« Les nationalistes pardonneront les pires turpitudes au PQ. Ils sont prêts à oublier qu’il existe une différence énorme entre le nationalisme et une véritable libération nationale. Raison pour laquelle j’ai toujours été contre ces « nationaleux » qui voulaient sauver la langue et laisser crever ceux qui la parlent »
‒ Michel Chartrand, 1977.
C’était la pleine lune. En robe de nuit blanche, la grande Souveraine Nationale, d’un geste honorant son rang et la noblesse de son sang, déversa son pot de chambre du haut de son balcon.
‒ Ah tabar…k!, s’écria le comte Dubuc de la Péquisterie Progressiste qui se trouvait dans la trajectoire.
‒ Plaît-il? dit la Souveraine d’un ton autoritaire en regardant dédaigneusement en bas.
‒ Oh ! ma Souveraine associée, je crois bien que de vos restes vous m’avez aspergé!
‒ Mais vous êtes encore là? Que vous faudra-t-il donc pour qu’enfin vous compreniez que de vous, mon pauvre ami, je ne veux pas? Après tant de larmes coulées, tant de trahisons déballées, c’est quand même stupéfiant, vous n’êtes toujours pas fatigué?
‒ Oh chère, admirable, éternelle Souveraine, dit le comte Dubuc à genoux dans la boue, je crois, en toute humilité, que vous avez besoin de mon amitié.
‒ Parmi nous vous êtes depuis longtemps infiltré! Au fil du temps, n’avez-vous pas senti vos idées s’évaporer? Pourquoi toujours vivre dans le passé?
‒ Chère Souveraine, s’il est téméraire de protéger notre idylle, alors condamnez-moi ‒ oui! je le mérite cent fois! ‒ au plus pénible des exils. La souveraineté est bonne en soi, vous le savez comme moi. Elle mérite tous les sacrifices, y compris celui de la justice. On ne peut s’en passer, il nous faut donc bien l’enrober. Et s’il faut, pour la faire avancer, en morceaux la découper, alors chère primo, permettez que je sois votre couteau.
La Souveraine Péquisterie sembla désespérée. Ces rimes étaient si pitoyables. Elle avait de la peine à le croire. Elle ne s’efforça même pas pour refouler ses bâillements.
‒ Écoutez-moi bien, comte obstiné, pour une dernière fois je vais vous l’expliquer. Dans le chômage, nous avons coupé. Dans l’éducation, nous avons coupé. Les impôts des entreprises, nous avons diminués. Des lois spéciales, nous avons votées. Dans la santé, nous avons coupé. Le déficit zéro, nous avons atteint. Avec les bourgeois, nous sommes plus que jamais les copains. Vous ne comprenez toujours pas? Personne ne suit pourtant vos pas. Faudra-t-il donc que moi-même, personnellement, je vous écrase tel un valet sans nom pour qu’enfin vous cessiez de faire ainsi le gaucher fanfaron ?
‒ Je sais tout cela par cœur, chère âme sœur, mais il n’y a qu’une dame de votre parti qui puisse nous donner le pays promis.
‒ Le pays… Bon, laissez-moi réfléchir à notre avenir, dit la Souveraine blasée, je ne suis peut-être effectivement pas près avec vous d’en finir.
Le comte sentit son cœur prêt à exploser sous sa carte de membre. Il battait si fort qu’il croyait qu’il allait lui transpercer la poitrine. Elle va réfléchir! Elle va réfléchir! Elle va réfléchir… à nous! Qui, donc, désormais, passera pour un mou? Ses mains tremblaient. Il était dans un état littéralement second, pratiquement magique.
‒ Oh! Ma Souveraine, mon amour, mon idylle, ma destinée!
‒ Allez, je vais me coucher. Ne faites pas de bruit, je vous prie, et allez-vous laver, non de Dieu, car jusqu’ici vous empestez.
‒ Oui, ma reine, mon amour, ma promise…
Elle ferma la porte avant qu’il n’ait pu finir; éteignit sa lumière; lovée contre son roitelet programme de parti, en cuillère elle dormit.
Le comte, fou de joie, s’en retourna au village en criant : « Elle veut de nous! Je vous l’avais dit! Elle veut toujours de nous! Elle veut toujours de nous! ». Les habitants, habitués à ces saynètes pathétiques, leurs portaient de moins en moins d’attention. L’un d’eux, toutefois, sans vraiment y croire et avec un de ces sourires réconfortants qui semblent dire « Calme-toi pauvre enfant », finit par lui demander ce que la Souveraine avait dit de si extraordinaire qui le mit dans un tel état.
‒ Elle a dit qu’elle penserait à notre alliance! Elle a dit qu’elle penserait à notre alliance! Tout n’est pas perdu, avec un peu de chance!
L’habitant, sans sourire, sans même dire un mot, lui tourna le dos.
