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Une perle dans le Nouvo St-Roch

Chaque semaine, nous répondons à la question d'un internaute. Cette semaine, Iris Gagnon-Paradis, de Voir Québec, répond à Julie.

Bonjour,

Nous sommes à la recherche de suggestions pour une sortie resto à Québec, pas très loin du Nouvo St-Roch préférablement. Le Clocher penché est déjà un favori, nous connaissons également Toast!. Merci de nous aider à trouver la petite perle!!

– Julie Chapdelaine

Bonjour Mme Chapdelaine,

En restant aux alentours du Nouvo St-Roch et en s'éloignant un peu du côté du Vieux-Port, voici quelques restos qui pourraient devenir votre petite perle!

Si vous aimez le Toast!, je vous suggère fortement d'aller faire un tour du côté du tout nouveau resto ouvert par les deux propriétaires, Christian Lemelin et Stéphane d'Anjou, le SSS (pour snack, simple, sympathique). Plus «simple» dans sa facture gastronomique que le Toast!, la cuisine du SSS (71, rue Saint-Paul, 418 692-1991) n'en porte pas moins la marque originale de Lemelin, dans le style bistro de luxe!

Si vous voulez voir les sushis d'un nouvel oeil, le Yuzu Sushi Bar (438, rue du Parvis, 418 521-SAKE) est un restaurant qui risque de vous surprendre et de vous émerveiller avec les créations de son chef Vincent Morin, qui actualise les traditions de la cuisine japonaise en n'ayant pas peur d'y incorporer des éléments de la gastronomie occidentale, pour un mariage très réussi.

Dans l'établissement de la Gare du Palais, le très tendance Aviatic Club (450, rue de la Gare-du-Palais, 418 522-3555) est un restaurant qui s'est énormément amélioré au cours des dernières années et qui offre une carte internationale qui met l'eau à la bouche dans une formule favorisant la commande commune, à partager. Si le vin est votre dada, vous serez comblé avec un choix de plus de 50 pinards au verre. Pour une sortie plutôt carnivore, je vous conseille sans hésiter son frère, situé juste à côté, le steakhouse de luxe Le Charbon (418 522-0133), un des meilleurs endroits pour déguster un Boston ou une côte de boeuf en ville.

– Iris Gagnon-Paradis