Le sommelier Yann Boitel de chez Aszú Photo: Dominic Gauthier |
Dans quelques jours, c'est le Grand Prix. Les amateurs de petits bolides se donneront rendez-vous autour de la piste Gilles Villeneuve, mais pour ma part j'irais au restaurant. Parce que ce week-end des fous du volant a quand même quelques bon côtés gastronomiques.
Voici un petit calendrier pour ne pas être pris de vitesse dans la course aux saveurs.
Mercredi 6 juin : Le Méliès organise une soirée Dégustation autour des Vins de Vénétie (en Italie) du vignoble Masi en compagnie du fondateur du vignoble Raffaele Boscaini. La chef du restaurant Il Sole, Grazziella Batista se chargera du menu à l'italienne.
110 $ par personne. Réservation obligatoire.
Jeudi 7 juin : L'hôtel Nelligan dévoile son nouveau restaurant (et oui encore un dans le Vieux!) baptisé le Méchant boeuf à l'occasion d'un cocktail organisé par la marque de boisson énergétique Hype.
Du 7 au 9 juin: Le restaurant Aszú débouche ses grands crus pour les servir au verre. Au programme : Château Haut-Brion, Château La Fleur Pétrus, Pur Sang, Échézeaux ou Sassicaia, duos caviar-vodka ou huîtres-champagne sur la terrasse, ou encore accords vins-mets inspirés des régions hôtes du Grand Prix (Montecarlo, l'Italie ou l'Australie). Pour en savoir plus, lisez l'entrevue avec le sommelier Yann Boitel réalisée par Marie-Ève Desjardins, jeudi, dans Voir la Vie.
Je suis d’accord avec le sommelier du bar à vin ASZÙ.
Enfin on parle normalement de vin pour ce que c’est, cette approche fait en sorte que l’on soit à l’aise chez Aszù.
Cette façon de parler du vin distingue le sommelier et sa troupe, le service est mis en valeur autant que la cuisine et le client devient le vrai gagnant de cette philosophie.
Voir a bien fait de le souligner; peut-être que d’autres maisons adopteront cette attitude qui consiste à servir vins et mets avec plaisir aux personnes qui les
honorent de leur clientèle et tant mieux si, comme moi, elles reviennent.
Bravo au sommelier Yann boitel, au chef David Couture et à leurs brigades respectives,
Une adepte,
Mireille Théroux