Il est de bon ton, chez les bien-pensants, de s’imaginer que le gouvernement est l’expression institutionnalisée du droit commun et de la vox populi. Que sans cette raison suprême, ce serait le règne du désordre ; que sans cette digue de justice sociale, le pauvre peuple serait dévoré par les tout-puissants ; que sans cet emblème de l’équité, nos droits et libertés seraient ensevelis six pieds sous la tyrannie. Pour les partisans du principe d’autorité, le gouvernement est une instance modératrice sans laquelle la majorité serait forcée de se plier aux intérêts d’une poignée d’individus. Il s’agit d’entretenir l’illusion selon laquelle l’égalité entre les êtres humains n’est possible que si elle est forcée par un pouvoir qui leur est supérieur. Et cette façade de bonne volonté que représente une telle conception de ce qu’est un gouvernement est largement profitable à la minorité qui se cache derrière pour opprimer le peuple. Mais si, vraiment, la société n’est constituée que d’individus en lutte — au point où il faut une instance supérieure qui réglemente les rapports entre eux afin d’éviter qu’il n’y ait que le plus fort qui l’emporte —, alors cette instance, tenue elle-même par des individus qui sont, par définition, eux aussi en lutte, ne peut servir qu’à conforter le pouvoir des plus forts.
C’est à l’ombre du gouvernement que se constitue la classe dominante et c’est par son bras qu’elle assure la pérennité de son oppression et la conservation des moyens de production. Aussi, il n’y a rien d’étonnant à constater la proximité entre le gouvernement et la classe dominante : d’anciens députés, ministre ou premier ministre siègent à la tête de lobbys, de cartels du capitalisme, de firmes de propagandeux, de médias faiseux d’opinions publiques ou d’avocats en charge de défendre leurs crimes contre l’humanité. Des riches au gouvernement, il n’y a qu’une porte tournante. Le gouvernement est fabriqué par la classe dominante pour la classe dominante, et tous les moyens sont bons pour que n’accèdent au pouvoir que ceux qui servent ses intérêts et qui renforcent son pouvoir.
Quand un gouvernement concède des droits au peuple, qu’il lui « offre » un service ou une enquête publique par exemple, ce n’est que dans le but ultime de conserver ses privilèges et la domination de sa classe sur l’ensemble de la société. Il en va ainsi du droit de vote qui se limite à donner l’illusion au peuple de choisir qui le dirige en oubliant qu’il est dirigé et qu’il n’est pas nécessaire qu’il le soit. Ce droit de vote, ce n’est rien de plus que l’acte de transmettre à un étranger le pouvoir de gérer notre bien commun, de faire des lois qui le protège et protège la classe dominante à notre détriment, d’élaborer des plans d’austérité qui nous privent de nos moyens de subsistance au profit des riches ou d’utiliser la force quand il lui faut réprimer notre grogne à son égard ou à l’égard des mieux nantis. Le droit de voter lors d’une élection permet d’utiliser notre être-ensemble pour justifier des décisions contre lesquelles, autrement, on se révolterait.
Ce même gouvernement, armé de ses chiens de garde du PR et des médias, n’a de cesse d’associer l’anarchie au chaos et à la violence. De fait, il ne peut pas laisser la société vouloir s’autogérer ni s’émanciper de son pouvoir, car l’élite capitaliste et lui perdraient tous les moyens d’exploiter les masses et de tirer profits à ce que nous crevions de faim. Nous pourrions trop aisément comprendre que non seulement nous n’avons pas besoin d’être gouverné, mais que le gouvernement est la source même de la corruption. Que le progrès ne vient pas de la hiérarchie, mais de la coopération. Que le partage a beaucoup plus de sens que la propriété privée. Que nos richesses nous appartiennent collectivement, et non, individuellement. Si nous conservions chacun notre pouvoir et exercions notre droit de vote sur l’ensemble des décisions à prendre pour nous, nous représenterions une force de frappe bien plus grande contre les manigances d’une minorité qui cherche à nous réduire à l’esclavagisme à son seul profit.
