Selon La Presse, des députés péquistes, inquiets avec raison de faire face à la possible disparation de leur parti, souhaiteraient le départ de Pauline Marois à temps pour se donner un nouveau chef d’ici la prochaine élection générale.
Le nom de Gilles Duceppe, entre autres, circule bien évidemment.
Le 30 juillet dernier, dans un long texte d’analyse paru dans les pages de The Gazette, j’y avançais d’ailleurs que le PQ entrait dans la phase la plus vulnérable de son histoire et faisait même face à un danger réel de disparition:
http://www.montrealgazette.com/life/Opinion+return+great+divide/5182783/story.html
Maintenant, qu’arrivera-t-il au PQ d’ici le prochain vote, lequel pourrait venir aussi tôt que le printemps 2012?
En fait, la question devient même: qu’arrivera-t-il au PQ d’ici les prochains jours et les prochaines semaines?
Ce partie est voué a l’échec avec Mme.Maroi comme chef point final.
Je voie très bien MR.Duceppe comme premier ministre… mais attention,
il devra mettre carte sur table avant d’être élue comme chef et comme premier de cette province ou même d’un pays.
Je discutent avec beaucoup de gens et on veux des réponses claire a nos questions avant de voter pour qui que se soit. On est écoeuré de se faire mangé la laine sur le dos! On est pu capable de subir des haussent de prix sur tous les produits essentielles. ces déjà trop comme çà!
Excuser pour les fautes d’orthographe. mais y a pire que cela dans la vie.
On est pas en Libye!
Terrorisés par les mauvais sondages, des députés du PQ espèrent la démission de Marois. Ils souhaitent qu’elle passe le relais à un successeur plus populaire.
Avis aux Péquistes : Ce n’est pas Mme Marois le problème ni un prochain chef du PQ, c’est son option constitutionnelle de simple souveraineté, maintenant dépourvue de l’association de M. René Lévesque du référendum de 1980 et du partenariat de messieurs Parizeau, Bouchard et Dumont de celui de 1995.
Un boulet est dans le programme du PQ, « la simple souveraineté », synonyme de séparation et d’indépendance, ce qui réduit les amateurs de cette option, autour de 24 %, le pourcentage de votes obtenus par le Bloc, aux élections fédérales du 2 mai dernier.
Un récent sondage indique que, si la CAQ de M. Legault voyait le jour, il ne resterait que 18 % au PQ et 8 % à Québec solidaire, pour un total de 26 % de votes souverainistes des convaincus. Les autres 14 % de souverainistes mous, iraient à la CAQ avec 25 % d’autres votes, pour un total de 39 %, à ce parti, qui veut repousser les changements constitutionnels, à notre prochaine génération.
Plus que Mme Marois, poussée par les purs et durs, parle de souveraineté, plus elle recule dans les sondages avec le PQ. Est-ce assez clair ? Faut une option constitutionnelle plus rassembleuse au PQ, du genre d’une véritable confédération canadienne, avant de penser à un nouveau chef.
L’option souverainiste du PQ est infiniment plus populaire que Pauline Marois. François Legault est un mirage qui ne durera pas.
Ça fait des années que vous parlez d’une véritable confédération canadienne. Chez vous c’est une véritable fixation pathologique. Personne d’autre que vous ne parle d’une telle lubie. Au Québec c’est la souveraineté ou le statu quo. Hors du Québec vous ne trouverez personne qui voudra s’embarquer dans votre aventure farfelue. Vous pouvez toujours mettre sur pied votre Parti pour une Véritable Confédération (PVC) et vous faire commanditer par les fabricants de PVC qui y verraient une belle occasion de promouvoir leurs produits. C’est juste un tuyau que je vous donne en passant.
Même si j’ai voté pour Pauline Marois lors de la dernière course à la chefferie je souhaite son départ depuis très longtemps. J’ai pensé au début qu’elle pourrait ramener le PQ sur les rails après le départ d’André Boisclair. C’est le contraire qui se produit. Avec l’immense taux d’insatisfaction à l’égard du gouvernement Charest le PQ devrait normalement voler allègrement en tête des sondages. Ce n’est pas le cas et la principale raison de l’enlisement du PQ c’est Pauline Marois elle-même. Il y a au moins une dizaine de remplaçants potentiels qui feraient mieux qu’elle. Alors il est temps de changer de « coach » avant que le club se dissoude complètement. Si Pauline Marois est aussi intelligente que je le crois elle s’ouvrira les yeux et annoncera son départ dans les plus brefs délais. Aujourd’hui serait la journée idéale, d’autant plus qu’il semble qu’un nouveau parti fédéraliste de centre-gauche et opposé au statu quo constitutionnel serait sur le point de voir le jour en vue des prochaines élections. Tout cela changerait la donne de façon très importante. Un bon nouveau chef pour le PQ réussirait possiblement à rassembler à nouveau toutes les forces souverainistes et tout redeviendrait possible.
Une belle trève nous permettrait d’accéder à la souveraineté avant de revenir à nos chères querelles intestines.
Vous avez tout à fait raison M. Mitriou. Changer de chef au PQ pourquoi pas, il y en a eu 5 depuis 16 ans alors un de plus ne peut pas nuire. Aviez-vous M. Duceppe en tête, il a été très bon comme fossoyeur du Bloc, il pourrait agir de même pour le PQ.
et tout devient possible….vous me faites penser aux « 1000 jours avant la souveraineté« de Bernard Landry et cela fait déjà plus de 2000 jours…
J’ai une grande colère à l’endroit du PQ. Si le PQ est si malmené dans l’opinion publique, ce que semblent bien démontrer les sondages, il n’a qu’à s’en prendre à lui-même.
L’adoption de la loi 204 appuyée par le PQ a été extrêmement néfaste pour la cohérence interne du PQ.
La direction du PQ n’a pas été en mesure de maintenir la cohérence au sein de ses troupes. Les égos les plus forts en ont profité pour se dissocier d’une gestion qui ne correspondait pas à leur personnalité.
Les tensions internes au sein du PQ sont en train de le démolir au moment même où le Québec a le plus grand besoin de pouvoir compter sur une opposition forte et efficace afin de contrer le présent gouvernement qui tient plus à se protéger des scandales qu’à aider les citoyens.
Tel qu’il est aujourd’hui, le PQ n’est pas en mesure d’être une alternative sérieuse et efficace au gouvernement corrompu du PLQ. Cette faute m’apparait impardonnable et exige qu’au sein du PQ on fasse un ménage de fond en comble le plus rapidement possible.
Toute velléité du PQ de vouloir gagner du temps ou de balayer les problèmes sous le tapis serait complètement inacceptable car ce serait manquer à son devoir fondamental d’être au service des citoyens.
S’il continu dans le déni, le PQ causera autant de problèmes au Québec que le présent gouvernement du PLQ le fait actuellement.
Soyons clairs ! Seule la faiblesse du PQ permet au PLQ de se maintenir au pouvoir en se moquant des citoyens.
«Si tu te fais ver de terre, ne te surprend pas si l’on t’écrase d’un pied»
[Emmanuel Kant]
M. Bousquet,
M. Mitriou a complètement raison en vous faisant remarquer que personne dans le ROC ne voudra jamais s’embarquer dans le processus utopique que vous évoquez. Trouvez autre chose M. Bousquet.
«Plus vous saurez regarder loin dans le passé, plus vous verrez loin dans le futur.»
[ Winston Churchill ]
Jean Charest est l’équivalent de Tashereau et M. Legault sera le nouveau Duplessis.
Jean Charest travail à faire « mourrir » le PLQ de la même façon que le PLC et ses scandales sur scandales…
Le PLQ sera remplacer par le parti de Legault. C’est facile à voir, ceux qui finance le PLQ sont ceux qui aident présentement Legault.
Avec un « faux » souverainiste à la tête du parti de Legault, et une richissime duchesse à la tête du PQ…
C’est de la destruction pré-programmer.
Le parti de Legault va dominer les prochaines années… privatiser et sabrer dans les syndicats et vendre les ressources pour des pinottes aux étrangers.
Et ce sera fait sans que le PQ et les souverainistes ne puissent intervenir, qui s’automutileront pour ne pas nuire à la véritable cause :
Asservir et endormir les québécois pour qu’une poignée de milliardaires québécois et canadien s’enrichissent à nos dépends; et ce pendant plusieurs années… encore une fois.
Le Québec n’est pas un pays, ni une province, c’est une terre.
Les québécois ne sont pas un peuple, c’est du bétail.
Non M. Mitriou, M. Lévesque avec sa souveraineté-association, c’était un genre de confédération. Même chose avec la souveraineté-partenariat de Messieurs Parizeau, Bouchard et Dumont au référendum de 1995. Si vous voulez appeler une véritable confédération d’une autre appellation, pas de problème. L’idée principale est que 67 % des 40 % qui se disent souverainistes, dans les sondages, veulent RESTER dans le Canada. La simple séparation, oubliez ça. Si vous ne me croyez pas, attendez de voir les résultats de la prochaine élection générale au Québec, même avec un nouveau chef très charismatique au PQ. Ça va dire qui est dans le champ.
Vous écrivez : «Avec l’immense taux d’insatisfaction à l’égard du gouvernement Charest le PQ devrait normalement voler allègrement en tête des sondages »
Monsieur Mitriou, un fédéraliste ne votera jamais pour le PQ, il votera pour l’ADQ ou même, pour la CAQ de M. Legault, mais pas pour le PQ, un parti, maintenant, full-séparatiste sauf pour sa gouverne souverainiste, en attendant de meilleurs jours pour cette option.
En plus, ça va être difficile à convaincre Québec solidaire, qui tire 13 % des votes, de joindre les rangs du PQ, même avec un nouveau chef.
Monsieur Bousquet,
La souveraineté-association est un concept disparu, mort et enterré. Plus personne n’y pense ou n’en parle depuis 1980. Oubliez cela.
La souveraineté-partenariat c’était un concept clairement souverainiste. On proposait au peuple la souveraineté intégrale d’abord, assortie à une offre de partenariat économique entre le Québec et le Canada. Que le Canada accepte cette offre ou pas le Québec devenait souverain. Cette option demeure toujours ouverte même si la prochaine question ne devrait porter que sur la souveraineté. Un pays souverain a toujours le loisir de proposer des partenariats économiques à qui il veut et l’autre partie a toujours le choix d’accepter ou pas.
Quand vous dites de 67% des 40% de souverainistes désirent rester dans le Canada je crois que vous faites une erreur d’interprétation. À mon avis c’est plutôt 67% de l’ensemble des québécois qui veulent rester dans le Canada, ce qui fait qu’une petite partie des souverainistes voudraient rester canadiens. Là il y a une confusion qui devra être dissipée. Dans un Québec souverain il n’y aura que des québécois, à moins que le Canada décide de nous reconnaître la citoyenneté canadienne. Ce ne serait pas complètement farfelu d’avoir cette double citoyenneté pour ceux qui sont nés au Canada mais qui résident au Québec. Seul le Canada peut toutefois prendre une telle décision qui serait à son avantage puisque le Canada compterait plus de Canadiens que seuls ceux qui habiteraient son territoire. Ça donnerait plus de poids au Canada sur la scène internationale. Je ne cracherait peut-être pas sur la citoyenneté canadienne mais je m’en passerais sans aucune tristesse.
Autres spécifications à M. Mitriou, Québec solidaire est rendu à 13 % dans les derniers sondages mais descend à 8 % en présence de la CAQ de Messieurs Legault et Sirois. Même chose au PQ qui passe alors de 25 % à 18 %.
Si Québec solidaire réussit à faire virer le PQ plus à gauche, pour réussir une entente entre ces 2 partis, la droite du PQ va en souffrir, ce qui devrait augmenter les votes à la CAQ. Même chose si l’ADQ se saborde, ce qui pourrait résulter en un raz-de-marée de M. Legault au Québec.
Monsieur Bousquet,
Vous faites beaucoup de politique-fiction. Vous oubliez dans votre équation l’arrivée d’un éventuel parti fédéraliste social-démocrate. Vous oubliez également le fait que les partis en présence peuvent changer de chefs ce qui change toute la donne. Les intentions de vote accordées à François Legault pourraient rapidement fondre comme neige au soleil si un important conflit Québec-Canada fait surface. Et ainsi de suite…
Il y a toujours également la possibilité qu’un chef rassembleur réussisse à réunir à nouveau les souverainistes. Quant à la droite péquiste elle est, je crois, plutôt faible.
m.Bousquet ,vous rêver en couleurs et même plus, en trois dimensions,,,Jamais au grand jamais le ROC ne mettra le bout de sa petite orteil dans votre rêve utopique,,La seule solution est l’indépendance du québec,,,et en passant je vois très bien m.Duceppe comme l’homme de la situation ,encore faut-il que le PQ lui ouvre la voie et embarque avec lui,,l’heure est à l’union des forces et non plus aux petites guerres internes, et j’opte pour qu’on demande a QS de joindre les rangs,,, Amir est un bon guerrier ,,,comme M,Duceppe d’ailleurs ,,nous avons besoin d’éveilleurs du Peuple,,,Non pas de béni-oui-oui ,,fini les folies,,;-)
M. Drouin écrit : «Soyons clairs ! Seule la faiblesse du PQ permet au PLQ de se maintenir au pouvoir en se moquant des citoyens.»
Seuls, nos votes, maintiennent le PLQ, pas le PQ.
Monsieur Bousquet,
Il ne faut pas confondre la faiblesse du PQ avec la faiblesse du PQ dirigé par Pauline Marois.
M. Asselin, c’est le Québec qui a refusé par 2 fois, en 1980 et 1995, de changer la fédération actuelle de provinces, pour un genre de véritable confédération d’États souverains, pas le ROC qui nous disait de voter NON parce qu’il ne négocierait pas ce genre d’arrangement.
Mais, selon moi, le PQ doit, maintenant, faire contre mauvaise fortune bon cœur en prenant acte des récents des derniers sondages.
Face à une situation ou un destin défavorable, il est inutile de se lamenter. Il faut au contraire accepter son sort et chercher à en tirer le meilleur profit pour demander aux fédéralistes s’ils vont virer séparatistes avec un nouveau chef charismatique au PQ. Autrement, faut juste que le PQ change d’option pour une plus rassembleuse des Québécois francophones.
M. Mitriou, vous écrivez une chose très intéressante : «il semble qu’un nouveau parti fédéraliste de centre-gauche et opposé au statu quo constitutionnel serait sur le point de voir le jour en vue des prochaines élections. »
Jamais entendu parler de ça. Où est-ce que vous avez trouvé cette information qui pourrait diviser le camp fédéraliste ?
Je l’ai entendu lors d’un bulletin de nouvelles diffusé ce midi sur RDI. Ils nous ont même présenté la personne qui travaille à mettre ce parti sur pied. Ce parti devrait même être prêt pour les prochaines élections. Le type en question dont je n’ai pas retenu le nom est issu de la mouvance sociale-démocrate du Parti Libéral. De la même façon que le PQ le PLQ n’est pas formé d’un bloc monolithique de fédéralistes néo-libéraux. Il n’y a pas que le PQ qui est susceptible d’éclater. C’est le cas de tous les partis et il semble que le PLQ va également y passer parce qu’il y a des sociaux démocrates qui ne se reconnaissent plus dans le parti de Jean Charest. Ces gens ne sont pas d’accord non plus avec le statu quo constitutionnel pratiqué par le PLQ. Ils se décrivent comme fédéralistes mais souhaitent des changements profonds au statut constitutionnel du Québec. Je crois que ce parti a un bel avenir puisqu’il semble se former autour d’un groupe de jeunes qui ont fortement envie de faire de la politique autrement.
Si vous fouillez le moindrement sur le Net vous devriez trouver plus de détails à ce sujet. Peut-être que ce parti préconisera la création d’une véritable confédération canadienne. Qui sait?
Je suis souverainiste et je vote pour le PQ depuis 1976. Lors de la dernière élection provinciale j’ai voté pour le PQ même en étant pas un fan de Pauline Marois. En fait j’ai voté PQ parce que je suis souverainiste et pour sortir John James Charest dont l’entourage dégageait déjà des odeurs nauséabondes de corruption en plus d’un bilan de gérance exécrable, sa marque de commerce
A cette élection plus de la moitié des électeurs sont restés à la maison plutôt que d’aller voter. La majorité des gens qui ne se sont pas dérangés pour cette élection étaient des francophones. Le PLQ de Charest était dans les câbles et l’ADQ était moribond après une performance des plus médiocres dans l’opposition.
Pourtant malgré la grogne populaire mais grâce au vote des anglophones et des allophones de la région de Montréal le PM sortant a repris le pouvoir avec un gouvernement majoritaire. Les membres du PQ ont quand même fêtés le résultat de Pauline Marois comme chef de l’opposition alors que ce résultat était selon moi une défaite déprimante et déplorable face à des adversaires aussi démunis dans l’opinion publique.
La raison MAJEUR de ce résultat est pourtant très simple a interprété et c’est la non-popularité de Pauline Marois dans la population et surtout chez les francophones qui représente l’électorat cible du PQ. Le pire gouvernement du Québec a repris le pouvoir et les odeurs de corruption se sont accentuées. Avec Gilles Duceppe comme chef lors de cette dernière élection le PQ serait actuellement au pouvoir.
Le PQ n’a pas le choix. Un nouveau chef pourra les aider à prendre la deuxième place lors des prochaines élections car Legault aura l’avantage de représenter la « nouveauté « même si ce n’est qu’illusion. Les péquistes qui s’entêtent à dénigrer les souverainistes qui souhaitent un changement de chef au PQ sont pour le moins irresponsables. Ils sont incapables de lire la situation réel soit le manque flagrant de popularité de Pauline Marois (depuis son arrivé comme chef) ou ce qui est pire, ils ont rejoints les nombreux autonomistes fédéralistes comme Gilles Bousquet de ce blogue qui grenouillent de plus en plus dans ce parti et qui ne croient plus au projet souverainiste qui est et demeure la principal raison pour laquelle ce parti existe. Legault les attend a bras ouvert ceux-là ! Vite un peu de crédibilité et de courage et allez rejoindre les gens qui représentent votre vision d’un Québec indépendant dans un Canada uni !
Duceppe serait un bon chef pour le PQ mais malheureusement la dernière élection l’aura blessé et en plus je ne suis pas certain que la population lui donnerait le pouvoir. Par contre je suis convaincu que le PQ avec Duceppe est assuré de la deuxième place et peut-être la première si jamais l’étoile de Legaut s’effrite pendant la campagne électorale. Avec Pauline Marois c’est la débandade assurée.
La première question que l’on doit se poser. Pourquoi le cuisinier en Chef de Gesca-La presse sort exactement maintenant pour orienter le trafic dans le mouvement souverainiste ? Surement pas pour les conseiller afin qu’il s’approche du pouvoir.Mon oncle Paul serait pas content.
C’est un fait qu’il y a un problème de leadership (perception).
Mais le but de Lessard est de braquer Duceppe contre Mme Marois. Un course à la chefferie nourrirait de profonde division dans le mouvement, alors que se déclencherait la prochaine élection.
Et pour le moment on tappe sur la crédibilité de Mme Marois, histoire de l’empêcher de concrétiser un pacte avec QS, qui pourrait changer la dynamique.
La manœuvre de Lessard (oui s’en est une) vise à favoriser les chances de Legault un autre pion sous contrôle du propriétaire de Gesca-La Presse.
Que fera Mme Marois, je l’ignore mais si elle doit quitter, la dernière chose qu’on a besoin c’est une course à la chefferie. Si un candidat ne peut s’imposer et être nommé en collégialité, c’est que le mouvement est dangereusement confus. Et ça c’est pas une bonne nouvelle pour l’ensemble du Québec.
Lessard continue son opération de déstabilisation cet après midi:
http://www.cyberpresse.ca/actualites/dossiers/crise-au-pq/201110/26/01-4461433-marois-peine-a-rallier-les-troupes.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_B4_manchettes_
M. Asselin, les souverainistes qui se sont abstenus de voter à la dernière élection de 2008 parce qu’ils n’aimaient pas assez Mme Marois, pour ceci ou cela, sont des mous de l’option constitutionnelle, responsables de la victoire de M. Charest. Ils n’aimaient probablement pas plus Messieurs Landry en 2003 ou Boisclair en 2007, pour d’autres raisons.
Je crois simplement que le PQ ne gagnera rien en changeant de chef parce que c’est son option séparatiste qui fait problème. Je crois que le PQ est le bon parti mais qu’il devrait revenir à l’option de M. René Lévesque et de Messieurs Parizeau, Bouchard et Dumont en le nommant différemment, ce qui serait plus « vendeur » pour faire moins peur : Une véritable confédération canadienne d’États souverains.
Autrement, le PQ s’en va directement à l’abattoir avec n’importe quel chef.
Je souhaite me tromper mais, ça me surprendrait. Si ça arrive autrement, je vais ici, m’excuser.
Monsieur Pomerleau !
Evidemment les adversaires du PQ sont pour la plupart a l’extérieur du parti mais force est d’admettre que le PQ actuellement est dans une impasse et dans la division par dessus la tête et que le problème majeur n’est pas LUI a l’extérieur du PQ !
Vous ne voulez pas d’une course au leadership ! D’accord ! Mais sans un nouveau chef le PQ risque de disparaître ou du moins de se retrouver dans la situation de l,ADQ actuellement .
J’ai quand même une certaine admiration pour les matelots qui sont prêts à couler avec le capitaine ! Mais cela demeure quand même un suicide !
Autre problème au PQ, Québec solidaire : Plus Québec solidaire, qui va chercher ses nouveaux votes chez les souverainistes du PQ, monte, plus le PQ baisse…normal, c’est la même eau.
En tenant compte de la venue de la CAQ, il restera 25 % de souverainistes séparatistes au Québec à séparer leurs votes entre 4 partis souverainistes séparatistes…séparés.
Monsieur Bousquet avant de me répondre sur un des mes commentaires ayez au moins l’obligeance de le lire comme il faut .
Je n’ai jamais parlez des souverainistes qui se sont abstenus de voter mais des FRANCOPHONES ! Et sans un appui important des francophones le PQ ne gagnera JAMAIS ! Et les FRANCOPHONES en majorité n’aiment pas Pauline !
Me semble que ce n’est pas tellement difficiel a comprendre !
M. Asselin, si je pensais 2 minutes qu’un nouveau chef au PQ serait LA solution, je militerais pour un changement de chef. Je tente, à la place, sans succès, de faire changer l’option constitutionnelle mais le PQ ne le fera pas. Il préfère la gouverne souverainiste qui fait moins peur aux souverainistes qui craignent la séparation, à tort ou à raison.
Le PQ s’en allait vers une victoire le printemps dernier quand M. Duceppe s’est pointé à son élection du 2 mai au PQ pour déclarer, afin de faire plaisir aux séparatistes pressés, que le pays du Québec se ferait 1, 2, 3 : 1, élection du Bloc, 2, élection du PQ et 3, référendum gagnant. Les affaires ont commencé à aller mal à partir de ça.
Les Québécois étaient prêts à la gouverne souverainiste mais pas à la suggestion rapide 1, 2, 3 ni à la démission des 5 mutins, dirigée par le couple Parizeau-Lapointe.
Le problème à la chefferie existe. Il y a 2 manières de le régler.
Un Pacte avec des point précis pour préciser les termes de l’enjeu: Qui contrôle notre État au profit de qui ? On est entrain de se faire piller littéralement et personne n’a encore pris la posture qui convient. Et ça prend une équipe du tonnerre sur la patinoire crédible pour compenser le manque de carrure de Mme Marois.
Ou elle part et là on doit fermer les rangs rapidement derrière quelqu’un qui comprends la game.Fini la crispation conceptuelle souverainiste fédéraliste qui fait le jeu des pilleurs de notre État.
M. Asselin, les Québécois francophones sont fédéralistes ou souverainistes.
Les fédéralistes qui ne vont pas voter aident au PQ et les souverainistes qui ne vont pas voter aident au PLQ. Les fédéralistes ne voteront jamais pour Mme Marois, même s’ils l’aimaient. Le souverainistes devraient voter pour un parti souverainiste, même s’ils trouvent quelques défauts ou ne lui aiment pas la face ou la fortune ou le château du chef.
Monsieur Bousquet !
Même si le PQ changait d’orientation . Qu’il deviendrait un parti autonomiste de centre-gauche pour occuper une place autre que le parti de Legault et que l’ option souverainiste serait sacrifié je vous garantie n’importe quoi que Pauline Marois ne passerais pas !
Alors avant de jeter le programme d’un parti par dessus-bord regardons la qualité du leadeship et la popularité du chef face a l’opinion publique . C’est beaucoup plus simple de changer une seule personne et essayer de gagner la confiance du publique que de changer le parti au complet surtout si la place est déja occupée par un Legault qui a le vent dans les voiles .
