Le 15 mars en soirée, lors de la Manifestation annuelle contre la brutalité policière, Lysiane Gagnon Marie-Claude Lortie cherche ses mots…
Soudainement, inspirée par le rythme des coups de boucliers et des arrestations de masse, elle découvre, il fallait y penser : c’est un « tango ». Les uns ont besoin des autres : « Les manifestants cherchent la brutalité policière pour mieux exprimer leurs récriminations. Les policiers, eux, trouvent dans l’agressivité de certains manifestants leur raison d’être là » [16 mars, La Presse].
Vous avez bien lu? Les manifestants cherchent la brutalité policière.
On était quelques milliers à penser, depuis 17 ans, que c’était une manifestation contre la brutalité policière, mais bon, Lysiane Lortie sait de quoi elle parle. On a dû mal lire les tracts et les journaux, mal entendre les discours et les slogans…
Peu importe! Car ce qu’on se demande vraiment, nom de Dieu! c’est pourquoi ils font ça? Contre toute attente, elle le sait, elle en a parlé la semaine dernière : c’est pour « mieux s’exprimer »
« À travers les sociétés, les continents, les âges, on en a vu et revu. La transition de l’enfance à cet âge adulte où l’on se voit intégré, inclus, voire rangé, produit ce genre de tensions qui, selon le contexte historique ou politique, provoqueront ou non des mouvements sociaux aux éclats variés [La Presse, 7 mars] ».
Ça c’est de l’analyse : à travers l’histoire de l’univers, l’adolescence a provoqué (ou non) des mouvements sociaux aux éclats (?) variés.
À partir de ces prémisses rigoureuses, elle en conclut que ces adolescents sont « contre tout et rien ». Ce « tout et ce rien » est bien entendu irrationnel. Elle se demande comment il est possible de voir des liens entre ces concepts obscurs dont elle fait la liste : « capitalisme », « chômage », « richesse », « injustice », « maladie », « aberrations » et « société moderne ». Pour être certaine de ne rien comprendre, elle ajoute d’ailleurs quelques termes de son cru – comme si les manifestants étaient contre « leurs voisins » et « leurs parents ».
Manifestement, elle ne sait pas comment interpréter ce « flou agressif ». Elle est totalement dépassée. Par delà la gratuité et la fin de la brutalité policière, il y aurait des gens qui seraient encore insatisfaits, vous imaginez? Ils veulent changer le monde, on ne comprend pas. Alors, comment faire pour que les commerçants cessent de « frémir » devant tant de colère adolescente?
« Plutôt que des policiers, ce sont peut-être des psychologues qu’il faudrait envoyer pour les écouter. Pourquoi tant de gens si fâchés? ».
Éclair de génie
Le 15 mars, la magie de la prétention lorsqu’elle est grassement payée pour dire son opinion se manifeste : Mme Gagnon Lortie trouve une solution à un problème qu’elle ne comprend toujours pas.
Dans un monde idéal, il faudrait faire « voyager ces jeunes ».
En Espagne et en Grèce, ils verraient ce qu’est le vrai chômage. En Russie, ce qu’est réellement la censure. En Haïti, ce qu’est la pauvreté au quotidien…
C’est une très bonne idée.
Et gageons que ces jeunes seraient ravis d’avoir une telle chance!
Il y a cependant fort à parier que ces adolescents comprendraient ce que la madame ne comprend pas et reviendraient au Québec avec une plus grande envie de prendre la rue. Face aux horreurs qui sévissent ailleurs, certains développeraient sans doute une critique des politiques internationales de nos gouvernements. Certains seraient peut-être même frappés par le fait que la Russie, malgré son État policier, se dit elle aussi « démocratique ». Et gageons que nombre d’entre eux reviendraient ici avec toutes sortes de mauvais coups appris dans les manifestations de Grèce et d’Espagne!
Finalement, la solution de Madame n’est peut-être pas tout à fait au point…
Mais, répétons-le, c’est une bonne idée!
Les jeunes pourraient ainsi voir, tel qu’elle le désire, que c’est bien pire ailleurs.
