Ce vendredi, Pauline Marois a accordé une entrevue fort attendue à Jean-Luc Mongrain sur les ondes de LCN.
Affirmant qu’elle entend rester et qu’elle ne se laissera pas faire par ceux, dit-elle, qui tentent de la «tasser» – la chef péquiste refuse néanmoins toute responsabilité pour la crise au sein de son parti et du caucus. Même chose pour la chute du PQ dans les sondages.
Elle blâme une «minorité» de députés mécontents, les démissionnaires de juin dernier. Sans compter les «chicanes» sur la place publique portant sur des débats qui, selon elle, «sont souvent sur des niaiseries».
Comme l’écrivait Molière: «Ah! Qu’en termes galants ces choses-là sont mises»…
Par contre, pas un mot sur la genèse de la crise, sur les causes de ces départs, de ce mécontentement et de débats que plusieurs au PQ considèrent plutôt comme des désaccords de fond. Et non des «niaiseries». Dont, entre autres, sur la stratégie de «gouvernance souverainiste» et le projet de loi 204 sur l’amphithéâtre de Québec.
La seule mention faite dans l’entrevue quant à d’autres causes possibles de la crise va à l’éclatement du Bloc et François Legault.
Pour stopper la fronde, Mme Marois se dit même prête à montrer la porte aux prochains députés qui lèveront la main pour critiquer son leadership ou le programme.
À Jean-Luc Mongrain, qui lui dit que si dans sa propre équipe, on ne voulait plus travailler avec lui, il leur ferait une «offre» du genre «sacrez votre camp parce que, moi, je suis là!», Mme Marois dit alors: «j’en suis là, Monsieur Mongrain».
Puis l’animateur de lui demander quand elle va rentrer au caucus pour dire «toi, toi, toi et toi, vous pensez que vous avez le courage de parler (…) bye, bye. J’ai pas besoin de vous autres!».
Et Mme Marois de lui répondre: «je vais faire ça dès que quelqu’un va relever la main pour dire tu passes pas, pis ça marche pas, pis faudrait adopter telle affaire différente (…)».
La chef du PQ serait-elle en train de confondre «autorité» légitime d’un chef avec faire l’«autoritaire»?
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Le syndrome de la victime
Ce qui nous amène à un phénomène politique fort particulier.
Ce phénomène étant celui-ci: chaque chef du PQ, à l’exception d’un, ont fini par souffrir du syndrome de la victime. Ou plus précisément: «vicime» de son propre parti.
Ce phénomène est essentiellement attribuable à trois facteurs.
Primo: un parti dont la marque originelle était d’être un parti d’idées et de débats. Et ce même si, depuis le dernier référendum, les grands débats s’y font plus discrets, plus «encadrés» et que le PQ est devenu, lui aussi, un parti de pouvoir. Or, les chefs tendent à louanger cet aspect de la culture péquiste… jusqu’à ce que les débats expriment des désaccords de fond avec certaines de leurs positions.
Secundo: la «bulle» des chefs. En temps de tempête, la bulle dans laquelle fonctionnent la plupart des chefs et leur entourage dans la plupart des partis tend à devenir opaque. Il y devient très difficile de voir à l’extérieur de la bulle. Au PQ, si la tempête vient de l’intérieur, il arrive invariablement un moment où dans cette même bulle, on se répète à quel point on est victime de quelque chose comme un parti qui n’a pas de bon sens, un parti ingouvernable, etc…
Tertio: ce qui tend à braquer les chefs encore plus contre leur parti…
Résultat: le chef finit par blâmer son parti. Ce qui, souvent, l’empêche de faire une analyse plus objective, plus froide, de sa propre part de responsabilité quant à la crise interne du moment.
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«Ça s’arrête avec moi!»
Dans cette entrevue, Mme Marois alimente d’ailleurs elle-même cette image d’un PQ parti-mangeur-de-chefs.
Et elle le fait en se livrant à un exercice de rappel historique marqué au passage de quelques oublis.
Ainsi, affirmant que ce genre de fronde s’arrêterait à elle, elle dit:
«J‘ai vu des chefs avant moi quitter. Lévesque a quitté suite à des chicanes. On a vu Pierre-Marc, notre ami Lucien, qui a été un peu poussé, on s’en souviendra, Bernard, André.»
«Alors, je vais vous dire une chose: ça va s’arrêter à moi. À partir d’aujourd’hui. (…) Moi, je vais reprendre le contrôle. Faut mettre derrière nous la chicane.»
Encore une fois, le syndrome de la victime.
Or, René Lévesque a quitté en fin de deuxième mandat. «Poussé» certes. Mais pourquoi?
En bonne partie parce que suite au rapatriement unilatéral de la constitution par Pierre Trudeau, M. Lévesque allait accepter l’invitation du nouveau premier ministre fédéral, Brian Mulroney, de tenter ce qu’il a appelé le «beau risque» du fédéralisme renouvelé.
Ce qui avait provoqué la démission fracassante de plusieurs de ses ministres. Et non les moindres. Dont Camille Laurin et Jacques Parizeau. Donc, si «chicanes» il y a eu, les causes en étaient drôlement importantes.
Pierre-Marc Johnson a également dû partir. Lui aussi, pour avoir mis de côté le fameux article 1 du PQ avec sa doctrine autonomiste d’«affirmation nationale».
Et Lucien Bouchard? En 2001, il ne fut «poussé» en rien. Sa démission arriva à la suite de la non moins fameuse «affaire Michaud» – laquelle s’avéra lui offrir un fort joli prétexte pour quitter. Ce que toute évidence, il voulait faire.
Et Bernard Landry? Il a quitté suite à un vote de confiance de 76% après qu’il ait eu affirmé lui-même avant le congrès de 2005 – un peu trop sûr de lui -, qu’il quitterait s’il obtenait moins de 80%.
Et André Boisclair? Une victime de son parti? Pas vraiment. La raison: il sortait d’une élection générale catastrophique où le PQ venait de perdre même son statut d’opposition officielle. N’importe quel chef de n’importe quel parti aurait quitté sous des circonstances similaires.
Mais pas un mot, par contre, sur Jacques Parizeau… Lequel quitta au lendemain du référendum pour les raisons que l’on sait, mais qui, du temps où il était chef, n’avait pas eu à subir de fronde de l’intérieur de son parti.
Pourquoi? Parce que son discours et ses actions sur l’option de son parti étaient clairs.
Et c’est ainsi, pour reprendre une expression chère à François Legault, que M. Parizeau – aimé ou non, populaire ou non, au sommet des sondages ou non -, réussissait à «coaliser» toutes les factions du PQ.
La vraie leçon d’histoire, elle est peut-être là.
Maintenant, pour la suite…
Il restera à voir comment réagiront ceux dont les débats et questionnements viennent d’être qualifiés de «niaiseries».
Ou comment ils répondront à l’appel de Mme Marois de cesser des débats qui, selon elle, «sont souvent sur des niaiseries» et d’«arrêter de s’épivarder sur la place publique sans arrêt.» À suivre.
Car si, sur le coup, certains y verront un bel exercice de «reprise de contrôle» par une chef qui «hausse le ton», les conséquences d’un tel discours derrière les portes closes du caucus et du parti risquent, elles, d’être moins plaisantes à moyen terme.
La véritable autorité d’un chef se mérite et s’exerce à son mieux au sein de ses troupes.
Lorsqu’il faut le faire par médias interposés pour tenter tout au moins d’en convaincre l’opinion publique, c’est que la crise est loin d’être terminée.
Surtout si le PQ ne réussit pas à remonter la pente dans les semaines qui vont suivre la création officielle du nouveau parti de François Legault et Charles Sirois.
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En extra : ma participation à la Bourse de l’actualité à l’émission Samedi et rien d’autre sur les ondes de la Première chaîne avec mon collègue Antoine Robitaille : http://www.radio-canada.ca/emissions/samedi_dimanche/2011-2012/chronique.asp?idChronique=183825
Incluant les sujets : Pauline Marois, Jean-Marc Fournier, les «Indignés» de Québec, l’invisible et inaudible juge France Charbonneau.
