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Aujourd'hui, après la conférence de presse du Théâtre d'été d'Asbestos, je suis allée jeter un coup d'oeil sur le cratère de la mine Jeffrey, qui m'avait tant impressionnée l'été dernier. Le Théâtre est situé à seulement quelques minutes de marche de l'observatoire de la mine. En assistant à la pièce, on a donc droit à un petit bonus. Car au soleil couchant, la vue est bien plus jolie que sur cette photo numérique n'arrivant pas à capter l'immensité du lieu, croqué de surcroît par un jour de pluie!
Tout ça pour dire que la pièce Les Réversibles, première création du théâtre d'été d'Asbestos, promet un bon moment de théâtre d'été. Tous les détails dans la prochaine parution du Voir Estrie.
S’il y a quelqu’un qui croit à la splendeur d’une pièce en pleine nature, c’est moi. J’ai eu l’occasion dans le parc de la Mauricie de voir la pièce Le Songe d’une nuit d’été au coeur de la forêt. L’ampithéâtre creusé à même le roc impressionnait.
Le soir venu, il pleuvait. Pas une petite pluie fine, un torrent. Malgré cette déconvenue, nous avons assisté à la pièce, assis sur le roc, essayant de voir les comédiens entre les parapluies. J’ai gardé un souvenir indélibile de ce songe. Parfois même, je me demande si j’ai rêvé. En tous cas, il régnait une ambiance très étrange, hautement onirique et les comédiens y étaient pour quelque chose (pauvre eux !) mais le décor, encore plus.
Vous m’intriguez avec Les Réversibles. L’expérience me tente, mon souvenir n’a pas perdu ses teintes vives, malgré le délavement.