Il n’y a aucune raison pour laquelle il y aurait une élite, qui possède toutes les richesses, et des soumis, qui ne possèdent d’autres possibilités que celle d’être son bétail. Il n’y a aucune raison pour laquelle la société devrait être basée sur la loi du plus fort, la performance et la compétitivité plutôt que l’entraide, la collaboration et la solidarité. Il n’y a aucune raison pour laquelle certains vivraient dans l’opulence pendant que d’autres meurent de froid. Il n’y a aucune raison à une organisation inégalitaire du social légiféré par un gouvernement, sauf celle de maintenir un ordre social selon lequel les vainqueurs peuvent jouir de leur victoire en étant certains que nous restons des perdants.
*Discours prononcé le 9 décembre 2012, lors de la manifestation organisée par le Mouvement du 24 septembre dans le cadre de la Journée Mondiale des Nations Unies contre la corruption.
Si l’État était véritablement ce qu’il devrait être, c’est à dire la représentation du peuple et de sa souveraineté ainsi qu’une instance de coordination des efforts collectifs et de répartition équitable des richesses, il ne serait pas en désaccord aussi flagrant avec les principes anarchistes d’auto-gestion.
L’État providence obéissait originallement à cette logique, celle consistant à mettre en place des politiques sociales destinées à assurer le bien être collectif en luttant, entre autre, contre les inégalités et en faisant la promotion de la culture et de l’éducation.
Les instance publiques ont renoncé à leur rôle et ont été, depuis le milieu des années 80, les principaux acteurs de la libéralisation des marchés, des accords internationaux sur les biens et les services (qui ont mis en concurrence directe des pays aux tissues et réalités sociales diamètralement opposés) et du démantèlement des programmes publiques. Ce faisant, ils ont perdu la légitimité qu’ils avaient acquises à une époque où l’amélioration du sort commun leur semblait envisageable.
La professionnalisation de la politique, le pantouflage, la reproduction sociale des élites et l’absence de mandat impératif sont au coeur de vos constats, Mlle Lemieux-Couture, à savoir la concentration du pouvoir dans les mains d’une clique d’individus tous plus ou moins issues des mêmes milieux et n’agissant plus que pour leurs intérêts respectifs. Il suffit de constater les politiques du parti socialiste en France pour comprendre que la diversité politique aux seins de nos institutions a depuis longtemps cessé d’être.
Ceci étant dit, les rôle de surveillance, de régulation, de répartition des richesses, de partage du bien commun, de défense de la sphère publique restent primordiaux. Comment vous proposez vous de les maintenir?
Ce texte ramène à l’initiative menée par le maire de marinaleda en Espagne:
http://www.franceinter.fr/emission-la-bas-si-j-y-suis-marinaleda-une-utopie-vers-la-paix-0
À voir aussi, l’exercice de l’état qui en apprend beaucoup sur les coulisses du pouvoir:
http://www.lesinrocks.com/cinema/films-a-l-affiche/lexercice-de-letat-subtil-et-haletant/
« Le directeur de cabinet, remarquablement joué par Michel Blanc, représente peut-être le point de vue du réalisateur sur le pouvoir : celui d’un honnête et rigoureux serviteur de l’Etat, viscéralement attaché à une certaine conception de l’intérêt général, qui constate avec mélancolie que le pouvoir est devenu un théâtre d’ombres hystérique dont l’agitation et le paraître sont inversement proportionnels à l’impact réel sur l’amélioration des conditions de vie des peuples, un écosystème cruel où les idéalistes sont inévitablement broyés. »
Il n’y a pas lieu de « surveiller » l’État s’il n’y a pas d’État. La régulation se ferait par le peuple pour le peuple et selon des organisations sociales qui répondent aux besoins et aux intérêts de chaque collectivité. La répartition des richesses? On reprend ce qui nous appartient, collectivement. Si on se départit de la notion de propriété privée, le bien commun reste commun. Quant à la défense de la sphère publique, je ne suis pas certaine de comprendre à quoi vous référez exactement. Ce n’est pas en reléguant la sphère publique aux mains des élus qu’on la protège, il me semble, mais en l’élargissant et en la démocratisant à travers la participation citoyenne.