Je suis las des gaulois, ils se battent tout le temps. C’est d’un ennui…
»Je suis las, las, las »
Astérix. La serpe d’or
Le P.Q manque d’une chose essentielle s’il veut reprendre le pouvoir, de la discipline.
Des péquistes tentent de saborder le parti de l’intérieur, mais ces « taupes » ne perdent rien pour attendre, prévient le député Daniel Ratthé.
Le député de Blainville est au nombre des députés qui ont contesté le leadership de Pauline Marois en caucus mercredi. Qu’à cela ne tienne, il est choqué que les discussions à l’interne soient sans cesse étalées sur la place publique
http://lejournaldequebec.canoe.ca/journaldequebec/politique/provinciale/archives/2011/10/20111027-103305.html
L’un ne va pas sans l’autre. John James Charest doit sa longétivité à Pauline Marois.
Un petit ou grand peuple? Pauline Marois a dit « petit peuple », Jean Charest a répondu « grand peuple ».
Pauline Marois a surtout fait la maladresse de servir deux mots sur un plateau d’argent. Jean Charest, qui aime le luxe tout autant qu’elle, a beaucoup cité hors contexte quelque chose qui le dépasse.
http://www.youtube.com/watch?v=07c5iEM3QNE
L’arrivée d’un troisième larron François Legault va chambarder la belle assurance de John James Charest, comme le démontre ses attaques enfantines comme cette dernière:
François Legault n’aime pas ça aller dans la ville de Québec.
Je suis las des gaulois, ils se battent tout le temps. C’est d’un ennui…
»Je suis las, las, las »
Astérix. La serpe d’or
Le P.Q manque d’une chose essentielle s’il veut reprendre le pouvoir, de la discipline.
Des péquistes tentent de saborder le parti de l’intérieur, mais ces « taupes » ne perdent rien pour attendre, prévient le député Daniel Ratthé.
Le député de Blainville est au nombre des députés qui ont contesté le leadership de Pauline Marois en caucus mercredi. Qu’à cela ne tienne, il est choqué que les discussions à l’interne soient sans cesse étalées sur la place publique
L’un ne va pas sans l’autre. John James Charest doit sa longétivité à Pauline Marois.
Un petit ou grand peuple? Pauline Marois a dit « petit peuple », Jean Charest a répondu « grand peuple ».
Pauline Marois a surtout fait la maladresse de servir deux mots sur un plateau d’argent. Jean Charest, qui aime le luxe tout autant qu’elle, a beaucoup cité hors contexte quelque chose qui le dépasse.
http://www.youtube.com/watch?v=07c5iEM3QNE
L’arrivée d’un troisième larron François Legault va chambarder la belle assurance de John James Charest, comme le démontre ses attaques enfantines comme cette dernière:
François Legault n’aime pas ça aller dans la ville de Québec.
Messieurs Lévesque et Johnson ont été poussés en dehors du PQ parce que leur foi séparatiste n’était pas assez vive. M, Parizeau était en dessous de ces 2 départs.
Monsieur Bouchard a été poussé par les nombreuses critiques des membres péquistes, quand il a injustement blâmé M. Michaud pour antisémitisme.
Monsieur Landry a été poussé en dehors par un faible vote de confiance et par son « amis » M. Simard et quelques-autres qui l’ont encouragé à démissionner.
M. Parizeau, s’étant fait critiquer fortement par quelques péquistes, spécialement par M. Landry, le soir du référendum de 1995, pouvait difficilement rester chef. Il ne s’est pas fait critiquer pour manque d’ardeurs séparatistes, vu que c’était clairement son objectif qui s’en allait directement dans un mur à 40 % de OUI quand il a demandé secours à Messieurs Bouchard et Dumont qui lui ont changé la séparation en souveraineté-partenariat, ce qui lui a grimpé le OUI à 49,6 % et a presque provoqué une attaque cardiaque à M. Chrétien.
Fait que, tous les prédécesseurs de Mme Marois ont été sacrés dehors par les membres du PQ, selon moi.
En juin dernier, c’est le couple Parizeau-Lapointe qui a enfargé Mme Marois solidement parce que sa foi séparatiste, ne serait pas assez pressée à cause de la gouverne souverainiste à la place d’un bon gros référendum à perdre.
Mne Legault
Très drôle l’entrevue à Samedi et rien d’autre avec Joël Le Bigot
Le journaliste du Devoir a terminé tout comme moi ci-haut en disant que c’était pas fort l’attaque contre M. François Legault de la part de M.Charest.
Et votre ironie Mne Legault sur le retour de la juge Charbonneau dans nos maisons sur les » bouteilles de lait » en disait long sur son l’absence prolongée.
http://www.radio-canada.ca/emissions/samedi_dimanche/2011-2012/
Merci M. Goyette!
Dans ma liste de chef du PQ qui ont été sacrés dehors, j’ai manqué M. Boisclair qui s’est sorti avant de se faire sortir mais, il avait été critiqué vertement par les souverainistes, pendant la campagne électorale. Ils lui ont tiré dessus publiquement, pour le faire perdre l’élection générale afin de mieux s’en débarrasser. Les péquistes, qui aiment bien discréditer leurs chefs qu’ils ne trouvent jamais à la hauteur, l’ont plus critiqué alors que les fédéralistes. Pas fort de leur part.
À moins que je n’aie vraiment rien compris, nous devons cette fois discuter ici de «niaiseries»?
Vous me réveillerez quand le grand tour de table aura été fait.
Peut-être pourrons-nous alors aborder quelques trucs un peu plus consistants…
Que j’aime votre réflexion concernant les départs des chefs du PQ madame Legault. Vous remettez les choses a leur place et évidemment les gens qui aiment bien alimenter les légendes urbaines du PQ mangeur de chef trouveront dans vos propos de quoi a réfléchir !
Levesque après le référendum perdu n’a été que l’ombre de lui-même. Celui qui avait donné de l’espoir et du courage au québécois francophones s’est transformé en autonomiste-fédéraliste (comme bon nombres de membres du PQ actuel) et Parizeau a eu tout a fait raison de lever les feutres. Tu dirige un parti souverainiste et si tu ne crois plus à ce projet ne demande pas à tes soldats des plus convaincus de virer de bord pour te faire plaisir.
Bouchard s’est sorti du PQ lui-même. Quand il a déchiré sa chemise de façon ignoble devant la déclaration de Parizeau le soir du deuxième référendum, déclaration des plus véridique et pas du tout a connotation raciste contrairement a l’interprétation de plusieurs béni-oui-oui du PQ qui auront applaudi le grand Lulu ! Il s’est sorti du PQ lui-même quand il a fait la même petite crisette ignoble envers Monsieur Michaud. En plus il a mis le Québec dans la merde avec son plan de déficit zéro et ses coupures lamentables dans la santé pendant que ses petits amis du privés ont été épargnés et même dorlotés.
Landry est parti de lui-même a cause de son orgueil démesuré face a son % d’appui dans le parti. Départ qu’il a encore de la difficulté à accepter tellement il pense s’être fourvoyé a ce moment là ! Tant qu’a moi !
Pauline Marois semble jouer ses dernières cartes de la même façon qu’elle le fait depuis son arrivée, sans jugement et sans stratégie. Elle est encore aveuglée par son obsession de devenir la première PM du Québec et cette obsession lui cache la terrible vérité, soit qu’elle n’a pas réussi à s’imposer comme chef et qu’il est trop tard pour elle devant les dégâts de son manque de leadership !
Madame Marois qui joue à la victime en se servant de cette légende urbaine du mangeur de chef au PQ est la même personne qui aura joué du coude pour sortir Landry et prendre sa place. Et la dernière péquiste à avoir promis un référendum dans les six mois suivant son élection !
Aie ! Quelle pièce de vaudeville hallucinante ! Après le Congrès du PLQ qui fut un sommet d’hypocrisie voila Pauline qui fait dans la comédie burlesque !
