En cette Journée internationale de lutte contre la corruption (1), la session parlementaire prenait fin à l’Assemblée nationale (2).
En point de presse portant sur le bilan gouvernemental, Jean Charest y est allé de toute une promesse. «J’y serai!», lança-t-il à propos des prochaines élections générales.
Des élections qui, potentiellement, pourraient venir dès le printemps. Peut-être même dans un printemps «hâtif».
Donc, pas question de se défiler… Comme s’il ne pouvait pas résister à un dernier duel avec le PQ et à un premier avec la CAQ…
Bref, comme je l’écrivais ici il y a quelques semaines, non seulement le premier ministre semble réellement tenté de mener la bataille, encore une fois, en menant sa cinquième campagne électorale en tant que chef du PLQ, il y songe en visant rien de moins qu’un possible quatrième mandat au pouvoir. Quitte à ce qu’il soit minoritaire, comme en 2007…
Une possibilité parmi d’autres, en effet, considérant la fidélité de la base anglophone et allophone du PLQ; un PQ toujours en chute libre pour le moment; et une CAQ fin prête en se lancer dans l’arène.
Mais surtout, considérant qu’à la prochaine générale, jamais l’électorat francophone n’aura été sollicité par autant de partis: PLQ, PQ, CAQ, Québec solidaire et Option nationale. Par conséquent, jamais il n’aura été aussi divisé.
Donc, Jean Charest promet qu’il reste.
Et comme à chaque bilan de fin de session depuis qu’il est premier ministre, il a répété qu’au retour, l’ÉCONOMIE serait LA priorité de son gouvernement… Bien sûr, la marque de commerce officielle du Parti libéral du Québec.
Or, ses attaques principales, il les a réservées à François Legault et la CAQ – son nouvel adversaire comme «alternative» de gouvernement.
Question de consolider sa base anglophone et allophone alors que le PLQ fait à peine 20% chez les francophones, le premier ministre a donc repris sa grande classique: François Legault est «un séparatiste souverainiste» /sic/…. (En fait, il l’a dit en anglais «is a separatist sovereignist»)…
Mais pour ce qui est des «scandales» qui ont marqué son troisième mandat, la chose semble lui couler sur le dos comme de l’eau sur le dos d’un canard.
Quant à Pauline Marois, son discours demeure constant: nonobstant la crise qui secoue sans arrêt son parti depuis le printemps, elle entend bien, elle aussi, être de la prochaine campagne électorale.
Et ce, même si elle n’écarte pas la possibilité d’autres défections au sein de son caucus ou dans les instances péquistes.
Ce qu’elle semble continuer à écarter, par contre, sont des alliances ponctuelles avec Québec solidaire… malgré la percée de ce dernier dans la partielle de Bonaventure.
La chef péquiste s’est également dite ouverte à des modifications au programme de son parti… mais pas sur sa stratégie de «gouvernance souverainiste».
Sur la question linguistique, elle a attaqué durement le gouvernement Charest pour son laxisme tout en multipliant ses propres engagements à renforcer la Loi 101.
Or, UNE chose unissait aujourd’hui Jean Charest et Pauline Marois: leur impatience, du moins, disent-ils, de voir François Legault revenir à l’Assemblée nationale comme élu… «Au lieu de se cacher dans les salons», d’ajouter la chef péquiste.
Côté ADQ…. on attend gentiment le mariage avec la Coalition Avenir Québec (CAQ) de messieurs François Legault et Charles Sirois…
Côté Québec solidaire, on se félicite de la popularité continue de son député Amir Khadir et des surprenants 9% d’appuis obtenus à l’élection partielle dans Bonaventure. On se prépare aussi à une élection où, à défaut d’alliances avec le PQ, on entend alors livrer une chaude lutte au PQ. Surtout à Montréal.
Sans compter quelques dossiers que porte aussi de manière collégiale le député de QS avec quelques uns et unes de la dizaine de députés dorénavant indépendants que compte l’Assemblée nationale…
Quant à la commission Charbonneau sur la corruption et la collusion dans la construction, elle passe presque sous le radar…
Comme si tout le monde se doute bien qu’il y aura probablement une élection générale avant que ses audiences publiques ne puissent débuter…
Si vous le permettez, je vous reviendra plus tard en chronique avec mon propre bilan.
Et vous, quel est votre bilan de l’automne politique? Que ce soit à Québec, à Ottawa ou à l’international.
(1) Merci à mon collègue Paul Journet pour cette info postée sur Twitter.
(2) Ce 9 décembre est en effet une journée politique fort occupée avec la fin de la session parlementaire à Québec, le début du congrès de Québec solidaire à Montréal, ainsi que la tenue du premier grand rassemblement d’Option nationale…
Mon bilan personnel,très brièvement:
– Au Québec: jamais les Québécois n’auront autant pousser les politiciens de tous les horizons à proposer autant de changements, tant au niveau provincial (avec la CAQ, QS et ON) qu’au niveau fédéral (avec le PLC lessiver au profit du parti de Jack in the ballot box).
