Le Sexe de la science
S. D.
On trouve de tout dans Le Sexe de la science, comme des statistiques sur les performances sexuelles des fumeurs ou sur l’inclinaison de la tête des bécoteux… On se transforme aussi en voyeur devant les insectes et les animaux, on apprend que la polygamie favorise au Kenya la multiplication de bébés de sexe féminin, on observe la course folle des spermatozoïdes, on apprend que, déjà embryon, le garçon se développe plus rapidement que la fille… comme il meurt plus tôt. C’est écrit sous forme de capsules, accessibles et souvent amusantes, qui rendent compte de véritables découvertes ou études scientifiques. Éd. MultiMondes, 2003, 121 p. (S. D.)