M. Bousquet !
Boisclair a été sacrifié par des péquistes qui ont voté pour l’ADQ a cette élection . Et je ne serais pas surpris que plusieurs d’entre-eux soient maintenant outrés par le sort de la pauvre Pauline Marois .
J’ aurais aimé être un très très petit oiseau et pouvoir aller écornifler dans la cache de la boite de scrutin quand Pauline Marois a votée cette journée là ! J’suis pas sûr qu’elle aura aidée son amis Boisclair ! Et vous M.Bousquet avez vous encouragé le petit Mario de plâtre cette journée-là ? Mais là je m’ avance un peu trop dans les choses personnelles n’est-ce pas !
Pauline n’aura pas à remercier ses députés , ils quitteront.
Son comportement est très différent des autres chefs, c’est de l’entêtement.
Elle fera disparaître le parti québécois et trouvera encore des coupables.
On appelle ça le syndrome s’tcause !
Je suis très fiere de Mme Marois à lÉmission de Jean-Luc Mongrain,enfin elle a mis ses culotte et`¸ca fait longtemps que j’aurais mis le poing sur la table.Elle en a assez endurée.Fini la récréation,au travail maintenant.Elle a un mandat encore pour 2 ans et les gens décideront à la prochaine élection.Elle a été élue par les membres et elle a été élue par ses concitoyens dans son compté.Ca va tu finir par finir.Tout le monde la condamne avant même qu’elle dise ce qu’elle a à dire.Lego n’a rien dit et les gens sont prêt à en faire unP.M.Réveillez vous quelqu’un.
M Perrier,
Je suis très surprise de votre commentaire » discuter de niaiseries.
Mais voyons donc, chère Mme Thibaudeau!
Depuis le temps que je «sévis» ici, vous devriez bien vous douter que j’aime bien rigoler un peu. De temps à autre…
Ça permet de parfois de détendre un peu une atmosphère crispée.
Et puis, une autre de mes approches consiste à l’occasion à lancer un peu d’huile sur le feu. Ce qui incite alors à faire sortir le chat du sac, chez certains.
Les «niaiseries» étaient dans cette dernière catégorie de ma palette…
(D’ailleurs, les «niaiseries» ont été directement repiquées du titre même du billet de Mme Legault…)
Le problème que aucun analyste politique ne parle pas à propos du PQ est le suivant. Le PQ est depuis plus de 15 ans un parti de demi mesure. Souverainiste mais pas trop pour pas trop faire peur au Fédés, Pas trop à gauche pas trop à droite…… Ils essaient de faire plaisir à tous le monde quoi. Et Madame Marois est l’image de cette état de fait.
Quand ont veux faire plaisir à tout le monde, on finit toujours par déplaire à tous le monde! C’est ça le problème du PQ!!!
Pour le première fois en plus de 15 ans un députer cette semaine c’est lever en chambre pour poser une question sur les avantages de l’indépendance du Québec!!! http://www.youtube.com/watch?v=79CS0CQp5Ks&feature=share
Les députer Péquistes capote (5:50 min) Je vous jure qu’il y en a une gagne qui sont tanné de se retenir! Enfin quelqu’un qui parle avec ses tripe et qui dit ce qu’il pense.
Les sondages sont en partie orientés mais au point d’être pure invention.
Sondages Crop ou Léger: P.Marois comme chef: 58% de gens dans le dernier Léger sur 100% réclament son départ. Mme Marois ne saura facilement se battre contre une telle tendance que B.Landry, L.Bouchard n’ont pas connus au moment de leur départ volontaire.
Un groupe soutient Marois, une garde fidèle. Résultat le Conseil National est reporté fin janvier avec annulation d’un événement. Voilà que le groupe Marois ne veut pas voir ne veut pas entendre quitte à pratiquer l’autoritarisme, la censure.
Pendant cet aveuglement d’une Pauline obsédé par son excès de confiance et son ambition d’être dans les pieds de Margaret Thatcher, celle ci voit un de ses anciens jeunes députés fonder un nouveau parti, voit un ancien collègue lui damer le pion en fondant aussi le sien tout cela pendant que le PQ se meurt sous sa gouverne dans un contexte politique ou le Québec se fait indiquer par Ottawa, NPD, PLC et PC compris qu’il est voué à être dans le Canada une réserve de francophones de plus en plus minoritaires.
P.Marois irresponsable.
Madame Daigle.
Je pense être très réveillée.
Le parti québécois est de plus en plus divisée , confrontée à l’obéissance de Pauline.
Jean Charest niaise la population avec une supposée commission Charbonneau laquelle se fait plus que silencieuse.
François Legault attend tel un chat prêt à l’attaque.
Est-ce ça la politique.?
Aucun dossier n’avance sauf à ces chefs qui veulent des honneurs.On blâme l’électorat du ras le bol politique.
S’il fallait faire de notre travail des pauses interminables , on serait congédié.
Aucun de ces aspirants méritent de prendre le pouvoir.Nous coulons et coulerons davantage.
En attendant Un des grands journalistes est mort ce matin
Andy Rooney de 60 minutes àa CBS
http://video.ca.msn.com/watch/video/andy-rooney-dies-at-92/17y6vey32?from=en-ca-hpquad
Pauline et Gilles
Le dernier sondage montre que s’il était à la tête du Parti québécois, Gilles Duceppe et le PQ formeraient le prochain gouvernement, battrait François Legault, et reléguerait loin derrière le Parti libéral et l’ADQ. Allons-nous bouder notre plaisir ?
À lire dans Canoé
de Jacques Lanctôt
M. Pierre Bouchard, un Brutus qui traite Mme Marois d’irresponsable en public pour ensuite se plaindre qu’elle ne lève pas dans les sondages. M. Bouchard est plus nuisible au PQ et à Mme Marois, qu’un fédéraliste. Un autre du gang Parizeau-Laointe.
M. Jacques Lanctôt ne veut pas bouder son plaisir en se débarrassant de Mme Marois. Il connaît ça, faire ce qu’il faut pour nuire au PQ et à son chef. Un révolutionnaire va mourir révolutionnaire. Pas capable de s’arrêter, toujours contester pour le plaisir, jamais content, le bonheur, toujours ailleurs, chez le prochain chef. Pas capable d’accepter l’autorité qui a toujours tort. Le peuple au pouvoir, vive le communisme et Cuba !
M. Bousquet !
Vous n’êtes pas amanché pour parler de ceux qui nuisent au PQ vous qui passez votre temps a faire la promotion du fédéralisme et a dénigrer les souverainistes !
Les S-o-u–v-e-r-a-i-n-i-s-t-e-s , vous savez le mot que l’ont utilisaient pour identifier les électeurs et les supporteurs du PQ il n’y a pas si longtemps ! Quand la majorité des péquistes respectaient la raison d’être de ce parti et de l’article numero 1 du programme !
M. Réjean Asselin, je ne fais pas du tout la promotion du fédéralisme. Je constate que le projet de souveraineté-association de M. René Lévesque, qui n’est pas du fédéralisme mais une sorte de confédération d’États souverains, n’est plus au programme du PQ. Il a été remplacé par la simple souveraineté qui est synonyme de « séparation » ou d’indépendance…même chose.
Je constate qu’il n’y a pas un nombre suffisant pour que cette option de séparation puisse réussir. Le PQ peut être élu avec cet objectif constitutionnel mais il ne pourra pas l’obtenir dans un premier mandat, sauf si le fédéral tape fort sur le dos du Québec, entre-temps.
J’ai toujours accepté et appuyé tous les chefs du PQ. Je ne suis pas un Brutus. Je suggère une véritable confédération, loin d’être une fédération, option que je crois plus rassembleuse que la simple séparation. C’est pour être pratique. M. Landry en a fait la promotion, un temps, avant de se raviser.
Si vous pensez que la séparation a des chances de passer, écrivez le et faites-en la promotion mais, si vous vous contentez de taper sur les chefs du PQ en public, vous n’aurez pas mon approbation.
Faudrait me montrer où j’ai fait la promotion du fédéralisme parce que je ne m’en souviens pas du tout, vu que je suis contre ce concept pour le Québec, dans le Canada mais, ça pourrait bien changer avec tous ces séparatistes qui courent dans toutes les directions, après avoir sauté du PQ.. Ça commence à donner le goût de changer d’option constitutionnelle, principalement après vous avoir lu.
