro-électricité et de l’assurance automobile etc.
RA – Québec Solidaire n’a pas et n’aura pas assez d’appuis pour prendre le pouvoir et réaliser la souveraineté d’ici les 25 prochaines années ! La gauche comme QS fait peur a l’électorat en général même si la population semble beaucoup aimez votre chef .
CM – Je ne suis que partiellement d’accord avec vous là-dessus. Nous venons d’avoir une sacrée surprise avec le NPD et l’écoeurantite semble généralisée. Je respecte votre opinion, mais ce n’est qu’une opinion et une prospection, pas un fait. Pas plus que Québec Solidaire fasse peur, surtout que vous admettez vous-même la popularité d’Amir. Comment peut-on être populaire et faire peur ?
Je répète malheureusement que ce n’est que votre opinion.
Reste que pour le moment, Québec Solidaire n’est pas seulement qu’un parti électoral et de pouvoir. Il a une forte mission d’information et d’éducation politique. Le genres de changements que nous proposons ne se fait pas du jour au lendemain, et nous faisons depuis 1998 la promotions des idées de gauche, dont seule une véritable implantation sur le moyen terme permettra d’en construire les appuis stables.
RA – Dans Québec Solidaire ou l’appui de la population est rachitique et le projet de mise en marche de la souveraineté nébuleux
CM – Cela m’étonne que vous disiez apprécier QS, et, que du même souffle, vous véhiculiez ce genres d’idées reçues et de préjugés. – Les appuis à Québec Solidaire et à notre gauche politique n’ont très généralement fait qu’augmenter depuis nos aubes. Et Amir a été durant des mois le député le plus populaire du Québec. – Mais, surtout, quant à la souveraineté, elle n’est pas si nébuleuse que vous le dites, puisque QS s’est « formellement » engagé à entreprendre la démarche dans les 6 mois d’une éventuelle prise du pouvoir :
Pays de projets- Amir Khadir :
http://www.youtube.com/watch?v=cPyCguHA4lw
Pays de Projets de QS :
http://paysdeprojets.org/
RA – Voyez-vous M.Montmarquette j’aime Québec Solidaire et j’ai beaucoup d’amis qui en sont membres mais je suis avant tout un souverainiste et je crois que c’est la journée ou nous ferons du Québec un pays que les changements importants s’effectueront et non l’inverse .
CM – Je comprends vraiment mal pourquoi les gens assujettissent tout progrès politique, social ou économique à l’indépendance. Cela m’apparaît comme le chantage même du PQ durant des années. Alors que nous venons de perdre 40 milliards dans la caisse de dépôt, que Charest est en train de livrer le Nord au grand capital et que cela pourrait être évité. – Que nous pourrions contrer les dommages à l’environnement. Que nous pourrions éliminer la mafia du béton et la corruption.
Je crois vraiment l’inverse de ce que vous dites et qu’il ne faille pas attendre l’indépendance pour changer tout ce que nous pouvons changer, même si l’indépendance est fort séduisante.
Mais, l’indépendance politique et territoriale ne sera pas grand-chose, si nous n’implantons pas de des valeurs de gauche et une nouvelle culture politique.
Cordialement,
Christian Montmarquette
QS- Montréal
En une perspective toute Rocanadian d’une déquébécisation du « Canada » un commentaire très instructif de John Ibitson du Globe and Mail rejoint en plusieurs points celui de Madame Legault dans The Gazette. Aux intéressés voici le lien de cette perpective nous provenant du Rocanda:
http://www.theglobeandmail.com/news/opinions/opinion/quebecs-profound-isolation/article2117494/
Bonne lecture.
< < CM - Je comprends vraiment mal pourquoi les gens assujettissent tout progrès politique, social ou économique à l’indépendance. Cela m’apparaît comme le chantage même du PQ durant des années. Alors que nous venons de perdre 40 milliards dans la caisse de dépôt, que Charest est en train de livrer le Nord au grand capital et que cela pourrait être évité. - Que nous pourrions contrer les dommages à l’environnement. Que nous pourrions éliminer la mafia du béton et la corruption. >> C. M.
Il ne faut pas attendre l’indépendance pour faire le ménage. Il y a préril en la demeure. Il faut absolument élire un parti honnête qui va s’engager à faire le ménage dans ces écuries d’Augias.
Pour le moment, quel est le parti qui semble en mesure de s’atteler à la tâche? Québec Solidaire me paraît le plus crédible. Aux prochaines élections, votons pour le candidat de QS et donnons-lui comme mandat de faire le ménage avant toute chose. On aura tout le temps après pour l’indépendance. Ce parti aura fait la preuve qu’il a le coeur à la bonne place et qu’on peut lui faire confiance.
Intéressant article. M. Gascon.
Questions pertinentes en effet. Comme l’avait déjà soulignée Mme Legault.
Que faisons-nous dans cette galère?
M. Gingras, il appert que F. Legault voudraient nous voir caqueter pendant les 15 prochaines années avant de remettre la question nationale québécoise à l’ordre du jour, une supercherie sans nom. Le PQ voudrait nous voir patauger dans les méandres marécageuses du droit constitutionnel rocanadian en une « gouvernance souverainiste-autonomiste » assurant ainsi une longue carrière politique à sa députation. Enfin chez le PLQ on préconise la simple intendance coloniale du Québec au profit de la grande famille, des p’tits amis et des oligarques.
Aujourd’hui, il serait très téméraire pour quiconque de prédire comment et quand nous sortirons de cette galère rocanadian.
Le mouvement indépendantiste doit reprendre le leadership de l’agenda politique au Québec afin d’éradiquer toute éventualité d’un enferment irrémédiable du peuple québécois dans le seul horizon du carcan rocanadian.
Salutations cordiales.
@C.Montmarquette
Evidemment je ne m’attend pas a ce que vous soyez d’accord avec moi sur le principe de faire la souveraineté en priorité . Le seul problème avec votre vison politique et sociale est que si le Québec doit être souverain il faut qu’ il soit de gauche absolument . Personnellement je préfère la sociale-démocratie comme option mais l’important c’est de faire du Québec un pays .
Concernant la victoire du NPD aux dernières élections je ne partage pas du tout le point de vue selon lequel la majorité des gens au Québec qui ont votés NPD ont votés pour le programme du parti et pour la gauche ! Je crois plutôt qu’ils ont voulu brasser les cartes et que Jack Layton a connu son quinze minutes de gloire au bon moment . Bien sûr tout les socialistes du pays aiment prétendent le contraire …. mais bon !!!! En plus ce n’est certainement pas avec des madame Turmel qui semble avoir très honte de son passé souverainiste et de son appartenance au BLOC ainsi qu’a QS que ce parti fera avancer les choses pour nous .
Les membres de QS , un parti souverainiste ,semblent fier du succès du NPD au Québec ! Encore là je ne crois pas que le NPD fera oublier le Bloc et je dirais même que c’est probablement le contraire qui se produira . Le NPD est FÉDÉRALISTE et il cherchera a gagner des appuis en dehors du Québec , toute une commande pour une délégation majoritairement québécoise à Ottawa . Comment défendre les intérêts du Québec et courtiser l’ Ontario en même temps ????
Votre chef Amir Khadir est aimé même si sa popularité est en baisse a cause de certaines de ses positions et déclarations récentes . Mais la sympathie envers un chef de parti qui semble à des années lumières du pouvoir est très fragile et volatile .
On verra peut-être le sphynx renaître de ses cendres à Ottawa, parlant de nouveau parti. Tout dépendra de l’attitude des dirigeants du NPD dans la crise qui secoue ce parti hybride.
Si l’on ne soutient pas Mme Turmel, qui à mon avis s’est tenue debout et n’a pas renié son passé récent, je souhaite qu’une grande partie du caucus québécois donne une leçon de choses à ces fédéralistes bornés et obtus, même au NPD, et qu’une grande partie de la délégation québécoise rejoigne les quatre Bloquistes.
Canadiens, je veux bien, mais Québécois d’abord.
Mme Turmel est socialiste. Québec Solidaire est très socialiste. Le Bloc est en parti socialiste. Mme Turmel a bien joué ses cartes. Elle a soutenue la cause socialiste dans tous les partis à sa portée. Elle a bien fait. Dans un buffet, on a le choix des aliments. Mme Turmel avait une assiette bien garnie. Il n’y a rien a redire. Sauf pour les petits esprits. Il y en a dans tous les partis. M. Landry a encore une fois déçu. Il aurait du soutenir Mme Turmel, comme il aurait dû soutenir la nationalisation des éoliennes. Mais c’est un autre dossier.
Quels hypocrites que ces faux jetons à Ottawa, et un au Québec. Pouah!
Vivement un vent mauvais pour emporter ces pourritures. Du balai! oui. Ouste!
Au début de mon dernier commentaire il fallait lire:
M. Gingras, le CAQ et F. Legault…
Hum,
Juste un petit grain de sel de ma part pour rappeler aux intervenants qui ont précédé que leur opinion sur l’avenir du Québec ne fait pas l’unanimité…
Un Québec souverain résolument de gauche tient de l’utopie…
Désolé, mais vous rêvez en couleurs, mes amis…
M. Gilles Bousquet écrit :«s’il n’y a pas de votes stratégiques, un gouvernement, que la grande majorité des citoyens veulent rejeter, peut être réélu par la division des votes des autres partis, quand il y en a plusieurs. Il peut même être réélu avec moins de 40 % des votes.»
Nous avons vu les résultats du vote stratégique du 2 mai dernier : Harper majoritaire ! Point, à la ligne …
Avant le jour du scrutin plusieurs personnes clamaient qu’il fallait voter stratégique, pour le parti politique le plus susceptible de battre, comté par comté, les candidats conservateurs.
Attendez le retour en Chambre à Ottawa et les tenants du vote stratégique pourront, de visu, évaluer les grandes qualités du vote stratégique.
La meilleure façon, et dans notre système politique la seule façon d’influencer le vote c’est d’identifier le candidat qu’on souhaite élire et de tenter de vendre notre choix. Voter pour quelqu’un qu’on ne veut pas élire est complètement absurde.
Je trouve presque hypocrite de parler de vote stratégique pour mousser les candidats d’un autre parti.
«Pour voir qu’il fait noir, on n’a pas besoin d’être une lumière. »[Philippe Geluck]
Ce qui se passe politiquement en ce moment au Québec est assez fascinant… mais cela le serait bien davantage à observer (car beaucoup moins préoccupant pour nous) si cela se passait ailleurs qu’ici.
Quelqu’un tire-t-il effectivement les ficelles derrière tout ça?
Probablement pas.
Ou alors, il y en a plusieurs qui tirent en même temps, mais dans des directions opposées. De la politique « souque-à-là-corde », ne menant ni d’un côté ni de l’autre. Qu’un épuisant exercice de sur-place…
Comment donc sortir des ornières actuelles, devenant de plus en plus profondes? Monsieur Bousquet a ci-haut proposé l’avenue du vote dit « stratégique ». Quoique le problème avec cette approche, faisant facilement en sorte que la théorie se casse la gueule venu le jour de la mise en pratique, a une très grande affinité avec le phénomène du « pas militaire synchronisé d’un régiment traversant un pont ».
Que tout le régiment marche en cadence d’un pas lourd et, alors… badaboum! Le pont s’effondre. (Ce qui explique que vous ne verrez jamais un régiment traverser un pont autrement que selon une démarche fort peu disciplinée. Et cela par mesure de discipline!)
Alors, pour revenir directement au concept de vote stratégique, celui-ci pourrait fort bien faire s’écrouler tout pont visé. Le hic, par contre, c’est que l’électorat n’a rien d’un régiment discipliné…
(Addenda: Je suis là à vous présenter une argumentation qui se veut rationnelle et sans faille et puis, comme un imbécile ou presque, je ne trouve pas mieux que de vous soumettre pour appuyer mon raisonnement que l’exemple d’un pont qu’on ne saurait aucument faire tomber sans la discipline du pas en cadence d’un régiment militaire. Je ne sais vraiment pas où j’avais la tête! Oublier si bêtement que nous sommes ici au Québec!)
M. Drouin, supposons que vous votez, dans votre comté, pour un candidat merveilleux, intelligent et tout, qui aime les gens de votre comté, ses votes « son public » et qu’il appartient à un parti politique qui prône la souveraineté du Québec, pendant que vous être contre. Votre candidat devra suivre exactement la ligne de parti de son parti…point, ce qui n’est pas mieux.
Le vote stratégique, c’est pour débarquer un parti mauvais qui a des chances d’être réélu. Si vous aimez le PLQ, ce n’est pas une chose à faire ici, bien entendu.
Au sujet du résultat du 2 mai, est-ce que vous auriez mieux aimé que le Québec élise plus de Conservateurs ou de bloquistes ? Pourquoi ?
À Denis Drouin qui écrit :
«…personne n’a répondu à ma question :
«Pourrait-il se former au Québec un parti politique sans orientation gauche/droite dont l’unique mission serait de faire l’indépendance en prévoyant sa propre disparition une fois l’objectif atteint en laissant tout l’espace politique aux autres partis politiques de la gauche ou de la droite ? »
Monsieur Drouin,
Je n’y crois pas beaucoup.
D’autant plus que le PI a tenté la chose et ne se développe pas beaucoup ; pour ne pas dire, pas du tout.
D’autre part, les partis politiques sont constamment interpellés sur la place publique afin de répondre des diverses questions et décisions gouvernementales ; les partis politique sont donc contraints de prendre position, à moins d’avoir l’air ignares ou opportunistes, si ce n’est comme d’apparaître comme de véritables Ponce Pilate désintéressés de l’actualité du Québec.
Un parti qui ne répondrait à aucune autre question que la question nationale, ne jouirait en plus que d’une bien faible exposition médiatique ; comme le PI.
Je crois de plus en plus que la question nationale est une cause particulière qui dépasse et même doit dépasser les allégeances politiques et les guerres de chapelles.
Si vous cherchez un parti «neutre» ayant plus de chances de réunir l’ensemble des tendances de l’axe gauche-droite des souverainistes, je recommanderait plutôt et fortement la création d’un «mouvement» et non d’un nouveau parti.
D’autre part, cela n’empêcherait en rien certains partis d’appuyer la cause nationale, tout en éliminant effets négatifs du fractionnement du mouvement dans les divers partis politiques.
Christian Montmarquette
Montréal
P.S.
Je profite de l’occasion pour remercier Serge Gingras de son appui et de ses bons mots.
Cela me fait d’autant plus plaisir que j’apprécie beaucoup ses commentaires et son excellent jugement politique.
Je n’ai pas eu le temps de répondre à toutes les interventions.
Mais, sachez que je les ai toutes lues, et que je tenterai d’y revenir.
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M. Bousquet, inversez le nombre des élus NPD / BLoc du 2 mai au Québec et le Québec aurait formé l’opposition officielle à la House of commons du Rocanada.
Le vote stratégique du 2 mai dernier a donc laissé filer un rapport de force politique du Québec à Ottawa déjà regretté par de nombreux Québécois qui ont accordé leur vote au NPD. Nous n’avons qu’à nous rappeler la frustration de la députation npédiste de ne pas avoir eu le « privilège » de se prosterner devant le couple royal princier à Québec et la colère actuelle du Rocanada de voir Nycole Turmel, une Québécoise, chef de l’opposition de Her Majesty à la House of commons.
Face à Harper Majoritaire le NPD a un rapport de force idéologique de gauche et politique réduit à « NADA » dans le Rocanada. De plus, le NPD, parti national rocanadian, est un parti centralisateur donc nuisble aux intérêts supérieurs du Québec. Dois-je vous le rappeler ? Le Québec est une colonie sous le joug politique du Rocanada.
Le vote stratégique des Québécois du 2 mai dernier en faveur du NPD est une catastrophe pour le Québec, le Rocanada vous en fera la démonstration encore pour les 5 prochaines années.
« Si tu te fais ver de terre, ne te surprend pas si on t’écrase avec le pied » Emmanuel Kant
Je ne crois pas qu’un nouveau parti puisse changer quelque chose dans mon désir d’obtenir un pays.
Ce travail n’a pas à attendre des élections pour débuter. Créer un nouveau parti efficace et solide pour défendre cette question prendrait du temps. De plus, il y aura la pression des groupes financiers et des fonctionnaires en place. Ce serait déjà ardu sans cette contrainte. Il y avait déjà un parti qui en a fait, dans le passé, son cheval de bataille sans résultat sauf celui de nous garder prisonniers de ses décisions politiques. Avoir un pays ne veut pas dire perdre ses valeurs sociales.
Moi, je veux être capable, en toute liberté, de voter pour un parti qui représente mes convictions, ce que je crois qu’il est important pour l’ensemble des citoyens. Suis-je capable d’être heureuse si je sais que plusieurs personnes souffrent de la pauvreté, qu’ils n’ont pas les soins et les services nécessaires et, qu’il est possible d’y remédier par des programmes sociaux? Est-ce que je dois accepter que tout l’argent que je donne sous forme de taxe ou d’impôt soit remis aux plus riches, que tous les bénéfices de nos richesses soient donnés aux grosses entreprises quand cet argent pourrait servir à offrir des soins et des services égaux pour tous.
Moi ce que je veux c’est : un pays et la dignité pour tous. Pas un pays comme les partis de droite ne m’offrent.
Viviane Salette
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Pour information générale :
«Pierre Bourgault et André d’Allemagne ne savaient même pas trop pourquoi ils avaient transformé le mouvement indépendantiste en parti politique. À écouter vers 7 min. du départ du document.»
– Source : Radio- Canada:
http://video.google.com/videoplay?docid=-8837147777113037485
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Le mouvement indépendantiste doit se reprendre en main et s’appartenir à lui-même.
Il faut cesser de mettre la question nationale à la remorque des partis politiques et d’une préalable élection, et la mettre à l’abri du fractionnement induit par la multiplication des partis politiques souverainistes.
Ce sont les partis politiques qui devraient appuyer le mouvement indépendantiste et non le contraire.
– CM
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Le document vidéo est a voir absolument pour qui s’intéresse à la question nationale
Mais le lien précédent ne semble pas fonctionner.
Je retente sa publication :
Entrevue avec Pierre Bourgault et Jean-Claude Labrecque (R.I.N.) :
Entrevue de Maisonneuve à Radio-Cadenas il y a quelques années, avec Pierre Bourgault et le cinéaste Jean-Claude Labrecque. La discussion porte surtout sur l`histoire du Rassemblement pour l`Indépendance Nationale (R.I.N.), sur certains aspects de René Lévesque et bien sûr, à propos de l`indépendance elle-même.
http://video.google.com/videoplay?docid=-8837147777113037485&hl=fr
Ou :
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@ Viviane Salette
Alors vous êtes très bien servie maintenant avec un gouvernement rocanadian de droite à Ottawa, n’est-ce pas ? Et pour encore combien de mandats pensez-vous ?
Un Québec souverain aurait ses élections au quatre ans, des partis de toutes les idéologies, d’extrême gauche à extrême droite. En démocratie c’est le peuple qui décide des valeurs et orientations de son gouvernement lors d’élections, au Québec comme ailleurs.
Vous opteriez pour un Québec pays que dans la mesure où vous auriez l’assurance d’une gouvernement perpétuellement social-démocrate ? Est-ce le sens de votre intervention ? Si oui, alors prenez acte qu’aucun régime démocratique dans le monde ne peut vous garantir cette vision. Désolé.
J’ai évoqué l’autre jours à un ami la possibilité d’un retours de Gilles Duceppe.
» Pense-y même pas, Gilles Duceppe est fini et en plus, il a 64 ans… »
La belle affaire, les québécois viennent d’accorder les yeux grands fermés leur confiance à Jack Layton agé de 61 ans et à ses candidats aussi connus que les causes de la maladie de la Mer Morte.
Qui se souvient de cette entrevue où Pierre Bourgault s’adresse à Robert Bourassa lui faisant la prédiction d’un retours comme premier ministre ? Ce qui arriva quelques années plus tard.
Gilles Duceppe, le politicien le plus expirimenté, honnête et bien en vie est l’homme qu’il mener le Québec puisqu’il vient de connaitre la défaite, condition nécessaire pour devenir un bon commandant.
Tirer sur les fleurs ne les fait pas pousser plus vite, un vieux pommier donne d’excellantes pommes quand on se donne la peine de bien l’entretenir.
Mais, M. Goyette, pourquoi pas M. Parizeau qui possède bien plus d’expérience que M. Duceppe qui n’a jamais siégé à Québec même s’il s’est fait laver à Ottawa le 2 mai dernier ? Faut avoir du temps à perdre.
Bien désolant que la plupart de nos politiciens s’amusent pour leur enrichissement personnel et l’appât du pouvoir à tous faire pour niveler nos conditions par le bas. Nos gains pour une justice sociale ont été durement acquis. Ces combats ont été menés par des personnes qui croyaient en la démocratie. Il ne faut pas mélanger le mouvement souverainiste et la gestion d’un état.
Je ne veux pas attendre quatre ans qu’un nouveau parti me raconte des histoires pendant 35 ans. Les démarches pour un pays peuvent bien, quant à moi, débuter demain, mais surtout pas comme on nous le propose. Si cela avait pu se faire de cette façon ce serait déjà fait.
Curieux, à l’instant que les citoyens réalisent l’imposture de leur parti souverainiste, immédiatement un autre veut prendre sa place et perpétuer les mensonges.
Un parti qui défend la démocratie n’a pas besoin du pouvoir pour réaliser de grandes choses. Moi je veux y croire et tant qu’il restera du monde pour mener le combat il y a de l’espoir pour une société meilleure et non pas pour une poignée de riches.
Viviane Salette
Intéressants commentaires de la part du camarade Gascon. Je me permet de l’appeler ainsi, en ayant deviné une allégenace à nos amis de QS si ce n’est que par la politesse de certains commentaires plus haut…
Oui, si on inversait les chiffres et donné 59 sièges au bloc, eh ben oui, ils auraient l’opposition officielle, c’est indéniable. Mais ce n’est pas arrivé… Ils ont déjà eu 54 sièges sans obtenir ce statut par le passé… C’est un scénario fiction du même ordre que celui de voir tous les Québécois voter pour un pays résolument de gauche… C’est une vision qui est loin de faire l’unanimité…
Le camarade Gascon dit »De plus, le NPD, parti national rocanadian, est un parti centralisateur donc nuisble aux intérêts supérieurs du Québec. »
Ça reste encore uniquement une opinion d’indépendantiste qui ne veux pas que le fédéralisme marche… Je trouve ce commentaire un peu curieux venant d’un gauchiste sympatisant avec un groupe qui souhaite pour le Québec encore plus de gouvernement tout simplement recentré ailleurs…
Et de dire qu’un parti fédéraliste est nuisible aux intérêts du Québec, je me dois de répéter le message que ça aussi c’est une question d’idéalogie… On peut faire avancer le Québec dans le fédéral. Il suffit d’éliminer ceux qui font du blocage systématique. Le ménage a été fait le 2 mai.
Faire l’indépendance du Québec est commettre une erreur d’ampleur historique. Il y en a qui n’aimeront pas ça, mais que voulez-vous…
Je dois faire un méa culpa… Je me suis trompé sur mes chiffres, en 1993, avec les 54 sièges, ils sont devenus l’opposition officielle… Pas étonnant qu’on a eu un référendum juste après…
Désolé, mea culpa…
Malgré la bonne foi de tous et chacun de penser à l’indépendance, la souveraineté , qui sera le prochain gouvernement , est-ce que Jean-Martin Ausant dormira ou ne dormira pas avec ses jumeaux, la réalité est différente devant cette crise financière qui affectera autant les québécois , ontariens et les autres provinces.
Ça fera mal car lorsque les américains toussent, la planète entière attrape le rhume.
Serons-nous capables de faire du Québec un pays car avec la piètre cote de crédit des américains, on n’y échappera pas .
Sommes-nous en mesure malgré nos convictions de traverser la tempête en faisant la séparation?
Pourrons-nous exporter nos produits , les vendre ?
Combien de pertes d’emploi auront à vivre autant les québécois que les autres?
Bouderons-nous assurance-emploi de juridiction fédérale par principe?
Refuserons-nous l’aide du fédéral et du provincial pour reconstruire les ruines de Montréal?
On commence juste à avoir des problèmes car ça va frapper.
Je pense que les citations, les liens c’est passé date avec ce qui se passe présentement.
« Il suffit d’éliminer ceux qui font du blocage systématique. Le ménage a été fait le 2 mai. » Michel Bertand.
L’éliminator Stephen Harper c’est donc mis au boulot !
CALGARY – Stephen Harper estime que le « Canada est plus uni que jamais ». « Les libéraux sont éliminés, le Bloc québécois est éliminé, la politique de la division est éliminée »
Vous allez m’éliminer les subventions publiques aux partis politiques.
Vous allez m’éliminer le régistre des armes à feu.
Vous allez m’éliminer ce canadien-français.
Vouss allez m’éliminer le Canada-français.
IXE-13
http://www.youtube.com/watch?v=wbSqzEq3Jy4
Mme Thibodeau,
Vous dites: « Ça fera mal car lorsque les américains toussent, la planète entière attrape le rhume. Serons-nous capables de faire du Québec un pays car avec la piètre cote de crédit des américains, on n’y échappera pas. »
Si votre prophétie se matérialise, le Rocanada nous fera payer très cher notre soumission à son régime politique. Vous devriez être doublement inquiète pour la colonie Kwibek.
Croyez-vous que depuis la crise financière de 2008 Ottawa est venu en aide à l’économie du Québec autrement que par le programme des infrastructures comme aussi partout ailleurs dans le Rocanada ? Aucunement.
En un seul exemple et vous pourrez comprendre le fonctionnement d’un régime colonialiste: En Ontario recevait 10 milliards en aide d’Ottawa en 2009-2010 pour sauver l’industrie automobile. Durant la même période l’industrie forestière au Québec ne recevait que 360 millions d’Ottawa qui ne sauvait rien du tout . La part en impôts et taxes versés par les Québécois pour venir en aide à l’Ontario pour ce seul exemple est de 25% X 10 milliards = 2,5 milliards, par contre la part du Rocanada en impôts et taxes pour venir en aide au Québec est de 75% X 360 millions = 270 millions.
Autre exemple d’un régime impérialiste: un Québec pays n’aurait jamais participé à la guerre d’Afganistan. Saviez-vous que les Québécois défraient les coûts de cette guerre, soit 25% des dizaines de milliards en coûts accumulés jusqu’à ce jour ?
Si vous vous croyez protégée par votre maître qui vous floue et vous berne, grand bien vous fasse; mais n’oubliez pas que tout le bien que vous croyez en retirer nous est soutiré en multiple de 10 en imôts et taxes que nous versons annuellement à notre maître. En 2010-2011 ce sont 60 milliards que nous aurons versés au trésor du Rocanada.
En passant, l’assurance-emploi est le produit des cotisations des salariés et des employeurs versés à la caisse de l’assurance-emploi revenant sous forme de prestations aux personnes en chômage après avoir perdu leur emploi.
Trop de Québécois ignorant le fonctionnement du régime fédéral impérialiste rocanadian tombent dans le piège de la propagande pro-colonialiste faisant croire que le Rocanada sauve sa colonie Kwibek et ses habitants de la grande misère alors qu’il veut le bien du Québec et l’obtient.
M. Bousquet ! Je peux vous garantir sans l’ombre d’un doute que le ROC ne ferait pas avec Gilles Duceppe ce qu’il ferait avec Pauline Marois et son interprète si le PQ était au pouvoir et voudrait négocier des ententes avec Ottawa ! Duceppe les connait comme le fond de sa poche. Il connaît aussi la langue que le ROC parle soit la langue anglaise (très utile) et tous les tours qu’ils sortiraient de leur chapeau !
Bon retour madame Thibaudeau ! Bien sûr la fragilité de l’économie américaine peut ralentir certaines choses mais sûrement pas la démarche du Québec vers sa souveraineté. D’ailleurs avec nos ressources naturelles comme l’eau, le bois et notre électricité , un Québec souverain pourrait s’en sortir de bonne façon en autant que l’ont se grouille un peu avant que Charest et ses petits amis aient raflé tout notre sol, notre sous-sol et tout le reste !
Mr Gascon.
Vous avez tout à fait raison mais Mr Asselin nuance très bien ma pensée .
Notre camarade Gascon a des propos un peu insidieux en comparant l’industrie forestière québécoise à celle de l’industrie automobile de l’ontario. On ne peut comparer ces deux industrie et surtout se plaindre d’une contribution québécoise car il est clair qu’une faillite du secteur automobile ontarien aurait des conséquences fâcheuse sur l’économie québécoise aussi.
C’est une comparaison qu’on ne peut tout simplement pas faire. Cela serait même malhonnête… Mais je ne suis pas surpris ici.
Le Canada nous vole, camarade Gascon? Sortez vos sources pour cette affirmation… Je me souviens vous les avoir déjà demandées sans avoir eu de réponse d’ailleurs…
Continuez, camarade Gascon, continuez avec vos mensonges séparatistes.
Nous sommes champions au Québec pour nous plaindre avec beaucoup d’autres mots pour bien désigner la chose.
Synonyme à plaindre : Compatir: sympathiser, déplorer, s’apitoyer, s’attendrir.
Se plaindre : Gémir, pleurer, pleurnicher, se lamenter, geindre, grommeler, protester, bougonner [fam], grogner [fig], gronder, maugréer, murmurer, ronchonner [fam], broncher, marmonner, râler, rouspéter [fam], sangloter, chialer [fam], exiger, larmoyer, se rebeller, se récrier, se révolter, résister, renâcler, manifester, objecter, désapprouver, réclamer, récriminer, s’élever contre, s’indigner, s’insurger, s’opposer, revendiquer.
Il y a 250 ans, en 1759-1760, les Britanniques ont dépossédé, par les armes et la politique de la terre brûlée, les Canayens, nos ancêtres, de leur économie développée pendant 150 ans, de 1608 à 1759, au Québec. Et depuis la conquête, depuis 250 ans, le maître a imposé son régime de soumission politique et économique aux Canayens devenus Québécois. Il n’est pas nécessaire de faire un bilan économique complet sur 250 ans. Tous ceux et celles qui connaissent un tant soit peu leur histoire savent très bien que depuis la conquête britannique le peuple québécois a dû servir les intérêts politiques et économiques du conquérant sous la menace de représailles de ce dernier.
Par sa National building policy et sa constitution, le Rocanada impose toujours sa domination politique et économique sur le peuple québécois. Il suffit de suivre l’actualité politique et économique pour s’en rendre compte. Voir, entre autres multiples exemples, ceux déjà mentionnés dans mes commentaires précédents.
Ces faits crèvent les yeux. Seuls les pro-colonialistes au Québec nient ces faits. Et chez encore trop de québécois on se refuse de faire l’effort d’ouvrir les yeux. N’écoutez pas pour voir, faites l’effort d’ouvrir les yeux pour voir.
Ça y est, on sort le livre d’histoire…
Pas fort ça, usé…
Prochain tour, Lord Durham?
Où sont les chiffres? Ça fait deux fois…
L’histoire est indéniable, mais il faut regarder devant soi quand on marche…
«Ça y est, on sort le livre d’histoire…Pas fort ça, ..»
– Michel Bertrand
Pas fort non plus de ne pas connaitre l’Histoire….
Ceux qui ne s’intéressent pas à l’Histoire s’exposent à commettre sans cesse les mêmes erreurs.
N’avons-nous pas réélu Charest 3 fois ?
Nous sommes un peuple amnésique, et peut-être est la source même des déboires du Québec,
«Je me souviens» est-il écrit sur nos plaques d’immatriculation…
Peut-être devrait-on songer à l’écrire sur le pare-brise…
«L’histoire est bonne à oublier. C’est pour cela qu’elle est bonne à savoir.» – Joseph Joubert
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Le négateur, celui qui nie la réalité toujours actuelle de la sujétion politique et économique du Rocanada marche par devant derrière son maître, que dans les voies tracées dans les ornières de son maître.
Ma demande est encore restée sans réponse…
N’avons-nous pas réélu Charest 3 fois ? -CM
Ben, oui… Et c’est tant mieux…
Oui mais, où est parti ce nouveau parti de M. Aussant ? Il est parti en vacances jusqu’en septembre où il devrait revenir bronzé et décidé à OUI ou à NON, p’tet ben qu’oui, p’tet ben qu’non, ça va être selon ses consultations et le nombre de consentants moutons, indispensables à une telle formation.
Que c’est excitant ! Nous risquons d’avoir, à la prochaine élection : Les séparatistes pas pressés et solidaires, de gauche, après avoir bien consulté : la gouvernance souverainiste péquiste du centre; le PI pressé de déclarer la souveraineté; Le parti de M. Aussant, à nommer, pressé de convaincre les fédéralistes que le bonheur et le fric sont dans la séparation; la CAQ Sirois Legault, avec le séparatisme, peut-être en l’an 2 500, si les finances du Québec balancent enfin et si le Québec pare encore français; le PLQ anglophile et nordiste et l’ADQ, notre parti Conservateur provincial de droite sans compter les Verts, éternels perdants, les indépendants et les Rhinocéros. Le choix entre le fédéralisme pur ou la séparation nette.
Pas question de souveraineté-association ou de souveraineté-partenariat ou de véritable confédération, juste une belle confrontation directe sur la constitution sauf…imprévus.
Il est possible, M.Bousquet, que les mous deviennent durs…
Un extrait du fim « Germinal » de Claude Berri…
J’aime bien les commentaires du type avec son journal…
http://www.youtube.com/watch?v=o1Ro8kHS6Lg&feature=related
Si le chapeau vous fait… 😉
Dernière sortie publique de Harper au Brésil.
Selon Harper on donne trop d’importance aux fluctuations boursières et pas assez à la création de plus de richesses pour les riches.
Est-ce à dire que Harper est prêt à renoncer à la création d’une Commission Rocanadian des valeurs mobilières ? Non.
Cette commission qu’il s’apprête à créer à Ottawa pour enlever impérialement au Québec la juridiction coloniale provinciale sur les valeurs mobilières, fera disparaître du Québec toute l’expertise acquise en ce domaine pour la retrouver entièrement à Ottawa et Toronto.
À venir en d’autres commentaires, plusieurs exemples d’actions actuelles impérialistes du Rocanada imposées à sa colonie Kwibek. D’ici là tenir les yeux ouverts et lire le Livre noir du Canada, de Normand Lester, publié en 4 tomes.
N’écoutez pas pour voir. Faites l’effort d’ouvrir les yeux pour voir.