M. Pomerleau, les fédéralistes croient que c’est une élection du PQ qui nuit à notre économie pendant que les souverainistes croient que c’est une élection du PLQ qui nuit à notre économie pendant que M. Legault, fin renard, veut placer de côté ces notions de fédéralistes et de souverainistes pour placer l’accent sur la santé, l’éducation, l’économie, le français et la culture, ce qui semble aussi les priorités de la majorité de Québécois qui placent la constitution au bout de leurs préoccupations. Est-ce que la CAQ de M. Legault voudra, comme le PLQ, vendre le Québec aux compagnies étrangères ? Faudra lui demander.
« Est-ce que la CAQ de M. Legault voudra, comme le PLQ, vendre le Québec aux compagnies étrangères ? »
Legault Charest deux pions des affairistes. Mais voilà exactement ce que le monde ignore. Et voilà exactement la job de l’opposition qui est de la faire voir clairement.
M. Asselin, Mme Marois a été critiquée par les souverainistes et les fédéralistes, depuis son accession à la chefferie du PQ : Trop de foulards, trop d’argent, un trop gros château, un trop petit chalet pour faire pauvre, un mari trop collé aux riches, pas assez charismatique etc. Est-ce qu’elle est moins charismatique que M. Harper qui a été élu majoritairement Premier-ministre du Canada en mai dernier ? M. Duceppe, très apprécié des séparatistes pressés a été lavé le 2 mai dernier quand il s’est prononcé sur la séparation du Québec du Canada. Faut en tenir un peu compte.
Je trouve pour ma part incroyable qu’un parti soit victime de son chef alors que c’est le programme qui fait le parti.
Le Bloc n’est pas disparu à cause de M. Duceppe. Le Bloc est disparu à cause de sa nature même. L’heure était venue. L’heure de disparaître.
C’est peut-être ce qui pend au bout du nez du PQ. Je souhaite de tout coeur que M. Duceppe reste dans ses terres jusqu’aux prochaines élections. Après les prochaines élections, si le coeur lui en dit, il pourra revenir sur la scène politique et tenter sa chance à nouveau. Un chat a plusieurs vies.
Je crois que M. Duceppe a bien mérité cette période de repos. Panser ses plaies, récupérer et recharger sa batterie. Ça prend bien deux ans, à son âge.
Entre temps, au PQ… Ils peuvent continuer à s’entretuer. Il n’y a jamais de saison morte pour cette occupation dans ce parti.
Je plains Mme Marois, et ce parti me désarçonne. Passer de 93 % de soutien à personna non grata en si peu de temps… J’en perds mon latin.
Monsieur, votre pensée a sombré dans la gauche pure
pseudo internationaliste, vous souhaitez la disparition pas partielle complète des partis souverainistes selon un air d’Outaouais trop proche d’Ottawa pour ne pas en être aveuglé.
Il y a un an, j’avais discuté sur ce blogue avec vous dans la distance du net mais tout de même sur Lord Durham. Trop de Québécois capitulent et secrètement rêvent d’assimilation. Le NPD en tant que nouveau Parti Libéral du Canada implicite vous en donne l’occasion. Rien à ajouter.
M. Gingras, quand un député a peur de perdre son job, il n’y a plus de raisons qui tiennent, seulement les émotions et au PQ,, de l’émotion, il y en a un plein camion.
La faute en revient à M. Duceppe qui amis le feu aux poudres des Québécois, comme expliqué plus haut. Mme Marois tentait de calmer le jeu avec sa gouverne souverainiste mais les séparatistes pressés ont voulu accélérer les choses, avec le couple Parizeau-Lapointe, ce qui a aidé à faire battre le Bloc le 2 mai dernier et qui fait descendre le PQ, qui était solidement enligné pour gagner le pouvoir, AVEC MME MAROIS, en avril dernier.
M. Bouchard, vous vous adressez à Monsieur…Monsieur qui ?
À part les élucubrations de certains ici qu’on reconnaît.
Il va de soi qu’un bipartisme Parti CAQ et PLQ ne représente qu’une totale stérilité politique au Québec. Le PQ est affaibli structurellement, avec P.Marois c’est un parti anéanti. J’appui la position de R.Asselin ici, à tout prendre, si le PQ et idem Québec Solidaire sont en difficulté devant un Legault louangé par les médias, ce n’est que par une alliance péquiste solidaire et un nouveau chef au PQ que la gauche nationaliste peut espérer à défaut de prendre le pouvoir de maintenir l’opposition officielle face au PLQ ou au Parti Legault à prochaine élection.
Nous n’avons qu’à penser à A.Khadir chef du PQ pour faire contraste nonobstant le côté surréel pour comprendre que la crédibilité du PQ serait réhaussée avec Khadir ou de façon plus réaliste un Duceppe ou Drainville.
M.Bousquet, à M.Gingras.
Le Parti Québécois a fait de bonnes choses entre 1976 et 1982. Malgré la pression du néolibéralisme et de la fragilité des budgets des États, malgré la dérive du déficit zéro, le PQ a réussi à faire entre 94 et 2003 deux trois choses intéressantes encore c’est déjà plus que les 8 ans de gouvernement libéral. Loi sur le financement des partis contourné certes depuis 1976, loi 101 trouée mais encore fonctionnelle pour la scolarisation publique des enfants d’immigrants. Les mesures de 1994-2003 sur l’assurance médicament, les garderies publiques et la construction de la grande bibliothèque ne devraient pas permettre malgré la négativité du déficit zéro et la stagnation sur le plan souverainiste d’agir envers le PQ comme si ce parti était aussi pourri que le PLQ.
Que des députés, des militants réagissent afin d’éviter que le PQ ne disparaisse qui n’est pas un clone du Parti Libéral c’est logique. D’autant que Legault propose un plan d’ingénierie politique par son programme qui n’est qu’une variante on s’en doute du programme magique du partenariat public privé du libéral-conservateur Charest.
Madame Marois doit démissionner, je l’ai dit et redis, elle ne PASSE pas!
M. Bouchard, les médias doivent vivre avec leurs publicités qui viennent des entreprises qui sont très majoritairement fédéralistes. Si les partis souverainistes sont trop à gauche, comme Québec solidaire, ça ne favorise pas sa présence favorable dans ces médias afin de ne pas trop indisposer ces entrepreneurs qui peuvent placer leurs annonces n’importe où.
M. Khadir est bien intéressant et intelligent mais il n’est pas sans défaut avec Québec solidaire qui héberge le Pari communiste et qui défend le voile islamiste et le multiculturalisme.
Bonjour
Je résumerais le problème en quelques mots.
Les libéraux ont un style britannique alors que les péquistes agissent en latin.
Exemple:
Depuis 1998, M. Charest a empoché 825 000 $ en salaire de la part du Parti libéral. La prime annuelle est demeurée secrète pendant 10 ans, jusqu’à ce que Jean D’Amour, l’ancien président du PLQ devenu par la suite député de Rivière-du-Loup, ne vende la mèche à un journalistehttp://www.ledevoir.com/politique/quebec/278700/le-premier-ministre-dit-avoir-besoin-de-sa-prime-de-75-000.
Jean Charest s’est retrouvé pour une rare fois sur la défensive à cause d’une « bévue » d’un député libéral, sans cela personne aujourd’hui ne serait au courant.
Donc, chez le libéraux, la fidélité et le secret absolu ou sinon démissionne sans faire de vagues..
Aujourd’hui, on apprend par les médias qu’il y a des dissentions au parti québécois à propos du leadership de Pauline Marois…
Dites-moi, y a t’il des micros cachés sous les tables lors des réunions péquistes ou ce sont les députés qui servent de lien de transmission avec La Presse?
Peut importe le chef du P.Q, les groupuscules à l’intérieur préfèrent coulé le navire plutôt que de garder le cap dans les périodes difficiles.
P.S. Il y a la castafiore Marois mais que dire du tricheur Charest?
Les leaderships de R.Lévesque, J.Parizeau malgré les crises ont duré respectivement 15ans et 7 ans. Celui de L.Bouchard malgré qu’il ait été issu de l’extérieur du gouvernement Mulroney a duré 5 ans. Jamais les Lévesque, Parizeau et Bouchard n’ont connus la situation d’un PQ tombé en déca de 20% depuis 1976.
La différence est là pour madame Marois, à 18% ou 15% bientôt et en pleine crise cynique du politique, l’avenir de Mme Marois comme chef est caduc. P.Marois est dans une situation de faiblesse de leadership dont la gravité est incomparable avec celle de ses prédécesseurs qui ont compté.
M.Bouchard
Vous me connaissez suffisament et savez qu’en tête des responsables du vide sidéral auquel nous sommes confrontés par rapport au cynisme, je blâme en premier lieu les québécois qui s’abstiennent d’aller voter par jem’enfoutisme ou qui se comportent comme des lemmings qui se jettent du haut d’une falaise comme le 2 mai dernier.
M. Legault, à travers la CAQ qu’il souhaite fonder, souhaite que le Québec, à la place de recevoir de la péréquation des autres provinces, par une politique fédérale, en paierait, quand ses finances seraient rendues meilleures que la moyenne canadienne, ce qui devrait prendre entre 10 à 15 ans, selon lui. La prochaine génération, devenue plus prospère, pourrait alors, décider plus facilement de son avenir constitutionnel, avec une question du genre : Voulez-vous cesser de payer de la péréquation au reste du Canada en nous en séparant du Canada, pour conserver plus d’argent au Québec ? OUI ou NON.
C’est ce genre de réflexion, qui fait pencher le quart des souverainistes mous du PQ et de Québec solidaire, vers son parti à former.
M. Bouchard, le PQ, sans le parti à former, la CAQ de M. Legault, au dernier sondage est à 25 % plus 13 % à Québec solidaire, qui prend des votes au PQ, était absent du temps des Lévesque, Parizeau et Bouchard. Ça se gâte quand la CAQ vient dans les sondages. De 38 % de votes au PQ et à Québec solidaire, les votes souverainistes tombent alors à 26 %,
Monsieur Bousquet !
Je n’ai absolument rien a reprocher a Pauline Marois comme militante du PQ et de la cause souverainiste . Son implication et ses réalisations sont tout ce qu’il y’a de plus corrects et appréciables et sont statut de personne a l’aise financièrement ne m’a jamais dérangé . Je crois tout simplement qu’ elle n’a pas ce qu’il faut pour diriger un parti comme le PQ en ces temps troubles pour la politique en général et plus particulièrement pour un parti souverainiste .
M.Goyette, je suis de ceux qui regardent le peuple agir. Tout n’est pas de la faute du PQ quant à l’impasse de la question d’avenir du Québec.
Les fédéralistes n’en parlent plus, on demande aux souverainistes de mettre cette question au frigo. Le peuple a voté contre les politiciens établis le 2 mai et s’est jeté dans les bras d’un parti le plus centralisé qui puisse exister. Là on voudrait que le PQ se suicide tranquillement sans réagir que l’on revienne aux beaux jours de l’Union Nationale mais avec Legault et au Parti Libéral qui lui est revenu aux jours sombres de Taschereau et de sa corruption.
Le problème est redevable aussi du peuple. Il attend le sauveur, le prophète, résultat d’une ancienne tradition catholique politique qui anime un peuple en même temps frileux qui a comme appris que sans la providence, la grâce, aucun changement politique d’importance ne peut se faire et cela donne Legault ou le NPD.
M. Asselin, il manque quoi à Mme Marois ? Devenir bête et renfrogné comme M. Duceppe ? Coupant comme M. Bouchard ? Hautain comme M. Parizeau ? Prendre un peu de coke comme, je ne me rappelle plus qui ? Quoi exactement ? Plus de charisme que M. Harper ?
Le PQ est pas mal plus difficile à gérer qu’un autre parti. Il compte plus de révolutionnaires émotifs, principalement les pressés, qui cherchent le bonheur toujours ailleurs qui ont de la difficulté de se contenter de ce qu’ils ont, principalement, de leurs chefs et même de leurs députés qu’ils trouvent trop carriéristes, profiteurs et menteurs. Belle façon de traiter ses représentants à notre Assemblée nationale.
Gang d’indisciplinés revendicateurs qui donnent plus le goût de virer fédéralistes que de suivre leurs esprits destructifs de leur propre camp.
Nous prenons tant d’énergie à contrer les élécubrations de M. Bousquet qui accapare près de 50% de l’espace de ce blogue ( 45 % pour être précis) qu’on en vient à émousser nos propres perceptions.
Alors si Mme Marois n’est plus l’heureuse élue destinée à sauver le PQ et, par tant le Québec en entier, en qui remettrons-nous notre destin ? Qui sera le prochain agneau qui sera immolé à la première occasion ?
Je crois que collectivement, nous manquons sérieusement de maturité politique.
«Il est plus facile de briser un atome que de briser un préjugé.» [Albert Einstein]
Le Québec est en pleine crise politique et perdu dans sa référence à lui même.
Et dans la périphérie de cette crise, la question du leadership de P.Marois et de J.J.Charest n’est pas loin paradoxalement d’être centrale puisque le parlementarisme britannique mais différemment de la 5ème république en France surinvestit le pouvoir du chef de parti, du premier ministre. La politique au Québec n’échappe pas à un état de monarchie élective survalorisée par les médias. Alors oui, messieurs, la remise en question du rôle du chef, de l’action du premier ministre se pose.
Puisque la politique gouvernementale n’est certes pas monarchique, elle est liée à une monarchie élective donc à un droit d’appel.
Le monarque élu peut être nu et de cela nous nous devons de réagir!
Idem pour la chef du PQ qui aspire….
Vouloir remplacer Pauline Marois comme chef du PQ n’a rien a voir avec l’immaturité politique . Au contraire ! Pauline Marois est aussi impopulaire que John James Charest qui joue actuellement sa carrière poltique tellement il est méprisé par l’ensemble de la population .
Franchement ! Pas obligé d’avoir un Bac en science politique pour comprendre ça !
@ M. Paolo Mitriou:
Vous avez dit « (…) d’autant plus qu’il semble qu’un nouveau parti fédéraliste de centre-gauche et opposé au statu quo constitutionnel serait sur le point de voir le jour en vue des prochaines élections. »
Faites-vous allusion à la CAQ? Sûrement pas, car il ne s’agit certes pas là d’un parti de centre gauche. Alors, de quel autre nouveau parti s’agit-il?
Pauline Marois ne semble pas vouloir démissionner et je doute qu’elle le fasse.
Jamais il n’y eut de pétitions demandant la démission de Pauline alors qu’à plusieurs reprises on a signé des pétitions pour la démission de Jean Charest.
C’est à mon avis , un bateau qui coule avec plusieurs capitaines cherchant la chefferie.
C’est vrai que le parti québécois est démonstratif et émotif.
Sûrement que Jean Charest s’est fait reproché son leadearship mais rares furent ceux qui ont démontré leur mécontentement à son égard.
Gilles Duceppe à mon avis n’ira pas dans ce parti.On lui a reproché son air bête mais les québécois le 2 mai ont voté pour diminuer le parti conservateur.
La vague orange a dépassé les sondages .
Gilles Duceppe n’a jamais vécu de crise .Il connaissait ses dossiers et a fait beaucoup pour le Québec.
Ce parti reviendra sûrement.
Mais présentement le parti québécois qui avait tout pour gagner coule.
A mon avis, même si Pauline Marois démissionnait le chef n’aurait pas l’appui des québécois.
Si le 2 mai les québécois ont voté pour du nouveau, il en sera de même aux prochaines élections.Jean Charest et le parti québécois seront remerciés.
M Bousquet.
Si le parti québécois est en crise vous me semblez vous-mêmes dans le même état.
Vous êtes difficile à suivre.Au fait êtes -vous séparatistes mais à condition de etc, libéral, adéquiste allouette ou girouette.
Je pense aussi que nous écrire qu’André Boisclair ait pris de la cocaine est du passé.
Fumez un petit ou gros joint ce soir, on dit que ça calme.
Cinq démissions chez les péquistes pour une question de ligne de parti à propos du nouveau Colisée.
Au parti libéral, Jean Charest accumule les revirements sur un 10 sous, méprise nos institutions démocratiques, ses militants rejettent la majorité de ses idées au dernier congrès, rien n’y fait. Notre as teflon de l’esquive n’est nullement remis en question par ses disciples de l’amour infini.
Mme Thibaudeau, vous pourriez être un peu polie avec ceux qui n’ont pas exactement votre opinion. Écrire à un commentateur de se calmer en fumant un joint et lui demander s’il est une girouette n’est pas très utile pour l’échange.
Je n’ai jamais mentionné M. Boisclair qui, selon vous, aurait consommé des affaires ?
Je vous retourne la question, est-ce que vous êtes séparatiste ?
Pour ceux qui veulent sortir Mme Marois de la chefferie du PQ, il semble que vous êtes sur le point de réussir, selon les commentateurs de nos médias électroniques. Je vous souhaite de réussir cette autre sortie mais je doute de la solution en question.
Jamais je n’aurais pensé que Pauline Marois puisse avoir une telle tête de cochon. La grogne gronde autour d’elle et elle pense qu’en calmant son caucus elle va régler son problème de leadership. Ce n’est pas dans son caucus que le problème est le plus criant. C’est au niveau des militants et de la population en général que l’amour est mort. Et ce n’est pas une campagne publicitaire de charme de 200,000$ qui y changera quoi que ce soit. Je vois autour de moi plein de souverainistes qui en ont marre de la Pauline. Chacun a sa ou son ensemble de raisons personnelles. Beaucoup de ceux qui l’ont déjà aimé ne l’aiment plus et personne qui ne l’a jamais aimé semble l’aimer maintenant. Qu’est-ce que cela veut dire? Que Madame Marois est bouchée des deux bouts. Ce n’est pas ses députés qui peuvent la sauver si ses militants et la population en général ne la suivent pas. Bien sûr qu’il y a Gesca qui manipule derrière tout cela pour foutre le bordel dans le camp souverainiste mais ça c’est une chose contre laquelle on ne peut pas faire grand chose. La seule chose qui puisse sauver le PQ c’est le départ volontaire de celle qui est en train de couler ce parti.
Pour la première fois de ma vie (j’ai 54 ans) je me demande si je vais encore voter pour le PQ lors de la prochaine élection. Je ne pensais jamais en arriver là. Si le seule façon de tasser Pauline Marois définitivement c’est de la faire chuter au fond du gouffre en ne votant pas pour elle je crois que je vais le faire. Ce sera une mauvaise période à passer mais au moins le PQ aura un avenir avec un nouveau chef. S’il fallait que Pauline Marois survive à la prochaine élection ce serait horrible. Cela ne ferait que prolonger l’agonie du grand parti de René Lévesque.
SVP Popo, arrête de regarder tes députés et regarde les militants du PQ et la population en général dans le blanc des yeux. On ne peut pas être aimé de tout le monde. Il faut savoir le reconnaître et ce n’est pas un drame.
Comment lui faire comprendre que le PQ est plus important que son nombril?
Que le dernier député à quitter le PQ ferme le lumières svp.
Une crisette aux dix jours, 5 chefs en 16 ans et tout ce qu’on peut suggérer pour le sauver c’est encore un nouveau chef ! Et de plus ce nouveau chef s’appellerait Gilles Duceppe, celui qui a fossoyé le Bloc et même perdu son propre siège ! Ou mieux encore, un pacte avec le bon communiste Khadir !
On a vu la disparition de l’Union Nartionale et des Créditistes, bientôt ce sera le PQ, peut importe le chef.
Il ne faut pas prendre vos rêves pour des réalités. Le PLQ pourrait bien disparaître avant le PQ. De toute façon le PQ disparaîtra une fois que le Québec sera souverain et cela pourrait bien se produire plus vite que vous ne le pensez. Je ne suis pas certain que la majorité des québécois auront envie de vivre encore bien longtemps dans le nouveau Canada Royal de Stephen Harper.
Les choses changent très vite en politique. La semaine dernière c’était le PLQ qui était au bord de la crise et rien ne laissait présager qu’un nouveau parti fédéraliste (et anti statu quo) de gauche menacerait le PLQ. Il n’y a pas que les souverainistes qui peuvent se diviser.
M Bousquet.
Je suis orpheline présentement en politique.
Ce qui est certain c »est que je pense voter Québec solidaire si Pauline M ne quitte pas.
Désolée de vous avoir blessé.C’est pas en fumant un joint qu’on s’exprime.
Monsieur Beauchesne !
Voila de quoi vous réjouir !
Alors vous pourrez voter en toute quiétude pour nos Lucides et Legault comme PM , ce qui fera plaisir aux petits amis du privé qui s’en pourlèchent les babines . Ou peut-être remettre Charest au pouvoir , ce qui serait l’équivalent mais dans la version anglaise canadienne !
Mme Thibaudeau, merci pour le ton pausé de votre dernier commentaire.
À mon tour, je ne penche pas du côté de Québec solidaire parce que ce parti penche trop à gauche avec le Pari communiste qu’il héberge et son laxisme envers le multiculturalisme et les femmes voilées de la tête aux pieds. Un parti très à gauche ne ramasse pas les riches, plus à droite, qui contrôlent, avec leurs annonces, les médias qui en ont alors besoin. Un projet de souveraineté ne peut pas exclure ses entrepreneurs et ses entreprises. Le PQ est bien assez à gauche pour aller chercher des appuis de quelques entrepreneurs, au moins.
Pour débarquer le PLQ, ça va prendre le PQ ou la CAQ. Si les Péquistes continuent à taper sur leurs chefs publiquement, ça va être la CAQ qui va gagner et alors…adieu la souveraineté pour la génération des baby boomers.
Monsieur Bousquet écrit :
» Si les péquistes continuent à taper sur leur chef publiquement , ça va être la CAQ qui va gagner »
Franchement être plus déconnecté que cela tu milite comme autonomiste-fédéraliste au PQ .
Je vais reprendre cet énoncé selon la réalité :
» Si les péquistes persistent a présenter Pauline Marois comme chef lors de la prochaine campagne électorale le parti risque de se retrouver a la même place que l’ ADQ présentement »
PS : A remarquer que Monsieur Bousquet qui est membre en règle de ce parti parle des péquistes en employant le » Ils » plutôt que le » nous » ce qui en dit long sur son sens de la solidarité .
M. Asselin, le « ils » qui tapent sur Mme Marois, je n’en fais pas partie. Je ne suis pas solidaire de ces ILS qui ont voté pour son leadership à 93 % et qui lui tournent le dos maintenant.
Pendant que nous y sommes, qui est-ce que vous voyez de plus efficace que Mme Marois, à la chefferie du PQ ?
Autre question : Comment est-ce qu’un chef du PQ peut être populaire quand les souverainistes tapent dessus publiquement, à l’année pour s’étonner ensuite de son manque de popularité afin de mieux continuer à lui taper dessus, à la manière Parizeau-Lapointe ?
Si Mme Marois se fait planter, comme M. Duceppe le 2 mai dernier, je vais voter pour la faire débarquer de la chefferie, à moins qu’elle le fasse ou, découragé par les députés péquistes qui se mutinent en éliminant ainsi leurs chances de gagner la prochaine élection générale, que je joigne la CAQ qui veut se concentrer sur l’éducation, la santé, l’économie « pour que le Québec paie de la péréquation, à la place d’en recevoir », sur la langue et sur la culture, pour les 10 prochaines années…minimum, pour mieux nous débarrasser du PLQ qui ne devrait pas être élu une quatrième fois en ligne.
Je ne souhaite pas la disparition du PQ. Au contraire, j’aimerais que le PQ redevienne aussi populaire qu’en 1976.
Hier, à Radio-Canada, télévision, Vincent Marissal rapportait la formule lapidaire de son collègue Denis Lessart : » Que veux tu? Mme Marois ne passe pas. » Constat navrant mais vérifiable. Pourquoi?
Comme en amour, où les phéromones jouent un rôle essentiel, les phéromones de Mme Marois ne sont pas perçues, senties par la vaste majorité des électeurs. C’est chimique.
Mme Marois est victime de son ADN. Les Péquistes, qui lui ont préféré M. Boisclair la première fois, avaient sans doute, consciemment ou inconsciemment, raison la première fois. On reprocha à M. Boisclair d’avoir déjà consommé de la drogue et d’être homosexuel. On reproche à Mme Marois d’être riche et de s’habiller avec goût. Ça ne fait pas sérieux. On peut lui reprocher son manque de jugement dans l’affaire de Québec. Son opportunisme, son manque de principes, mais pas son habillement. Franchement.
Le PQ est probablement trop hétéroclite pour être solide, résistant. Peut-on considérer le PQ comme un catalyseur, tout simplement? Il a joué son rôle et doit maintenant évoluer sous une autre apparence ou disparaître. C’est une interrogation.
Le PQ, comme le PLQ de Jean Lessage, a joué un rôle essentiel dans notre histoire. Est-il toujours pertinent? Le Québec a suivi une autre route depuis 1980, s’éloignant tranquilement, poco a poco, du chemin que lui destinait le PQ de 1976. Le peuple est souverain. Des esprits brillants peuvent avoir un programme intelligent pour un pays, mais si les habitants de ce pays ont un autre programme, une autre vision, c’est le peuple qui décide, même s’il a tort.
