Puisque personne n'a cru bon m'avertir à temps que Waiter d'Alex van Warmerdam prenait l'affiche ce vendredi au Cinéma Beaubien (et à ma connaissance, il n'y a même pas eu de projection de presse), vous ne trouverez pas de critique de ce film dans nos pages. Voici donc ce que j'écrivais l'an dernier sur mon blogue à propos de ce film après l'avoir vu au Festival de Toronto:
"Pendant sobre du très bon Stranger Than Fiction, ce film hollandais met en scène un garçon de table fictif qui tente de convaincre un romancier qui écrit sa vie de pimenter son ennuyeuse existence. D'un comique absurde irrésistible."
Mouais, c'est pas ben long comme critique, ça… faut croire que j'avais pas l'temps ou bedon que j'étais pas ben, ben inspirée…
P.-S. – Si j'ai le temps demain, je vous écris un compte rendu de ma rencontre avec le sympathique acteur-scénariste-réalisateur hollandais…
Une critique n’a pas besoin d’être longue pour être inspirée quant à moi.
L’économie des mots quand elle est signifiante, vaut mieux qu’une surabondance de blabla insipide. L’inverse est aussi vrai: une critique courte peut être insignifiante et une longue peut être passionnante.
Tout dépend de qui l’écrit et comment ça l’est.
Et ça vaut tout autant pour les commentaires des internautes, non? 😉
Concernant ces derniers, il y en a un que je ne nommerai pas mais qui s’épanche à tous vents au Voir et qui nous les casse royalement.
Je vous laisse deviner et pardonnez-moi cet écart Manon, c’est l’euphorie des Fêtes qui me gagne lentement…
Happy Hollidays Dear!