Da Vinci Code |
Sur la Croisette, tout le monde en parle. mais peut-être pas encore pour très longtemps. Mardi soir, a eu lieu la première projection de presse du gros machin à Ron Howard. Selon la rumeur, la salle n'est pas restée comble jusqu'à la fin. L'ayant raté hier soir, je me suis précipitée une heure et demie à l'avance ce matin de peur de me voir refuser l'entrée. Avoir su! La salle Debussy paraissait bien grande ce matin avec son parterre clairsemé de journalistes.
Mon verdict? Je dois d'abord être très franche – en fait, je le suis toujours! – j'ai mis bien du temps à succomber à la folie Da Vinci. Que voulez-vous, moi, c'est Duras, Proust et Dostoïevski qui me branchent. Bonne fille que je suis, j'ai tout de même lu la brique en question et me suis surprise à en lire avidement la moitié vendredi soir dernier. Par la suite, le coup de foudre a fait place à l'ennui et je l'ai terminé de peine et de misère dans l'avion.
Pis le film? Bah. franchement, pas de scandale à l'horizon. Aucun besoin pour le Vatican de faire ressusciter la sainte Inquisition. Moi qui m'attendais à me faire lapider avec mes collègues du monde entier par des frères adeptes de la mortification du corps, je n'ai vu qu'une bonne sour raconter je ne sais quoi à une dizaine de caméras ce matin. Y en a qui ont le tour de connaître leur quart d'heure de gloire.
Très fidèle au roman de Dan Brown, à l'exception de quelques libertés qui empêcheront ceux qui connaissent le récit par cour de sombrer dans les bras de Morphée, le film de Ron Howard n'est finalement qu'un pompeux thriller peu palpitant dans lequel Tom Hanks semble gêné par son abominable coiffure face à la mignonne Audrey Tautou qui zozote l'anglais avec application. Jean Reno semble s'emmerder et le flamboyant sir Ian McKellen, tel un Peter O'Toole, cabotine avec panache. Quant à Hans Zimmer, il a composé une trame sonore à réveiller les morts. Plus pompier et tonitruant que ça, tu meurs!
J’ai bien l’intention de voir ce film, même si toute la critique semble prendre un malain plaisir à le descendre. Pourtant le livre est un succès mondial, alors pourquoi le film serait si nul que ça? Plus on parle et plus les gens sont curieux, alors je pense que ça va être un beau succès en salle. Les sceptiques seront confondus quand les spectateurs l’auront vu et que l’opinion sera différente que celle qu’on entend un peu partout. À Cannes les gens partent déjà avec une opinion négative et le film est attendu avec une brique et un fanal. Donnons-lui sa chance bon dieu!
Je n’ai pas encore visionné le Code Da Vinci, mais je l’ai lu, et je suis sûr et certain que le film sera en partie aussi palpitant que le roman.
En lisant la réaction de Manon Dumais envers le film, elle le considère comme un pitoyable navet. Mais ce que j’ai remarqué, c’est qu’elle a commencé le livre deux jours à peine avant de voir le supposé navet. Je trouve qu’il est toujours bien de laisser écoulé un certain nombre de temps entre la lecture du livre et le visionnement du film. Parce que même si un livre et un film et totalement différent, on peut tout de même avoir l’impression de lire deux fois le livre, et lire deux fois de suite le même bouquin, la deuxième fois est rarement aussi remarquable que la première.
Mais moi, j’ai dévoré le livre( et cela même si j’ai à peine 13ans)contrairement à Manon Dumais qui a péniblement lu les dernières pages.
Donc, pour finir, je vous dis « attendons ». Allez le voir, et faites vous votre propre opinion du film, parce que ce n’est pas à cause que quelqu’un a eu une mauvaise réaction que sa veut obligatoirement dire que le film est réellement aussi mauvais qu’elle le fait croire.
