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Sherbrooke est encore engourdie par la tempête d'hier. À cause de l'état des routes, le Voir Estrie ne sera distribué que demain. Mes collègues ont choisi de rester à la maison. Pour ma part, je peux me rendre au travail à pied. Heureusement, car voici comment j'ai trouvé ma voiture en sortant de chez moi ce matin. La situation m'a permis de sympatiser avec mes voisins Isabelle et Médérick, qui m'ont gentiment offert un chocolat chaud après la corvée de pelletage. J'aime bien quand la météo suspend le temps de la sorte.
J’avoue, la plupart des gens n’aiment pas les tempêtes de neige. Pourtant, moi je me réjoui toujours l’approche d’une tempête. Les congés forcés et l’état des routes nous forcent à rester à la maison pour mieux apprécier nos hivers. N’est-ce pas beau de regarder cette belle neige blanche tomber ? Mais il ne faut pas oublier les centaines de sorties de routes qu’il y a eu à Sherbrooke durant la tempête, c’est la partie moins drôle qui nous fait détester la neige. Mais une chose est certaine, le jour où il n’y aura plus de neige au Québec à cause du réchauffement de la planète je ne serai sûrement pas le seul à regretter nos bonnes vieilles tempêtes !
Originaire de sherbrooke, je m’ennuie de ces tempêtes de neige; quand les écoles ferment, que les gens restent à la maison et voir les jeunes jouer dans la neige pendant que les plus vieux doivent pelleter! Içi à Ottawa nous avons pas la chance de vivre cela et c’est dommage. La dernière tempête à Sherbrooke était tellement grosse que mon amie à du dormir à son école. Ahhh les joies de l’hiver!:)
Cette tempête de neige a fait bien des ravages, ça c’est certain. Cette tempête nous a permis de nous rapprocher des autres, dans un certain sens, un peu partout dans la ville j’ai pus constater que l’entraide existait encore sur cette planète. Mais, bien sure, certaines personnes ne se sentent pas concerné et regarde plutôt que d’aider, ces personnes m’exaspère. Qu’ils se mettent à la place de ces personne qui sont prisent sous la neige et se demande si a leur place elles aimeraient qu’on les regarde forcer au lieu de les aider. Moi j’ai été prise et j’ai aidé, et j’en suis bien contente.