A mon avis, c’est ce qui se passe en ce moment. Des intellectuels savent et souhaitent ce qu’il y a de mieux pour le peuple, mais le peuple ne les croit pas, ne suit pas. En démocratie, le peuple a le droit d’avoir tort, n’en déplaise aux élites intellectuelles.
Si jamais les Québécois s’assimilaient, ce qui est possible, ils deviendraient comme les Irlandais, les Ecossais, les Galois, des anglophones distincts. Cela n’est pas réjouissant, j’en conviens, je le déplore même, mais il y aurait toujours cette étincelle qui nous identifierait comme différents. Ce ne serait pas la couleur de notre peau, mais il y aurait un certain je ne sais quoi qui nous rassemblerait, nous unirait. Je ne le souhaite pas, mais ce ne serait pas la mort totale. Ce serait la petite mort. Pas celle que l’on trouve au lit, évidemment. 🙂
La vie n’est pas simple. 🙁
Vous dites:« c’est le peuple qui décide, même s’il a tort.« . Vous vous trompez royalement car « le peuple« n’a jamais tort dans son choix .Si le peuple a décidé de maintenir un lien avec le Canada c’est qu’il est à son avantage de le faire. Peut-être qu’un jour il en décidera autrement et alors ce sera à son avantage de le faire aussi.
Ce sont les intellectuels qui ont tort de vouloir forcer le peuple à penser comme eux. Ils le font de bonne foi car je crois qu’ils (les intellectuels) y voient leur avantage dans un Québec indépendant.
Ce n’est pas une question de croire ou pas, c’est une question de comprendre les enjeux et le ratio risque/bénéfice. Pour la plupart des intellectuels et aussi dans une certaine mesure les artistes, un Québec indépendant ne représente qu’un risque minimal avec des bénéfices importants. Le peuple lui voit les choses de façon différente, il sent la division profonde autour de lui sur cette question et y voit un risque de dérapage beaucoup plus important avec un bénéfice minimal.
M. Gingras, le PQ était populaire en 1976 parce que son option constitutionnelle prévoyait un lien canadien avec la souveraineté-association. Dans les dernières années, le PQ a laissé tomber l’association pour ne conserver que la souveraineté qui, seule, est synonyme de pure indépendance et de séparation, ce que ne veut pas 87 % des Québécois. M. Bourgault s’en était rendu compte dans les années 60 avec le RIN qui n’a jamais été plus haut que 8 %.
C’est qui la « lumière » au PQ qui a laissé tomber l’association qui pouvait être changé pour une autre idée mais, pas pour la « séparation » ?
Mme Legault, depuis 1996 le PQ s’est stupidement cantonné dans cette stratégie simpliste qu’est l’alternance d’un pouvoir d’intendance coloniale, délaissant complètement le projet de pays du Québec, la raison même de son existence. J’ai déjà suggérer à certains péquistes « ronds de cuir » purs et durs provincialistes – très bien représentés sur ce blogue par l’illustre statisticien des sondages quotidiens, Gilles Bousquet – de changer le nom de leur parti PQ en PPQ: Parti provincial québécois.
Alors, était-il surprenant de voir ce parti, depuis les 15 dernières années, devenir ce qu’il est devenu, une coalition de professionnels « ronds de cuir » de la politique provinciale capitalisant sur l’espoir de voir le régime liberal en place se planter et ainsi, niaisement, « prendre sa place ». Pathétique !!!
Le PQ n’est même plus l’ombre de ce qu’il était avant 1996. Qu’un vieux parti de ronds de cuir nationaleux. C’est ce que mérite ce parti, les 18% de M. Bousquet, et se faire damer le pion, sur leur propre terrain de l’alternance du pouvoir d’intendance coloniale, par un autre rond de cuir de la politique, le caqueteux Legault.
Le PQ aurait dû faire de l’éducation auprès de la population sur ce que représente réellement la souveraineté politique pour un peuple.
C’est ce que préconisait la proposition Crémazie, qui a malheureusement été écartée par la garde rapprochée de Mme Marois.
Il est encore temps de le faire, avec une solution de compromis rassembleuse comportant deux volets simultanés : Gouvernance souverainiste par l’aile parlementaire du PQ et Application de la proposition Crémazie par un Regroupement Bloc-PQ pour parachever les études sur la souveraineté, préciser les projets et en assurer la diffusion dans le public, et préparer ainsi la réalisation de la souveraineté, de façon à ce qu’au moment où se tiendrait le référendum, les Québécoises et les Québécois sachent ce qu’implique la souveraineté.
On occuperait alors tout l’horizon temporel : court terme électoral, moyen et long terme national. Il y a assez de membres dans le parti pour pouvoir agir sur ces deux fronts en même temps.
Monsieur Bousquet !
Vous voulez aller a la guerre avec Pauline Marois grand bien vous fasse . Le PQ ne fera qu’une troisième place de peine et de misère . Vous voulez attendre qu’elle se fasse planter comme Duceppe grand bien vous fasse ! Par contre vous nous faite la preuve pas dix qu’une bonne partie des membres du PQ qui appuient encore Pauline Marois ne font qu’un » trip » d’orgeuil et ne veulent que jouer a celui qui pisse le plus loin . Vous voulez mourir avec Pauline grand bien vous fassent !
Tout souverainiste que je suis je ne voterez certainement pas pour des gens qui font passer leur entêtement d’avoir raison devant la réussite du parti aux prochaines élections .
Pauline » a pogne pas » depuis son arrivée comme chef , le nier et jouer aux frustrés ne feront qu’empirer les choses !
Tant qu’a moi voter pour un autre parti aux prochaines élections ne me fera pas faire de l’insomnie croyez-moi !
% des votes du PQ
1998- 43 % avec M. Bouchard
2003- 33 % avec M. Landry
2007- 28 % avec M. Boisclair
2008- 35 % avec Mme Marois plus Québec solidaire 4 %, ce qui fait 39 % de votes souverainistes
2011- 25 % avec Mme Marois plus Québec solidaire 13 % ce qui fait 38 % de votes souverainistes. En présence de la CAQ : 18 % PQ plus 8 % Québec solidaire, total 26 %.
Conclusion : Mme Marois passe aussi bien que M. Landry et mieux que m. Boisclair qui n’ont pas lâché la souveraineté, toutes ces années.
Le PQ a perdu 10 % de votes entre 1998 et 2003 à cause des fusions forcées et du déficit zéro forcé de M. Bouchard, qui en a découragé plusieurs.
M. Asselin, présentez-moi un candidat qui, dans les sondages, ferait beaucoup mieux que Mme Marois dans les intentions de votes pour le PQ et je devrais être convaincu.
Ça prendrait un petit sondage Léger marketing pour confirmer le tout. Ça serait plus positif que de seulement critiquer Mme Marois.
Information supplémentaire, sondage Léger Marketing :
en février derniier…2011
34 % PQ Marois
11 % Québec solidaire
45 % total votes souverainistes. Même talonnée par Québec solidaire, Mme Marois tirait encore très bien son épingle du jeu.
Avec la CAQ Legault dans le portrait :
30 % CAQ Legault
24 % PQ
8 % Québec solidaire
32 % total votes souverainistes
La démission, en juin dernier, des 5 députés péquistes, a été très nuisible au PQ, ce qui l’a fait descendre dans les faveurs publiques, ce que souhaitait le couple Parizeau-Lapointe qui voulait répéter le référendum pwerdu de 1995.
Mais voyons Monsieur Bousquet !
Vous savez bien qu’un sondage Léger Marketing favoriserait Pauline Marois question de d’aider Legault , le poulain de Québécor et Power Corp . Pour une fois que ces deux empires ont un point en commun !
O.k. M. Asselin, un sondage de Crop…alors.
Vous vous fiez aux sondages pour déterminer que Mme Marois n’est pas populaire, pourquoi alors écrire que les sondages sont arrangés ?
Vous voulez savoir ce qui me désole le plus? Probablement pas…
Mais je vous le confierai malgré tout.
Ce qui me désole, c’est que nous les Québécois ne savons pas – trop souvent – voir que nous sommes de loin plus compétents, mieux outillés pour faire notre marque d’un bout à l’autre de la planète bleue que nous habitons que nos voisins et partenaires actuels (et obligés) que ne le sont les Canadiens hors Québec.
Et, à maintes reprises, nous avons su le démontrer de manière très convaincante. Qu’on pense seulement au Cirque du Soleil, s’il faut un exemple probant de réussite. Et il y a plein d’autres bons coups que nous avons réalisés. Depuis Bombardier jusqu’à Céline Dion. Et ajoutez à cela ce qui vous viendra à l’esprit.
Mais, nous sommes des francophones vivant en terre d’Amérique. Minoritaires et devant tenir compte de notre situation géographique ainsi que géopolitique.
Est-ce à dire que, débrouillards et bilingues dans les deux principales langues universelles du moment, nous ferions mieux à faire «cavalier seul»? Ce serait là un pari très risqué, à mon avis. Trop à perdre – et fort peu à gagner.
Le Canada n’est pas le ramassis de brimeurs ou de méprisants individus que l’on colporte chez certains. Le Canada, malgré tout ses manquements, n’est qu’une alliance territoriale, tantôt dirigée par des obtus (comme c’est le cas présentement) et parfois dirigée par des visionnaires incompris.
Mais notre appartenance – malgré nous – vaut probablement mieux que de nous déchirer entre nous, à gaspiller tellement d’énergies à courir après des chimères.
Mon auteur préféré, Charles Baudelaire, a d’ailleurs un peu résumé le problème en quelques mots. Dans Le Spleen de Paris, une nouvelle intitulée ANY WHERE OUT OF THE WORLD / N’IMPORTE OÙ HORS DU MONDE (un titre bilingue anglais/français, eh oui!), soit la nouvelle XLVIII, le poète écrit:
« Il me semble que je serais toujours bien là où je ne suis pas (…) »
Ce qui ne nous ressemble que trop…
Ce que vous dites est ce que le bon peuple ressent instinctivement et c’est ce que la plupart des intellos rejettent. Le peuple a finalement toujours raison…
Vous nous avez dit ce qui vous désolais. Je respecte votre point de vue. Mais êtes-vous en mesure de m’expliquer la raison qui fait que l’ONU compte tous ces pays comme membres ?
Pouvez-vous expliquer pour quoi la souveraineté du Canada vis-à-vis des USA est perçue comme normale et souhaitable, est condamnable pour le Québec qui a tous les attributs normaux d’une nation et d’un État ?
Expliquez-moi également les raisons pour lesquelles nous devrions accepter des décisions et des politiques qui ne nous conviennent pas alors que nous aurions toutes les ressources pour décider de ce qui nous convient sans avoir à imposer nos vues au reste du Canada. Les dernières décisions de Harper sont d’excellents exemples de ce que j’évoque.
Vous parlez de ce qu’on a à perdre. Êtes-vous en mesure de préciser en quoi nous perdrions tant ? Mais peut-être n’est-ce qu’une appréhension, comme quand on a peur de l’inconnu. Ce serait tout à fait compréhensible et nous pourrions en discuter. Mais encore faut-il mettre le sujet sur la table.
M. Perrier, si je revendique la souveraineté pour le Québec, ce n’est pas par antagonisme envers mes amis du ROC. Le fils ou la fille qui décide, rendu adulte, de voler de ses propres ailes le fait simplement parce que l’autonomie et une état naturelle de la vie.
«On paie mal un maître en ne restant toujours que l’élève.»
Ainsi parlait Zarathoustra
[Nietzsche]
Merci bien, Monsieur Drouin, de vous être penché un moment sur mon point de vue – et cela sans acrimonie. C’est apprécié.
Comme vous l’avez constaté, je nous estime, nous les Québécois, comme étant des personnes de valeur. Avec des aptitudes souvent supérieures à nombre de nos compatriotes canadiens. Pas parce que ces compatriotes seraient intrinsèquement moins doués ou parce que nous serions, nous, meilleurs.
Plutôt, je pense que l’adversité – malgré ses côtés fort peu plaisants – nous a rendu plus vaillants. Pour survivre minoritairement dans cette Amérique du Nord très majoritairement anglophone, il nous a souvent fallu mettre les bouchées doubles en efforts et en confiance en nous-mêmes.
Il en a ainsi résulté une équation gagnante pour nous. Pas le gros lot, certes, mais tout de même un lot enviable.
Ma principale préoccupation advenant une séparation du Québec a trait à la survie de notre langue française. Car, si séparation il y avait un jour, la priorité première du Québec serait sa survie économique. Maintenir ce niveau de vie que nous connaissons. Le français passerait alors obligatoirement derrière. Toutes sortes de passe-droits devraient être consentis à des investisseurs étrangers.
La Loi 101 en baverait un coup.
Mais cet aspect concernant le danger pour notre langue française advenant la séparation du Québec demanderait beaucoup trop d’explications ici pour que je puisse en faire véritablement et crédiblement état. (Quelques billets et commentaires passés de ma part élaborent de manière plus étoffée sur le problème.)
Et puis, j’ajouterai que si le Canada est «divisible», alors le Québec – qu’on le veuille ou non – l’est tout autant. Que feraient les autochtones, par exemple? Quelle pagaille ce serait pour nous tous que d’opter pour une avenue telle que la séparation.
D’autant plus que nous tirons déjà très notre épingle du jeu…
Désaveu de Marois: Guillaume Tremblay en beau fusil
« Tout ce que je vais dire c’est que je suis fâché contre les députés qui ont parlé de certaines choses. Les discussions qui ont lieu en caucus sont supposées demeurer privées», déplore-t-il. Le député péquiste n’a par contre pas nié avoir mis en doute le leadership de sa chef. »
http://www.letraitdunion.com/Actualites/Politique/2011-10-27/article-2787948/Desaveu-de-Marois%3A-Guillaume-Tremblay-en-beau-fusil/1
En té Ka !!!!
Je commence a en avoir ma claque de tout ce caca qui secoue le PQ ! Vite branchez-vous avant que le parti implose totalement ! Pauline est-elle la chef qu’il faut au PQ ? Oui ! Alors gardez là ! Non ! Alors changez là ! Mais de grâce finissez par accoucher !
Personnellement avec un autre chef je vote PQ ! Avec Pauline je vote ailleurs qu’au PQ ! Un point c’est tout ! Mais je commence a avoir hâte de faire mes plans ! Tabarouette !
Fort bien exprimé, Monsieur Asselin!
Parce que si ça ne passe pas, eh bien alors… ça casse.
et ben oui M.Mitriou, le Bloc vient de disparaitre , un accident de parcours ou un mouvement de fond ?
Le bloc n’est pas disparu. Il s’est tout simplement momentanément affaibli. Vous devez vous rappeler qu’au début de la dernière campagne électorale le Bloc Québécois balayait le Québec selon tous les sondages. Le tout a changé dans les deux dernières semaines de la campagne électorale. Deux éléments principaux sont à la base de ce revirement soudain. Une performance « cool » de Jack Layton à l’émission Tout le monde en parle, performance positive accentuée par l’appui direct de Mike Ward à Jack Layton et par l’appui indirect de Guy A. Lepage et de Dany Turcotte qui se sont montrés trop sympathiques envers Jack Layton.
Deuxième point: Les québécois adorent les miraculés qui se promènent avec une canne. Lucien Bouchard en avait déjà fait la démonstration. Il faudrait que Pauline Marois se fasse casser une jambe et qu’elle se promène péniblement avec une canne. C’est une victoire assurée. Encore une fois ce n’est pas le Bloc qui a mal fait les choses. Ce sont les québécois qui ont succombé à une folle Jackomanie. On verra bien lors des prochaines élections. Le Bloc Québécois n’est pas mort. Il a encore 4 députés. Rappelez-vous que le Parti Conservateur a déjà eu que 2 députés il n’y a pas si longtemps. Non le Bloc n’est pas mort. Pouvez-vous en dire autant de Jack Layton?
@ M. Perrier
Vrai, nous avons et pouvons toujours accomplir individuellement et collectivement de grandes réalisations, ne citons que notre résistance incessante depuis la conquête, il y a maintenant 250 ans, à la volonté toujours présente de l’envahisseur qui a toujours voulu notre bien, d’abord par les armes, puis sa politique de la terre brûlée et enfin par un carcan impérialiste constitutionnel Rocanadian .
Imaginez un instant, si toutes les ressources multiples du peuple québécois consacrées à cette résistance étaient plutôt investies à la seule destinée de notre pays et peuple depuis 250 ans, ce que nous aurions pu encore accomplir.
Votre argument de « petit peuple » en nombre ne tient pas la route. Plein de peuples souverains comparable en nombre à la population du Québec ont développé une société, érigé un pays dont la plupart des 193 pays membres de l’ONU envie.
Selon vous, la langue française au Québec serait mieux protégée sous la domination constitutionnelle rocanadian que par la Cour suprême d’un Québec souverain. Comment faire un tel constat alors que le conquérant anglais a toujours tenter d’assimiler les Québécois sans jamais y parvenir ? Comment les entreprises et investisseurs étrangers pourraient nuire davantage à la langue nationale des Québécois dans un Québec souverain que sous le joug constitutionnel du Rocanada ?
Vous entretenez le mythe réducteur du parfait colnisé, celui incrusté dans la psyché des minus, des « nés pour un p’tit pain », des « sans le maître, point de salut ».
Enfin, l’intégrité du territoire actuel du Québec, incluant le Labrador, est protégé par les conventions et règles du droit international. Et les autochtones pourront continuer à vivre au
Québec devenu pays souverain comme ils vivent actuellement dans le Rocanada souverain.
À l’évidence, Monsieur Gascon, nous ne faisons pas la même lecture de la même réalité.
Et cela n’est très probablement pas à la veille de changer…
Dommage.
M. Perrier, à l’évidence vous vous défilez lorsqu’il est temps de répondre à des questions qui vous embarrassent; et pourquoi donc ?
BIS: Selon vous, alors que le Rocanada a toujours tenté d’assimiler les Québécois sans y parvenir, est-ce que la langue française au Québec serait mieux protégée par la Cour suprême d’un Québec souverain que sous la domination actuelle constitutionnelle du Rocanada ?
BIS: Comment les entreprises et investisseurs étrangers pourraient nuire davantage à la langue nationale des Québécois dans un Québec souverain que sous le joug constitutionnel du Rocanada ?
Ce sont pourtant des questions auxquelles vous devriez pouvoir répondre puisque vous prêchez la soumission politique du peuple québécois au Rocanada en raison de la « sauvegarde » du français au Québec.
« Si tu te fais ver de terre, ne te surprend pas si on t’écrase avec un pied » Emmanuel Kant
Mme Marois s’obstine et ce qu’elle ne comprend pas c’est qu’elle sera perdante de toute façon pourquoi? Parce que le parti peut imploser d’ici janvier; deux ou trois nouveaux indépendants, trois députés de plus qui rejoignent le CAQ de Legault, deux qui joignent Québec Solidaire. Après cela que restera t’il du PQ?
Voici une politique fiction très réaliste considérant les propos du député Rathé dissident révélé de Mme Marois, de la division qui existe dans le parti entre ceux qui ont compris et les députés fidèles à Marois.
En 2008, Marois est devenu chef de l’opposition officielle suite à l’abstention
de 300, 000 nouveaux abstentionnistes. C’est pourquoi que dans une future élection, elle risque de perdre 43 députés sur 46 actuels tout en perdant dans sa circonscription Charlevoix. Elle se croit extraordinaire lorsqu’on sait déjà que le ton (j’ai la solution à tout), le verbe de Legault bafoue toute expression de P.Marois.
Le message est le médium a dit un intello, le message Marois ne passe pas dans les médias. Là dessus, je rejoins messieurs Mitriou et R.Asselin.
Si le CH a été capable d’en gagner 2 de suite, pour protéger le job de son coach, après plusieurs pertes en ligne, la même bonne chose « protéger Mme Marois » pourrait aussi arriver au PQ, après plusieurs sondages perdants pour le PQ, après des gagnants avant la démission des 5 députés mutins du PQ, dirigés par le couple Parizeau-Lapointe qui s’est pointé au lancement du livre de Mme David hier. « C’est un peu comme si Mme Jérome-Forget se pointait à un lancement de livre de M. Deltell, sous le prétexte qu’il est un fédéraliste. M. Parizeau sait comment déboulonner des chefs du PQ Il en a déjà deux à son crédit : Messieurs Lévesque et M. Johnson, pas assez purs séparatistes.
Héroïne péquiste au printemps et nuisance péquiste à l’automne ? Ils veulent s’en séparer après l’avoir critiquée et s’être demandé : Pourquoi est-ce qu’elle ne lève pas dans les sondages arrangés ? Un chef traité en vrai chef péquiste quoi !
Après lecture de votre commentaire voici tout ce qu’il m’inspire.
«Tolérance : c’est quand on connaît des cons et qu’on ne dit pas les noms.»
[Pierre Doris]
M. Perrier a bien raison d’être inquiet de l’aspect économique et même linguistique d’un Québec séparé du Canada.
Il paraît que le fait de recevoir 8 milliards de dollars canadiens en péréquation chaque année des autres provinces plus riches à travers un programme fédéral n’est pas important pour nous séparer. Ça aiderait si, au contraire, le Québec devait payer 8 milliards de dollars de péréquation aux autres provinces. Notre premier-ministre séparatiste pourrait nous dire : Pour économiser 8 milliards de dollars à chaque année, nous vous proposons de nous séparer du Canada afin d’économiser ce montant que nous investirons en éducation, en santé et pour protéger le français dans nos industries mais, tel n’est pas le cas.
La question référendaire pourrait être du genre : Pour économiser 8 milliards de dollars à chaque année « 8 mille millions de piastres » est-ce que vous voulez vous séparer des provinces canadiennes pauvres ? OUI ou NON.
Si nous attendons de virer notre économie de bord pour en arriver là, je vous garantis que le prochain référendum va être pas mal plus « gagnant » qu’actuellement même si le fédéral tente de nous aider un peu en nous sortant la reine et en nommant des officiers fédéraux unilingues anglophones..
M. Perrier a aussi raison au sujet de nos Cris et Inuits qui réclament 50 % du territoire du Québec, sous responsabilité fédérale. Ils pourraient partir avec la terre et le Plan Nord de M. Charest pour se joindre au fédéral, ce qui éviterait de couper le Canada en deux morceaux inégaux..
Le Québec n’est pas divisible. Point à la ligne.
Le Canada est divisible car il est une fédération, c’est-à-dire, un assemblage de parties qui autrefois étaient hors du Canada. Ces parties se sont jointes au Canada, volontairement.
Pour éviter toute discussion à ce sujet, il faut qu’au moment du grand jour, on ait inscrit dans la constitution que le Québec est un et indivisible. Exactment comme dans la constitution française qui définie la France comme étant une et indivisible. Toute manifestation de sécession est automatiquement traitée de sédition et sévèrement punie par la loi. Qu’on se le dise.
Mais comme ce n’est pas demain la veille…
Le Québec n’est pas divisible. Point à la ligne. S Gingras
Désolé, mais tout territoire est divisible. C’est une question de volonté; Si suffisamment de gens le veulent…
Bien oui M, Gingras, la Palestine n’est pas divisible non plus, c’est M. Harper qui va vous l’affirmer, elle devrait même appartenir à Israël, par la colonisation, petit morceau par petit morceau…au complet, d’ici quelques années, même si la Palestine proclamait qu’elle est indivisible, entre-temps.
Les arguments sans l’appui d’un rationnel se référant aux conventions et règles du droit international en cas de litige entre les nations ne bernent que les imbéciles.
Certains sur ce bloque jouent les parasites en émettant que des faussetés dans leurs propos ayant comme objectif de propager l’ignorance et la bêtise chez les lecteurs.
M. Perrier,
Pourquoi ce qui est bon pour la Suède (9 millions d’h.), le Danemark (5.5 millions h.), la Suisse (7,7 millions h.) Israël (7,6 millions h.), la Finlande (5,2 millions d’h.) la Norvège (4,6 millions d’h), la Nouvelle-Zélande (4,1 millions d’h.), l’Irlande (4,1 millions d’h.), ne peut pas être bon pour le Québec ?
Vous croyez réellement que la cour Suprême du Canada protège mieux les droits du Québec que le ferait un Québec pleinement souverain. J’espère que vous vous rendez compte que vous avez un raisonnement de colonisé qui ne croit pas être capable d’assumer ses propres responsabilités. Ne seriez-vous pas un « tanguy » constitutionnel ?