« Si tu te fais ver de terre, ne te surprend pas si on t’écrase avec le pied. » Emmanuel Kant
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En récapitulation…
«Que c’est excitant ! Nous risquons d’avoir, à la prochaine élection : Les séparatistes pas pressés et solidaires, de gauche, après avoir bien consulté : la gouvernance souverainiste péquiste du centre; le PI pressé de déclarer la souveraineté; Le parti de M. Aussant, à nommer, pressé de convaincre les fédéralistes que le bonheur et le fric sont dans la séparation; la CAQ Sirois Legault, avec le séparatisme, peut-être en l’an 2 500…» – GB
Vous voyez bien ans quelle espèce de «Tour de Babel» le souverainisme de partis politiques nous emmène. – Alors que les libéraux risquent de reprendre le pouvoir et de continuer de vendre le Québec pour une poignée de lentilles…
C’est pour cela que j’affirme que les indépendantistes devraient se regrouper dans un «mouvement» plutôt qu’en partis politiques ; ce qui permettrait au Québec de voter normalement sur l’axe gauche-droite, plutôt que de mobiliser tout le vote sur l’axe fédéralisme-souverainisme et sur une fort hypothétique question nationale (d’ailleurs loin d’être gagnée d’avance), et qui ne nous avancera à rien tant qu’elle ne passera pas ; et alors qu’une tonne de décisions et d’orientations politiques cruciales seront en cours.
* * *
J’ai récemment discuté avec Monsieur Aussant, et il pense malheureusement un peu comme Réjean Asselin, qu’aucun débat gauche-droite ne sera possible avant l’indépendance.
Pour moi, une telle approche, est, et je pèse mes mots «fort dangereuse», puisque c’est l’équivalent de se servir de la question nationale pour mater les revendications sociales.
Nous pourrions donc parler d’une forme de «nationalisme de droite», qui, pour moi, est très paradoxale, puisqu’à quoi donc bien vouloir servir le nationalisme, si ce n’est dans l’objectif d’améliorer la vie et le sort des citoyens ?
Le nationalisme de droite est immoral et n’a donc aucun sens, si ce n’est que pour les riches et les compagnies.
On ne lutte pas pour créer un nouveau pays, si ce n’est pas pour en avoir un meilleur.
Je crois donc au contraire qu’il est urgent de «faire le ménage», comme l’affirmait plus haut Serge Gingras, et d’instituer ce débat gauche-droite dans notre culture politique et de manière quotidienne, comme toutes les sociétés normales et saines démocratiquement parlant.
D’un autre côté, contrairement à un certain courant de pensée qui tente d’assujettir la question sociale à la question nationale, je pense qu’il est parfaitement possible de marcher et de mâcher de la gomme en même temps…
Pourquoi ne serait-il pas possible de lutter pour le pays, en même temps que de lutter pour la justice sociale et l’écologie? – Il me semble que c’est une pure aberration et relève du chantage politique et de l’électoralisme, plutôt que de la logique.
La politique doit s’occuper de l’ensemble des questions qui concerne la société, et pas seulement d’une seule cause.
– CM
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Le SPQ-Libre des syndicaleux Dubuc et Laviolette et leurs petits-zamis réactionnaires corporatistes bien assis sur leurs steaks qui dédaignent un éventuel parti indépendantiste créé par Aussant ? Pas de grande surprise là de la part ces leu-leux qui n’en ont toujours eu que pour leur « social » et jamiais pour l' »indépendance » de leur peuple malgré leurs hypocrites dires de grands gauchistes de taverne de l’UQAM ou de gauchistes-sushis du Plateau ! Ce qui est tout de même lassant dans toutes ces redites plates c’est que les journalistes et sondeurs manipulateurs du prêt-à-penser fédéraste sont encore et toujours à les présenter faussement comme des « purs et durs de l’indépendance » tous ces imposteurs carriéristes et vieilles têtes blanches PCCM-L qui ont brouté et se sont gavés durant des décennies de l’immonde chiasse anti-québécoise marxiste-léniniste diffusée par la GRC !
@ M. Montmarquette
Peut-être avons-nous une perception différente du débat politique au Québec depuis 1960 ? Débat sur la question nationale, selon moi, qui n’a jamais délaissé les questions sociales et économiques.
Une répartition toujours plus équitable de la richesse au Québec demeure un objectif à atteindre, j’en conviens. Néanmoins le Québec est reconnu pour son modèle socio-économique, un des plus développés en Amérique du Nord, et cela s’est produit en même temps que se faisait la lutte pour la souveraineté, de 1960 à 1996.
Comme je l’ai déjà mentionné, il faut remettre entre les mains du peuple tout entier le règlement de la question nationale et ne plus en faire une question partisane entre les mains des partis politiques via la création d’une constituante.
Faire du débat gauche-droite une priorité sur celui de l’indépendance reléguerait l’avènement de cette dernière aux calendes grecques. L’un est tout aussi urgent que l’autre. Idéalement ces deux débats devraient être menés de façon concomitante, sans les dissocier l’un de l’autre, j’en suis.
Toutefois, si l’indépendance survenait avant la réalisation d’un État socialiste au Québec, admettez que ce ne serait pas une catastrophe puisque le débat gauche-droite demeurera toujours actuel, indépendance ou pas.
Cordialement, JPG
Intéressants commentaires d’un nouveau venu…
Juste pour beurrer un peu, Camarade Gascon, ma vidéo était pour vous…
Mais je crois que votre mutisme laisse percevoir que vous le saviez…
»Gauchistes-sushis du plateau »… Elle est bonne, je vais m’en reservir, comme
»parti-s-anneries » cité autrefois par notre autre camarade -CM
Ce nouveau venu signale que la guerre est bien pognée dans la cabane, on dirait…
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Je ne vois pas de contradiction à être gauchiste et apprécier les suhis.
Pas plus que s’appeler Robert Bourassa et manger des hotdogs.
Il y a des millionnaires de gauche : Yvon Deschamps.
Et des pauvres de droite : Reggie Chartrand.
J’ai habité 25 ans sur le Plateau, et c’était un bon quartier abordable et vivant, avant que les prospecteurs n’expulsent les gens ordinaires comme des sauvages, gentrifent et encombrent la zone, pour se remplir les poches.
Quant à ceux cherchent la provocation en sombrant dans le criage de noms, Cela démontre à mon avis qu’ils ne s’intéressent pas vraiment aux idées, mais à frapper, et que l’insulte commence, là ou s’arrêtent leurs arguments, mais aussi : le respect.
Ceux-là se tirent dans le pied. S’ils veulent se donner exemple ils n’auront aucune leçon à donner à la société.
Tentons de voler plus haut que ça.
Ce blogue me semblait avoir repris du gallon.
J’espère que ça se poursuivra en ce sens.
– CM
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Je ne vois pas de contradiction à être gauchiste et apprécier les suhis.
Pas plus que s’appeler Robert Bourassa et manger des hotdogs.
Il y a des millionnaires de gauche : Yvon Deschamps.
Et des pauvres de droite : Reggie Chartrand.
J’ai habité 25 ans sur le Plateau et c’était un assez bon quartier, abordable, commode et vivant, avant que les prospecteurs n’expulsent les gens ordinaires comme des sauvages et gentrifent et encombrent la zone, pour se remplir les poches.
Quant à ceux cherchent la provocation en sombrant dans le criage de noms. Cela démontre à mon avis qu’ils ne s’intéressent pas vraiment aux idées, mais à frapper, et que l’insulte commence, là ou s’arrêtent les arguments, mais aussi et surtout : « le respect».
Ceux-là se tirent dans le pied s’ils veulent se prendre en exemple pour la société, ils n’ont aucune leçon à donner.
Tentons de voler plus haut que ça.
Ce blogue me semblait avoir repris du gallon.
J’espère que ça se poursuivra en ce sens.
– CM
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Parfaitement d’accord avec vous M.Montmarquette… J’ai déjà été critiqué ici pour avoir voulu dénoncer le terme ‘fédéraste’…
Je déplorerai toujours le silence radar partisan…
Mr.Montmarquette, moi j’ai dit » qu’aucun débat gauche-droite ne sera possible avant l’indépendance » ???????
Ou ça ? Quand ?
J’ai plutôt mentionné que la souveraineté nous permettrait d’avoir tout nos billes et ainsi de faire un projet de société selon le désir des québécois. De gauche ? Why not si la majorité le veux ! Chose sur, la grande majorité des québécois ne semblent pas entiché de voter pour la droite de l’ADQ ou la gauche de QS et cela c’est la RÉALITÉ. Vous voulez faire un pays socialiste avec 8 % d’appui dans la population Mr.Montmarquette ? Continuez de rêver si vous le voulez !
Mr. Montmarquette, j’ai des amis dans QS et je peux dire sans me tromper que les discussions que j’ai avec eux sont beaucoup plus matures que celles que je peux avoir avec vous. Mes amis dans QS sont gauchistes mais aussi souverainistes et en plus ils sont capables d’échanger sans tomber dans le dogmatisme. Je n’ai pas l’impression de parler avec des apôtres du socialisme mur à mur mais avec des gens qui sont a la fois social-démocrate et souverainiste comme moi.
Pour vous si ont n’est pas un partisan ou membre de Québec Solidaire ont est sûrement des nationalistes de droite. Pourtant aux prochaines élections si Pauline Maoris est encore chef du PQ et que Legault est fortement en avance dans les sondages il se peut fort bien que je vote pour QS car je suis aussi sociale-démocrate et Legault et ses amis les Lucides ne représente pas le genre de gouvernement que je souhaite. Par contre , la raison principale pourquoi je ne suis pas membres de votre parti est justement a cause du discours dogmatique comme le vôtre , le discours de ceux qui SAVENT , le discours des apôtres de la justice sociale mur a mur et cette manie quelques peu démagogique que vous avez d’interpréter les propos des autres tout de travers .
@Michel Fortin-Marchand
A part votre défoulement de type » gastro-entérite verbale » y’a tu quelques choses que l’ont devraient avoir compris ????
En passant je me souviens quand Pauline Marois a enlevée le statut spécial de SPQ-Libre au sein du PQ et que M. Montmarquette les avaient invités sur ce blogue a rejoindre QS . Ils ne l’ ont jamais fait et pour cause , les militants du SPQ -Libre sont des gens de gauche mais d’abord souverainistes et sûrement que le discours des dogmatiques ^QS, comme celui de Montmarquette en est la cause .
@Michel Bertrand
Vous pouvez discriditer les souverainistes comme bon vous semble , la liberté de parole c’est sacré .
Mais de nous dire comme ça en passant qu’un troisième mandat de John James Charest c’est tant mieux alors là !!!!!! Vous venez de vous discréditer pour un bon bout de temps et pas seulement aux yeux des souverainistes !
Quand on est à court d’arguments lucides, basés sur les faits et non les émotions, on nous sert l’argument qui tue: soit l’indépendance ou la disparition comme peuple. Ensuite on nous colle l’idée que les 193 pays membres de l’ONU sont de véritables paradis de gens heureux dans leur souveraineté nationale.
Question : combien parmi ces beaux paradis souverains échangeraent volontiers leur statut de pays souverain pour celui d’une province canadienne ? Plus de la moitié, le deux tiers ?
Le Mali, le Niger, le Tchad, le Myammar, le Bengaladesh, la Syrie, le Liban, l’Irak, le Sud Soudan, la liste est très longue, tous de beaux pays souverains qui ne respectent ni la liberté de parole ou qui ont de la difficulté à nourrir leur population.
Même les nations européennes qui ne sont pas souveraines ( l’Écosse, la Catalogne, l’Euskadi, la Corse etc) sont toutes jalouses des pouvoirs qu’assume pleinement la nation québécoise au sein du Canada et de sa liberté de s’en sortir par un simple référendum.
Mais non, incapables de convaincre une majorité de leurs concitoyens, ils font du chantage en se fondant sur la peur atavique de disparaître. Pour ce faire, ils doivent diaboliser le soi-disant ennemi ( le méchant Rocanadian) dont l’existence à leurs yeux se limite à sa volonté incontournable de faire disparaître les Québécois par tous les moyens.
Et après ils se demandent pourquoi leur option ne lève pas.
Vous avez pas mal raison M. Nismou, le séparatiste aime bien insulter le fédéraliste dont il a besoin pour voter OUI au prochain référendum : Fédéraste, vendu, collabo etc. Méchant moyen de séduire un adversaire constitutionnel, qu’il voudrait convertir au bonheur de la séparation, la simple souveraineté ou l’indépendance tout court.
M. Lévesque, au moins, voulait conserver un lien économique canadien. Il voyait une Union canadienne du genre de l’Union européenne…plus ou moins. Probablement, conserver la citoyenneté canadienne et sa monnaie itou. Une Union canadienne volontaire bilingue avec prédominance du français, vu que l’anglais est nécessaire avec 98 % de voisins anglophones. Quel Québécois rêve de voir le Québec siéger à l’ONU ou à l’OTAN ? Pour faire quoi de si différent ?
Les Québécois ne sont plus des nègres-blancs depuis longtemps. Le commencement de l’amélioration se fait depuis 1960 avec Lesage et l’Hydro-Québec et, principalement depuis 1976 avec Lévesque qui a favorisé avec des initiatives de M. Parizeau, l’émergence d’entrepreneurs francophones avec un bon point pour Bourassa avec la Baie James. Un Québécois francophone, avec une connaissance utile de l’anglais, possède maintenant les mêmes chances que n’importe quels autres Canadiens au Canada.
Le Québec collecte 50 % des taxes et impôts, il devrait être capable de mieux faire en éducation, en français et en santé et avec les viaducs et avec ses Indiens et Inuits « ses Premières nations », très majoritairement anglophones et fédéralistes.
24 septembre 1986 – Publication d’un document sur les nouvelles orientations du Parti québécois :
Le chef du Parti québécois (PQ), Pierre Marc Johnson , présente un document résumant les positions que sa formation devrait adopter au cours des années à venir dans le domaine constitutionnel.
Le document intitulé «Plan d’action pour l’affirmation nationale du Québec» stipule qu’au lieu de voir la souveraineté politique comme un préalable au développement du peuple québécois, le PQ doit, selon Johnson, axer son action autour du concept de «l’affirmation nationale» du Québec à l’intérieur du régime fédéral. Cette approche suscitera plusieurs critiques de la part des éléments plus «radicaux» du PQ. Celles-ci mèneront éventuellement au départ de Johnson sur l’initiative de M. Gérald Godin, plus charismatique que compétent dans un gouvernement, et à l’arrivée à la direction du parti de M. Jacques Parizeau qui va finir par perdre le référendum de 1995 sur la souveraineté-partenariat, concept édulcoré de la séparation et de la souveraineté-association. La souverineté-partenariat prévoyait même un parlement fédéral élu.
La PQ aurait été mieux avisé d’appuyer son chef, M. Johnson, à la place de chasser cet homme de vision. Le Québec s’en serait mieux porté avec un référendum perdu en moins.
M. Pierre Marc Johnson, médecin et avocat, est aussi l’actuel président du conseil de la Société du Quartier de la santé, un autre chef sacrifié du PQ.
Yalpé Nismou
Voila encore des propos gratuits et non fondés sur les souverainistes ! C’est viscéral chez-vous n’est-ce pas ?
Vous mentionnez :
» On nous colle l’idée que les 193 pays membres de l’ONU sont de véritables paradis de gens heureux dans leur souveraineté nationale »
Pourtant, en tant que souverainiste depuis l’avènement du PQ j’ai rarement entendu les gens qui partage mon allégeance parler de cette façon. Je n’ai JAMAIS lu quelques choses de semblable dans les bouquins des ténors de la souveraineté comme Bourgault, Lévesque ou Parizeau. Justement dans son dernier livre, Jaques Parizeau nous mentionne à quelques occasions que la souveraineté n’est pas une panacée à tous les problèmes d’une nation mais elle nous donne les moyens d’agir de façon AUTONOME !
Le paternalisme et l’infantilisation envers le mouvement souverainiste a fait son temps et n’a plus beaucoup d’impact dans la population. Surtout quand ces mêmes fédéralistes aime mieux » endurer « un gouvernement aussi douteux que ce lui de Charest.
Mais à quelque part vous avez un peu raison car le Québec dirigé par un gouvernement du PLQ et de son Parrain Charest commence à ressembler de plus en plus aux pays comme le Mali , le Tchad , Niger , le Liban ect……..
A tous les Féréralistes qui nous sortent a tout bouts de champs l’Épouventail de la Catastrophe économique advenant l’ind.pendance du KébeK, voici un commentaire « Lucide » et véridique de richard LE HIR :La crise actuelle, c’est aussi la fin du modèle américain, et la fin de la possibilité de l’utiliser en guise d’exemple pour détourner les Québécois de toute velléité de prendre en main leurs propres affaires et devenir indépendants. Tout compte fait, cette crise pourrait même avoir du bon. Imaginez l’effet qu’elle va avoir sur l’agenda et le discours des groupes de droite, des Lucides, de l’ADQ, du CAQ du tandem Legault-Sirois, et de toutes les radio-poubelles et les Éric Duhaime de ce monde… Ils viennent de se faire enlever le tapis de sous leurs pieds.
En effet, dans la conjoncture qui s’annonce, la seule façon de s’en tirer va être de rebâtir le tissu social que quarante ans d’individualisme et de laissez-faire économique ont mis à mal. La reconstruction de ce tissu social repose sur la reconstitution d’une classe moyenne forte en s’appuyant sur les moyens dont seul un État dispose. Ce n’est pas tout à fait le langage que nous tiennent ces gens-là.
***
Donc , les vrais « Lucides » ne sont pas toujours ceux que l’on pensent,, les « Vrais » Lucides sont aussi des intuitifs , ce sont des gens d’esprit de synthèse et non des adeptes de la pensée » Carrée «
M. Asselin, pourquoi un troisème mandat des Libéraux est tant mieux? C’est pourtant pas difficile à comprendre! C’est simple, c’est l’option la moins pire pour le moment. C’est tout…
Pour ce qui est de me discréditer aux yeux des souverainistes, je n’en ai rien à foutre de leur opinion!
Vous voudriez quoi? Que je vote PQ ou QS? BEN VOYONS!
Vous avez raté une belle occasion de vous taire…
Vous semblez un peu fru on dirait aujourd’hui… 😉
@ Réjean Asselin,
C’est vous qui avez écrit vous même :
«Un Québec social-démocrate ne sera possible qu’après avoir fait notre souveraineté.» – Réjean Asselin,
Pour le reste de vos affirmations, je ne m’époumonerez pas à les contredire points par points.
Vous me faites constamment du procès d’intention, interprétez mes dires à votre manières et distorsionnez ma pensée.
Je vous ai répondu dans les détails une fois.
Je me contenterai cette fois-ci de vous dire que je ne suis pas d’accord avec vos propos et ce, de manière très générale, et même, depuis bien longtemps..
J’espère que certains participants-tes s’apercevront de ces dérives interprétatives.
Je ne me reconnais pas du tout dans les propos que Réjean Asselin sur moi, ni sur Québec Solidaire d’ailleurs.
– CM
.
Je blâme souvent les séparatistes d’insulter les fédéralistes mais, l’inverse, ce n’est pas mieux pour un fédéraliste. Un bon argument poli est plus efficace…me semble.
Ici, vous avez oublié l’ADQ et la CAQ qui va probablement naître d’ici décembre de Messieurs Legault-Sirois, qui sera un parti carrément fédéraliste.
Il ne faut pas laisser passer des énormités qu’engendrent l’ignorance crasse, la démagogie et la propagande intarissables des pro-colonialisme rocanadian au Québec.
Le Mali, le Niger, le Tchad, le Myammar, le Bengladesh, le Sud-Soudan, la Somalie, le Djibouti, l’Érythrée et l’Éthiopie sont tous des pays indépendants dont les habitants vivent dans la misère, non pas en raison de leur pleine souveraineté politique sur leur territoire mais plutôt en raison du pillage et des guerres occasionnées par leur ex-colonisateur dont ils se sont libérés pour ne pas disparaître.
Ces peuples jamais ne laisseront leur souveraineté chèrement acquise entre les mains d’un nouveau colonisateur, soit-il Rocanadian ou autre, au risque de disparaître complètement.
De colonie qui bataillait pour sa libération du joug politique rocanadian depuis 40 ans, le Québec est à devenir irrémédiablement une colonie de bananes qui ne sera plus gouverner que par des roi-nègres tant que les fédérastes seront aux commandes de l’intendance coloniale au Québec.
@Michel Bertrand
J’ai écrit que vous vous discrédité pas SEULEMENT aux yeux des souverainistes !
Votre argument voulant que ce gouvernement du PLQ aux odeurs nauséabondes irrespirable soit le » moins » pire démontre clairement la justesse de mes propos. Je trouve absolument incroyable que par mépris du mouvement souverainiste dans son ensemble ont soit capable de se boucher le nez pour voter pour un parti et son chef qui n’en finissent plus de nuire au Québec dans son ensemble, de gérer comme des imbéciles et de trainer constamment des dans sleur sillon des rumeurs de corruption. Cela me fait penser aux dernières élections municipales a Montréal ou les citoyens ont remis en poste un petit maire des plus incompétent et dont l’entourage semble être composé de petits affairistes sans scrupule.
Vous pouvez voter pour le futur parti de Legault aux prochaines élections, ou pour l’ADQ de Deltell mais de remettre en selle la petit gang a Charest dépasse l’entendement !
A Gilles Bousquet !
Faut le faire M. Bousquet !
Un membre du PQ comme vous, un parti supposément souverainiste, qui fraternise avec un fédéraliste qui passe son temps à dénigrer tout les supporteurs de la souveraineté me démontre clairement qu’une bonne parti des membres du PQ comme vous ont perdu toute forme de courage et de volonté pour se transformer en autonomiste –fédéraliste-nationaliste ayant constamment le derrière-assis entre deux chaises !
Plus les membres du PQ se vautront dans cette soupe autonomiste / souverainiste /fédéraliste plus les souverainistes quitteront ce parti !
M. Réjean Asselin,
Je m’étais habitué à des répliques plus articulées de votre part. Quand je fais référence aux 193 pays de l’ONU, vous ne devez pas vous offusquer, vous ( les souverainistes j’entends) nous parlez toujours de la destinée du Québec dans le »concert des nations » de négocier »nation à nation » avec le Canada, les Cris, les Innus et tutti quanti. C’est encore la pensée magique qui veut qu’un siège à l’assemblée générale de l’ONU confère automatiquement des pouvoirs qui nous échappent actuellement en étant membre du G8 et ou du G20, par exemple.
Mais vous êtes à votre meilleur quand vous dites:
»Le paternalisme et l’infantilisation envers le mouvement souverainiste a fait son temps et n’a plus beaucoup d’impact dans la population. »
Comme si :1. la population lisait le blogue de Josée Legault
ou 2. que c’est à cause des méchants fédéralistes paternalistes et enfantilisants que le mouvement souverainiste a atteint des creux historiques de popularité et de crédibilité.
Je n’ai jamais voté ni pour Jean Charest ni pour le PLQ de toute ma vie. Je suis juste content que la souveraineté ne sera plus un enjeu dans les élections futures pour que nous puissions avoir un vrai débat gauche-droite.
M. Asselin, pour finir la-dessus, j’ai dit ‘pour le moment’… Ca veut dire dans le présent… Le CAQ n’est pas un parti. Je n’ai jamais dit que j’allais voter PLQ au prochaines, c’est votre interprétation ça…
Respirez par le nez, allez…
M. Asselin, même un fédéraliste pourrait devenir membre du PQ, ce qui n’obligerait pas ce parti à le devenir.
J’écris que les séparatistes sont mal avisés d’insulter ceux qu’ils veulent gagner à voter OUI au prochain référendum et que les véritables séparatistes « qui veulent sortir complètement le Canada du Québec » ne sont que 13,4 %, selon les sondages de M. Jean-Marc Léger et des autres maisons de sondages quand ils posent la question en question.
Les séparatistes québécois, dont j’ai été longtemps, sont présentement mal enlignés puisqu’ils ont même enlevé l’association de leur option, ce qui la rend moins acceptable aux Québécois, ce qui n’est pas du tout de ma faute.
Je propose le respect et la conscience du fait que les Québécois voudraient plus de souveraineté mais avec un lien canadien, vu que nous avons été les premiers à l’être.
@ Michel Bertrand
Vous voulez vraiment donner un quatrième mandat au Parrain et à sa petite gang de mafioso ? Faut vraiment haïr la sociale- démocratie pour pensée de la sorte. Faut vraiment détester l’idée de la liberté et être disciple d’une honnêtetée a géométrie variable,,
» Mauvaise foi quand tu nous tiens «
Ben OUI M. Montmarquette !
Je persiste et je signe !
Ce qui n’empêche aucunement de faire un débat gauche /droite au Québec mais de ne pas en faire une religion et le seul combat valable en faisant de la souveraineté un projet secondaire et pas plus important qu’il faut !
Je vais vous donnez un exemple concret de ce que j’avance.
J’ai toujours voté pour le PQ jusqu’à ce jour et même si le choix de Pauline Marois ne m’a aucunement emballé je voulais sincèrement lui donner la chance de se faire valoir. Après certaines sorties de la madame qui me laissa sur mon appétit elle dépassa les bornes en ce qui me concerne dans le dossier de l’amphithéâtre de Québec et de cette attitude digne de la putasserie électorale qu’elle a manifestée en se collant sur le petit maire Labeaume , maire de la ville du Québec la plus fédéraliste et de PKP , un des deux hommes d’affaire des plus influents du Québec et très proche de la petite droite des Lucides du Québec , du Réseau Liberté Québec et autres petits affairistes qui aiment beaucoup se partager l’argent des contribubuables tout en culpabilisant les citoyens ordinaires en les rendant responsables de la dette actuel du Québec . De voir madame Marois se pavaner a leurs côté en manipulant son cabinet et ses collaborateurs du PQ m’a convaincu que cette femme ne mérite aucunement mon vote aux prochaines élections.
Voila , moi le souverainiste qui voit en la souveraineté du Québec le projet le plus important que nous n’aurons jamais eu je serai prêt a voter pour QS a cause de l’attitude de la chef du PQ et des membres qui sont prêt a l’appuyer a la vie ou a la mort . Par contre mon vote pour QS sera toujours temporaire car je sais fort bien, comme les membres du SPQ-Libre , qu’une bonne partie des membres de ce parti sont avant tout socialistes et très peu souverainistes !
Combien d’entre-vous ont applaudit la victoire du NPD ( dont certains députés actuellement se montrent favorable au PPP ???? ) dont la chef temporaire madame Turmel traine avec elle une honte hautement toxique de son appartenance passé au Bloc et a QS ?
Bravo M. Gascon,
Dans quatre petits paragraphes vous nous démontrez que vous êtes toujours complètement hypnotisé par les relents du colonialisme que vous voyez partout sur la planète. Votre vocabulaire incendiaire, qui semble tiré d’un écrit de Régis Debray, en dit long sur votre état d’esprit. Roi-nègres, joug colonial, fédérastes, colonie de bananes et autres sont utilisés pour contrer les »énormités, l’ignorance crasse, la démagogie et la propagande » que vous dénoncez chez les autres !
Heureusement que vous êtes là pour corriger les fausses notions de certains Québécois qui se croient beaucoup plus libres et beaucoup plus prospères que la vaste majorité des citoyens trop fiers de leur souveraineté que vous défendez et que vous voudriez qu’on imite. Merci encore.
.
À Jean-Pierre Gascon qui écrit :
«Le Mali, le Niger, le Tchad, le Myammar, le Bengladesh, le Sud-Soudan, la Somalie, le Djibouti, l’Érythrée et l’Éthiopie sont tous des pays indépendants dont les habitants vivent dans la misère, non pas en raison de leur pleine souveraineté politique sur leur territoire mais plutôt en raison du pillage et des guerres occasionnées par leur ex-colonisateur dont ils se sont libérés pour ne pas disparaître.» – Jean-Pierre Gascon
J’apprécie vos interventions Monsieur Gascon, même si je ne les ai pas commenté autant que j’aurais voulu.
Ceci dit, il apparait que l’indépendance comme telle, est loin de solutionner tous les problèmes et d’être la promesse d’une société meilleure, si l’on se réfère à cette dernière intervention.
C’est la théorie même de Québec Solidaire, que d’affirmer que l’indépendance sans projet de société, non seulement ne nous avancerait pas à grand chose, mais sera bien difficile à vendre à mon avis sur la principale base du nationalisme culturel et linguistique ; et même, politique.
Nous aurons un beau drapeau…. Un beau pays…
– Mais quel pays ??
Sachez que je crois tout de même que, l’indépendance à elle seule serait sans doute un avancement.
Mais, un avancement parmi les autres, et que partiel que nous devrions enrichir de bien d’autres.
D’ailleurs, ces «autres avancements» tels que de stopper l’exploitation économique abusif éhontés de nos ressources naturelles, l’éradication de la pauvreté, l ‘élimination du vol de l’État par la corruption et les paradis fiscaux, ne seraient-il pas déjà un très bon pas en avant et une forme d’indépendance économique ?
En tous cas, ces avancements, nous pourrions déjà agir dessus, et ce, avec ou sans le pays.
Pourquoi alors renoncer à autant de progrès possibles, alors que nous pourrions faire beaucoup, même avant l’indépendance ?
Québec Solidaire est à mon sens cette proposition même sur la table :
Oui, on veut le pays.
Mais, ce n’est pas une raison pour se croiser les bras entre temps.
Tout avancement, et tout progrès politique et social ne serait-il pas fort positif pour le Québec ?
Si jamais la population en venait qu’à appuyer majoritairement la question, un nouvel État du Québec se fonderait déjà sur de meilleurs et de plus grands acquis.
– CM
.
M. Nismou, de toute évidence vous feignez ne pas comprendre l’essentiel du contenu de mon dernier commentaire qui réfère à la valeur universelle qu’est le courage. Ce que tout lecteur, sauf vous, a compris. Le courage dont ont fait et font toujours preuve tous les peuples souverains, celui d’assumer pleinement et librement les responsabilités de leur propre existence.
Vous êtes un des seuls fédérastes continuant d’insinuer par des propos démagigiques que le Québec serait un pays économiquement dans la misère alors que même votre comparse fédéraste JJ Charest a déclaré lors de la dernière campagne électorale qu’un Québec indépendant serait viable économiquement.
Voici une citation dont s’inspirent les démagogues pour exécuter leur sale boulot: « L’ignorance est le fondement sur lequel s’appuie l’oppression; et la désinformation en est son ciment. » Carl Boileau
les comprendre
Monsieur Asselin,
Je vous le dit tout de suite, je suis las de discuter avec vous.
Je crois que vous comprenez tout de travers, et qui plus est, que vous poursuivez votre entêtement dans vos présomptions.
Vous dites encore :
«Ce qui n’empêche aucunement de faire un débat gauche /droite au Québec mais de ne pas en faire une religion et le seul combat valable en faisant de la souveraineté un projet secondaire et pas plus important qu’il faut ! »
Rien ne vous permet de faire de telles affirmations.
Je vous répète que :
«QUÉBEC SOLIDAIRE S’EST FORMELLEMENT ENGAGÉ À CRÉER UNE ASSEMBLÉE CONSTITUANTE DANS LES 6 MOIS D’UNE ÉVENTUELLE PRISE DU POUVOIR.»
– Si ce n’est pas suffisant pour vous convaincre, que voulez-vous que j’y fasse ???
Et mon avis, c’est «VOUS» qui faite de la souveraineté une religion, et non pas Québec solidaire qui porte les deux causes.
Soit : La cause sociale ET la cause nationale.
Mais, il semble malheureusement que pour certains, il soit trop compliqué de manier deux idées en même temps…
…dommage..
– CM
.
M. Montmaquette
Moi de même je suis las de discutuer avec vous mais heureusemment je peux disctuer avec d,autres membres de QS et si je vote pour QS a la prochaine élection provinciale ce ne sera pas a cause de votre participation a ce blogue !
M. Montmarquette, j’acquiesce à presque tous les propos de votre dernier commentaire. J’ai déjà exprimé que les souverainistes et indépendantistes, sociaux-démocrates et socialistes, n’ont jamais délaissé le combat d’une meilleure répartition de la richesse entre tous les citoyens du Québec, du début de la Révolution tranquille jusqu’à ce jour (voir mes commentaires précédents).
Je ne vois pas de contradictions dans le fait de mener le combat de l’indépendance et celui d’une société plus juste. Sans penser que l’indépendance trouvera solution à tous nos problèmes je suis convaincu qu’elle en facilitera leur solution. Indépendance ou non le débat gauche-droite aura toujours lieu, au Québec comme ailleurs.
Cordialement, JPG
.
Je n’ai que faire de vos attaques personnelles et de votre constante personnalisation du débat Monsieur Asselin.
Regardez un peu la poutre dans votre œil, plutôt que la paille dans celui de l’autre.
En attendant, depuis 1998 que je milite la gauche et QS n’aura fait que progresser.
Il faut croire que l’ensemble des citoyens ne sont pas de votre avis.
– CM
.
M. Gascon, Je vous mets au défi de trouver dans aucun de mes écrits une remarque quelconque ou même une insinuation que le Québec serait un pays dans la misère économiquement. Là c’est vous qui êtes de mauvaise foi en m’accusant ainsi et en m’attribuant des propos que je n’ai jamais tenu.
Au contraire, j’adhérais facilement à un mouvement qui voudrait faire du Québec une force économique, démographique et culturelle sans sombrer dans les pires excès du socialisme revendicateur que sont devenus les partis souverainistes traditionnels. Ceux qui croient à l’économie du marché, au pouvoir inégalé de créer de la richesse que détient seule l’entreprise privée sont des orphelins du mouvement souverainiste sous toutes ses formes, contrôlé le plus souvent par des corporatismes syndicaux et sociaux prétextant vouloir le bien des plus démunis mais concrètement défendant des privilèges injustifiables.
Je trouve tout simplement que d’avoir un vote parmi les 193 à l’assemblée générale de l’ONU, assemblée qui n’a presque qu’aucun pouvoir réel n’est nullement une raison pour justifier l’indépendance du Québec pas plus que le rêve utopique de QS de créer en Amérique le paradis des pauvres en taxant les riches.
«le rêve utopique de QS de créer en Amérique le paradis des pauvres en taxant les riches.» – Yalpé Nismou
…et vous trouvez ça plus correct, vous, d’engraisser des déjà riches pour affamer des pauvres..?
Franchement…
Ces «privilèges injustifiables», ce sont ces entreprises multimillionnaires ultra-subventionnées et autres mégas BS et sangsues de l’État qui les ont, et non les prestataires de l’aide sociales à 560$ par mois.
– 560$ par mois !!
– Wow !
– Quel privilège !
– Et quel paradis !!
Je tombe des nues à chaque fois que j’entends des inepties pareilles..
Mais, je vais sans doute finir par m’y habituer…
Parce qu’il y en a un sacré paquet !
– CM
.
Membre de l’ONU, le peuple Québécois et son pays ne seraient plus un observateur muet et sans voie sur la scène internationale. Sa participation active aux nombreuses tables internationales, aussi humble et modeste soit-elle, serait une voie assurément discordante de celle du Rocanada en ce qui concerne, entre autres exemples, ses politiques environnementales et sa participation guerrière en Afganistan.