Mme Thibaudeau,d’accord mais qui voyez vous ,peut être que vous,feriez l’affaire.Quand on est chez nous ça parait tellement facile,demandez à Pauline.C’est beaucoup plus facile de rentrer à la maison que de rester.Et vous que feriez vous de mieux?
Madame Daigle.
Je ne prétends nullelement être celle qui serait capable de gérer cette province mais je déplore les chefs qui nous représentent.
La politique n’attire pas vraiment des gens de calibre.
C’est ingrat la politique et aussi l’information qu’on y fait!
Une autre chronique sur la débandade de Mme Marois. Rien de nouveau.
Bien sûr que les chefs péquistes souffrent du complexe du martyr, comment en serait-il autrement alors qu’ils dirigent un parti et un mouvement qui est fondé sur le principe que le Québec tout entier et les francophones en particulier sont les martyrs du Canada.
Huguette Daigle
Seriez-vous parmis celles qui sont incapables ou ne veulent tout simplement pas voir les vrais lacunes de Pauline Marois simplement parce que vous êtes une femme et que vous appuyez une femme a la vie a la mort ?
Si le PQ est le parti de votre allégeance politique voulez-vous qu’il connaisse du succès lors des prochaines élections ou vous ne faites qu’appuyer une femme parce qu’elle est femme ?
Vous savez appuyer un parti politique selon le sexe du chef de ce parti est tout aussi malsain que d’appuyer un parti comme le PLQ simplement parce que vous êtes fédéraliste . Pauline Marois risque de couler le PQ et peut-être l’envoyer dans des bas-fonds dont le parti aura beaucoup de difficultés a se sortir tout comme réélire Charest et ses sbires seraient de remettre encore le Québec entre les mains des profiteurs des moins honorables !
Monsieur Beauchesne
Et si les souverainistes seraient plutôt des gens qui ont conservés une certaine fierté de ce qu’ils sont pendant que d’autres québécois francophones auraient remplacés la fierté de notre culture et de notre langue spécifique par l’indifférence ou la nonchalance et surtout par l’ obsession quasi démesurée du pouvoir d’achat ?
Les amérindiens ont aussi été éblouis face aux cadeaux des colonisateurs , devant les miroirs et les bouteilles d’eau de vie pour finalement se réveiller dans des réserves dont la culture et la langue sont depuis ce temps a l’agonie .
Vous aimez les miroirs M. Beauchene ? Surtout ceux qui se vendent aux Dix-Trente les fins de semaines !
D’accord avec M. Beauchesne, il y a trop de Québécois qui croient encore que : «le Québec tout entier et les francophones en particulier sont les martyrs du Canada.»
C’était une sorte de réalité avant les années 60 et 70 : Les nègres blancs d’Amérique mais ce ne l’est plus sauf pour ceux qui ont un complexe de colonisés permanent avec lequel ils vont mourir, frustrés.
L’histoire de nos Indiens qui se réveillent dans des réserves dont la culture et la langue sont depuis ce temps a l’agonie ne tient pas, vu que les Indiens avaient le choix de se sortir des réserves, où ils jouissaient de certains privilèges comme premières nations, en tous temps. Il y en a plusieurs qui l’ont fait. D’autres y exercent des commerces « spéciaux » lucratifs. Leurs chefs portent une certaine responsabilité aussi.
Un Québécois francophone qui se sent encore colonisé, envahi et martyrisé, a besoin de consulter même si s’il doit résister à l’anglicisation de voisins à 98 % anglophones. Nos traditions et notre religion se perdent et ce n’est pas la faute à d’autres qu’à nous qui changeons en plaçant une croix sur notre passé de Canadiens-français qui devraient chercher une solution plus rassembleuse pour remplacer notre fédération actuelle ou tenter de s,en accomoder en résistant, si nous ne pouvons pas, faute de majorité, nous en sortir.
Faudrait faire contre mauvaise fortune…bon coeur….me semble. À l’impossible, nul n’est tenu etc.
M. Bousquet !
J’aurais été très surpris si vous auriez été en désaccord avec M. Beauchesne car les fédéralistes vous adorrrrrrrent tellement vous êtes sur la même longueur d’ondes !
En plus vous faites dans la psychanalyse comme votre confrère Kotto en établissant un diagnostique de maladie mentale a ceux et celles qui ne pensent pas comme vous !
Et misère ! Le PQ est dans le pétrin beaucoup plus que je ne le croyait !
Et p’tit film d’ Elvis Gratton vous ferait du bien de temps en temps juste pour rire un peu et pour réfléchir beaucoup !
Encore une fois nos deux amnésiques de l’histoire, MM Beauchesne et Bousquet, sont ou complètement ignorant de l’histoire québécoise ou font encore une fois preuve d’une malhonnêteté intellectuelle remarquable. Comme je les crois suffisamment intelligents et instruits je privilégie donc a seconde option.
Le fait est que le Québec a été conquis et qu’il n’a jamais accepté de se laisser assimiler par l’Empire britannique malgré ses innombrables tentatives.
Évidemment si les Québécois s’étaient écrasés comme sont entrain de le faire tous les Beauchesne et Bousquet qu’on entend ou qu’on lit ici et là, c’est certain qu’il n’y aurait plus autant de tensions entre le Québec, le ROC et Ottawa.
Messieurs Beaudhesne et Bousquet, un peu de lecture sur l’Histoire du Québec vous serait très profitable. Mais étant donné votre attitude de colonisés invertébrés, oserez-vous seulement envisager vous y mettre ? J’en doute.
On ne changera rien à l’histoire et les faits ont la vie dure.
Benoit Carré
Laval
M. Bousquet,
La dernière partie de votre commentaire ou vous concluez en écrivant : «Faudrait faire contre mauvaise fortune…bon coeur….me semble. À l’impossible, nul n’est tenu etc.» est d’une INCROYABLE LÂCHETÉ.
Évidemment, comme nous sommes dans un pays libre vous avez très bien le droit d’être lâche et de choisir de vous écraser.
Et vous nous suggérer d’aller négocier avec le ROC pour une nouvelle constitution où le Québec aurait des nouveaux droits qu’on lui a toujours refusés. Quelle stupidité de votre part ! Dans une négociation il me semble qu’on doit avoir quelque chose à céder en contre-partie de ce que vous souhaitez avoir.
Éfourez-vous comme un vulgaire verre de terre M. Bousquet et ne soyez pas surpris si on vous marche dessus comme un tapis.
Avec des amis comme ça, les Québécois n’ont pas besoin d’ennemis.
Lamentable !
Benoit Carré
Laval
Nos commentaires peuvent être en opposition, Monsieur Carré.
Nos oppositions peuvent être sensées ou malvenues.
Mais un comportement de rustre n’a sa place nulle part.
Un parti d’idées est comme un chariot à quatre roues pivotantes. Très dificile à contrôler. Il y a toujours une roue qui en fait à sa tête.
La force des Libéraux, fédéraux et provinciaux, est qu’il sont intéressés au pouvoir avant tout. Les idées sont des instruments de contrôle de l’électorat, pas une fin en soi. Ils sont prêts à tous les accomodements pour être élus. Il y réussisent fréquemment.
Au PQ, les idées sont au devant de la scène. C’est très admirable, édifiant, mais ça ne conduit pas au pouvoir, comme on le voit maintenant. Surtout lorsque l’on s’entre déchire à qui mieux mieux.
M. Lévesque n’était pas un être unidimentionel, limité. Le peuple ne voulait pas de l’option séparatiste, même si ce n’était pas l’objet du référendum. Qu’à cela ne tienne, il allait tenir la barre pendant que l’on essaierait de s’arranger avec Ottawa. Cette nouvelle approche déplut aux puristes qui quittèrent le navire. C’était leur droit.
M. Lévesque s’est brûlé, émotionellement parlant. La perte du référendum fut une blessure mortelle pour l’homme. Il a fallu quelques années pour s’en rendre compte.
