 Photo: Sylvain Dumais |
J'ai jasé une quinzaine de minutes ce midi avec le légendaire Robert Charlebois, à propos de son passage prochain à la Fête du Lac des Nations. L'homme a 40 ans de métier, il a sans doute été interviewé par des milliers de journalistes lui posant tous des questions un peu semblables. On était d'ailleurs plusieurs de Sherbrooke à l'appeler en série aujourd'hui. Malgré tout, il est tellement fin, tellement généreux. À travers deux éclats de rire, il emprunte des sentiers sur lesquels on aurait même pas osé l'amener, se confiant sur la vie qui passe, la bière, la carrière… J'ai trouvé ça rafraîchissant. C'est sans doute ainsi qu'on reconnaît les grands hommes.
Au fait, c'est le dernier mot de ce blogue qui parle de messieurs gentils. Promis!
C’est curieux cette promesse … À qui vous la faites ? En tout cas, moi, cela m’a drôlement intéressé de savoir que l’auteur Daniel Gagnon et maintenant, le grand Charlebois sont des êtres remplis de gentilesse. On manque justement de ces projecteurs qui illuminent la gentilesse. J’espère seulement que ce ne sont pas des personnes dans votre entourage qui trouvent culcul la gentilesse et le fait de la souligner. Je l’espère parce que la gentilesse est une noblesse d’âme qui reflète une libération de l’égo pour penser à l’autre.
Alors, je vous en prie, continuez de parler de gentilesse !