Membre de l’ONU, le peuple québécois ne serait plus tributaire des politiques internationales du Rocanada mais plutôt participant de plein pied contre la collaboration à toute forme d’impérialisme et à la destruction de la diversité des écosystèmes de la planète.
«le rêve utopique de QS de créer en Amérique le paradis des pauvres en taxant les riches.»
Malheureusement -CM, Nismou a raison sur ce point-là…
560? Bon, vous voudriez combien par mois? Le double, le triple? Allez, donnez-nous un chiffre précis, et dites-nous comment le chercher…
Euh le Bloc québécois a voté pour la participation militaire du Canada en Afghanistan, le programme du PQ maintient le membership québécois dans l’OTAN, le Commonwealth, la Francophonie, l’OEA où est la différence québécoise svp? En plus il y aurait une armée une devise et un passeport commun , où donc la discorde avec le ROC ?
Euh le Québec est déjà un gros pollueur , pas besoin du ROC pour mal paraître. Combien de milliers de kilomètres carrés ont été inondés pour les barrages ?
C’est bien beau diaboliser le ROC , mais le Québec n’est pas beaucoup mieux. Penser qu’on deviendrait des anges bienfaisant dès notre »libération du joug canadien » est un autre gros ballon utopique qui crèverait assez rapidement.
Hey, Nismou, vous êtes un fieffé menteur, le Bloc québécois n’a jamais soutenu la participation à la guerre en Afganistan.
De plus vous nous apprenez que la colonie Kwibek est présentement membre de l’Otan, du Commomwealth et de l’OEA, c’est faux.
Mais quelle mouche vous a piqué pour être d’une telle malhonnêteté ?
Seule l’indépendance peut permettre au Québec de devenir membre de ces organisations et de multiples autres tables internationales.
Camarade Gascon, il y a un risque de votre part à devoir des excuses à M. NIsmou…
Une petite recherche rapide et on trouve cet article: Ce sont les notes d’un discours de Duceppe…
Notes pour une allocution du Chef du Bloc Québécois
Centre d’études et de recherches internationales de l’Université de
Montréal (CÉRIUM) – 25 janvier 2007
https://docs.google.com/viewer?url=http%3A%2F%2Fwww.bloc.org%2Farchivage%2FCERIUM_Version_finale_070125.pdf
En voici un extrait:
Quant aux efforts de reconstruction, ils visent à lutter contre la pauvreté,
l’injustice et la corruption, ce terreau fertile pour le terrorisme et l’insécurité. C’est
la raison pour laquelle le Bloc Québécois a appuyé cette intervention
internationale depuis le début et continue de l’appuyer. C’est également pour
cette raison qu’à mon avis, un Québec souverain aurait participé à l’intervention
internationale en Afghanistan.
Un Québec souverain aussi mon cher Gascon… Ta petite prose fendante commence vraiment à taper sur les nerfs…
Mme Turmel, à ma connaissance, n’a jamais renié son appartenance ni au Bloc, ni à Québec Solidaire. Elle s’est tenue debout. Elle a soutenu le côté socialiste de Bloc, le peu qu’il y avait, et le programme franchement socialiste de Québec Solidaire. Elle n’a pas à rougir.
Je soutiendrai Mme Turmel, tant et aussi longtemps qu’elle se tiendra debout, comme elle l’a fait.
De toute évidence, on ne s’abreuve pas aux mêmes sources.
Je me vois l’obligation d’apporter un supplément d’information quant au supposé soutien du Bloc québécois à la guerre tout azimut en Afganistan tel que Nismou & Cie veulent le laisser croire.
Le Bloc québécois n’a jamais soutenu une participation sous la forme offensive, guerrière, du Rocanada en Afganistan.
Le Bloc n’était pas en désaccord sur un déploiement de l’armée dans le sud de l’Afghanistan conditionnellement à ce que soit mise en place une stratégie efficace pour atteindre les objectifs de pacification et de reconstruction, et cela dans le respect des droits des civils et des prisonniers afgans.
Donc, en accord pour une intervention sous le modèle d’interventions des casques bleus et non une intervention d’offensive guerrière, meurtrière, à l’américaine, telle qu’elle s’est déroulée et se déroule toujours.
merci M. Bertrand, le camarade s’excite un peu facilement et évidemment se laisse porter par ses émotions nationalistes et surtout anti-colonialistes. Le Bloc a bel et bien appuyé les libéraux de Jean Chrétien pour l’intervention canadienne en Afghanistan.
Quant au programme du PQ il a toujours prôné la participation du Québec comme membre en règle de l’OTAN, du Commonwealth , de l’OEA. C’est ce que j’ai dit plus haut et que je répète, peut-être que M. Gascon devrait mettre de côté sa copie des Négres blancs d’Amérique le temps de relire avant d’accuser.
Il m’a aussi accusé de dire que le Québec serait dans la misère économiquement, ce que j’ai nié catégoriquement en lui demandant de me citer, chose qu’il lui est impossible de faire. Maintenant son vocabulaire sombre dans les attaques personnelles, fautes d’arguments logiques.
« patriotism is the last refuge of the scoundrel » Samuel Johnson
@ Michel Bertrand
«le rêve utopique de QS de créer en Amérique le paradis des pauvres en taxant les riches.» Malheureusement -CM, Nismou a raison sur ce point-là…donnez-nous un chiffre précis et comment le chercher. » – Michel Bertrand
Monsieur Bertrand,
Vous apprendrez que cette raison ne respecte pas les Droits de l’Homme de l’ONU, institués pour abolir le nazisme.
Cela m’ahurit de constater qu’il y reste encore des gens au Québec pour se ranger du côté le plus noir de la civilisation.
La plus stricte minimale des revendications est l’abolition du double statut à l’aide sociale, ce qui porterait le montant de $560 à environ 850$ par mois, (le paradis quoi..) et alors que le loyer moyen au Québec est de 635 $ par mois.
De plus,
Mettons-nous bien les yeux vis-à-vis des trous, et tenons-nous pour dit que :
– Maintenir la pauvreté a un coût, et pas des moindres :
– 20% des coûts de la santé sont reliés à la pauvreté.
– Une dépense de plus de 6 milliards par année !
– 279,000 personnes doivent avoir recours chaque mois aux banques alimentaires.
Et le tiers de ces personnes sont des enfants.
Source :
Radio-Canada, 10 décembre 2009, dans le cadre de la «Grande guignolée des médias.
– Alors que l’abolition des catégories à l’aide sociale est de $500 millions annuellement, ou l’art de mettre l’argent à la mauvaise place.
Il serait donc plus que temps que le gouvernement ET les citoyens, cessent de taper sur les plus pauvres, arrête de tenter d’éteindre des feux qu’il allume lui-même, et investisse dans la hausse des prestations, plutôt que d’avoir en en payer 12 fois le prix via le système de santé.
Tout ceci, sans compter que les pauvres ont 10 d’espérance de vie de moins que la moyenne de la population.
– La pauvreté rend malade, fait souffrir et tue, pour ceux qui ne le saurait pas.
Je ne comprends donc absolument pas comment certains que je me retiens à deux mains de ne pas traiter de sans-cœur, font pour soutenir une telle position et des gouvernements scélérats, alors que Charest vient de voter $40 milliards pour des chars, de la tôle et du béton, et qu’il en couterait environ $500 millions pour améliorer un peu le sort des plus misérables.
Pour moi, il s’agit d’un égoïsme sans nom, et d’un capitalisme sauvage qui mérite d’être abattu.
Christian Montmarquette
QS- Montréal
«80% des richesses mondiales sont détenues par 15% de la population.» – Ignatio Ramonet / Le monde Diplomatique
«Il y en a assez pour les besoins de chacun, mais pas pour la cupidité de tous » – Gandhi
« Le jour où j’ai rencontré Madame Marois… » :
http://www.vigile.net/Le-jour-ou-j-ai-rencontre-Madame
«Vigile sous la tente devant l’Assemblée nationale» :
http://www.vigile.net/Une-reussite-mediatique
.
Le Québec État-Nation plutôt que province Canadienne n’est pas une panacée pour tout ce qui ne tourne pas rond sur cette terre…
C’est par contre un moyen légitime d’affranchissement et certes le plus sûr selon moi pour préserver la première expression de notre culture ç-à-d notre langue, le Français. D’autre part au vu d’une indifférence constitutionnelle perdurant depuis bientôt trente années et des tentatives répétées et avortées de revoir notre place dans l’ensemble canadien. Je vois mal quelle autre voie s’offre à nous…
Autrement dit, on est ni meilleurs ni pires que nos voisins mais on est cependant différents. Et si cette différence ne trouve pas d’écho satisfaisant au sein de l’ensemble actuel, il nous incombe à nous de revoir l’entente avec nos voisins. Et si cette voie ne mène à aucun consensus on saura ce qu’il nous reste à faire…
En passant il m’arrive de plus en plus à la manière d’un Hubert Aquin ou d’un Gaston Miron d’éprouver une lassitude certaine face à mon identité Québécoise et à ce qu’elle représente.
Je me dis parfois qu’il aurait mieux valu naître au Kansas ou à l’ouest de Medicine Hat pis parler anglais comme tout le monde sur ce grand continent, ç’aurait été plus simple, pis là j’me dis ben non voyons…
@ Nismou & Cie
Les attaques personnelles, le manque d’arguments et de nuances est votre lot.
Vous êtes aguerris en démagogie, en allusions mensongères dans tous vos propos sur ce blogue.
Vous croyez les Québécois imbéciles et pouvoir les berner avec ces méthodes ignobles.
PATHÉTIQUES !!!
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Pour ceux qui auraient de la difficulté à me lire…
Une image vaut mille maux :
http://abel.jerome.free.fr/img/TuMangerasQuandTuSerasCompetitif.jpg
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A Serge Gingras
Madame Turmel en entrevue radiophonique au 98.5 FM a TOUT fait pour se distancer du Bloc et de QS. Madame aurait pris sa carte de membre du Bloc pour appuyer une amie supposément !!!! Mon œil !
Ce que je déplore c’est de voir et entendre une québécoise francophone en mode panique se vautrer dans des multiples excuses face a son passé , de faire un acte de foi fédéraliste en pleine émission radiophonique et de se comporter comme une parfaite colonisée devant le tollé de protestation des Redneck du ROC pour qui le moindre appui au mouvement souverainiste est synonyme de trahison envers ce cher pays du Canada et si c’était possible devrait être passible de déportation dans une Iles du Pacifique comme le sort de plusieurs Patriotes lors de la rébellion de 1837 !
Et des supposés souverainistes de gauche qui applaudissent la performance de la madame !
La gauche n’excuse pas tout Monsieur Gingras !
M. Objecteur Conscient, je sens, selon votre dernier message, que vous êtes sur le bord de perdre la foi séparatiste. Une petite poussée et vous disparaissez, perdu dans l’enfer anglophone américain. Wash !
Nous avons déjà notre place dans l’ensemble canadien actuellement, c’est le séparatisme qui ne veut plus de cette place pour le Québec parce qu’il veut en sortir du Canada.
Vous affirmez correctement que « la première expression de notre culture ç-à-d notre langue, le Français.»
Le Canada, avec ses 2 langues officielles, anglais et français, ne devrait pas être la Tour de Babel ni un casse-tête pour un Québécois ou un Canadien si nous nous comparons au Vatican, très petit pays, le plus petit au monde, un État enclavé dans la ville de Rome en Italie
Les langues officielles de la Cité du Vatican sont :
Le français pour la diplomatie du Saint-Siège. Le Vatican est enregistré comme État francophone auprès des organisations internationales.
L’allemand pour l’armée du Vatican et les gardes suisses ;
L’italien pour l’État de la Cité du Vatican ;
Le latin pour l’Église catholique romaine et le Saint-Siège. C’est également la langue juridique du Vatican.
Pays sans monnaie officielle qui accepte le « cash » dans toutes les monnaies du monde. L’anglais n’y est pas une langue officielle, peut-être à cause de l’Angleterre protestante ou des Américains, trop matérialistes ?
Plus de détails intéressants ici : http://drapeaux.etoile-b.com/mobile/articles.php?lng=fr&pg=390
Camarade Gascon, tu as perdu ton débat.
Tu as accusé ton adversaire de mentir et il t’a fourni les preuves. Tu a alors tenté des enculades de mouches pour te défendre.
Tu as le culot de mentionner le manque d’argument et de nuance des propos de tes adversaires. Tu parles en connaissance de cause! Quel culot!
Tu es une couille molle qu’on a pris en défaut et tout ce que tu es capable de faire c’est de renvoyer la balle.
Pathétique, oui tu es pathétique, camarade Grognon… Je n’ai aucun respect pour toi.
Merci -CM pour vos chiffres, je vais les regarder tête reposée…
Le 2011-08-05 à 15:29, jean-serge baribeau a écrit :
***Nycole Turmel et le sempiternel embrouillamini québécois***
Pour de nombreux Canadiens anglais, du Québec ou des autres provinces, pour certains fédéralistes québécois intransigeants, pour de très nombreux «sécessionnistes» québécois enragés par la quasi-dislocation du Bloc et par la vague orange (il suffit de lire les commentaires dans certains blogues), Madame Turmel a assurément perdu sa crédibilité, en tout ou en partie. Qu’y a-t-il de plus infâme que le dogmatisme inconditionnel?
En ce qui me concerne, je considère que les «choix» de Nycole Turmel sont quand même marqués au sceau de la logique et de la cohérence. Si on oublie la question de la souveraineté du Québec, on constate que le NPD et Québec solidaire ont de grandes affinités idéologiques et politiques. J’ajouterais qu’il en est ainsi en ce qui concerne le Bloc, lequel a régulièrement voté du côté gauche plus que du côté droit. À Ottawa, pendant de nombreuses années, le Bloc et le NPD ont souvent pensé à peu près la même chose et leurs votes respectifs allaient dans le même sens, la plupart du temps. Je me rappelle qu’il y a quelques années des leaders syndicaux de l’Ontario demandaient au NPD de ne plus présenter de candidats au Québec puisque le Bloc, si on oubliait son option souverainiste, équivalait au NPD.
En fait c’est la sempiternelle «question nationale» qui, constamment, vient embrouiller le panorama politique. On n’en sort pas: gauche, centre ou droite, fédéralisme dur ou mou, souverainisme dur ou mou. C’est le vieil embrouillamini québécois. Qui plus est, lorsque l’on vote QS ou pour le Bloc, on peut le faire pour des raisons «socialistes» ou par conviction souverainiste (ou pour les deux).
L’erreur de Mme Turmel, c’est d’avoir dit, de manière puérile, qu’elle avait adhéré au Bloc pour faire plaisir à quelqu’un. C’est quand même fort de café!
JSB
P.-S. Je crois que je vais provoquer la renaissance du PPAP (le Parti parti à pied), lequel parti a connu une éphémère existence au printemps 1970, quelques mois avant la crisse (sic) d’octobre.
JSB
Monsieur Baribeau !
Voila, dans votre dernier commentaire vous mettez le doigt sur le bobo (sans pour autant que ce soit volontaire de votre part) quand vous mentionnez » si on oublie la souveraineté » !
Il est là le problème actuellement dans certains partis politique au Québec et chez beaucoup de pseudo souverainistes.
Québec Solidaire est reconnu comme un parti de gauche et….souverainiste . Par contre de nombreux québécois d’allégeance socialiste et non-souverainiste ou si peu se retrouve dans ce parti étant le seul étant crédible et pouvant représenter leur idéologie. Quand Léopold Lauzon (que j’aime beaucoup) s’est présenté dans Outremont sous la bannière du NPD en 2006 je n’ai pas très bien compris la stratégie d’un homme qui se dit souverainiste et qui milite dans Québec Solidaire, un parti souverainiste, venir mettre les bâtons dans les roues du candidat du Bloc qui lui aussi représente un parti de centre-gauche et surtout souverainiste. Voter pour le NPD c’est voter pour un parti fédéraliste très centralisateur et se présenter pour ce parti c’est a quelques part endosser la nature de la bête. Faut arrêter la bullshit à quelques parts quand même.
Le Parti Québécois a été crée par la fusion du MSA et le RIN pour faire la souveraineté du Québec. Ce parti fut à son origine de centre-gauche, soit social-démocrate. Après le deuxième référendum , Lucien Bouchard , un ex-conservateur canadien qui n’a jamais réussi a se défaire de cette tendance naturelle même en essayant de la camoufler , a réussi a tasser le PQ vers la droite avec ses nombreuse coupures dans le système de santé et son obsession du déficit zéro , en plus de son dédain a peine cacher de la loi 101 . Avec Bernard Landry, lui qui est un souverainiste convaincu mais un grand ami des banques, du patronat et des hommes d’affaires du Québec a maintenu le PQ sur l’échiquier économique au centre et légèrement a droite. Avec Pauline Marois le PQ est tout ce qu’il y’a de plus mêlé et mêlant. Autonomiste, souverainiste, de centre-gauche une journée, de centre-droit le lendemain en autant que la récolte électorale semble intéressante.
Avec Legault et son non-parti ???? nous aurons droit a un parti autonomiste de droite balayant le projet souverainiste le plus loin possible sous le tapis avec en tête un ex-souverainiste du PQ et un fédéraliste notoire trainant une drôle de réputation concernant sa manie de faire des affaires . Ce non-parti le deviendra à un moment donné avec l’appui de tout ce qui grouille et grenouille au centre-droit et a la droite du Québec, des Lucien » Lucide » Bouchard aux Chambres de Commerce en passant pas l’Institut Économique de Montréal une succursale du Conseil du Patronat ainsi que Quebecor et son grand patron de plus en plus fédéraliste PKP.
Actuellement la politique au Québec baigne dans une atmosphère trouble et le mouvement souverainiste en subit les contrecoups ! Par contre nombreux fédéralistes n’en peuvent plus d’endurer un incompétent notoire comme John James Charest et son gouvernement de la honte même si beaucoup d’entre eux ne le diront pas question de jouir des problèmes actuel des partis souverainistes . Les québécois fédéralistes tempéré et non allergique a tout ce qui ressemble a du nationalisme francophone se cherchent eux aussi. Qui aura leurs faveurs a la prochaine élection, Legault ? Le PLQ ? L’ADQ ?
Je suis souverainiste et je n’ai pas l’intention de me retrouver parmi les autonomistes-souverainistes –fédéralistes de gauche- ou- de –droite qui trouvent parfaitement normal de voter pour un parti fédéraliste centralisateur ou pour le parti des commandites du PLC ou pour Legault et son copain Sirois etc.…….. !
Et je me sens quelques peu orphelin il va s’en dire !
Bien oui, M. Baribeau, M. Duceppe est probablement plus à gauche que M. Layton, sauf qu’il est séparatiste et M. Layton est un fédéraliste, le contraire, au point de vue constitutionnel, mais, ce n’est pas grave, tout le monde peut changer d’idée. Les idées ne sont pas nécessairement fixées à vie.
M. Lesage était un fédéraliste centralisateur quand il était ministre fédéral et est devenu autonomiste décentralisateur « maître chez-nous » quand il est devenu Premier-ministre du Québec.
M. Lévesque est passé de fédéraliste à souverainiste, au beau risque fédéraliste de M. Mulroney.
Etc. La liste est très longue des Québécois flexibles à la place d’être teints à vie.
M. Asselin, qui pense être un orphelin politique, au contraire, comme souverainiste, vous allez probablement avoir le choix de voter pour l’un des 3 et 4 partis qui devraient alors exister : Le PQ, Québec solidaire, le PI, le parti de M. Aussant, Un parti sans parti de candidats indépendants pour l’indépendance et le regroupement Curzy-Parizeau-Lapointe, s’ils se décident à foncer.
Ça devrait être la séparation des séparatistes avant la séparation du Québec d’avec le Canada. Une sorte de pratique, une conjugaison : Je me sépare, tu te sépares, il se sépare, nous nous séparons etc.
La politique constitutionnelle du tout ou rien ou la fédération actuelle ou la séparation, ne réussira pas parce qu’il n’y a pas une solide majorité de Québécois pour choisir la séparation simple ou la souveraineté sans association ou l’indépendance parce que les Québécois, à tort ou à raison, veulent très majoritairement demeurer dans le Canada mais avec plus de souveraineté ou d’autonomie du Québec.
Pourquoi ? Ils ne veulent pas perdre leur citoyenneté canadienne et craignent les effets économiques de la séparation : Partition, niveau d’emplois, boycott du ROC et des États-Unis, postes-frontières avec 3 provinces canadiennes, difficultés avec les Cris et les Inuits anglophones. Sky is the limit…etc.
LA solution : Faudrait juste que le PQ, pendant sa gouverne souverainiste du Québec, tente de trouver une solution constitutionnelle plus rassembleuse qui conserverait probablement un certain lien canadien. Mais, avant de rêver, faudrait commencer par élire le PQ à la place du PLQ.
Réjean Asselin s’adresse ainsi à Jean-Serge Baribeau (est-ce bien moi? merdre ubuesque!):
*****«Voilà, dans votre dernier commentaire vous mettez le doigt sur le bobo (sans pour autant que ce soit volontaire de votre part) quand vous mentionnez » si on oublie la souveraineté » !»*****
Cher Réjean Asselin vous venez, respectueusement (?), de de dire que je n’ai pas tort (ou que j’ai même un peu raison). Cela signifie qu’une girouette fédéraste et rocallabo comme moi peut parfois avoir raison SANS QUE CE SOIT VOLONTAIRE.
Pardon, mon père parce que j’ai péché! MON PÉCHÉ «MORTEL»: je tente de réfléchir avant d’embrasser une lutte, quelle qu’elle soit.
En plus, en cette journée dénuée de toute humilité sanguignolente et masochiste, je prétends, sans prétention et sans fausse modestie, que j’ai tellement oeuvré pour la souveraineté que vous ne pourriez jamais en faire autant. Pendant au moins trente années de ma vie j’ai été SOCIALISTE et SÉPARATISTE.
Pourquoi, Réjean Asselin, vous et votre coterie, faites-vous votre gros possible pour discréditer et rapetisser l’élan souverainiste? GRANDE ÉNIGME! Vous voulez vaincre mais vous passez votre temps à exclure de nombreuses personnes, idées, visions et attitudes.
HORS DE VOTRE CAUSE PERSONNELLE, il y a le vide et la nullité. Il y a aussi des félons, des «judas», des renégats, des scélérats, des schismatiques, des païens, des poltrons, des froussards, des poules mouillées et des couards. Vous ne savez absolument pas ce qu’est la politique et comment il faut s’y prendre pour inclure, convaincre et persuader.
Cela étant dit, continuons le combat et le débat. Je le dis et le pense, même si je considère que de nombreuses personnes (souverainistes ou fédéralistes) ne savent absolument pas que le choc des idées peut être source de lumière. Bien débattre, c’est plaisant et cela débouche souvent sur des idées qui restent fermes et claires, tout en étant bémolisées. Débattre, cela empêche de chloroformer les idées et cela est susceptible d’ouvrir la porte à une recherche roborative et stimulante. Le dogmatisme est toujours toxique et avarié. Ayant vécu le dogmatisme catholique, je suis incapable de supporter ceux et celles qui nous disent : «hors de mon église ou de mes convictions, il n’y a que les ténèbres, l’échec et l’enfer».
ET V’LAN!
JSB, ex-membre du PPAP
Monsieur Bousquet,
Auriez-vous l’amabilité de lire ce que les gens écrivent, quitte à relire le texte, avant de commenter. Vous assurant ainsi d’en bien saisir le sens tout en en évitant de le travestir ou de faire dire à l’auteur ce qu’il ne dit pas…
Gros défi semble-t-il mais ce serait vraiment souhaitable dans une perspective d’échange.
salutations,
Je n’écoute pas les radios commerciales. Je ne peux souffrir les pauses commerciales. 🙁
Je suis convaincu que Mme Turmel n’a pas présenté d’excuses à son récent passé. Le même jour elle a été interviewé à la radio de Radio-Canada, local le matin et réseau l’après-midi, et aussi au 98,5. Je suis convaincu que son discours est demeuré le même.
Oui! elle a joint le NPD par amitié, faible argument?- si on veut. Elle joint QS par conviction. Elle n’a pas parlé d’amitié pour QS. Elle n’est pas sécessioniste! Et après? Combien de membre du PQ ne sont pas socialistes. Même au Bloc, il y a des gens de droite. La politique n’est une religion. Les dogmes ne sont pas les bienvenus. La politique est l’art du possible.
Je reste, je demeure, aux côtés de Mme Turmel pour l’appuyer; derrière elle pour la protéger, et devant elle pour passer à la télé. 🙂
M. Objecteur Conscient, ça serait plus clair si vous m’écriviez clairement ce que j’ai mal lu ou pas compris. « Seulement ma dernière erreur afin de m’aider à me mieux corriger ».
Trêve de discussions, pour nous requinquer le Québécois, pendant la saison estivale, minimum.
Voici une proposition de 1963, d’un hymne national québécois, composé et chanté par notre Muriel Millard, une artiste complète, danseuse, chanteuse, compositrice, peintre, qui serait bien tel quel. Hymne entraînant et inspirant, que vous trouverez à l’adresse Internet suivante :
http://www.youtube.com/watch?v=_Rpp…
.
Monsieur Bousquet nous dit :
«Faudrait juste que le PQ, pendant sa gouverne souverainiste du Québec, tente de trouver une solution constitutionnelle plus rassembleuse qui conserverait probablement un certain lien canadien. » (,,,) …la politique constitutionnelle du tout ou rien ou la fédération actuelle ou la séparation, ne réussira pas…»
Monsieur Bousquet,
(…et même Pauline) reviennent sans cesse avec cette vielle idée, qui, disons-le tout de suite, ne ressemblerait même pas minimalement à la «souveraineté-association» de Lévesque, mais au «fédéralisme renouvelé» de Pierre Pierre-Elliot Trudeau, promise en 1980 afin d’endormir les plus naïfs lors du référendum.
– Dépoussiérons-nous de grâce, et apprenons de l’histoire.
Meach et Charlottetown fûrent de patents échecs.
La modification du Canada pour accommoder le Québec s’est démontré dans sa pratique «impossible».
C’est pour cela qu’il ne nous reste plus que le choix de l’indépendance. Les véritables «purs et durs», ne sont pas les Québécois, c’est ce Canada du tout ou rien.
Si notre lectorat se cherche un guide et une lumière afin d’éclairer un peu ses pas sur le hardi Chemin de l’indépendance…
Je lui conseille autre chose que de retomber dans les même erreurs qui ont déjà été faites, et qui se sont soldées par non pas «UN» mais «DEUX» cuisants échecs.
Le Canada est majoritaire, et il ne cèdera pas.
C’est la ligne historique que ce pays c’est donné.
Et il faut désormais faire avec, ou débarquer.
Ce n’est pas moi qui le dit.
C’est le «CANADA» qui s’est prononcé.
Et c’est pour ça que le mot «indépendance» refait actuellement surface.
Tout le reste a été essayé.
Toute revendication sans la préalable l’indépendance, subira, croyez-moi, une fin de non recevoir.
Ne vous attendez pas à être respecté si vous ne vous tenez pas debout et ne vous respectez pas d’abord vous-même.
– CM
.
Pour compléter ma pensée au sujet des autonomistes réformistes….
Je dirais qu’à faire constamment miroiter de la sorte de telles illusions, de faux espoirs et proposer de faux chemins, les supporteurs de l’utopique réforme du Canada, seraient des taupes du fédéral, qu’ils ne feraient pas mieux pour faire trainer la question nationale jusqu’à ce que mort s’en suive.
Ce que nous vendent «ad nauseam» ces autonomistes, ces partisans du trait d’union et ces associationnistes finalement, ce n’est pas l’indépendance, mais la nécessité du Canada.
Ils sont en définitive, et quoi qu’ils en disent, des alliés objectifs du fédéralisme canadien et conséquemment des adversaires de l’indépendance..
Merci de votre attention.
– CM
.
Toutes les belles théories, toutes les définitions complexes, toutes les thèses sur les nuances de la position constitutionnelle des uns ou des autres ne font qu’alimenter les blogues d’une infime minorité de gens qui s’y intéressent.
Un seul fait demeure, une bonne majorité de Québécois ne se sentent pas lésés, ne subissent pas de joug colonisateur et sont assez heureux. Un jour cela changera peut-être mais d’ici ce jour, le mouvement souverainiste va n’en prendre pour son rhume. Le débat tourne en rond depuis trop longtemps et ne mène nulle part.
Hors de l’OULIPO assaisonné à la bonne vieille sauce PATAPHYSICIENNE il n’y a aucun salut possible.
OYEZ, OYEZ, braves gens! Tel est mon message.
UNE SEULE ROUTE: LA MIENNE! Sinon craignez Dieu et les astres qui, un jour, vont vous foudroyer!
Le représentant du SEUL BON PARTI, le PPAP, vient de parler et de décréter! Secouez-vous, que diable!
JSB
Un jour tous les commentateurs de ce blogue vont entonner en choeur LE TEMPS DES CERISES:
***Le Temps des Cerises***
Quand nous chanterons le temps des cerises,
Et gai rossignol, et merle moqueur
Seront tous en fête !
Les belles auront la folie en tête
Et les amoureux du soleil au cœur !
Quand nous chanterons le temps des cerises
Sifflera bien mieux le merle moqueur !
Mais il est bien court, le temps des cerises
Où l’on s’en va deux cueillir en rêvant
Des pendants d’oreilles…
Cerises d’amour aux robes pareilles,
Tombant sous la feuille en gouttes de sang…
Mais il est bien court, le temps des cerises,
Pendants de corail qu’on cueille en rêvant !
Quand vous en serez au temps des cerises,
Si vous avez peur des chagrins d’amour,
Evitez les belles !
Moi qui ne crains pas les peines cruelles
Je ne vivrai pas sans souffrir un jour…
Quand vous en serez au temps des cerises
Vous aurez aussi des chagrins d’amour !
J’aimerai toujours le temps des cerises,
C’est de ce temps-là que je garde au cœur
Une plaie ouverte !
Et dame Fortune, en m’étant offerte
Ne saurait jamais calmer ma douleur…
J’aimerai toujours le temps des cerises
Et le souvenir que je garde au cœur !
Jean-Baptiste Clément (1866)
Allez, laissez au moins échapper une petite larme furtive. Le temps des cerises, c’est pour bientôt! Soyez prêts!
JSB, ppapiste
M. Montmarquette, vous mentionnez deux cuisants échecs quant à la constitution… Ce que je ne comprend pas c’est pourquoi que d’un côté, deux échec suffisent pour dire ‘ça marche pas’ et d’un autre, quand on a eu aussi deux échecs, deux échecs référendaires, on dit alors ‘on continue, on en fait un autre’…
Deux échecs d’un côté nous font baisser les bras, et l’autre retrousser les manches?
C’est clair, vous avez le droit de vouloir l’indépendance, mais ce servir de l’argument des échecs constitutionnels quand on a le même nombre d’échecs référendaires, c’est un peu insidieux…
Une autre tentative pour l’hymne national québécoid de Muriel Millard :
http://www.youtube.com/watch?v=_RppKQMWuQs&feature=related
D’accord avec M. Nismou, tant que le fédéral ne maltraitera pas le Québec de façon vérifiable, la simple séparation du Québec ne se fera simplement…pas. Une solution gagnant-gagnant entre le ROC et le Québec…peut-être, si elle rallie une solide majorité de Québécois.
M. Montmarquette est contre le trait d’union constitutionnel, très bien mais, c’est renier M. Lévesque qui y tenait totalement à ce trait d’union dans la souveraineté-association. Messieurs Chaput et Bourgault n’en voulaient pas non plus, le premier, comme séparatiste et le deuxième, comme indépendantiste pur n’allait pas chercher plus de 8 % des Québécois, ce qui est déjà bon mais insuffisant pour changer quoi que ce soit.
La solution fédérale, nous l’avons et la majorité solide de Québécois anglophones et francophones, s’y sentent relativement confortables. La séparation simple, nommée aussi souveraineté et indépendance « la sortie totale du Canada », ne va chercher que 13,4 % d’amateurs.
Il reste d’autres solutions constitutionnelles ou le statut-quo. M. Lévesque l’avait compris avec sa souveraineté-association et Messieurs Parizeau, Bouchard et Dumont, avec la souveraineté-partenariat. Vous avez remarqué que personne n’a encore osé demander, dans un référendum, si les Québécois voulaient se séparer du Canada ou la simple souveraineté ou l’indépendance pure. Sont pas fous au PQ.
@ Michel Bertrand,
Pourquoi..
«Deux échecs d’un côté nous font baisser les bras, et l’autre retrousser les manches? » – Michel Bertrand
Parce que c’est dans l’ordre des choses de toutes négociations ou s’oppose une force de changement à celle du statu quo.
Ce n’est pas le Canada qui revendique un changement.
C’est le Québec.
La position naturelle et classique du Canada est le maintient du fédéralisme, et même, son renforcement.
Tant que le Québec ne construira pas le rapport de force nécessaire pour faire bouger les choses, le Canada restera sourd à toutes revendications. Qu’elles soient culturelles, constitutionnelles ou économiques.
Les syndicats connaissent très bien cette question de négociation et de rapport de force.
Dans ce genres de revendications majeures, les représentants doivent disposer d’un mandat de grève s’ils veulent jouer sérieux, sinon, le chialage c’est du pipi de chat pour le boss, qui n’a rien a craindre.
Or, l’équivalent du mandat de grève c’est l’indépendance.
Mais, contrairement au mode syndical, de la grève nous ne pouvons sortir temporairement du Canada.
Il faut donc prendre une décision définitive, qui forcera la négociation des paramètres de la séparation, et qui plus est, basé sur un rapport de force égalitaire, de pays à pays, plutôt que d’une province face à l’État fédéral.
D’autres part, si le référendum de 1995, qui a chauffer le cul du Canada, avec près de 50% d’appuis à l’indépendance n’a pas réussi à le faire broncher, et n’a jeté aucun lest, offert aucun assouplissement, et a même poursuivi son arrogance face au Québec avec son entreprise de démolition de la loi 101… C’est dire combien ils n’en ont rien à foutre des revendications du Québec et les petites crises de gouvernance souverainiste de madame Marois..
Il existe bien sûr d’autres arguments,
J’y reviendrai peut-être plus tard.
– CM
M. Montmarquette, nous ne voulons pas que le ROC cède au Québec, nous voulons une entente gagnant-gagnant du genre, nous vous donnons quelque chose en retour de quelque chose, pas, nous tirons la couverte et vous demeurez les fesses à l’air, sans compensation. Ce genre de « deal » ne marche pas.
Faut juste commencer par nous demander ce qu’il nous manque au Québec, pour être heureux et ce que nous pouvons donner, en échange, pour l’obtenir.