Dès l’aube, trop excité et toujours un peu con, le comte s’en retourna sous le balcon. La Souveraine était cependant en voyage au coeur de l’Empire afin d’y vendre quelques ressources locales à prix modique. Pendant plusieurs jours, le comte attendit. Il faisait froid, les oiseaux chiaient dessus, les rats le mordaient, tout cela le rendit malade; et il mourrait de faim. Après une longue semaine, la Souveraine réapparut enfin au balcon. Sans regarder et sans attendre, elle vida son pot de chambre.
‒ Ah tabar…k!
‒ Plaît-il?
‒ Votre Majesté!
‒ Vous êtes encore là, mais ce n’est pas possible! Ainsi vous n’avez pas entendu? J’ai fait interdire votre présence et celle de votre famille au sein de la cour? Pourquoi êtes-vous si têtu?
‒ Oui, je sais, ma famille est désormais bannie, mais nous avons décidé de continuer notre mission sous un nouveau nom, malgré votre proposition, comme une manière de vous demander pardon. J’ai d’ailleurs ici quelque chose d’utile que vous devez accepter comme un don.
La Souveraine haussa les sourcils, et soupira:
‒ Dites-moi donc quel est ce don, cher gauchisant morpion?
‒ Je vous ai trouvé des candidats parfaits pour entretenir nos illusions! Je vous le dis, ils seront admirables en toutes conditions. Je vous les présente. D’abord, Léo de la Fédération. Articulé, naïf et finement dressé dans notre club-école, celui qui depuis des années nous offre toutes sortes de têtes de formol.
Léo, en laisse, sourit et envoie la main. Il avait l’air un peu idiot, mais c’étaitle moment fort de son numéro.
‒ Ensuite, voici Martine. Elle aussi de la Fédération. Voyez maintenant et ici comme elle a tout compris. Il baissa les yeux. Tira un peu la laisse et la regarda intensément en lui chatouillant le menton. Martine, tu veux nous montrer ce que le comte de la Péquisterie Progressiste t’a appris? Es-tu prête pour les élections? Dis-moi ce qu’il faut faire avec les étudiantes contributions?
Martine, souriante telle une tranche de jambon, répondit: « Je ne suis ni pour ni contre une petite indexation».
‒ Voyez, oh, très chère Souveraine, comme ils sont mignons.
‒ Cela est vrai. Ils sont très mignons. Mais vous savez, petit comte, je n’écouterai pas vos conseils pour autant. Nous avons une Charte en route et au diable les mécontents! Notre projet penche du côté des riches. Lorsqu’on parle des pauvres, c’est simplement qu’on les aguiche.
‒ Je sais, oh Souveraine, mais je ne demande pas à être traité en patron, que le bonheur de vous appuyer dans vos divines résolutions.
‒ Nous allons continuer de couper dans les programmes sociaux, dit-elle.
‒ Si c’est pour servir nos idéaux, répondit le comte en se fouettant le dos.
‒ Nous allons maintenir la taxe santé.
‒ C’est une mesure équitable qu’il faut encourager!
‒ Nous allons augmenter les tarifs d’Hydro.
‒ Hydro, c’est notre joyau!
‒ Nous allons trahir tous vos amis.
‒ Si c’est pour sauver la social-démocratie!
‒ Et notre assemblée gardera son crucifix.
‒ Normal, il définit notre patrie!
‒ Bon, je vois que vous faites des progrès, mais vous savez, petit comte, dans ma cour se trouve désormais l’un de vos ennemis jurés, je parle bien sûr du marquis de PKP.
Le comte Dubuc devint pâle, transparent. Il pris un peu de la merde qui se trouvait sur son visage, en mangea un peu et, toujours avec plus de difficulté, il dit:
‒ Le marquis de PKP? Une belle… prise pour le parti, madame la Souveraine. Comptez sur moi pour m’en faire un… ami. C’est avec tout le monde qu’il faut faire la souveraineté, surtout s’ils possèdent des postes de télé.
‒ Il est vrai que vous êtes dévoué. On a toujours besoin de larbins afin que les esprits trop contestataires soient bien encadrés. Je vais donc vous garder.
Le comte Dubuc devint soudainement fou de joie, il trépignait, sa voix reprit du coffre et du rythme, comme s’il revenait à la vie:
‒ Mais, donc, ma chère ! est-ce de moi dont vous parlez? Mon amour, enfin, vous le recevez?
‒ Du calme, cher ami, du calme. Surtout, il faut cette fois ne pas oublier la stratégie populaire : l’association de la souveraineté n’est ni à gauche ni à droite mais… quelque part dans mon derrière. Il vaut donc mieux ne pas en parler, sinon lors du solstice d’été.
‒ Je suis tout de joie, ma Souveraine! Je me meurs d’avoir tant d’illusions et de tours de magie à partager.
‒ Calmez-vous, monsieur, car je compte sur vous pour rallier les âmes solidaires et les cyniques égarées, et non pour me faire sermonner.