– Au niveau international, c’est la catastrophe annoncée depuis longtemps: des gouvernements élus dans les règles (en Grèce, en Italie), qui se font renversés par des coups d’états financiers; ou bien c’est le défilé des gouvernements illégitimes qui tombent dans un fracas difficile à supporter d’un point de vue des droits de la personne, que ce soit en Russie, en Syrie, en Libye, etc. Seuls signes positifs, rapportés par François Brousseau dernièrement : http://www.ledevoir.com/international/actualites-internationales/337091/hors-d-europe-et-du-printemps-arabe
Et ce, sans oublier la Chine qui fabrique notre scrap neuve, achète notre dette et se paye des morceaux de l’Afrique dans un silence assourdissant que seul Epoques News, ici, réussit à commenter régulièrement.
Bref, avec la série de décote annoncé par Standard & Poor’s et qui va déculotter TOUTE l’Europe d’un seul coup – de la puissante Allemagne jusqu’à la France en passant par l’Espagne, l’Italie et autres états vacillants.
http://www.ledevoir.com/economie/actualites-economiques/337858/les-dirigeants-de-l-euro-reunis-pour-tenter-une-sortie-de-crise-s-p-etend-sa-menace-aux-grandes-banques
http://www.ledevoir.com/economie/actualites-economiques/337960/mise-en-garde-de-la-banque-du-canada-la-crise-europeenne-menace-l-economie-canadienne
And guess what? Devinez qui obtient grâce aux yeux de S&P? Je vous le donne en mille! Le Royaume-Uni de la coalition mené par Cameron (qui s’amuse à fermer des bibliothèques pour boucler ses fins de mois), le Danemark et la Suède, l’un prenant un penchant franchement xénophobe dans sa nouvelle politique d’immigration et l’autre ayant amorcé depuis plus de dix ans un dialogue social sur le modèle suédois afin de le réformer AVANT d’être forcé de le faire par de puissants créanciers extérieurs.
C’est-y pas assez beau, ça, après tout ce qui a été investi de fonds publics dans le système financiers mondial pour aujourd’hui VOIR ce même système se retourner contre les « dettes publiques », expression pudique pour ne pas dire « pays » ou « états souverains » dévalisé par un pouvoir spéculatif impossible à brider dans son appât du gain toujours aussi injuste et générateur d’inégalités… inégalées encore jusqu’ici.
Bienvenue dans le cauchemar de Jack London, intitulé The Iron Heel…
PS: pour plus d’infos sur la série de décote de S&P, voir le Devoir, page B1, du jeudi 8 décembre… un vrai carnage! En gros, Bye! Bye! l’état Providence, en 2012!
NB: puisqu’il vaut mieux en rire qu’en pleurer… http://www.ledevoir.com/opinion/blogues/mots-et-maux-de-la-politique/337743/l-adq-et-sa-relation-avec-les-autruches
A la fin de 2010 on s’interrogeait sur ce que pouvait bien nous réserver 2011. On croyait avoir atteint le fond du baril en 2010. On se leurait. 2011 fut pire.
2012 sera encore pire. Aucun chef d’état, aucun parti n’aura le courage de dénoncer la dette qui les étouffe en la déclarant nulle et non avenue. On repart à zéro et on emprunte plus aux banques. Nous revenons à l’ancien modèle où les pays, les états se prêtaient à eux mêmes à l’aide de leur banque centrale respectives.
2011 m’a complètement découragé, merci Vigile.net, et je n’ai aucun espoir pour 2012 car l’homme est ainsi fait. Il est capable du pire et le pire est au menu.
Bon appétit!
M. Charest, comme Pauline Marois, a aussi dit souhaiter l’arrivée rapide du chef de la Coalition avenir Québec (CAQ), François Legault, à l’Assemblée nationale.
Dans le but d’user au plus vite l’opinion publique des nouveaux candidats vedettes du CAQ, alors qu’eux autres ils en cherchent encore.
http://www.radio-canada.ca/nouvelles/Politique/2011/12/09/002-bilan-session-parlementaire.shtml
Monsieur Goyette, j’aimerais vous expliquez la différence entre la Coalition Avenir Québec et Option Nationale.
La CAQ a des candidats-vedettes dont la jeunesse s’étire jusqu’à l’âge de 40 ans.
Option Nationale est composée de VRAIS jeunes qui n’ont PAS encore 40 ans, en majorité.
La CAQ a fondé un parti politique sur un paquet de feuilles volantes et quelques propositions mal dégrossies.
Option Nationale, pour sa part, offre ceci: http://www.optionnationale.org/le-projet/
Autrement dit, une plateforme COMPLÈTE.