Le PQ en est réduit à être un mouvement, plus un parti.
Notre seul espoir réside du côté des Conservateurs qui sont en train de créer un climat favorisant la crise, la confrontation avec les Québécois francophones, nationalistes. Peut-être que les Conservateurs cherchent à se débarsser de nous, éternels geignards insatisfaits. Qui sait? Mais à quel prix pour le Québec? Car tout sera dans le résultat final des négociations menant à l’indépendance. Qui sortira gagnant? Sera-ce gagnant\gagnant, ou gagnant\perdant? Je pense à la théorie du chaos, si chère aux amis américains de M. Harper. Provoquer une crise et en profiter pour faire avancer la cause…
Si le PQ espère reprendre le pouvoir, la stratégie à suivre est la suivante. Au moment des nouvelles élections, dans deux ans, on fait sauter Mme Marois, on fait la campagne électorale avec M. Duceppe, on est élu avec une majorité confortable, on prend le pouvoir et on aiguise les couteaux pour les planter dans le dos du nouveau chef qui ne sera pas lui aussi assez n’importe quoi à notre goût. Mais au moins l’assassinat se fera pendant que le parti est au pouvoir. Beau programme.
Et pour terminer. Mme Marois a-t-elle hérité du bureau de M. Duplessis? Toué! Tais-toué.
Un chausson aux pommes avec tout ça.
Benoit Carré
Laval
Que diriez-vous plutôt d’une tarte à la crème pour vous-même, Monsieur Carré?
(Évidemment, je rigole un peu, en mode slap/stick, ici…)
M. Carré, selon moi, vous allez mourir enragé. Dépompez un peu pour devenir plus poli dans la vie. Vous allez finir par vous faire barrer sur ce blogue à cause de vos grossièretés et votre dédoublement de personnalités.
M Perrier.
C’est vrai que je n’ai pas saisi votre humour.
Parfois l’écriture sur un blogue peut porter à confusion.
Recevez mes excuses !
Excuses reçues!
Voilà, la boucle est bouclée. Comme le bouc, Mme Marois a les cornes très dures et fonce, contre vents et marées, tête baissée dans ce qui lui reste de son électorat (18%, dernier sondage), le lancer de la boule dans un jeu de quilles. Que comprendre d’un tel comportement ? N’importe quoi !!!
Contrairement à Daniel Johnson (fils), ancien chef du Liberal party, auquel déjà je la comparais en ses qualités et défauts, Mme Marois est du type suicidaire dans son obstination de faire à tout prix les prochaines élections en briguant le poste de PM du Québec. John James et ses laquais sont-ils devenus le modèle à suivre chez les péquistes ?
Ou n’est-ce pas plutôt que le PQ ne désire pas le pouvoir d’intendance coloniale de la Province of Kwibek ? Espère-t-il lèguer le projet de pays des Québécois à un prochain parti indépendantiste ?
En langage bureaucratique, les carriéristes « ronds de cuirs » du PQ misent…sur les tablettes. Est-ce leur nouvelle façon de faire de la politique « autrement » ?
Insensé, et surtout pathétique cette stratégie de mener un « combat » politique par l’absurde.
Que comprendre de ce bric-à-brac péquiste ? À suivre…si tel se peut.
À ce qu’il semble, Monsieur Gascon, Mme Marois aurait les défauts de ses qualités.
D’un côté, elle s’obstine, tandis que de l’autre elle tient bon contre vents et marées.
Un comportement à la fois déplorable et louable.
M. Perrier,
Un chat, c’est un chat et un enfouaré c’est un enfouaré. Dans la vie les cons comme les plus intelligents doivent assumer.
Benoit CARRÉ
lAVAL
@ Claude Perrier 6 novembre 2011 · 14h49
Avertissement !
Je viens de signaler votre commentaire en référence comme étant un abus.
;-
«en mode slap/stick» évidemment
😉
😉
Benoit Carré
Laval
Vous êtes fort peu compréhensible, vous…
Mme Marois est stigmatisée dans l’opinion, il faut une alternative. Elle n’a pas la qualité nécessaire pour convaincre, prendre des stratégies qui soient efficace.
Pendant ce temps, Harper et ses conservateurs recréent le Canada dans l’ âme de fondamentalistes qu’ils sont, un pays qui se définit pour ce qu’il est: un pays essentiellement anglophone n’en déplaise aux Québécois et aux fonctionnaires fédéraux francophones qui travaillent à Gatineau et à Ottawa et qui vont perdre le 25% de part de travail qu’ils pouvaient réaliser en français.
Remplacer le Bloc Québécois par le NPD se paie au prix fort. Le monde Canada compris est fait de rapports de force, le Québec vote mal, il est traité en conséquence comme une province réserve de francophones dont on cherche à ignorer l’existence le plus possible d’Ottawa à Vancouver. La Grèce voit son sort dans l’Union Européenne réduit à celui d’assisté appauvri et méprisé pourtant l’on parle dans l’Europe d’une entité politique confédérale en partie fédérale légitimé par le suffrage démocratique mais voilà ce sont les financiers et les technocrates qui organisent et dominent l’Europe selon un scénario de vase communiquant de la richesse qui n’empêche pas sa concentration au sommet de la pyramide économique.
Nous n’avons qu’à regarder les vidéos libres du journaliste Éric Zemmour sur You Tube pour saisir comment les -élites- organisent le chaos-organisateur du monde en tapant là ou il faut: Zemmour- crise de l’Europe et de la Grèce.
Que sieur Bousquet s’indigne et rêve de sa confédération refusée par le Canada devrait le faire redescendre de sa tour d’ivoire. Mais non, il accuse à qui mieux mieux. Il croit que le monde est constitué d’anges bienheureux ou presque. Allons donc!
M. Bouchard, si la Grèce avait vécu plus selon ses moyens, à la place de soutenir 50 % de travailleurs employés de l’État, elle ne serait pas à quatre pattes devant l’Union européenne. Que les socialistes apprennent à ne dépenser que ce qu’ils ont les moyens de se permettre. Pour la Grèce, la fin de la récréation est arrivée.
Bonne leçon pour le Québec qui, même s’il reçoit 8 milliards de dollars par année en péréquation, est dans le trou de plusieurs autres milliards à chaque année, qui s’ajoutent sur l’immense tas de ses dettes accumulées,
M. Bouchard, la confédération, nommée souveraineté-association au référendum de 1980 et souveraineté-partenariat à celui de 1995, n’ont pas été refusés par le ROC mais par 2 NON québécois. Faut le spécifier.
Le PQ aurait eu avantage de nommer son projet constitutionnel : Vraie confédération, mot plus rassembleur. M. Lévesque craignait de mêler les Québécois vu que notre fédération actuelle est faussement nommée confédération depuis 1867. Je crois que ce fut une erreur.
Le ROC ne souhaite pas plus que le Québec se sépare, que nous souhaitons que les Cris et les Inuits partent avec 50 % du territoire québécois « tous le nord », pour se joindre au Canada, si nous nous séparons du Canada, même si on y gèle la grande partie de l’année.
Monsieur, la nomination de responsables unilingues anglophones à Ottawa n’indique pas pour vous la réalité du Canada? Le Canada est une fédération unitaire qui cherche à enterrer le bilinguisme pour ce qu’il en existe et qui veut faire du gouvernement fédéral le gouvernement des Canadiens et demain des Québécois quitte à faire du sénat éventuellement une deuxième chambre parlementaire élue, autre façon de municipaliser les provinces. Sans oublier la réduction du poids du Québec à travers la nouvelle carte électorale des Communes cela prouve que des souverainistes ne sont que des fédéralistes déguisés en cherchant à nous chanter la pomme de la confédération.
La Grèce comme plusieurs pays européens a été intégrée dans une Europe dont le moteur est la puissante Allemagne, l’euro, monnaie unique s’est imposé à des pays différents. La Grèce intégrée n’a jamais été une puissance économique, Bruxelles l’a quand même admise et ce en sachant que les comptes à Athènes étaient flous, ce n’était que la Grèce et après tout seulement 2% de l’U.E. Ah, ah, ah, peut t’on ajouter aujourd’hui.
