À cause des junkets auxquels j'assiste et de la vingtaine de films que j'ai déjà vus avant d'arriver au TIFF, le choix des films se trouve limité. Pour ceux qui n'ont pas suivi ce blogue en mai, voici donc des liens qui vous permettront de découvrir une partie de la programmation du TIFF :
Antichrist de Lars Von Trier
Bright Star de Jane Campion
Étreintes brisées de Pedro Almodovar
Carcasses de Denis Côté
Coco Chanel & Igor Stravinsky de Jan Kounen
Enter the Void de Gaspar Noé
Oups, je n'avais rien écrit à ce sujet… j'y reviendrai.
Visage de Tsaï Ming-Liang
Fish Tank d'Andrea Arnold
Les Herbes folles d'Alain Resnais
Oups, je ne l'avais mentionné que dans mon bilan du festival :Étrange comédie poético-absurde, laquelle marquait son retour à la compétition 50 ans après le sublime Hiroshima, mon amour, Les Herbes folles ont valu à Alain Resnais un «prix exceptionnel du festival de Cannes»: «Un film doit être quelque chose qu'on ne réfléchit pas. Je tourne pour savoir comment ça va tourner. Tout ce que je cherche, c'est de savoir si le film que je tourne suscitera des émotions», expliquait la semaine passée le doyen des réalisateurs en compétition.
En passant, je devais rencontrer André Dussolier aujourd'hui, mais j'imagine qu'un journaliste américain a pris ma place puisqu'on n'a pas cru bon me dire où et quand aurait lieu la rencontre…
The Imaginarium of Doctor Parnassus de Terry Gilliam
Oups, je n'en avais pas parlé. J'y reviendrai. D'ailleurs, je dois rencontrer Christopher Plummer avant mon départ, mais je vais le croire quand je vais le voir.
J'ai tué ma mère de Xavier Dolan
Un prophète de Jacques Audiard
The Times that Remains d'Elia Suleiman
Dire que je lui avais prédit la Palme d'Or : S'inspirant de la correspondance de ses parents, le réalisateur d'Intervention divine (prix du Jury en 2002) raconte avec finesse et humour l'histoire de sa famille et de son peuple: "Il n'y a pas d'espoir dans mon titre. La nécessité de faire un film est un acte d'espoir. On fait des films pour s'exprimer sur notre monde et peut-être le changer. On ne peut pas réparer ce qu'on a détruit".
Je dois rencontrer le réalisateur au courant de la semaine…
Vengeance de Johnnie To
Vincere de Marco Bellocchio
Oups, je n'avais rien écrit et je me demande ce que je pourrais bien en dire puisque celui-ci ne m'a pas marquée…
Le Ruban blanc de Michael Haneke
Je vous reviens plus tard avec les primeurs torontoises. Là, y a Jacques Audiard qui m'attend, euh, me semble…