‒ Bien entendu, dit le comte de la Péquisterie Progressiste en se pourléchant les lèvres. Oh mère Souveraine, fille de Lévesque et de Parizeau! Je resterai ici-bas, et en silence, j’attendrai patiemment, je vous le jure, que le divin contenu de votre pot de chambre, auquel je suis maintenant attaché, vienne encore une fois me réchauffer.
*
Françoise hier à TLMP. Elle était expansive, moqueuse parfois ironique jusqu’à dans les mimiques. Le nous qui refait surface, la force du nous avec le discours du partage généralisé, la solidarité sans réplique, les droits de la personne dans tous les coins, et le souci hygiéniste à chaque étage avec des grands sentiments qu’elle souligne sans appel d’un consensus du vertueux. Un peu de concret…Il faut des promesses des espoirs….Nous allons offrir le transport en commun partout au Québec. Le gars à Arvida à – 6 :30 du matin à moins 25 c. C’est super l’attente, ne lâche pas le poteau indicateur l’autobus électrique arrive en retard mon prolo ! Pas grave. Il te reste une bonne heure de run de lait pour donner ta force créative de travail à l’usine. Le travail sera créatif plus aliénation dans le solidaire Québec. On lui dit : Merci pour ton esprit écologique malgré qu’on achète encore 14 milliards de bidous de pétrole dans des pays qui sont soucieux de démocratie et d’environnement.
Solidaire Québec ! Dans ta tête et ton cœur. Mon gars tient bien la pancarte le vent de la victoire arrive.
La tirade de bonne foi sur les femmes voilées qui se font « cracher dessus », les bons sentiments sont toujours applaudis. Mais Françoise, les filles et les femmes qui ne veulent pas se voiler qui se « font cracher dessus » par leur communauté. Tu dis quoi au juste….
Cher monsieur Cyr,
Je dois avouer que je suis de plus en plus déçu de certains de vos billets. J’aimais particulièrement votre style d’écriture, votre intérêt à dénoncer certaines politiques de notre système ou encore votre capacité à rectifier certains faits. Je fais particulièrement allusion à vos textes: « Interdiction de citer : ceci n’est pas du colonialisme. », « Quel jour du souvenir de quoi ? » et « Un fantôme, un procès, un juge et un scab ». Toutefois, j’ai beaucoup plus de difficultés à apprécier vos histoires fictives comme ce dernier billet. Personnellement, je crois que vos textes et vos analyses étaient beaucoup plus pertinentes lorsqu’elles évitaient de devenir des chroniques d’opinion.
Il s’agit bien humblement d’une autre « opinion » reposant uniquement sur mes préférences personnelles. N’y voyez donc pas une attaque personnelle, mais plutôt un commentaire.
Cordialement,
Maxime Picard
La restauration tranquille
L’histoire officielle contemporaine du Québec traite très peu du ressac social aux suites des importantes perturbations des années 1960 parce que nous y sommes encore et que l’Histoire prend du temps à prendre du recul.
Ce qu’on nomme ici la révolution tranquille des années 60, qui coincide avec la mort de Maurice Duplessis, petit despote qui maintenait la province du Québec dans l’obscurantisme religieux et la soumission à l’économie coloniale et qui a fait, un peu comme Staline, suivre le développement techno-industrielle de l’Occident à la paysannerie coloniale française, ce petit despote de la province du sirop d’érable dis-je a provoqué ce qui allait se déclencher à sa mort.
Le mode de production-consommation capitaliste occidental et les transformations étatiques que nécessitait le maintien d’une supertructure techno-industrielle fondée sur le progrès des sciences et des arts, devait nécessairement remplacé l’ancien régime et une certaine révolution était nécessaire. C’est un constat que n’importe quel journaliste de l’époque pouvait conclure après avoir parcouru un peu le monde.
Or, ce qui devait être changé ne pouvait touché les bases du colonialisme français, il y avait une certaine dose de changement acceptable et elle touchait essentiellement aux superstructures politique et culturelle. Celles-ci devait parvenir à un degré de maturité nécessaire pour se constituer en un État. René Lévesque ne fut pas l’homme fort et l’on cherchera en vain celui qui pourra fondé le nouveau pays, cet homme puissant et craint, on le trouvera en PKP.
Nul besoin pour le nouveau despote de s’appuyer sur le pouvoir culturel de l’Église lorsque l’on possède en substance le monde médiatique de la province, que l’on gère des sociétés d’État, on peut bien se divertir en se construisant un État.
Et ils furent nombreux et nombreuses à vénéré la peur que suscitait le nouveau Léviathan. Ses opposants ne furent que des jaloux. Alors à quoi bon réduire les contributions permises aux partis politiques lorsqu’on vous accueille à bras ouvert pour vous offrir bien bas des comtés faciles, des postes de ministre et, pourquoi pas, la fondation d’un pays parce que vos coffres sont bien garnis. Cela nous enrichira collectivement soyez en sûr-e-s.