J’attends vos réponses.
Moment zen de ce jour pour tous:
« Nous ne voulons pas être une province « pas comme les autres », nous voulons être un pays comme les autres. » Pierre Bourgault
« Rien n’est jamais définitivement perdu dans la vie des peuples, si leurs dirigeants ne s’abandonnent pas aux fausses fatalités de l’histoire. »
Charles De Gaule
M. Gascon, belle citation de M. Bourgault.
Nous voulons un pays pour contrôler tous nos impôts et toutes nos taxes « qui seraient actuellement administrés par M. Charest au complet »…principalement, et pour parler français…tout le temps et pour avoir un siège à l’ONU et à l’OTAN et des ambassades partout et des frontières avec 3 provinces canadiennes, évidemment.
Le bonheur québécois…séparé du Canada, quoi !
Les exemples d’échanges, entre le Québec et le Canada, ne venant pas tellement rapidement, voici une suggestion : Le Québec promet de signer la constitution en retour, le Québec aura plein contrôle sur les lois se rapportant aux langues sur son territoire et collectera toutes les taxes et tous les impôts avec un seul rapport d’impôt et de taxes par citoyen. Il remettra la partie qui est due au fédéral.
Cet échange ne devrait pas changer grand chose de vraiment concret mais, ça pourrait sauver l’honneur des 2 parties avant d’autres échanges gagnant-gagnant, en principe.
Or, l’équivalent du mandat de grève c’est l’indépendance. -Cm
Intéressant, mais il y a d’autres façons. Il faut de la volonté politique. Il faut gueuler longtemps et fort, et on finira par avoir ce qu’on veut. Menacer de claquer la porte, ou de la claquer ne mènera à rien.
Trop drôle… si c’est comme les parties fédéral…
On va avoir le choix entre des parties de « gauche », et des parties un peut moins à « gauche »…
Même les conservateurs (qui sont à droite selon bien des Québécois) n’est rien de plus qu’un parti du « centre »
@ Michel Bertrand qui me dit :
«Or, l’équivalent du mandat de grève c’est l’indépendance. -Cm » – Intéressant, mais il y a d’autres façons. Il faut de la volonté politique. Il faut gueuler longtemps et fort, et on finira par avoir ce qu’on veut. Menacer de claquer la porte, ou de la claquer ne mènera à rien.» – Michel Bertrand
Il semble que vous ne m’ayez pas tout lu Monsieur Bertrand.
J’avais déjà répondu à cette question plus haut.
C’est la rigidité et l’arrogance même du Canada qui ne nous donne pas le choix de ce «soi-disant radicalisme». Ils y a des lustres que ça gueule au Québec, et cela n’a strictement rien donné.
Le Canada ne comprendra que lorsque que nous lui répondront par la bouche de nos canons.
Réponse publiée plus haut à Gilles Bousquet :
– Dépoussiérons-nous de grâce, et apprenons de l’histoire.
Meach et Charlottetown furent de patents échecs.
La modification du Canada pour accommoder le Québec s’est démontré dans sa pratique «impossible».
C’est pour cela qu’il ne nous reste plus que le choix de l’indépendance.
Les véritables «purs et durs», ne sont pas les Québécois, c’est ce Canada du tout ou rien.
– CM
.
M. Montmarquette, le Canada ne veut simplement pas de statut spécial pour une province, normal de refuser des passes-droits à une de ses entités. Vous voudriez ça ?
Quand le Québec veut un changement à la fédération canadienne, il doit commencer par vendre l’idée à une majorité d’autres provinces ou s’en passer.
Exemple, le contrôle des langues par les provinces qui devrait être facilement vendable aux autres provinces, qui économiseraient énormément sur leurs services français mais le Québec ne voudrait pas trop restreindre l’anglais de crainte de voir ses plus riches Québécois quitter pour l’Ontario et fermer plusieurs institutions québécoises qui créent actuellement beaucoup d’emplois bien rémunérés, au Québec.
M. Montmarquette,
Vous cognez sur le même clou continuellement. Vos commentaires manquent de perspective, ex.: le Canada est une des fédérations les plus décentralisées du monde. Personnellement j’envoie 40 % de plus d’impôts à Québec qu’à Ottawa, sans compter que je paie presque le double en TVQ qu’en TPS sur tous mes achats. Allez comparer le partage des compétences avec n’importe quel pays industrialisé et vous verrez que c’est au Canada que le gouvernement central contrôle le moins.
De toute façon, les Québécois s’en accommodent fort bien et le désir d’avoir la souveraineté complète ne rejoint que 20 à 25 % de la population, donc ce débat est assez virtuel.
En 1995 le PQ m’a proposé un Québec avec le dollar, le passeport et l’armée canadienne avec des turbulences possible. J’ai choisi la même version sans turbulences, et je crois que les Québécois vont continuer de le faire pendant longtemps. Ceux qui sortent le spectre de Lord Durham, de la disparition du peuple etc ne sont que des marchands de la peur, ce dont ils ont toujours accusé les fédéralistes.
Non, je vous ai bien lu M. Montmarquette, et finalement tou ça, ça reste une question idéalogique…
Vous dites: C’est la rigidité et l’arrogance même du Canada qui ne nous donne pas le choix de ce «soi-disant radicalisme».
Cela demeure votre opinion; Je crois qu’avec de la volonté politique, et un travail acharné, nous pourrons faire changer cet état, sans claquer la porte…
Mais il faut commencer par le vouloir…
On tourne un peu en rond ici, chaque position a connu deux échecs…
Un autre parti souverainiste, euh ça n’en fait combien au total ? C’est comme une pizzeria, on choisit le parti comme on choisit notre pizza, avec champignons, tomates, deux fromages et anchois si on veut plus ou moins d’autonomie, de gouvernance souverainiste, de l’indépendance sans liens, une constitution. Aussi bien dire que la coalition arc-en-ciel originale du PQ est terminée faute de ciment qu’était l’imminence de la souveraineté.
Je me demande que feront tous ces politicologues qui forment l’industrie de la constitution au Québec. Est-ce que Gérald Larose va conserver son prestigieux poste de président du conseil de la souveraineté , par exemple ?
M. Nismou, M. Gérald Larose est probablement président du conseil de la souveraineté jusqu’à la mort du mouvement ou la sienne, même s’il a contribué à la défaite du Bloc le 2 mai dernier.
Au sujet des diverses tendances souverainistes, de la séparation à l’autonomie provinciale, vous avez raison, il y a plusieurs pointes mais, plus nous nous rapprochons de la séparation, plus elle est étroite, cette dernière est à 13,4 % seulement. Toutes les autres pointes, 86,4 % souhaitent un lien plus ou moins fort canadien, pour le Québec.
Nous n’en sortons pas, la majorité des Québécois francophones, veulent un Québec souverain dans un Canada uni., M. Deschamps l’avait bien compris.
Est-ce que réclamer une extra fromage avec croûte mince reflète une position d’extrème droite? Les coeurs d’artichauts sont-ils un symbole de gauche?
À Michel Bretrand,
Le Canada est pratiquement irréformable.
D’autant plus que 9 provinces sur 10 sont à toutes fins pratiques anglophones. Et qu’il ne suffit que d’une province sur 10 pour fermer la porte à tout changement constitutionnel, comme la reconnaissance d’une société distincte et la langue française comme seule langue nationale.
Qu’avait répondu Trudeau au sujet de ces négociations ?
«Allez vous faire foutre!»
Nous n’allons négocier rien du tout !
Il faut être deux à table pour négocier.
Et comment le Québec peut-il forcer 9 autres provinces à se mettre à table ?
Comme ceci :
– Négociez, ou on quitte le Canada.
Il faut donc obtenir un rapport de force d’abord.
Et ce rapport de force, c’est l’indépendance en poche, on le sait, c’est l’indépendance.
Même Daniel Johnson père reconnaissait ceci :
«Égalité ou indépendance» – 1965
«Un autre passage du livre qui sera longuement discuté par les analystes est celui dans lequel Johnson «…tiens à dire clairement que la Confédération n’est pas une fin en soi; et que si, après avoir tout tenté pour la rendre également habitable à nos deux communautés culturelles, nous constatons un jour la vanité de nos efforts, elle ne nous paraîtra plus digne d’être sauvée.» L’année suivante, la victoire de l’Union nationale permettra à Daniel Johnson de devenir premier ministre du Québec.»
http://bilan.usherbrooke.ca/bilan/pages/evenements/20871.html
Yalpé Nismou,
Quant à Yalpé Nismou qui se plaint de mes redites, je me redirais moins, si on ne me posait pas sans cesse les même questions.
Si vous voulez lire autre chose de moi, je vous suggère le lien suivant :
http://www.vigile.net/_Montmarquette-Christian_
.
.
M. Montmarquette, vous avez raison, le Québec ne peut pas forcer les 9 autres provinces à se mettre à table sauf pour des sujets qu’elles trouvent intéressants pour elles, comme la langue et le fédéral qui voudrait leur enlever certains pouvoirs.
Si votre priorité est d’améliorer le sort des pauvres, vous êtes encore mieux de vous concentrer à aider le NPD.
À Gilles Bousquet,
…à vous voir louvoyer avec la question nationale, je me référerais plutôt à quelqu’un d’autre que vous, pour me prodiguer des conseils…
La «chouveraineté» de Marois ne semble pas trop éveiller de passions, mais plutôt de la dissension…
Avec ce genre d’approche, vous venez de perdre 4 députés-es, et pas des moindre, quand on pense entre autre au plus populaire du PQ Pierre Curzi… et Beaudoin, Lapointe, Aussant et compagnie.
Vous devriez faire le ménage d’abord dans vos propres affaires… Car il me semble que n’êtes pas trop en position pour donner des leçons aux autres…
Après tout, c’est vous le fédéraliste qui insiste pour promouvoir le maintient du lien canadien et qui devrait joindre le NPD.
– CM
.
M. Montmarquette, la France insiste pour conserver son lien européen sans être « fédéraliste » centralisatrice.
.
Quand j’affirmais plus haut que la mission politique de Québec Solidaire n’était pas qu’électorale, mais aussi du travail d’éducation politique…
Voilà le travail élémentaire que le PQ aurait dû se donner pour construire des appuis stables à l’indépendance, et qu’il n’a jamais fait. Se consacrant sans cesse à la petite politique provinciale électorale et à la critique du Wouèrnement libéral.
Comment espérer faire un pays avec une bande de colons et d’ignares comme ça ??
http://www.youtube.com/watch?v=iny8d5IB0tM&feature=share
.
Je comprends de M. Montmarquette qu’il est un des 13,4 % de Québécois qui ne veulent plus d’un lien avec le Canada. Bonne chance quand même !
Je surveille avec grand intérêt les développements séparatistes pressés du groupe Parizeau-Lapointe-Curzi qui risquent fortement d’être très… »désappointé » parce qu’il manque d’amateurs pour leur option séparatiste vite. M. Parizeau s’est déjà cassé les dents en 1995, avec une option pas mal moins raide à faire avaler aux Québécois.
P.s. Peut-être qu’ignare est une insulte mais pas…colon qui désigne une personne attachée à la terre qu’elle cultive.
Nous devrions nous souhaiter le meilleur à nous, Québécois francophones qui venons de loin., qu’il nous arrive à l’intérieur ou à l’extérieur du Canada.
M. Montmarquette, je ne fais pas la promotion du lien canadien, je ne fais que constater que 86,6 % des Québécois y tiennent, ce qui ne me scandalise pas. Je donne raison à l’intelligence collective des Québécois.
À Gilles Bousquet,
Il est probable que les appuis des québécois à l’indépendance risquent de stagner, quand ces péquistes dont vous êtes, ne cessent de leur vendre l’illusion du fédéralisme renouvelé.
Quant à l’Union européenne, vous comparez un cheval avec un lapin.
Tous le membres de l’Union européenne étaient d’abord des pays avant de rejoindre une union, qui, parlez-en aux Français, a fait baisser leur niveau de vie.
– CM
.
.
Vous répétez sans cesse que l’appui à l’indépendance est seulement à 13,4 %…
Voilà justement, un des principaux problèmes au PQ, qui est de constamment endosser la position de départ des citoyens, plutôt que de travailler, comme devrait le faire tout parti militant., à les «convaincre» d’une autre option.
Pas étonnant que l’indépendance n’a jamais été gagnée par le PQ !
À ce titre, pourquoi ne pas assumer carrément votre appui au fédéralisme ? ?
Comme ça, vous n’auriez plus aucun travail à faire ! (ce que le PQ fait déjà.. se pogner le beigne sur la question nationale..)
Et vos fameux pourcentages grossiraient à vu d’œil !
Et vous pourriez même concurrencer Charest sur son propre terrain !
Mais… Tout ce cirque..
Plus beaucoup en sont dupes…
Car on le sait…
Vous le faites déjà…
– CM
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M. Montmarquette, est-ce que l’Union européenne a fait baisser le niveau de vie des riches ou des pauvres Français ou les deux ?
Je propose une confédération d’États souverains mais je me contenterais d’une fédération renouvelée ou même de la fédération actuelle, si tel est le désir majoritaire des Québécois. Faut bien faire avec ce que nous avons et accepter le réalisable sans trop nous pomper inutilement le québécois sur terre. Si trop difficile, un peu de Prozac devrait faire l’affaire.
Je me répète, M. Montmarquette, il y a actuellement 40 % de Québécois qui déclarent dans les sondages, être souverainistes sauf que 67 % de ces 40 % là confirment qu’ils désirent rester dans le Canada. Je divise ce groupe en 2, le 33 % qui veut sortir le Canada du Québec, les séparatistes et le 67 % qui veulent, comme M. René Lévesque en 1980 et les Parizeau, Bouchard et Dumont en 1995, conserver des liens avec le Canada, les souverainistes. Est-ce que vous me suivez ? Est-ce assez clair ?
Qui confirme ces désirs québécois ? M. Jean-Marc Léger à l’adresse Internet suivante :
http://video.telequebec.tv/video/6735/la-souverainete-du-quebec-est-elle-une-option-politique-depassee
«Je propose une confédération d’États souverains mais je me contenterais d’une fédération renouvelée ou même de la fédération actuelle, si tel est le désir majoritaire des Québécois. Faut bien faire avec ce que nous avons et accepter le réalisable» – Gilles Bousquet
Monsieur Bousquet,
Votre problème est une fois encore dans votre genèse.
Pour obtenir une «confédération d’États souverains», comme vous dites, il faut d’abord être «souverain».
Sinon, la «confédération de provinces», nous l’avons déjà.
Et elle vient avec la situation minoritaire du Québec dans le Canada ou nous seront toujours perdants.
En fait, vous est pour à peu près n’importe quoi à ce que vois.
Et vous en avez parfaitement le droit.
Mais, ça demeure au mieux du fédéralisme et au pire du n’importe quoi.
Et vous ne convaincrez personne de l’indépendance avec ça.
Vous êtes donc en définitive et comme je le disais plus haut, ce fédéraliste péquiste typique, et à mon avis, fort représentatif de votre formation, et que tant de gens dénoncent actuellement, notamment par des démissions spectaculaires d’importants députés.
Je n’ai rien tant contre votre position en soi, que vous avez parfaitement le droit de défendre, mais contre le fait que les péquistes tentent encore de nous faire avaler qu’ils sont souverainistes, .alors qu’ils ne le sont pas.
– CM
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M. Montmarquette, le travail d’éducation politique, c’est la responsabilité de nos institutions scolaires et de nos parents, pas de nos partis politiques qui ont déjà un parti pris pour eux-mêmes. Ils doivent nous présenter leurs programmes et tenter de prendre le pouvoir pour le réaliser.
Vous avez été, il n’y a pas si longtemps, un membre actif et important de l’UFP, je crois, un parti fédéraliste. Québec solidaire a aussi passé à deux doigts d’être fédéraliste et a même conseillé aux Québécois de voter pour le très fédéraliste NPD le 2 mai dernier, ce qui ne me semble pas très…séparatiste mais très logique, comme parti de gauche.
La flexibilité passe mieux que l’insulte : girouette pour désigner ceux qui ne sont pas teints jusqu’à la mort et plus encore.
M. Montmarquette écrit : « Pour obtenir une «confédération d’États souverains», comme vous dites, il faut d’abord être «souverain».
Si nous pouvons déclarer notre souveraineté pendant que nous ne le sommes pas, j’imagine que nous pouvons aller moins loin, en demandant au ROC de négocier une véritable confédération d’États souverains sauf qu’il faut commencer par dire OUI à ce concept à la place de voter NON comme en 1980 et 1995.
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J’ai été membre «fondateur» de l’UFP ET de Québec Solidaire ET candidat de l’UFP en 2003 et qui n ‘ont JAMAIS été des partis fédéralistes, je vous prie de bien noter , et de ne pas diffuser en ragots.
L’indépendance se se règlera pas en votant aux élections fédérales.
Ne mêler pas les pommes et les oranges, comme vous savez si bien le faire.
Les gens sont suffisamment mélangés comme ça.
– CM
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Et si ce n’est pas suffisant…
«Pauline Marois n’est pas au bout de ses peines. Un groupe de souverainistes déçus de la chef péquiste, appuyés par des députés démissionnaires du PQ, vient de créer un nouveau «mouvement politique voué à la réalisation de l’indépendance nationale».
«Un nouveau mouvement souverainiste prend forme» :
http://www.cyberpresse.ca/actualites/quebec-canada/politique-quebecoise/201108/11/01-4425309-un-nouveau-mouvement-souverainiste-prend-forme.php
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S’cusez M. Montmarquette, vous avez raison, l’UFP était bien souverainiste. J’étais mal renseigné, votre commentaire m’a permis de me corriger.
Depuis la cuisante défaite du Bloc aux mains du NPD, aidé par Québec solidaire, certains députés du PQ me semblent avoir peur de perdre leurs sièges itou, ils paniquent à l’idée de devoir remplir les sacs au super-marché, pour se gagner une vie.
Moment zen de ce jour pour tous:
« Il faut ouvrir au Québec des fenêtres sur le monde. Le seul moyen pour un peuple d’exister, c’est d’entrer de plain-pied dans le concert des nations. Le Québec existera quand il participera librement à des conférences internationales » Charles de Gaulle
« Nous avons résisté (survivance)
Nous avons insisté (partenariat)
Nous allons exister (indépendance) » Bernard Frappier
Cordialement, JPG
Vous ne vous êtes pas trop ennuyés durant mon absence (depuis deux ou trois jours, je ne sais trop…) au moins? Tout à fait ce que je pensais!
Alors voici: je viens de tout lire les commentaires qui précèdent que je n’avais pas encore lus, soit une bonne cinquantaine sinon davantage encore.
Ça tourne en rond et en rond, au point que j’ai même cru par-ci par-là déceler un peu de ce mal dit de « cabin fever », que j’ignore comment traduire, mais dont les symptômes seraient certains signes de démence résultant d’une activité limitée et répétitive à l’excès, la dite activité se déroulant dans un environnement restreint et fermé…
Un cas extrême (et plutôt huppé!) de « cabin fever » serait ainsi illustré dans le film The Shining. Un cas d’isolement physique menant graduellement au délire, au désir d’échapper à une sensation oppressante. Un autre cas, et cette fois nullement huppé de « cabin fever », peut être observé dans le grand classique de Charlie Chaplin, The Gold Rush.
Ici, c’est le non-renouvellement du sujet qui a vraisemblablement mené à la lassitude, laquelle a par la suite fait monter la tension et fait rechercher un exutoire à certains (que je ne nommerai pas et qui y sont alors possiblement allés bien involontairement de petites performances amusantes en guise de soupape d’apaisement).
Euh… Vous arrivez à me suivre? Tant mieux… parce que moi je m’y perds un peu… Mais, en bout de ligne, tout ceci devrait avoir un certain sens et s’avérer compréhensible. Sinon, ça nous aura fait à tous, à vous autant qu’à moi, une petite diversion hors de l’ornière.
Donc.
Les argumentations répétitives, les positions archi-connues et prévisibles des uns et des autres, une ambiance de plus en plus claustrophobique (me faisant penser à l’amusante chanson de Three Dog Night dans laquelle on entend « Mama told me not to come – This ain’t the way to have fun », laquelle chanson fait référence à un party dans une pièce terriblement enfumée, ce qui pousse le chanteur à réclamer de toute urgence l’ouverture d’une fenêtre pour aérer au plus tôt la place…), tout cela m’a tout de suite renvoyé à l’idée qu’une variante du « cabin fever » se pointait le bout du nez ici.
Que l’on ouvre bientôt quelques fenêtres, que ceux qui ressentent des étourdissements s’allongent un peu. Et puis, à travers la grande cacophonie ambiante, de toute façon personne n’entend plus vraiment ce que les autres racontent. Pas vraiment la peine de se fatiguer en redites et en redites.
J’ai même quelques doutes que l’on se soit aperçu de mon passage!
Enfin, pour la forme – parce qu’il faut bien dire quelque chose d’un peu pertinent – je termine en écrivant que le mouvement souverainiste en multipliant les schismes et en accentuant ses rivalités à l’interne est en train de s’auto-détruire et de laisser toute la place au PLQ et au CAQ.
Et c’est principalement Jacques Parizeau qu’il faut blâmer ou remercier pour cela, selon où l’on loge politiquement.
S’il suffisait d’avoir le penis mou pour dire des choses intelligentes, le monde serait génial.
Y a le penis mou et il faut bien en rire …
«Les chiens aboient. La caravane passe»
M. Perrier, pour que ça tourne moins en rond, ça prendrait d’autres intervenants qui arriverait avec de nouvelles propositions, de nouvelles idées originales, même si l’originalité est difficile à trouver comme la nouveauté.
Une chose est certaine en tous cas, Gilles Duceppe et Jacques Parizeau sont d’accord avec moi sur ce point :
C’est « l’indépendance» ou le «statu quo» :
À une minute 30 sec. du début vidéo :
http://www.youtube.com/watch?v=FzlsRUjH3vk&feature=related
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M. Gascon, selon cette affirmation « Nous allons exister après l’indépendance » Ça voudrait dire que nous n’existons pas maintenant. Il est bon de savoir que nous sommes déjà…morts.
M. Montmarquette, après la défaite du Bloc du 2 mai, qu’il n’a pas vu venir, les affirmations et les prédictions de M. Duceppe, faudrait y faire attention. Je fais plus confiance à M. René Lévesque, qui croyait à une autre solution, la souveraineté-association, qui savait mieux s’adapter aux circonstances et à l’opinion des Québécois sauf aux séparatistes pressés du PQ qui l’ont sorti comme ils ont sorti tous les chefs qui lui ont succédés incluant M. Parizeau, trop critiqué par quelques ministres pour avoir parlé des votes ethniques et de l’argent, le soir du référendum.
Ces coureurs de chimères continuent encore à vouloir se défaire de Mme Marois, même ceux qui se sont fait sortir, comme Messieurs Parizeau et Landry qui y avait contribué fortement. C’est tellement « édifiant » ! Les exclus qui forcent pour exclure à leur tour. Ces séparatistes veulent se séparer de leurs chefs, à la place de taper sur M. Charest, le fédéraliste. Tirer dans le dos de son chef, après un vote de confiance, c’est tellement…plus excitant.
Monsieur Perrier, je ne vois pas en quoi Jacques Parizeau serait responsable des soubresauts du mouvement souverainiste actuellement. Le rebrassage de cartes semble tout indiqué pour tout indépendantiste qui se respecte. Le PQ implose beaucoup plus en raison d’un manque total de leadership et d’une orientation autonomiste à des fins purement électoraliste plutôt que les faits et gestes de M. Parizeau. Que voulez-vous, quand un membre en règle du PQ comme Monsieur Bousquet (et il semble de plus en plus nombreux) sur ce blogue se permet de ridiculiser de façon récurrente la raison fondamentale de l’existence de ce parti soit le projet et de faire du Québec un pays alors les souverainistes qui le sont demeurés ne se sentent plus chez-eux évidemment. Tu es souverainiste ou tu ne l’est pas même si le projet connaît des baisses de popularité au fil du temps. On peut être pour ou contre ce projet mais faut avoir l’honnêteté et le courage de ses positions. Tu as parfaitement le droit de ne plus être souverainiste mais ne reste pas et ne milite plus dans un parti » souverainiste » point a la ligne. Regarde ailleurs ! Les autonomistes –fédéralistes-souverainistes –nationalistes ayant constamment le derrière assis entre deux chaises peuvent très bien se retrouver avec le groupe Legault, ou l’ADQ et même a QS si tu es plus a gauche et pas trop souverainiste.
Actuellement les souverainistes sont plus que divisés et les fédéralistes peuvent parfaitement s’en réjouir mais les nombreux québécois qui sont encore souverainistes finiront par se retrouver dans un vrai parti souverainiste ! Le PQ subira probablement le sort du Bloc s’il s’entête a vouloir se lancer dans toutes les directions avec dans ses rangs de nombreux autonomistes qui considèrent la souveraineté comme un projet obsolète et qui se vautrent dans le fédéralisme asymétrique sous des airs de gens matures et conscients !
Le PQ est dans les câbles, QS ne répond pas tellement aux aspirations des souverainistes compte tenu qu’une grande partie de ses membres sont d’abord des socialistes pour qui la souveraineté n’est pas une priorité. Le groupe Legault et l’ADQ sont des fédéralistes modérés mais des fédéralistes quand même et le PLQ …….est ce qu’il est ..fédéraliste et médiocre !
Oui a un nouveau parti souverainiste pour des souverainistes ! Les autonomistes-nationalistes-fédéralistes ectttttt……se retrouvent avec trois partis qui reflètent leurs aspirations !
Qui divise le vote au juste ?
PS: S.V.P Lachez-nous avec les sondages bidons de Léger Marketing et CROP concernant la popularité du projet souverainiste au Québec !
M. Asselin, vous avez tendance à mêler les affaires et à vous contredire quand vous déplorez la division des souverainistes tout en donnant raison à ceux qui quittent le PQ pour s’en séparer et créer ainsi d’autres entités ou partis séparatistes. Ils quittent le paquebot du PQ dans de petites chaloupes de sauvetage parce qu’ils ont peur de perdre leurs sièges comme ceux du Bloc, le 2 mai dernier, dans un naufrage, à la place de faire face aux intempéries, ensemble. Chacun a sa petite solution individuelle pour séparer le Québec du Canada…rapidement.
Le RIN était un vrai parti séparatiste qui voulait l’indépendance simple du Québec mais il ne récoltait qu’entre 6 et 8 % des votes. De solides séparatistes, comme vous, qui allaient…nulle part pour une raison bien simple, les Québécois ne sont pas majoritairement, séparatistes. Il n’y en a que 13,4 %, ce qui est une nette amélioration sur les années 60 mais pas assez pour faire élire un seul député.
Maintenant, Léger marketing est devenu suspect et malhonnête, pour vous, depuis qu’il rapporte des sondages qui ne font pas votre affaire. M. Jean-Marc Léger serait devenu une taupe fédéraliste au service du méchant Canada en reniant les options souverainistes de son père et de sa sœur. Tous des fédéralistes mal-intentionnés !
Monsieur Bousquet !
Pour ce qui est d’être » mêlé » vous n’avez de leçon de cohérence à donner aux autres sur ce blogue. Vous êtes comme Lucien Bouchard fut jadis, un fédéraliste déguisé en souverainiste et militant dans un parti ou il n’avait pas d’affaire !
Le malaise au PQ est très facile à reconnaître ! Il est envahi par des autonomistes qui voient en la souveraineté un projet obsolète mais qui n’ont pas le courage de s’afficher comme fédéralistes. Un peu plus d’honnêteté de votre part et le mouvement souverainiste ne serait pas dans un état aussi lamentable !
Il y a une évidence qui saute aux yeux dans le contexte politique actuel, celle qui met en lumière d’une façon éclatante que seul le mouvement souverainiste/indépendantiste provoque des changements au Québec et fait progresser le Québec depuis 50 ans, et pourquoi est-ce ainsi ?
Simplement en raison de l’obstination débilitante des fédos statuquoistes de maintenir le régime colonialiste rocanadian pour maintenir les couilles molles et préserver une seule valeur, soit celle du compte bancaire.
Ces bénis oui-ouis n’ont de cesse d’asperger leur chloroforme sur le débat publique et d’agiter continuellement leurs épouvantails.
Donc, ne va-t-il pas de soi que leur perception d’un remue-méninges, d’un brassage d’idées, impliquant nécessairement des mésententes et des brisures dans le cadre d’un débat sainement démocratique, ne se résume chez les fédérastes qu’en un seul mot enfantin, soit le mot « chicane » ?
» Une démocratie, c’est d’abord ça : une façon de vivre où les gens osent se communiquer les choses importantes, toutes les choses importantes, où ils se sentent le droit de parler comme des adultes, et non comme des enfants dissimulés. » [Jules Romains] Extrait de Les hommes de bonne volonté.
PATHÉTIQUE !!!
M. Asselin, si M. Bouchard avait été fédéraliste, il ne se serait pas démissionné du PLC sous M. Mulroney pour fonder le Bloc de la souveraineté. Il a fait grimper le OUI au référendum de 1995 de 10 % par sa seule présence et charisme.
Le PQ n’est pas envahi par des autonomistes mais par des séparatistes qui ont fait enlever l’association de la souveraineté dans son programme constitutionnel. Si le PQ avait été envahi par les autonomistes, le programme du PQ indiquerait qu’il veut la simple autonomie du Québec, ce qui n’est pas le cas.
Ce n’est pas l’état actuel du PQ qui est lamentable mais les démissionnaires qui sont assis dans leurs barques, en train de consulter, Il y en a trop de mêles dans leurs cocos.
Bien oui, M. Gascon, vous avez raison de vous conserver les couilles dures afin de mieux sauver le Québec des couilles molles fédéralistes ou souverainistes qui ne pensent qu’à la dureté de leurs portes-feuilles et probablement, aux Rocheuses.
Pourquoi pas quelques petites insultes bien placées, quant à y être, pour faire plus adultes consentants et réveillés, pas enfants gênés ? Ça fait tant de bien au canadien, s’cusez, au québécois un peu frustré par le manque d’amateurs séparatistes québécois peureux ou pas intéressés. Ça ajoute de la couleur au débat.
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Hors du PQ, point de salut !
C’est pas compliqué, les indépendantistes sont unis sous l’idée de l’indépendance et ils se combattent entre partis politiques.
Ce sont donc les partis qui sont désormais un obstacle à indépendance, ce qui n’était pas le cas, quand le PQ se pensait propriétaire de la question nationale.
Mais, par chance, cette obscure période qui a durée plus de 40 ans, est bel et bien terminée.
Les indépendantistes peuvent désormais être «indépendants» du PQ.
– CM
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Pendant que 5 députés du PQ quittent leur bateau-amiral pour des chaloupes et que plusieurs souverainistes masochistes tapent sur Mme Marois, à la journée longue, le PLQ recrute des gros noms pour la prochaine élection générale provinciale, dont M. Laurence Cannon qui est venu s’entretenir, en fin de semaine, avec les jeunes Libéraux du Québec.
Le PLQ se comporte en parti uni, pas en séparatiste du genre cave qui tapent sur leur chef en chef. Allô les nonos ! Ça va pas en haut ?
Bien oui M. Montmarquette, on a accusé le PQ d’avoir volé l’idée de souveraineté et même d’avoir accaparé le drapeau du Québec. M. Lévesque n’a pas fait enregistrer ni l’un ni l’autre, c’est aux Québécois qui n’aiment pas le PQ, d’utiliser du concept de souveraineté et d’en faire ce qu’ils en veulent, ça appartient à tout le monde.
Une autre fausse accusation contre le PQ qui n’est pas du tout un obstacle à la souveraineté ou à la formation de mouvements. Ce ne sont pas les partis qui nuisent à la cause mais la séparation actuelle des partis souverainistes et des députés qui, effrayés par la déconfiture du Bloc, quittent le PQ, qui est le seul à avoir une chance de défaire le PLQ Charest. Mauvais calcul, en apparence.
@ m.G.Bousquet
Vous dites » Le PLQ se comporte en parti uni, pas en séparatiste du genre cave qui tapent sur leurs chefs » ,,Vous avez l’art de faire passer certains défauts pour des qualitées m.Bousquet ..
Il est très mal vu pour un député au PLQ d’avoir une opinion « personnel » au risque d’une sanction très sévère de la part du Parrain J.J.Charest , ceci est une tradition au PLQ , comme il en est de la tradition de magouille
et de malversations, Alors faites nous pas suer avec votre « parti uni »
En passant , plus vous argumentez sur ce blogue plus les fédéralistes vous considèrent dans leurs Camps ,
M. Asselin, les Libéraux se moquent, avec raison, de la division du Parti québécois avec un autre parti souverainiste en gestation. Ils se roulent par terre. Voir la caricature de Garnotte sur le site suivant :
http://www.ledevoir.com/galeries-photos/les-caricatures-de-garnotte
Tout ça commence à donner le goût de virer carrément fédéraliste et de voter pour Charest…again.
Le couple Parizeau-Lapointe a peut-être réussi à briser le PQ pendant que Mme Marois, qui avait renfloué le PQ financièrement et autrement, était en avance sur M. Charest dans les sondages sur les intentions de votes.
M. Parizeau avait magouillé pour débarquer Messieurs Lévesque et P.M. Johnson, il recommence maintenant avec Mme Marois. Après moi, le déluge.
Pour montrer la niaiserie des députés du PQ, 4 ont démissionné parce que Mme Marois ne voulait pas aller assez vite avec la souveraineté et un a démissionné parce qu’elle voulait aller trop vite, en ne voulant pas refuser de tenir un référendum dans un premier mandat du PQ. Députés trop émotifs qui ne tiendraient pas 5 minutes dans un autre parti. Mme Marois va finir pas y gagner son ciel.
Propos d’Isaac Newton:
*****«Les hommes construisent trop de murs et pas assez de ponts.»*****
Cette réflexion résume bien l’allure bornée et étriquée d’une partie des débats stériles qui ont cours dans ce blogue depuis le début de l’été. Et j’ai été partie prenante de ce triste processus.
Le philosophe Jean Grenier a «commis» celle-ci:
*****«Le vertige qui saisit l’homme devant la multitude des possibles est fait à la fois d’angoisse et d’ivresse.»*****
EH OUI! Il importe de ne pas rapetisser le vaste champ des possibles. Cela permet d’éviter l’étroitesse d’esprit. Ça permet aussi d’éviter de hurler: «MY WAY IS THE ONLY WAY!»
Ouvrons les portes et aérons les débats!
JSB
Oui, M. Baribeau, nous comptons sur vous pour aérer les débats et sur d’autres qui ne se manifestent pas ou peu. Laissons entrer les immigrés et passer les nouvelles idées.
