Gare Belle-Étoile : Sylvie Grégoire
Il y a ce qu’on appelle en anglais les feel good movies: ces histoires généralement assez simples où triomphe la morale, sapant au spectateur les mauvais sentiments qui l’habitent. Bon. Il y a la même chose en littérature. Et le chef de file des romans-bonheur, qui arrivent tout de même moins souvent que les films sur les tablettes, est sans doute Le Petit Prince. Le premier roman de Sylvie Grégoire, Gare Belle-Étoile, est de la même veine.