Et que dire des femmes? Face à un homme dont l’empire médiatique crache jour après jour du matériel pornographique et dégradant sur ses plateformes sans compter tout l’abrutissement de tout le reste? Que les féministes restent frustrées contre les autres femmes étrangères, cela ira canaliser leurs ardeurs pour consolider l’identité nationale. Le patriarcat made in Québec restera et sera même restauré.
On ne voit pas toujours ce qui nous pend au nez. C’est ainsi pour l’Histoire à l’image des consciences individuelles et nationales.
C’est incroyable à quel point la gauche QS refuse de même envisager une victoire! L’arrivée officielle de PKP au sein de la famille souverainiste pourrait enfin sceller l’alliance entre le Quebec Inc et le reste de la société civile pour l’indépendance.
Mais non, faudrait exclure du mouvement tout ceux qui ne sont pas de gauche! Un milliardaire joint la cause et il faudrait lui cracher dessus au lieu de se réjouir de constater que l’indépendance gagne mantenant des points chez chaque groupe de la société, même les plus réfractaires.
Et dire que ce sont les mêmes qui nous font la leçon avec leur « inclusion »…
Tant qu’a construire un Canada bis, avec pour seul différence une élite arrogante et ultra-concentrée qui s’exprime non pas en Anglais mais en Francais, il vaut mieux rester chez soi et lutter pour les inégalités quotidiennes qui ravagent le Québec d’aujourd’hui et de demain. Si vous construisez un pays avec un PKP comme ministre et oligarche médiatique il faut faire preuve d’une naiveté exceptionnelle pour croire que la gauche, les travailleurs et opprimés du Québec puissent se faire entendre et respecter pour les prises de décisions politiques. Ils n’ont présentement aucune voix, alors je n’ose imaginer un Québec inc controlés par PKP et ces copains.
On parle ici du fondateur de Sun TV, le Fox News du nord, proche de Harper (PKP a engagé l’ancien directeur de presse de Harper comme PDG de Sun TV) et le média le plus « Quebec basher » du Canada: http://fr.tinypic.com/view.php?pic=30uwrk0&s=8#.UxyyX6z6MUw
On parle aussi de celui qui a littéralement créé le « phénomène CAQ » en faisant la promotion gratuite et agressive de Legault, en le présentant comme un « Sauveur » dès la première conférence de presse où lui et Sirois annonçaient qu’ils allaient, dans quelques mois, lancer ds idées politiques, avec la possibilité, un jour, peut-être, éventuellement, on verra, fonder une association politique qui pourrait peut-être, un jour, éventuellement, on verra, devenir un parti politique.
De celui qui a , avec sa conjointe du moment, généreusement donné au PLQ et même à l’ADQ quand ceux-ci étaient près du pouvoir (avant de changer son fusil d’épaule en 2009 quand Charest a commencé à couler):
PKP :
2005 : 1 000$ aux PLQ
2007 : 3 000 $ à l’ADQ et 1 000 $ au PLQ
2008 : 3 000$ au PLQ
2010 : 3 000$ au PQ
Julie Snyder :
2005 : 1 000$ au PLQ et 1000$ à l’ADQ
2009 : 1 000$ au PLQ, 1 000$ à l’ADQ et 1000$ au PQ
(données officielles du DGEQ)
Il faut vraiment beaucoup de bonne volonté (naïveté) pour y voir le parcours d’un souverainiste convaincu qui se lance en politique uniquement pour le bien commun et le peuple.
(Surtout quand on connaît ses positions, officielles avant qu’il se lance dimanche, sur les salaires et conditions de travail des travailleurs, la privatisation « nécessaire » des services publics, etc.).
@Gateau au chocolat
Cher ami, un pays ça peut être et exister pendant un millénaire. Rien à foutre de Péladeau.
Commençons par être indépendant, on aura ben le temps de choisir si on veut être à gauche ou à droite après.
Bref, faut être propriétaire avant de s’obstiner sur la couleur du motif de notre futur piscine hors-terre.
Anyway, si vous pensez vraiment que la seule différence entre le Canada et le Québec est la langue, et bien inutile de continuer cette discussion.
The devil you know is always better than the devil you don’t know?
Je ne pense pas.
Cher @Gateau_au_chocolat
Vous nous ressortez encore les vieillles rengaines des marxistes-léninistes des années 1970 qui vomissaient la lutte nationale au profit de l’union des prolétaires canadiens.
Vous ne ferez aucun projet de société, encore moins si c’est à gauche, avec la moitié des nos outils et la molitié de nos impôts. Et sans union gauche-droite-centre, il n’y aura jamais d’indépendance.
Si Amir Kadhir passait au PLQ, vous croyez que les libéraux bouderaient et quitteraient leur parti? Non, ils en feraient leur trophée et dirait que même lui a enfin compris!
