 Les Georges Leningrad. |
Finalement, c'est remplie d'énergie que j'ai terminé ma soirée de vendredi. En revenant chez moi, j'avais en tête l'analogie du iPod. C'est que je me suis rendue au Granada vidée, en traînant un peu les pieds. Je me suis branchée sur ce qu'avait à offrir Vitaminsforyou – un gars seul avec son micro et deux laptops. Vraiment intéressant. J'ai ensuite découvert les beats de Ghislain Poirier pour quelques tounes avant de transférer au Téléphone rouge où jouait d'abord Digit: Missile Command rebaptisé Digit: Magic Command pour l'occasion. Yann Godbout portait un masque pour cacher le grand sourire qu'il affichait durant ses tours de magie ridicules. Après ce fut Sexyboy, que j'aime toujours autant, mais qui m'a avoué être un peu lassé d'interpréter ses chansons et avoir hâte de sortir un nouvel album. Moi, je ne me tanne pas et j'espère qu'il jouera encore longtemps Rock the Basement! Et enfin, les Georges Leningrad que je m'attendais à détester copieusement. Eh bien non! J'ai sauté dans le mosh pit entièrement gagnée par l'énergie folle de ces trois hurluberlus. Bref, comme un iPod, après m'être branchée sur plein de nouvelle musique, j'étais prête à ce que ça dure encore et encore.