*
En échange, et nous sommes bien conscients de l’audace de notre proposition, Mme Gagnon Lortie pourrait se mettre à faire du … journalisme. La prochaine fois qu’elle voudra comprendre les motivations des manifestants, elle pourrait interroger des… manifestants ou encore mener une enquête sur le site internet et dans les journaux de l’organisation qui revendique la mobilisation, juste au cas où on y exposerait des arguments et des idées rationnelles.
Si elle veut réellement comprendre la colère des gens d’ici, elle pourrait même interroger ceux qui, parmi les 3500 personnes arrêtées lors des derniers mois, ont subi des blessures ou des chocs post-traumatiques. Ces derniers seraient certainement assez généreux pour lui donner des trucs super le fun afin de transformer toute cette méchante colère en « énergie créative ».
Ça aiderait également Mme Gagnon Lortie à comprendre pourquoi certaines personnes, ici même, refusent d’accepter l’injustice, l’arbitraire et la violence sous prétexte que c’est pire ailleurs.
Qui sait, comme par un juste retour des choses, ça nous aiderait peut-être à cerner les motifs psychologiques qui la mènent à transfigurer une arrestation de masse en « tango ».
Cette madame Lortie est pour les Édi-torieux à ce que 728 est pour les policiers… journalisme… le terme est trop fort… disons opinion poubellique… quand je pense que c’est un métier…. ouff…
le manque d’intelligence et de rigueur de mme lortie aurait (enfin) été mis en lumière?!? si ça peut servir à son éventuel départ vers une campagne plus simple, à sa mesure, ce sera une bonne chose. mme lortie fait trop souvent preuve de préjugés et de préférences personnelles pour critiquer le monde, avec peu d’égard pour les faits.
Faudrait organiser une Manifestation annuelle contre la stupidité manifestante et le cherchage volontaire de trouble. Elle serait drôle et populaire celle-là.
Wow, plus pertinent on ne peut pas. Socrate, sort de ce corps.
On ne peut pas encenser une chroniqueuse lorsque son opinion rejoint la notre et qu’elle critique le gouvernement, et insinuer qu’elle est idiote ou « passer à l’ennemi » lorsqu’elle se met à critiquer les motivations d’un mouvement de protestation.
Il faut vraiment être de mauvaise foi ou alors n’avoir pas lu du tout le texte de Mme Lortie qui identifie et condamne clairement la brutalité policière mais qui avance que la colère des manifestants dépasse simplement les revendications. Elle relativise les vitres cassées mais rappelle que la vitalité du centre-ville est dans l’intérêt de tous. Qu’est qui a de mauvais à avancer cette idée ? Qu’est qui a de si condamnable à ça ? Ces arguments sont posés, détaillés et
Votre opinion me désole M. Cyr. Elle représente très bien ce qu’est en train de devenir le mouvement de protestation depuis quelques mois. « Avec nous ou contre nous ». Que l’on condamne la brutalité policière, qu’on se soit battu auprès des étudiants l’an passé ou que l’on désapprouve certaines politiques du gouvernement ne change rien. Dès que l’on remet en questions des arguments des manifestants, dès que l’on garde son sens critique, on devient des « traitres » en se faisant traiter de tous les noms.
Il faut vraiment être de mauvaise foi pour comparer Mme Lortie à Lysianne Gagnon, pensez-y deux secondes allons ! Vous savez comment on appelle ce genre d’image M. Cyr ? De la démagogie. Tout simplement. Si j’utilisais Amir « Staline ou Paul Rose » Khadir n’aurait pas de différence avec la votre. A-t’elle le droit de penser différemment de vous sans devenir une « collabo » ou de passer dans le camp « ennemi » ? Où est passé la rigueur de l’argumentation de l’an passé ? Où est passé l’acceptation de la divergence d’opinion ?
Si ce mouvement de protestation ne renait pas de ces cendres, ce sera avant tout à cause de cette attitude M. Cyr. Comme Mme Lortie dit dans sa réponse, il faut « être totalement imbibé de l’idéologie d’un des deux côtés de l’affrontement pour ne pas le voir. »
Vous m’êtes devenu aussi insipide à lire que M. Dubuc ou Pratte, pas fort M. Cyr…
À tel point que votre argumentaire en faveur de Mme Lortie est bien meilleur que son propre texte, vous devriez peut-être écrire à sa place cela lui rendrait un grand service.