Après avoir fait l’ouverture du Festival de Cannes, les critiques sont déjà partagées sur cette méga-production. Elle semble être très chargée et très dense en symbolique. Malgré ces quelques bémols, je suis convaincu que celle-ci aura un grand succès financier car il y a longtemps qu’un film n’aura pas suscité autant d’intérêt.
Les ventes du livre, le jeu de société du code Da Vinci et tous les gadgets se rattachant au film ornent les vitrines des marchands.
Ce qui me fascine, c’est de voir la réaction des pieuses personnes qui veulent boycotter ce film. La religion évolue comme elle peut depuis les écritures saintes et avouons le, il y a pas mal plus de scandales et de perversions qui se passent dans les presbytères qu’il peut y en avoir dans le film.
Le code Da Vinci vient suggérer un scénario qui me plaît et j’ai bien hâte de visionner ce suspens qui semble proposer entre autre que Jésus ayant passé sur terre aurait eu des désirs et des relations sexuelles.
On est loin de l’image que l’église a toujours voulu donner de sa « Star » au dossier immaculé qui génétiquement serait peut-être plus près de genre humain qu’on pense.
À mon grand avis, les fans du célèbre roman de Dan Brown seront formellement déçus. Je n’ai malheureusement pas lu ce livre, car au début je redoutais des propos dont Brown avait conçu pour son histoire. Après avoir longuement réfléchi, j’ai subitement entré dans la vague tout comme ces quelques millions de fans qui attendent avec impatience la sortie de film.
Je dois vous avouez que je suis extrêmement surpris de la critique, puisque cette production détient toutes les caractéristiques nécéssaires pour un faire un bon divertissement. Des acteurs de renom, un réalisateur formidable, un suspense dont tout le monde continuera à jaser. Bref, ce n’est certainement pas en lissant les commentaires négatifs des gens que je n’irais pas voir Da Vinci Code. À suivre…
Il y a quelque chose de fascinant lorqu’un film à succès sort c’est que avant que le public ce soit fait une idée, déjà les critiques en font un bon film ou un navet. Puisque les perceptions sont si différente, je préfère me faire moi-même ma propre opinion de la chose. Il m’est arrivé souvent d’aimer un film que la critique avait, disons, fortement dénigrer.À moi de voir! À mon avis, le livre était très bon, même si la fin m’a laissé sur ma faim. De toute façon, lire un livre et en voir le film c’est différent car on se fait une idée du climat et des personnage. Un film ne peut jamais être aussi bon. J’ai quand même hâte de voir.
Bon peut-être que le film n’est pas à la hauteur des attentes de tout le monde.Que dis-je, des attentes de la planète.Parce que oui,toute la planète attendait avec grande hâte la sortie de ce film de Ron Howard.C’est bien la première fois de l’histoire du cinéma qu’autant de gens avait lu un livre porté au grand écran.Bien sur que tout le monde est déçu. »Il manque plein de choses »en disent quelques uns, »Les acteurs sont minables »en disent d’autres.Mais pour ma part,je n’ai pas peur d’avouer que OUI j’ai aimé DaVinci Code.Le seul point négatif est la musique,qui est ma foi,trop présente.Mais à quoi vous attendiez vous,Lord of the rings.Et bien non,c’est un film qui selon moi à réussi sa mission première,DIVERTIR,parce que c’est ça le but quand on va au cinéma,être diverti.La mission du Davinci code n’était pas de déranger l’église catholique ou d’accuser l’opus dei d’hérésion.Son but était simplement de nous faire passer un bon moment sans se demander si monsieur x va signer le contrat que je lui propose ou si ma femme de ménage n’a pas trouver mes revues cochonnes.Alors s’il vous plait,pour ceux qui ne l’on pas encore vu,donnez la chance au coureur et allez y en vous disant que vous allez passer un bon moment.