Mais certains préfèrent se manger entre souverainistes…
M. Lemieux,
On parle bien du fondateur de «Sun News», le Fox News du nord.
On parle bien de celui qui a, médiatiquement parlant, lancé la CAQ pour redonner vie à l’ADQ.
On parle bien de celui qui n’en a rien à cirer du bien commun, un Harper en puissance et sans scrupules.
« Bref, faut être propriétaire avant de s’obstiner sur la couleur du motif de notre futur piscine hors-terre. »
Sauf que si on cède notre souveraineté à la haute fiance, non seulement on n’aura rien à dire sur la couleur de notre piscine hors-terre, mais nous n’auront pas le droit de s’y baigner, parce qu’elle ne sous appartiendra pas. Juste de la nettoyer.
Déjà le PQ a renouvelé le « free mining » (« pour au moins 25 ans » d’après les ténors du gouvernement Marois) qui confirme que les minières sont plus souveraines que nous sur notre propre territoire, mais il accepte que le Québec devienne l’autoroute du pétrole albertain, en défendant les pipelines, nouveau symbole de l’unité canadienne.
Et c’est en supposant que le PQ se décide un jour à tenir un référendum dans 2 ou 3 mandats. S’ils sont réélus d’affilés aussi souvent et si les « conditions gagnantes » sont réunies (les Québécois deviennent soudainement massivement près à voter OUI sans que le PQ ait besoin de rien faire).
http://ici.radio-canada.ca/nouvelles/Politique/2014/03/01/004-jean-francois-lisee-referendum.shtml
Parce qu’il ne faut pas oublier qu’en 1995, le OUI avait recueilli 49,46% d’appuis. Un petit effort et on l’avait.
Qu’a fait le PQ avec ce résultat en 19 ans (dont 10 au pouvoir) ?
Faites-moi la liste.
Exxxxxxxxxxxxxxxxxxxxcellent! Lafontaine réincarné! Plus ça change plus c’est pareil! Nonobstant le terminologie politique génératrice d’étiquettes pour mieux gérer les idées et/ou les opinions du monde qui peut encore croire qu’une souveraineté populaire puisse passer par une souveraineté économique? C’est le travail qui élève un peuple pas l’argent ni ceux qui le possèdent. Un riche, à moins de se départir de sa fortune n’est toujours rien qu’un riche. Vous avez énormément donné monsieur Cyr, tant qu’à moi vous avez mérité de vous amuser un peu. Je partage votre cynisme et m’en amuse énormément.
Il est bon de se rappeler ce que ce même Dubuc disait l’an dernier au sujet d’un rapprochement PQ-PKP. Il semble qu’à l’époque son sens critique était beaucoup plus développé:
http://www.lautjournal.info/default.aspx?page=3&NewsId=4583
Sinon, pour tous ceux qui se sont découverts défenseurs de PKP et de sa candidature pour le PQ, ce que cela me fait comprendre est tout simple: le problème avec Harper, c’est pas ses politiques. C’est pas son idéologie. C’est qu’il est Canadien. Son équivalent Québécois, défendant les mêmes positions idéologiques, est tout d’un coup parfaitement acceptable.
@Je pense que le texte c’est de l’ordre de la flatulence verbale.
Remarque de meme on ne peut que se questionner par contre sur l’equilibre des points de vue dans nos medias.
disons que les textes se suivent et se ressemble ….
—-
(1)
Je vais etre clair.
Je veux un vehicule qui peut remporter le pouvoir. Le pouvoir c’est pas sale c’est ce qui permet de realiser concretement quelque chose.
La souverainete se fera pas avec un gouvernement majoritaire ou minoritaire du PLQ, ni par un gouvernement minoritaire du PQ …. quand bien meme les conditions gagnantes seraient reunis.
Je veux un gouvernement majoritaire du PQ.
—–
(2)
J’ai jamais eu l’opportunite de m’exprimer sur la souverainete que ce soit en 1980 et 1995.
C’est pas vrai qu’on a voter pour moi.
——
(3)
Aux souverainistes. Les autres autres ultimement voteront bien pour couillard et son semblant de signer la constitution en 2017 ou le parti nul si ca les amuse ou ce qui restera de la CAQ ….
Serieusement avec un PQ si proche de l’objectif c’est tout de meme de la demesure de meme pas se questionner si ON et QS sont les bon vehicules pour la souverainete.
Et de ne pas considerer que des personnalites plus a droite qui prennent position en faveur de la souverainete comme un atout.
(a)
Serieusement quelqu’un qui pense ici que Francoise David, ca la derange tant que ca d’attendre encore. On dirait que ca la touche meme pas d’avoir meme un gouvernement liberal pour 4 ans encore.
(b)
Pour ON que dire de monde qui se felicite en ce moment sur twitter d’avoir mis dans la campagne l’enjeux de la souverainete … serieusement on dirait de la delusion ….
