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Incident de ce matin dans le Métro: une échelle dans le collimateur

La STM soupçonne une échelle d’être responsable de l’incident qui a paralysé le métro de Montréal ce matin.

Il s’agit d’une échelle de marque Titan qui aurait appartenu initialement à un individu de race blanche résidant sur la rue DeLorimier, dans le quartier Rosemont.

Selon ce qu’a appris l’Agence TMI (Too much Information), la jeune échelle n’est pour le moment accusée de rien. Toutefois, après que nous ayons diffusé une photo prise, avant l’incident, par des passagers, des commis travaillant dans une quincaillierie bien connue ont contacté les policiers afin de l’identifier.

L’échelle est membre du groupe radical Les Zéchelles Rouges, fondé en 2011, qui reproche à la STM d’utiliser davantage des échelles vertes que des rouges. Nous avons tenté de nous entretenir avec le porte-parole du groupe, Mathieu Poirier, qui n’est pas décédé comme l’a annoncé un politicien via son compte Twitter – et qui n’est pas le fils de Claude « Fuckyall » Poirier -, mais ce dernier refuse de nous accorder une entrevue.

La semaine dernière, des membres de l’organisme ont perturbé le travail de Gilles Marcotte, un préposé du service d’entretien du métro. En effet, alors que Monsieur Marcotte montait dans une échelle, soudainement, cette dernière a cédé sous le poids de l’employé qui est tombé par terre. Heureusement, M. Marcotte, qui n’est pas le frère de Pierre Marcotte, n’a que quelques ecchymoses mais il a tout de même été transporté au Centre hospitalier de Joliette avant d’avoir son congé quelques heures plus tard.

En plus d’être un membre actif de l’organisme Les Zéchelles Rouges, l’échelle à l’origine de l’incident de ce matin a jadis siégé au comité des échelles rouges de marque Titan de l’Association pour une solidarité syndicale des échelles (ASSE). Mais, selon ce que nous avons appris, elle aurait claqué la porte il y a quelques semaines parce que l’association aura dévoilé qu’elle souhaitait que tous les membres du conseil d’administration soient des échelles télescopiques noires. Selon elle, il s’agirait là de profilage racial qui n’a pas sa place dans une association comme l’ASSE.

Depuis le mois de juillet, elle travaillerait dans le Métro de Montréal, plus précisément entre les stations Snowdon et Parc. Plus jeune, elle aurait aussi été escabeau dans un organisme communautaire venant en aide aux gens de petite taille.

Si vous avez des informations supplémentaires au sujet de ce dangereux groupe extrémiste, veuillez communiquer avec nous par courriel au [email protected].

-Agence TMI