Regardons seulement ce qui se passe aujourd’hui à Ottawa. Le Québec perd son poids au parlement canadien malgré qu’il soit une société distincte. Il sera donc de moins en moins en mesure de défendre SES intérêts. Le Canada le protège ? Des juges à la plus haute cour du pays ne sont pas capables d’utiliser la langue d’une des nations fondatrices du Canada, la langue française. Où est la protection du Canada. Le Québec a eu droit à 00$ sur les 33 milliards de dollars de contrat du gouvernement fédéral pour la construction de navires pour la marine canadienne. Le Canada aide le Québec ? Le Québec a payé le 1/4 des coûts du registre des armes à feu que Harper veut absolument détruire pour des raisons purement et exclusivement idéologiques. Le Canada écoute-t-il les demandes du Québec ?
«Si tu te fais ver de terre, ne te surprend pas si l’on t’écrase d’un pied»[Emmanuel Kant]
Je m’excuse mais c’est quoi cette idée que c’est la cour suprême qui protège le langue, qu’elle soit à Ottawa ou à Québec, il y aura toujours une limite à ce qu’une cour peut faire.
Ce n’est pas la cour suprême qui a voté la loi 101, tout ce qu’elle a fait c’est de permettre aux autres Canadiens de langue anglaise de jouir des mêmes droits que les Québécois de souche anglophone. Une espèce de réciprocité que René Lévesque prônait de toute façon.
Une cour ne peut pas donner une fierté, une volonté de propager une langue. Tout ce débat sur si la cour suprême du Canada ou du Québec peut mieux protéger le français est de passer à côté du véritable problème, celui de la démographie.
Les souverainistes sont incapables de prouver que la démographie québécoise et surtout francophone serait mieux servie dans un pays indépendant qu’à l’intérieur du Canada. Pas plus que les fédéralistes ne peuvent prouver le contraire. Débattre sur la cour qui aurait à statuer sur les lois me semble très loin du coeur du problème.
@Michel Bertrand
Vous énoncez des truismes.
Les villes sont divisibles. Les commissions scolaires sont divisibles. Les compagnies sont divisibles. Les familles sont divisibles. Tout est divisible. Même les jumeaux siamois sont divisibles. Dans tous les cas il suffit de le décider.
Un des critères internationaux pour reconnaître la sécession d’un groupe est la capacité de la nouvelle entité à être autonome. Pensez-vous que si le WestIsland de Mtl décidait de faire sécession du Québec, son autonomie serait assurée ? Ce serait un territoire invivable, c’est tout.
Arrivé à maturité le jeune a deux façons de quitter le foyer familial. En bons termes ou en mauvais termes. Mais rien ni personne de l’empêchera de le faire.
«On paie mal un maître en ne restant toujours que l’élève.»
Ainsi parlait Zarathoustra
[Nietzsche]
M. Drouin, je ne vous suis pas là… J’ai juste dit que tout territoire est divisible. Finalement. Êtes-vous d’accord avec moi ou pas?
Il y a eu peut-être un malentendu: La première ligne de mon intervention était un repiquage du commentaire de Serge Gingras… J’aurais dû mettre un petit tiret devant pour être plus clair.
J P Gascon, mon cher Souvarine, rejeter les conclusions qui vous déplaisent sous prétexte qu’on ne puisse pas aborder le sujet »sans l’appui d’un rationnel se référant aux conventions et règles du droit international en cas de litige » est encore une fois la preuve de votre arrogance méprisante de séparatiste frustré.
Vous semblez très pressé de vouloir démontrer que notre argumentaire ne tient pas la route, mon cher Haĩssant. Auriez-vous peur qu’on influence? Si on ne berne que les imbéciles, de quoi avez-vous peur? A moins que vous ne pensiez qu’il y ait plus d’imbéciles que vous ne voudriez l’admettre…
Votre arrogance nuit à votre cause, mon cher Souvarine…
Les cons, les imbéciles se trouvent être une minorité chez le peuple québécois, et ils font un tort politique immense à leur peuple, un tort inversement proportionnel à leur nombre.
«Tolérance : c’est quand on connaît des cons et qu’on ne dit pas les noms.»
[Pierre Doris]
@Michel Bertrand 28 octobre 2011 · 14h02
Évidemment que je ne suis pas d’accord. Pratiquement, c’est faux.
D’ailleurs le droit international a bien encadré le droit de sécession.
«La vraie générosité envers l’avenir consiste à tout donner au présent.»
[Albert Camus]
L’Irlande n’est pas divisible, pourtant elle l’est depuis 1919
La Bosnie n’est pas divisible, elle l’est de facto depuis 1992
Le Kosovo n’était pas divisible de la Serbie, elle l’est et elle est elle-même divisée
Tous les Grecs de la partie sud-est de la Turrquie ont été rapatriés de force en Grèce.
L’Ukraine n’étaitt pas divisible, pourtant elle a perdu la Moldavie et a du concéder un statut particulier à la Crimée.
Le Cachemire n’est pas divisible, pourtant il est divisé entre l’Inde et le Pakistan.
Le Canada est divisible mais non le Québec, pourquoi, parce que les nationalistes québécois nous l’assurent POINT À LA LIGNE et sont capables de nous citer des articles de droit international pour le prouver. Qu’ils aillent le dire aux Irlandais, aux Bosniaques, aux Serbes et Kosovars, aux Grecs, aux Ukrainiens, aux Cachmiriens ainsi qu’aux innombrables autres habitants de territoires divisés.
Personne ne conteste le droit de sécession du Québec, le problème va survenir lorsqu’il y aura négos sur les frontières si des régions votent massivement pour leur appartenance au Canada , par exemple. Bien sûr les souverainistes ne veulent même pas entendre parler de cela et utilisent l’argument tellement intelligent de POINT À LA LIGNE. C’est tellement plus facile que de répondre, mettons à la NATION crie qu’elle n’a pas le droit de choisir son appartenance, droit que les Québécois se gardent pour eux seuls.
Le meilleur c’est que pour se protéger contre toute velléité future tout ce qu’on a à faire c’est d’inscrire dans notre constitution que le Québec est indivisible. Ha ha l’Irlande l’a inscrit aussi.
Je crois que cette réponse souverainiste aux possibles problèmes frontaliers démontre leur amateurisme complet. Il se gargarisent ici-même à dépeindre les « Rocanadians« comme étant extrêmement hostile à l’égard des Québécois mais refusent de même discuter de la possibilité que ces mêmes méchants colonisateurs/assimilisateurs/exploiteurs vont agir comme des méchants et tout faire pour charcuter le territoire du Québec. De la naïveté à la tonne quand ils avouent une possibilité de quelques turbulences !
Est-ce que c’est une loi divine, l’indivisibilité d’un territoire, d’une province ou d’un pays ? Est-ce un péché mortel de le faire ? L’Allemagne, après la guerre de 39/45, est-ce qu’elle a été divisée ? L’Inde et le Pakistan ? etc.
L’Ouest de Montréal serait enclavé et un peu inconfortable mais pas trop, vu que ses citoyens ont vécu longtemps retranchés, si elle voulait se rattacher au Canada, après la séparation du Québec mais tout l’Outaouais québécois full-fédéraliste ne le serait pas du tout.
Le raisonnement de M. Victor Beauchesne me semble très raisonnable, plausible, probable, si nous considérons la sympathie avec laquelle M. Harper voit les actions d’Israël envers a Palestine. Nous ne pouvons pas, considérer le ROC comme un ennemi méchant et, en même temps, qui serait plein gentil si nous lui déclarons la séparation du Québec…unilatéralement.
Notre combat commencera sur la scène internationale : à l’ONU ou à des tribunaux internationaux ou dans des cours internationales.
Les premières nations ne sont ni québécoises ni canadiennes. Elles sont ce qu’elles sont, c’est à dire des entités propres et entières, des nations. Mais comme elles vivront sur le territoire du Québec, dont on connaît les frontières actuelles, elles seront ipso facto à l’intérieur du Québec et non plus à l’intérieur du Canada.
Quand aux anglophones du West Island, ces Rhodésiens indécrottables, ils auront le choix de rester ou de quitter le Québec, comme beaucoup l’ont fait en 1976-77 après l’élections du PQ. Une bonne façon de les conditionner, si jamais le PQ revient au pouvoir, serait de retourner au plan d’origine de la fusion : Une île un ville. Pas de chinoiseries à la Jean Charest. De la clareté. Une île, une ville, un conseil municipal. Affaire classée. Idem pour l’Outaouais québécois : s’adapter ou déménager.
Si les tribunaux internationaux ne nous soutiennent pas, on peut envisager le pire. On l’a vu en Iralnde du Nord, on l’a vu au Liban et on l’a vu au Kosovo. Je préfère la route des tribunaux. Qui sait, si les choses tournaient au vinaigre, l’OTAN viendrait peut-être à notre aide maintenant qu’elle a comme vocation de voler au secours de la veuve et de l’orphelin, comme on la constaté en Lybie.
Mais, la Loi du plus fort est toujours la meilleure. Mais qui sera le plus fort? Voilà la question. Je ne me berce d’aucune illusion…
Un gros bravo pour votre angélisme , on se ferait charcuter notre territoire par un plus fort, un plus méchant mais on aurait l’ultime prix de consolation , celui qui semble le plus intéresser les rêveurs souverainistes: une belle grosse victoire morale pour placer dans le panthéon souverainiste juste à côté du référendum volé et celui de la majorité des francophones qui ont voté oui en 1995.
Avec vos belles victoires morales et 1,50$ vous pouvez toujours vous acheter un café chez Tim Horton.
Encore ces niaiseries de divisions !
Advenant un référendum gagant voici comment le quartier de Ville -Emard ( ou je demeure ) pourrait se diviser .
Au nord du Boulevard Monk nous serions au Canada ! Au sud nous serions au Québec .
Sur les rues est- ouest ce sont les adresses impairs qui seraient canadiennes et les pairs québécoises .
Dans le quartier Westmount les british n’ont pas attendu un référendum gagant pour être séparés des indigènes francophones . Le Boulevard René-Levesque arrête a Atwater et c’est Dorchester qui prend la relève chez nos anglos en l’honneur du Baron Dorchester de l’ armée brittanique !
Justement le Baron de Dorchester ( Guy Carleton ) aura été un acteur majeur dans l’adoption de l Acte de Québec de 1774 qui ELLE détermine les frontières du Québec . Bien sûr a l’ époque l’ Acte de Québec était avant-tout une façon d’amadouer les canadiens-français pour qu’ils se rangent du côté de la Couronne face a la révolution américaine . Le danger ayant été écarté probablement que cette entente ( Acte de Québec ) ne fait plus l’affaire de nos canadians anglais et qu’elle n,a plus la même valeur selon eux et notre ami Dion .
Quand même ironique qu’un des négociateurs des frontières du Québec porte le nom d,une rue importante d’un quartier anglophone dont les citoyens nient en bloc l’existence du Québec comme un peuple a part entière .
Pour rester dans le sujet Maka Kotto un fidèle soldat de Pauline Marois qui déclare que les souverainites du PQ qui n’appuient pas Pauline Marois auraient des problèmes psychologiques ????? Rien de moins !
Après on se demande pourquoi ce parti est dans un état aussi lamentable !
Étonnante réaction en chaîne à ce mot «divisible» que j’ai écrit hier…
On ergote donc sur la légitime divisibilité du Canada, d’une part, et sur l’absolue indivisibilité du territoire québécois, d’autre part. Des échanges d’un surréalisme fascinant!
Pourtant, l’atome lui-même est divisible. Une réalité fort détestable, certes, mais une réalité néanmoins.
Tout est divisible, j’oserais ajouter. Depuis les familles, les formations politiques, les… eh bien ce que vous voudrez…
Mais je ne cherche aucunement ici à plaider pour la division de quoi que ce soit. Parce que la bonne entente (malgré certaines opinions de temps à autre peu conciliables) vaudra toujours mieux qu’un chemin parsemé de gros nids-de-poule.
Si jamais le Québec devait un jour se séparer purement et simplement du reste du Canada, que ce soit alors en pleine connaissance de cause. Après avoir pleinement fait comprendre à toutes et à tous les avantages visés autant que les inconvénients possibles. Sans commodément occulter de sérieux problèmes, prévisibles sinon certains, pour mieux faire avaliser par une majorité cet objectif de sécession.
Depuis longtemps, je serais moi-même un ardent souverainiste si je considérais que cette possibilité d’un Québec séparé dans une Amérique du Nord très majoritairement anglophone pouvait mieux servir nos intérêts.
Ce n’est toutefois pas le cas.
M. Victor Beauchesne,
Vous êtes fondamentalement aux prises avec une pensée binaire come dans le bien et le mal. Pour vous si ce n’est pas fédéraliste c’est nécessairement mal. Si c’est souverainiste, ça ne peut pas être bien.
Vous êtes bien limité M. Beauchesne. Peut-on avoir un discours intelligent avec vous ? Jusqu’à preuve du contraire il semble bien que vous vous employez plus à ridiculiser ce qui ne rentre pas dans votre forme limitée de pensée. Peut-être est-ce le plus loin que vous êtes capables d’aller.
Tenez, je vous propose un petit exercice. Voici une phrase et j’aimerais bien que vous me disiez ce que vous en pensez.
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« Lorsque dans le cours des événements humains, il devient nécessaire pour un peuple de dissoudre les liens politiques qui l’ont attaché à un autre et de prendre, parmi les puissances de la Terre, la place séparée et égale à laquelle les lois de la nature et du Dieu de la nature lui donnent droit, le respect dû à l’opinion de l’humanité oblige à déclarer les causes qui le déterminent à la séparation.»
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J’attends vos commentaires.
«Tout ce qui anesthésie les masses fait l’affaire des gouvernements» [Jean Dutourd]
Vous déformez complètement ma pensée. Je ne souhaite aucunement la division du Québec, qu’il soit une province canadienne ou un pays indépendant. Je ne ridiculise pas l’idée de la souveraineté du Québec, idée que je considère très noble et légitime d’ailleurs.
Ce que je ridiculise comme naïf c’est cette conviction parmi de nombreux souverainistes que le processus de négociation avec le Canada serait automatique et facile et que personne dans l’autre camp ne contestera les frontières ou la répartition des actifs et de la dette. Pourtant ces mêmes souverainistes, toujours prêts à accuser les « rocanadians » de tous les torts et mauvaises intentions envers le Québec et les Québécois, croient que ces mêmes méchants vont agir comme des agneaux lors des négos sur la sécession.
Évidemment je dois me référer au dernier référendum de 1995, sa question floue et les résultats ultra serrés. Car si les Québécois votaient massivement OUI à une question sans équivoque, le problème ne se poserait pas du tout de la même façon que si les Québécois eux-mêmes étaient divisés 50-50 comme en 1995.
La conjoncture actuelle n’est pas favorable à un OUI massif , au mieux on pourrait s’attendre à un résultat serré, donc résultat qui reflèterait la division profonde au sein de la société québécoise. C’est là l’essentiel du problème dont aucun souverainiste ne veut discuter en adulte, préférant accuser celui qui le soulève d’être un marchand de la peur, un traître ou un binaire.
Quand vous citez des paroles qui parlent de « la nécessité de dissoudre les liens politiques » je ne peux qu’être d’accord. Cependant il faut savoir distinguer ce qui est nécessaire, par exemple ce qui a l’appui massif du peuple, à ce qui est souhaitable par une très mince majorité de gens qui se prononceraient sur un principe flou tel qu’exprimé dans la question de 1995 qui faisait référence aux fameux » accords du 12 juin ».
Cette naïveté de croire qu’on peut seul écrire la question, décider du moment propice, définir les règles et dicter les montants dépensés et qu’automatiquement cela confère une légitimité et une acceptation béate du camp adverse démontre à quel point le mouvement souverainiste manque de maturité politique.
Je suis profondément convaincu que si le OUI avait remporté le vote de 1995 par le même score que le NON a eu, aucun pays, incluant la France, n’aurait reconnu le Québec avant que le Canada ne le fasse. Et le Canada n’aurait pas été capable de négocier quoi que ce soit, surtout avec un PM issu d’un conté québécois sans tenir des élections. Si ce genre de problème existentiel peut être balayé du revers de la main en le qualifiant de « quelques turbulences possibles » et que les leaders souverainistes persistent à parler du référendum volé, je crois qu’on a encore affaire à des peewees et non des véritables chefs d’état qui savent différencier la realpolitik d’un petit exercice démocratique avec les dés pipés.
Voila Monsieur Perrier le mot important la » bonne » entente !
Evidemment si les québécois se prononceraient en grande majorité pour la sécession la » bonne » entente serait de mise en autant que nos voisins soient de bons voisins .
Par contre avec une victoire par la peau des fesses peut-être que la » bonne » entente serait utopique et c’est a ce moment là que le jeux des influences internationales pourraient jouer . Mais la chose qui me fatigue énormément dans ces questions de partitions c’est la culture de la peur comme celle des camions de la Brink a une autre époque ! Pu capable !
La «bonne entente» est toujours désirable, Monsieur Asselin!
Hélas, c’est là une denrée trop souvent difficile d’accès…
M. Perrier, vous ne voyez toujours pas de mésentente constitutionnelle entre la natiion québécoise et rocanadian. Quelle trouvaille géniale !!! Une bonne entente en la soumission d’une nation à une autre nation ?
Faut faire attention . M. Beauchesne semble être un expert en droits territoriaux , en droits constitutionnel et en droits internationaux .
Evidemment j’invite tout les experts autant du côté des fédéralistes et que des souverainistes qui n’ont pas encore une réponse précise concernant ce problème du territoire Québécois de consulter M. Beauchesne .
La question n’est pas si le Québec est divisible. La question est allons-nous laissez diviser le Québec.
La réponse est : Non!
Bonne nuit! 🙂
M. Gingras, à la question : « allons-nous laissez diviser le Québec ». affirme que : «NON».
Vous vous y prendriez comment contre le ROC, si ça devenait la cas ?
Je suis étonné de voir comment la haine de soi collective peut entraîner des Québécois à souhaiter la division de leur terre nationale et simplement d’habitation.
Peut t-on imaginer des Palestiniens qui voient leur terre colonisée par les Israéliens qui se targuent de démocratie faire l’apologie de la scission de leur pays!! Les Québécois ne se font pas arracher leur terre, arracher leurs propriétés à moins que les gaz de schiste…
Certes! Le Québec n’est pas la Palestine. Le Québec n’en n’est pas moins subordonné à un autre peuple depuis 250 ans dont la langue minoritaire est dans une situation de précarité permanente puisque les décisions économiques et culturelles majeures échappent à notre peuple. Réalité pratique et symbolique que cette décision d’Harper le raciste de nommer un vérificateur général unilingue anglais.
Pendant ce temps en pratiquant le hors sujet, certains bavardent sur la probabilité de diviser le territoire québécois. Le sujet concerne l’obstination de Mme Marois et son clan de condamner le PQ à l’anéantissement, pire que tout, l’obstination de madame ne fait que nous convaincre que son seul objectif c’est d’être calife à la place du calife!
Bravo à Serge Gingras et à d’autres pour leur défense de l’indivisibilité du Québec!
De nos « guerriers » fédos, de notre colonie de vers de terre, que des épouvantails dressés du fond de leur trou abyssal, sous terre, plein d’une inépuisable et incessante propagande de la peur s’adressant aux viscères plutôt qu’à l’intelligence des gens. Que des HOU ! HOU ! HOU ! HOU ! en cette veille d’Halloween…
Un peu de rigueur que diable !!!
Avis aux intéressés, voici une lecture fort instructive qui bouche le trou des vers de terre:
http://actionsouverainiste.org/fluxrss/la-partition-du-quebec.html
Bonne lecture !!!
Erratum: M. Bouchard, j’ai malencontreusement cliqué sur » RÉPONDRE » de votre dernier commentaire alors que je m’adresse à tous les blogueur(e)s et lecteur(e)s. Désolé.
M. Gingras, à la question : « allons-nous laissez diviser le Québec ». affirme que : «NON».
»
Vous vous y prendriez comment contre le ROC, si ça devenait la cas ? » M. Bousquet.
Question pertinente. Question légitime.
J’ai affirmé plus haut que je m’adresserais aux tribunaux internationaux. A ce stade, je ne peux répondre autre chose. Fasse le ciel que le ROC soit aussi respectueux des instances internationales auxquelles le Canada adère, sauf dans l’affaire Khader, et qu’il se pliera aux décisions de cours comme les gens civilisés savent le faire.
Que puis-je dire d’autre?
Pour le moment, je fais confiance à la diplomatie officielle.
Ces jours-ci, je lis les Mémoires de Roland Dumas. On y lit, encore une fois, qu’il y a plusieurs sortes de diplomaties. L’officielle, et celle des coulisses, des officines, des salons, des chambres à coucher. Mon plan A préconise l’officielle.
On traversera le Rubicon, s’il y a lieu. 🙂 Ceux qui connaissent l’histoire ancienne comprendont. Mais je préfère garder mes pieds au sec. Comme un chat. 🙂
Buonas noces a todo. Le marchand de sable me fait signe.
Et si nous mettions un peu de côté ces empoignades, ces volées de bois vert, bref la grosse chicane à propos de la «bonne entente» hum? Il sera toujours temps de revenir aux baffes et aux insinuations malveillantes plus tard…
Revenons donc au sujet à l’ordre du jour, à l’actuel billet relatif à la crise existentielle qui secoue les bases mêmes du Parti Québécois, l’«Affaire Marois».
En tant que simple observateur non-politologue ni membre d’aucune formation politique, je dirais que le problème fondamental de Mme Marois, une tare dont elle ne saurait en aucune façon se défaire même si elle faisait des efforts incommensurables visant à y parvenir, c’est qu’elle n’est pas Mme Tartempion.
Pas la peine de chercher midi à quatorze heures. Elle n’est pas populiste pour deux sous.
Remarquez bien que la frondeuse Mme Lapointe l’est beaucoup moins encore et assez revêche, même. Et M. Curzi, que certains qualifient de charismatique, me fait bien davantage l’effet d’un rebrousse-poils antipathique.
Qu’on les apprécie ou pas, les populistes ont toujours l’avantage auprès de l’électorat. Et si de surcroît il leur arrive d’être compétents, tant mieux, et sinon tant pis.
René Lévesque était le populiste par excellence. Et aussi l’ineffable Jean Chrétien.
À l’opposé, on retrouve Michael Ignatieff (en tête du classement), Stéphane Dion, Robert Bourassa (première mouture), Jacques Parizeau (toutes moutures) et… Pauline Marois.
Un leader populiste, seule planche de salut possible pour le Parti Québécois.
Y a-t-il preneurs dans la salle?
Je vois qu’il y a des gens à la colonne molle.Il suffit que le tueur Denis Lessard sorte un ou des papiers sur Pauline ou le P.Q et ils virent de bord.C’est triste.C’est quoi l’idée d’avoir peur de Legault?C’est juste une étoile filante..Attendez la campagne électorale,tout peut changer..Paulinne a été élue jusque là et Legault va proposer des choses qui ne conviennent pas aux Québécois.Si le parti ne se reprend pas c’est la défaite mais ça sera à cause d’eux pas de Pauline.Ca presse pour qu’ils s’unissent avant qu’il soit trop tard,c’est même urgent.Je ne peut pas croire que c’est Desmarais qui va gagner.Merde.
Pour bien faire peuple : Le Prof. Léo-Paul Lauzon et cetera, un universitaire qui fait peuple en masse et un excellent commnicateur, même s’il a de la misère à se faire élire, comme l’était son ami, Michel Chartrand, deux adminrateurs de Cuba.
Voici 2 adresses Internet plus qu’intéressantes et divertissantes, en même temps, ce qui est rare :
http://fr.wikipedia.org/wiki/L%C3%A9o-Paul_Lauzon
http://voir.ca/josee-legault/2011/10/26/crise-existentielle-au-pq/
Madame Daigle
Vous avez sûrement manqué un bout. Ce n’est pas à cause d’une chronique de Lessard que Pauline Marois est contesté comme chef du PQ.
Nous savons tous et toutes que les deux médias les plus importants du Québec ont comme stratégie de faire la promotion ( subtilement ?) de Legault et de son futur (sic) parti politique. La droite s’organise pendant que la gauche se divise.
Par contre le peu d’attrait de Pauline Marois dans la population et surtout chez les électeurs francophones est tout ce qu’il y’a de plus inquiétant. Aujourd’hui en politique le chef représente un atout majeur sauf au PLQ . Le NPD en sait quelques choses. Si Jack Layton n’aurait pas été en condition de mener ses troupes lors de la dernière élection fédérale je ne suis pas certain que le Bloc aurait subit un telle raclé.
