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Courts, courts, courts!

Mardi matin, tout de suite après la projection de Babel, j'ai couru du Grand Théâtre Lumière jusqu'à la salle Bunuel afin d'y voir cinq courts métrages d'autant de cinéastes de renom. Avoir su.

The Water Diary de Jane Campion raconte les rêves d'une fillette dans un village privé de pluie. Mignon, sans plus.

Faisant partie du long métrage 8, SIDA de Gaspar Noé nous force à soutenir le regard d'un sidéen qui raconte son triste sort pendant 17 minutes. Lourd.

De François Ozon, Un lever de rideau est une adaptation au goût du jour mais précieuse d'Un incompris de Montherlant. Heureusement qu'il y avait mon cher Mathieu Amalric.

. qui pourtant n'a pas su captiver mon intérêt dans le barbant et rigide Les Signes d'Eugène Green.

Et enfin, pastichant sagement le film noir, Stanley's Girlfriend de Monte Hellman met en scène deux aspirants réalisateurs amoureux d'une femme fatale.