 Philippe Custeau et Charles-Antoine Gosselin de Jake and the Leprechauns. |
Parmi les événements auxquels j'assiste dans le cadre de mon travail, j'avoue un faible pour les lancements d'albums. Presque toujours sous forme de 5 à 7, ces rendez-vous festifs permettent d'agréables rencontres. Hier, c'était celui de Jake and the Leprechauns, un secret sherbrookois trop bien gardé à mon goût. L'événement se tenait dans un Café Bla-Bla bondé, mais surtout par des amis et parents du groupe. J'en ai profité pour piquer une jasette avec Thomas et Brian, deux gentils collègues anglophones travaillant l'un pour la CBC et l'autre pour The Record. Le groupe n'a joué que quelques chansons. J'en aurais pris plus!
Ce soir, je vais tenter d'aller faire un tour au show de WD-40 au Café du Palais. J'ai encore jamais vu le band d'Alex Jones en spectacle. Selon ce que j'ai pu lire, ça l'air d'un truc à ne pas manquer. Mais quand on pogne la trentaine, les shows qui commencent à 22 h 30 un mercredi commencent à être durs sur le système.