Transformer l’U.E en état fédéral permettrait de stabiliser l’euro à travers une uniformité et un contrôle budgétaire de toutes ses parties d’Athènes à Dublin. Le problème étant que le fédéralisme brime les peuples, que de transformer l’Italie ou la France en provinces sous domination de la nation allemande serait créer les conditions d’un protectorat qui s’écroulerait à moins de revenir à une Europe impériale style de la Rome ancienne. Or, les Européens n’ont pas l’intention de se dire demain: nous seront tous des Européens Allemands!
L’économie monde n’est pas qu’un feu d’artifice des marchandises, elle est aussi ouverte à toutes les mafias, à tous les groupes corporatistes, à toutes les technocraties financières ou bureaucrates, à toutes les dominations multinationales ou des grandes puissances finalement à l’enfermement dans le matérialisme cynique.
Mr Asselin,j’appuie Pauline Marois parce que je lui fait confiance,pas parce qu’elle une femme.Elle a raison quand elle dit qu’avant que les 4 démissionnaires partent en juin les sondages lui donnait 78 à 80 députés s’il y avait eu une élection alors le problème ce n’est pas elle.Les sondages baisse parce que la chicane n’arrête pas.Mais il y a une chose que je n’arrive pas à comprendre.Comment se fait il que les journalistes sont tous du même bord? vous trouvez ça normal vous?Ils devraient êtres représentatifs de la population non?Denis Lessard n’a qu’à écrire un chiffon de papier et tous les moutons suivent sa ligne de pensée.Il a décidé de se défaire du parti Québécois comme ils ont fait avec le bloc pour plaire à Desmarais parce qu’il a dit que « jamais le Québec ne deviendra indépendant » et ils font tous pour ne pas que ça arrive.Tout le monde a un prix vous savez.,même les journalistes.Regardez les blogues sur cyberpresse, ils prennent même les photos les pires qu’ils peuvent trouver sur Pauline.Je trouve qu’il y a une limite à varger sur une personne..Elle ne mérite pas toute ces méchancetées que tous monde dit sur elle.quand c’est sur Charest et le gouvernement que les journalistes devraient s’acharner mais j’ai pas raison.
M. Bouchard, bien oui, le gouvernement actuel Conservateur aimerait ça enterrer le bilinguisme, pour faciliter la vie et économiser des frais de traductions dans tout ce que font nos bons gouvernements mais ça ne nous tente pas. Pendant que nous sommes encore dans le Canada « Une nation québécoise dans le Canada » faut résister à l’anglicisation. Faudra toujours, séparé ou non, résister à l’attraction de 98 % d’anglophones québécois, canadiens et américains.
Vous évoquez une perspective de l’Allemagne régnant sur toute l’Europe. Un rêve d’Hitler. Une Europe, par contre, qui ne parlerait pas allemand mais anglais, le rêve de beaucoup d’Européens : Une fédération anglophone ou anglicisante, aussi forte que la fédération des États-Unis. Les Grecs sont plus apeurés par la peur de ne pas trouver un job que de perdre leur identité dans une Europe centralisée…je crois bien. Faut commencer par combler ses besoins de base.
J’ai écrit plus haut : «Les Grecs sont plus apeurés par la peur » C’est un genre de pléonasme mais trop dans leur cas.
petit détail. Bien que Parizeau a été polémiste ce fameux soir d’octobre 1995, celui-ci avait déjà annoncé qu’il démissionnerait qu’importe le résultat du vote.
M. McBrearty, M. Parizeau ne me semblait pas polémiste en 1995. Est-ce que vous avez d’autres exemples que sa déclaration polémique, le soir du référendum ?
Est-ce que vous pouvez nous citer ce qu’il avait dit exactement au sujet de sa démission, même s’il gagnait son référendum ? Première fois que j’entends parler de ça ou je commence à manquer de mémoire.
Les séparatistes dissidents, qui courent dans toutes les directions, sont en train d’éliminer la souveraineté du Québec qui serait descendue à 34 %.
Un sondage Léger marketing,, tenu du 16 au 22 octobre dernier, publié ce matin par le journal The Gazette, titre : Young Quebecers not interested in sovereignty: poll
Raison : Seulement 32 % des jeunes Québécois de 18 à 24 ans voteraient pour sa souveraineté contre 34 % pour tous les groupes d’âge.
En 1979, 63 % des 18-34 ans étaient souverainistes et en 1995, près de 65 % des Québécois de moins de 55 ans étaient souverainistes, selon la sociologiste Mme Claire Durand Ce qui a fait perdre ce référendum de 1995, ce sont les Québécois de 55 ans et plus qui se déclaraient souverainistes à seulement 40 % : Souverainistes du genre souveraineté-partenariat avec un parlement central d’élus « pas la simple séparation ».
Source: http://www.canada.com/Young+Quebecers+interested+sovereignty+poll/5668143/story.html#ixzz1d1JFozfX
Est-ce que M. Duceppe, qui ignore depuis quelques jours, l’invitation de Mme Marois, aurait une autre approche que la gouverne souverainiste ? Est-ce qu’il soutiendrait, dans la faveur publique, le test de la divulgation de sa politique constitutionnelle personnelle ? Est-ce qu’elle serait en accord avec celle du PQ ?
M. Bousquet
M. Duceppe n’a pas a répondre à la petite manipulation crasse de Pauline Marois . Il n’a qu’a attendre qu’elle se mettre a nouveau les pieds dans les plats et elle le fera soyez-en certain ! Si les rôles étaient inversés il y’a belle lurette que Pauline aurait demandée la tête de Duceppe ouvertement et publiquement . M. Duceppe qui a plus de jugement et d’expérience comme chef que Pauline sait très de que les membres du PQ comme vous M. Bousquet qui l’avez repoussez de façon cavalièrement subtile ne voulez que vous servir de lui étant bien conscient qu’actuellement vous vous diriger vers le précipice .
Concernant M. Duceppe et sa vision constitutionnelle je ne crois pas que la majorité des québécois en fasse une question essentielle en ce moment . Tout comme beaucoup de souverainistes pro-Duceppe beaucoup de québécois constatent les déficiences et les lacunes de Pauline Marois comme chef et inévitablement comme futur PM du Québec . Ils retrouvent en M. Duceppe l’allure d’un homme d’état et un politicien efficace ne serait-ce que par ses connaissances du Canada tout entier ( ce qui est très important pour un PM québécois ) et son expérience comme chef d’un parti qui a connu du succès pendant plusieurs années à Ottawa . Ce que Pauline Marois est incapable de faire depuis son arrivé à la tête du PQ.
M. Bousquet ! Au lieu d’innonder le blogue de Josée Legault avec vos statistiques qui ont toujours comme objectif de nuire au projet souverainiste du PQ et d’aider Pauline Marois vous devriez essayer de comprendre le dernier sondage qui favorise M . Duceppe et réfléchir un peu plus au lieu de jouer aux meneuses de claques d’une équipe Marois qui se retrouve au quatrième quart avec 10 minutes a faire et perdant 35 a 3 avec un quart-arrrière de talent que l’équipe laisse sur le banc depuis le début de la saison !
Bonjour,
Je viens de lire le commentaire suivant :
Frédéric Vallée 5 novembre 2011 · 19h10
Cette excellente intervention mérite qu’on la souligne. Elle fait référence à une question de M. Aussant à l’Assemblée nationale.
Si nos députés péquistes prenaient en exemple Aussant et approfondissaient les arguments réfutant les réponses toutes faites des fédéralistes, sans doute que la flamme souverainiste pourrait être valablement ravivée.
Pourquoi on ne le fait pas. De quoi ont-ils peur ?