Oh Draconian Devil, Oh Lame Saint
Bon peut-être que le film n’est pas à la hauteur des attentes de tout le monde.Que dis-je, des attentes de la planète.Parce que oui,toute la planète attendait avec grande hâte la sortie de ce film de Ron Howard.C’est bien la première fois de l’histoire du cinéma qu’autant de gens avait lu un livre porté au grand écran.Bien sur que tout le monde est déçu. »Il manque plein de choses »en disent quelques uns, »Les acteurs sont minables »en disent d’autres.Mais pour ma part,je n’ai pas peur d’avouer que OUI j’ai aimé DaVinci Code.Le seul point négatif est la musique,qui est ma foi,trop présente.Mais à quoi vous attendiez vous,Lord of the rings.Et bien non,c’est un film qui selon moi à réussi sa mission première,DIVERTIR,parce que c’est ça le but quand on va au cinéma,être diverti.La mission du Davinci code n’était pas de déranger l’église catholique ou d’accuser l’opus dei d’hérésion.Son but était simplement de nous faire passer un bon moment sans se demander si monsieur x va signer le contrat que je lui propose ou si ma femme de ménage n’a pas trouver mes revues cochonnes.Alors s’il vous plait,pour ceux qui ne l’on pas encore vu,donnez la chance au coureur et allez y en vous disant que vous allez passer un bon moment.
Oh Draconian Devil, Oh Lame Saint
J’avais bien aimé le livre, donc j’ai bien l’intention d’aller voir le film même si les critiques sont mauvaises. D’habitude, Tom Hanks joue dans de très bons film et Ian McKellen semble être en excellente forme dans ce film. Il ne m’en faut pas plus pour que je décide à me déplacer afin d’aller voir « The Da Vinci Code ». Et puis, c’est certainement 10 fois meilleur que le navet que je suis allé voir hier intitulé « Le regard du diable » (heureusement que c’était gratuit grâce à Voir).
Bien entendu, le roman en est un de réflexion, et ce n’est peut-être pas évident de le traduire en thriller estival. Les réactions des critiques ne sont pas très bonnes jusqu’à maintenant, mais je vais attendre les commentaires des gens normaux afin de me faire une opinion.
Étant presque athée (catholique de naissance mais pas vraiment praticant), l’aspect religieux du film ne me défrise pas. La bible est déjà une fiction pour moi, alors…
Je suis allée voir le film cet après-midi et je l’ai trouvé correct. J’ai lu le livre l’an passé et trouvé la première moitié plus intéressante que la deuxième. Je mettrais à ce film trois étoiles sur cinq, that’s it. Les intégristes catho devraient arrêter de chialer contre le film. Après tout, c’est de la fiction. Il n’y a rien de scandaleux là-dedans.
Le film en tant que tel n’est pas endormant, il nous tient en haleine du début jusqu’à la fin. La trame sonore y est pour quelque chose aussi, je dois dire. Mais je crois que pour comprendre le film, il faut avoir lu le livre.
Bravo à Ron Howard pour ne pas avoir dénaturé le livre qui est lui-même un excellent divertissement. Simple et directe, la quête se poursuit au 1er degré. Ce n’est pas tout le monde qui a lu le livre et ses produits dérivés. Des enfants de 12-13 ans, m’accompagnant, ont suivis le trame du film sans s’endormir ce qui est un indice de son efficacité. Ce n’est pas fréquent qu’une une histoire soit mise en avant plan. Devant les effets spéciaux, devant les grosses vedettes.
Alors, voila, un bon film avec une histoire tirée par les cheveux, mais pourquoi pas???? C’est du cinéma!
Je viens de voir Da Vinci Code à l’instant. J’ai bien fait d’y aller pour me faire ma propre idée. Le tissu de conneries que peut raconter les critiques vaut à lui seul un Oscar pour le plus bel exemple de mauvaise foi cinématographique à l’échelle planétaire.