Alors, la question que je vous pose est: à part le fait que Sirois et Legault soient des kid kodak ayant la faveur des sondages (comme l’ADQ de Mario Dumont et Jean Allaire autrefois), que proposent-ils en matière d’environnement et de culture pour le Québec, pour l’Avenir du Québec*.
* aux dernières nouvelles, l’avenir du Québec était un discours de jeunes ambitieux, pas le discours d’un mononcle qui ose affirmer que la génération suivant celle des babyboomers est la première (sic) génération à recevoir moins que la précédente!! Moins de quoi? Et la première depuis quand?
PS: le nom de fille de ma mère est Sirois, comme quoi tous les chiens ne s’appellent peut-être pas Fido, mais le monde est plutôt petit, au Québec, parfois…
Bonjour M.Boudrias
J’ai déjà écrit sur ce blogue que les programmes des partis politiques rejoignaient le guide d’entretien de l’automobile publié à 12 millions d’exemplaires par année mais presque aucun lecteur. Je disais donc, une vérité qui prend plus de cinq lignes à expliquer, ça devient un roman.
Nous avons présentement un gouvernement libéral corrompu usé à la corde qui légifère pour s’attaquer aux vieilles minounes sur nos routes alors que Jean Charest a les deux mains sur le volant depuis huit bonnes années.
Trois partis souverainistes dont la locomotive péquiste est autodestructrice.
Le CAQ en avalant ce qui reste d l’ADQ n’est rien d’autre que de la poudre aux yeux qui a intérêt à se terrer le plus longtemps possible pour ne pas perdre le lustre éphémère de sa marque de commerce: le renouveau illusoire.
Tout comme Gilles Duceppe d’ailleurs, qui apparait comme le sauveur du P.Q. sans changement de programme, à condition qu’il ne se donne pas en chair à cannon sur le terrain de bataille avant que le combat ultime débute, cad quelques semaines avant le déclanchement de la prochaine élection générale.
P.S Je sais que je n’ai pas répondu précisément à votre question, ça me permet tout de même de clarifier mon commentaire du 9 décembre 2011 · 22h16
Tout ça me fait pensé à un jeu, le premier qui saute est un chicken.
Chicken ou pas? (Sauver le meubles) 7 décembre 2011 · 18h25
http://www.dailymotion.com/video/x4f641_la-fureur-de-vivre_shortfilms
le 2011 politique se résumera, quant à moi, à la création d’Option nationale, le seul parti dont le chef et les idées me parlent réellement avec intelligence.
Et tout le reste, je veux l’enterrer loin, loin dans mon subconscient.
Mon bilan de l’automne politique au Québec se résume en un mot : Pitoyable
D’abord le parti corrompu de John James Charest qui malgré un bilan de gouvernance exécrable et des odeurs nauséabondes et persistantes de corruption continue son petit bonhomme de chemin en ayant même gagné son élection dans Bonaventure après tout ce qui lui tombe sur la tête. Un compté majoritairement francophone qui vote pour remettre les bandits au travail c’est assez décourageant. Charest pourrait nous hanter encore pour un mandat a cause de la division du vote francophone et de la fidélité du vote anglophone et allophone de Montréal qui eux votent d’ abord pour le Canada peut-importe la magouille et le nom du chef du PLQ. Jacques Parizeau avait entièrement raison quand il parlait du vote ethnique et de l’argent même si nous parlons d’élection provinciale.
Legault , le père du bilan UN ( économique ) très positif d’un Québec souverain semble renier son propre bilan depuis qu’il a quitté le PQ a cause de ses maigres chances de devenir chef . Il est maintenant le GRAND chef d’un parti fédéraliste-autonomiste – nationaliste-alléluia , le genre de parti que beaucoup de québécois adorent tellement il met la table pour tout le monde en même temps , la carnivores , les végétariens , les allergiques , les boulimiques et les anorexiques . Le seul problème avec Legault est le fait qu’en dehors de la patinoire il semblait être un joueur vedette alors que sur la patinoire d’une campagne électorale il pourrait s’avérer être un joueur de deuxième trio tout simplement .
Au PQ c’est la désolation la plus pénible. Même en ayant voté pour Pauline Marois et ayant accepté contre mon gré la stratégie de la gouvernance souverainiste, dès les premiers pas de Pauline Marois comme chef du PQ j ai réalisé qu’elle chaussait des souliers beaucoup trop grand pour elle et que le pire serait à venir. Même au lendemain de la dernière élection provinciale j’ai été profondément déçu de la performance du PQ devant un Charest qui était déjà au plancher et une ADQ complètement effondré ! Depuis ce jour le mauvais choix de Pauline Marois continue de faire des ravages dans le parti et seul un changement de chef pourrait redonner un peu de vigueur au plus grand parti souverainiste du Québec depuis 1976
Pour les deux autres parti soit l’ADQ et QS je pourrais dire que seul le QS d’ Amir Khadir a réaliser de bonnes choses la dernière année même si ce parti souverainiste est tellement loin du pouvoir qu’ il ne représente pas la solution immédiate qui pourrait déloger Charest et ses petits amis ! L’ADQ, le parti conservateur du Québec, est plus que moribond et les quelques éléments potables de ce parti iront rejoindre Legault même à contrecœur ! La carrière d’abord ! Yessss !