(c)
venez donc le faire ce pays.
Ian: votre commentaire ne contient aucun argument. Meilleure chance la prochaine fois.
Vous êtes désespéré. Vous prenez le premier milliardaire venu appuyer votre cause pour obtenir un pouvoir imaginaire que d’autres exerceront à votre place et votre désespoir va perdurer. Les souverainistes pressés prêts à se vautrer dans la populisme, le racisme, la xénophobie, l’austérité et le biocide pour obtenir un drapeau qui flotte au vent et de nouvelles cartes d’identités à mettre dans leur porte-feuille en s’illusionnant avoir conquis un territoire sur des terres volées seraient mieux de se réveiller avant de rentrer dans le mur.
On a pas à lécher les bottes du système qui nous marche dessus pour devenir indépendants. Le PQ nous demande d’accepter le saccage du bien commun et la réingéniérie de l’Etat qui étaient le fantasme des Libéraux de Charest au nom d’une indépendance qu’il ne fait pas. L’instrumentalisation qu’ils font de la promesse de la souveraineté leur est beaucoup trop pratique. Pensez-vous vraiment qu’ils seraient prêts à perdre cet outil de contrôle en faisant des vraies démarches pour l’entreprendre, cette souveraineté? Alors pendant qu’ils massacrent l’environnement et poursuivent la tarification des services publics entreprise par les Libéraux, vous devrez vous contenter d’un livre blanc, Ian.
(1)
« Ian: votre commentaire ne contient aucun argument. Meilleure chance la prochaine fois. »
Je persiste a dire que le texte c’est de l’ordre de la flatulence verbale.
Mais voila probablement un exemple d’argumentation selon le blogueur venant de @Evo …
(2)
Voici ce qu’ @Evo me dit …
» Les souverainistes pressés prêts à se vautrer dans la populisme, le racisme, la xénophobie, l’austérité et le biocide »
Comme si c’etait que de l’argumentation … que cela … trait el’autre de ceci et de cela …
@Evo …
Je suis scolarise au dela du phd … je travaille dans le domaine des sciences.
J’ai voyage ici et la … vecu a l’etranger, je connais plusieurs langues.
Et vos insinuations je n’en ai que faire.
Je veux qu’on vote la loi 14 et ca n’a rien a voir avec le racisme … surtout en regard d’une minorite Anglophone tres bien traite …
Je veux un visage francais et que la langue de travail au Quebec soit le francais. Il y avait des mesures pour des examens en francais pour ceux au cegep en anglais et la mise de cote de privilege pour les militaires.
Je veux qu’on vote la loi 60 et qu’on etende le devoir de reserve aux opinions religieuses, je veux qu’on donne priorite a l’egalite homme-femme et qu’on inscrive la laicite dans la charte des droits. Les symboles de discriminations, les discours de pudeur n’ont pas leur place dans la function publique.
Toi @Evo qui prend le monde de haut ( je pense que tu surrestimes tes capacites ) dis moi donc as tu seulement ecoute les commissions parlementaires sur le projet de loi 14 et 60 ?
—
(3)
@JCL
Un federaliste qui me fait peur en disant
« vous devrez vous contenter d’un livre blanc » …
Je pense que ca vaut rien …
Et serieusement les federalistes sont en mode panique a cause d’un livre blanc ….
Meme Andre Pratte ecrivait dernierement la strategie pour arrive au referendum … alors de me dire qu’on s,en va seulement vers le livre blanc …
—-
(4)
Anyway …
Moi je veux un gouvernement du PQ majoritaire la seule maniere d’avoir un agenda qui mene vers la souverainete. Tout le reste c’est des flatulences verbales.
Je souhaite en particulier que Louise Mailloux une femme avec un propos que je partage sur la laicite, remporte dans Gouin devant une Francoise David.
Note:
Quelqu’un a remarque que les seules publicites negatives viennent de QS ….
la politique autrement c’est surement cela …
Êtes-vous sérieux que vous préférez rester dans le Canada qui élit Harpeur majoritaire plutôt que de faire l’indépendance et récupérer les leviers de notre avenir? Pensez-vous qu’on arrivera à quoi que ce soit dans cette direction sans la communauté d’affaire du Québec? Juste avec la gauche québécoise? Croyez-moi, je suis totalement excédé par la mainmise du CASH sur nos vies et je rêve du moment où tout cela s’effondrera, mais pour l’instant, je rêve encore plus du jour où le Québec sera libre de ses choix. Il sera toujours temps de choisir quelle société nous voulons et je serai le premier au front contre la finance!!!! PKP n’abolira pas les élections, tout de même??? Et juste un petit rappel, PKP a quand même racheté Vidéotron plutôt que de laisser aller à Rogers. Il continue d’imprimer Le Devoir gratuitement, sans quoi le journal de Bourassa ne serait plus. Et dernièrement, il finance GRATUITEMENT le projet Éléphant de restauration du cinéma québécois. Comprenez-moi bien. Je suis contre Sun News, contre les lock-outs au JdeM et toute magouille corporatiste. Mais je suis pour l’INDÉPENDANCE au plus sacrant. Merci!