Je suis de ceux et celles qui croient que le choix de Pauline Marois pour remplacer Boisclair aura été néfaste. J’ ai voté pour le PQ quand même parce car le parti et le programme de ce parti est plus important que la personnalité du chef . Par contre la majorité des électeurs francophones semblent préférez s’en remettre a un chef qui les mènera vers des cieux plus cléments. Si je mentionne les électeurs francophones versus le vote anglophone et allophone il y’a une raison majeure. John James Charest n’est pas aimé par une grande majorité de québécois autant chez les francophones, anglophones et allophones. Mais Charest est au PLQ et ce parti étant celui des québécois qui sont les moins nationalistes et les plus fédéralistes sa clientèle votent pour le Canada d’abord peut-importe le chef. Je suis convaincu que beaucoup de militants libéraux en ont assez de Charest mais la culture d’entreprise de ce parti étant la soumission totale au chef personne n’osera contester les décisions les plus douteuses de la hiérarchie dominante de ce parti.
La grande majorité des québécois francophones ne veulent plus de Charest et des Libéraux depuis fort longtemps mais le désabusement et le manque d’intérêt en la chose politique fait en sorte qu’un grande partie de ces gens ne SORTENT pas pour aller voter et ceci ouvre la porte au PLQ qui peut se fier aux votes acquis des anglophones et des allophones a la vie a la mort !
Voila pourquoi le remplacement de Pauline Marois devient une nécessité au PQ.
Et voila pourquoi l’entêtement de Pauline Marois de rester là n’aide en rien la remontée du Parti Québécois dans les sondages .
Vous oubliez un aspect dans votre analyse qui est cependant fort valable. J’ai constaté en lisant plusieurs commentaires ici et ailleurs que plusieurs fédéralistes, s’ils en ont à choisir entre mettre fin aux activités criminelles de bandits en cravate qui sont de mèche avec des élus et leur parti politique et risquer qu’un parti souverainiste prenne le pouvoir, hé bien, ces fédéralistes préfèreront vivre avec la collusion et la corruption.
On l’a aussi vu lors de la commission Gomery quand certains témoins sont venus affirmer que même si ils savaient que les moyens qu’ils utilisaient étaient illégaux, ils les ont utilisés car ils étaient en guerre.
Donc pour beaucoup de fédéralistes, la fin justifie les moyens. L’oublier serait de l,angélisme, voire de l’aveuglement.
Concernant le remplacement de Mme Marois, soyons clair. Supposons que le putsch réussisse demain matin, qui, demain-midi prendra les rennes du parti ? Sans présumer de la meilleure chose à faire, j’ai le sentiment que les membres du PQ ont tellement torpillé leur propre bateau que même s’il changeait de capitaine le rafiot ne sera pas plus en mesure de se tenir à flot.
Les membres du Pari Québécois ont scié la branche sur laquelle ils étaient assis.
«Il est dans la nature de l’homme d’opprimer ceux qui cèdent et de respecter ceux qui résistent.»
[Thucydide]
Ce blogue est une sinistre farce!
Sinistre par cette incapacité chez madame Legault de se déprendre de ses parti-pris gauchistes qui ne font qu’attiser les prises de position sans nuance.
Une farce chez la douzaine de protagonistes qui monopolisent la tribune en d’interminables prises de bec sans queue ni tête ni détachement ni réflexion approfondie.
Un désastre journalistique qu’il faut vite terminer, tant tout ce verbiage nuit à VOIR et à tous ceux qui s’épuisent dans d’infantiles chicanes de cour d’école!
On peut comprendre l’entêtement de Mme Marois. Il y a quelques mois à peine elle obtenait un gros 93 % de soutien. Et, à la suite d’une bévue, d’une erreur de jugement au sujet du Colisée de Québec, tout s’écroule.
Je comprends qu’elle se dise : l’orage va passer et le beau temps va revenir. Après tout, il n’est pas concevable qu’un 93 % s’évapore aussi rapidement. Ce n’est pas normal. En effet, ce n’est pas normal.
Alors, que faire? Elle se cramponne en espérant qu’après la pluie le beau temps, comme dit l’expression. En attendant, ça grenouille et scribouille dans la mare.
Et la question qui s’impose a été lancée. Remplacer Mme Marois par qui? Ce parti est un panier de crabes. Il faut être suicidaire pour s’y enfoncer. Je souhaite de tout coeur que M. Duceppe résiste à l’appel des sirènes. Leur chant conduit à la perte de celui qui y cède.
Comme je l’ai déjà écrit, je crois que la date de péremption du PQ est passée. Il reste encore sur les tablettes, mais sa fraîcheur est passée à l’histoire. Oui, on peut encore acheter le produit, mais il y en a de meilleurs sur les tablettes. Lesquels? Je ne saurait le dire, mais l’électeur n’est plus séduit par le PQ dans son emballage actuel. En plus de l’emballage il y a le contenant, et ça, c’est plus sérieux, plus de conséquence. Dans le commerce, pour continuer l’analogie, le client est roi et maître. Il a toujours raison, même quand il a tort aux yeux de certains.
La démocratie c’est le respect des voeux de la majorité. Tout un débat. Si on avait écouté la majorité, en France, il y aurait encore la peine de mort. Donc, le peuple n’a pas toujours raison, même majoritaire.
Que conclure? Il faut conclure que parfois, un bon chef va à l’encontre des voeux de la majorité, pour le bien commun.
Rien n’est simple.
Deamain, sondage à l’émission Laroque La Pie-re.
Je présume que l’on va comparer l’appuis au PQ selon qu’il est diriger par Mme Marois ou Ducppe. Le résultat servira pour accentuer la crise au PQ et forcer un putch.
On a donc deux Empires (Gesca-Charest et Quebecor-Legault) qui visent tous les deux à accentuer les divisions au PQ.
La question, pourquoi maintenant. Que nous nous vaut ce timing: Démolir le PQ en vue d’un élection au printemps ?
Peu importe qui gagne du PLQ ou du CAQ, le résultat sera le même: Le Québec continuera d’être piller par de puissant réseaux d’argents.
M. Pomerleau, vous écrivez : «On a donc deux Empires (Gesca-Charest et Quebecor-Legault) qui visent tous les deux à accentuer les divisions au PQ.»
L’empire Gesca est pro-PLQ parce que ses patrons sont fédéralistes et Quebecor est plus neutre, penchant légèrement à droite, parce qu’il ne peut pas se passer des publicités des entrepreneurs qui sont très largement…fédéralistes. Autrement, il viendrait rapidement en faillite.
Selon moi, les fédéralistes sont indifférents au chef du PQ parce que c’est son option qui fait problème, pas son chef. Si l’option était populaire, le chef pourrait en parler souvent, ce qui l’aiderait dans les sondages et aux élections mais la réalité a montré le contraire.
Si les souverainistes veulent avoir plus de médias sur leur côté, faudrait tirer moins à gauche. Rêver de faire un pays sans ses entrepreneurs, c’est se placer un boulet au pied.
« Rêver de faire un pays sans ses entrepreneurs. »
Que de bêtises vous écrivez que pour vous afficher sur ce blogue…PATHÉTIQUE !!!
Monsieur Gascon a lumineusement raison!
Quel pays a besoin de ses entrepreneurs, hein?
Quelle exécrable foutaise que d’avancer le plus petit argument valorisant le moindrement l’importance des entrepreneurs!
Au Diable qu’ils aillent tous ces générateurs d’emplois et moteurs de notre richesse collective passée, présente, et à venir.
Non mais, quelle idée de même s’attarder un seul instant sur la supposée contribution de nos entrepreneurs…
Est-ce que les investisseurs et entrepreneurs de l’Ontario songeraient un instant à délaisser un marché d’acheteurs ontarien, plus de 12 millions de clients, si cette province devenait un pays souverain ?
Peut-on penser un instant que les investisseurs et entrepreneurs se priveraient d’affaires très rentables dans un marché de plus de 8 millions de clients, dans un Québec souverain comme c’est le cas dans la colonie Kwibek ?
Le monde des affaires à rien à cirer du statut politique d’un peuple en démocratie, qu’il soit dans une colonie ou dans un pays souverain. Tout ce qui anime les investisseurs et entrepreneurs se sont les opportunités d’affaires rentables, le « cash ». Est-ce assez clair ?
Perrier et Bousquet, Dupont et Dupond, vous raisonnez comme les tambours résonnent. Vos propos sur ce blogue résonnent sans cesse la peur de votre propre ombre, des « chus pas capable », des « on est trop p’tits », des « on est né pour un p’tit pain »; comme de parfaits colonisés soumis à leur maître, sans le maître point de salut. PATHÉTIQUES !!!
M. Bousquet !
Vous pensez réellement que l’Empire Desmarais est pro PLQ et que Quebecor serait plus neutre ? Vous êtes en retard de quelques années !
Vous prendrez 15 minutes de votre temps pour lire les quatre articles de Richard Le Hir sur Vigile concernant les appuis de Gesca en faveur de Legault. Et SVP lâchez-nous avec la neutralité de Quebecor. Nous ne sommes plus a l’époque de Pierre Péladeau il y’a des tonnes d’eau qui ont coulés sous les ponts depuis ce temps-là. PKP est un fédéraliste très proche du gouvernement Harper et si ce n’était d’une ADQ en manque d’appui dans la population Quebecor supporterait d’avantage Deltell. Regarder un peu la gang de journalistes et de chroniqueurs chez Quebecor. Martineau qui est très proche d’Eric Duhaime un des pires libertaires du Québec et un fervent admirateur de Harper. Facal un souverainiste mou comme la Caramilk dont le miel est tout ce qu’il y’a de plus a droite. Et que dire des Isabelle Maréchale, Jean –Luc Mongrain, Jean-Marc Léger, Nathalie Elgrably-Levy, Guy Founier, Benoit Aubin de Québec, Jean-Jacques Samson de Québec etc.….NEUTRES vous dites ????
Concernant Pauline Marois et son statut précaire je n’ai qu’une opinion à ce sujet. Avec Pauline Marois le PQ risque une noyade avec un autre chef peut-être que la tête se retrouverait hors de l’eau tout simplement. Pour le reste les membres de ce parti ferons bien ce qu’ils voudront !
M. Asselin, que faites-vous de M. Gilles Proulx, de Richard Martineau, très important chroniqueur, qui se déclarait souverainiste, il y a quelques mois, de Mathieu Bock-Côté, de M. Joseph Facal et de Mme Lise Payette, qui était au Journal de Montréal mais qui a démissionné pendant la grève, par solidarité syndicale alouette. ?
Il y a aussi des fédéralistes mais faut pas juste voir l’autre côté avec une vision trop partisane, qui empêche de voir les choses correctement. Est-ce que vous voyez la même chose chez Gesca à part Foglia qui n’écrit jamais sur des sujets politiques controversés, afin de ne pas déplaire à son boss.
Voyons Monsieur Bousquet !
Martineau me fait penser a Stéphane Gendron . Souverainiste le lundi , fédéraliste le mardi , autonomiste le mercredi , nationaliste le jeudi et autonomiste -fédéraliste souverainiste comme vous le reste de la semaine .
Même si certains souverainistes sont chez Quebécor ils sont pratiquement tous de droite et pas mal plus proche de Legault que de Pauline . Bouchard ,Lulu pour les intimeset Legault semble être la pierre angulaire d’ou ce greffe tout le Québec Inc . du monde des affaires .
Avec des souverainsistes semblables le Canada peut dormir en paix !
Au risque de vous apprendre quelque chose que vous savez fort possiblement déjà, ça fait depuis que Bernard Landry est devenu PM que le Canada dort bien en paix. Ce n’est pas avec les 1000 jours avant la souveraineté, ou le coffre à outils et encore moins la gouvernance souverainiste que le chien est édenté, il peut encore japper mais aucune morsure n’est possible.
Quant aux gens d’affaires pour la souveraineté, ils peuvent tous rentrer dans la même cabine téléphonique.
Il faut bien le constater, Madame Marois se cramponne à son poste. Pour ma part, je ne saurais me prononcer, à savoir si son départ pourrait s’avérer bénéfique pour son parti. J’ai pourtant l’impression d’assister à une agonie interminable, et je la prends en pitié.
Par contre, ce qui risque d’arriver si elle refuse de partir, c’est ceci: les militants ne se mobiliseront pas, de sorte qu’elle fera sa campagne électorale bien seule, et les résultats seront catastrophiques pour son parti. Je ne vois pas en quoi Mme Marois pourrait espérer une remontée dans les sondages, sauf si elle a quelques scandales dans ses cartons, qui n’attendent que le déclenchement d’une élection pour être exposés au grand jour. Et encore, il faudrait qu’elle ait de bonnes munitions en réserve non seulement contre Charest mais aussi contre Legault….
Elle ne sait pas, dit-elle, pourquoi elle se démène pour son parti, et nous sommes plusieurs à se le demander, compte tenu de la conjoncture.
M. Beauchesne,
Nous savons tous qu’un chien jappe fort et se promène la queue bien haute quand son maître est derrière. Le jour où il vous laissera tomber, votre belle queue vous l’aurez entre les jambes, collée au ventre comme tous ces hérauts du fédéralisme qui ne recrache que ce dont on leur a bourré le crâne.
En passant M. Beauchesne j’attends toujours votre réponse à la question que je vous posais le 28 octobre 2011 · 17h57.
«Les chiens aboient. La caravane passe.» [Dicton populaire]
Le jour où il vous laissera tomber, votre belle queue vous l’aurez entre les jambes, collée au ventre comme tous ces hérauts du fédéralisme qui ne recrache [sic] que ce dont on leur a bourré le crâne. – Denis Drouin
C’est curieux, à vous lire, j’ai toujours l’impression que les critiques que vous envoyez à vos adversaires sont en fait dirigées vers vous-même…
Vous imitez J-P Gascon maintenant?
L’évidence
Que veulent les Québécois avoir la paix quitte à voir leur poids dans le Canada baisser de plus en plus comme l’illustre ces trois sièges accordés aux communes contre 27 au Canada?
À ce titre vivre en paix dans l’humiliation tranquille prendra la forme du vote libéral ou de celui pour Legault. Se peut t-il toutefois que le peuple peut prendre parti pour une politique plus ferme moins molle que celle de Legault s’il bénéficie dans le PQ d’un nouveau chef plus résolu capable d’une parole écoutée qui dépasse les formules toutes faites d’une Pauline Marois.
Car Pauline Marois est incapable de transmettre son autorité, pire de lui donner un souffle. On a confondu dans le PQ expérience ministérielle et pouvoir d’éloquence, de rassemblement. Mme Marois par ailleurs est incapable de bouleverser la nouvelle norme que les médias et l’esprit du temps ont forgés que la question nationale se doit d’être refoulée, je ne dis pas le souverainisme non la question du Québec tout court!
Dans les circonstances actuelles, le Québec se dirige complètement non vers la souveraineté non vers l’autonomie tout droit dans le mur du fatalisme politique masochiste ce qui n’est pas rien. Dans ce cadre, Pauline Marois devrait accepter l’évidence qu’elle n’a pas l’envergure pour rester chef du PQ à moins de tout gâcher par un excès de confiance ou par la brûlure d’orgueil.
Charles de Gaulle dont la réputation fait impression a démissionné deux fois dans des contextes difficiles à la fin de la guerre et un an après mai 68.
Qu’un politicien plus modeste en soit incapable dans des circonstances toujours difficiles en dit long souvent sur la faiblesse de son caractère.
Hitler aussi fut très charismatique. Le problème c’est que la population ne s’attarde pas assez à remettre en question ses propres opinions.
Il y a des politiciens qui ont l’effroyable don de dire exactement ce que la population veut entendre. Est-ce cela que l’on veut comme dirigeant du Québec ? Ceux-là quand ils nous parlent on généralement la main sur le cœur, l’œil qui semble vous regarder l’âme et la voix avec juste assez de trémolo pour faire fondre nos défenses.
Je ne veux pas d’un chef qui ne s’adresse qu’à l’émotivité. Je veux d’une personne qui s’adresse d’abord et avant tout à mon intelligence et à celle de mes compatriotes.
«Croyez ceux qui cherchent la vérité, doutez de ceux qui la trouvent.»
[André Gide]
Le premier ministre Jean Charest entouré des coprésidents du conseil consultatif de l’Institut canadien du Woodrow Wilson Center, Paul Frazer et Gerald McCaughey, hier, à Montréal.*
La photo de John James Charest
http://www2.lactualite.com/jean-francois-lisee/exclusif-la-photo-du-2e-commissaire/10898/
Ça commence bien pour Charest**
Je dédie cette citation politique à notre premier ministre:
“Cette semaine, le gouvernement fait un sans faute; il est vrai que nous ne sommes que mardi”
– François Goulard, député français
* J’invite les lecteurs à aller consulter les commentaires du lien fourni par madame Legault, ça en vaut le coup.
http://www.ledevoir.com/politique/quebec/334433/jean-charest-prime-pour-son-engagement-public
** Cette citation provenent du blogue de Jean-François Lisée
Un académicien dirait que les soirées mondaines sont des collections de fleurs qui attirent papillons inconstants, abeilles affamées et frelons bourdonnants.
Le compte de Monte-Cristo. Dumas
Les chroniqueurs pour parler plus terre à terre du Journal sont surtout d’habiles opportunistes de la pensée. R.Martineau ne connaît qu’une constance celle de la phobie maladive des religions pour le reste, il fait dans l’opinion populaire style girouette jour après jour. Le niveau de ce commentateur qui écrit souvent en dessous de centaines de blogueurs rappelle ce qu’est la presse pour des grands groupes médias comme Québécor.
P.Karl. Péladeau joue sur deux tableaux celui du Canada avec Sun Medias puis celui du Québec avec Québécor. Ce qui détermine que Vox de Vidéotron-Québécor peut contribuer en diffusion et finance à une série de conférences à la Grande Bibliothèque sur les 10 jours les plus importants de l’histoire du Québec tout en permettant à son propriétaire Péladeau d’être actionnaire en même temps d’une chaîne populiste anglophone canadienne de droite conservatrice.
Karl Péladeau connaît comme première patrie le capital, sa seconde j’en conviens le Québec en autant qu’il roule à droite avec un Legault un tout petit plus nationaliste que les libéraux du type Charest. Penser qu’il faut espérer plus de Karl Péladeau est illusoire. Dans les pages du Journal, nous trouvons la plume maintenant d’Éric Bédard, souverainiste de droite qui collabore aussi à une émission d’histoire dans Vox. Des souverainistes sont présents dans Québécor en autant qu’ils soient non radicaux et à droite.
Il y a un patriotisme relatif chez P.K.Péladeau prenant forme idem dans un club de hockey à Québec mais tout ça est structuré et très adapté finalement au statu quo.
Certains sont crédules devant l’engagement de célébrités que ce soit sur le plan de la politique ou de l’action contre des maladies comme le cancer ou l’alzheimer. La part de l’intérêt personnel y est aussi pour beaucoup dans ces gestes.
Comme l’intérêt personnel de rester chef de parti en Autant en emporte le vent!
L’altruisme parfait existe-t-il ? Ne peut-on pas affirmer que chez tous les êtres vivants la motivation de tout geste ne peut pas ne pas être égoïste?
La mère qui donne sa vie pour sauver son enfant sait très bien que si elle ne le faisait pas il lui serait impossible de vivre avec ce remord.
Tous les gestes que nous posons dans notre vie s’appuient sur des motivations qui, in fine, ne peuvent qu’être personnelles. C’est dans la nature même du vivant. Chez l’humain, parfois, on réussit à se faire croire qu’il en va autrement.
«Combien de vertus apparentes cachent souvent des vices réels ! Le sage est sobre par tempérance, le fourbe l’est par fausseté.»
[Jean-Jacques Rousseau]
@Michel Bertrand
À part quelques conneries bien senties, vous avez l’habitude quand vous êtes taris d’idées grotesques comme vaut mieux laisser la place aux criminels en cravate plutôt qu’à des souverainistes, de revenir à l’enfantin argument :«celui qui le dit est celui qui l’est !»
Vous accusez tout un chacun d’arrogance qui nuit à leur cause, votre imbécilité est alors éclatante et vous vous en servez pour démontrer votre incapacité à tenir un discours cohérent enrichi d’arguments qui répondent à des questions sérieuses.
Par exemple, quels sont les raisons de s’abstenir d’exercer tous les pouvoirs normaux qu’une société souveraine et mature serait en droit d’exercer ?
Et je vous demande, Michel Bertrand ce que j’ai demandé à Victor Beauchesne sans avoir obtenu une réponse claire, que pensez-vous de la phrase suivante:
****
« Lorsque dans le cours des événements humains, il devient nécessaire pour un peuple de dissoudre les liens politiques qui l’ont attaché à un autre et de prendre, parmi les puissances de la Terre, la place séparée et égale à laquelle les lois de la nature et du Dieu de la nature lui donnent droit, le respect dû à l’opinion de l’humanité oblige à déclarer les causes qui le déterminent à la séparation.»
****
Alors Michel Bertrand ayez le courage de répondre à une question sérieuse sans avoir recours à une comptine ou à la raillerie.
J’attends vos commentaires.
«Soyez votre propre lampe, votre île, votre refuge. Ne voyez pas de refuge hors de vous-même.»
[Bouddha]
M Drouin,
Je vais prendre quelques minutes avant de me coucher, je vais répondre à votre première question puisque vous me le demandez si gentiment; Au cas où vous ne sauriez pas de quoi je parle; -Par exemple, quels sont les raisons de s’abstenir d’exercer tous les pouvoirs normaux qu’une société souveraine et mature serait en droit d’exercer ?- J’espère que vous reconnaissez votre texte?
Nous avons déjà ces droits dans notre Canada imparfait,.. Ruiner le Québec et le transformer en pays du tiers monde et anéantir notre culture par notre isolement pour le privilège de pouvoir ‘rayonner à l’ONU’ comme disait Boisclair, ne tiens pas la route. C’est du suicide.
Et c’est tout ce que j’ai à dire là dessus. Je l’ai déjà dit maintes fois.
Je commence à vous trouver sérieusement agressif et désagréable: Je vous conseille de vous calmer le pompon…
Vous voulez une réponse sérieuse de moi? Je viens de vous en donner une.
Je vais vous faire un deal: Vous voulez que je réponde à une question sérieuse sans avoir recours à une comptine ou à la raillerie comme vous demandez sur vos grands chevaux? Répondez alors sans copier-coller vos foutues citations, et y aurez droit! Mais pas avant!
On va obligé de répéter combien de fois pourquoi on s’oppose à la souveraineté ici?
Je ne me justifie plus: Relisez-moi, c’est tout. Je martèle le message, c’est ce qui compte dans le fond…
Il y aura toujours des imbéciles frustrés comme vous pour essayer de nous discréditer, alors je ne m’en fais pas.
Juste pour finir: ‘quand vous êtes taris d’idées grotesques comme vaut mieux laisser la place aux criminels en cravate plutôt qu’à des souverainistes’ – Denis Drouin
Ben oui M.Drouin, donner le pouvoir aux souverainistes, c’est DEUX problèmes pour le prix d’un!
Mais vous le savez, ca; C’est parce que vous êtes hypocrite voyez-vous; Vous essayez bêtement de convaincre les gens de voter pour les souverainistes en leur disant que ça va régler les problèmes! Vous prenez les gens pour des idiots on dirait!
Allez, va via!
M. Drouin croît qu’il a LA question qui tue à laquelle aucun non-souverainiste peut répondre adéquatement. Le fallacieux de sa conclusion tourne autour de la définition de « nécessaire » car dans sa question M. Drouin assume que c’est un truisme connu et accepté de tous, ce serait nécessaire de dissoudre les liens avec le Canada.
Lui et tous les souverainistes peuvent bien penser que c’est une nécessité mais la vraie réponse vient du peuple, et le peuple ne croît pas du tout que sa survie et son bienêtre sont liés à une souveraineté politique éphémère et souhaite conserver ses liens canadiens.
Voilà M. Drouin, la réponse est très simple, le peuple n’y voit aucunement le nécessité de rompre. Le jour qu’il y croira, la souveraineté deviendra par le fait même nécessaire. D’ici là vous pouvez continuer vos insultes envers ceux qui n’ont pas encore votre foi nationaliste, mais votre manière contribue plus à repousser qu’à attirer ceux dont vous aurez besoin pour réussir.
« you can fool some of the people all of the time or all of the people some of the time, but you can’t fool all of the people all of the time »
Abraham Lincoln
Au fait, M. Parizeau porte-t-il une cravate?
Un gros risque qu’il prend là…
Une idée, comme ça…
Considérant cette crise existentielle qui secoue les bases mêmes du Parti Québécois, laquelle pourrait finir par entraîner la disparition de cette formation politique;
Considérant également que l’air du temps semble être propice à la création de nouveaux partis (plusieurs sont à se découvrir une vocation depuis longtemps refoulée de «calife» en ce moment);
Considérant qu’en l’an de grâce 1792, nos aïeuls révolutionnaires français s’étaient regroupés sous l’appellation des «Sans-culottes» afin de protester contre l’Ancien Régime et étaient alors dirigés par les «enragés», le tout ayant ultimement mené à différentes mesures politiques, économiques et sociales connues sous le nom de «la Terreur»;
Considérant la dégradation des moeurs politiques affligeant les descendants des «enragés» en territoire de Nouvelle-France, un regroupement salvateur devrait être créé afin de procéder à un grand ménage dans toute la putréfaction ambiante.