Un bilan? Pas vraiment. Simplement la constatation que les tendances lourdes qui s’annonçaient au printemps, et même depuis avant, ont continué à pesamment faire leur chemin.
Du côté des souverainistes, l’impatience a fait les pires ravages. Et même la très hypothétique arrivée de Gilles Duceppe à titre de nouveau chef du PQ ou de second à la chef Pauline Marois ne saurait réalistement qu’ajouter de nouveaux déchirements…
Du côté de la CAQ, la stratégie du en-dire-le-moins-possible et de surfer sur la vague du vague a jusqu’à présent fait ses preuves et on n’en déroge donc pas.
Du côté de Jean Charest, c’est le Plan Nord. Dont on ne sait pas grand-chose.
Du côté de Stephen Harper, pas de surprises vraiment, car on se doutait bien de ce qui risquait de se produire si jamais il avait enfin les coudées franches. Pas beau, et même très laid…
Et, pendant ce temps, le monde bascule.
Mme Legault, le bilan de 2011 à tous les niveaux politiques, au Québec et ailleurs dans le monde, fait réfléchir sérieusement. Il pourrait se résumer à une seule question, celle de Bern, le « coach » des Boys, dans la série du même nom, lorsque ce dernier est piégé par de petits magouilleurs dans une affaire de levée de fonds: « Chus-tu dans la marde moé là ? »
Respectueusement, JPG.
« La chef péquiste s’est également dite ouverte à des modifications au programme de son parti… mais pas sur sa stratégie de «gouvernance souverainiste». (J. Legault). Ceci m’apparaît prometteur, enfin …
Mme Marois devrait faire un compromis et accepter la proposition Crémazie tout en visant la gouvernance souverainiste. Pourquoi Mme Marois et sa garde rapprochée tiennent-elles tant à n’avoir qu’une seule option : la gouvernance souverainiste?
Il est possible EN MÊME TEMPS de viser la gouvernance souverainiste et de préparer la souveraineté par des mesures comme celles de la proposition Crémazie (qui a malheureusement été rejetée par la garde rapprochée de Mme Marois après quelques magouilles au Congrès national du PQ d’avril 2011). Ce ne sont pas des notions contradictoires bien au contraire.
Beaucoup de souverainistes déçus n’attendent qu’une ouverture en ce sens.
En cette période d’ébullition dans le camp souverainiste, je propose une solution de compromis rassembleuse comportant deux volets simultanés :
A.- Gouvernance souverainiste par l’aile parlementaire du PQ et
B.- Application immédiate de la proposition Crémazie par un Groupe de travail Bloc-PQ pour parachever les études sur la souveraineté, préciser les projets et en assurer la diffusion dans le public, et préparer ainsi la réalisation de la souveraineté, de façon à ce qu’au moment où se tiendrait le référendum, les Québécoises et les Québécois sachent ce qu’implique la souveraineté.
On occuperait alors tout l’horizon temporel : court terme électoral, moyen et long terme national. Il y a assez de membres dans le parti pour pouvoir agir sur ces deux fronts en même temps.
Ce compromis pourrait peut-être ramener les démissionnaires (Curzi, Lapointe, Beaudoin, Aussant) et les déçus au bercail, et redonner espoir au peuple québécois.
Votre proposition a été soumise aux péquistes autonomistes provincialistes lors de leur dernier congrès et elle a été battue très majoritairement. Tout simplement parce que le pays du Québec n’est plus leur projet. Le projet de ce parti est de faire de Mme Marois la première Intendante de la colonie, de la Province of Kwibek pour ajouter ainsi un paragraphe dans le grand livre de l’Histoire du Québec, Histoire que les Québécois ignorent depuis qu’elle n’est plus enseignée dans nos écoles depuis 25 ans.
Même si ce parti préférerait vivre dans un Québec souverain, ce projet n’est plus son cheval de bataille; pas besoin d’un diplôme universitaire pour Voir le gros hameçon, je dirais même un harpon comme « slogan »: « La gouvernance souverainiste ».
Votre parti politique est malheureusement devenu depuis 15 ans qu’une grosse calculatrice de suffrages électoraux. Les péquistes en 2011, que des ronds de cuir de l’alternance du pouvoir d’intendance coloniale.