Peut-être, Monsieur Xavier, que la «polarisation grandissante des mouvements» s’explique par le fait qu’il y a des personnes qui veulent vivre et qui sont exaspérées que la majorité silencieuse ait décidé de se suicider en fermant les yeux sur les agissements des forces destructrices à l’oeuvre en ce moment partout dans le monde contre les populations et l’environnement.
Comparer Mme Lortie à Lysianne Gagnon, c’est comme comparer Amir Khadir à Staline et/ou Paul Rose!
C’est sûre que Mme Gagnon, Staline et Rose, même combat!!!
Je pense que Marie Claire Lortie devrait exprimer ses idées concernant le sado-masochiste « tango » entre la brutalité policière et de ses victimes dans un magazine féministe où elle peut aussi éloquemment nous informer sur le « tango » complices entre les violeurs et les victimes de viol.
Vous inventez beaucoup de chose dans votre mot, M. Xavier.
1) Il n’a jamais été question de « traitre ». 2) Je ne l’ai pas traité de tout les noms – et oui, son texte ressemble à du Lysiane Gagnon, désolé, et cette dernière n’a rien à voir avec Staline ou Pol Pot, c’est une collègue de Lortie. 3) Lortie ne remet pas en question les arguments des manifestants: elle les invente à partir de ses propres préjugés. Aucun manifestant n’apparaît dans ces textes, sinon comme figure de l’adolescent attardé. C’est pour cette raison que je l’ai pris à parti.
Selon vos dires: affirmer que Lortie ressemble à Gagnon c’est un amalgame sophistique, mais soutenir que je ressemble à Pratte, c’est tiguidou? Pas fort M. Xavier…
Et j’espère bien qu’elle est contre la brutalité policière… vous en connaissez beaucoup des gens qui sont « pour » la brutalité?
À+
M. Cyr,
C’est vous qui détournez mes mots là. Le mot « traitre » est en guillemet pour un raison. C’est le ressentiment exprimé par plusieurs envers certains camarades qui n’embarquent pas dans leur vision de la protestation. La polarisation a atteint un seuil où les manifestant s’isolent de leurs anciens camarades en rejetant tous sens critique.
B) On a pas dû lire les mêmes textes de Lysiane Gagnon. Je n’ai jamais lu un seul texte d’elle avouant l’existence même de la brutalité policière. Mais ce n,est qu’une détail n,est-ce pas ? Il n’ pas de différence en « être contre » et « condamner » n’est-ce pas ?
C) Je n’ai pas dit que vous ressemblez à Pratte, je ne tombe pas dans l’insulte. Mais bien que vous rhétorique, comme la sienne, est ici si prévisible qu’elle en devient aussi ennuyante. Contrairement à vous qui utiliser à substitution « Mme Gagnon Lortie » à plusieurs reprises. Il a un manque de nuance que je crois avoir eu pour le cas Pratte. J’estime que vous avez une excellente plume normalement mais pas dans ce message.
Mais restons en cela pour ces détails, voulez-vous ? Le fond était de se demander si il y a place dans ce mouvement de protestation pour de la critique. Peut-on se questionner sur les agissements des manifestants, garder un jugement clair et non-idéologique ? Si oui, comment alors expliquer la polarisation grandissante du mouvement ? L’idéologie a-t-elle pris le dessus sur le jugement ? A-t’il une place pour la nuance dans l’opposition, sans tomber non plus dans un « Aimons-nous tous les uns, les autres » ?
En tout respect, M. Cyr
Vous dites dans votre premier message que Madame Lortie condamne clairement la brutalité policière, pour ensuite utiliser comme argument dans votre deuxième message que vous n’avez jamais lu un article de madame Lortie qui parle de la brutalité policière. Relisez-vous, je n’invente rien.
Depuis 2007, je travaille bénévolement (ironique ?) auprès d’organismes de solidarité internationale et suis déjà allé à quelques reprises « voir » cette misère dans le monde (je ne m’attarderai pas sur le mot voir, parce que la solidarité internationale n’a rien à voir avec le voyeurisme).
J’aime donc beaucoup la réflexion que vous amenez à l’argument « d’aller constater chez le voisin la misère, afin de se consoler (et d’arrêter de « chialer » ?) ».