« S’efforcer de se convaincre soi-même de la vérité qu’on a entrevue est le premier pas vers le progrès; persuader les autres est le second. Il en est un troisième, peut-être moins utile, mais fort enviable néanmoins, qui est de convaincre ses adversaires. »
[Louis Pasteur]
M. Réjean Asselin écrit : «Concernant M. Duceppe et sa vision constitutionnelle je ne crois pas que la majorité des québécois en fasse une question essentielle en ce moment »
Vous admettez, comme M. Legault de la CAQ, que les Québécois n’ont pas la constitution comme priorité. Pas bon pour les séparatistes purs et durs et pressés comme les démissionnaires du PQ, dirigés pas le groupe Parizeau-Lapointe, qui reproche justement à Mme Marois, avec sa gouverne souverainiste, de ne pas être assez séparatiste comme M. Parizeau l’avait reproché à Messieurs Lévesque et Johnson..
Il ajoute : «Ils retrouvent en M. Duceppe l’allure d’un homme d’état et un politicien efficace »
C’était pas mal vrai, avant le 2 mai dernier.
À M. Réjean Asselin qui écrit : «M. Bousquet ! Au lieu d’inonder le blogue de Josée Legault avec vos statistiques qui ont toujours comme objectif de nuire au projet souverainiste du PQ et d’aider Pauline Marois »
Le PQ a pour objectif constitutionnel actuel : La souveraineté du Québec, la simple séparation : Sortir le Canada dun Québec, objectif très clair s’il en est un. Je crois que le PQ a eu tort de changer la souveraineté-association de 1980 et la souveraineté-partenariat de 1995 pour la simple séparation. Je conseille au PQ de changer cet objectif avec lequel il peut gagner le pouvoir mais pas un futur référendum.
Cet objectif du PQ, je n’y crois pas, ce qui peut lui nuire mais ce n’est pas ma croyance qui va faire avorter la séparation.
Je n’y crois pas parce que, quand les firmes de sondages questionnent nos Québécois plus avant, ils répondent qu’ils sont fédéralistes à plus que 60 % mais, des presque 40 % de Québécois qui se disent souverainistes, 67 % veulent rester dans Canada, ce qui laisse entre 12 et 15 % de véritables séparatistes qui veulent sortir le Canada complètement du Québec comme le 8 % d’indépendantistes de M. Bourgault voulaient le faire
.
À la lumière de ce qui précède, je suggère au PQ de changer leur objectif constitutionnel de souveraineté à une sorte de confédération d’États souverains…canadiens afin de débloquer pour ne pas bloquer comme le Bloc le 2 mai dernier.
Je vois que mon message ne passe pas,j’aimerais savoir pourquoi?Je ne comprend pas.
Je ne suis plus PQ mais je trouve que les médias se plaisent à décortiquer Mme Marois. Il y a 3 femmes Premier Ministres dans les provinces anglaises et nulle part les médias sont si cruels envers ces femmes. L’acharnement constant ne démontre rien de bien dans notre société, elle partira quand elle décidera.
Bien oui M. Drouin Carré, M. Aussant aide beaucoup en divisant les votes des souverainistes et en posant des questions dont la réponse a fait valoir le fédéralisme. Gros exemple à suivre par les séparatistes purs et durs, vu qu’il déclare qu’il peut changer un fédéraliste en séparatiste en 2 minutes. Il va manquer de fédéraliste assez rapidement pour le prochain référendum. Comme le PQ, le PI et Québec solidaire, son parti l’ON est en faveur de la séparation du Québec du Canada. Ils vont être 4 partis à se diviser le vote souverainiste-séparatiste plus un certain nombre de souverainistes mous qui se proposent de voter pour la CAQ de M. Legault. Ayoye !
Vous avez raison M. Lemay, dans les autres provinces, il n’y a pas le groupe Parizeau-Lapointe pour déboulonner les femmes, chefs politiques de leur camp.
Faut dire que M. Parizeau a déjà réussi à en déboulonner 2 : Messieurs Lévesque et Johnson, pour les même raisons qu’il tente de déboulonner Mme Marois : Pas assez séparatistes, pas assez rapides, pas assez à son écoute.
M. Drouin
La question posée par Frédéric Vallée de faire connaître les avantages de la souveraineté est justement une des raisons du départ des démissionnaires du PQ devant une Pauline Marois et sa gouvernance souverainiste qui n’est rien d’autre que l’autonomiste cher a l’ADQ de M. Allaire lors de sa création .
Contrairement aux Bousquet et autres manipulateurs du PQ les Lapointe , Curzi , Assant et Beaudoin ne demandent que cela faire connaître pendant un prochain mandat du PQ les avantages de la souveraineté et JAMAIS ils n’ont exigés un référendum le plus rapidement possible . Et si je me souviens bien vous mêmes M. Drouin vous étiez quand même réfractaire aux gestes posée par les démissionnaires ! Bizarre !
M. Bousquet
Ma dernière intervention vous concernant car il est de plus en plus impossible d’ établir une vraie discussion avec vous étant donné votre immense manie de manipuler les commentaires des autres !
Petit exemple :
Je dis que le sondage donnant Duceppe en avance des autres chef de partis ne lui a pas été favorable a cause de sa position constitutionnelle .
Et vous répliquez que JE DONNE RAISON a Legault concernant le débat constitutionnelle au Québec ! Franchement !
Vous passez votre temps a défaire les commentaires des autres pour en tirer un avantage et par ce fait vous ne faite que chercher a avoir raison peut-importe les faits que vous aimez bien arranger a votre façon pas vos interminables statistiques des plus fatiguantes pour les blogueurs de ce blogue .
Alors voici mon dernier commentaire vous concernant ou plutôt une question dont je ne veux pas connaître votre opinion tellment elle risque d’être des plus pénible .
Vous aimez les sondages alors faite un effort d’honneteté intellectuelle si vous en êtes capable et posez vous la question suivante seul avec votre vous même .
Pourquoi l’homme dont vous dénigré depuis des lustres et que vous accusez d’être le SEUL responsable de l’ échec du 2 mai dernier est maitenant beaucoup plus populaire que votre chef actuel Pauline Marois qui traine dans les bas-fonds et qui n’en sortira jamais ?
Le reste n’est que du niaisage et du piccossage réellement infantile !
M. Asselin, vous me reprochez de me fier trop aux sondages mais vous vous servez de ces sondages pour justifier la venue de M. Duceppe au PQ.
Les chefs du PQ ont de la difficulté à être populaires parce que, dès qu’ils sont élus, les séparatistes pressés se dépêchent de les critiquer…publiquement.
M. Duceppe n’étant pas encore chef du PQ, il n’est pas encore critiqué autant, ce qui lui donne une chance dans les sondages. Autre raison : Même chose que pour M. Legault, il n’est pas au PQ actuellement. M. Duceppe, homme plus à gauche, récupère la moitié des votes de Québec solidaire mais pourrait bien en perdre à droite où sont nos entrepreneurs et nos médias qui vivent des annonces de ces entrepreneurs.
Si j’étais à la place de Mme Marois, je démissionnerais tout de suite, comme chef du PQ mais pas comme député, pour laisser les rennes du PQ à M. Duceppe, autrement, elle risque de se faire poignarder jusqu’aux prochaines élections…minimum, en plus d’être accusée par la suite d’avoir détruit le PQ parce qu’elle ne peut pas gagner avec don camp qui la descend constamment, incluant le chef Parizeau..
On tourne en rond.
Pour que M. Duceppe ait une chance de conduire le PQ au pouvoir, il doit demeurer muet jusqu’aux prochaines élections. Car s’il fait connaître ses positions trop tôt dans cet interminable débat il prêtera le flanc à la critique et sera taillé en pièces par tous les adversaires insatisfaits de ses positions éventuelles.
Trente jours de critiques font moins de domage que deux ans de critiques incessantes. Et même en trente jours on peur se suicider politiquement parlant. Une seule parole malheureuse, une seule phrase peut torpiller la plus belle des carrières. Pensez au domage créé par les Yvettes. Une seule phrase et le camp du non s’est retrouvé avec le vent dans les voiles.
M. Duceppe a tout à gagner en restant coi, et trop à perdre en s’exprimant prématurément. La parole est d’argent mais le silence est d’or. A méditer.