Ensuite, chez les journalistes pseudos experts en politi , dans un langage enfantin, que les souverainistes se « chicanent »; les péquistes ne sont plus des souverainistes. Trouvez l’erreur…
Voilà, encore une fois, que mon texte a été catapulté dans le cyber-espace sans que j’aie cliqué sur PUBLIER alors que je terminais mon propos comme suit:
Ensuite, chez les journalistes pseudos experts en politique, dans un langage enfantin, on scribouille et disserte sur le fait que des souverainistes se « chicanent ». Les péquistes ne sont plus des souverainistes, trouvez l’erreur…
Le Parti Québécois devrait convenir d’une entente de NON-CONCURRENCE avec Québec solidaire en vue des prochaines élections.
Oui, il faut sans faute une COALITION des groupements ou partis indépendantistes, souverainistes, et autonomistes.
Il est plus que temps que les souverainistes se concertent pour barrer la route à Legault et pour chasser Charest du pouvoir. Ce dernier n’a été élu que grâce à l’appui quasi unanime des anglophones et allophones anglicisés combiné à la division des francophones.
La présence de plusieurs groupements indépendantistes, souverainistes, et autonomistes exprimant plusieurs tendances est une très bonne chose pour l’affirmation des aspirations du Québec. Cependant, quand il s’agit d’élections, il est essentiel que toutes ces tendances agissent dans le même sens.
Sinon, la division des francophones mènera inéluctablement à leur minorisation, comme on l’a vu aux récentes élections générales, où même Jean Charest aurait été défait dans son comté n’eussent été les votes que Québec solidaire a détournés du Parti québécois.
Aux élections du 26 mars 2007, Jean Charest a obtenu 13 136 votes, soit seulement 1 332 de plus que le candidat du Parti québécois qui en a obtenu 11 804. Le candidat de Québec solidaire a obtenu 2 263 votes.
L’angélisme du parti Québec solidaire nous a valu un gouvernement de droite avec les libéraux aux commandes. Québec solidaire poursuit de bonnes intentions largement partagée dans le public, mais il est devenu l’allié objectif de ce gouvernement de droite. Il faut changer de paradigme.
Aux prochaines élections, il suffira d’un peu de cohésion chez les francophones pour envoyer M. Charest aux oubliettes.
Monsieur Raymond Saint-Arnaud
Vous tenter de culpabiliser les mauvaises personnes face au résultat de la dernière élection provinciale . Rappelons-nous que la moitié des citoyens du Québec s’étaient de voter le jour du scrutin le jour du scrutin et que Charest a été élu grâce à a ses fidèles électeurs anglophones et allophones qui eux votent en masse quand c’est le temps de le faire .
Faut plutôt analyser pourquoi autant de francophones sont restés à la maison cette journée là ! Se pourrait-il que Pauline Marois n’excitait pas plus qu’il faut l’électorat francophone ? Se pourrait-il que le même problème existe encore aujourd’ hui ?
Bien, madame Legault, comme je ne suis pas très bon dans les bilans, je vais vous donner mon appréciation de l’année 2011.
Premièrement, la réélection de Harper n’est pas surprenante mais celle du NPD de Jack au Québec, elle l’est.
Pas du tout sûr cependant que les élus(es) de ce parti ont apporté quelque chose de vraiment positif pour le Québec. Je m’imagine mal les élus unilingues se soient passionnément regimbés lors de la nomination de juge unilingue à la cour (j’allais dire la Cour Extrême)
Au Québec, le plus triste (pour moi) c’est l’opiniâtreté de la guerre intestinale que se livrent les différentes factions du mouvement souverainiste/indépendantiste/séparatiste. Ça ne fini pas de finir au point où c’est inquiétant pour le Québec.
Le refus des Québécois de vouloir légitimement défendent leur langue et leur culture françaises a fait en sorte que la langue française dans les institutions comme la Banque Nationale, Bombardier et surtout la CDPQ est carrément bafouée. Une situation semblable en Ontario: il y aurait des morts.
Mon appréciation du gouvernement Charest: pitoyable, dangereux et corrompu. La guerre fratricide chez les souverainistes depuis des années a contribué à la réélection de ce gouvernement depuis 2003.
La proximité du PLQ au crime organisé et à la mafia permet que cette situation grave se répète dans plusieurs institutions gouvernementales, économiques et aussi municipales.
Du haut jusqu’en bas ça sent pas bon comme certains disent.
La commission Bastarache aura prouvé que le peuple québécois avait raison: Marc Bellemare est plus honnête que Charest.
Enfin en 2011, le Canada avec son unilinguisme anglais, les portraits de la Reine et ses institutions à la « royale » nous fera réaliser que les « deux solitudes » n’ont jamais vraiment fait partie de notre paysage. Ça toujours été du nation building versus un montage des plus malhonnêtes que nous ont fait croire pendant plus d’un siècle les élites anglophones et francophones du Québec et du Canada.
Au débat des chefs ce printemps : PQ, CAQ, ON, QS , PLQ …. 5 plutôt que 3 !
Encore une petite tasse ou deux d’observations? Pour faire suite à mes constatations d’hier que je livrais en mode strictement factuel?