En hommage aux «Sans-culottes», dont la juste cause est parente avec la nôtre, il est proposé que le nouveau regroupement salvateur se nomme les «Sans-cravates».
(Quant au programme relatif aux mesures politiques, économiques et sociales, il suffira d’aller piger dans les livres d’Histoire détaillant ce qui s’est passé du côté des «enragés» une fois «la Terreur» instaurée.)
Pourquoi pas l’apocalypse ? Ça épouvanterait encore davantage les imbéciles qui laissent les scénaristes de films d’horreur manipuler leurs viscères. En cette veille de l’Halloween, vous êtes en plein dans le ton du jour.
Vous et Bousquet formez une équipe extraordinaire d’épouvantails sur ce blogue, et non seulement pour amuser vos lecteurs à l’Halloween, mais toute l’année durant…cherchez l’erreur…
Et si vous commenciez à exiger que les méchants séparatissssses portent une étoile jaune ?
Arrêtez vos stupidités et êtes vous capables de discuter sérieusement d’idées sans tomber dans l’idéologie.
Par exemple, êtes-vous capable de m’expliquer pour quoi ce qui est bon pour l’ensemble des nations représentées à l’ONU devient un sacrilège pour le Québec ? Pour quoi ce qui est bon pour le Canada ne le serait pas pour le Québec. Ma question est simple, elle n’insulte personne et elle n’est basée que sur la notion d’égalité entre les humains et sur des principes reconnus et appliqués internationalement.
« Etre informé de tout et condamné ainsi à ne rien comprendre, tel est le sort des imbéciles. » [Georges Bernanos]
Les interventions (presque interchangeables) de Messieurs Gascon et Drouin ont au moins le grand mérite de révéler leurs obsessions et mettre vivement en constraste la modération et le respect des questions débattues qui colorent les miennes…
Un apport non-négligeable à ce que j’avance dans mes écrits.
(Un appui – même par l’absurde – demeure quoi qu’il en soit un appui!)
Selon le dernier sondage de Léger marketing, publié ce matin, la crise existentielle est finie si M.Duceppe devient chef du PQ.
Selon ce sondage, avec M. Duceppe, le PQ prendrait le pouvoir de façon majoritaire au Québec mais ne pourrait pas aller rapidement cers un référendum sur la souveraineté qui n’attire que 36 % de Québécois et en repousse donc 64 %.
Pour résumer ce sondage, non à Mme Marois, non à M. Charest, oui à M. Duceppe et non à la souveraineté du Québec.
Calmez-vous, prenez vos pilules, un bon café, puis on relaxe, on se détend……on se détend…..on se détend…..on se détend…………………………………………………………………
Monsieur Bousquet ne nous dit pas ce qu’il ressent réellement face a ce sondage dévastateur pour Pauline Marois et pourtant il ne s’est pas gêner depuis des mois pour dénigrer et ridiculiser Duceppe .
Si ce sondage est crédible ( je me méfie de Léger Marketing et CROP ) nos péquistes pro-Marois qui déchirent leur chemise depuis le départ des mutins devront cesser la mascarade et penser au bien être du parti plutôt que réagir par orgueil démesuré .
Bien sûr Bousquet qui n’a rien d’un souverainiste continue de dénigrer l l’option souverainiste en nous laissant un commentaire empreint de frustration !
Et si le sondage est crédible peut-être que nos fédralistes libéraux devront se concentrer sur les problèmes du PLQ et de l’ image de leur chef dans la population !
Le couvert est mis pour le retour de Gilles Duceppe en politique québécoise, mais l’ancien chef du bloc peut se faire désirer le temps qu’il faut à François Legault de faire connaître le programme de son parti et de s’enfarger dans les fleurs du tapis.
A voir la mine radieuse de Pauline Marois et l’aveu rassurant de Bernard Drainville qui a admis qu’il se passera quelque chose après les fêtes si rien ne change avec la crise de leadership au P.Q., suite à sa rencontre sercrète avec elle.
Plusieurs évoquent un tandem Marois- Duceppe comme chez Québec solidaire qui a tout à perdre avec le retour de M.Duceppe qui ne fera pas dans la dentelle avec Amir Khadir qui a opté pour le NPD le 2 mai dernier.
Amir Khadir démasqué
http://www.ledevoir.com/politique/quebec/323691/libre-opinion-amir-khadir-demasque
Pauline Marois doit rester au P.Q. peut-être vice-première ministre ou aux finances car Gilles Duceppe a beau avoir du charisme à revendre, il faut plus que ça pour diriger le Québec et ses vaches à lait à l’appétit insatiable.
D’après le sondage par Internet… de ce matin chez Québecor, les libéraux vont connaîtrent leur traversée du désert dans ce scénario digne d’un film d’horreur pour eux en cette veille de l’Halloween; le vampire Charest et son troupeau vont prendre la poudre d’escampette Transylvanie, c’est en Europe et très loin comme plusieurs le prédisaient.
http://www.youtube.com/watch?v=QrkGDtHipl8&feature=related
Le couvert est mis pour le retour de Gilles Duceppe en politique québécoise, mais l’ancien chef du bloc peut se faire désirer le temps qu’il faut à François Legault de faire connaître le programme de son parti et de s’enfarger dans les fleurs du tapis.
A voir la mine radieuse de Pauline Marois et l’aveu rassurant de Bernard Drainville qui a admis qu’il se passera quelque chose après les fêtes si rien ne change avec la crise de leadership au P.Q., suite à sa rencontre sercrète avec elle.
Plusieurs évoquent un tandem Marois- Duceppe comme chez Québec solidaire qui a tout à perdre avec le retour de M.Duceppe qui ne fera pas dans la dentelle avec Amir Khadir qui a opté pour le NPD le 2 mai dernier.
Amir Khadir démasqué
http://www.ledevoir.com/politique/quebec/323691/libre-opinion-amir-khadir-demasque
Pauline Marois doit rester au P.Q. peut-être vice-première ministre ou aux finances car Gilles Duceppe a beau avoir du charisme à revendre, il faut plus que ça pour diriger le Québec et ses vaches à lait à l’appétit insatiable.
D’après le sondage par Internet… de ce matin chez Québecor, les libéraux vont connaîtrent leur traversée du désert dans ce scénario digne d’un film d’horreur pour eux en cette veille de l’Halloween; le vampire Charest et son troupeau vont prendre la poudre d’escampette Transylvanie, c’est en Europe et très loin comme plusieurs le prédisaient.
M. Asselin, je suis désolé pour Mme Marois mais satisfait pour le PQ qui, à la place de faire élire une dizaine de députés, prendrait, avec M. Duceppe, le pouvoir, ce qui me semble une nette amélioration sur celui du PLQ Charest. Les députés du PQ ont le choix entre, perdre avec la douce Mme Marois ou prendre le pouvoir et se faire diriger solidement par M. Duceppe.
Dur problème à résoudre. Ça va prendre les 2 chefs, probablement. Un pour la discipline et l’autre pour consoler les députés ainsi frustré(e)s.
Au sujet de la souveraineté, descendue à 36 %, ce n’est pas de mois mais de Léger marketing, à qui vous ne faites pas confiance, contrairement à moi qui crois cette firme de sondages, très honnête, jusqu’à prévue du contraire.
M. Hébert, commentateur de ce sondage, croit qu’une partie de ce bon résultat pour M. Duceppe vient d’une certaine forme de consolation des Québécois envers M.Duceppe pour l’avoir si brutalement sorti d’Ottawa avec son Bloc. Que ça vienne d’un endroit ou d’un autre, c’est vraiment consolant pour M. Duceppe et pour les Péquistes, dont je suis, de voir une lumière s’allumer, à condition que le PQ dise ce qu’il va faire de concret, comme M. Legault, pour la santé, l’éducation, l’économie, la langue française et la culture québécoise.
J’espère que vous voyez aussi de bonnes choses de ce sondage, même si vous êtes un peu sceptique.
Youppi Gilles Duceppe à la rescousse du PQ. Le Bloc à peine enterré, le voilà l’homme tout choisi pour diriger le PQ, se faire élire PM, et nous diriger vers le Grand Soir.
Mais qu’a-t-il dirigé dans sa vie, quelle est son expérience ministérielle, pourquoi s’était-il soudainement retiré de la course lorsque Pauline s’est pointée ? Comment veut-il diriger le Québec pour atteindre la souveraineté ? Comment un ex ML syndicaliste très à gauche sur l’échiquier politique compte encourager l’entrepreneurship québécois, redresser les finances publiques ?
Ce serait intéressant de l’entendre puisque pendant 20 ans tout ce que nous avons entendu de lui c’est que le Québec était désavantagé au Canada, jamais un mot sur quel sorte de Québec qu’il souhaite.
Même si vous aviez Duceppe en face de vous et qu’il répondait à toute vos questions vous n’y comprendriez strictement rien. Comment faire comprendre à un cerveau d’un enfant de 5 ans des notions qu’un adulte normal maitrise pour expliquer la société.
«Il te montre la Lune et tu regardes son doigt.»
[Proverbe africain]
M. Beauchesne, par contre, M. Duceppe a toujours dit qu’il aimait le Canada et ne pourra pas séparer le Québec unilatéralement avec 36 % de souverainistes dont seulement 13 % de véritables séparatistes, les autres souverainistes voulant demeurer dans le Canada.
Il reste à déterminer ce que pourrait proposer M. Duceppe de différent du programme actuel du PQ qu’il approuve comme il approuve Mme Marois.
Il semble que les Québécois aiment mieux un gars tough qu’une femme aimable, comme chef et Premier-ministre du Québec, principalement s’il n’a jamais été mêlé à des « erreurs provinciales gouvernementales » du passé.
Faut dire que, malgré son air renfrogné, M. Duceppe a du panache, ce qui le fait bien percevoir des Québécois sauf pour la lourde défaite du Bloc du 2 mai dernier aux mains d’un homme souriant, liant et positif et fédéraliste.
» M. Duceppe a du panache » Gilles Bousquet
M.Duceppe ne devrait pas quitter la ville tant que la saison de la chasse ne sera pas terminée.
M. Gascon s’est tellement détendu que je crois bien qu’il s’est endormi, satisfait que le PQ vient de se sortir du trou avec cet espoir de l’arrivée probable de M. Duceppe au PQ, même si la séparation du Québec ne semble pas tellement dans la poche, selon ce dernier sondage…surprenant.
M. Goyette, principalement s’il se promène dans Charlevoix.
Si M. Duceppe arrive au PQ, ce qui donnerait 12 % de plus à ce parti qu’à la CAQ de M. Legault, 37 % au PQ et 25 % à la CAQ, est-ce que les 500 curriculum vitae de candidats potentiels vont se transporter de la CAQ au PQ ?
Que ferait M. Aussant, M. Curzi, Mesdames Lapointe et Beaudoin et M. Charette qui penche vers la CAQ ? Un retour ? Et le brunch à Sorel de ce matin, qui va faire quoi ? Intéressante période pour M. Lapierre, en particulier et pour les Québécois, en général.
Avez-vous pris vos pilules Monsieur TOC ? Ou, plutôt, n’avez-vous pas encore consulté votre professionnel des troubles obsessionnels compulsifs des statistiques sur le comportement de la colonie Kwibek ? À ressasser quotidiennement vos interprétations de sondages sur ce blogue, arrivez-vous à dormir, si ce n’est que seulement deux heures par jour ? Vous êtes d’un ennui, terrible, terrible, vous êtes DING, ou êtes-vous DONG ?
Se peut-il qu’à un moment ou l’autre émerge une personne charismatique ayant une vision articulée de la situation politique québécoise qui puisse réconcilier assez de personnes pour créer une masse critique en faveur d’une vision ou d’une autre de la société québécoise ?
Je ne vois pas comment nous pourrions répondre non à cette question. L’histoire nous enseigne qu’il en fut ainsi pour plusieurs nations.
Quelqu’un plus haut a évoqué le souvenir de Charles de Gaule qui a joué deux fois ce rôle pour la France. Malgré les critiques valables qu’elles ont suscitées, de telle personnalités ont marqué leur époque et orienté d’une façon notable leur histoire nationale.
Il ne serait pas surprenant que le même phénomène se produise au Québec. D’une certaine façon et dans une certaine limite, les Jean Lessage, Robert Bourassa et René Lévesque ont joué un tel rôle.
Dans quel axe ce phénomène pourrait-il se présenter, fédéraliste ou souverainiste ? Pour la gauche ou pour la droite ? On voit bien que les variables sont très nombreuses et une prévision difficile à faire. Mais les temps que nous vivons sont comme des frontières qui devront être franchies un jour ou l’autre.
Alors pour savoir qui pourra jouer un tel rôle demande exigerait une boule de cristal vraiment très puissante.
«Il est plus facile de briser un atome que de briser un préjugé.»
[Albert Einstein]
Perdre une bataille ne signifie pas perdre la guerre, au contraire c’est indispensable pour devenir un bon chef.
Gilles Duceppe a la réputation d’enfoncer le moindre clou qui dépasse d’un bon coup de marteau, pas certain que le P.Q. soit capable de discipline et d’éviter de se faire hara-kiri par des clous pas de tête qui grenouillent en sourdine continuellement autour du parti.
A ce jeu de la chaise musicale des partis politiques québécois selon les sondages, force est de constater que Pauline Marois n’est plus la seule à perdre la sienne; Jean Charest est assis sur un siège éjectable et ne contrôle plus la musique à sa guise.
Bourgault a accepté de saborder le RIN au profit du Parti Québécois. Voila, quoiqu’on en dise, une personne qui mettait au premier rang le plus grand bien de la nation, pas son égo, ni sa vision égoïste.
Benoit Carré,
Laval
Il est désolant de constater que ce blogue se transforme de plus en plus en guerres de chapelle plutôt qu’en un réel espace de débat et d’échange d’idées…
L’évocation d’arguments tels la peur, le nombre, le dogmatisme ou la répétition « ad nauseam » me semble indigne de gens prétendument instruits, politisés et intellectuellement honnêtes.
Nous* semblons incapable de débattre sur le fonds – de la valeur ou non des arguments – et nous en arrivons trop souvent, me semble-t-il, à nous définir autrement que par notre appartenance inaltérable à un camps.
Notre incapacité, ou notre manque de volonté à nuancer nous fait faire du sur place et nous amène à confondre monologue avec dialogue.
Vouloir toujours tout réduire à sa plus simple expression appauvrit le débat.
Un « break » me semble à propos, aussi je vous salue tous et vous dis à plus tard.
Respectueusement.
– Nous*: mon Nous se veut inclusif…
******************************************
Enfin, et en lien avec le billet de notre hôtesse, le moment me semble venu pour madame Pauline Marois, au nom d’un intérêt supérieur, de tirer sa révérence: la continuation du parti québécois devant avoir préséance sur les ambitions de l’actuelle chef de l’opposition officielle.
Bon dimanche à tous…
Comme je reviens de loin géographiquement et en termes de conditions de santé, je parcours les nombreux commentaires et j’endosse et entérine totalement et avec ravissement les propos d’OBJECTEUR CONSCIENT. Nous radotons et nous sombrons dans un radotage qui débouche sur un trop-plein de vide.
Tout comme Objecteur Conscient, je m’inclus dans ces reproches. Mais j’ajoute que je vais de moins en moins m’en mêler lorsqu’il sera question de la sécession du Québec. D’autres problèmes et questions sollicitent de plus en plus mon intérêt et mon attention.
JSB
Ainsi donc, un nouveau sondage selon l’hypothèse que «si» Gilles Duceppe devenait chef du PQ, la crise existentielle serait du coup balancée aux oubliettes aurait paru.
Et le principal intéressé, M. Duceppe lui-même, qu’en a-t-il dit?
Est-il même au courant du sondage en question?
Vite, vite, vite… davantage d’informations!
Le sondage d’aujourd’hui est dévastateur pour John James Charest car son parti en prend pour son rhume avec l’hiver à nos portes. Reste à savoir si c’est une tendance lourde.
La loyauté envers le chef, c’est fragile quand le parti se retrouve en 3e position. Les députés libéraux ont beau être déconnecté de la réalité, elle finira bien par les rattrapper un jour ou l’autre.
« rattraper » avec un seul « p »
Les erreurs de conjugason sont facultatives.
Les erreurs de frappe aussi.
« conjugaison »
Merci bien pour ce louable empressement de votre part, M. Goyette, à me faire valoir les «conséquences» pour M. Charest – ainsi que pour vos rectifications concernant l’orthographe…
Mais quelques grosses questions demeurent encore:
Tout d’abord, Monsieur Duceppe serait-il vraiment intéressé à mettre les pieds dans le nid de guèpe qu’a toujours été le Parti Québécois?
Puis, Mme Marois serait-elle prête à céder la place?
Enfin, si ces deux premières considérations ne faisaient pas obstacle, y aurait-il suffisamment de temps pour le PQ pour être prêt à temps pour la prochaine élection?
Rien n’est joué, bien loin de là. Il n’y a rien ici encore qui permette l’optimisme ou le pessimisme (selon le camp des adversaires en présence). Attendons.
C’est un sondage hyper hypothétique réalisé en pleine crise de folie, au milieu d’une semaine où la mort potentielle a frappé tour à tour tous les partis, à une époque où les québécois sont nombreux à ne plus savoir ce qu’ils veulent. En plus ce sondage a été présenté par un homme perpétuellement catastrophé, quasi hystérique, qui voit des hypothèses farfelues et en quantité industrielle partout.
Le sondage nous révèle un gros paquet de choses que tout le monde savait déjà. Les gens sont tannés de Pauline Marois et de Jean Charest (Surprise!). Comme toujours ils cherchent un sauveur pétant de santé et sans canne. Jean-Marc Léger a toujours l’air d’avoir découvert un trésor inestimable dans chacune de ses analyses. Aujourd’hui il nous annonçait la chute dramatique et inexorable de l’option souverainiste. Figurez-vous qu’elle est passée à 37% (en pleine crise) alors qu’elle stagnait à 40% depuis des lustres. A-t-elle vraiment fléchi? Voyons mon Jean-Marc… Elle est où la catastrophe dans le contexte actuel? Dans la marge d’erreur de 3% de ton sondage.
Moi les choses sont claires dans mon esprit. Je veux que Jean Charest et Pauline Marois cri….. leur camp le plus tôt possible. L’appui à la souveraineté va remonter quand on aura une équipe intelligente pour en parler à nouveau aux jeunes qui pensent que c’est une idée dépassée. Si l’idée est dépassée pourquoi il y a de plus en plus de pays souverains et qu’aucun n’a renoncé à sa souveraineté aussi loin qu’on puisse se souvenir? L’indépendance c’est bon pour tous les individus sains d’esprit. Ça devrait l’être également pour toutes les nations adultes. Peut-être qu’au Québec nous sommes encore trop bébés pour prendre notre avenir en main.
Quand donc Pauline Marois réalisera-t-elle que même si son caucus et ses organisations de comté lui léchaient tous les pieds, la population ne l’aime pas et ne l’aimera pas plus dans un an. Les québécois se sont fait une idée (fausse peut-être) à son sujet et cela ne changera jamais suffisamment pour qu’elle devienne enfin la reine du Québec.
Merci Paolo.
Un peu de viande autour de l’os fera toujours un meilleur repas.
Jusqu’à présent, les convives n’ont eu droit qu’à de belles photos retouchées de ce qui pourrait éventuellement constituer le festin.
Quant à la coupe… elle demeure encore et toujours loin des lèvres…
Ce sondage procure une fenêtre de renaissance possible pour le PQ.
Évidemment que le PQ est coincé par la difficulté de réaliser le pays, l’hostilité des médias pour tous les partis un peu trop nationaliste ou de gauche ou de droite d’ailleurs.
Néanmoins si G.Duceppe réussit à obtenir un appui de la population suffisant pour permettre une lutte à trois entre la CAQ de Legault, le PQ et le PLQ cela demande la réflexion désintéressée de P.Marois devant les faits de voir la possibilité pour son parti d’éviter l’hécatombe.
1- L’importance de G.Duceppe chef péquiste à défaut de procurer le pouvoir au PQ est fondamentale puisqu’elle peut permettre de transformer le PLQ en tiers parti. De voir un parti anti francophone comme le Parti Libéral être catapulté à la troisième place ne peut qu’être bénéfique et forcer la majorité des allophones à reconsidérer l’option libérale.
2- Duceppe au PQ c’est forcer F.Legault à envisager la fusion avec l’ADQ avec un parti beaucoup plus à droite encore que le sien en construction. De quoi alimenter la bisbille dans le camp de l’ambitieux Legault qui espère une lutte à deux depuis un an tellement favorable à son égard.
3- La présence de Duceppe comme chef c’est celle d’un chef articulé capable d’autorité de faire croire à l’établissement d’un programme de parti et de gouvernement.
4- L’arrivé de G.Duceppe permettrait au PQ une chance minimum de former le prochain gouvernement et de procurer un gouvernement moins passif aux Québécois. De révolution il n’en n’est pas mention, dans les circonstances de 8 ans de gouvernement libéral de gestion de la régression sociale et nationale, un gouvernement Duceppe pourrait AU moins faire avancer le Québec..
5-Possibilité au pire d’un gouvernement minoritaire Legault ou libéral plus ouvert à l’opposition dans l’éventualité de l’arrivé à Québec de G.Duceppe et du départ de Mme Marois.
Bref, indépendamment des arrières pensées du Léger de Québécor, ce sondage créé la possibilité d’une lutte politique ouverte plutôt que finie. D’éviter le scénario Legault majoritaire écrit et fatal depuis mai-juin de cette année.
On dira que Duceppe a 65 ans l’an prochain, qu’il n’est plus frais patati patata, P.Marois en a 62 et on lui reproche surtout de faire de la politique à Québec depuis 30 ans. Charest en aura 53 en 2012, et il est pm depuis longtemps. Legault a 54 ans, il n’est pas loin non plus de 60 ans.
Alors en dehors de l’âgisme qui établit des normes faciles, en dehors des préjugés sur le syndicalisme passé de Duceppe. On connaît les tactiques de l’adversaire, on les devine. Il y a une équipe autour du PQ dont Drainville reste un espoir avec à voir une seule de ses réformes politiques pertinentes qui pourrait être considéré. Cette équipe comprenant d’anciens députés bloquistes peut soutenir suffisamment G.Duceppe pour relancer le PQ.
-Autre point, en dépassant son ressentiment personnel contre A.Khadir, G.Duceppe pourrait peut être entreprendre des négociations pour le PQ avec Q.S.
Nous en sommes là, le PQ doit agir pour que l’option nationale ne soit pas refoulée par des politiciens notables qui ont écrasé le Québec depuis la confédération de 1867.
Le Québec mérite mieux que la néo-Union Nationale de Legault au pouvoir et que le PLQ dans l’opposition officielle!!
G.Duceppe joue la loyauté par ses déclarations envers P.Marois c’est prévisible.
Dernières manchettes sur le brunch de cet après midi.
Idem pour un B.Drainville la semaine dernière.
Ce n’est pas en démissionnant du PQ évidemment que l’on peut produire le processus de départ d’un chef impopulaire ce que les députés démissionnaires tel P.Curzi ont démontré jusqu’à l’absurde.
La question du leadership reste un sujet délicat tout comme le rôle de sondages publié en série. Besoin de stabilité classique chez les chefs de parti, interrogation sur les médias derrière les sondages. Toutes ces questions sont légitimes j’en suis.
Néanmoins, l’élection du 2 mai a exprimé au Québec essentiellement une crise du politique affectant tous les partis établis au fédéral y compris le Bloc entraînant aussi par effet collatéral G.Duceppe dans la tourmente en tant que chef bloquiste aux communes depuis 14 ans. Cette crise du politique pourrait donner paradoxalement une nouvelle chance à G.Duceppe mais à Québec pas à Ottawa tout en expliquant pourquoi J.J.Charest et P.Marois sont essentiellement rejetés et pourquoi le rôle dominant des partis libéraux et péquiste est très fragilisé à Québec également. Procurant l’opportunité flagrante des démarches d’un F.Legault.
Par cette crise du politique, comment P.Marois peut espérer tenir le fort attaqué sur le front de son expérience même qui n’est plus tenu pour l’étalage d’un curriculum vitea brillant mais perçu comme l’enfoncement dans le carriérisme politique? Par cette crise comment les libéraux peuvent croire l’inimaginable que leur chef Charest pourra résister à la tornade qui se prépare électorale à venir contre lui? comme si la mise hors la loi du placement syndical pouvait effacer les turpitudes de ce gouvernement dans son favoritisme envers les entreprises qui remplissent la caisse électorale du très vieux Parti Libéral?