Harper? On dirait bien que le PQ de Marois s’en inspire de plus d’une façon. Votre problème est-il vraiment les valeurs que défend Harper, ou le fait qu’il ne soit pas souverainiste? Parce-qu’après tout, vous semblez être prêt à accueillir qui a mis son empire médiatique au service des valeurs Harperiennes pour sa seule profession de foi souverainiste.
je ne comprendrai jamais cette obsession de l’indépendance… si le Québec devient un jour indépendant, il ne sera jamais rien de mieux qu’un petit Canada… même gouvernance de marde, mais à échelle réduite…
Tout n’est pas si noir ni si blanc !Maurice Duplessis n’était pas un despote et Pauline Marois n’est pas une reine.Par contre ,Pierre Karl Péladeau est bien le roi des médias du Québec .Mais on sent déja la division entre Pauline marois et Pierre Karl.
Avec le ralentissement économique qui frappe à nos portes ,le Parti Québécois n’a aucune chance de former un gouvernement majoritaire.En plus ,les animateurs,analystes et chroniqueurs de la région de Québec sont de plus en plus anti-Péquistes.Peut-être sont -ils moins influencés par Québécor.
Marois n’est pas une reine, mais Duplessis était un véritable despote élu par des élections truqués (comme aujourd’hui) qui n’hésitait pas à envoyer la police pour briser les grèves et à faire appliquer la censure de l’église catholique ultramontaine.
Je ne pense pas que les élections du temps de Maurice Duplessis étaient truquées .Et je pense encore moins que les élections au Québec à notre époque sont truquées.
Ce que je pense par contre ,c’est que certains médias du Québec sont truqués et ça me fait peur.Je comprend maintenant pourquoi ,juste avant le déclenchement des élections,la plupart des journalistes étaient contre Phillipe Couillard.Maintenant que le nom de Pierre Karl est sortit ,je vois clair dans le jeu des Péquistes.Mais toutes cette mascarade s’est retournée contre les Péquistes,ce qui me fait bien rire.
Pour ce qui est de Québec Solidaire ,il ne faut pas sous -estimer la force de ce parti.J’en vois déja rire ou faire les septiques.Mais sachez que tous les votes qui sont allés pour Québec Solidaire et Option Nationale (lors de la dernière élection)ont empêchés le parti Québécois de devenir majoritaire.Et Françoise David est excellente dans les débats télévisés.
(1)
« Ian: votre commentaire ne contient aucun argument. Meilleure chance la prochaine fois. »
Je persiste a dire que le texte c’est de l’ordre de la flatulence verbale.
Mais voila probablement un exemple d’argumentation selon le blogueur venant de @Evo …
(2)
Voici ce qu’ @Evo me dit …
» Les souverainistes pressés prêts à se vautrer dans la populisme, le racisme, la xénophobie, l’austérité et le biocide »
Comme si c’etait que de l’argumentation … que cela … trait el’autre de ceci et de cela …
@Evo …
Je suis scolarise au dela du phd … je travaille dans le domaine des sciences.
J’ai voyage ici et la … vecu a l’etranger, je connais plusieurs langues.
Et vos insinuations je n’en ai que faire.
Je veux qu’on vote la loi 14 et ca n’a rien a voir avec le racisme … surtout en regard d’une minorite Anglophone tres bien traite …
Je veux un visage francais et que la langue de travail au Quebec soit le francais. Il y avait des mesures pour des examens en francais pour ceux au cegep en anglais et la mise de cote de privilege pour les militaires.
Je veux qu’on vote la loi 60 et qu’on etende le devoir de reserve aux opinions religieuses, je veux qu’on donne priorite a l’egalite homme-femme et qu’on inscrive la laicite dans la charte des droits. Les symboles de discriminations, les discours de pudeur n’ont pas leur place dans la function publique.
Toi @Evo qui prend le monde de haut ( je pense que tu surrestimes tes capacites ) dis moi donc as tu seulement ecoute les commissions parlementaires sur le projet de loi 14 et 60 ?
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(3)
@JCL
Un federaliste qui me fait peur en disant
« vous devrez vous contenter d’un livre blanc » …
Je pense que ca vaut rien …
Et serieusement les federalistes sont en mode panique a cause d’un livre blanc ….
Meme Andre Pratte ecrivait dernierement la strategie pour arrive au referendum … alors de me dire qu’on s,en va seulement vers le livre blanc …
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(4)
Anyway …
Moi je veux un gouvernement du PQ majoritaire la seule maniere d’avoir un agenda qui mene vers la souverainete. Tout le reste c’est des flatulences verbales.