Le parti québécois ressemble à des pointes de tartes.Tartes au sirop d’érable, au pommes , aux peĉhes !
Laquelle de ces tartes aura le plus de commandes?
A voir une famille se chamailler, on peut se poser des questions.
Et cette situation s’envenimant de jour en jour donne des munitions aux autres partis qu’on le veuille ou non.
Le parti québécois ressemble à des pointes de tartes.Tartes au sirop d’érable, au pommes , aux peĉhes !
Laquelle de ces tartes aura le plus de commandes?
A voir une famille se chamailler, on peut se poser des questions.
Et cette situation s’envenimant de jour en jour donne des munitions aux autres partis qu’on le veuille ou non.
Le mauvais exemple vient de haut, Mme Thibaudeau.
Le mauvais exemple vient de haut?
Qui est le mauvais exemple ?
De toute façon , quoique l’on écrive, tout le monde a tort et tout le monde a raison.
Le mauvais exemple vient des députés péquistes qui se font élire sous la bannière du PQ, qui offrent ensuite leurs votes à leur chef au congrès et, quelques jours plus tard, tentent de couler leur navire en se mutinant et en critiquant publiquement leur capitaine avant de sauter dans leurs canoës, à l’eau, sans savoir trop trop où ils devraient aller avec leurs gros sabots, en aidant ainsi le PLQ à se faire réélire bientôt. Très mauvais exemple à donner aux troupes.
Quand M. Réjean Asselin nous parle d’un « rebrassage de cartes » relativement au mouvement souverainiste québécois, je suis entièrement d’accord avec lui. Car l’évidence même confirme ses propos.
Toute la partie repart à zéro.
Chacun cherche où mieux miser.
Malheureusement, et cela malgré un rebrassage, les perspectives de gain paraissent peu gagnantes pour le mouvement souverainiste. Du fait que plusieurs joueurs à la table se divisent alors qu’ils auraient plutôt avantage à s’allier. On ne s’entend pas sur les coups à jouer – et cela profite conséquemment à la partie adverse.
Bêtement, considérant le tout, le mouvement souverainiste me paraît jouer « perdant ». Son inaptitude à rallier ses forces résultera vraisemblablement en la continuité de ce que ce mouvement voudrait faire cesser.
La prochaine élection québécoise reportera au pouvoir Jean Charest et les Libéraux, ou possiblement, François Legault. Par défaut d’une bonne stratégie du mouvement souverainiste, tout simplement…
@ Mme Thibodeau
En tout respect, je crois qu’il ne faut pas faire un parallèle entre un « chamaillage » en famille et un débat politique démocratique au sein d’un mouvement ou un parti. De plus Robert Bourassa, rappelez-vous, disait déjà que » 6 mois en politique est une éternité « , il ne serait pas sage de conclure trop hâtivement des évènements politiques récents et actuels prévalant au Québec.
Cordialement, JPG
Mr Gascon.
Robert Bourassa avait raison : 6 mois en politique est une éternité.
Il y a 6 mois, le parti québécois avait le vent dans les voiles.
Des pétitions demandant la démission de Jean Charest pour corruption faisaient les manchettes.
Rappellez-vous que Mario Dumont par un écrit au combat des chefs parlant du pont le Concorde lui a fait gagné ses élections.
Il suffit de peu pour qu’un château s’écroule .
Et durant ce temps, que pensez-vous que François Legault dans son silence peut faire?
Et QS et les libéraux.
Quand on se dissocie d’un parti pour en faire un autre: l’indépendance , d’autres stratégies se construisent en trouvant des failles.
Quand les souris dansent !
Il y en a des chats Mr Gascon.
« On reconnaît la grandeur et la valeur d’une nation à la façon dont celle-ci traite ses animaux de cirque politique ».
Gandhi
On achève bien les chevaux mais si continue à ce rythme, la relève n’est pas prêt de se bousculer aux portes.
Pendant ce temps, là où chat n’a, rat règne.
Monsieur Bousquet aime manipuler les sondages comme J.M. Leger, le maître en la matière aime bien le faire.
Vrai que le PQ a été en avance dans les sondages face a Charest avant que Legault donne signe de vie évidemment. Mais ce que M. Bousquet ne dit pas c’est que le PQ était légèrement en avance devant un Charest dans les câbles et que c’ est le PQ qui trainait Pauline Marois qui elle n’était pas tellement plus populaire que le même Charest qui était au tapis. A ce moment là avec un chef » aimé et désiré » de la population l’avance du PQ aurait été telle que même Legault n’ aurait pas » scoré « » autant dans les intentions de vote. Ce n’est pas Pauline Marois qui a relevé le PQ après le départ d’André Boisclair mais plutôt la débandade de l’ ADQ dans l’opposition et le rendement exécrable du gouvernement Charest. Depuis son arrivé comme chef , Pauline Marois a toujours été et de loin moins populaire que son parti.
Voilà comment on peut faire dire ce que l’ont veut des sondages. J.M. Léger qui mange dans la main de celui qui le nourrit chez Quebecor en sait quelque chose et nos autonomistes-fédéralistes, souverainistes-nationalistes du PQ aussi …of course !
Monsieur Perrier !
Les souverainistes n’ont plus le choix, faut faire le ménage et rebrasser les cartes quitte a former un autre parti et se retrouver avec 20 % ou moins dans les intentions de vote plutôt que de laisser le mouvement entre les mains de ceux et celles qui n’y croient plus et d’en venir à subir le même sort que le Bloc ! Pour ce qui est de Charest je ne suis pas sûr qu’il réussira a se faufiler cette fois-ci !
Bonjour madame Thibaudeau !
Le PQ avait le vent dans les voiles mais ce vent était quelque peu artificiel et l’aventure Legault n’était pas encore commencée !
Il n’a suffit que de sa présence dans les médias et de la non popularité de Pauline Marois pour changer le vent de bord ! Hélas !
Mr Asselin.
Je partage votre avis: le parti québécois avait le vent dans les voiles et le voile de Pauline a pris le bord .
Pauline Marois n’a pas admis de perdre et de voir André Boisclair au pouvoir.
Ce n’est pas la sauveuse Pauline .Son role est de chialer et non de bâtir.
De se plier aux genoux de Labaume sans consulter ses membres .
Pauline Marois n’admettra jamais ses torts mais on s’en souvient et souviendra.
Ce n’était pas non plus l’idée du siècle d’être allé près de Gilles Duceppe aux dernières élections..
Je trouvais sa présence opportuniste !
Pauline ne démissionnera pas : elle ne peut se remettre en question.
C’est son égo avant tout!
Ce que plusieurs comprennent mal, est le fait que les fédéralistes du PLQ, qui sont déçus de leur parti politique, ne vont pas voter facilement pour le PQ séparatiste, même quand le PLQ est dans les câbles. Ils vont choisir normalement un autre parti fédéraliste comme l’ADQ ou le nouveau parti de Legault-Sirois, la CAQ.
Si les chefs du PQ étaient moins critiqués par les séparatistes, ils seraient peut-être plus populaires dans les sondages.
Maintenant, ce serait les critiques de Péladeau et de Québécor et de Léger marketing. Si tous ces proches de la souveraineté sont virés fédéralistes, est-ce que vous vous êtes demandés pourquoi ? La fortune et le pouvoir et les médias seraient tous fédéralistes ? Attachez vos tuques, si vos accusations sont vraies.
Quand Boisclair était à la barre du PQ l’homophobie a pointé le nez. Quand Pauline Marois à pris les rennes du PQ, c’est t’y pas la machisme et la haine des femmes qui prévalent tant chez les hommes et les femmes.
Je pense que si Pauline était Paul, beaucoup de commentaires ne seraient pas les mêmes.
Trop de critiques n’ont aucunes assises objectives. Chialer pour chialer, c’est tout ce qu’on entend.
«Il est plus difficile de prouver à quelqu’un sa bêtise que sa misère.»
[Jean d’Ormesson]
D’accord avec vous M. Drouin, Mme Marois est critiquée pour ce qu’elle fait ou ne fait pas, pour n’importe quoi. Le pire « chiâlage » vient directement de Mme Thibaudeau, juste un peu plus haut, elle écrit : Ce n’était pas non plus l’idée du siècle d’être allé près de Gilles Duceppe aux dernières élections.
Je trouvais sa présence opportuniste ! »
Allô ! C’est M. Duceppe qui a sorti Mme Marois de ses vacances parce qu’il voulait être aidé quand il s’est aperçu, par ses sondages, qu’il allait être battu.
Il y a aussi les envieux : Trop grosse maison, trop grands foulards, mari trop collé sur les entrepreneurs de la haute, ce qui n’est pas comme M. Lévesque, pas riche, mal habillé, fumeur mal peigné qui attachait ses ailes de char avec de la broche piquante….genre.
J’étais de ceux et celles qui appuyaient Boisclair et qui ont votés pour lui. J’ai écrit à plusieurs reprises sur les blogues que les péquisssssstes homophobes ne faisaient pas honneur au parti dont ils étaient membres !
J’ai été syndicaliste pendant plusieurs années et membre de la FTQ. J’ai toujours appuyé le combat des féministes dans la centrale syndicale et j’ai rencontré des femmes merveilleuses et très engagées dans leur lutte pour le respect et l’égalité des chances dans notre société québécoise qui était a l’époque très patriarcale.
Je n’ai absolument rien contre l’argent et ceux et celles qui en possède et j’ai toujours respecté Pauline Marois comme membre importante du PQ et son militantisme pour la cause de la souveraineté.
Ceci étant dit, j’ai fermé ma gueule quand les membres du PQ ont nommés Pauline Marois Je n’ai JAMAIS considéré cette femme comme un personne ayant les attributs d’un chef et surtout chef du PQ, un parti très difficile a mener. Lors des premières sorties la madame je l’ai trouvé très ordinaire et toujours a la remorque des autres chefs comme Deltell et Khadir ! Toujours en retard face aux deux autres quand la situation exigeait une prise de position ferme et claire devant les sparages du gouvernement Charest. Je l’ai trouvé hésitante et sans vraiment la » drive » qui fait le succès des chefs de partis. Et lors de la saga de l’amphithéâtre de Québec mes doutes se sont dissipés, la madame est tellement obsédée par le pouvoir et le rôle de PM dans la Province de Québec qu’elle semble prêt a TOUT pout y parvenir ! Seul Lucien Bouchard aura été aussi carriériste qu’elle dans ce parti.
Alors, lâchez-nous avec vos théories de machos qui n’aiment pas les femmes ! Si Louise Beaudoin aurait été a la place de madame Marois je l’aurais appuyé et je l’appuierais probablement encore. Pauline Marois a été un mauvais choix nonobstant son statut de femme et le PQ risque de couler avec elle, une bonne partie des membres étant trop orgueilleux pour l’admettre et trop aveuglés par le passé de la madame en chef. Ne fait pas partie de la famille qui veut dans ce parti !!!!
Et j’appui madame Thibaudeau et je rajoute que ce fut probablement une grosse erreur de Gilles Duceppe de se coller a madame Marois pendant la dernière campagne électorale étant donné le peu de popularité de la chef du PQ dans la population.
J’appuie les propos brillants et pertinents de Claude Perrier sur le rebrassage des cartes et, tout comme lui, je serais porté à dire, avec prudence et circonspection, que
**«Bêtement, considérant le tout, le mouvement souverainiste me paraît jouer « perdant ».»**
Mais je me méfie des prophéties, surtout des miennes. Il se pourrait aussi qu’après un redéploiement majeur le mouvement souverainiste sorte de cette crise, éventuellement tonifiante, en étant plus fort que jamais. En effet, le mouvement souverainiste ne va jamais disparaître complètement. Alors, attendons et voyons!
Une courte citation de Schopenhauer:
***«Toutefois, en tant que joute de deux esprits, la controverse est souvent bénéfique aux deux parties car elle leur permet de rectifier leurs propres idées et de se faire ainsi de nouvelles opinions.»***
Si je lis les textes de ce blogue et s’il m’arrive d’y participer, c’est que mon esprit a un besoin permanent d’être stimulé et tonifié. C’est parfois irritant mais c’est somme toute plus tonifiant qu’irritant.
JSB
Vous me permettrez de rompre le silence radio que j’avais moi-même proposé à Réjean Asselin, mais pour lui dire que je suis d’accord avec ses propos lorsqu’il dit :
«Les souverainistes n’ont plus le choix, faut faire le ménage et rebrasser les cartes quitte à former un autre parti et se retrouver avec 20 % ou moins dans les intentions de vote plutôt que de laisser le mouvement entre les mains de ceux et celles qui n’y croient plus…»
Même si personnellement, je réaffirme qu’il serait de loin préférable et surtout bien plus «gagnant» de refaire l’unité des souverainistes dans un mouvement non partisan et non dans un parti politique.
Dans un parti comme tel, il vaut mieux avoir 20% d’accordés sur une même idée, que 40% de mélangés qui vont dans toutes les directions et qui ne nous mène finalement nulle part.
«La politique est l’art de l’organisation des opinions.»
Jean-François Lisée
– CM
Permettez-moi, afin de mieux illustrer mon propos, d’ajouter cette perle de Gilles Bousquet que je conserve précieusement dans mes archives, et qui à mon sens, est fort représentative de ce qu’est devenu Parti québécois :
Confession d’un péquiste endurci…
«Je propose une confédération d’États souverains, mais je me contenterais d’une fédération renouvelée ou même, de la fédération actuelle, si tel est le désir majoritaire des Québécois. Faut bien faire avec ce que nous avons et accepter le réalisable..» – Gilles Bousquet
. .
Nous connaissons tous le dicton qui dit qu’on met le chapeau s’il nous fait.
Sans doute que ce que j’ai écrit (13 août 2011, 23:45) ne s’applique pas à tous et toutes. Mais je permets encore de souligner que peu de raisons sérieuses et objectives sont évoquées par plusieurs pour répudier un ou une chef de parti. Quand on dit «Lui (ou elle), c’est plus fort que moi je ne peux pas le (la) sentir», je ne trouve pas là des arguments très forts.
«La poule qui chante le plus haut n’est pas celle qui pond le mieux.»
[Thomas Fuller]
@ C.Montmarquette
Merci pour la « perle » de M.Bousquet,,j’en ri encore
Voilà ce qu’est devenu le PQ depuis 1996: un parti de l’alternance « à l’intendance de la colonie Kwibek », un parti jouant depuis 15 ans une ritournelle nationaliste apaisante à un bouquet de membres scrutant ad nauseam des sondages sur le sort de leur carrière de politicien rond-de-cuir.
Enfin, ce que ce parti commence à réaliser est qu’il se rapproche de plus en plus d’un enterrement de première classe dans les bosquets flétris de l’Histoire.
Déjà 230 commentaires, on lâche pas la gang…
Je crois qu’il est temps que notre hôtesse revienne. Ça tourne en rond.
@Serge Gingras
Ça tourne tellement en rond et dans le vide que j’ai le tournis.
JSB
Ça me fait plaisir de figurer dans les archives de M. Montmarquette avec mon contentement assez grand, ma flexibilité et mon acceptation majoritaire du choix des Québécois pour compenser ceux qui ne sont jamais contentés, les insatisfaits chroniques, les « chialeux » de première, les jamais contents.
Je laisse à M. Montmarquette, les éternelles revendications et les chimères qui les accompagnent. Se trouver dans le groupe de la majorité, de temps en temps, c’est plus reposant.. On ne peut, quand même pas passer sa vie en « mautadit » et frustrés tout le temps sauf si on est maso du genre, consentant.
M. Baribeau, faudrait arrêter de lire quelques jours, ça modère le tournis, principalement, quand il fait beau
Je suis de l’avis de M. Objecteur Conscient, si nous avions arrêté d’écrire à 100, l’intérêt serait tombé carré, en attendant la prochaine intervention de Mme Legault, partie en vacances.
Ceux qui croient que ça tourne en rond, devraient réaliser que ça ne peut pas toujours tourner carré, sauf quand ça tombe « voir premier paragraphe ».
«On ne peut, quand même pas passer sa vie en « mautadit » et frustrés tout le temps sauf si on est maso du genre, consentant. (..) mon contentement assez grand, ma flexibilité et mon acceptation majoritaire» – GB
…Oui, on le sait, ça, que le PQ sait très bien se satisfaire de se qui est…
…on sait aussi, que vous vous accommodez très autant du fédéralisme que de laisser vos concitoyens dans la misère.
Pourquoi ne pas nous accommoder de Charest et de Harper un coup parti ?… Ils sont majoritaires après tout…
Il fût un temps ou les nazis étaient majoritaires en Allemagne.
Un temps ou les esclaves revendiquaient de pas êtres fouettés…Un temps ou les Noirs revendiquaient la justice et la liberté…Un autre ou les femmes revendiquaient le droit de vote…
Un maudit paquet de chimères comme vous dites !
– Alors.. pourquoi chialer ?
– CM
«Solipsistes et Solidaires» :
«Les solipsistes croient que chacun n’est responsable que de lui-même, là où les solidaires croient que nous sommes responsables les uns des autres. – Les solipsistes transforment l’individualisme en égoïsme et appliquent avec beaucoup trop de diligence le principe de la charité bien ordonnée qui commence par soi-même tant et tellement, qu’elle se termine aussi par soi-même.»
– Mathieu Gagnon, QS – Taschereau
.
http://www.pressegauche.org/spip.php?article7839#.TkfMRsA-x3c.facebook
.
À M. Montmarquette qui écrit : «Pourquoi ne pas nous accommoder de Charest et de Harper un coup parti ?… Ils sont majoritaires après tout…»
Quand nous avons élu un parti politique démocratiquement, nous devons nous en accommoder jusqu’aux prochaines élections. Nous ne pouvons pas faire autrement, sauf si nous voulons faire la révolution quand c’est rendu trop grave.
Plusieurs pauvres américains votent pour les Républicains qui favorisent les riches, nous n’y pouvons rien. Ils croient, à tort ou à raison, que les riches, ainsi favorisés, vont pouvoir mieux les aider, après avoir été subventionnés, en créant de nouveaux jobs dans leurs entreprises capitalistes.
Ça vous donne quoi de ne pas vous accommoder des gouvernements de Harper et de Charest ? À part le stress supplémentaire ?
***La perle du souverainisme et du pseudo- socialisme (national-socialisme***
Décidément M. Montmarquette va me décourager, à tout jamais, de voter pour QS, ce qui était mon intention depuis longtemps et ce que j’ai bêtement fait lors des dernières élections.
Les national-socialistes dont le seul souci est de ridiculiser les autres (Gilles Bousquet, par exemple), en s’appuyant sur des nationaleux bornés, ne m’inspirent radicalement pas.
Ou je vais annuler mon vote ou je vais recréer le PPAP! On peut être socialo et connard comme tout, n’est-ce pas, Monsieur le porte-parole de la LANGUE DE BOIS de QS!
J’aime bien Amir Khadir mais son parti est d’un ridicule abyssal.
Malgré mes propos durs, je respecte M. Montmarquette, homme engagé et déterminé.
JSB, socialiste démocratique, libertaire et individualiste et souverainiste épuisé
«Ça vous donne quoi de ne pas vous accommoder des gouvernements de Harper et de Charest ? À part le stress supplémentaire ?» – GB
Monsieur Bousquet,
– Si l’opposition officielle péquiste s’était tenue de bout, avait «chialer» comme du monde en appelant à une mobilisation générale pour la destitution du gouvernement Charest lors des pertes de$ 40 milliards de la Caisse de dépô, ou quand 80% de la population exigeait une enquête publique sur la corruption dans la construction, elle aurait non seulement pu débarquer ce gouvernement de bandits, mais inculquer une nouvelle culture politique.
…Mais bien évidemment…
Ils n’ont rien fait…
…sans doute par crainte de se faire débarquer eux-mêmes un jour, pour leurs propres magouilles…
– CM
Destitution du gouvernement Charest :
« Les organisations politiques, syndicales et populaires doivent initier une mobilisation générale afin de destituer le gouvernement et provoquer de nouvelles élections. »:
http://www.vigile.net/Les-organisations-populaires
.
Mr Bousquet.
Allo ou à l’eau
C »était à Pauline Marois a allumé et encourager Mr Duceppe lors de la campagne électorale.
Alllo qui est chef du parti québécois?
Me semble que de la part de Pauline Marois il lui fallait agir et non attendre l’appel de Gilles Duceppe.De là la nuisance car madame ne donnait pas signe de vie!
ALLOOOOOO
C’est, comme l’écrit Mr Réjean Assselin, être à la remorque .
Le CAA SERA à sa disposition bientôt.
M. Montmarquette, Mme Marois a demandé plus de 100 fois une commission d’enquête sur la construction, de toutes les façons et rien n’est arrivé. Quand nous élisons un gouvernement majoritaire, nous nuisons à son opposition qui n’y peut rien.
Vous en avez de bonnes avec la destitution d’un gouvernement, il n’y a rien pour le destituer dans nos lois à part la révolution. Écrire n’importe quoi, je me demande bien pourquoi j’y réponds.
Mme Thibaudeau, vous commencez par écrire que la présence de Mme Marois auprès de M. Duceppe était opportuniste pour finir par écrire qu’elle se devait d’y être en prenant l’initiative.
Pour critiquer ainsi Mme Marois, est-ce que vous êtes une fédéraliste ? Que proposez-vous à la place ?
Mr Bousquet.
Quand on sait qu’un bateau coule. on porte secours.
Pauline Marois aurait dû se manifester d’elle-même . là on aurait cru en sa sincérité.
Mais non madame s’est faite attendre : c »est de l’indifférence .
Après elle s’est manifestée et est venue quand Gilles Duceppe lui a demandé son appui ; c’est de l’opportuniste .
Mme Tibaudeau, si Mme Marois avait refusé l’invitation de M. Duceppe, c’était de l’indifférence et, comme elle a accepté, c’est de l’opportunisme.
Mme Marois ne pouvait, quand même, pas s’imposer dans la campagne du Bloc, elle prenait un gros risque à la faire, en dernier, sachant que le Bloc était à terre. Les chefs, en général, n’aiment pas trop que d’autres viennent placer de l’hombre sur leurs affaires, sauf s’ils sont en réelle difficulté.
Gilles Bousquet nous dit..
«Marois a demandé plus de 100 fois une commission d’enquête sur la construction, de toutes les façons et rien n’est arrivé. Quand nous élisons un gouvernement majoritaire, nous nuisons à son opposition qui n’y peut rien. – Vous en avez de bonnes avec la destitution d’un gouvernement, il n’y a rien pour le destituer dans nos lois à part la révolution. Écrire n’importe quoi, je me demande bien pourquoi j’y réponds.» – GB
Majoritaire mon œil oui..
Aux dernières élections provinciales du 8 décembre 2008, . Le PLQ de Jean Charest a été élu avec le vote de 23,8 % des électeurs…
Quant à parler de parlotte, Marois a peut-être demander 100 fois, mais n’a fait aucune action réelle.
Oui, la révolution est peut-être ce dont le Québec aurait le plus besoin pour le débarrasser de ses bandits étatisés.
Aux grands mots les grands moyens.
Mais le PQ n’est pas plus capable de se battre contre Charest, qu’il n’est capable de créer les conditions gagnantes pour réaliser l’indépendance.
Pour mettre la cerise sur le sunday…
Ils ont laissé rentrer «Trois fois» un crosseur comme Charest, et ne semblent même plus capables de gagner une élection, et ce, même quand les conditions leur sont favorables.
Finalement..
Le PQ…
C’est un parti d’incapables…
Curzi et les autres ont bien fait de le plaquer.
– CM
.
M. Montmarquette, alors, vous conseillez au PQ de cesser de parler pour agir contre le PLQ Charest. Faire quoi exactement ?
Le PQ aura toujours de la difficulté à se faire élire avec le vote des fédéralistes insatisfaits quand des souverainistes durs de gauche, votent pour Québec solidaire et que les souverainistes mous de droite ou du centre, songent à voter pour la nouvelle CAQ de Messieurs Legault et Sirois…pour faire changement. Le changement pour le changement, C’est rendu que la continuité est un défaut et que ça prend toujours du nouveau, ce qui serait plus…excitant…misère.
Je trouve que les commentaires dans ce blogue construisent plus des murs que des ponts. Et pourtant, à part quelques exceptions, de nombreux commentateurs partagent très souvent de nombreuses valeurs communes.
Depuis quelques jours (le 5 août) j’ai 68 ans et je trouve que de nombreux propos présentés de le blogue de Josée Legault (ycompris parfois les miens) sont hargneux et méprisants.
MY WAY IS THE ONLY WAY: telle serait la pensée de plusieurs commentateurs, souvent brillants et plutôt sympathiques.
Je ne sais pas si je vais continuer à participer au brillant blogue de Josée Legault. Il y a trop de hargne, de rancoeur, de mépris et de refus D’ENTENDRE (vraiment «entendre») les propos des autres.
Merde enfin! Merdre! Nous sommes en démocratie, du moins dans une certaine mesure. Moi, j’aime bien les pamphlets vigoureux et dévastateurs, les textes polémiques et le plaisir du débat. Mais depuis quelques semaines les textes injurieux, parfois minables et méprisants l’emportent sur les textes plus tolérants et plus analytiques.
Grande est ma désespérance!
JSB
M. Bousquet, vos propos sur ce blogue sont le miroir de ce qu’est devenu le PQ depuis 15 ans. Qu’une usine à concocter machinalement des élections qu’il espère gagner qu’à partir du seul principe de l’alternance de l’intendance de la colonie.
Les partis et mouvements politiques en démocratie existent pour faire vaincre les idées de citoyens dévoués entièrement à l’avancement et au progrès du peuple dans tout les aspects de sa vie collective.
Un PQ à l’image de sa députation et ses membres actuels reflète l’antithèse de cette définition. Tant que ce parti ne retrouvera pas la raison première qu’il l’a fait naître et cette passion pour la liberté et la justice sociale qui jadis l’animait, il est voué au dépérissement et à un enterrement de première classe.
La classe politique actuelle au Québec, sauf exception, est d’une nullité exaspérante, et l’intendance coloniale liberal depuis 2003 est une catastrophe.
Il y a urgence que la les générations x, y, et z se ressaisissent politiquement et accomplissent leur devoir de citoyens engagés et responsables. Ce sont ces générations et leur progéniture qui subiront les conséquences désastreuses du laxisme et de l’isolement dans l’individualisme qui semblent chez ces dernières faire actuellement consensus au Québec.
M. Gascon, le PQ est un parti politique et un parti politique existe pour prendre le pouvoir et réaliser son programme électoral. Si un électeur n’aime pas un programme d’un parti, il doit en choisir un autre qui lui convient mieux.
Ça serait aussi au Conseil de la souveraineté, à Cap sur l’indépendance, à la SSJB et aux autres mouvements à prêcher LA bonne nouvelle d’une éventuelle sortie du Canada du Québec.
M. Baribeau, un blogue sert, de temps en temps, à faire sortir le méchant de certains garnements, pompés continuellement, même si certains ne semble pas voir la fin de leur acharnement.
Ne nous quittez pas, ça nous prend des tolérants.
Le principal probleme des générations x,y,et z est l’individualisme et la non responsabilitée citoyenne, et leurs deuxième handicap et non le moindre, leurs manque de connaissance » l’Histoire mondial et surtout l’Histoire du québec » quand on sait pas d’où l’on vient ,on ne sais pas où l’on va. La Mémoire collective d’une Nation » Je me souviens » est le moteur de sa survie. Mon peuple se meure par manque de connaissance et de volonté. Quand la Mémoire collective s’éveillera elle fera place à l’inconscient collectif et le pays du KébeK sera…
Le PQ : «Une pensée circulaire au service de l’électoralisme»
«Il faut qu’un parti soit capable d’articuler le projet souverainiste, de le présenter, de le défendre (…) je sais qu’actuellement il n’y a pas d’autre parti que le Parti québécois qui peut faire ça et, pour y arriver, il faut être au pouvoir.» – Pauline Marois
Il n’est pas nouveau ce tournage en rond et ce petit chantage électoral, qu’il faille d’abord élire le PQ pour «ensuite» avoir le droit d’espérer un de ces jours un référendum…
Ce qui a toujours permis au PQ d’avoir ce qu’il voulait vraiment : «Le pouvoir».
Alors que le peuple, lui, n’aura jamais eu ce qu’il voulait : «L’indépendance».
Le PQ s’est toujours comporté comme s’il avait le monopole de la question nationale alors qu’en plus, il se croisait les bras pour faire avancer la cause.
Heureusement, nous en sommes sortis depuis 1998, nous, de la gauche indépendantiste et de Québec Solidaire.
Il fallait casser cette idée de monopole, afin de libérer la question nationale d’un PQ qui l’avait pratiquement entièrement instrumentalisée à des fins électorales, et qui n’y travaillait même pas entre les élections, et au moment même ou il avait le plus le temps de le faire, c’est à dire, quand il est à l’opposition.
Il est clair comme de l’eau de roche, que la véritable priorité du PQ est le pouvoir et non l’indépendance.
«Indépendance» un mot depuis longtemps mis à l’index et que le PQ et Pauline Marois sont mêmes incapables de prononcer…
Si le PQ était vraiment souverainiste, il ferait beaucoup plus que de nous répéter ad nauseam qu’il «est» souverainiste.
Il y travaillerait tous les jours et sans relâche, afin d’en expliquer les avantages, pour de construire d’ici les prochaines élections générales les appuis stables pour la réaliser.
Et c’est cette inaction même et ce manque chronique de combativité, qui démasque les véritables intentons de ce parti déchu, devenu l’ombre de lui-même, hypocrite, nonchalant, opportuniste et électoraliste.
Or, on le voit bien, le PQ préfère abandonner ce travail élémentaire de base d’information et de mobilisation, au Conseil de la souveraineté et autres mouvements politiques, qui ne disposent que de peu de moyens.
C’est le PQ qui a quitté ses propres positions.
Alors cessons de nous illusionner, et prenons acte de la réalité.
Le mouvement indépendantiste doit se reprendre en main et cesser de s’illusionner.
Le PQ a perdu son leadership de la question nationale, parce qu’il s’est continuellement tue à son sujet et n’a cessé de la reporter.
Christian Montmarquette
QS- Montréal
.
M. Montmarquette écrit : « Alors que le peuple, lui, n’aura jamais eu ce qu’il voulait : «L’indépendance».
Le peuple aura son indépendance quand il la voudra vraiment, solidement et majoritairement, pas avant que le fédéral se montre bête et méchant, suffisamment, ce qui n’est pas le cas actuellement, évidemment.
Monsieur Bousquet, je prends en bonne note vos sages propos. Je me mets en mode ATTENTE, en mode REPOS.
Nous verrons bien ce qu’il advient de ce blogue de grande valeur qui, depuis quelques mois, tend vers une tristounette décadence.
JSB
Le Québec avait réunis dès 1976 une majorité de 71 députés-es autour de la question nationale, et cela n’a pas empêché le PQ de faire dans ses culottes et d’écraser lui-même son propre idéal.
– Que voulez-vous que le peuple fasse, quand ce sont ses premiers leaders eux-mêmes qui se font les fossoyeurs de son idéal.
Je l’ai déjà dit, et je le répète, le PQ est un traitre.
Il est pire que nos adversaires fédéralistes, parce qu’il mobilise les forces indépendantistes dans cette fausse avenue émasculée et dégriffée qu’est ce parti provincialisme qu’est le Parti québécois.
..et maintenant, il faudrait compter sur une bévue du fédéral ?
Cela confirme la faiblesse et l’indolence des combattants , lorsqu’ils doivent espérer que leur victoire repose sur de la bêtise de l’adversaire.
Excusez-là..
Mais, compter sur Harper et le fédéral pour faire l’indépendance, c’est assez minable…
C’est pas pour rien qu’on s’est retrouvé trois fois de suite avec Charest au pouvoir..
Le PQ est complètement nul en stratégie.
À moins qu’il ne soit de la plus totale mauvaise foi.
Ce qui est malheureusement fort possible.
Eh ! ,..que c’est donc intéressant d’avoir une pension à vie de 100,000$ ..après deux mandats à l’Assemblée nationale !
– CM
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Jean -Serge Baribeau !
Alors là !!!!!
Vous songez à quitter ce blogue parce qu’il ne serait plus assez » bien » pour vous !
Et pourtant ! Plus d’une fois sur ce blogue vous avez vous aussi manqué de tact comme nous tous ! Normal quand l’hôte de ce blogue est en vacance et que le sujet du dernier blogue tiens lieu de foire d’empoigne !
Ce n’est pas beau ça de ne voir que la paille dans l’œil de l’autre et pas la poutre dans le sien Monsieur Baribeau !
Jute votre commentaire du 14 août 18 :39 vient nous le confirmer d’ailleurs
M. Montmarquette, le genre à traiter, ceux qui ne pensent pas comme lui, de traîtres et de minables, principalement le PQ, afin d’y gruger des membres pour SON Québec solidaire qui héberge le parti communiste, voudrait que le PQ force les Québécois vers la séparation.
Les Québécois lui ont dit NON au PQ en 1980 à 60 %, lui qui n’avait récolté que 40 % des votes en 1976. Ce n’est pas une majorité ça, M. Montmarquette.
Les pures et dures de la séparation me font fortement réfléchir. Pour beaucoup de ceux-là, la séparation est devenue une fin en soi.
Pour moi, la séparation est un outil. Et comme tout outil, sa pertinence dépend entre autre de quelques facteurs. Est-ce le bon outil pour le but qu’on veut atteindre. J’ai vu des sculptures faites à la scie à chaîne, mais peu de chefs-d’œuvres. Est-ce qu’un outil donné est la façon optimale d’atteindre l’objectif visé. Les gros VU 8 cylindres sont évidemment capable de faire le voyage Mtl-Qc, mais d’autres véhicules le font à un coût tellement plus raisonnable. Dans d’autres circonstances on souhaite se doter d’un bien pour la seule raison qu’on en a été privé, à un moment donné ou l’autre et que maintenant on veut montrer à la galerie, et en particulier à soi-même (mais ici on entre dans un peu plus dans le subconscient …) qu’on a les moyens de se le payer.
Alors, la recherche de la souveraineté au XXIème siècle, en 2011, a-t-elle les mêmes assises qu’en 1976 ou qu’en 1995 ?
La souveraineté est-elle toujours le véhicule le mieux approprié pour nous amener là où on désire aller ? Les citoyens s’accordent-ils vraiment sur la destination-même ? Y a-t-il eu des changements depuis l’époque ?
Les pures et dures qui n’hésitent pas à platement rabrouer ceux et celles qui se posent des questions et qui vivent au XXIème siècle deviennent-ils des ayatollahs ?
«L’intégrisme est une nostalgie du passé qui se prend pour une référence à l’éternel.»
[Etienne Borne]
M. Asselin, M. Baribeau se dit être un souverainiste épuisé, ce qui est compréhensible quand il faut ramer à contre-courant, tout le temps, depuis 50 ans.