Eh bien, soit. Si vous insistez…
D’abord, ce proverbe qui illustre fort bien – à mon avis – la situation de plus en plus «préoccupante» qui prévaut dans le camp souverainiste élargi (soit incluant l’éventail complet de ses tendances):
«L’enfer est pavé de bonnes intentions.»
L’urgence de moins en moins contenue de certains s’étant vivement heurtée à la patience des autres, il en a résulté ce qui ne pouvait dès lors que résulter, soit un recul. Un quasi-report aux calendes grecques de l’éventuelle atteinte de l’objectif…
Par ailleurs, relativement au catastrophique gouvernement qui sévit actuellement à Ottawa, la seule avenue qui aurait pu nous éviter ce flot de politiques bornées nous déferlant à présent dessus aurai été d’appuyer Michael Ignatieff. Pas dans le but de ramener au pouvoir le PLC mais, tout simplement, de faire en sorte que nous ne nous retrouvions pas aux prises avec un gouvernement majoritaire de Stephen Harper.
Nous aurions à nouveau appuyé massivement le Bloc plutôt que le NPD que cela n’y aurait rien changé. Seul Michael Ignatieff avait la possibilité de nous prémunir du fléau.
Évidemment, le prof Ignatieff étant un endormeur de première, de surcroît dans un parti conspué par plusieurs, et pour comble faisant face au bon Jack, il arriva ce qui ne pouvait qu’arriver: Stephen Harper majoritaire.
De la sorte, l’année 2011 nous aura nullement été réjouissante.
Et puis 2012, qu’en sera-t-il? Possiblement la fin de toutes nos contrariétés. La fin de tout, paraîtrait-il même. La fin du monde étant prévue pour le 21 décembre de l’an prochain, si l’on se fie au calendrier Maya…
Une bonne nouvelle, non?
(Enfin, peut-être pas vraiment…)
Au rancart les vieilles minounes.
Les « minounes » sont dans la mire du gouvernement : Québec veut obliger les propriétaires de véhicules de huit ans et plus à passer au garage. …
Ça fait huit bonnes années que Jean Charest nous conduit en bateau les deux mains sur le gouvernail, il est temps à peu près temps qu’on l’envoie à la ferraille celui-là.
Au rancart les vieilles minounes.
Les « minounes » sont dans la mire du gouvernement : Québec veut obliger les propriétaires de véhicules de huit ans et plus à passer au garage.
Ça fait huit bonnes années que Jean Charest nous mène en bateau les deux mains sur le gouvernail, il est à peu près temps qu’on l’envoie à la ferraille ce citron de luxe importé d’Ottawa.
Un écrivain français dont j’ai malheureusement oublié le nom avait affirmé en s’adressant à un adversaire:
***«Votre absence me plaît plus que votre présence.»***
Cette phrase, en ce qui me concerne, convient très bien lorsqu’il s’agit de parler à (ou de) Jean Charest. Même remarque en ce qui concerne les «caqueteur» suprême, François Legault.
JSB
Son absence me cause plus de douleur, que sa présence ne me donnait de joie.
PLAUTE
AMPHITRYON
http://remacle.org/bloodwolf/comediens/Plaute/amphitryonfr.htm
Vous m’excuser, Mario Goyette, mais je ne comprends pas très bien le sens de votre commentaire. Peut-être suis-je un peu stupide mais si le temps vous le permet, voudriez-vous, s’il vous plaît, préciser le sens de ce commentaire.
JSB
M. Goyette, ne faites-vous pas référence à l’absence de…Stéphane « Crétin-Trudeau » Dion ?
Savez-vous M.Gascon, je crois que vous êtes très subtile.
Note
Il m’arrive parfois de me mettre les pieds dans les plats, Madame Legault en sait quelque chose, « les faux sauvage… »
En effet M.Baribeau, cette phrase est la plus près de ce que vous avez écrit que j’ai trouvé sur Google mais complètement à l’encontre de votre pensée avec laquelle je suis complètement d’accord.
J’ai simplement voulu me rendre utile, la prochaine fois, je m’abstiendrai de vouloir faire le smart…
@Mario Goyette,
Je serai toujours ravi de vous lire et de prendre connaissance de votre pensée.
JSB
J’apprécie votre remarque M.Baribeau.
J’ai trouvé une citation tirée du film Le seigneur des anneaux (La communauté de l’anneau) qui n’est pas claire à première vue.
« Aujourd’hui, et bien c’est le jour de mon 111e anniversaire ! Mais hélas 111 ans ce fut un temps trop court à passer en compagnie de si excellents et si admirables hobbits… Je ne connais pas la moitié d’entre vous autant que je le voudrais, mais j’aime moins la moitié d’entre vous à moitié moins que vous ne le méritez ! »
Le seigneur des anneaux : la communauté de l’anneau, Bilbon
En Ontario, personne n’aurait songé à embaucher un unilingue non anglophone
à un poste de direction ou de haute responsabilité, peu importe ses qualités.