La crise du politique perdure depuis le 2 mai dans une optique pèle mêle rationnelle ou irrationnelle, elle risque d’emporter les partis souverainistes établis avec les deux partis libéraux du Canada et du Québec, le Parti Conservateur du Canada, L’Action Démocratique du Québec et Québec Solidaire par la bande. Ce qui est presque fait en parti depuis le 2 mai favorisant un faible NPD inconsistant au Québec.
Face à cette crise du politique et au cynisme la première philosophie au Québec et en Occident, croit t’on possible de laisser faire et de laisser pourrir. De parier sur le conformisme et la politique convenue et institutionnelle.
Pauline Marois, avez vous compris qu’il y a une crise de la politique au Québec!
Permettez un peu de cynisme face à la déclaration de M. Pierre Bouchard.
Il demande à Mme Marois de se tasser alors qu’en avril le tout PQ l’encensait, et pourquoi, pour céder sa place à Gilles Duceppe, le fossoyeur du Bloc, celui qui a perdu son siège , celui qui n’osait pas se présenter contre Pauline trop compétente pour lui et son expérience du pouvoir inexistante.
Tout cela à cause d’un seul sondage favorable. Est-ce que l’avenir du mouvement souverainiste serait si chancelant qu’il tient au résultat d’un sondage ?
Monsieur Beauchesne sur ce blogue continue de « varger « sur tout ce qui ressemble a des souverainistes !
Il demande ce que Gilles Duceppe a fait pour le Québec quand celui-ci aura été chef d’un parti qui a connu un immense succès depuis des décennies en battant des records d’appui dans la population .
Ce que Monsieur Beauchesne ne nous dit pas par contre c’est pour qui il vote LUI . Et si ce chef de parti a fait plus pour le Québec que Gilles Duceppe.
Si monsieur vote pour Charest je lui dirai simplement que celui-ci est en train de détruire le Québec. Si monsieur vote pour Legault je lui dirai que celui-ci n’a encore rien fait pour le Québec comme chef de parti de même que M. Deltell !
Y’a des limites a « garrocher « sa nourriture depuis sa chaise- haute sur les grandes personnes M. Beauchesne !
Venant de quelqu’un qui « varge » continuellement sur tout ce qui n’est pas de la socio-gogauche-souverainiste, c’est tout un compliment. Merci.
Vous avez raison, M. Duceppe aura bientôt sa statue et on va renommer une rue importante à sa gloire. Grand bien lui fasse.
Question pour M. Carré: Comment quelqu’un qui s’est auto-exclu du pouvoir pourrait être autre chose qu’intègre ?
« nation québécoise aux prises, à l’intérieur, avec la corruption et à l’extérieur avec une dangereuse agression venant d’Ottawa et de Harper. » B. Carré
L’heure est au sauvetage de la nation, Harper est à veille d’abolir le registre des armes de chasse, mettons Duceppe PM et il mettra Harper à sa place, euh il a déjà échoué à cette tâche à Ottawa, peut-être aura-t-il plus de succès à Québec.
Pour info.
Je n’ai jamais comme Québécois été un fan de Pauline Marois. J’ai toléré P.Marois comme chef prenant parti plutôt que pour sa chef et depuis fin novembre 2010 que Legault a lancé le CAQ, je suis favorable au remplacement de Mme Marois. Réjean Asselin pourrait en témoigner tout comme P.Mitriou, S.Gingras et M.Bousquet tous des habitués de Page publique. Merci.
Le BQ a défendu le Québec à Ottawa avec Duceppe dans le cadre de l’opposition, ce que le NPD ne fait pas en tant qu’opposition officielle! Cinq plus cinq égale dix!
Bien sûr ce sondage en faveur de Duceppe ne signifie pas qu’avec lui la Coupe est gagnée d’avance ! Les éliminatoires ne sont même pas commencées. Par contre ce sondage devrait suffire à faire comprendre aux défenseurs de Pauline Marois, dont certains d’entre eux se sont même amusés à discréditer et détruire la réputation de Gilles Duceppe, qu’il est temps de penser au bien du PQ plutôt que de continuer à imposer aux nombreux souverainistes qui votent pour le PQ un chef dont la population ne veux rien savoir.
Y’a des limites a l’amateurisme et ce sondage devrait faire réfléchir nos sommités intellectuels comme Monsieur Lisée, grand personnage devant l’éternel et Maka Kotto notre grand psychologue de la chose politique !
J’espère seulement que Pauline Marois fera preuve d’honnêteté et d’humilité et qu’elle fera passer le bien du parti avant sa carrière qui s’annonce très brève si elle persiste a rester et subir une importante raclée a la prochaine élection !
Je n’ai jamais entendu quelqu’un détruire la réputation de M. Duceppe. Il est reconnu pour être sec, pas très souriant et très directif envers SES députés mais pas, malhonnête. Personne ne songe, d’une façon ou d’une autre, à corrompre les membres d’un parti qui ne prendra jamais le pouvoir à Ottawa. L’occasion n’y étant pas, le larron n’y est donc pas.
Comme M. Bouchard vient de l’écrire, M. Duceppe a défendu tellement bien le Québec à Ottawa, le rendant plus confortable, dans le Canada, qu’il est aujourd’hui plus difficile à un Québécois de vouloir en sortir, ce qui n’aide pas le séparatisme québécois.
Voyona M. Bousquet !
Vous étiez undes péquistes des plus heureux quand Duceppe et le Bloc ont été délogés le 2 mai dernier . Vous avez a maintes reprises traité Duceppe d’air bête l’avez tenu responsable a lui seul de la défaite du Bloc , défaite qui semblait faire votre affaire .
Maintenant que Duceppe remonte dans le coeur des québécois vous amadoué vos propos et nuancé vos griefs envers lui !
Quand Duceppe a voulu se présenter à la chefferie du PQ vous l’avez écarté comme un chien pas de médaille pour laisser toute la place a Pauline Marois , celle qui pourrait couler votre parti pour de bon !
Je l’ai déja dit a maintes reprises ! Avec Duceppe comme chef a la dernière élection le PQ gouvernerait actuellement !
J’espère que cette fois-ci vous ne raterez pas votre chance !
@ objecteur conscient
Entièrement d’accord avec vous. Il y en a beaucoup ici qui joue une « game ». Pas celle de discuter sérieusement d’échanger des points de vue. Non, on joue le même jeu que nous présentait le film « Ridicule » de Patrice Leconte. Vaincre dans une joute verbale où, si c’est possible, on assassinera l’autre.
N’oublions pas que les intervenants à répétition sur ce blogue se compte à peine un peu plus que sur une seule main. Alors quand je lis les mêmes points de vue superficiels rabâchés ad nauseam je suis toujours heureux de lire un commentaire intelligent qui apportera un point de vue sinon nouveau, du moins ayant plus de profondeur.
Ainsi, concernant la place que Duceppe pourrait prendre sur la scène politique québécoise il y a évidemment du pour et du contre. Mais si je mets dans la peau du principal intéressé, je me rends compte que ma décision n’est pas si facile à prendre. Il y a bien sûr toutes considérations stratégiques à analyser pour sans doute au terme de cette analyse, devoir faire un pari, rien n’étant certain.
Mais il y a aussi une autre dimension à tenir en compte. Partons du principe que Duceppe est un homme intègre. Ceci le démarque déjà de d’autres politiciens. Assumons aussi que M. Duceppe agit par conviction. ( Il est à remarquer que jamais même ses adversaires n’ont dit le contraire à son endroit sur ces deux points.)
Donc je suis dans la peau de Duceppe. Je vois forcément l’état lamentable de la scène politique québécoise, résultat évident d’une complète absence de volonté de la part de Charest d’assainir l’atmosphère à un point tel que la majorité des citoyens se demandent si le premier ministre n’est pas un acteur direct dans tout ce processus de corruption et de collusion.
Toujours dans la peau de Duceppe, je me rends bien compte de l’état de délabrement du Parti Québécois assurant ainsi à Charest et au PLQ un espace où ils peuvent encore évoluer un bout de temps.
Je me rends également compte que le phénomène Legault se nourrit du vide que le PQ offre ainsi que de la putréfaction du PLQ et de son chef.
Je prends conscience que l’opinion publique serait favorable à mon retour actif sur la scène politique québécoise. Un récent sondage le confirme même.
Alors se pourrait-il que je sois animé d’un puissant sentiment d’urgence et qu’il me soit impossible de faire abstraction de la responsabilité qui m’échoit mais que je n’ai aucunement recherché car depuis 6 mois je n’ai donné aucun réel signal d’une volonté de remonter aux barricades politiques?
Si j’étais dans la peau de Duceppe j’aurais sans doute le sentiment que je ne peux esquiver mes responsabilités en restant loin de la scène politique. Si j’étais dans la peau de Duceppe peut-être que j’offrirais à Pauline Marrois d’être son bras droit pour la prochaine campagne électorale.
Peut-être que Mme Marrois, comme le fit un jour Parizeau à l’endroit de Bouchard, offrirait à Gilles Duceppe de prendre la tête du sauvetage de la nation québécoise aux prises, à l’intérieur, avec la corruption et à l’extérieur avec une dangereuse agression venant d’Ottawa et de Harper.
Il se peut qu’il y aie encore des hommes et des femmes pour qui l’idée du devoir a encore du sens.
«Deviens ce que tu es. Fais ce que toi seul peut faire.»
[Friedrich Nietzsche]
Bien oui M. Asselin, M. Duceppe a souvent l’air bête que l’on peut traduire par être sec. Je l’ai répété plus haut. Je n’ai pas changé d’idée. À côté de M. Layton, l’air détendu qui faisait de la politique d’une autre façon, M. Duceppe s’est fait planter au fédéral. Je n’ai jamais écrit que ça me faisait plaisir. Je n’ai fait que constater comme je constate encore aujourd’hui, suite à ce dernier sondage, que M. Duceppe est très populaire. Ça veut dire que les chefs secs et peu souriants sont plus appréciés du Québécois moyen qu’une femme souriante, aimable et expérimentée. Tant mieux pour les secs ! Félicitations. M. Lévesque était sec aussi sans parler de M. Bouchard, très populaire chef du PQ, dans le temps, mais peu apprécié du parti aujourd’hui, à raison ou à tort.
Merci à messieurs objecteur conscient et Benoît Carré, pour leurs interventions relevées.
Une des questions que pourrait bien se poser Gilles Duceppe, avec un nouveau sondage qui le «messianise» presque, c’est comment se terminerait le tout s’il devait accepter de venir faire la prêche de ce côté-ci de l’Outaouais, à présent.
Parce que, en ce qui concerne les prophètes précédents, la fin a immanquablement toujours été pénible…
Monsieur Carré !
Sortez de la peau de Duceppe reprenez la vôtre SVP !
Je peux bien croire qu’il n’y a que deux blogueurs pertinents sur ce blogue , vous et objecteur conscient mais personnellement votre commentaire ne me jette pas en bas de ma chaise si vous comprenez ce que je veux dire !
Objecteur conscient est un bon blogueur mais depuis son commentaire des plus complaisant concernant l’Immaculée Charbonneau de la commission du même nom il semble avoir gardez une petite crotte sur le coeur !
M. Bousquet ! Probablement qu’un bon nombre de québécois ont pris conscience de la gaffe qu’ils ont fait en votant pour un sourire et une canne . Vous savez chez un bon chef de parti l,important ce n’est pas d’avoir un beau sourire et être aimable mais avoir plutôt avoir des qualités de leader . Gilles Duceppe a beaucoup plus d’expérience comme chef de parti que Pauline Marois ! Oui il a une réputation d’homme ferme et décidé mais entre un tel homme et une matante jovialiste les gens semblent avoir compris la différence !
Les gens veulent un chef qui gouvernera le Québec comme un chef et non une meuman qui gouvernera le Québec comme une garderie ! Ou un magouilleur qui gouverne le Québec comme Charest ! Ou un business man qui veux diriger le Québec comme un Couche-Tard que ce soit Deltell ou Legault !
M.Duceppe est l’homme de la situation, il est magnétique ,il a un bon charisme, il est rassembleur et a toutes les qualitées d’un bon chef, certains le trouve agressif mais quand on a l’énergie d’un guerrier on ne fait pas dans la dentelle. Il est le seul qui peut transmuter la peupeure et la molasserie en courage. La marois » La peureuse » s’est entourée d’ hommes roses sans colonnes qui n’osent prononcer le mot « indépendance » sans ch…dans leurs culottes. tout ce qui manque dans ce parti est de la fougue et un peu de sang irlandais. Le québec doit devenir un Pays tout simplement parce que le principal véhicule d’expression d’une Nation est son Pays
M. Asselin, les braves souverainistes comme M. Duceppe, selon vous, ne semblent pas parler d’indépendance plus que Mme Marois. Faudrait même qu’ils parlent de « séparation » si c’est ça leur intention « Séparer le Québec du Canada ». Quand un couple veut se séparer ils ne parlent pas d’indépendance et de souveraineté mais de « séparation », d’un divorce. C’est clair et net et ça ne fait pas peureux du genre : Nous vous proposont de nous séparetr du Canada pour les raisons suivantes : Les lister et les expliquer clairement.
Quand Mme Marois est devenue chef du PQ en 2007, M. Duceppe voulait être candidat mais quand il a vu qu’il avait peu de support chez les députés du PQ, il a vuiré de bord. Pourquoi est-ce que les séputés du PQ n’en voulaient pas, même si M. Duceppe était plus populaire
M. Asselin, les braves souverainistes comme M. Duceppe, selon vous, ne semblent pas parler d’indépendance plus que Mme Marois. Faudrait même qu’ils parlent de « séparation » si c’est ça leur intention « Séparer le Québec du Canada ». Quand un couple veut se séparer, ils ne parlent pas d’indépendance et de souveraineté mais de « séparation », d’un divorce. C’est clair et net et ça ne fait pas peureux du genre : Nous vous proposons de nous séparer du Canada pour les raisons suivantes : Les lister et les expliquer clairement sauf si le PQ retourne à la souveraineté-association ou à une véritable confédération canadienne d’États souverains.
Quand Mme Marois est devenue chef du PQ en 2007, M. Duceppe voulait être candidat mais quand il a vu qu’il avait peu de support chez les députés du PQ, il a viré de bord. Pourquoi est-ce que les députés du PQ n’en voulaient pas, même si M. Duceppe était plus populaire ? Parce qu’il était renommé conduire ses troupes fédérales d’une main de fer et que Mme Marois, au contraire, était plus conciliante et plus flexible.
Mme Marois devrait annoncer, dès maintenant, qu’elle réserve un ministère des relations canadiennes et internationales, à M. Duceppe qu’elle nommera vice-premier ministre, dès son élection au pouvoir au Québec, si M. Duceppe le veut aussi.
M.Duceppe ,qui connait le canada comme sa poche et ses sbires est le seul qui pourra confonter Harper au fédéral ,,Harper l’homme qui s’est donné comme objectif d’isoler de plus en plus le québec du ROC,,,et au provincial il ne fera qu’une bouchée des Charestgnards ,Legault ,deltell est compagnie, il mettra la lumière sur les magouilles du vol éhonté de nos richesse naturelles, il informera le peuple des avantages de devenir un Pays et les désavantages de rester dans un canada complètement sourd à nos revendications, il rassemblera autant les vieux » comme moi » et surtout les jeunes,,voilà pourquoi nous avons besoin de l’énergie de cet homme
M. Asselin, il ne faut pas confronter le fédéral, ce qui ne donne strictement rien quand la parti au pouvoir au fédéral est majoritaire. Faut, au contraire, parler, négocier, échanger. Le vol de nos richesses naturelles, ce n’est pas le fédéral, qui n’a pas de compétences en cette matière, mais c’est le provincial qui donne les permis d’exploitation pour se faire exploiter.
Monsieur Duceppe et Mme Marois sont d’accord pour négocier avec le fédéral, à la place de confronter. M. Duceppe apprécie le Canada qu’il aime même s’il désire que le Québec s’en sépare. Voilà une bonne façon de voir les choses comme Mme Marois les voit aussi.
J’en profite pour inviter M. Carré et à objecteur conscient à approfondir nos interventions du genre trop répétitifs.
M. Bousquet !
Ce que vous êtes en train de nous dire c’est que Duceppe n’a pas été accepté comme candidat a la chefferie parce qu’il avait une réputation d’homme ferme et décidé et que les membres de ce parti ont décidés d’y aller avec une femme dont la population ne voulait pas simplement parce qu’ils voulaient un bonne meumam plutôt qu’un vrai chef ?
Personnellement je crois plutôt que beaucoup de membres du PQ ont laissés la place à Pauline Marois par culpabilité après l’affront (sic) fait à celle-ci par la victoire de Boisclair. Le problème aura été le fait que le PQ a fait un petit trip interne en nommant une personne non pas pour ses capacités de chef mais plutôt pour lui donner sa chance (elle le mérite bien hein ?) et pour services rendus. Autrement dit les membres de la petite famille ont fait un party familiale en célébrant une militante d’envergure et en se foutant royalement des nombreux souverainistes qui votaient pour ce parti depuis des lustres. Probablement par un manque de stratégie flagrante en pensant que de toute façon Charest et le PLQ étaient dans les câbles et que la victoire prochaine du PQ ne serait qu’une formalité.
Si Pauline Marois demeure en poste comme chef du PQ en se servant de Duceppe comme paravent pour faire croire aux naïfs que l’ harmonie est présente dans la petite famille péquiste la défaite sera des plus cinglante a la prochaine élection et le PQ aura beaucoup de difficulté a se relever . Peut-être aussi que certains autonomistes du PQ préfèrent la mort plutôt que d’avoir tort !
PS : Madame Marois en entrevue avec Arcand au 98.5 FM disait ne pas savoir comment lire le résultat du sondage pro-Duceppe ? Y’a tu quelqu’un proche de la madame qui pourrait lui expliquer ?
M.Bousquet ,si vous prenez la peine de bien me lire ,c’est bien au provincial que je mentionne le « vol de nos ressources naturelles » ,,puisque cette prhase vient APRÈS les charestgnards, legault ect….
Si M. Carré peut enfin sortir du corps de Gilles Duceppe il serait intéressant de connaître son opinion !
Se pourrait-il que M.Bousquet commence a se sentir seul !
M.Bousquet , pour la ième fois ,arrêtez de rêver en couleurs ,le canada ne veut pas négocier avec le québec,,les seul fois qu’il a un petit peu d’ouverture c’est a la veille d’un référendum, à ce moment là » les Canadians » disent qu’ils nous aiment, autrement c’est la sourde oreille et celà de plus en plus et à une vitesse exponentielle. La seule solution possible est la séparation,,ceci est non négociable
Le post-scriptum de Monsieur Asselin, ci-dessus, à l’effet que Mme Marois aurait dit «ne pas savoir comment lire le résultat du sondage pro-Duceppe» augure plutôt mal pour la suite des choses au Parti Québécois, à ce qu’il semble.
De la sorte, si M. Duceppe devait opter pour tenter à nouveau sa chance du côté du PQ, il risquerait d’y avoir du tordage de bras au cas où Mme Marois insisterait toujours pour ne pas céder la place.
Un certain brasse-camarades qu’une part très significative de l’électorat, soit les électrices, pourrait ne pas particulièrement apprécier…
Et puis une résistance continue, envers et contre tout, de la part de Mme Marois et qui déboucherait alors (pour paraphraser une légendaire publicité de Volkswagen) sur du «Tasse-toi matante!», pourrait purement et simplement aggraver la situation. Une situation devenue assez bancale depuis la récente fronde menée par le clan Parizeau contre Mme Marois.
Un nouveau sondage donne le PQ gagnant si Gilles Duceppe en devenait le chef? Fort bien. À présent, peut-être nous faudrait-il un autre sondage indiquant «comment» Gilles Duceppe pourrait y parvenir – à supposer que cela puisse même l’intéresser…
Messieurs Michel Asselin et Gilles Bousquet,
Je vous fais humblement remarquer que la formule d’échange que vous établissez est un stricte dialogue entre vous deux. C’est votre droit mais ça devient lassant à la fin. Essayez donc d’engager plus largement des échanges.
En plus peut-on réellement penser faire preuve de maturité politique quand on juge une personne sur son « air bête » et l’autre sur son look de meuman ? Franchement …
Benoit Carré
Laval
D’accord M. Carré mais il faut quand-même avouer que le succès de Jack Layton le 2 mai serait principalement dû à son air sympathique, non pas à ses politiques. Alors quand les enjeux sont relativement petits, la politique devient une sorte de concours de personnalité.
Bien oui, M. Asselin, la séparation « la souveraineté simple » n’est pas négociable, le seul problème est qu’elle est trop minoritaire pour réussir, ce qui représente un léger problème pour sa réalisation concrète.
Le ROC va commencer à dire qu’il ne négociera jamais, ce qui est un bon point de départ pour conserver le Québec comme province, jusqu’à la fin des temps…minimum.
M. Carré, nous ne jugeons pas de la maturité politique par l’air d’une personne mais l’air d’une personne peut l’aider ou lui nuire. M. Layton en savait quelque chose et il s’en est bien servi avec son air décontracté et amical.
M. Perrier a bien raison de constater que la fronde menée par le clan Parizeau contre Mme Marois, très nuisible au PQ et à la souveraineté du Québec, peut se résumer à : «Tasse-toi matante!». Excellente expression ici. M. Parizeau a de l’expérience, il déjà réussi à déboulonner Messieurs Lévesque et Johnson, il est en train de réussir à déboulonner Mme Marois. Jamais 2 sans 3…genre. 3 vilains chefs pas assez séparatistes à son goût comme M. Bourgault l’était à 8 % de votes max.
M. Carré a tellement l’esprit mélangé qu’il en mélange les Asselin. lol
Monsieur Carré !
Lâchez-nous avec votre maturité politique ! La politique comme beaucoup d’autres domaines stimulent autant l’ émotivité que les réflexions intellectuelles et surtout au Québec ou la notion de nation et de souveraineté est constamment en jeu .
Si vous voulez débattre sans vraiment débattre vous le pouvez car l’espace de discussion ici est assez libre mais de grâce arrêter de jouer a la grosse police de la morale et de l’ ordre !
Le mot matante vous offusque ? Franchement !
M. Perrier
Ce sondage n’est pas une fin en soi évidemment mais il démontre clairement le manque total d’appui du publique envers la chef actuel du PQ . Ici il n’est pas question d’élaborer sur les possibilités d’une victoire assurée du PQ avec Duceppe mais bien de réaliser qu’ avec Pauline Marois le PQ est assuré d’un échec total .
Pour le reste les membres en règle ont entre les mains le sort du PQ . Personnellement je suis un souverainiste qui ne votera pour le PQ qu’advenant un changement de chef . Et si par cette affirmation j’ offusque quelques bien pensants de ce blogue cela ne me dérange aucunement .
PS : Ca me fait toujours rire les gens qui veulent débattrent d’idées sans réellement y apporter un ingrédient de force de caractère et de volonté ferme ! Autrement dit ils aiment seulement parler pour parler pis aller faire un beau dodo en toute sécurité !
Comme vous avez raison m.Asselin ,,les peureux, les non virils de la pensée se cachent toujours derrière une hautaine complaisance du choc des idées,,,mais on les voient venir de loin ces pseudos-diplomates.
@michel asselin
Alors continuer à jouer dans votre « carré » de sable avec vos Tonka, vos camions jouets. Vous aurez l’impression d’être devenu un viril « Bob le constructeur ». Mettez-vous votre casque de construction quand vous allez au clavier ? C’est certain que ça doit faire pas plus viril de la pensée n’est-ce pas ? Vous parlez du choc des idées. Mais il faudrait que vous en ayez pour provoquer un choc. Vous ne faites que régurgiter ce que vous avez lu ou entendu ici et là et cela sans même n’avoir rien digéré.
M. Michel Asselin, ce doit être effectivement difficile de vous élever un tant soit peu, vous qui pataugez allègrement dans la boue et dans la m***.
Benoit Carré
Laval
@Réjean Asselin
Je comprends que la subtilité n’est pas votre fort. Encore moins d’essayer de comprendre la position d’un autre.
Si on ne se fie qu’aux apparences, aux sourires, je ne crois pas qu’on fasse preuve de maturité politique. Je n’ai jamais dit qu’il ne fallait pas accueillir nos émotions. Ne me mettez pas de paroles dans la bouche. J’ai bien assez des miennes, je n’ai pas besoin de celles que je n’ai jamais dites. Néanmoins, je pense que l’on devrait être capable de se rendre compte quand on fait dans l’émotivité et ne pas prendre ça comme étant du domaine de la raison.
Je crois qu’on peut marcher et mâcher de la gomme en même temps. Mais que voulez-vous 😉 il y en a qui sont tout mêlés quand ils font les deux en même temps. Ils pensent marcher quand ils ne font que mâcher…
J’ose espérer que ce n’est pas votre cas.
Benoit Carré
Laval
M. Duceppe devrait avoir la décence d’attendre à la fin des prochaines élections avant de sauter dans l’arène. Deux ans passent bien rapidement, surtout à son âge.