Il y en a qui sont tentés de lâcher les rames, principalement quand les autres rameurs tapent sur la tête de leur barreuse, Mme Marois, pour la barrer, à la place de taper sur la tête et tenter de distancer l’autre concurrent, M. Charest et son PLQ dans son navire, qu’il vient de nommer Plan Nord, plein de diamants, de fer, d’uranium et d’or, prétexte pour gagner une autre élection contre les séparatistes séparés.
M. Drouin, de votre clavier sortent des idées sages avec lesquelles je suis d’accord.
Les Québécois, jusqu’à maintenant, s’en tirent assez bien depuis 1960 et encore plus depuis 1976, grâce au PQ qui a favorisé les études et les entreprises où les Québécois francophones étaient presque absents.
Nous sommes passés de porteurs d’eau colonisés unilingues à citoyens à part entière qui se débrouillent en anglais afin d’occuper des postes au Canada et aux États-Unis avec des artistes qui réussissent très bien en France et à Las Vegas. Yesssssssssssss.
Faut tenter continuellement d’améliorer notre sort « une histoire sans fins », ce que nous réussissons très bien. Vive la nation québécoise en marche ! Vive les Québécois optimistes ! Vive nos réussites nationales et internationales ! Et le Paradis à la fin de nos jours, à l’intérieur ou à l’extérieur du Canada !
Ceci pour requinquer ceux qui ont le moral à terre, à cause de nos chicanes.
Monsieur Asselin, avant de faire l’indépendance, apprenez à lire LA LANGUE FRANÇAISE. Je dis, à un moment donné, que j’ai été partie prenante de certains de ces excès.
Est-ce assez clair? Faut-il que je m’autoflagelle?
JSB
Du tollé général ayant cours dans le mouvement souverainiste/indépendantiste provoqué par l’abandon graduel du projet d’indépendance du Québec par les partis politiques, j’adhère à l’idée de la nécessité d’une convocation des États généraux de l’indépendance pouvant être initiée par le Conseil de la souveraineté du Québec.
Les États généraux de l’indépendance permettraient le rassemblement de tous les groupes de souverainistes/indépendantistes sous un même toit avec l’objectif de l’élaboration d’une stratégie commune d’actions nous menant irrémédiablement à la réalisation de l’indépendance du Québec.
Il y a urgence de refaire l’unité des forces souverainistes-indépendantistes. Une coalition oeuvrant en toute cohésion, hors des partis politiques, permettra une remise sur les rails du projet prioritaire qu’est celui du pays Québec.
Ca prend une auto pour s’auto-flageller…
QS n’aimera pas cette idée.
Oui il y a urgence,
mais encore une fois, permettez-moi d’ajouter mon grain de sel à cette opinion indépendantiste…
Les forces fédéralistes ont la fortune d’être relativement unies sur la question du Québec. C’est la réalité actuelle. Les forces indépendantistes sont, au contraire, encore dans l’idéal quant à une association englobante et non-partisanne qui pousserait le projet en avant de façon concrète. Théoriquement, tout est en place, mais la réalité est toute autre. Chaque groupe a ses méthode et ses figures de proue qui se disputent la ligne d’arrivée. Ce n’est pas près de se régler.
Pour les fédéraliste, c’est business as usual. Et c’est tant mieux.
M. Drouin, êtes-vous de ceux et celles qui désirent faire du Québec un pays et qui résistent à sa réalisation parce que certains verraient en l’indépendance une fin plutôt qu’un moyen à une plus grande émancipation du peuple québécois ?
Personnellement, je ne crois pas que la terre arrêtera de tourner advenant l’indépendance du Québec; je crois qu’au Québec elle tournera mieux, en ce sens que nous aurons enlevé le sable dans l’engrenage pour mieux la faire tourner.
Cordialement, JPG
Les musulmans s’auto flagellent en public jusqu’à ce que ça saigne afin d’expier leurs péchés…j’imagine.
Expiation, mot populaire dans la religion catholique. Expier ses péchés et demander pardon à Dieu pour ses mauvaises pensées comme ceux qui souhaitent la mort de son voisin ou de son cousin et pire encore, les pensées impures sexuelles, retenues plus de 10 secondes, ce qui provoquent un péché du genre mortel, suffisant pour précipiter le coupable individu, dans les enfers brûlants, pour l’éternité…minimum.
Après ça, nos curés sont encore étonnés de l’absence de fidèles dans les églises. Vont mourir sans avoir compris.
Vous avez raison M. Bertrand, de nouveau, Québec préfèrerait certainement se flageller à pied à la place d’en auto. Auto, équipement capitaliste, principalement, les autos les automatiques, question de ne pas délaisser la base souffrante, dans l’attente de l’arrivée du socialisme ou du communisme au Québec afin que le bonheur enfin…leur arrive, plus substantiel…par la poste ou le dépôt automatique. Affaire non souhaitée par notre grand Félix Leclerc.
M. Gascon, le sable dans quel engrenage s.v.p. ? Dans la boîte à outils fédérale ? Dans le sable bitumineux ?
Monsieur Drouin !
Je n’ai rien contre les gens qui remettent en question l’option de la souveraineté, nous sommes en démocratie et la liberté d’opinion est sacrée. Par contre, quand une option politique ne correspond plus a nos valeurs et a notre perception de la nation québécoise versus la canadienne la moindre des choses c’est d’arrêter de militer dans un parti politique dont l’article premier est de réaliser ce dont ont ne recherche plus.
Les mêlés, les entre deux chaises et les pas branchés sont tout ce qu’il y’a de plus nocif dans la bonne marche d’une société qui se cherche comme le Québec le fait depuis des décennies !
Le problème au Québec ce n’est pas les fédéralistes versus les indépendantistes mais ceux et celles qui ne sont JAMAIS a la bonne place au bon moment ! Et le problème majeur du PQ est très simple, jadis un parti indépendantiste le PQ est devenu une maison de fous (terme que Lévesque aimait bien utiliser quand il parlait du fédéralisme canadien) ou des non-souverainistes ont pris le contrôle du parti tout en blâmant les souverainistes de quitter le bateau ! Et la madame en chef qui rêve tellement de devenir Première Ministre d’une Province canadienne aura fait de ces disciples de Mario Dumont ses alliés !
Les souverainistes vont se retrouver et s’organiser et peut-importe le niveau d’appui de la population au moins quand nous voterons nous saurons pourquoi nous le faisons et pour quelle projet de société et non pour la victoire personnelle d’une politicienne en manque de pouvoir et voulant réaliser une bonne gouvernance canadienne sous des allures souveraines !
J’ai plus de respect pour un québécois francophone fédéraliste même si je ne partage aucunement son option plutôt que les éternels » branleux dans le manche » dit autonomistes !
SVP Monsieur Baribeau ne me rendez pas coupable de votre auto-flagellation si vous en arrivez là !
Apocalypse now!
La marine et l’armée de l’air canadiennes retrouveraient leur appellation « royale »
http://www.radio-canada.ca/nouvelles/National/2011/08/15/004-ottawa-forces-armees-renommees-marine-aviation-royale.shtml
Ne personnalisez pas le débat Monsieur Bousquet.
C’est «l’organisation» et les décisions du PQ que j’attaque, pas les membres ordinaires ; même s’ils semblent assez naïfs et les premières victimes de ce marché de dupes.
Et oui, l’étapisme, les mises en veilleuses, les conditions gagnantes et l’électoralisme, sont une traitrise en ce qui me concerne. Cela crève les yeux qu’il s’agit de tactiques de report et de démobilisations.
Oui, c’est minable de compter sur une bévue du fédéral, plutôt que d’avoir sa propre stratégie de combat.
Ça fait 45 ans qu’on endure ce PQ s’accaparer de la question nationale pour très généralement ne strictement rien foutre avec.
Je crois que cette sinistre comédie a assez duré.
– CM
.
Cher Monsieur Asselin,
Après y avoir pensé je vous dirai que je préfère la flagellation à l’autoflagellation. Je suis fragile et douillet.
En fait, si je me permets (et si vous me permettez) d’être un tantinet sérieux, je dirai et je répéterai (je l’ai souvent dit) que je suis constamment tiraillé entre le goût de pondre un texte analytique (et calme) et le goût de lancer un texte davantage pugnace, plus pamphlétaire, plus polémique.
L’avantage de ces blogues, c’est que nous pouvons nous engueuler vigoureusement sans conserver des rancoeurs tenaces et indélébiles.
Néanmoins je trouve que quand «nous» (tous) abordons la question de la souveraineté, nous devenons (tous) émotifs et parfois insultants et blessants. Sans vouloir être trop quétaine, je dirai que la majorité des participants à ce blogue cherchent, en gros, le même «port». Mais il y a de profonds désaccords en ce qui concerne les routes et les moyens pour y arriver.
Respectueusement (très sincèrement)!
JSB
M. Asselin écrit : « J’ai plus de respect pour un québécois francophone fédéraliste même si je ne partage aucunement son option plutôt que les éternels » branleux dans le manche » dit autonomistes ! »
Donc, vous aimez mieux les têtes de cochons qui ne changent jamais d’opinions, pas du genre des Lévesque, P.M. Johnson, Bouchard, Bachand, des branleux dans le manche ? Si vous êtes souverainiste, ça vous prend des branleux, qui ne sont pas teints fédéralistes, pour voter OUI au prochain référendum sur un genre de souveraineté pour le Québec. Vous ne les gagnerez pas facilement en les insultant.
À la place de traiter des Québécois de branleux dans le manche, vous pourriez les considérer comme des Québécois flexibles, prêts à évoluer, à se laisser convaincre des bienfaits de la séparation, de la sortie du Canada du Québec.
Les insultes, dans toutes situations, éloignent les insultés du but recherché par l’insulteur, pas difficile à comprendre…me semble.
M. Montmarquette écrit : « C’est «l’organisation» et les décisions du PQ que j’attaque, pas les membres ordinaires »
Les personnes qui organisent et décident au PQ, viennent directement des membres ordinaires. Il est trop facile d’écrire que vous n’insultez que l’organisation du PQ, pas la base. Ça me fait penser à celui qui disait : Je n’attaque pas cette personne, seulement ce qu’elle dit.
M. Montmarquette écrit encore : «Ça fait 45 ans qu’on endure ce PQ s’accaparer de la question nationale pour très généralement ne strictement rien foutre avec. »
C’est vrai qu’il a perdu 2 référendums mais il a fini de sortir les Québécois de la situation de nègres-blancs vers un statut égalitaire avec un Québec inc. et une classe moyenne francophone, bien solide. Nous avons maintenant les mêmes chances « accès à l’instruction universitaire et bons emplois bien rémunérés » que les autres Canadiens.
Merci au PQ.
Mais Monsieur Bousquet ! Vous faite encore dans la démagogie !
Je ne traite pas tout les québécois de branleux mais bel et bien ceux et celles qu’ils le sont ! Au Québec y’a des gens qui ne s’intéressent aucunement a la politique ! Par contre les indécis et les branleux qui militent dans des partis contraire a leurs allégeances et qui tentent de ridiculiser les membres qui militent dans ce parti pour les vraies raisons me font suer.
Monsieur Bousquet ! Vous êtes membres du PQ, un parti souverainiste et tout vos commentaires sur ce blogue nous prouve hors de tout doute que le projet souverainiste ne vous intéresse aucunement et vous vous permettez de porter des jugements sévères sur des souverainistes d’un parti souverainiste comme le PQ qui ont quitté le navire !
Mon argument est fort simple et probablement trop pour les autonomistes /fédéralistes /nationalistes dont le mot d’ordre semble être » pourquoi faire simple quand on peut faire compliquer » !
Je dis simplement, les fédéralistes avec les fédéralistes, les souverainistes avec les souverainistes et les entre les deux avec les entre les deux et nos vaches seront bien gardées !
Je n’ai jamais écrit que vous pensez que tous les québécois sont branleux. Relisez un peu.
Je prends un petit congé. On tourne en rond et on ne veut rien entendre d’autre que ce qu’on dit.
Dialogue de sourds. VIVEMENT UN AUTRE SUJET ! Changeons d’air et de refrain …
«Les esprits d’élite discutent des idées. Les esprits moyens discutent des événements. Les esprits médiocres discutent des personnes» [Jules Romains]
Je viens de lire dans le Journal de Montréal que M. Gilles Duceppe devient chroniqueur, tous les jeudis matin, où ? À la Première chaîne de…Radio-Canada…Radio-Cadenas de M. Falardeau.
Petit scandale en vue ici, même si un bon job au fédéral, dans une société d’état subventionnée par Ottawa, pendant que le Québec est encore dans le Canada, c’est diguidou en arrondissant la pension de chef du Bloc qui a contribué à améliorer la place du Québec dans le Canada.
P.s. M. Drouin, ne prenez pas une trop longue vacance de VOIR, les grosses nouvelles arrivent.
Messieurs Drouin et Bousquet, permettez-moi de vous dire (en radotant un peu) qu’il y a des moments où il importe d’arrêter de construire des murs (comme à Berlin ou comme en Palestine). Il faut aussi développer l’expertise qui consiste à ériger des ponts, lesquels nous rapprochent plus que les murs.
JSB, plus fatigué que jamais
Oui M. Baribeau, comme M. Duceppe, qui construit des ponts avec le fédéral, directement au parlement ou maintenant, via Radio-Canada, construisons des ponts, premièrement, entre souverainistes et fédéralistes francophones durs, mous ou hésitants « les tièdes » et même, avec les anglophones qui continuent de demeure au Québec malgré la menace séparatissss.
Des ponts aussi et rapidement, pendant qu’il est encore temps, avec nos Premières nations, les premiers habitants du Québec, en valorisant leur culture, comme nous souhaitons que le Canada valorise la nôtre, sauf pour les langues indiennes qu’ils peuvent bien conserver mais qu’il nous serait inutile d’apprendre à cause de son peu de diffusion et d’utilité.
A Mr Bousquet.
Gilles Duceppe, homme articulé et bon en analyse devient chroniquer pour radio -canada .Pis après .
Mario Dumont qui n’est pas du même calibre travaille pour V
Je trouve votre jugement erroné en parlant que Gilles Duceppe veut arondir sa fin de mois.
Je ne sais si vous écoutez André Arthur.
Personnellement des Bernard Derome des Bernard Drainville et autres sont de bons commentateurs.
Dans le club des ex avec Simon Durivage chaque commentateur a ses allégeances politiques y compris pour le parti québécois.Vous cherchez des bibittes .
Je comprends que des blogueurs veulent prendre une pause .
Vous allez sûrement commenter mon écrit mais vous ne valez pas la peine que je vous réponde.
Aux lecteurs de cet intéressant blogue, qui interviennent peu souvent, comme nos commentaires commencent à être au bout de leur rouleau, vos réactions écrites seraient appréciées pour relancer l’affaire, en cet été, pendant les vacances de Mme Legault.
M. Duceppe va certainement être excellent à Radio-Canada, pour aider ce poste voué à l’unité canadienne.
Alternative offerte de M. Duceppe : Profiter de sa pension à vie de 140 000 $ de député et chef du Bloc, pour promouvoir la souveraineté du Québec…bénévolement, s’il y croît tellement.
Je comprends mal ceux qui critique l’abondance des commentaires, surtout s’ils estiment que c’est du tournage en rond.
Rien ne les oblige à revenir sur le même blogue, et encore moins à les lire.
Par contre, pour ceux qui désirent continuer d’approfondir le sujet, je suggère cet article du Devoir de ce matin :
«Le Parlement du Québec adopterait une loi constitutionnelle établissant la primauté de la Constitution du Québec «librement décidée» sur celle du Canada «arbitrairement imposée». «C’est l’idée de faire prêter ensuite serment d’allégeance à la Constitution du Québec aux juges et à tous les serviteurs de l’État.» – Marco Bélair-Cirino
« Le PQ «fait le vide autour de lui» | Le Devoir :
http://www.ledevoir.com/politique/quebec/329440/le-pq-fait-le-vide-autour-de-lui
.
– CM
M. Montmarquette, comme dénigreur du PQ, vous n’avez pas votre pareil. Félicitations pour votre acharnement qui devrait aider grandement à Québec solidaire ! Beau travail qui devrait aussi bénéficier à M. Charest. À suivre.
Mon grain de sel par rapport au PQ et Duceppe…
Pauline a déjà claqué la porte de ce parti, autrefois… La soupe devient de plus en chaude, le chaudron bout maintenant…
Elle ne sera jamais première ministre. Moi je pense que Duceppe va faire un retour: Il va devenir chef du PQ. Il n’aura pas le choix.
M. Bertrand, M. Bertrand, quand Mme Marois a quitté le PQ, elle n’est pas allée offrir ses services à la très fédéraliste Radio-Canada, elle.
M. Duceppe vient juste de se faire écraser lourdement par un groupe d’inconnus du NPD qui n’ont même pas été obligés de dépenser pour gagner et vous pensez qu’il ferait mieux au provincial ? Ayoye !.
M. Duceppe risque d’être bien plus heureux à Radio-Canada.
Je ne m’acharnerait pas tant sur le PQ ,s’il s’était vraiment battu pour l’indépendance, plutôt que constamment ne se battre pour lui-même, et s’il ne s’était pas d’abord, tout comme vous, acharné sur les plus pauvres de notre société.
L’indépendance sans la gauche est impossible.
Et le PQ n’a que ce qu’il mérite.
Voici qui endosse un peu ma proposition envoyée plus haut sur ce blogue :
«Pour dépasser le morcellement des forces indépendantistes, construire un nouveau mouvement citoyen pour un Québec indépendant»
– C’est le Parti québécois qui a rompu avec le mouvement indépendantiste
http://www.pressegauche.org/spip.php?article7880
.
.
L’axiome du PQ :
«En adoptant la position à l’effet que : «L’indépendance passe par l’élection préalable du Parti québécois. Le PQ a clairement démontré que sa véritable priorité est le pouvoir et non l’indépendance du Québec» – CM
.
La démocratie défrise beaucoup certains adeptes de l’unité canadienne et de la pensée unique.
Il me souvient que lorsque le Boc est devenu l’opposition officielle, Preston Maning exigeait que l’on change les règles du jeu afin d’empêcher un parti séparatiste d’être l’opposition offielle de Sa Majesté. Il a fini par se calmer en constatant que l’on peut être pro Québec sans être anticanadien.
Je suis très curieux d’entendre M. Duceppe sur les ondes de Radio-Canada. C’est un sacré bon coup d’Ottawa. Ou bien M. Duceppe pourra s’exprimer librement et faire la preuve qu’il reste suffisament de démocratie au Canada pour ce faire, ou bien M. Duceppe va faire la preuve que la démocratie est un vain mot en étant expulsé de Radio-Canada pour propos intempérés. Comme on a fait au membre des Zapartistes qui < < était allé trop loin >>.
A suivre.
L’automne s’annonce très chaud politiquement au Québec; il reste à espérer qu’une très large majorité d’individus de toutes les générations relèvent le défi des responsabilités qui incombe à tous(tes) les citoyens(nes) du pays réel; cette responsabilité première de libérer le peuple québécois une fois pour toutes de ses peurs viscérales du seul changement possible pour son mieux-être, autant que faire se peut, celui de son affranchissement de toutes les sujétions.
@Christian Montmarquette
Vous avez écrit:
***«Je comprends mal ceux qui critique (SIC) l’abondance des commentaires, surtout s’ils estiment que c’est du tournage en rond.
Rien ne les oblige à revenir sur le même blogue, et encore moins à les lire.»***
Nous sommes plusieurs «commentateurs» qui, depuis assez longtemps, aiment bien venir échanger et débattre dans le blogue de Josée Legault et vous n’allez pas, en bon «stalinien» (j’exagère volontairement), nous en chasser. Si un jour Josée Legault me demandait d’arrêter d’emmerder mes contemporains, je la saluerais et je me retirerais.
Vous avez raison, Montmarquette, sur un point: il est vrai que rien ne m’oblige à tout lire ou à lire ce qui ne me sied pas du tout. Il y a des textes que je ne lis pas, je les parcours rapidement. Et ce n’est pas vindicatif ou revenchard. C’est que j’ai l’impression de lire ce que j’ai déjà lu cent fois. Et je suis certain que d’aucuns et d’aucunes ont la même réaction en lisant mes bavardages et caquetages. En moi sommeille aussi un vieux «radoteux».
Aussi, il y a une vieille théorie en sciences politiques (Mme Legault me reprendra si je déconne) qui dit que le problème de la plupart des partis politiques occidentaux, c’est qu’ils existent d’abord et avant tout pour permettre la réalisation de certains rêves, de certaines idées, de certains objectifs, parfois subjectifs et déterminants .
Mais tous les partis politiques, ou presque, finissent peu à peu, sans trop s’en rendre compte, par devenir des machines axées sur la conquête du pouvoir. Et les idéaux, peu à peu, déguerpissent pour céder la place au bon vieux pragmatisme «réaliste». LE POUVOIR, C’EST UNE DROGE PUISSANTE!
Je pense que le PQ a joué un rôle de premier plan et très positif entre 1976 et 1981-1982 (tous comme les libéraux entre 1960 et 1966). Mais le parti des grandes espérances a peu à peu sombré dans l’obsession du pouvoir et dans l’oubli de certaines idées essentielles, généreuses et tonifiantes.
En dépit de mes occasionnelles sautes d’humeur et de certains doutes qui ne cessent de me hanter, je vais probablement (probalité: 90%) voter pour Québec solidaire lors de la prochaine élection provinciale. Je suis de ceux (et celles) que la «victoire» québécoise du NPD a profondément réjouis.
Je ne sais pas, M. Montmarquette, si vous avez visionné le documentaire présenté hier soir (15 août) sur Michel Chartrand. Cet homme a été un combattant pugnace et tenace.
Et si vous me permettez une anecdote, sans trop de prétention, je l’espère, je rappellerai qu’à la fin des années 60 et au début des années 70, l’imprimerie de Michel était à deux minutes de marche de chez moi, à Longueuil. Et nous étions trois à avoir refondé une revue appelée ANTENNES (avant cela, c’était un journal fondé par Pierre Vallières).
Et ce diable d’homme, appelé Chartrand (ce vieux «malcommode»), nous permettait d’imprimer notre revue (300 exemplaires) pendant la nuit. Cette revue nous a d’ailleurs causé des ennuis majeurs en octobre 1970.
Si je termine et si j’arrête d’ennuyer mes concitoyens et M. Montmarquette, je dirai que j’aime les débats et confrontations. J’aime la polémique, les pamphlets et les «brûlots») Mais quand le tout devient trop personnalisé, comme l’a si bien saisi Claude Perrier, alors là le débat devient rapetissé et stérile.
AU PLAISIR (peut-être)!
JSB, socialiste libertaire, démocratique et «individualiste» (dans un certain sens). AUSSI: souverainiste éreinté et flagada.
P.-S. J’aurais aimé vivre dans un pays qu’on aurait appelé LE QUÉBEC ou LA LAURENTIE (vieille référence) mais je vais passer l’arme à gauche (sûrement pas à droite) avant que cela se réalise, si jamais cela se réalise.
JSB
M. Montmarquette, l’indépendance passerait probablement par l’élection du PLQ Charest.
Au sujet de M. Duceppe, il va probablement faire comme M. Foglia à La Presse : Parler peu de séparation du Québec et plus de sport et autres affaires qui ne peuvent pas trop heurter la direction du média en question, afin de ne pas se faire remercier trop rapidement de ses services, dans le sens de…prendre la porte.
M. Gascon, les souverainistes ont peur de rester dans le Canada comme il est là et les fédéralistes ont peur que les souverainistes réussissent à sortir le Canada du Québec. .À chacun ses peurs.
Pour ceux et celles qui apprécieraient un élargissement du débat…
Un Québec qui disposerait d’un revenu de base, serait plus libre même dans la fédération canadienne :
«Dans les débats sur le Revenu de base, il s’agit tout d’abord de rompre avec le vieux schémas de pensée ; avec cette idéologie par exemple, que seul celui qui a ou qui cherche un emploi a le droit de manger. Il faut en finir avec cette idée fausse selon laquelle seul le travail rémunéré constitue une contribution méritoire à la société»
– À 16 min du début de la vidéo :
Le Revenu de Base | Film version Française :
http://www.youtube.com/watch?v=-cwdVDcm-Z0&feature=player_embedded
.
Je n’ai assurément pas manqué ce documentaire de 85 minutes de Manuel Foglia Monsieur Baribeau.- Étant moi-même un grand fan de Michel Chartrand, que l’on décrit dans ce film comme «anarco-syndicaliste».
Une chose est certaine, Chartrand n’avait pas froid aux yeux et ce courage lui venait sans doute en partie de son affection profonde pour les hommes disait-il.
Je dois ma propre implication en grande partie à Michel Chartrand, qui continue d’inspirer tous les jours mon action politique.
Lorsque je lui avait demandé un jour de devenir chef du Rassemblement pour une alternative politique (Le RAP) , il m’avait répondu à haute voix devant la salle remplie à pleine capacité de l’École secondaire Gérard-Fillion à Longueuil :
– Fais-lé !
– Toué !!
Je n’ai jamais oublié cette interpellation et cette responsabilisation citoyenne dans un pur esprit républicain.
Et depuis cette assemblée mémorable sur le «Revenu de citoyenneté» de l’hiver 1998, je n’ai jamais interrompu cette implication.
– CM
Extrait disponible :
«Chartrand le malcommode» – Le film :
http://www.lemalcommode.com/
.
M. Baribeau, je suis, en général d’accord avec votre dernier commentaire sauf quand vous écrivez : « les partis politiques, ou presque, finissent peu à peu, sans trop s’en rendre compte, par devenir des machines axées sur la conquête du pouvoir »
Les partis politiques sont axés sur la conquête du pouvoir dès leur premier jour d’existence. C’est le but ultime d’un parti politique : Prendre le pouvoir pour réaliser ses promesses électorales.
Les mouvements souverainistes devraient prendre la responsabilité de la promotion de la séparation « la sortie du Canada du Québec » en plus du PQ qui est occupé à gagner des élections et à gouverner le Québec, quand il a gagné, en plus d’avoir à préparer un référendum.
«Les partis politiques sont axés sur la conquête du pouvoir dès leur premier jour d’existence.» – GB
Je m’inscris en faux sur ces propos de Gilles Bousquet.
S’il avait fallu que la gauche soit tant assoiffée de pouvoir, il y aurait longtemps que nous aurions débarqué de la joute, avec un seul député d’élu depuis 1998 que nous y militons pratiquement tous comme bénévoles.
Le travail essentiel de la gauche n’est pas tant électoral que politique.
Mais, je comprends qu’il soit fort difficile pour certains «intéressés» et obsédés du pouvoir, qu’ils puissent même imaginer qu’il en soit autrement.
– CM
.;
J’ai vu, avec plaisir, hier soir, à la télé de Télé-Québec, le documentaire : Chartrand, le malcommode. J’ai retenu que M. Chartrand possède beaucoup de charisme, qu’il est un véritable artiste qui a déjà été remercié « sacré dehors » par la CSN qui le trouvait trop…extrémiste et qu’il a déclaré que les boss sont tous des voleurs, pas seulement une majorité…tous.
M. Chartrand a passé la grande partie du film à manger et à boire, même quand il était très diminué par la maladie. J’ai noté que plusieurs des compagnies où il, a tenu de sévères grèves sont aujourd’hui…fermées. Se voulait un protecteur du travailleur contre les accidents de travail, ce qu’il a réussi de mieux à part sa famille. Une forte volonté sur 2 pattes.
M. Montmarquette, la gauche apprécie les bénévoles parce que la gauche est pauvre et elle n’a pas pris le pouvoir encore parce qu’elle manque de votes, pas parce que le pouvoir ne l’intéresse pas.
Il y a une exception, le PQ, supporté par les syndicats, les syndicalistes et ceux qui veulent un pays, le pays du Québec, ce qui aide les collectes d’argent..
M. Montmarquette écrit : «Un Québec qui disposerait d’un revenu de base, serait plus libre même dans la fédération canadienne »
Ça serait combien, un revenu de base aujourd’hui, selon vous ? Il y en a un à 65 ans d’environ 14 000 $ par année, pour un Canadien sans autres revenus que sa pension fédérale.
Monsieur Bousquet, vous avez largement raison lorsque vous écrivez:
***«Les partis politiques sont axés sur la conquête du pouvoir dès leur premier jour d’existence. C’est le but ultime d’un parti politique : Prendre le pouvoir pour réaliser ses promesses électorales.»***
Mais je bémoliserais le tout. Au cours des premières années de leur existence, les partis politiques, très souvent, restent «idéalistes» et déterminés à appliquer, en grande partie, leur programme et à concrétiser leurs rêves.
Lorsque le PQ a pris le pouvoir en 1976 (Lévesque était étonné) ils avaient pris les moyens requis pour devenir une machine apte à prendre le pouvoir. Mais lors du premier mandat (1976-1981) les péquistes ont largement conservé leur «idéalisme» et ils ont quand même changé, de manière substantielle, la physionomie sociale et politique du Québec.
Entre 1960 et 1966, les libéraux, avec Lesage, Lévesque, Gérin-Lajoie, Lapalme, Kierans et de nombreux autres, ont eu aussi été des pionniers qui ont entraîné de nombreuses modifications, essentielles pour permettre la «déconstipation» de la société québécoise.
Mais le temps passant, tous ces partis finissent par oublier le POURQUOI de leur existence et à faire une fixation sur COMMENT il faut s’y prendre pour obtenir ou conserver le pouvoir.
AU PLAISIR, Monsieur Bousquet!
JSB
Bizarre quand même les coïncidences !
Vous parlez de Michel Chartrand et depuis la semaine passé je relis avec plaisir » Les dires d’un homme de parole » chez Lanctôt .
Chartrand a été un homme important au Québec et son apport dépasse largement l’éternel débat gauche/droite. Bien sûr il était de gauche mais il fait partie des gens qui nous ont appris à se tenir debout, a se faire respecter et a de ne pas avoir peur de faire face aux hiérarchies dominantes ! Les Maurice Richard , Felix Leclerc , René Lévesque , Michel Chartrand , Pierre Bourgaut , Pierre Farlardeau et plusieurs autres auront été des phares pour notre peuple . Une chance qu’ils ne voient pas dans quelle situation les québécois ont mis le Québec et le peu de fierté que ce peuple démontre depuis quelques décennies !
Olivar Asselin doit se retourner dans sa tombe !
Demander aux jeunes ( et moins jeunes ) québécois ce qu’ils pensent de Michel Chartrand et ils vous diront !
» De quossé ? Qui ? «
Nous sommes presque d’accord, M. Baribeau, l’idéal de M. Lévesque en 1980 et celui de M. Parizeau en 1995, se sont brisés sur des référendums perdus, la souveraineté-association et la souveraineté-partenariat. Ces 2 gouvernements ont fini par ne plus savoir trop quoi faire après ces défaites importantes de leurs options.
Dans le cas de M. Bourassa, c’était l’économie et la Baie James, celui de Charest, l’économie et la ré ingénierie et maintenant, l’économie et son Plan Nord.
Mme Marois table sur une constitution et une citoyenneté québécoise, renforcir la loi 101 et la récupération de pouvoirs d’Ottawa pendant une gouvernance souverainiste avec, peut-être l’indépendance énergétique électrique qui pourrait être placé de l’avant.
Ce n’est pas tellement le parti qui vieillit mais le chef à son deuxième ou troisième mandat qui est rendu à bout de souffle, à moins d’être un Duplessis ou un Charest.
.
Une réunion de Séparatistes.
Cela me fait penser à cette bonne blague d’anarchistes qui devaient se réunir et discuter d’un programme commun. Le réunion n’a jamais pu aboutir car l’anarchie régnait en maître. 🙂
Encore une foi, je nous souhaite bonne chance. On en a bien besoin.
L’Enfer est pavé de bonnes intentions. Ce n’est pas ce qui manquent au Québec. Que fait on de la coordination, de la rencontre des grands esprits. Sont-ils tous disparus avec l’arrivée des Bébéboumeurs. Plus de cours classique, plus de grands esprits? Je ne le crois pas.
Peut on blâmer le matérialisme? Le confort? La vieille génération avait connu la Crise et son cortège de misère. Elle en avait vu d’autres. Les générations qui ont suivi ont été élevées dans la ouate. La misère leur fait peur, avec raison, évidemment. Mais lorsque l’on a été vacciné on craint moins ce que l’on a connu et traversé. Je crois que le mal se situe en parti là.
Tout n’est pas perdu, mais chaque jour qui passe rend le rève moins réalisable.
Ce n’est pas M. Duceppe, aussi aimé soit-il, qui va changer quelques chose, même s’il remplaçait Mme Marois. Un Messie a besoin de disciples. Dans le cas qui nous occupe il en faudrait des millions, cinq plus précisément, adultes avec droit de vote.
Ça prend une vague, un raz-de-marée, pas un seul homme qui ferait des miracles. Un mouvement de masses. Voilà ce qu’il nous faut.
C’est la grâce que je nous souhaite de tout coeur. 🙂
Suite : La simple souveraineté du Québec ne peut pas faire partie des promesses du PQ aussi longtemps que les fédéralistes seront majoritaires solidement et qu’une nouvelle idée plus rassembleuse de d’association ou d’union canadienne, ne sera pas trouvée ou que le fédéral ne se sera pas enfargé solide au Québec, envers les Québécois francophones.
Les pressés de la souveraineté risquent de faire dérailler l’idée parce qu’ils souhaitent la simple séparation, ce qui n’est pas acheté par les Québécois en assez grand nombre. 86,6 % souhaitent un genre d’Union canadienne.
«Peut on blâmer le matérialisme? Le confort? La vieille génération avait connu la Crise et son cortège de misère.»
– Serge Gingras
LA CASHOCRATIE
De mon point de vue, Monsieur Gigras, voilà ce qui arrive quand l’argent tient lieu et place de toutes les autres valeurs.
Nous ne sommes plus dans une théocratie…
Mais dans une cashocratie.
Adoration du Veau d’or disait la Bible..
Culte du matérialisme vulgaire comme dirait Michel Onfray.
«Le capitalisme est amoral, asocial et apatride. C’est la maximisation des profits dans le minimum de temps»
– Michel Chartrand
– CM
.
Quant aux redites…
http://www.youtube.com/watch?v=o1Ro8kHS6Lg&feature=related
Bonne blague M. Gingras, une réunion d’anarchistes qui se termine dans l’anarchie..quel succès ! »
Trêve musicale d’un hymne national par Muriel Millard
http://www.youtube.com/watch?v=_RppKQMWuQs&feature=related
M. Montmarquette, vaut mieux la cashocratie, du cash dans les poches de notre actuelle classe moyenne scolarisée, que la misérocratie, la misère noire de nos grands-pères sur leurs terres de subsistance.