Il n’y a qu’au Québec que pareils insignifiants (la direction) sévissent. Nous, on l’a l’affaire!
On aura remarqué que la Banque Nationale n’a pas annoncé que tous ses dépositaires francophones avaient retiré leurs billes pour protester contre ses nominations contre nature. Confort et indifférence… Toujours d’actualité.
Les carottes sont cuites, à mon avis.
Pour vous dire ma pensée et puisqu’on la réclame M.Gingras, je vais vous dire ma surprise d’avoir découvert à Laroque et Lapierre (TVA) cet après-midi que le financement des partis politiques ne faisait pas parti du mandat de la Commission Charbonneau en ce qui a trait aux services de garderie où règnent une odeur de scandale au parti libéral. La jovialiste vice-première Ministre Lyne Beauchamp n’a rien à envier à l’insignifiance de son collègue Ministre de la justice Jean-Marc Fournier quand il s’agit de noyer le poisson en pareil cas.
Sur la scène fédérale
Daniel Paillé est le nouveau chef du Bloc québécois.
En attendant une élection partielle au Québec suite à la démission probable d’un candidat néo- démocrate s’ennuyant des casinos de Las Vegas
.
Voici par sondage Léger Marketing tout récent l’évolution des intentions de votes fédérales au Québec entre Octobre 2011 et Novembre 2011 ( 1 seul mois ),
Nouveau Parti Démocratique :
De 43 % à 37 % ( – 6 % )
Parti conservateur du Canada :
De 18 % à 15 % ( -3 % )
Parti Libéral du Canada :
De 11 % à 15 % ( + 4 % )
Parti Vert du Canada :
De 6 % à 3 % ( -3 % )
Bloc Québecois :
De 21 % à 27 % ( + 6 % )
Ne sait pas / Indécis
De 1 % à 3 % ( + 2 % )
Pour référence le BQ était à 16 % en juillet dernier et à 18 % en septembre dernier.
Il est maintenant à 27 % !
Jean La pie èrre à TVA a prétendu ce soir au bulletin de nouvelle que le Bloc québécois se situait sous la barre des 20%.
Voyez par vous-mêmes.
Sondage – Le NPD perd des plumes au Québec
Guillaume Bourgault-Côté 22 novembre 2011 Canada
Pour consulter les résultats complets du sondage
La lune de miel des Québécois avec le NPD serait-elle sur la voie de sortie? Pour la première fois depuis les élections, le Nouveau Parti démocratique essuie un recul dans les intentions de vote au Québec — six points en un mois. Il demeure toutefois bien en avance, selon un coup de sonde Léger Marketing.
Le NPD aurait reçu 37 % des votes si un scrutin avait eu lieu la semaine dernière. Les deux derniers sondages de Léger, en septembre et octobre, situaient les appuis du NPD au même niveau qu’au moment des élections, à 43 %.
Cette baisse profite en bonne partie au Bloc québécois, qui passe de 21 % des intentions de vote en octobre à 27 % aujourd’hui, d’après le sondage préparé pour Le Devoir. C’est une première hausse pour le parti qui tient ce soir le troisième et dernier débat de sa course au leadership. Aux élections, le Bloc avait récolté 23,4 % des voix. Loin derrière, les conservateurs et les libéraux pointent à 13 % chacun. Par rapport au dernier sondage, il s’agit d’une baisse de cinq points pour les conservateurs et d’une hausse de deux points des libéraux.
http://www.ledevoir.com/politique/canada/336655/sondage-le-npd-perd-des-plumes-au-quebec
Le Bloc redeviendra très populaire au Québec avant les prochaines élections . Le NPD alimentera de façon importante l’appui au Bloc a mesure qu’il se peinturera dans le coin avec sa députation québécoise des moins performante pour le Québec .
Que voulez-vous ( comme disait Chrétien ) le NPD comme le PLC et PC sont des partis fédéralistes et complétement soumis a l’humeur du ROC qui n’entend pas a rire quand il est question de favoriser le Québec .
La nature trouve toujours son chemin et les partis fédéralistes sont naturellement des partis Canadian !
Selon vous, M. Goyette, quel sera l’impact de Daniel Paillé devenu chef du BQ sur les intentions de vote des Québécois(e)s lors de la prochaine élection générale du Rocanada ?
M.Gascon
Comme vous pouvez le constater, je monopolise presqu’à moi seul les derniers commentaires de ce blogue mais puisque vous me le demandez je vous dirais que les intentions de vote pour le bloc québécois n’ont pas grand chose à voir avec le nouveau chef du bloc québécois, les trois auraient fait l’affaire.
Réponse: C’est la performance du Parti québécois aux prochaines élections qui déterminera l’essor du vote en faveur du Bloc québécois. Ajoutez à cela la piètre performance du NPD à défendre les valeurs québécoises à Ottawa associée à l’idéologie conservatrice créationniste réformatrice de Stephen Harper, il me semble que l’affaire est dans le sac.