D’accord avec M. Gingras, votre raisonnement est bon. Si Mme Marois ne remonte pas d’ici la fin janvier, elle devra remettre sa démission à la réunion prévue su PQ à St-Hyacinthe, principalement si elle a perdu l’élection complémentaire du 5 décembre dans Bonaventure. Il y a trop de critiques acerbes venant de son propre camp…les souverainistes pressés, dont le leader est M. Parizeau aidé de Mme Lapointe, son épouse.
Faudra, auparavant, que Mme Marois confirme auprès de M. Duceppe s’il est d’accord à lui succéder et si ses députés sont d’accord à l’accueillir aussi. Tous les autres candidats à sa succession, ne faisant pas le poids à côté de l’adversaire CAQ Legault, selon le dernier sondage.
Encore une fois vous déformez les propos d’un intervenant et vous lui faites dire ce qu’il n’a pas dit. C’est ce que vous faites avec l’opinion de Gingras qui n’a pas écrit que ce que vous semblez lui attribuez. Est-ce volontaire de toujours semer ce genre de confusion en faisant des enchainements vicieux. En fait, contrairement à ce que vous écrivez Gingras nous dit que Duceppe devrait attendre aux prochaines élections alors que vous soutenez que Duceppe devrait s’entendre avec Marois pour lui succéder d’ici janvier.
Rien à voir avec ce qu’a écrit Gingras.
«Être informé de tout et condamné ainsi à ne rien comprendre, tel est le sort des imbéciles.»
[Georges Bernanos]
@Réjean Asselin
J’ai dit que j’approuvais la question de Aussant à l’Assemblée nationale. Je n’ai pas dit que j’approuvais son départ du PQ. Je continue à penser que M. Aussant a quitté le bateau par individualisme. Ça n’empêche pas qu’il puisse, à d’autres moments et dans d’autres contextes, poser des gestes que je soutiendrais.
Seul le temps nous le dira mais j’estime que deux évènements importants ont portés un dur coup au PQ. Premièrement le scandaleux projet de loi 204 Labeaume/Maltais et ensuite le départ des députés péquistes. En fait ces deux coups de butoirs ont montré la fragilité du PQ en révélant l’étendue de la discorde en son sein.
Donc, M. Asselin je ne vois rien de bizarre dans l’opinion que j’ai émise. J’ai un côté idéaliste. Je ne crois pas que le Québec puisse réaliser son plein potentiel à tous les points de vue dans le présent contexte constitutionnel. Je ne vois pas comment l’actuelle réalité constitutionnelle puisse changer dans un horizon prévisible. En effet le rapatriement de la Constitution par Trudeau avec l’insertion de la Charte canadienne ainsi que les règles d’amendement, l’ont bétonnées avec une armature en acier en plus. Ici c’est mon côté pragmatique qui s’exprime.
Donc le seul choix que nous avons pour enfin se doter de tous les outils qui seraient à notre convenance est la souveraineté. La débandade du PQ n’est certainement pas une bonne nouvelle dans ce sens.
Quand Aussant ou qui que ce soit d’autre souligne cette situation, je l’approuverai. Voilà mon côté idéaliste.
Que voulez-vous je suis un Mini wheat avec ses deux côtés 😉
«Les esprits d’élite discutent des idées. Les esprits moyens discutent des événements. Les esprits médiocres discutent des personnes» [Jules Romains]
M. Drouin alias M. Carré,
J’ai écrit : « D’accord avec M. Gingras, votre raisonnement est bon. »
J’ai placé un point après bon. Le reste de mon message est de moi, pas une interprétation de ce qu’à écrit M. Gingras. Votre impolitesse vous aveugle.
C’est bien ce que je disais.
P.S.
Carré est absent pour 3 jours. Je lui transmettrai l’alias de votre commentaire. ;-(
«Quel dommage que les imbéciles soient des gens si pleins d’assurance et les gens intelligents, si pleins de doutes.»
[Jean-Michel Wyl]
Au vilain petit esprit Bousquet qui propage sans cesse des faussetés sur ce blogue. Même lorsqu’il a déjà été démenti, il récidive et répète les mêmes faussetés. Il joue le parasite dans le but de tromper, d’entretenir l’ignorance et la bêtise. PERSONNAGE PATHÉTIQUE.
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Les autochtones du Québec, compte tenu des droits qui leur sont reconnus, pourraient-ils demeurer au sein du Canada?
Les peuples autochtones ont certains droits reconnus par la communauté internationale et par le droit international. Tous les textes juridiques du droit international concordent sur le fait que les droits des autochtones s’exercent au sein même des États souverains. Les droits reconnus aux autochtones ne remettent aucunement en cause l’intégrité du territoire des pays; pas plus au Québec, au Canada ou ailleurs. Quelle que soit la portée exacte de ces droits, encore en voie de définition en divers pays comme au sein des Nations Unies, ils ne sauraient être interprétés, selon les spécialistes du droit international, comme
comportant un quelconque droit à la souveraineté. Les peuples autochtones doivent cependant recevoir la garantie explicite que leurs droits existants seront enchâssés dans la constitution du Québec souverain et que ces droits ne pourront pas être modifiés sans leur consentement. C’est ce que prévoyait d’ailleurs le projet de loi sur l’avenir du Québec publié avant le référendum d’octobre 1995. En ce qui concerne plus particulièrement le territoire du nord du Québec, il peut être utile de rappeler que ce qui n’était pas déjà partie du territoire du Québec en 1774 (Acte de Québec), a été annexé à celui-ci par des amendements constitutionnels en 1898 et 1912.
Par ailleurs, rappelons que la convention de la Baie James stipule, à son article 2.1 : « En considération des droits et des avantages accordés aux présentes aux Cris de la Baie James et aux Inuit du Québec, les Cris de la Baie James et les Inuit du Québec cèdent, renoncent, abandonnent et transportent par les présentes tous leurs revendications, droits, titres et intérêts autochtones, quels qu’ils soient, aux terres et dans les terres du Territoire et du Québec, et le Québec et le Canada acceptent cette cession ». La convention du Nord-Est québécois comporte une disposition analogue. Ces conventions ont d’ailleurs été approuvées par des lois adoptées tant par le Parlement fédéral que par l’Assemblée nationale du Québec. Par conséquent, le Québec a entière compétence sur le nord du Québec.
Réf: http://actionsouverainiste.org/fluxrss/la-partition-du-quebec.html
Vous montrez un document produit par le gouvernement du PQ : «Pour dissiper tout doute à ce sujet, le Gouvernement du Québec a publié en 1997 un document que nous reproduisons ci-dessous. Il est éloquent et mérite d’être connu de tous les Québécois et Québécoises.»
Ce Nord du Québec n’appartenait pas du tout au Québec la veille de la fausse confédération de 1867. Ça lui a été cédé par Londres.
À mon avis, les peuples sur le territoire du Nord du Québec, peuvent décider ce qu’ils feront avec. Nous ne l’occupons pas, sauf pour les barrages.
Nous avons négligé nos Premières nations. Ils sont anglophones et fédéralistes. Si nous pouvons voter pour séparer le Québec parce que nous l’occupons et que nous sommes une nation, la me^me raisonnement s’appliquerait à eux itou. Ce qui est bon pour pitou est aussi bon¸pour minou même s’ils sont moins nombreux et qu’ils ne sont pas…blancs.
C’est vous qui propagez des faussetés. Si le fédéral décidait de donner raison aux Cris et aux Inuits contre le territoire dit « québécois », même l’ONU, favorable aux autochtones, ne s’en formaliserait pas.
M. Gascon, les traités qui font renoncer les Premières Nations à leurs territoires, pourraient facilement être contestés pour avoir été obtenus sous influence indue et contrainte.
Vos arguments sont faibles incluant vos manques de politesses qui vont souvent avec les faibles arguments.
Vous jouez la partie pro-colonialisme Rocanadian, un raté de première classe. Vous méritez le mépris en improvisant une défense pro-fédéraste parce que ce que vous avancez est sans fondement. Les conventions, le droit et traités internationaux sont appliqués abec rigueur en matières de relations internationales et en cas de litige entre les nations. Toujours aussi pathétique votre personnage.