Je souhaite en particulier que Louise Mailloux une femme avec un propos que je partage sur la laicite, remporte dans Gouin devant une Francoise David.
Note:
Quelqu’un a remarque que les seules publicites negatives viennent de QS ….
la politique autrement c’est surement cela …
Ian: toujours aucun argument: « je pense que », » je veux », « je souhaite », « je n’en ai que faire », « je partage »… Vous répétez votre catéchisme maison. Ça témoigne de vos craintes, de vos peurs imaginaires, de vos fantasmes aussi, mais en aucun cas vous ne débattez. Comme si vous pensiez que d’émettre vos impressions étaient de l’ordre de l’argumentaire. Allez, encore un p’tit effort…
(1)
@Marc Andre ….
« « je pense que », »je veux », « je souhaite », « je n’en ai que faire », « je partage »… »
(a)
C’est toujours moins con, il me semble que les nombreux internautes ici et la, qui s’expriment au « on » comme Rejean de la petite vie … incapable de parler au « Je ».
(b)
C’est toujours moins con que ceux qui parle au nom des minorite silencieuses pis du vrai monde …. ou meme ceux qui ont un parti qui stagne a 7-8% ou 1% et qui parle comme s’il representait un parti qui rejoint 40%.
(c)
C’est toujours moins con que ceux qui pretendent en cette matiere faire des demonstrations … alors qu’on est pour l’essentiel dans le domaine des visions de monde … visions politiques, des preferences et ultimement de l’opinion.
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(2)
« Vous répétez votre catéchisme maison. Ça témoigne de vos craintes, de vos peurs imaginaires »
(a)
Comme si c’etait pas de l’adhominem a 2$ que l’attaque aux emotions de monsieurs chose …
Je pense que ce qui explique l’acharnement de certains militants de QS c’est que la strategie consistant a priver le PQ d’une majorite pourrait ne pas fonctionner cette fois ci.
Au dela d’avoir la balance du pouvoir, certains militants de QS ont souhaite tres clairement que le PQ aux resultats electoraux plus difficile
implose du au dechirement ou meme qu’il en vienne a donner par lui meme 12 compte a QS sur l’ile de Montreal.
(b)
Ma volonte d’une loi 14 temoigne du fait que je veux un visage francais et que francais langue officielle du Quebec s’operationalise dans le reel.
Je veux que le francais soit la langue avec laquelle les entreprises transigent avec l’etat et la langue de travail.
Je vois pas la necessite par exemple d’une exception pour les militaires en regard des faits evoque en commission parlementaire, je pense qu’a defaut d’etendre la loi 101 au cegep ( ma preference ) il faut que les etudiants des cegep anglophones aient un examen de francais. Le bilinguisme des jeunes anglophones dans le reel est tres souvent insuffisant pour leur permettre d’acceder a la fonction publique.
Je veux qu’on etende la loi 101 aux entreprises de plus petite taille et oui je veux des sanctions lorsque l’accompagnement fonctionne pas. Je suis tanne de l’approche liberale qui consiste a rien faire.
(c)
Ma volonte d’une loi 60 temoigne du fait que pour moi la laicite doit etre inscrite dans la charte des droits et libertes et doit etre visible pour les agents de l’etat.
Pour moi, les signes religieux ont des significations intrinseques que les adherent connaissent et certains symboles sont effectivement relies a des discours de pudeur bien present dans certaines communautes. Ces symboles n’ont pas leur place chez les agents de l’etat.
Je suis quelqu’un en faveur d’une laicite « stricte » …. Je suis athee et meme anti-theiste …
Pour moi le projet de loi 60 va pas assez loin, on devrait bien sur parler de financement d’ecoles confessionnelles, d’ecoles juives hassidiques qui endoctrine et sans liberte pour les femmes …
On devrait parler de liberte de conscience des enfants …
Sur le fond, le projet de loi 60 s’inscrit avec mes idees et je suis pas mal plus proche de la vision d’une candidate comme Louise Mailloux que de Francoise David.
Je questionne ausi pourquoi on peut faire des enfants des adherents a une confession religieuse en brimant leur liberte de ne pas croire.
(d)
Je veux un parti susceptible d’avoir le pouvoir pour realiser la souverainete.
Ce qui n’est pas le cas de Quebec solidaire ou option nationale.
(e)
Je recite le catechisme de personne, je vote pour un parti qui est le plus pres de mes valeurs et mes idees, je l’evoque.
Je vote par conviction le reel c’est ca.
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(3)
Plusieurs manierse d’argumenter , de debattre ou de faire su spin.
Que le blogueur fasse comme y veux … je vais faire comme bon me semble.
Vous me parlez de …
« En robe de nuit blanche, la grande Souveraine Nationale, d’un geste honorant son rang et la noblesse de son sang »
« Léo, en laisse, sourit et envoie la main. Il a l’air un peu idiot »
c’est bien sur de la grosse grosse argumentation ….