M. Goyette, la solution à l’affranchissement du Québec du carcan politique rocanadian ne peut se trouver qu’au Québec. Le PQ n’est plus l’organe politique depuis 15 ans pouvant nous mener à l’atteinte de cet objectif.
Un pied du mouvement de notre libération nationale dans la House of commons du Rocanada ne peut être nuisible dès lors que Daniel Paillé ne joue pas le jeu du « quémandage » d’un transfert de quelques pouvoirs à la colonie Kwibek, ce que s’apprête à faire le PQ dans sa quête d’un nouveau mandat à l’intendance coloniale provinciale par une gouvernance dite « souverainiste ».
Daniel Paillé et le BQ doivent paver la voie à une reprise du combat en faveur de la pleine souveraineté au Québec; investir le PQ pour y éjecter les arrivistes, opportunistes et politiciens ronds-de-cuir hors de ses rangs.
Pour ma part, et cela sans même qu’on me l’ait demandé, je dirais que les formations politiques sans chefs ou dont les chefs veillent à en dire le moins possible sur leurs programmes (et comment ils s’y prendraient en pratique pour nous les servir) ont habituellement une meilleure cote de popularité que les autres.
Du fait que n’ayant rien fait, rien dit, ces partis sans chefs ou aux chefs discrets n’ont pu encore se mettre les pieds dans les plats ou prêter flanc à la critique.
Ce qui explique possiblement l’étrange popularité dont jouit François Legault, et même la remontée dans la faveur populaire du Bloc alors que la formation était sans tête…
Quand M. Paillé commencera à marcher sur ses lacets, il sera intéressant de voir dans quel sens ira la cote du Bloc.
Cher M. Perrier, et d’autres, 🙂
Lors de la CECO, il y a 35 ans?, M. Jean-Pierre Charbonneau, au Club des Ex, a rappelé que M. Bourassa et le Parti Libéral faisaient des pieds et des mains pour empêcher les commissaires d’aller fouiner dans ce secteur. Les policiers qui voulaient eux que l’on aille fouiner dans cette direction précisément, se servaient de Jean-Pierre Charbonneau pour attacher le grelot. C’est de cette façon que cette commission est allée beaucoup plus loin que les Libéraux l’auraient espérés.
Ce grand parti corrompu, avant l’Union Nationale, n’était-il pas Libéral? N’y aurait-il que sous Jean Lessage et son Equipe du tonnerre que les Libéraux aient été dignes de respect?
Quelle province!
La participation des membres en règle du Bloc augure mal.
Pas beaucoup de membres et pas beaucoup d’intéressés parmis ces derniers.
Ayoye!
Surveiller Gilles Duceppe, il semble reprendre du poil de la bête et sa présence dans les prochains mois sera déterminante. A en juger par les insultes qu’il reçoit de la part des fédéralistes sur d’autres blogues, on s’aperçoit qu’il est loin d’être fini.
Ai écouté Découverte dimanche soir. Ça a tout l’air que la fin du monde a été remise à plus tard. 🙁
Faudra donc se résigner à s’occuper de nos affaires pendant un certain temps encore. Que c’est déprimant. 🙁
MM Harper et Charest ont dû respirer d’aise. A eux et à leurs amis l’assiette au beure. Dieu est bon.
Entre temps, M. Johnson, Pierre-Marc, fait de son mieux pour livre le Canada pieds et poings liés aux sales capitalistes mondialistes, le un % qui nous suce le sang.
Quelle joie de vivre! Ne trouvez-vous pas?
Québec, le 16 décembre 2011
Bravo Pauline Marois
Le parti Québécois est sur le point de disparaître et la seule priorité que la chef du PQ Pauline Marois a trouvé pour 2012 c’est qu’il faut refaire la loi 101. En effet le pourcentage d’appuis su PQ a tellement fondu que Québec Solidaire est sur le point de le rejoindre en terme de pourcentage et que le parti Libéral est bon deuxième.
Madame Marois quand je me lève le matin je ne pense pas du tout à la loi 101 mais bien à la Taxe de vente du Québec qui va augmenter de 1% pour passer de 8.5 à 9.5% et à la taxe santé qui augmentera de $100 pour atteindre les $200.00 par personne au 1ier janvier 2012.
Il est maintenant clair que nos priorités ne sont pas les mêmes car lorsque je prends mon véhicule automobile tous les jours je ne pense pas à la loi 101 mais bien au coût du litre d’essence qui n’arrête pas de monter.
Peut-être qu’effectivement la loi 101 a besoins d’être retouchée mais à l’aube de 2012 ce n’est pas la priorité de la majorité des citoyens et ils n’arrêtent pas de vous le dire coup sur coup par les sondages.
De grâce réveillez-vous ou faites-vous remplacer.
Jocelyn Boily