Comme le disait Deschamps, avec raison : Vaut mieux être riche et en santé que pauvre et malade.
@Serge Gingras
BRAVO! Il y a en vous un grand anarchiste qui cohabite avec un brillant pataphysicien.
Recevez mes pataphysiciennes et «oulipiennes» félicitations!
JSB
De M. René Lévesque, en avril 1978
Ni statu quo ni rupture, pour une vraie confédération par Tiré du livre : René Lévesque OUI aux Éditions de l’Homme, chapitre 6 Ni statu quo ni rupture, édité pour le référendum de 1980 : D’un dépliant de l’Assemblée nationale du Québec pour le comté de Taillon :
Dans le domaine constitutionnel, qui est la clé de tous les autres, nous sommes tranquillement en marche, aussi, vers l’accomplissement de notre vocation en tant que peuple et communauté nationale.
Entre le vieux statu quo dépendant et antiproductif du fédéralisme dans lequel on nous enferme encore, et le plongeon dans l’indépendance qui exclurait d’office tout dialogue et romprait tous les ponts, la thèse du gouvernement québécois constitue la vraie et la seule troisième voie : La négociation, à la place de la constitution actuelle, d’une vraie confédération, c’est-à-dire d’une association entre deux États souverains. À cette nouvelle entente, qui s’inscrirait dans la continuité logique de notre histoire, les parties ne pourraient que trouver leur compte.
Finalement le problème est simple : aussi loin de la peur trop coutumière que du radicalisme utopique, nous avons désormais les moyens, tous ensemble, de pouvoir ce que nous voulons.
«Vaut mieux la cashocratie, du cash dans les poches de notre actuelle classe moyenne scolarisée, que la misérocratie, la misère noire de nos grands-pères sur leurs terres de subsistance.» – GB
Il ne faut vraiment pas avoir peur d’avoir l’air fou, pour protester sans cesse comme Gilles Bousquet d’une augmentation du revenu des plus pauvres, tout en s’apitoyant du même souffle sur la misère de nos ancêtres.
«Ça serait combien, un revenu de base aujourd’hui, selon vous ? » – GB
Pas le revenu de misère noire de 6000$ par année de l’aide sociale, qui ne sert qu’à faire souffrir et à mépriser la race humaine, en les maintenant dans leur pauvreté et en ne leur fournissant même pas les moyens de s’en sortir en tous cas.
D’ailleurs, si le sujet vous intéresse vraiment…
– Pourquoi ne vous informez-vous pas par vous même, vous qui êtes régulièrement sur Internet ?
Vous instruire d’un minimum de la situation vous permettrait de cesser de dire des niaiseries et de propager vos préjugés.
Michel Chartrand :
http://www.youtube.com/watch?v=AUd0SnuCyIw&feature=share
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Un bas revenu peut aussi inciter des Québécois valides à se trouver un emploi. Le taux de chômage est bas pendant que nous importons de la main-d’oeuvre de l’Amérique latine.
Je comprends que des gauchistes comme Messieurs Chartrand, Falardeau et vous, trop frustrés par le capitalisme qu’ils voudraient voir à genoux, se défoulent en insultant leurs compatriotes qui ne pensent pas comme eux, comme vous venez de le faire à mon endroit en prenant mes propos pour des niaiseries, ce que je ne vais pas faire à votre endroit. Vous pouvez pas être poli de temps en temps…un peu ?
Voici un petit karaoké nationaliste et entraînant pour calmer les agressifs : http://www.youtube.com/watch?v=DV0T-8b5Bo4
«Un bas revenu peut aussi inciter des Québécois valides à se trouver un emploi.» – GB
Le fouet stimulait aussi les esclaves, même s’ils en mourraient régulièrement…
Si vous croyez que l’ostracisation, l’atteinte à la dignité, l’isolement, l’insécurité chronique, l’anxiété, la maladie, l’humiliation, la dépression et la famine aident une personne à retourner sur le marché du travail…Alors je crois qu’effectivement vous poursuivez dans vos mêmes niaiseries et votre même ignorance, et que vous auriez vachement intérêt à vous instruire pour cesser de diffuser vos inepties.
– CM
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D’ailleurs,
…parlant d’agressivité…
Je crois que d’appuyer de la sorte et sans vergogne, le maintient des pauvres dans une telle indigence, est bien l’une des pires formes de violence économique et d’agressivité hypocrites.
«La meilleure façon de tuer un homme, c’est de le laisser crever dans sa misère et son désespoir.»
Et celle-là, n’est pas une bêtise vieillotte et déconnectée de Félix.
– CM
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Parlant des bienfaits du capitalisme et de retour à l’emploi…
«Tous les investissement dans les nouveaux postes de travail sont en même temps des mesures de «rationalisations». On y développe des méthodes pour économiser des emplois.
– Jamais un patron ne vous demandera : «Comment puis-je faire pour créer plus de travail ? » – La tâche de l’économie est de satisfaire des besoins, pas de créer du travail.»
Source :
Le Revenu de Base :
http://www.youtube.com/watch?v=-cwdVDcm-Z0&feature=player_embedded
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Monsieur Bousquet, je saisis mal la «sortie» hargneuse, acariâtre, courroucée et simplificatrice que vous nous «garrochez» comme ça dans le but d’insulter les maudits «gauchistes».
Je suis une personne résolument de gauche et, j’ose l’espérer, «progressiste» (si ce mot a encore un sens). Je comprends que vous vous sentiez vexé après le débat rude et parfois rustaud qui a entraîné dans son sillage plus de 300 commentaires. Je comprends que l’insulte, l’irrespect et l’impolitesse ont souvent été au rendez-vous dans nos écritures respectives. Je me sens moi aussi un peu responsable (ou coupable) d’une certaine stérilité qui a fini par prévaloir dans ce débat, rendu inutile puisque chacun connaît maintenant très bien les positions défendues par les autres.
Monsieur Bousquet, vous avez abandonné le débat sur la souveraineté pour subitement vous attaquer aux positions «sociales» défendues par les «débatteurs». Je ne pense pas que tous les souverainistes qui interviennent dans ce blogue aient les mêmes positions sociales si on les situe dans la vieille logique gauche-centre-droite.
Monsieur Bousquet, vous indiquez que des individus comme MICHEL CHARTRAND ne sont pas votre «tasse de thé» (vieil anglicisme). C’est votre droit indiscutable et respectable.
Mais vous m’avez quand même amené à vouloir raconter, sans trop radoter, je l’espère, une intéressante et «drolatique» anecdote concernant ce vieux malcommode appelé MICHEL CHARTRAND (quand il le voulait, il pouvait être le roi des «emmerdeurs».
À l’automne 1968 il y a eu le fameux mouvement «gauchiste» (on ne sait jamais) d’occupation des cégeps, ces nouveaux-nés.
Une fois l’occupation terminée (si ma mémoire ne me trompe pas trop), le premier ministre Daniel Johnson est décédé et il a dû y avoir des élections partielle dans le comté dont Johnson était le député: Saint-Pie-de-Bagot (j’espère avoir bien écrit le nom de ce respectable village).
Dans le sillage du mouvement estudiantin, certains, dans quelques cégeps ont décidé de «créer» un parti politique provisoire appelé LE POUVOIR ÉTUDIANT. On a alors proposé à Micheline Chartrand, la fille aînée de Michel, d’être candidate dans ce comté. Et, comble du sadisme, on m’a demandé d’écrire LE MANIFESTE DU POUVOIR ÉTUDIANT. Ce que, jeune con de 25 ans, j’ai alors fait!
Le message du manifeste, un tantinet candide (mais pas si bête qu’on pourrait le croire), était que chacun, dans son école, dans son usine, dans son entreprise, dans son lieu de travail, devait réclamer plus de pouvoir et de «reconnaissance» et se devait de rappeler aux «boss» les compétences requises pour ainsi «travailler» dans toute une gamme d’entreprises et d’écoles.
Un jour quelques habitants de Saint-Pie-de-Bagot, surtout des cultivateurs, ont demandé une rencontre avec des représentants de ce «bizarroïde» parti. J’y suis allé avec Michel Chartrand et sa fille. Une trentaine de personnes sont venues à cette rencontre et Chartrand, légèrement ivre (ou «paqueté») a fait un discours mémorable et il a terminé son intervention en disant: «Si vous votez pour le Pouvoir Étudiant, si vous votez pour ma fille, je vous promets, à vous, cultivateurs, des vaches à 5 pis.»
Et voilà! J’espère que mon histoire n’est pas trop stupide ou soporifique.
Le vieux gauchiste que je suis termine ce texte trop long en saluant Gilles Bousquet, éminent commentateur pour lequel j’ai le plus grand respect. Et je le dis sans le moindre soupçon de flagornerie.
JSB
M. Baribeau, j’ai écrit DES gauchistes comme…pas tous les gauchistes.
M. Chartrand disait en public : Tous les boss sont des voleurs…tous. Si c’était un boss qui déclarait en public : Tous les employés sont des paresseux…tous, il se ferait lapider.
Faut faire la différence entre un Québécois de gauche et un de la gogauche caviar qui se croit obligé d’insulter ou de sacrer pour avoir l’air plus authentique..
M. Baribeau, je n’ai jamais utilisé le terme « maudits gauchistes » et je n’ai pas placé tout le monde dans le même sac.
Ce n’est pas en dénonçant ceux qui sacrent et qui sont impolis que l’on devient impoli soi-même…j’espère.
Je prêche la politesse et je tente de l’exercer, pour ne pas devenir un cordonnier mal chaussé.
Je continue à vous lire. Je note et je ris bien.
À bientôt
D.D.
«Quel dommage que les imbéciles soient des gens si pleins d’assurance et les gens intelligents, si pleins de doutes.»
[Jean-Michel Wyl]
😉
MONSIEUR…
…reste poli, tout en voulant égorger les pauvres..
C’est-ti pas beau la politesse !
Du pharisaïsme à l’état pur !
Soyez donc un peu moins «poooo-li..» et peu plus humain…
…Ça nous changera de vous voir avec des valeurs mieux placées.
Au sujet de la vulgarité…
Une entrevue saisissante de Daniel Pinard :
http://www.vigile.net/Une-entrevue-saisissante-de-Daniel
Lien radio direct :
http://www.radio-canada.ca/audio-video/pop.shtml#urlMedia=http://www.radio-canada.ca/Medianet/2010/CBF/UneSaisonDansLaVieDe201012041108.asx
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A Mr Baribeau.
Jamais , à mon avis Mr Baribeau vous ne radotez , vous conter des faits avec exemples significatifs et très intéressants.
Michel Chartrand vous le décrivez si bien qu’on revoit sa personnalité qui est loin d’être banale .
Je me plais à vous lire et vous avez beaucoup de respect dans vos répartis.
Soyez plus indulgent envers vous !
Vous et moi M. Montmarquette, nous n’égorgeons pas les pauvres. Nous ne sommes pas bien placés pour le faire et c’est absolument défendu par la loi.
Il ne faut pas simplement avoir des bonnes valeurs, ce qui ne donne rien aux pauvres. L’enfer est pavé de bonnes intentions et de human interest comme le disait M. Chartrand..
Je n’égorge pas les pauvre Monsieur Bousquet.
C’est «vous» qui voulez les égorger en ne cessant votre propagande arriérée, ignorante et démagogique.
Un vrai catho de droite ne s’y prendrait pas mieux !
Les BS ( ô quel vilain péché !) sont des paresseux.
Je devrais plutôt dire : Un vrai Lucide Bouchard.
Sachez que vos BS travaillent sans doute autant que vous, pour parvenir à survivre avec telle une pitance de misère.
Mais à cette différence que, eux, ils n’ont «RIEN».
Et il faut être sacrement pingre pour vouloir sciemment maintenir des familles, des femmes et des enfants, dans de telles conditions, sous prétexte que ça va leur donner un bon coup de pied dans l’cul pour retourner travailler.
Sachez bien que les pauvres l’ont déjà amplement leur part de marde et de coups de pieds dans l’cul, dans la vie. Et que le moins qu’on puisse faire pour peu que l’on soit doté d’un minimum de conscience sociale, serait d’améliorer un peu leur misérable sort.
Mais, il semble que ce qui vous reste de conscience, ne vous sert désormais qu’à vous inquiéter pour votre Pauline déjà plusieurs fois millionnaire…
Consternant.
Mais tellement représentatif de cette mentalité de droite péquiste…
Message à la nation – Lucien Bouchard :
http://www.youtube.com/watch?v=BNLVlmKMtUU
.
M. Montmarquette, lâcher 2 ou 3 gros mots et attaquer son prochain c’est une très bonne réaction citoyenne de gauche.
Vous écrivez : «votre Pauline déjà plusieurs fois millionnaire…»
Et Amir, le médecin et Françoise, fille de chirurgien, des pauvres ?
Vous n’êtes certaineement pas mon pochain.
Vous êtes un adversaire et je vous traite comme tel.
Amir se bat pour les pauvres et je ne passe pas mon temps à pleurnicher sur sont sort.
.
M. Montmarquette, je crois que vos intentions sont méritoires et dignes d’être prises comme modèles mais, je le répète, l’enfer est pavé de bonnes intentions.
Je vous considère, au contraire de vous, comme mon prochain, un membre de l’humanité souffrante.
Je note qu’Amir se bat pour les pauvres. Leur donner son argent serait aussi méritoire.
Ce petit coquin qu’est M. Bousquet, qui a vilipendé Gilles Duceppe il y a quelques jours, ne nous a pas encore informé du refus de ce dernier de sévir comme chroniqueur à Radio-Cadenas.
Le Rocanada lui a refusé le transfert au Québec de la juridiction constitutionnelle en communications. La constitution rocanadian interdit via le CRTC la création d’un service d’informations nationales et internationales à Télé-Québec.
Radio-Cadenas conserve ainsi tout son pouvoir de propagande auprès des Québécois, propagande payée à même nos impôts et taxes occultant les méfaits et conséquences néfastes du régime politique colonial rocanadian.
Voilà un autre exemple de l’ignorance du fonctionnement du régime colonial constitutionnel rocanadian par une majorité des Québécois.
Mr Montmarquette.
Je suis d’accord dans votre écrit fait à Mr Bousquet
Ayant travaillé avec des gens pauvres et sur le Bs , je suis capable d’affirmer que ces gens démunis n’ont pas choisi leur situation.
On rit des BS mais allez voir pourquoi ils le sont et pourquoi ils ne travaillent pas !
Pas si facile non plus d »être admis sur le BS avec les enquêtes.
Une émission que j’ai écouté attentivement et qui fait réfléchir est: les naufragés en ville !
Amir Khadir , Françoise fille de chirurgien sont-ils obligés de donner leur argent ? Éduquer et informer les démunis à apprendre à vivre dignement dans la pauvreté vaut mieux que donner de l’argent .
Il faut être mesquin pour condamner la pauvreté.
La page ressemble à un club privé précisément en l’absence de sa responsable.
Le Québec va mal entre décrépitude et fatalité.
Ce débat aboutit à peu de choses, 800 messages sur ce sujet n’ajouteront à rien. La division politique encourage le statu quo.
La médiocrité sociale et nationale.
La dépolitisation menace t-elle le Québec?
M. Bouchard, est-ce le fédéral qui divise les souverainistes séparatistes ? Non, ils se séparent eux-mêmes du PQ pour former d’autres partis séparatistes, très librement, ce qui devrait diviser les votes souverainistes…énormément..
Si plus d’intervenants écrivaient plus souvent ici, ça ferait moins « club privé » comme vous le déplorez.
Mme Thibaudeau, il est correct de condamner la pauvreté, pas les pauvres.
Personne ne condamne les pauvres. S’agit seulement d’évaluer le montant qui pourrait être versé à ceux qui en ont besoin qui devrait être, au moins, un peu en dessous de ceux qui ont à travailler pour se gagner une vie.
C’est M. Montmarquette qui a commencé à parler de la fortune de Mme Marois qui, selon lui, serait plusieurs fois millionnaires, ce qui n’avait rien à voir avec notre discussion. Pour lui répondre seulement, je lui ai parlé de la fortune de ses idoles, M. Amir et Mme Françoise, tellement versé sur l’aide à la pauvreté qu’ils pourraient aller jusqu’à se départir de leurs propres fortunes pour le bien des mendiants, je suppose, quand on sait que la bonté n’a presque pas de limites.
M.Bousquet, le Québec régresse politiquement et socialement.
Les souverainistes en se divisant vont se marginaliser.
Les fédéralistes québécois ne sont plus nationalistes et encouragent la canadianisation du Québec.
Les anglophones du NPD y compris se bidonnent des francophones qui se font la peau eux mêmes.
Les Québécois et pas seulement les souverainistes sont suicidaires et encouragent une dangereuse dépolitisation.
Si certains veulent s’en consoler dans l’absurde. Il n’est pas certain que le hockey de la LNH reviendra à Québec!
Pauvre petit Québec..
M. Gascon, M. Duceppe, après s’être aperçu du ridicule de la situation « le chef séparatiste du Bloc, pensionné à 140 000 $ par année du fédéral, qu’irait aider ainsi, comme chroniqueur, Radio-Canada, subventionné fortement par le gouvernement Harper, associé à Power corporation, ce qui se fait de plus fédéraliste et de plus à droite au Québec, grand concurrents alliés contre Québécor. Allô !
M. Duceppe s’est arrangé pour faire de conditions à Radio-Canada que cette dernière ne pouvait pas accepter comme…parler de politique.
J’ai écrit, dans mon dernier message : plusieurs fois millionnaires à la place de plusieurs fois millionnaire. Même si c’est plusieurs fois, ça ne s’applique qu’à une personne donc, singulier.
Par contre, M. Duceppe ferait un excellent commentateur à Télé Québec ou au Devoir, deux entreprises moins collées aux fédéralistes qui font la promotion du Canada tel qu’il est là, à sa place, après sa carrière de chef du Bloc.
M. Bousquet,
J’ai écouté à R.C. M. Duceppe expliquant son point de vue. Je l’ai trouvé tout à fait crédible et pas mal moins pisse vinaigre que vous. L’intelligence dont il a alors fait preuve alliée à un sens critique acéré, montraient bien qu’il est un homme d’honneur qui n’a pas peur d’exprimer des opinions sans condescendance ni flagornerie.
Vos commentaires, en général, m’indisposent au plus haut point car ils sont bâtis sur des prémisses qui ne visent qu’à discréditer et nuire. Vous prenez des raccourcis dignes des plus grossiers sophismes. Ils sont vicieux et présentés avec une assurance que seules les personnes poursuivant des objectifs obtus utilise.
Salutations,
BC
M. Carré, je constate que vous portez bien votre nom. J’ai écrit ce dernier message en même temps que vous « vérifiez » où j’écris que M. Duceppe ferait un excellent commentateur. Je le vois ailleurs qu’à Radio-Canada. Vous vous êtes emporté trop vite. Est-ce que vous tentez de faire taire ceux que vous n’aimez pas en les insultant vous aussi ? J’ai souligné le 140 000 $ de M. Duceppe pour indiquer qu’il n’est pas tenu financièrement d’accepter, pour se soutenir, d’autres fonds subventionnés par le gouvernement fédéral, comme ancien chef du Bloc dans une entreprise vouée à l’union du Canada, alliée à Power corporation…me semble..
Les associations de Québec du PQ ont visiblement préféré resserrer les rangs plutôt que de piloter une éventuelle fronde contre la chef, Mme Marois.
Ça va être le baume sur les blessures de Mme Marois, après l’affaire Labaume.
Félicitations aux Péquistes fidèles dede la belle Ville de Québec !
Avec toute cette merde chez les souverainistes et indépendantistes,je crois qu’on s’en va directement dans le mur.Le même mur que le BLoc a rencontré au dernière élection.Ma question est »Que pensez vous des conséquences qu’aurait une telle défaite pour le Québec »?L’heure est grave et c’est MAINTENANT qu’il faut y penser,c’est très sérieux,fini le niaisage.
M. Duceppe vient de déclarer ce matin qu’il va prerend le lunch aujourd’hui avec Mme Marois qui l’a invité. Est-ce qu’après un faux départ à Radio-Canada, il va être invité à jouer un rôle au PQ ? Lequel ? À suivre.
M. Bousquet,
J’ai autant choisi mon nom que vous avez choisi le votre. Je ne vois pas l’intérêt d’en faire des remarques. Mais votre façon d’écrire révèle des constances remarquables.
En effet vous commencez généralement par des insinuations la plupart du temps méchantes, voire calomnieuses et quand on vous en fait la remarque vous reculez en affirmant péremptoirement que vous n’avez jamais voulu dire ce que vous laissiez entendre. En cela, vos commentaires sont souvent vicieux et fort désagréables. Cessez d’insinuer et affirmez. En avez-vous seulement le courage et la force de caractère ? C’est le temps qui vous le dira le plus sûrement.
Mme Daigle,
Votre réflexion est très intéressante et je la partage … en partie. Toutefois l’espèce de panique qui suinte de vos propos je n’y adhère pas.
Personne sur ce blogue ou ailleurs dans notre société, a démontré un don de prescience. Nous avons le nez tellement collé sur les évènements au quotidien qu’il nous est difficile de prendre un recul salutaire et très souhaitable surtout quand il s’agit de politique.
L’observation nous montre qu’il se produit très souvent des évènements imprévus qui viennent complètement modifier le tableau du moment. Personnellement, avant de faire une analyse en profondeur de la situation politique au Québec et nécessairement au Canada, voire même aux USA et en Occident ( crise financière oblige, sans oublier le rôle de plus en plus prépondérant et troublant de la Chine) j’attendrai encore quelques semaines ou quelque mois même.
La période que nous vivons présentement recèle beaucoup d’incertitudes. Mais il est tout de même approprié d’en prendre acte comme vous le faites d’ailleurs. Mais les cartes ne sont pas toutes distribuées. On en est encore à les brasser.
Donc, quand je lis certains commentaires sur ce blogue, surtout ceux de certains habitués qui ne sont en fait que des redites, comme mes propres commentaires évidemment, je les lis avec un certain intérêts mais aussi avec un certain sourire, comme on suit les péripéties d’un roman télévisé. De belles envolées, des images bien tournées mais le plus certainement qui seront contredites par la réalité qui s’implantera progressivement.
Nous sommes tous, ici, plus ou moins des pelleteux de nuages.
«A quoi bon prendre la vie au sérieux puisque de toute façon
nous n’en sortirons pas vivants?»
[Alphonse ALLAIS]
M.Benoit Carré
Concernant monsieur Bousquet vous avez raison, il s’offusque des propos des autres a son égard tout en les alimentant constamment !
Prenez l’exemple de Gilles Duceppe qui serait en communication avec Pauline Marois régulièrement. M.Bousquet qui n’a pas cessé de dénigrer le Bloc et son chef en le caricaturant comme un éternel air bête enragé et un méchant gauchiste finira par trouver de très belles qualités a ce dernier si il aide Pauline Marois à se sortir du caca dans lequel elle s’est assise volontairement ! Lui et les nombreux péquisssssstes autonomistes qui font passer les Parizeau , Curzi et Lapointe pour des fascistes dérouleront le tapis rouge a Duceppe après l’avoir renié et gentiment repoussé quand celui-ci voulait participer a la course a la chefferie au PQ . Hey ! Imaginez, Duceppe qui ne vient pas de la famille tricoté serrée du PQ osait vouloir se présenter contre matante Marois ! Sacrilège !!!!!
L’hypocrisie et la démagogie se montre souvent le bout du nez dans des moments troubles comme celui-là ! Au PQ c’est temps ci le bout du nez est tout ce qu’il y’a de plus VISIBLE !
J’ajoute !
Contrairement a beaucoup de souverainistes ou d’autonomistes/souverainistes /nationalistes ect…… qui se désole de la situation actuelle du mouvement souverainiste , personnellement je trouve sain tout ce remue-ménage qui de toute façon serait arrivé avec la défaite du PQ devant Legault a cause d’un manque d’appui important de la population (pas juste des souverainistes) envers Pauline Marois. Pour gagner une élection il faut plus qu’un simple appui de tes partisans !
Oui M. Asselin, je trouve que M. Duceppe a l’air naturellement bête, coupant, stressé et peu souriant, ce qui lui a été nuisible à la dernière campagne électorale, devant M. Layton, souriant et détendu même si je trouve qu’il a fait un bon travail à Ottawa, qu’il est intelligent et qu’il serait une bonne acquisition pour un média ou un parti politique comme le PQ mais pas comme chef.
Je ne crois pas que les Parizeau , Curzi et Lapointe sont des fascistes, seulement des mutins qui espèrent couler le PQ avec Mme Marois dedans.
C’est vrai que les députés du PQ ne voulaient pas voir M. Duceppe comme chef à cause de sa réputation de patron trop autoritaire, ce qui n’était pas le cas des simples membres du PQ qui n’avaient pas à le subir s’il était devenu chef du PQ.
Je crois encore au PQ et à Mme Marois, ce qui ne semble pas le cas de la majorité des intervenants ici qui aimeraient bien la remplacer par n’importe qui « anybody but Mme Marois ». Je le répète, ce n’est pas le chef qui fait défaut, seulement le pourcentage de séparatistes au Québec qui n’est pas assez élevé à cause du confort…canadien. C’est Denys Arcand, il y a assez longtemps qui l’avait affirmé le premier. Faut juste chercher et trouver rune alternative entre la fédération actuelle et la séparation.
M. Asselin, un fédéraliste convaincu qui vote habituellement pour le PLQ, même s’il en est très déçu, ne votera pas facilement pour le PQ de Mme Marois ou d’un autre chef séparatiste, il va préférer voter pour l’ADQ fédéraliste ou la CAQ de Messieurs Legault et Sirois, fédéraliste aussi.
Si, en plus, il y a 3 ou 4 partis souverainistes pour se séparer le 40 % de souverainistes dont 67 % de mous de l’option, qui peuvent voter fédéraliste avec une ouverture de solution, ça donne une chance supplémentaire à la fédération actuelle.
J’imagine M.Bousquet que vous seriez très heureux de donner une chance suppémentaire à la fédération actuelle d’après vos nombreux commentaires sur ce blogue !
Avec Pauline pas de problème ce sera Legault ou John James Charest qui gouverneront après les prochaines élections et votre fédération sera en sécurité !
Mme Daigle dit: » Avec toute cette merde chez les souverainistes et indépendantistes, je crois qu’on s’en va directement dans le mur. »
Je suis de l’avis de Réjean Asselin disant que » personnellement je trouve sain tout ce remue-ménage ».
J’ajoute que le débat actuel ayant cours dans le mouvement souverainiste/indépendantiste portant sur la réalisation du pays Québec était devenu nécessaire suite à la prise en charge du PQ par des fédos nationalistes, des autonomistes provincialistes, depuis 15 ans.
Ce débat n’est pas de la « merde » comme veut le faire croire Mme Daigle. Faut-il le rappeler ? C’est simplement l’exercice du droit à la libre expression en démocratie et de l’engagement politique de citoyen(ne)s qui font valoir leurs opinions qu’ils veulent faire vaincre pour le mieux-être de leurs concitoyens.
J’invite le PQ à en faire autant en toute transparence en qualifiant clairement son option constitutionnelle d »autonomiste-provincialiste » tout en admettant qu’il a délaissé l’objectif de l’indépendance du Québec dans son programme politique jusqu’à ce que, par magie, un contexte de conditions gagnantes à l’option indépendantiste se présente. Que ce parti cesse de jouer à la préservation de la chèvre et du chou en bernant une bonne part de Québécois(es) qui le croit toujours souverainiste/indépendantiste alors que toute référence à ces deux mots est bannie par ce parti depuis 1996.
Cordialement, JPG
@ Jean-Pierre Gascon 18 août 2011, 12:28
Dans votre commentaire vous revendiquez le droit à la libre expression et quelques lignes plus loin, vous invitez le PQ à dire ce que vous voulez entendre de lui. Vous exigez qu’il parle comme vous souhaitez qu’il parle. Nous ne sommes pas loin de la contradiction ici. On veut bien écouter ce que l’autre a à dire à la condition qu’il parle comme nous. Si cela s’avérait, Dieu que ces propos seraient intelligents et inspirés …
Ça commence à ressembler à s’écouter parler … Mais consolez-vous M. Gascon vous n’êtes pas le seul dans ce clan.
Je le répète :«Nous sommes tous, ici, plus ou moins des pelleteux de nuages.» j’ajoute maintenant, certains plus que d’autres.
«Lorsqu’une question soulève des opinions violemment contradictoires, on peut assurer qu’elle appartient au domaine de la croyance et non à celui de la connaissance.»[Voltaire]
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Gilles Bousquet et l’extrémisme de droite crypté
Il y a désormais des années et des années que l’extrémiste de droite Gilles Bousquet, bien dissimulé sous son masque de pseudo-centriste, ne cesse de dénigrer en publique les revendications de l’augmentation du revenu des plus pauvres d’entre les pauvres et ce, sur toutes les tribunes possibles, qu’il occupe sans cesse avec ces diffusions d’erreurs volontaires et démagogiques que nous demandons de «doubler le BS».
D’ailleurs, même si c’était le cas, voulez-vous bien me dire qu’est-ce que l’on pourrait bien avoir contre le fait de doubler l’aide sociale, quand on sait que le montant des prestations n’est pratiquement jamais indexé et se situe «trois fois» en dessous du seuil de faible revenu ??
Il faut vraiment être soit un extrémiste de droite ou un parfait ignorant pour s’être entêté de la sorte durant autant d’années.
Et je ne me fie absolument pas à son petit «mea culpa» de dernière minute en 350e position d’un blogue surchargé, pour me convaincre d’un véritable changement de mentalité de droite ignorante, insensible, égoïste, radine et étriquée.
Ce n’est pas parce que Bousquet a perdu la partie sur ce blogue, qu’il ne récidivera pas demain matin au Devoir.
Gilles Bousquet est à l’image même des politiciens qui ont créé tant de cynisme politique au Québec.
Ils sont pour tout et son contraire, dans le but de mieux pouvoir berner la population.
Se dire un jour et se démentir le lendemain quand ce n’est pas dans la même phrase comme il l’a fait ici même un peu plus haut, ne leur a jamais fait un plis sur la différence.
Christian Montmarquette
Montréal
Aide sociale et seuil de faible revenu :
«En 2009, Statistique Canada a établi le seuil du faible revenu avant impôt à 22 229 $ pour une personne seule. Bon an mal an, environ 11 % des Canadiens vivent en deçà de ce seuil, et un emploi ne leur permet pas toujours de se tirer d’affaire! Lorsqu’on sait qu’un travailleur touchant le salaire minimum gagne moins de 19 650 $ annuellement, et qu’une personne seule apte au travail reçoit environ 7000 $ par an de l’aide sociale, on s’interroge : comment peut-on vivre décemment avec une somme pareille? Comment faire, tout simplement, pour garder le moral?»
Source :
Naufragés des villes :
http://naufrages.radio-canada.ca/emissions_origine.aspx
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M. Gascon écrit : «J’invite le PQ à en faire autant en toute transparence en qualifiant clairement son option constitutionnelle d »autonomiste-provincialiste »
Le PQ ne peut pas faire ça, au contraire, il a effacé l’association de son option constitutionnelle pour ne conserver que la souveraineté, synonyme d’indépendance, synonyme de séparation synonyme de sortie du Canada du Québec. Le PQ n’est pas moins séparatiste que du temps de M. Lévesque, il l’est plus, au moins, dans son programme mais il sait qu’il manque de souverainistes-indépendantistes-séparatistes, pour gagner un référendum sur la simple souveraineté du Québec.
Le PQ a le choix de virer en organisme de pression pour la souveraineté ou, tenter de gagner une élection pour gouverner de façon à mieux protéger le français au Québec, adopter une constitution et protéger nos droits québécois dans cette fédération.
M. Drouin, vous évitez, à la lecture de mon dernier commentaire, ma référence toute simple à l’honnêteté politique déficiente chez le PQ (transparence et clarté) voulant nous faire prendre des vessies pour des lanternes, ce que d’aucuns ont compris. Il n’y a surtout pas de contradictions dans le fait de réclamer la transparence et la clarté dans l’exercice du droit à la libre expression.
« Chaque fois que les circonstances mettent en demeure l’homme politique de choisir entre le parti et la vérité, il est constant qu’il choisit le parti. » André Frossard
M. Asselin, je suis prêt à donner une chance au fédéralisme, à une confédération, à la séparation, aux pauvres de M. Montmarquette qui sont valides et qui veulent retourner au travail et à augmenter les invalides, les monoparentales etc. et à souhaiter la fermeture des paradis fiscaux « responsabilité du fédéral » et aux désespérés et aux mal engueulés, insultants et sacraux, aux vieux et aux jeunes et aux Africains dans la misère, qui meurent de faim et de sida etc.
M. Montmarquette, si j’ai perdu la partie contre vous et vos fans sur ce blogue, ça veut dire que vous l’avez gagné, ce qui indique que la gauche gagne du terrain, ce qui veut dire qu’elle pourrait gagner la prochaine élection pour doubler ou fortement augmenter les bénéfices gouvernementaux, aux pauvres, tout en serrant les grosses compagnies, contrairement aux Conservateurs qui baissent leurs impôts parce qu’ils prétendent que ça aide à les attirer à créer des emplois pour ceux qui n’en ont pas…à vérifier.
Bonne chance à la gauche au Québec, au NPD dans 5 ans et à Obama aux États-Unis !
«CHARTRAND LE MALCOMMODE»
Avis à tous les intéressés-es.
Le documentaire «Chartrand le malcommode» de Manuel Foglia est actuellement disponible pour aujourd’hui seulement.
Bon visionnement !
http://video.telequebec.tv/video/7900/chartrand-le-malcommode
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A lire certains commentaires, je ne pense pas que ce blogue soit un concours de popularité à savoir qui est le gagnant.
Ce sont des échanges et chacun ( e) émet ses opinions.
Mr Montmarquette
Votre lien sur les naufragés est très approprié pour ceux qui n’ont pas auditionné cette série.
L’extrémiste de droite Gilles Bousquet, est prêt à rendre malades les 10% de «valides» qui reste encore à l’aide sociale, en égorgeant les plus pauvres en les enfermant dans un véritable un cercle vicieux de pauvreté ; leur enlevant le pain de la bouche et les moyens de s’en sortir au nom de sa belle valeur du travail.
Sacrament qu’il est beau le «Marché de l’emploi», lorsque plutôt que de servir à l’émancipation sociale et à l’épanouissement de la personne, il sert l’intérêt du Conseil du patronat, le travail à bon marché et de bâton pour varger sur les pauvres..
Une ostie de belle moralité !
On vient de vous le dire :
La pauvreté coute $ 6 milliards à l’État, alors que l’abolition du double statut coute $ 500 millions.
Êtes-vous sourd ou vous ne voulez-pas comprendre ???
