Jean-Paul Daoust : Portrait
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Jean-Paul Daoust : Portrait

Se réclamant à la fois d’Allen Ginsberg et d’Oscar Wilde, le poète Jean-Paul Daoust voue un culte sans bornes à l’exubérance de New York, sa façon d’allier le pire comme le meilleur, dans un entrechoquement d’aliénation et de  liberté.

Se réclamant à la fois d’Allen Ginsberg et d’Oscar Wilde, le poète Jean-Paul Daoust voue un culte sans bornes à l’exubérance de New York, sa façon d’allier le pire comme le meilleur, dans un entrechoquement d’aliénation et de liberté. Invité il y a quelques années au studio du Québec sis dans la Grosse Pomme, Daoust a rendu compte de son séjour avec 111 Wooster Street (VLB, 1996). Alors que les éditions XYZ viennent de rééditer en poche son long poème L’Amérique, il est peu surprenant que Daoust soit convié à la table ronde L’Écrivain et New York (jeudi 17 h 30 à l’Espace jeunesse). Présentée par la 31e Rencontre québécoise internationale des écrivains et animée par Jacques Allard, la discussion s’articule en compagnie de Madeleine Monette et Raphael Korn Adler.

Les Versets amoureux, Écrits des Forges, 2003, 180 p.
(Thierry Bissonnette)