Par contre, on ne peut pas rapprocher l’État providence, qui prend en charge le peuple, avec des principes d’auto-gestion selon lesquels le peuple se prend en charge lui-même. Même si un gouvernement avait les meilleures intentions du monde, il se constituerait toujours comme une classe à part et au-dessus du peuple.
Croire à la nécessité d’être dirigé pour le bon fonctionnement de la société est un habitus, et non une vérité, que Malatesta compare à quelqu’un qui aurait eu les deux jambes attachées depuis sa naissance et qui aurait appris à se déplacer malgré ses chaînes. Il est possible que cette personne associerait sa capacité de se mouvoir à ces chaînes alors qu’en fait, elles lui nuisent.
Merci pour votre commentaire articulé qui pose des questions pertinentes.
Merci à vous pour votre réponse qui éclaicie plusieurs de vos précédents points.
Nous sommes absolument d’accord sur le fond, je m’interroge simplement, en toute bonne foi, sur la forme qu’une telle société pourrait prendre. Notamment, mais pas seulement, ce qui permettrait la coordination juste et efficace des efforts communs et l’assurance qu’un groupe d’individus ne serait pas en mesure de reprendre le pouvoir sur tous les autres par la force ou par « autorité morale » (culte religieux, expertise supérieure dans un domaine…). En substance, de quels garde-fou se doter pour qu’une telle entreprise puisse être fructueuse.
Ce qui semble essentiel, en revanche, c’est l’investissement massif dans l’éducation des masses et une implication beaucoup plus large des individus dans tous les paliers de la vie démocratique.
Par État providence, je ne faisais pas nécessairement référence à l’instution de pouvoir mais plutôt à l’État en tant que représentation de la souveraineté populaire (quelque forme que puisse prendre celle-ci). L’État comme la somme des citoyens. Je comprends cependant la distinction que vous faites ici.
L’autorité est effectivement un jeu qui se joue à deux et tout est toujours question d’obéir à celle qui nous semble la plus juste (sa conscience, la collectivité,…) selon les règles dont on s’est collectivement doté. Le pouvoir est un mirage qui ne peut exister que si toutes les parties présentes acceptent de s’y plier et de lui donner substance.
Merci pour la référence à Malatesta.
Je partage vos questionnements, Marie. Quel garde-fou sinon des gens éduqués et informés. C’est nos représentations intérieures qui dictent les formes du monde extérieur, et non pas l’inverse. On ne pourra pas mettre en place une structure sociale tant que sa représentation n’aura pas pris forme dans l’esprit d’une majorité d’humains. Ce que nous appelons démocratie aujourd’hui sera certainement classé dans le tiroir des dictatures demain.
Je comprends en partie vos craintes et elles sont probablement dues, entre autres, au fait que l’anarchie est une vision beaucoup plus globale de la société que ce que j’offre dans ce texte. Anarchie ne signifie pas seulement « absence de gouvernement », mais de façon plus générale « l’absence de toutes relations de pouvoir ». Donc, une opposition à tout ce qui entretient et génère des relations de pouvoir comme le capitalisme, le patriarcat, la propriété privée et toute autre chose qui puisse faire en sorte qu’un individu profite d’un privilège dont les autres ne pourraient jouir.
Certains courants anarchistes ont une vision plus concrète des formes démocratiques que pourraient prendre la société. Je fais partie de ceux et de celles qui croient que plusieurs possibilités existent et qu’elles peuvent cohabitées. On peut voir ce genre de proposition comme effrayant ou inspirant, c’est selon.
Je n’ai pas tendance à voir la masse comme une monstruosité ignorante. En revanche, je ne doute pas qu’elle soit manipulée et rendue apathique par toutes sortes de procédés. Des structures démocratiques participatives constituent une forme d’éducation, au politique du moins, elles favoriseraient l’engagement et dilueraient sans doute le sentiment d’impuissance à la source du cynisme et de l’apathie.