Le problème ce n’est pas Mme Marois.
Québec Solidaire, qui est très à gauche, récolte presque rien comme voix, il fait trop peur aux bourgeois, et le PQ est à peine différent du PLQ pour certains dossiers importants. En enlevant la coruption qui colle au PLQ, le PQ et le PLQ c’est bonnet blanc et blanc bonnet. Pas étonnant que l’électeur soit refroidi.
Lorsque le PQ remettra au programme la renationalisation des éoliennes il sera sur la bonne voie. C’est un exemple de ce qui cloche au PQ. Trop près de Corporate America. Pas assez nationaliste et socialiste.
Si le PLQ faisait le ménage de ses écuries, il y aurait peu de différences entre le PQ et le PLQ. C’est désolant. En 1976, ça tranchait. En l’an 2011, c’est embrouillé.
Le PQ devrait promettre une hausse subtancielle des taxes et de l’impôt afin de remplir les coffres de l’état, remplumer la fonction publique. Après ce coup d’audace, le PQ devrait s’engager à élaguer les postes budgétaires non essentiels de façon à sortir des dettes d’épiceries et de n’emprunter que pour investir, comme le pratiquait Jacques Parizeau et ses prédécesseurs.
Il urge de remettre sur pied le système de la santé, et pour cela il faut s’endetter jusqu’aux oreilles. Une fois nos malades soignés, on ralentira la machine et on naviguera au plus près pour réduire et éliminer la dette. Il fait cesser de ménager la chèvre et le chou. Le PQ doit prendre parti pour les malades. Ça presse.
L’argent est un moyen, pas une fin. L’argent est un bien publique, pas privé.
Que voilà un programme intéressant, Monsieur Gingras!
Une analyse songée relativement aux priorités, l’allocation de nos ressources collectives du côté où ça flambe le plus (quitte à emprunter à M. Li s’il le faut…), puis mieux rationnaliser une fois les principaux feux éteints ou sous contrôle.
Je ne peux qu’être d’accord avec cette approche, laquelle me paraît même meilleure que ce que nous proposent les formations politiques dont c’est pourtant le rôle: élaborer des «solutions» et non pas des «programmes»…
Mais, relativement à Gilles Duceppe, je dirai que d’une part je suis de votre avis que ce serait plus décent qu’il attende deux ans avant de viser à remplacer Mme Marois tandis que, d’autre part, je serais très étonné qu’il se passe deux ans avant le prochain scrutin. Au mieux six mois, ou encore moins. Selon la lecture que je fais des forces et faiblesses présentement en cause.
Ne sommes-nous pas écoeurés et dégoûtés de radoter, bandes de caves que nous sommes?
Cela fait un fragmenté d’éternité que les choix politiques sur la sécession du Québec sont plutôt clairs et transparents. Alors, pourquoi répéter sans cesse les mêmes «calisses» d’arguments. Le blogue de Josée Legault est en train de devenir un blogue de débiles profonds. Il n’y a pas de discussions. Il y a de «gros épais» qui répètent, pour la éniène fois, les mêmes arguments et idées.
Madame Legault devrait faire quelque chose. Si cela ne l’écoeure pas d’entendre les mêmes arguments sécessionnonistes, qu’elle chasse de son crisse de blogue les récalcitrants comme moi et certains autres.
Ainsi, les sécessionnistes pourront se dire et s’entredire les mêmes arguments, basés sur le trop-plein de vide.
Heureusement qu’il y a Claude Perrier et Objecteur Conscient qui apportent une note discordante. Et je n’oublie pas Michel Bertrand.
Ce blogue est de plus en plus «ubuesque». La majorité des «nationalistes débiles» ne comprendront pas ce que je signifie en parlant du PÈRE UBU!
MERDRE!
JSB
Monsieur Carré !
Lorsque vous prenez le temps de faire un commentaire négatif sur le commentaire d un autre blogueur, que vous vous donné le rôle du grand intellectuel au dessus des pauvres indigènes qui carburent a l’émotion et que vous nous sortez l’éternel niaiserie de débattre des idées vous ne faite sûrement pas dans la subtilité ou plutôt vous faites dans la subtilité hypocrite.
Concernant le sujet de ce sondage dévastateur pour Pauline Marois vous aurez beau sortir TOUTES les idées que vous voudrez le sujet demeure claire, précis et le bla-bla-bla des grands penseurs de ce monde demeure du bla-bla-bla superflus. Le sujet est chaud et émotif pour les souverainistes et il n’y a pas beaucoup d’angle de discussions a moins que l’ont trouve un plaisir au bla-bla-bla inutile qui ressemble beaucoup a la pratique de la masturbation intellectuel !
Vous prenez le temps de déblatérer sur les opinions des autres en les accusants de ne pas respecter les opinions des autres ! Faut le faire !
@Jean-Serge Baribeau
Est-ce une colère de sociologue des médias que vous nous faites là M. Baribeau ? Si c’est le cas elle est profondément pédagogique, quoiqu’un peu ridicule.
Parlez-vous du même Michel Bertrand qui préfère voir la mafia au pouvoir plutôt qu’un parti souverainiste ? (lire les commentaires de Michel Bertrand : http://voir.ca/chroniques/voix-publique/2011/10/12/soccuper-de-ses-affaires/)
Vous écrivez; «Ce blogue est de plus en plus «ubuesque». La majorité des «nationalistes débiles» ne comprendront pas ce que je signifie en parlant du PÈRE UBU!»
D’abord ne pourrait-on pas dire également que la majorité des fédéralistes débiles n’y comprendraient rien. Cette omission est-elle due à votre parti-pris ?
Ensuite, vous feriez sans doute œuvre utile en étant moins pédant et en expliquant plus, surtout mieux vos grands principes d’intellectuels à la retraite. Comment dit-on quand on parle de culture et de confiture ? Vous devez sans doute connaître la célèbre phrase …
Benoit Carré
Laval
Monsieur Carré, un peu rond malgré tout!
Ma colère est personnelle et, je le sais, partagée par de nombreux participants au blogue de Mme Legault, lequel se dégrade profondément.
En vous appelant Carré, vous êtes peut-être un peu SQUARE HEAD.
J' »attends vos explications.
JSB
En fait Benoit Carré est un pseudonyme dont l’expression prend plus de sens quand j’indique mon adresse Internet : [email protected].
Je suis, sous cet avatar, une personne tellement carré que je suis ben carré. Est-ce que l’explication vous sied ?
Quand à Michel Bertrand, je n’ai rien inventé et je vous ai fourni une référence dans ce sens là. Et moi quand une personne est tellement pognée dans son idéologie qu’elle préfère les criminels à la démocratie je ne m’abstiendrai jamais de la dénoncer au nom des belles convenances. La langue de bois est peut être plus populaire chez les politiciens et chez les universitaires mais, voyez-vous, je ne suis ni l’un ni l’autre. Vu sous cet angle je suis vraiment « ben carré ».
Benoit Carré
Laval
@ Réjean Asselin
Vous connaissez l’expression «tirer sur le messager». Vous aurez beau m’accuser de déblatérer sur tout un chacun, il n’en reste pas moins que ce blogue, après une centaine de commentaires, majoritairement venant de toujours les mêmes abonnés, ressemble plus à la ligue du vieux poêle qu’à un agora où les échanges font avancer la compréhension de notre réalité sociale et politique.
Même notre socilogue des médias patenté a trouvé le moyen de faire une sainte colère. Un peu ridicule mais bien à point et bien sentie.
Vous prenez des positions idéologiques qui rejettent par dessus bord, à priori, tout ce qui n’entre pas dans votre modèle politique.
Par exemple que pense Asselin & Asselin ainsi que Bousquet et Cie du commentaire : Steve Soad 26 octobre 2011 · 15h04 ?
Allez les gars ! grouillez vous le c** et sortez de vos habituels ritournelles …
Benoit Carré
Laval
Monsieur Baribeau !
Quand le sujet de ce blogue concerne le PQ et le satut du leadership de ce parti il est tout a fait normal que la discussion porte sur ce parti SOUVERAINISTE et que les commentaires puissent être avoir un potentiel d’ émotivité plus important que d’ordinaire .
Alors vous pouvez tout bonnement passer votre tour sur un sujet qui ne vous intéresse pas , soit le leadership du PQ sans courir le risque de vous rendre malade !
A moins que cette soudaine popularité de Gilles Duceppe vous dérange passablement compte tenu de l’immense joie que vous avez ressenti lors des succès du NPD le 2 mai passé!
Evidemment un appui plus important de la population envers le PQ pourrrait nuire a Québec Solidaire , parti ami du NPD au fédéral !
Et la théorie qu’ un bon nombre de québécois qui ont votés pour le NPD lors de la dernière élections se sentiraient coupable de l ‘avoir fait pourrait aussi être a l’origine de votre réaction spontanée !
Monsieur Asselin, avec tout le respect que j’ai pour vous, je saisis mal le sens de la phrase que voici:
***«A moins que cette soudaine popularité de Gilles Duceppe vous dérange passablement compte tenu de l’immense joie que vous avez ressenti lors des succès du NPD le 2 mai passé!»***
Un peu d’honnêteté ne nuit jamais, cher Réjean! Si vous savez lire, vous avez été à même de constater, au fil des blogues et des commentaires et débats, que le succès du NPD m’a quelque peu réjoui. Mais en bon lecteur, que vous êtes ou n’êtes pas, vous vous rappeleriez une donnée essentielle (si vous aviez pris la peine de vous y arrêter): l’insuccès du BLOC m’a déçu. Moi, j’aurais aimé que le NPD élimine les libéraux du Québec et non pas les bloquistes.
Croyez-moi ou non mais j’avais une estime presque totale pour de très nombreux bloquistes. Je pense à Pierre Paquette que j’ai un peu connu à la CSN. Je pense à Thierry Saint-Cyr, lequel a été mon député avant que je déménage. J’avais voté pour lui sans sourciller parce que je savais qu’il POSSÉDAIT profondément les dossiers essentiels du comté, lequel comté avait besoin d’un député de grande envergure. C’était un député remarquable, sans oublier Gilles Duceppe, homme de calibre supérieur. Et même si elle ne se représentait pas pour des raisons de santé, j’estimais Francine Lalonde que j’ai très bien connue à une certaine époque.
Cher Réjean, dans tout débat les nuances existent et sont essentielles.
Sans rancune (je suis peu rancunier) et au plaisir!
JSB, à titre personnel et non pas comme pauvre petit sociologue des médias
Cher Réjean Asselin, sachez que je regarde QUÉBEC SOLIDAIRE avec un regard éminemment sceptique. Il y a souvent, dans ce «brave» parti, une «correctitude politique et intellectuelle» qui m’indispose profondément. Je déteste ce qu’on appelle de plus en plus LE VERTUISME, lequel me donne parfois la «turista».
Cher Réjean, je prétends aussi, prétentieux que je suis, que, dans ma vie, j’ai plus travaillé que vous pour le rêve souverainiste. Vous et quelques sécessionnistes de ce blogue à Legault (pas François), vous avez le mépris facile, ce qui assassine le débat d’idées.
LES NUANCES, RÉJEAN! LES NUANCES!
AU PLAISIR!
JSB (encore une fois, peut-être de trop)
Et vous M. carré que pensez-vous du commentaire ( le premier ) de Roger Pratt sur ce billet de madame Legault ?
Moi je trouve le commentaire très pertinent et très humble aussi car en plus il s’excuse des fautes d’orthographes que pourrait contenir son commentaire !
Probablement que le commentaire d’un blogueur qui avoue avoir fait des fautes d’orthographes ne vous intéresse pas compte tenu de votre grande culture et de votre attitude de petit bougeois lettré !
@ Réjean Asselin
Fot-il se mettre à faire des phautes d,ortograffres ou de grammaire pour trouver grâce à vos yeus ?
Je trouve que Roger Pratt pose des questions tout à fait pertinentes et qui nous ramènent à autre chose que des enculages de mouches, M. Asselin. Quant à ses fautes d’orthographes, elles n’évoquent rien pour moi. Ni fierté ni humilité.
Par contre, tout comme Pratt j’aimerais bien savoir ce que les éventuels candidats à de prochaines élections pensent qu’harper abolisse un fichier qu’on a payé avec nos taxes et qu,il refuse de nous rendre ce qui nous appartient. J’aimerais aussi savoir quels furent les critères utilisés pour l’octroi des 38 milliards de dollars de contrats pour la construction de navires mais rien pour le Québec. J’aimerais aussi entendre nos chers politiciens sur le pettage de bretelles des conservateurs pour nous avoir fait profiter des mêmes mesures que les autres pour l’harmonisation des taxes de ventes.
Et vous R. Asselin, le prolétaire illettré, qu’avez-vous à dire sur ces questions ?
Benoit Carré
Laval
@ Bousquet
Les faussetés que vous véhiculez sur ce blogue vous déshonore une fois de plus.
Je me vois l’obligation, encore une fois, d’essuyer la fiente mensongère que vous répandez sans cesse sur ce blogue.
Vous lâchez cette affirmation dans votre commentaire ce 31-10 à 11.22h:
« Le ROC va commencer à dire qu’il ne négociera jamais, ce qui est un bon point de départ pour conserver le Québec comme province, jusqu’à la fin des temps…minimum. »
Je réfère les lecteurs de ce blogue à l’Avis de la Cour suprême du Rocanada émis en date du 20 août 1998 qui a la valeur d’un décret constitutionnel.
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Dans son avis consultatif du 20 août 1998 sur la souveraineté du Québec, la Cour suprême du Canada se prononce sur plusieurs aspects du processus d’accession du Québec à la souveraineté. Dans une perspective politique, l’un des éléments-clef de l’avis est sans contredit l’affirmation selon laquelle «un vote qui aboutirait à une majorité claire au Québec en faveur de la sécession, en réponse à une question claire, conférerait au projet de sécession une légitimité démocratique que tous les autres participants à la Confédération auraient l’obligation de reconnaître». (par. 150). Selon la Cour, une telle obligation de reconnaissance confère d’ailleurs, sous l’angle juridique, un droit «de chercher à réaliser la sécession» et «imposerait aux autres provinces et au gouvernement fédéral l’obligation de prendre en considération et de respecter cette expression de la volonté démocratique en engageant des négociations (…)» (par. 88).
Cette obligation de négocier, à laquelle la Cour suprême confère une valeur constitutionnelle et qu’elle considère comme impérative, acquiert de ce fait une importance primordiale dans le processus d’accession à la souveraineté. Elle permet dorénavant aux souverainistes de réfuter l’argument selon lequel le reste du Canada ne négociera pas avec le Québec à la suite d’un oui référendaire, comme l’ont fait les dirigeants fédéralistes comme Pierre Elliott Trudeau et Mike Harris au cours des campagnes référendaires québécoises de 1980 et 1995. Si l’usage qu’on peut faire au plan interne du nouvel argument juridique fourni aux souverainistes par la Cour suprême du Canada est évident, son usage à l’échelle internationale l’est tout autant étant donné les liens que la Cour établit entre l’obligation de négocier et la communauté internationale. Dans son avis du 20 août 1998, la Cour a internationalisé en définitive le processus d’accession du Québec à la souveraineté en invitant les autres États à agir non seulement comme témoins du processus d’accession du Québec à la souveraineté (I), mais aussi comme parties à ce processus (II).
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Vous glissez sciemment sans cesse des faussetés dans vos commentaires; vilain petit esprit va !!!
Certes, Monsieur Gascon, certes…
Mais:
En n’occultant surtout pas «une majorité claire (…) en réponse à une question claire». Comme vous l’écrivez vous-même.
Ce qui n’aura été le cas ni en 1980, ni en 1995.
Ces deux conditions remplies – un minimum… – va pour les négociations.
M. Perrier, la clarté d’une question référendaire chez les fédos, portant sur le statut politique du Québec, ne peut jaillir que d’une formulation qui serait de leur « cru ».
Lorsque que la clarté d’une question référendaire, portant sur la souveraineté d’un peuple, est contestée, cette contestation provient de la communauté internationale qui tranche en la reconnaissance ou pas de l’indépendance du peuple consulté. La contestation toute naturelle du maître colonisateur de la légitimité d’une consultation menée auprès des sujets coloniaux par les autorités assujéties n’est rien pour faire verser des larmes à la communauté internationale sur le sort du maître colonisateur.
Enfin une majorité de 50% +1, la majorité simple, est la règle internationalement reconnue en démocratie. À moins que la démocratie des fédos aille un statut distinct que seuls les Rocanadians peuvent s’octroyer en vertu de leur domination politique sur leur colonie Kwibek…ayoye !!!
Gilles Duceppe peut très bien faire les prochaines élections comme chef du PQ pour faire le ménage dans nos institutions démocratiques et appareil d’État du Québec.
Premier ministre du Québec au cours des deux prochains mandats, il aura plus de tonus que la cheffe actuelle pour réaliser le programme autonomiste provincialiste de ce parti. Si c’est ce que les Québécois veulent, pourquoi pas…démocratie oblige.
Toutefois, comme tout autre chef du PQ, il aura les indépendantistes au c.. pour lui rappeler qu’il n’est pas question d’adhérer à la constitution du Rocanada de 1982 en retour de quelques aménagements qui confirmeraient le statut politique impérialiste actuel, un régime politique anachronique “dominant-dominé”.
M. Gascon, en plus d’être carrément très impoli, vous traduisez mes écrits n’importe comment.
Je répondais seulement à une observation de M. Michel Asselin, en répétant sa phrase qui indiquait que le ROC ne voudrait jamais négocier avec le Québec. Je réécrivais, dans mon texte, son objection qui n’est pas la mienne. Je crois, au contraire, que le fédéral devrait négocier. Je viens d’écrire qu’il faut négocier à la place de confronter le ROC.
Je suis surpris que ce blogue laisse passer vos propos insultants agressifs et scatologiques.
Arrêtez de dire ce que vous ne dites pas et dites enfin ce que vous dites. Vous jouez continuellement au chat et à la souris. Votre stratégie semble être de lancer indirectement une affirmation toujours provocatrice et si la réaction est trop forte vous vous retranchez derrière l’excuse du «ce n’est pas moi qui dit cela c’est lui …» .
Ridicule et tannant.
Benoit Carré
Laval
J’ose espérer que l’on va me permettre de reproduire dans sa totalité un commentaire d’OBJECTEUR CONSCIENT:
***«objecteur conscient
Il est désolant de constater que ce blogue se transforme de plus en plus en guerres de chapelle plutôt qu’en un réel espace de débat et d’échange d’idées…
L’évocation d’arguments tels la peur, le nombre, le dogmatisme ou la répétition « ad nauseam » me semble indigne de gens prétendument instruits, politisés et intellectuellement honnêtes.
Nous* semblons incapable de débattre sur le fonds – de la valeur ou non des arguments – et nous en arrivons trop souvent, me semble-t-il, à nous définir autrement que par notre appartenance inaltérable à un camps.
Notre incapacité, ou notre manque de volonté à nuancer nous fait faire du sur place et nous amène à confondre monologue avec dialogue.
Vouloir toujours tout réduire à sa plus simple expression appauvrit le débat.
Un « break » me semble à propos, aussi je vous salue tous et vous dis à plus tard.
Respectueusement.
– Nous*: mon Nous se veut inclusif…»***
Dernière intervention de ma part sur ce sujet !
Monsieur Carré vous posez des questions sur les agissements de Harper concernant l’abandon du régime des armes à feu, de l’octroi de contrats de 38 milliards et sur le pelletage de bretelles ( ?) conservateur sur un billet de Josée Legault qui parle du problème de leadership du PQ. Vous n’êtes même pas capable de respecter le sujet et vous perdez votre temps à donner l’heure aux blogueurs qui ne font pas votre affaire.
Tout comme monsieur Baribeau qui nous fait une montée de lait sur ce blogue et qui se fout éperdument du leadership du PQ étant maintenant un autonomiste –fédéraliste de gauche ! Pourquoi cette petite crisette si le sujet ne vous intéresse pas M. Baribeau ! Vous n’avez qu’a passer a un autre appelle .
Pourquoi se donnez la peine d’écrire sur un sujet qui ne nous intéresse pas simplement pour jouer a la police de la morale et de l’éthique sur ce blogue ! Si je répond a un commentaire de M. Bousquet et que vous n’aimez pas ma réponse de quel droit vous présentez vous sur ce blogue comme le gardien de la morale , de la lettre et du niveau d’intervention des blogueurs . Si votre présence sur le blogue n’a qu’un rôle de contrôleux compulsif je vous direz simplement mêler vous de vos affaires !
Il y’a deux blogueurs dont les commentaires me dressait le poils sur les bras , Monsieur Rioux et Monsieur Basque et j’ai fait ce qui est le plus intelligent a faire dans ces cas là , j’ai ignorer leurs commentaires ! Point !
Monsieur Asselin, la sempiternelle discussion sur la souveraineté m’irrite parce que lorsqu’elle devient trop omniprésente et trop accaparante, elle détourne l’attention des citoyens face à de nombreux problèmes autres que celui du sécessionnisme. Cela étant dit, protéger les intérêts fondamentaux du Québec, cela fait partie de mes luttes acharnées.
Aussi, admettez qu’il y a un infini radotage dans ce blogue, radotage dont je suis partie prenante (mea maxima culpa).
Salutations fraternelles (entre citoyens québécois)!
JSB
Monsieur Baribeau, vous rendez vous compte que vous sombrez souvent dans la méchanceté et le mépris? La question du Québec ne vous intéresse plus soit!
D’autres souverainistes eux ne sont pas intéressés par les mirages du NPD et ça les regardes.
Vous voyez les traces du fascisme partout comme hier un Pierre Trudeau (monsieur mesure de guerre) dans le moindre soupçon de n’importe quoi et en même temps vous vous défendez d’être politiquement correct. Branchez vous!
Traiter la majeure partie des blogueurs d’imbéciles sectaires sécessionnistes ne vous grandit pas mieux monsieur malgré votre âge respectable.
Et je suis encore poli dans ma réaction de colère.
Monsieur Bouchard, sur quels écrits vous basez-vous pour affirmer cavalièrement que la question du Québec ne m’intéresse pas. J’ai souvent affirmé que ma principale appréhension face au NPD, c’est que je crains qu’ils passent totalement à coté des aspirations québécoises profondes. Je suis un Québécois autant que vous. J’ai, pendant longtemps, été séparatiste (pendant au moins 40 ans) mais, félon et poltron que je suis, j’ai cessé d’y croire, du moins pour un long «maintenant».
Si vous lisiez honnêtement les textes des autres, vous constateriez que mon propos, comme celui d’Objecteur Conscient, consiste à dire qu’il y a UN INFINI RADOTAGE dans les propos qu’on peut lire dans ce blogue.
Je ne vois pas du fascisme partout sauf, éventuellement, chez les «red necks» harperiens.
Cessez, cher Bouchard, de faire dire à vos adversaires intellectuels et politiques le contraire de ce qu’ils disent.
Je ne retiens ni ma colère ni mon courroux parce que je vous connais depuis longtemps et que je suis habitué à vous «entendre» déconner dans vos écrits.
Je te salue, cher Pierrot!
JSB
@Réjean Asselin
Voila ce que j’estime être un problème de quelques personnes sur ce blogue : juger de la valeur de la personne à partir de son adhésion à un parti politique, à une vision du monde.
Certes les cas extrêmes sont faciles à juger. Hitler, Staline ou Pol Pot avaient des points de vue qui étaient intrinsèquement violents et destructeurs.
Mis à part ces extrêmes, est-il approprié condamner les souverainistes ou les fédéralistes sur la base de leurs opinions constitutionnels ? Idem pour l’axe gauche/droite.
Ceci étant dit quand quelqu’un s’exprime dans un espace public il doit accepter d’être critiqué par tous ceux et celles qui fréquentent le dit espace public. Émettez un opinion lors d’un dîner entre amis, je n’ai rien à foutre que vous ayez dit une connerie ou un trait de génie. Dites les mêmes paroles ou émettez les mêmes commentaires dans un espace public alors j’ai tous les droits pour vous encenser ou de vous faire remarquer que vous venez de dire une connerie. Si vous n’aimez pas ma réaction, c’est votre problème pas le mien.
Je vous invite poliment à avoir envers mes commentaires qui ne vous plaisent pas, la même attitude que vous avez eu envers les commentaires de avatars Rioux et Basque. Vous pouvez évidemment choisir d’y réagir. C’est votre plus stricte droit.
Mais je revendique le même droit. Continuez à dire des conneries et je vous dirai que selon moi vous dites des conneries. Dites des choses intelligentes et je vous le dirai aussi. Dites des banalités et des lieux communs et je ne dirai rien.
Benoit Carré
Laval
Merci M. Carré
Moi de même !
Quand vous jugerai les commentaires des autres du haut de votre chaise haute je vous le ferai savoir a mon tour !