Je me rend effectivement compte que de côtoyer des gens qui vivent dans des situations difficiles (voire extrêmes) nous amènent à être encore plus engagés et critique de la société (celle d’ailleurs et d’ici). Cela fait effectivement beaucoup de sens pour moi et pour mon engagement lors du printemps érable.
Bien sûr qu’il y a place à la critique, mais où lisez vous une critique dans les textes de Lortie? Elle n’accorde aucune rationalité à ceux qui sont dans la rue. « S’ils ne sont pas contents, c’est qu’ils ont besoin d’un psy ». Et elle dit cela alors qu’elle a sous les yeux une vaste opération de répression. C’est pour cela que je la dénonce plutôt que d’entrer en débat avec elle, ce que je ferais volontier par ailleurs si c’était possible. Comme je le fais d’ailleurs avec vous, en ce moment.
Mais il est vrai que le mouvement « radical » ne laisse pas beaucoup de place au débat, comme tout mouvement d’ailleurs. C’est plutôt cela qui semble vous déranger…
mme lortie nous offre sa lecture de ce que pensent et ce que sont les intentions des contestataires, ce n’est pas du journalisme, c’est le petit vomi d’une personne quelconque, mal écrit, mal argumenté.
Après la brutalité des matraques et la férocité de l’acharnement politique, on a désormais droit à la violence du paternalisme journalistique dégoulinant. Celui qui, après avoir tenté de nous convaincre que le manifestant est un animal dangereux, cherche maintenant à nous prouver qu’il est aussi un petit être blessé (dans ses sentiments) et perdu dans un grand monde qu’il ne peut comprendre. Au vue de la simplicité de l’analyse et des propos tenus par Mme Lortie, il nous est permis, en revanche, de comprendre pourquoi elle ne comprend pas et de lui suggérer avec tout l’amour des panda du monde d’appliquer elle même ses propres recettes histoire de mieux appréhender l’objet des luttes passées, actuelles et à venir.
C’est triste comment les manifestants et ceux qui les appuient de façon inconditionnelle ne tolèrent aucune critique de la cause. Dès que quelqu’un a l’audace de questionner leurs méthodes ou rhétorique ils font appel à leurs chiens d’attaque, qui n’ont aucune gêne à se servir du sarcasme et d’attaques personnelles pour détruire toute opposition. Preuve que, comme l’extreme droite du genre Fox News, ils veulent plutôt s’imposer leur point de vue en criant le plus fort au lieu de nous convaincre de façon intelligente. Dommage que le débat est devenu tellement polarisé qu’on ne peut plus discuter de façon rationnelle.
il ne s’agît pas ici d’une critique de la part de mme lortie mais du rejet du mouvement, d’un discours paternaliste et mal informé qui suggère un scénario, disons-le, idiot. mme lortie n’hésite pas à réduire la démarche anti-brutalité policière à des chialeux qui méritent des baffes (avec une ‘tite retenue polie pour faire bien).
désolé mais la brutalité policière est non seulement une réalité quotidienne ici au québec, c’est aussi une attaque effrontée contre les droits du public de se faire entendre. sachez que si vous aviez posé les gestes d’une constable 728 envers un policier, vous auriez mangé une sacrée volée. j’ai écrit à la police en leur demandant pourquoi cette « femme » n’avait pas été arrêtée, on m’a dit qu’elle serait traduite devant le comité de déontologie. on sait que si vous aviez posé les mêmes gestes que mme 728, ce ne serait pas un comité de déontologie qui s’occuperait de votre cas, ce sont les frères de la fraternité qui vous donnerait une volée.
je commence à en revenir de ces illuminés qui croient tout ce que les flics disent, comme si ceux-ci étaient sincèrement désolés de nous taper dessus.
Ce que nous dénonçons c’est le paternalisme de ton et le manque d’ambition intellectuel de l’article de Mme Lortie. Le débat est bien entendu toujours le bienvenue et le restera tant et aussi longtemps qu’un vrai travail critique sera entrepris sur la question. Évacuer totalement le fond des revendications actuelles en affirmant que les manifestants sont des adolescents en crise ne laisse pas la place à la discussion mais contribue plutôt à discréditer non seulement les propos de la partie adverse mais aussi leur personne. Il aurait été beaucoup plus intéressant de la part de l’auteure d’aller au fond de sa pensée, de mener effectivement une enquête sur le sujet, d’interroger les différents mouvements et de faire appel à diverse théories sociologiques, anthropologique, historiques….. pour appuyer sa démarche. Rien de tout cela ici, seulement l’aveu d’une incompréhension totale des enjeux qui n’empêche nullement la chroniqueuse de répandre son ignorance.