Mais je peux aussi me tromper.
Je ne crois pas que vous vous trompiez, non, et je suis très proche de votre mode de pensée. L’ordre sans le pouvoir tel que décrit par M. Baillargeon dans son livre éponyme et tel qu’expérimenté avec succès à Marinaleda est une perspective fort séduisante et qui nous permettrait tous d’échapper à un certains nombres de carcans artificiels et infondés. Reste à mettre en œuvre une telle chose, d’où mes précédentes questions et les doutes qui entourent nécessairement ce genre de changements.
Je suis preneuse de toute référence pertinente sur le sujet.
Je partage ta vision Marie-Christine et l’espérance d’une société un jour basé sur autre chose que des relations de pouvoir. Je pense que les structures sont le reflet de notre pensée. Si nous avons des sociétés basée sur la domination des uns sur les autres, c’est que ce désir fait partie de l’homme. C’est l’homme qui doit changer ; la structure suivra. C’est en ce sens que je dis oui à l’éducation car je pense qu’elle peut changer l’homme. Mais, évidemment, je peux me tromper aussi.
» Il n’y a aucune raison pour laquelle la société devrait être basée sur la loi du plus fort, la performance et la compétitivité plutôt que l’entraide, la collaboration et la solidarité.[…]
En effet, il n’y a aucune raison…et, en même temps, toutes les raisons du monde. Parce que depuis que l’homme est l’homme, il en est ainsi. L’homme ne s’est pas encore affranchi de sa nature animale, semble-t-il. Son besoin de dominer et de combler ses besoins les plus égoïstes ont toujours primés. Sauf pour certaines personnalités exceptionnelles. L’homme est essentiellement un être irrationnel, truffé de complexes, pour ne pas dire des maladies affectives, dans le meilleur des cas.
L’idéologie libertarienne prône le même désengagement de l’État affirmant que l’ordre prendra sa place naturellement. Nous savons que cette idéologie est promulguée par les magnats du pétrole et de la finance pour abuser encore plus des populations. Fourberie, encore et toujours.
On ne peut qu’être en accord avec votre texte quand on constate à quel point l’État plie sous des pouvoirs qui désormais le dépassent . Quel pouvoir ne plierait pas ?
L’idéologie libertarienne ne prône pas (nécessairement) l’absence d’État, mais son désengagement sur le plan économique. Elle ne prône pas, non plus, l’abolition du capitalisme et encore moins celle de la propriété privée.
Bien, oui, bien d’accord, mais que suggérez-vous à la place de l’État? Laisser le champ libre aux libertariens? Vous croyez que ce sera mieux, si les Desmarais et les Péladeau de ce monde peuvent sans entraves nous imposer leur loi? S’ils peuvent disposer de leur police privée, de leurs prisons privées, et devenir propriétaires de nos aqueducs par-dessus le marché, vivrons-nous ans un monde plus juste et plus égalitaire?
Ce n’est pas tant l’État, notre ennemi, que ceux qui l’ont détourné à leur profit. Puisque nous sommes supposés vivre en démocratie, constatons dans un premier temps que cette démocratie n’est qu’un leurre, fort bien, mais faisons ensuite en sorte de nous réapproprier les instances qui régissent notre vivre-ensemble. Sinon, ce ne sont que des mots; des concepts abstraits. En mon âme et conscience, j’ai toujours été anarchiste, personnellement, mais je ne crois pas que l’anarchisme peut nous sauver à court terme. Dans les conditions actuelles, ce serait du suicide de vouloir démanteler les gouvernements.
En tirant à boulets rouges sur l’État, nous faisons le jeu de ceux qui salivent déjà à la perspective d’être débarrassés des ultimes remparts qui nous préservent encore de leur dictature absolue. De grâce, ne leur donnons pas ce qu’ils veulent, ou nous sommes foutus!
