 Paul-André Fortier m'a épatée samedi midi. |
Me voici de retour, après avoir été empêchée d'écrire sur ce blogue en raison de travaux de modernisation du réseau par Vidéotron. Il m'était donc impossible, au cours des derniers jours, d'avoir accès à Internet. Mais, durant ces jours de silence sur le Web, je n'ai pas chômé! Aperçu de quelques trucs qui m'ont branchée.
Mercredi soir: La directrice artistique de MURIRS, Geneviève Reesör lançait un coffret de reproductions de trois de ses oeuvres faisant partie de l'exposition Fenêtre sur les îles. "Il faut essayer de trouver des voies pour vivre de notre art", me confiait l'artiste. 150 reproductions de chaque oeuvre ont pu être réalisées grâce au travail du photographe Martin Blache et au montage d'Ann Lockquell.
Jeudi midi: Je suis allée fouiner dans les locaux du Téléphone Rouge, le nouveau bar-spectacle du centre-ville de Sherbrooke. J'en suis ressortie emballée! La conférence d'inauguration a lieu le 20 novembre.
Samedi midi: Je me suis rendue à Montréal où j'ai enfin vu le numéro de Paul-André Fortier, ce chorégraphe de réputation internationale qui vient de l'Estrie et qui habite toujours à Fitch Bay. J'ai ressenti beaucoup d'admiration pour cet homme qui brave le froid tous les jours pour faire sortir la danse contemporaine dans la rue et la faire connaître au plus grand nombre. Il régnait, durant son numéro d'une demi-heure, un silence d'or seulement troublé par le son des voitures et des oiseaux. Une expérience à vivre tous les jours à 12 h 15 jusqu'au 18 novembre au coin des rues Clark et Sainte-Catherine.