À moins que vous ne sachiez pas compter ??
– Voilà ou nous mène l’absurdité, l’ignorance et la violence économique de ce radical de droite qu’est ce triste personnage du Wild World Web : Gilles Bousquet.
Mais, il n’est certes pas le seul de sa gang.
Le Québec est truffé de Tis-Jos-Connaissant de son acabit.
– CM
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M. Montmarquette a découvert mes défauts, j’avoue tout, je suis coupable d’être méchant, principalement avec les pauvres qui ont de la misère, s’cusez, je vais trenter de me corriger sous les bons conseils de M. Montmarquette, un exemple de tolérance et d’amour des malheureux écrasés par le système capitaliste démoniaque.
Un digne successeur de M. Chartrand.
M. Montmarquette écrit : « La pauvreté coute $ 6 milliards à l’État, alors que l’abolition du double statut coute $ 500 millions. Êtes-vous sourd ou vous ne voulez-pas comprendre ??? À moins que vous ne sachiez pas compter ?? »
Fait que, Bousquet ne sait pas compter, le gouvernement ne sait pas compter, le PLQ ne sait pas compter, le PQ ne sait pas compter, il, n’y a que M. Montmarquette et Québec solidaire à savoir compter, faudrait les élire pour sauver de l’argent à nos gouvernements en augmentant le B.S. avec l’abolition du double statut. Faudrait passer le message à M. Charest qui aurait plein de projets avec les 5 milliards d’économisé par année, avec ce changement. Ça pourrait servir au plan Nord. Ça fait beaucoup de chemin du Nord…5 milliards.
Si le système capitaliste est si bon…
Expliquez-nous donc ce qu’il y a de bon à ce que 80% de la richesse mondiale soit détenue par 15% de la population ?
P.S.
Je garde ma compassion pour ceux qui en ont besoin et qui la méritent.
Pas pour les petits baveux qui considèrent que l’on doit maintenir les plus pauvres dans leur souffrance et leur misère, en les accusant en plus d’être les responsables de leur conditions.
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Le fiel et le sarcasme sont de plus en plus populaires sur ce blogue. Les propos vont de plus en plus à hue et à dia.
Pas très intéressant tout cela. Ça commence à sentir de moins en moins bon.
Quand le chat est absent les souris dansent ….
«La petitesse nous rassure, car elle exige peut, mais il n’en est pas ainsi de la grandeur, qui exige beaucoup.»
[André Pronovost]
«Outre la politique des bas prix, l’interdiction des syndicats et l’exploitation des salariés ont contribué au succès des magasins Wal-Mart. Les employés sont ironiquement nommés « associés ».
Le journaliste Bob Ortega a écrit un livre dans lequel il dénonce les magasins Wal-Mart qui achètent des marchandises provenant d’usines exploitant les enfants.
L.D.
22 février 2009 »
(http://www.pause.pquebec.com/sujet/sam-walton-et-wal-mart.htm)
salut tout le monde, je ne sais pas où vous en êtes rendus dans vos pérégrinations, mais si vous avez 1 heure devant vous pour écouter ce film, c’est comment dire…. lumineux :
http://www.streamingpark.com/spip.php?article612#.Tj5xTxkdB5U.facebook
s’il vous reste un 10 minutes, ce très bon reportage de Frank Desoer à écouter :
http://www.radio-canada.ca/audio-video/pop.shtml#urlMedia=http://www.radio-canada.ca/Medianet/2011/CBF/LeteDuMonde201108151732_2_1.asx
En attendant Mme Legault, une autre suggestion pour un hymne national, toujours pas adopté au Québec, pendant que 3 provinces canadiennes « qui ne sont pas des nations distinctes », en ont un, déjà.
http://www.youtube.com/watch?v=_RppKQMWuQs&feature=related
Terre-Neuve a adopté un hymne national, le 20 mai, 1904. avant son entré dans le Canada, en 1947, Le voici :
http://www.youtube.com/watch?v=eYbFNU-aATs
Composé vers 1808, joli chant patriotique adopté en Nouvelle-Écosse :
http://www.youtube.com/watch?v=Rfw99vrBaBA
@ À tous ceux et celles qui portent intérêt à l’histoire récente du Québec.
Bonne lecture.
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Jadis la « piastre à Lévesque », ensuite le déficit, puis la dette et aujourd’hui la péréquation.
Comme un mantrat. Dès qu’on évoque la possibilité de changer le statut constitutionnel du Québec pour qu’il reprenne sa liberté, il se trouve des « bonnes gens » pour s’inquiéter de la péréquation. Après la sortie des capitaux, la « piastre à Lévesque », les pensions de vieillesse, le déficit, la dette, ils évoquent maintenant la péréquation.
Les plus vieux se rappellent du coup de la Brink’s. C’était en 1970. Pour la première fois, le Parti Québécois se lançait dans une élection. À la veille du scrutin, des camions de la Brink’s (une entreprises de transports d’argent et de valeurs) sont filmés en train de charger des caisses et de rouler vers l’Ontario. Coup fumant. Même s’ils étaient vides de tout argent et de toutes valeurs, le message devait porter: l’élection du Parti Québécois signifierait la saignée des capitaux. En 2010, des révélations ont confirmé que le coup avait été monté par les fédéraux.
Au référendum de 80, ils inventèrent la « piastre à Lévesque ». Si les Québécois votaient OUI, le dollar ne vaudrait plus que 65 centsUS. Jean Chrétien en fit son refrain. En réalité, c’aurait été bon qu’il en fut ainsi. Car un dollar à 65 centsUS est autrement plus créateur d’emploi que celui à 1.04US comme aujourd’hui. L’ironie veut que la « piastre à Chrétien », du temps qu’il fut premier ministre, descendit à 62 centsUS.
Puis il y eut les pensions de vieillesse que les vieux n’auraient plus. Comme si le Québec ne les payait pas déjà avec ses impôts. Ensuite le déficit. Que le Québec corrigea avec le déficit zéro. Puis la dette dont on tenta de nous faire accroire qu’elle était plus importante que celle de la Grèce ou du Portugal. La dette réelle du Québec (le passif moins l’actif) est moindre que la moyenne des pays de l’OCDE. Non seulement est-elle moindre que celle de la Grèce et du Portugal mais elle est moindre que celle des États-Unis d’Amérique, que celle de l’Allemagne, que celle de la France ou que celle du Japon.
Et voilà maintenant que nous ne pourrions pas prendre notre liberté à cause de la péréquation, érigée depuis peu en symbole canadien. Il faudrait peut-être rappeler que la péréquation n’est pas une invention canadienne. Plus de cinquante pourcent des pays de l’OCDE ont de la péréquation. Que la moyenne de la péréquation dans le PIB de ces pays est de 4% alors que celle du Canada n’en fait même pas 1%. Et qu’à l’exception des Ontariens qui viennent tout juste d’accéder à ce régime, les Québécois, per capita, sont ceux qui en reçoivent le moins.
Quand on sait que la portion que les Québécois paient dans le budget canadien les amène à mettre 5 milliards dans l’armée, 6 milliards dans des avions de chasse, 7 milliards dans les frégates, 500 millions dans les sables bitumineux et combien d’autres dans des programmes qui doublent les leurs ou qui ne les intéressent pas, le jour où ils décideront de voler de leurs propres ailes, ils feront des économies que l’actuelle péréquation ne comble pas du tout.
À défaut d’arguments les fédéralistes jouent sur ceux de la peur. On Ies croyait épuisés, mais ils ont beaucoup d’imagination. Le peuple finira bien par se tanner.
Par Gérald Larose, 18-08-2011, Site « Branchez-vous »
Vivement le retour de Madame Legault.
Nous voilà en 1808 .
@Danièle Bourassa
Une cellule qui n’arrête pas de croître est un CANCER. On finit pas en mourir.
Toutes les entreprises ont comme objectif de s’assurer une croissance continue, sans arrêt. Or il est illogique que notre société recherche la croissance continue.
Comment s’en sortir ?
Réduire la course aux profits toujours en hausse ?
Encourager la stabilité des chiffres d’affaires basée sur le taux d’inflation ?
Des auteurs de science-fiction ont imaginé toutes sortes de scénarios où les citoyens ne seraient plus obnubilés par la recherche de la richesse. Nous devrions peut-être nous y intéresser.
«On est plus le fils de son époque que le fils de son père.» [Proverbe africain]
Mme Thibaudeau, j’ai écrit 1808 spécialement pour communiquer à celles et ceux qui ne sont pas intéressés par un doux hymne de cette époque, de ne pas écouter. Vous pouvez nous ramener en 2011 tant que vous voulez. Il n’y avait pas de nouveaux messages depuis un petit moment, j’ai voulu faire différent, tout en demeurant dans le patriotisme, directement en ligne avec la possibilité de la création d’un nouveau parti souverainiste québécois.
Depuis le 2 mai 2011 l’iceberg péquisto-syndicaleux a commencé à fondre.
« Correction politique » et « langue-de-bois » disparaîtront ainsi du paysage à terme.
Et alors les indépendantistes retrouveront enfin la parole dans un parti à naître, lequel sera désormais débarrassé des vieilles barbes institutionnalisées et de leurs peurs idiotes d’avoir peur de faire peur avec ce qu’ils ont toujours malhonnêtement prétendu croire plus qu’à leurs seuls intérêts personnels !
Mr Bousquet.
Vous avez diversifié de différentes façons ce blogue.
Pour revenir en 2011 écoutez les rescapés .
Il y a des dvd en vente .
Mme Thibaudeau, merci pour les bons conseils et les critiques constructives
J’ai prédit deux jours avant l’élection du 2 Mai.
« Suite à cette bordelique élection, Ignatieff va démissioner, Harper aussi et le bon Jack va prendre sa retraite pour ennui de santé. Gilles Duceppe deviendra le politicien le plus connu et le plus expérimenté à Ottawa et il défendra les intérêts du Québec, les canadiens du ROC seront comme des orphelins les pauvres. »
http://www.vigile.net/Elections-federales-caricatures,36757
Mettons que je me suis trompé un tout petit peu mais si vous changez quelques mots de place, tout peut encore arriver.
M. Drouin, je ne suis pas économiste et j’en connais encore moins la mécanique pour répondre à vos questions.
Mais à partir du moment où nous sommes informés, il faut agir en tant que citoyens et consommateurs via les groupes communautaires, les groupes de pressions, les partis politiques, en parler dans nos familles, à nos amis, au travail, dans les réseaux sociaux, etc… pour neutraliser ceux qui avec les années ont pris beaucoup trop de pouvoir. Un pouvoir malheureusement, destructeur.
Mme Lise Payette a écrit un bon article sur ces non élus qui influencent l’économie pour l’avantage d’une minorité :
http://www.ledevoir.com/economie/actualites-economiques/329144/qui-mene-le-monde
La science-fiction est peut-être une source de solutions….à chacun d’agir selon ce qu’il sait et où il est.
Il n’y a pas de sauveur unique, ni de héros, ni de missionnaire ou de messie. C’est notre savoir, notre solidarité et la volonté d’une majorité de vivre dans un monde respectueux et responsables des uns des autres qui en viendront à bout.
Ouf… Me voici enfin arrivé au 380e sous-sol!
Néanmoins, m’étant souvent arrêté en cours de route, j’en ai presque oublié pour quelle raison j’avais entrepris une si longue descente. Et l’idée de remonter sans avoir au moins « placé » quelques mots (de préférence utiles), ou tout simplement quelques « bons » mots (de préférence amusants) m’ennuierais beaucoup…
Bon. Que voulais-je donc dire…? Hum… ah oui! Ça commence à me revenir. Ce n’était heureusement pas parti!
Alors, voici, cette fois c’est parti:
Tandis qu’un vieux parti est à la veille d’être parti, pour de nouveaux partis c’est maintenant parti. Sans chercher à être de parti pris, ni vouloir être pris à parti quant à ce que ces partis pourraient – comme tout parti – m’inspirer (cela n’étant que partie remise), je dirai cependant que la partie est loin d’être jouée.
Faudrait être pas mal parti pour considérer la chose autrement car, pour la clarté en ce moment, c’est loin d’être bien parti!
Ah mais vous soupçonnez que je sois un tantinet parti moi-même pour écrire pareilles élucubrations… Aucunement. Pas une goutte, pas une puff, pas de gros party ici.
Mais je ne voudrais pas indûment me poser en juge et partie. Cela me ferait injustement la partie trop belle. Les parties ici en présence, soit vous et moi, sommes tous deux parties prenantes à ce débat, l’une et l’autre partie ayant également droit à la répartie.
Récapitulation donc de la partie en cours:
Quelques partis sont ici en présence sur l’échiquier québécois (excluant les partis fédéraux faisant également partis du décor). La partie se déroule péniblement, ce qui mène à un rebrassage des cartes de membres des partis – notamment et tapageusement pour certains à présent partis. Ce qui conduit par la suite à la mise sur pied de nouveaux partis, cela faisant probablement en sorte qu’au moins un ancien parti sera sous peu parti.
Ce qui me semble particulièrement plausible.
Et puis chacun voulant tirer le meilleur parti de la situation, ce ne sont pas les partisans favorables à de nouveaux partis qui manquent. Enfin, quel parti faut-il prendre face à cette situation? Le parti d’en rire? Le parti d’en pleurer? De quoi hésiter entre ces deux partis.
Bon, suffit. Cette fois, je remonte au rez-de-chaussée, je suis parti.
Allez hop! C’est parti, mon kiki!
M. Perrier, je vous souhaite autant de bonheur et d’humour lorsque le mouvement souverainiste/indépendantiste aura retrouvé une nouvelle unité de toutes ses forces qui cette fois n’auront d’égal que celles d’un rapport de forces politique inégalé jusqu’à maintenant face au Rocanada pour réaliser l’indépendance du Québec…À suivre.
Merci bien pour cette répartie de votre part, Monsieur Gascon.
N’empêche que le « mouvement souverainiste/indépendantiste » me paraît assez mal parti en vue d’une future « nouvelle unité »…
Faudrait que le mouvement s’affaire sans trop tarder à recoller ses parties plutôt qu’à multiplier les partis. À considérer l’état actuel de la partie, sans avantage numérique en vue, les partisans semblent bien davantage disposés à se disperser dans une pléthore de partis qu’à participer à une quelconque démarche rassembleuse pour sa cause.
Ce ne serait vraiment que partie remise?
La puissante force excentrique actuellement à l’oeuvre ne serait qu’une aberration de parcours? Qui sera par la suite remplacée par une force concentrique?
Les parties prenant en ce moment leurs distances les unes des autres, se prenant – sans grand ménagement – mutuellement à partie pour ceci ou pour cela, ces parties pourraient revenir dans un giron commun?
Alors, que la réconciliation se fasse prestement car le temps restant affiché au cadran indique que la partie achève, que le mouvement (déjà pas en avance) tire maintenant sérieusement de l’arrière et qu’il est plutôt douteux qu’il y ait une prolongation.
M. Perrier
Il semblerait , selon les ragots de Jean Lapierre (qui ont souvent un fond de vérité) que des possibilités d’élections commenceraient à intéresser celui qui ne fait qu’attendre les moments favorables pour en déclencher, soit John James Charest !
Nous savons tous ce que le mouvement souverainiste traverse actuellement mais j’imagine que pour les fédéralistes non enragés comme vous et face a un gouvernement sortant dont le bilan est plus que désastreux vous aurez vous aussi a réfléchir sur quel cheval miser !
Je crois que les fédéralistes francophones modérés se sentent aussi orphelin que les indépendantistes qui ont beaucoup de difficultés à se reconnaitre dans les nombreux parti autonomistes-souverainistes-fédéralistes et alléluia !
Bonne réflexion !
Vous avez bien raison, Monsieur Asselin.
Bien que j’estime que la formation ayant possiblement les meilleures chances de l’emporter (si des élections hâtives ne sont pas déclenchées et si l’éparpillement des forces souverainistes se poursuit) serait celle de François Legault, ce pourrait tout autant être les Libéraux de Jean Charest qui parviendraient à coiffer le CAQ au fil d’arrivée.
Ça, comme je le mentionne ci-dessus, c’est pourvu que les élections ne soient pas déclenchées hâtivement (afin que François Legault ait eu le temps de bien s’organiser) et aussi que la cohésion fasse toujours défaut du côté des souverainistes (ce qui paraît toutefois une des deux conditions qui sera remplie pour un bon moment, et même le sera toujours si les prochaines élections devaient se tenir plus tardivement).
Vu l’état actuel des forces en présence, le momentum favoriserait apparemment les Libéraux s’ils bougent très bientôt. Un scrutin tenu en septembre/octobre serait leur meilleure gageure de l’emporter. Mais que les Libéraux attendent trop, tergiversent, tandis que François Legault en vienne à être fin prêt, ce sera alors un duel PLQ-CAQ.
Une de ces deux formations, majoritaire ou minoritaire, l’emportera.
Que Jean Lapierre sache vraiment ou pas quelles sont les véritables intentions de Jean Charest en ce moment, d’un simple point de vue stratégique, il paraît effectivement sensé que les Libéraux ne peuvent pas laisser bêtement filer une si bonne occasion pour eux de conserver le pouvoir et que des élections hâtives seront au programme cet automne…
Le président de l’exécutif libéral démissionne et s’attaque à Jean Charest
« Jean Charest était un bon président avant toutes les allégations sur l’industrie de la construction, a fait savoir le jeune président démissionnaire. Depuis ces événements, il est passé en mode de gestion de crise perpétuel. Il faut le changer, Il a fait son temps. »
Alexis St-Gervais
De jeunes invités à crier!
Dans un autre « post » publié sur le même blogue, le président démissionnaire décrit l’ambiance particulière qui règne durant le congrès estival des jeunes libéraux. « Devant le parterre de jeunes militants, Jean Charest est allé tenir son discours rituel qui marque la clôture du Congrès. Après plusieurs années au parti, le schéma général de ses interventions devient facile à dessiner, puisqu’il répète toujours à peu près la même chose (…) Et on s’arrange pour que ça marche, avec des responsables chargés de faire crier le plus possible les jeunes présents », glisse-t-il dans un portrait plutôt dévastateur.
http://lejournaldequebec.canoe.ca/journaldequebec/politique/provinciale/archives/2011/08/20110819-161723.html
RTBCO-NBBWC: et pourquoi pas?
Comme il est question de nouveaux partis, comme il est question du mouvement indépendantiste (et parfois du mouvement «socialiste»), comme plusieurs personnes ont dit du bien de Michel Chartrand, je me permets de raconter une anecdote que je trouve amusante.
Avant le référendum de 1980, le Conseil central de la CSN (région de Montréal) a tenu un congrès spécial et le thème principal de cette rencontre, c’était l’attitude des syndiqués face au référendum qui approchait. MICHEL CHARTRAND était alors le président du Conseil central et il proposait que l’on recommande aux syndiqués de voter OUI.
À l’époque il y avait au moins trois groupuscules marxistes-léninistes, branché sur la Chine maoïste et sur l’Albanie (En lutte, le PCO et le PCC ml). Ces trois groupusules voulaient une révolution communiste pan-canadienne, d’une mare à l’autre et ils s’opposaient vigoureusement au mouvement souverainiste.
Ce que personne, du côté du OUI n’avait prévu, c’est que ces communistes avaient une stratégie: prendre d’assaut tous les micros et tenir presque tous le même discours, à peu près dans les mêmes termes. Pendant des heures. Alors, nous avons dû subir une pléthore de discours profondément stéréotypés et d’une ennui mortel.
Longue fut cette «réunion». Mais au moment du vote le OUI a été accepté malgré les maoïstes.
Le soir, assez tard, nous étions triomphants mais épuisés et nous sommes allés manger dans un restaurant. Nous étions une quinzaine et Chartrand était là. Nous avons beaucoup bu et nous avons rigolé aux dépens des communistes dogmatiques et bornés.
À un moment donné nous avons décidé de fonder, à la blague, un nouveau parti communiste qui s’appellerait le RTBCO-NBBWC.
Pour être membres du parti il fallait répéter les dix lettres sans se tromper.
Maintenant quel est le sens de ce sigle?
RIEN DE TROP BEAU POUR LA CLASSE OUVRIÈRE–NOTHING BUT THE BEST FOR THE WORKING CLASS.
Nous avons beaucoup rigolé et j’espère qu’aujourd’hui encore nous pouvons, à l’occasion, nous amuser un peu.
Et voilà! Ce n’était que cela!
JSB
Depuis le 2 mai dernier, avec l’écrasement du Bloc et l’élection de poteaux NPQ qui n’ont même pas fait campagne, impossible de faire des prédictions électorales solides au Québec.
M. Perrier ne donne pas de chances au PQ de gagner la prochaine élection mais, je n’en suis pas si certain. Les mutins du PQ qui traitent Mme Marois, injustement risquent de l’aider, par sa résilience à ne pas se laisser démonter par ces coureurs de chimères, inconscients de la difficulté à tenir un référendum rapide sur la séparation du Québec « sa sortie du Canada ».
Le PQ, avec Mme Marois, a autant de chances de gagner la prochaine élection que les autres partis, incluant celui de M. Legault, même s’il n’est pas encore né.
Mme Marois possède l’expérience, le calme, la bonne humeur et la détermination qu’il faut pour réussir. Si elle ne gagne pas la prochaine élection générale pour porter le PQ au pouvoir, adieu Mme Marois, comme chef du PQ, la succession, dirigée par le clan Parizeau-Lapointe, se prépare à la sortir, de préférence, le plus vite possible.
Mme Marois est celle qui pourrait le plus nous en rapprocher mais ne pourra jamais aller plus loin qu’une simple confédération d’États souverains associés ou d’une autonomie provinciale, pour une raison très simple : Les Québécois ne veulent pas en assez grand nombre sauf si le fédéral commençait à nous persécuter, nous martyriser et/ou nous torturer, dans un camp à Montebello, ce qu’il ne fera pas…Ils ne sont pas fous à Ottawa, quand même.
Merci à Claude Perrier d’apporter un coloris humoristique dans cet interminable débat. Ce qui me ravit, c’est que cet humour va de pair avec de réelles réflexions qui hantent actuellement de très nombreux Québécois.
JSB
Il faudrait être intellectuellement démuni pour déclencher prématurément des élections. Que l’on se souvienne de Jacques Chirac et du sort qui lui fut réservé après sa décision funeste.
M. Charest n’a qu’à laisser venir. Ses adversaires font tout le travail. Pourquoi se presser? Le mieux est l’ennemi du bien. 🙂
Je crains un retour au pouvoir des Libéraux, avec ou sans M. Charest. L’adversaire est divisé en trop de factions. Il va se faufiler facilement. Sauf si une catastrophe catastrophique leur tombe dessus.
Puisse le ciel nous entendre.
A Mr Perrier ,
Vous avez la note juste dans votre écrit.Il faut être aveugle pour croire le contraire .
Que l’on soit partisan de n’importe quel parti c’est la logique même.
Ce n’est pas la démission d’Alexis St Gervais qui va bousculer le parti libéral.
Cet incident n’est qu’un grain de sable et n’affecte en rien le parti libéral.
Je ne pense pas contrairement à ce qu’écrit Mr Bousquet que Mr Perrier enlève des chances au parti québécois .
C’est un blogue ou l’on exprime nos opinions.
Monsieur Bousquet !
Désolé de défaire votre party mais la seule chance que le PQ emporte les prochaines élections serait le changement du chef actuel pour plusieurs raisons dont la plus importante est le manque de popularité de Pauline Marois dans la population en général. Ce problème est bien réel et existe depuis la première journée comme chef de la madame. Tout le reste d’ailleurs pourrait être les conséquences de cette réalité. Madame Marois ne s’est jamais distancée de John James Charest de façon importante dans les sondages et bien AVANT les problèmes actuel du PQ. Ne pas le réaliser et se mettre constamment la tête dans le sable et de faire porter cette réalité sur le dos des démissionnaires est pour le moins cheap et démagogique.
Avec Pauline Marois le PQ part perdant, surtout depuis l’arrivé d’un Legault et son mouvement dont des centaines de politiciens carriéristes de toutes allégeances ont déjà postés leur CV dans l’espoir de faire partie d’un parti qui n’est pas encore partie. Même la population s’est retournée majoritairement vers ce mouvement alors que le PQ voguait dans des eaux moins troubles que présentement !
Allons un peu d’honnêteté et de transparence ne tue pas son homme M. Bousquet !
Jamais dans les sondages Pauline Marois a devancée son parti , et jamais le PQ avec elle comme chef a réussi a distancer de façon solide les libéraux qui avaient le nez collé aux plancher et un bilan désastreux à défendre ! C’est tout dire !
Mme Thibaudeau, je n’ai jamais écrit que M. Perrier, intervenants que j’apprécie, enlevait des chances au PQ, il ne fait que ne pas leur en accorder, pour gagner la prochaine élection, ce qui n’a rien à voir. Faudrait me relire mieux.
Vous ajoutez : « C’est un blogue ou l’on exprime nos opinions. » Merci de me le souligner.
Mr Bousquet.
Je sais lire entre les lignes !
Jean blabla Charest n’arrive plus à charmer ses moutons vissés sur leur chaise, son compte est bon, il perd rien pour attendre, son tour s’en vient.
François Legault, tout comme Pauline Marois, est un bon « débator » en chambre lors d’une période de questions mais une vraie tisane même devant une foule partisane.
Hier, François Legault à reçu un accueil mitigé de la part des jeunes à l’École d’été de l’Institut du Nouveau Monde. On n’est loin de Fidel Castro ou du « Che ».
http://www.24hmontreal.canoe.ca/24hmontreal/actualites/archives/2011/08/20110820-124547.html
Qu’on en parle en bien, qu’on en parle en mal, la chicane autour du P.Q. remet l’indépendance du Québec en tête de liste dans les médias ses derniers temps et force Jean Charest( le nationaliste éteint) à se commettre nous renvoyant au fédéral centralisateur de Stephen Harper à qui il faut demander la permission pour avoir un pont et des contrats d’entretien de la marine et de l’aviation royale.
Alors pour ce qui est de Pauline la pas fine Marois, j’admire son inébranlable résiliance devant les attaques répétées des kamikazes amis qui ne nous ont pas encore fourni le nom du nouveau Gandhi qui pourrait faire mieux à sa place.
Le dernier sondage de Léger marketing, de la semaine dernière, donne 36 % de Québécois qui se déclarent encore souverainistes mais, d’autres sondages du passé, ont montré que 67 % des souverainistes déclarés voudraient, quand même, rester dans le Canada, dans un Québec souverain.
De ce 36 % de souverainistes 24 % déclarent qu’ils vont voter pour le PQ et 12 % pour Québec solidaire, ce qui fait le compte de ceux qui se déclarent souverainistes…logique.
Pour que le 36 % se concentre sur le PQ, faudrait que Québec solidaire se transforme en mouvement de pression seulement. À 36 % le PQ devancerait le PLQ de 2 %, ce qui lui donnerait le pouvoir avec la division actuelle des comtés québécois mais Québec solidaire ne se dissoudra pas et les 5 derniers mutins du PQ vont continuer à taper, avec les fédéralistes, sur Mme Marois.
L’affaire se gâte si la CAQ de Messieurs Legault et Sirois, devient un parti politique, 12 % des souverainistes quitteraient le PQ et Québec solidaire pour se joindre à la CAQ, ce qui ne laisserait que 24 % de souverainistes à se diviser le vote comme suit : 16 % au PQ et 8 % à Québec solidaire.
Misère ! Les séparatistes complètement discrédités, chicaniers et pointilleux qui jouent à la poupée vaudou avec Mme Marois, une épingle par ici, une épingle par-là, afin de lui conserver la popularité la plus basse possible, actuellement 15 %,, pour mieux la remplacer. Au suivant(e) ! .
Ces statistiques indiquent clairement que les souverainistes sont trop peu nombreux pour gagner une élection et/ou un référendum sur la simple souveraineté, l’indépendance et la simple séparation du Québec « des synonymes » qui sortirait le Canada de ses frontières. Faut juste trouver une autre solution constitutionnelle plus favorable et plus rassembleuse au Québec, entre le fédéraliste actuel et la séparation, afin de ne pas trop perdre notre temps à ce qui semble une lointaine et minoritaire priorité québécoise…la constitution et le danger d’anglicisation du Québec.
Vous appuyez à nouveau vos dires, Monsieur Bousquet, avec des chiffres fort éloquents.
La grande « bousculade fraticide », qui sévit depuis un moment dans les rangs souverainistes, accomplit certainement (au delà de ses espoirs les fous!) ce que Jean Charest aurait certainement désiré réaliser, quoique avec bien peu de chances d’y parvenir par lui-même, soit: mettre – au moins momentanément – le mouvement souverainiste hors combat.
Hors combat le temps d’une élection.
Une élection hâtive cet automne avant que le seul adversaire restant potentiellement « menaçant », et par conséquent capable de l’évincer du pouvoir, le CAQ de François Legault, ne soit fin prêt pour le combat.
Malgré un précédent commentaire de Monsieur Gingras, qui écrit « Il faudrait être intellectuellement démuni pour déclencher prématurément des élections », j’opine plutôt que « intellectuellement démuni » ou pas, c’est ce que Jean Charest fera.
La « menace » du CAQ, et cela nonobstant le peu de charisme de François Legault, est bien réelle. Et Jean Charest voudra très vraisemblablement sauter sur cette chance unique de conserver le pouvoir avant que le CAQ ne soit devenu « opérationnel ».
Donc, à moins d’un gros revirement de situation au cours des prochains jours, il nous faudra tous aller faire un petit tour aux urnes très bientôt, possiblement en octobre.
Avant l’Halloween…
Le décès de Jack Layton m’attriste vraiment.
Il est un exemple de détermination de courage.
M. Bousquet
Votre dernier commentaire me fait sourire encore une fois,
Vous nous dites que le sondage Leger marketing de ce matin donne 36 % de souverainistes au Québec mais vous vous empressé de nous référer a un AUTRE sondage passé « . En ce qui me concerne avec tout le remue-ménage dans le camp souverainiste ces temps-ci je trouve que ce 36 % d’appui à la souveraineté est appréciable a moins d’en être un adversaire !
Faite vous exprès pour avoir l’air aussi démagogue ou est-ce involontaire de votre part ?
Pour un pseudo-souverainiste vous faite tout en votre possible pour faire la promotion du fédéralisme canadien !
Vous savez ce que je pense des sondages de Léger Marketing autant que ceux de CROP. Par contre la popularité de la chef du PQ demeure la même c’est-à-dire rachitique et ce problème est récurrent depuis le début de sa nomination.
Tous vos petits calculs maniaques face aux sondages finissent toujours de la même façon, un appui à peine dissimulé pour le fédéralisme canadien.
Le PQ était dans la merde et cela bien avant les troubles récents. Pour gagner le PQ comme les autres partis aura besoin de votes autres que les souverainistes et le publique en général n’aime pas votre chef Marois !
Changer de chef et il se peut que le publique regarde de nouveau le PQ ! Resté avec votre chef et le publique continuera de flirter avec Legault.
D’accord avec vous M. Perrier, M. Charest doit être très tenté de déclencher une élection générale dès septembre ou octobre prochain.
Sachant ce qui précède, M. Legault doit bien se dire : Faudrait que j’accélère le rythme de ma sortie de mes politiques culturelles et de la formation de mon parti politique avec M. Sirois et le choix de mes 400 CV, de Québécois intéressés à devenir candidats de mon futur parti qui veut payer plus cher les professeurs et les docteurs pour les faire travailler plus et mieux ?
Il y avait un maximum de 8 % d’indépendantistes au temps du RIN de M. Bourgault, c’est rendu actuellement à environ 12 % de séparatistes « 67 % de 36 % de souverainistes déclarés qui veulent rester dans le Canada » . Une augmentation de 50 % en 50 ans = 1 % par année.
M. Asselin, vous mettez en doute les sondages de Léger marketing sauf quand ils indiquent que Mme Marois n’est populaire qu’à 15 %, ce que vous croyez.
Je ne souligne pas la faiblesse du nombre de séparatistes et de souverainistes mous, dont 12 % voudraient voter pour la très fédéraliste CAQ, pour nuire à la séparation du Québec mais pour inciter le PQ à changer son option constitutionnelle de simple souveraineté sans association à autre chose de plus rassembleur. C’est pour leur rendre service, pas pour les couler. De votre côté, il semble que ce soit le chef qui est coupable de cette situation. Vous avez peut-être raison mais comme il y a 36 % de souverainistes déclarés et que le même pourcentage se sépare entre le PQ et Québec solidaire, ça veut dire que ces 2 partis font le plein des votes souverainistes actuels.
Si le parti de M. Legault embarque, ce dernier sondage laisse 16 % au PQ et 8 % à Québec solidaire. Avec ce genre de pourcentage, ces 2 partis pourraient faire élire une dizaine de députés…max.
*****Un éminent Québécois passe l’arme à gauche*****
Monsieur Jack Layton était, de par ses racines profondes, un authentique Québécois. Avant de passer de vie à trépas ce «diable d’homme», ce séducteur persévérant et souriant, a su conquérir les coeurs et les âmes de nombreux citoyens québécois. C’est là un remarquable exploit qui m’émeut profondément.
Alors, en ce pathétique jour d’aujourd’hui, «triste, triste est mon âme» et je me tais. Mes pensées accompagneront cet humain de qualité exceptionnelle qui avait su, avant de nous quitter, devenir MONSIEUR le chef de l’opposition officielle.
Jean-Serge Baribeau, citoyen consterné.
(Texte publié sur le site du journal LE DEVOIR)
M. Layton a gagné le Québec avant de perdre la vie.
R.I.P. bon Jack !
S’il y avait une personne qui n’aurait pas dû nous quitter c’est bien M. Layton. Je laisse les nombreux commentateurs patentés le soin de faire le panégyrique fort mérité de M. Layton.
Bien que je ne sois pas un npédiste, j’aurais aimé que cet homme reste pour brasser la cage à Ottawa. Je le respectais énormément et je me demande vraiment si son parti, tel qu’on le connait depuis mai 2011, pourra conserver les appuis populaires, mérités faut-il reconnaître, que M. Layton aura réussi à lui obtenir.
Mes plus hautes pensées accompagnent son épouse et toute sa famille à qui je souhaite bon courage.
« Notre vie ici-bas, à quoi ressemble-t-elle ? À un vol de corbeaux qui, venant à poser leurs pattes sur la neige, parfois y laissent l’empreinte de leurs griffes.» [Su-Dong-Po]
Jack Layton a su insufler à la scène politique fédérale canadienne un certain optimisme, un espoir en quelque chose de mieux ou de moins pire mettons…
Son énergie et son intégrité vont nous manquer: puisse le NPD dignement jouer son rôle d’opposition officielle dès la prochaine session parlementaire et être à la hauteur du citoyen Layton.
À ses proches et amis mes sympathies.