J’avais trouvé le roman fascinant. J’avais hâte de voir le film. Je ne fus pas déçu. Et je ne vois aucune raison de brûler le livre sur la place publique. Je suis pourtant très croyant. C’est qu’un roman est une oeuvre de fiction et un film a droit lui aussi à sa part d’irréel, d’imaginatif, de rêves, bref, la vérité, c’est celle que l’on veut bien croire.
Le roman donne une interprétation de faits historiques qui laisse tellement à réfléchir, qu’il vous donne le goût de vous documenter davantage sur le sujet. J’ai donc lu avec grand intérêt Code Da Vinci : l’enquête de Marie-France Etchegoin et Frédéric Lenoir chez Robert Laffont, qui démêlait le vrai du faux et expliquait les sources de l’auteur. Et j’avoue qu’il a eu un très beau fantasme.
Voilà pour moi, tout le plaisir du film et du roman : apprendre qu’on serait de la descendance du Christ. Que ce soit vrai ou pas, qu’importe, ce Jésus marié aura séduit bien des femmes, quand on pense que le roman s’est vendu à plus de 40 millions d’exemplaires. Et le film, assez près du roman, est tout aussi captivant par ces flashbacks historiques qui interpellent le présent.
Et que de critiques superficielles ai-je lu ! La musique n’est pas plus fatiguante que d’autres films. Les personnages ne boivent, ne mangent, ni ne pissent, parce qu’il s’agit d’un trhiller spirituel. On garde l’oeil sur l’essentiel. Des longueurs ? Il est d’une longueur normale ce film. Me suis pas ennuyé du tout. Et Tom Hanks est finalement moins mauvais que ce que j’appréhendais.
Mais on peut toujours bouder son plaisir. N’empêche que ce livre aura éveillé un goût de connaître l’histoire, la religion et la peinture. Viva Léonardo Da Vinci !
Que vous ayez ou non lu la brique de Dan Brown, cela importe peu, l’adaptation cinématographique qu’en a fait Ron Howard vaut quand même le détour. Je dis quand même puisque depuis sa sortie, le film ne cesse d’être farouchement dénigré. Franchement, et vous en conviendrai, tout ça n’est qu’une tempête dans un verre d’eau bénite. Howard a fait un travail honnête et son film, s’il n’est en rien un chef-d’oeuvre, aura toujours le mérite de provoquer le dialogue et ce un peu partout dans ce monde. Je prends en exemple cette entrevue menée par un journaliste de Radio-canada avec un apôtre de l’Opus Dei de Montréal qui disait en gros que les membres de cette formation ne sont pas tous des adeptes d’un sado-masochisme issu de la prédication du Christ et que la version actuelle n’est plus aussi fanatique qu’elle l’a déjà été. De plus le Da Vinci Code de Howard pourrait sensibiliser les non-initiés à l’histoire du Christ. Et quel délice de croire à l’hypothèse d’une progéniture issue de la relation entre notre bon Jésus et de la pécheresse Marie-Madeleine. Cette idée à elle-seule justifie la raison d’être d’une telle oeuvre. Je souris en pensant à ces exubérants religieux en train de braîller la calomnie de leur mythe sacré. Ceux-là même qui n’hésitent jamais à juger leurs prochains et qui seront un jour, oh bonne justice , les prochains à se faire juger devant l’éternel. Les transes provoquées par la sortie du film ne sont-elles pas un preuve de plus que les hommes respectent davantage les fantômes sanctifiés que leurs propres frères ? Demander à Jésus ce qu’il en pense. Si vous ne le trouvez pas, demandez à sa descendance.
J’ai lu Da Vinci Code, il y a de ça quelques mois. Comme la plupart, je l’ai dévoré, même si d’ordinaire ce genre littéraire n’est pas pas tasse de thé.
Je suis allée voir le film. Mitigée, perplexe devant la réaction médiatique – si uniforme – je pressentais un comportement de rébellion, un parti pris contre toute attente crée. Je me suis dit: « Vas voir par toi-même ».