Que nous prenions les décisions qui nous concernent par nous-mêmes plutôt que de les laisser entre les mains d’un gouvernement qui sera toujours à la solde des mieux nantis. Comme je le dis dans le texte, si les quelques uns qui cherchent à nous dominer représentent une minorité, la majorité représentera toujours un plus grand rempart démocratique contre les intérêts individuels.
Force est de constater, de toute façon, que le Parlement est loin de nous protéger contre « leur dictature absolue », non? Et puis, si, dans votre fort intérieur, vous êtes anarchiste, vous savez très bien qu’on peut créer des structure démocratiques bien plus démocratiques qu’un gouvernement.
Marie-Christine, vos convictions sont fortes. Nous ressentons la fougue et la «rebelle» derrière vos mots; votre verbe. Il est difficile de dépasser le stade de l’argumentation dans ce cadre parce que toute personne ne peut se positionner contre la vertu. Elle passerait pour abjecte. Vous avez bien raison de dire que chaque individu est responsable de la vie des autres; de se mettre au service des autres. Bien là tout le sens de l’humanité. Néanmoins, la vie n’est pas si linéaire, si raisonnable. Je vois la démocratie non pas qu’elle se situe dans l’opposition État-peuple, mais qu’elle naît dans la plus petite parcelle de la vie quotidienne; dans nos rapports avec notre famille, nos collègues de travail; nos amis; mais aussi avec de purs inconnus, pour ne pas dire avec ceux que nous pensons connaître mais que nous ne connaissons jamais assez. S’il y a un rêve démocratique, c’est bien celui de s’aimer au quotidien; de faire alliance avec l’autre, souvent dans le contexte du plus profond désaccord. L’éveil prend racine dans les relations, dans la spontanéité, certes dans la passion, mais aussi, dans le dépassement de la peur; dans le désir de reconstruire perpétuellement les liens sociaux plutôt que de les castrer dans l’argumentation et dans les évidences universelles. Voilà le sens de la vie démocratique. Lorsque les gens sont capables de liens, les institutions s’en ressentent. Ce que je vois, maintenant, est un discours prégnant sur la toxicité humaine. Non seulement la psychologie, forte dans nos sociétés, dérive vers l’amplification des mécanismes de défense, nous avons de plus perdu le sens de la philosophie et de la foi. Il n’y a que par ce chemin que nous pouvons tendre vers l’amitié à la base d’une société démocratique forte. Ce n’est pas de moi, mais de Hannah Arendt.
Le TS du BS
Alors que je suis bien assis en travaillant ce jour de Noël
Et payé en temps ½; parce que c,est comme décrit
Dans la convention collective
.
Je travail demain le 26 et je ne suis pas payé en tS et je travaille
Le 31 et le 2 janvier et je n suis pas payé en temps supp.
Alors dans une semaine normale je travaille 1week-end sur 2;
Par mois; et je suis en congé le lundi suivant ma fin de semaine
De travaille et en congé le jeudi qui précède également ma fin de semaine de travail.
Alors quand les gens des services sociaux et par médical travaillent
les week-ends et le dimanche matin bine nous ne sommes pas en temps supplémentaire je ne vois pourquoi les cols bleus de la ville n’aurait ps une cédule, un horaire comme les autres travailleurs qui eux se fend en quatre et parfois certain met en péril leur vie de famille en travaillant la fin de semaine.
Pourquoi pas leur faire un horaire avec des congés en semaine à ces cols bleus qui ne sont i pas capable de travailler les weeks end sans faire du TS;
Imaginer quelque instant si demain matin tout les gens qui travaillent les fin de semaine demandaient d’être payés en temps double et ou en temps repris.
Le coût serait énorme pour la société et qui paie pour ses enfants gâtés de la ville de Québec bien c’est moi; et c’est vous qui devez assumer cette portion de TS.
. À suivre au mois de novembre. Avec la lecture du nombre de pouce de l’accumulation de la neige de l’année courante.