Madame Lortie l’ignore sans doute, mais il n’est pas inutile de rappeler que, dans la Grèce Antique, les condamnés à mort avaient le choix entre le pilori et l’exil et que la grande majorité des condamnés choisissait le pilori, moins cruel que l’exil et qui finissait de toute façon de la même manière pour les condamnés. En préconisant l’exil pour les manifestants, madame Lortie propose donc à notre société de les condamner à mort, du moins symboliquement. Et pourquoi? On cherche longtemps puisqu’elle commence par écrire :« Dans les commerces, pendant ce temps, on ne s’énerve pas beaucoup. Ici et là, on baisse une grille, ou alors on verrouille la porte. Mais personne n’est terrorisé. » Ce qui la terrorise, c’est que soit attaquée l’idée qu’elle se fait du centre-ville, comme si Montréal était sur le bord de devenir la nouvelle Detroit, et que cette seule idée justifiait les pires dérives fascisantes. Or, puisque tout son texte s’applique à chosifier les manifestants, elle ne voit pas quel mal il y aurait à condamner à l’exil ces manifestants. Pitoyable.
Coudonc mon Marc-André, rien de mieux à faire de tes dix doigts qu’harceler la police sur Twitter? T’es pas supposé être en recherche d’emploi?
Oui, mononcle. Quant à y être, dis-lui aussi de se faire couper les cheveux, de se raser la barbe et de porter un bel habit en fortrel de chez Moore avec une chemise du Château.
Toujours dans le registre de la perte de temps, les ailes de poulets sont en spécial à 0,49 $ à la Cage aux sports. On se donne rendez-vous là-bas jeudi pour le match de Canadien? Viens avec ton SUV, ça dégage l’hormone.
T’as raison, sa petite barbe d’intello-fif du Plateau gosse un peu. Autre chose mon petit philotoffe?
Pis avant que tu te défrises le front en lisant le mot « fif », sache que ça n’a rien à voir avec une orientation sexuelle quelconque, pas plus que je penserais à un vagin en te traitant de con.
@ Hubert. Bon, mononcle a trop pris d’hormones Popeye avant de faire du bench et avant d’écouter Jersey Shore. Avez-vous autre chose à faire que verser vos commentaires édifiants sur le Web? Par exemple, des réparations sur la souffleuse ou déneiger l’abri Tempo?
« Pis avant que tu te défrises le front en lisant le mot « fif », sache que ça n’a rien à voir avec une orientation sexuelle quelconque, pas plus que je penserais à un vagin en te traitant de con. »
Donc cher Hubert, si je comprend bien, tu utilises ces termes parce ton vocabulaire est trop restreint pour formuler une argumentation qui a du poids.
Ah oui et passant j’habitais le plateau, j’ai une petite barbe et je suis fif. Quelque chose à dire ?
mme lortie est au journalisme ce que constable 728 est au corps policier; une frue qui se défoule en utilisant son accès à des moyens privilégiés.
Un peu comme Marc-André et les diarrhées qu’il publie sur le site du Voir?
@ Hubert.
Bon, mononcle qui parle d’incontinence maintenant. Ça doit être un sujet qui l’interpelle.
Plus sérieusement, si un blogue heurte mononcle, pourrait-il penser à ne pas le lire, tout simplement? Je ne lis pas Martinono et ma santé mentale s’en porte que mieux.
Profites-en donc pour passer le mot à Marc-André, il semble faire une fixation malsaine sur Martineau et compagnie… 🙂
Bonne fin de soirée ti-cul!
@ Hubert. Oui, mononcle. Pis, en passant, Canadien a-t-u gagné?
Que voulez-vous on ne peut pas maîtriser à la fois des sujets profonds comme le café 3e vague, l’amertume de la roquette en saison et la sociologie des foules lors des manifestations.