Franchement… Audrey Tautou et Tom Hanks sont pâles, pour ne pas écrire pâlottes, comparativement aux personnages du roman. À mon humble avis, leur jeu respectif amoindri immensément le potentiel du film. On a choisi Hanks et Tautou en estimant, je présume, la portée de ce casting sur les publics cibles, mais on est passé à côté, carrément. Tautou ne sort plus de son image poulinesque et Hanks – quelle grande déception pour moi, fan – semble vraiment avoir les réactions cérébrales entravées, sur tous les plans. On n’y croit pas, parce qu’ils n’y croient pas non plus.
Outre le jeu médiocre des acteurs, les éléments « d’action », dont une scène de SMART à reculons qui tient presque de la comédie, retire au film la crédibilité dont il aurait du faire preuve pour traiter un sujet qui touche une réalité actuelle véritablement délicate.
En fait, c’est peut-être là que le bât blesse. À trop vouloir préserver les partis concernées, le réalisateur et ses joueurs ont assourdi l’histoire, jusqu’à la rendre visiblement fictive…
Décevant. Vraiment.
Bon, j’étais décidée à aller voir le film peu importe la critique. On le disait endormant ? J’ai mis cette affirmation à l’épreuve en allant voir une représentation couche-tard. Pas une minute je n’ai failli sombrer dans les bras de Morphée, même passé une heure du matin. Les acteurs principaux sont tous très bons, et la trame du livre a été respectée autant que faire se peut. Manque d’action? Fallait-il ajouter des scènes plus spectaculaires dans le seul but d’attirer un plus grand auditoire? Si quequ’un peut m’expliquer la désastreuse cote de 20% sur Rotten Tomatoes, allez-y, ne vous gênez pas!
J’ai vu ce film et le commentaire de Manon Dumais reflète mon opinion à 100%. J’ai eu, comme certains spectateurs à Cannes, envie de quitter mon siège (qui était brisé)après 30 minutes de supplice. Toutefois, au prix des billets, j’ai gardé toute ma contenance et ma patience et me suis dit que le meilleur était à venir. Vous comprenez maintenant que je n’ai pas vraiment apprécié ce film. S’il est vrai que les propos du roman sont bien transposés à l’écran, je suis heureuse de ne pas avoir investi dans le livre (même en format de poche). Je n’ai pas non plus acheté le poster ni les effaces, les crayons ou autres produits dérivés! Les boîtes à lunch sont probablement en production pour la prochaine rentrée scolaire sauf que j’ai peur que le film ne soit pas à l’affiche pour de nombreuses semaines et que ses artisans ne recevront pas les grands honneurs auxquels ils aspirent en secret. J’en suis bien désolée pour eux et pour tous les cinéphiles qui avaient de grandes attentes envers le Code Da Vinci. Ce film n’est pas complètement raté mais ce n’est pas un grand film. Il y a eu beaucoup trop de propagande comme c’est souvent le cas avec le cinéma américain. Par contre, j’ai hâte de voir le dernier film d’Almodovar sur nos écrans. Ce sera très certainement beaucoup plus intéressant mais il nous faudra possiblement patienter encore quelques mois avant qu’il soit à l’affiche au Québec. Attendre pour un chef-d’oeuvre me fait anticiper le plaisir que j’aurai à le visionner.
j’ai personnellement vu le film, et à part tout ce qui est technique, je l’ai trouvé génial! Je ne peux comprendre quelqu’un qui s’endort sur un film comme ça. Et sur un tel sujet…
Je crois que ça dépend avec quel paire de yeux vous regardez le film, ce à quoi vous vous attendez,. Moi j’ai regardé le film avec une attitude d’ouverture et un esprit de découverte. Je n’ai pas été déçue.
La seule chose avec laquelle je suis d’accord en ce qui concerne ce billet, ç’est que Tom Hanks à une affreuse coiffure. Ça ne lui ressemble même. Quant à Jean Reno, il est fidèle à lui-même.