Mosquée El Aqsa, septembre 2015
« Le colonialisme, c’est maintenir quelqu’un en vie, pour boire son sang goutte à goutte. »
Massa Makan Diabaté.
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Stéphane Hessel, un rescapé des camps nazi et un des rédacteurs de la Déclaration des droits de l’Homme, ne cesse de répéter dans les médias français, depuis l’attaque israélienne sur le sud du Liban en 2006, que par son comportement ’’Israël est en train de creuser sa propre tombe’’.
Nul besoin du Hamas, de l’Iran, du Hezboallah ou d’une quelconque « flottille de la liberté » pour envisager la disparition de l’État d’Israël. Ce pays âgé de 67 ans, s’active tout seul à sa propre disparition. Son comportement suicidaire répond à une logique de l’histoire bien démontrée. Celle de toute puissance coloniale qui avance inexorablement vers sa fin. Le compte à rebours est rythmé par chaque victime innocente, qu’elle soit palestinienne ou israélienne. La machine coloniale est animée par la mort, y compris par sa propre mort.
En 1947, l’ONU dominé alors par des puissances coloniales, a reconnu la naissance d’Israël. Le colonialisme était encore à la mode. La plupart des pays du sud étaient occupés par une puissance ou par une autre. Faut-il rappeler que ce ne sont pas les juifs de Palestine qui ont créé Israël. Ce sont des juifs sionistes arrivés des pays d’Europe qui ont installé par la force un État religieux suite à une opération de nettoyage ethnique en Palestine.
Pour caricaturer et dénoncer le discours colonialiste des sionistes d’Israël Tom Segev, historien israélien écrivait le 29 décembre 2008 au journal Haaretz : ’’Nous sommes les représentants du progrès et des lumières, évolués aux plans rationnel et moral, alors que les Arabes sont primitifs, foules violentes et enfants ignorants qui doivent être éduqués et se voir enseigner la sagesse. Bien entendu par la méthode de la carotte et du bâton, comme le charretier le fait avec son âne’’.
Le propre d’une occupation coloniale c’est de renier la dignité du peuple occupé. De le traiter et le considérer comme inférieur, voire inexistant. Accorder aux palestiniens de Gaza une attention humanitaire va à l’encontre de la politique coloniale d’Israël. La terre de Palestine existe, mais pas les palestiniens.
Ainsi la thèse de ’’La terre sans peuple pour un peuple sans terre’’ s’est inscrite au cœur du projet sioniste. Une forme de négationnisme qu’aucune loi au monde ne punit encore. Un négationnisme soutenu par une formidable machine médiatique pro-sioniste et par les déclarations des dirigeants occidentaux justifiant les attaques d’Israël par son fameux droit à se défendre. Sur l’agression israélienne contre la flottille de la liberté, Sarkozy avait déclaré qu’elle était disproportionnée comme si Israël était dans son droit d’attaquer dans les eaux internationales. Harper, avec son appui inconditionnel à Israël, est prêt à assumer toutes les conséquences. Quand à Obama, il ne devrait pas ignorer, lui, les conséquences néfastes du soutien des États-unis d’Amérique à Isarël.
Avec des amis comme Sarkosy, Harper et Obama, Israël n’a pas besoin d’ennemis.
De nombreux juifs d’Israël, dont Abraham Burg (Fils d’un dirigeant historique du Parti national religieux), arrivent à cette conclusion : ’’Cela ne peut plus fonctionner. Définir l’État d’Israël comme un État juif est le début de la fin. Un Etat juif, c’est explosif, c’est de la dynamite’’.
Un État islamique en Palestine serait tout aussi explosif. La seule solution pour mettre fin à l’islamisme du Hamas, c’est de mettre fin au statut religieux de l’État d’Israël. Le sionisme est une forme religieuse du colonialisme. Un cadeau empoisonné que les sionistes se sont donné à eux-mêmes avec le support des grandes puissances.
La création d’Israël répondait à une conjoncture particulière dont les racines remontent au début de l’industrialisation et la découverte du pétrole au Moyen Orient. Cela coïncidait avec la naissance du mouvement sioniste de Theodore Herzl à la fin du 19e siècle.
Au cours de la Première guerre mondiale, le puissant lobby sioniste est parvenu en 1917 à obtenir de l’Angleterre la déclaration de Balfour qui promettait aux juifs d’Europe un État sur la terre de Palestine. Selon le juif américain antisioniste Benjamin Harrisson Freedman, l’Allemagne a vu dans les manœuvres sionistes une trahison qui lui a fait perdre la première guerre. La revanche allemande est sans nom. Après la découverte de l’horreur nazi, l’Europe devait soulager sa conscience. Israël s’est imposé et l’indépendance de la Palestine, qui devait suivre celles des autres pays arabes, a été retardée.
Après la reconquête de Jérusalem par Saladin en 1187, ce dernier, contre l’avis de ses généraux, avait ordonné que les juifs puissent rester chez-eux avec leurs biens et le droit d’accès à leurs lieux saints. Cela explique le lien naturel de plusieurs juifs palestiniens, dont Ilan Halevi (grand intellectuel et un des conseillers politiques de l’autorité palestinienne 1943-2013)), avec leur terre ainsi que leur participation active dans la résistance contre l’occupation sioniste.
« Comment le peuple juif fût inventé » est écrit par un autre historien israélien. Ce best seller de Shlomo Sand décortique les mythes fondateurs d’Israël. Ça vaut la peine de l’entendre dire lui-même les détails de sa thèse : http://www.dailymotion.com/video/x7okoe_peuple-juif-invente-shlomo-sand_news
Israël est le dernier bastion d’un empire colonial qui a duré cinq siècles. Cinq siècles de pillage, d’esclavage, de vol et de viol. Avant de se retirer des terres occupées, les puissances coloniales se sont assurées d’avoir un chien de garde de leur intérêts géostratégiques dans la région la plus sensible. Depuis 1947, les palestiniens payent le prix d’une telle stratégie, les israéliens aussi et plusieurs d’entre eux le savent pertinemment.
Les voix de Shlomo Sand, de Tom Segev, d’Abraham Burg et d’autres consciences libres d’Israël participent également au déclin du colonialisme israélien, de la même manière que des grands intellectuels français, comme Jean-Paul Sartre, avaient contribué activement à mettre fin au colonialisme de la France sur les pays d‘Afrique.
Indépendamment qu’on soit pour ou contre l’existence d’Israël, une lecture froide de l’histoire démontre que cet État ne constitue pas un fait historique accompli. C’est plutôt une parenthèse parmi d’autres parenthèses de l’histoire.
Après 67 ans de résistance palestinienne, une évidence s’impose. Tôt ou tard, les palestiniens auront leur pays. Un seul pays sur l’ensemble du territoire de la Palestine historique où juifs, musulmans et chrétiens seront des citoyens à part entière. Un pays démocratique et laïque, celui que l’Organisation de Libération de la Palestine avait envisagé dès sa création.
Aujourd’hui le comportement criminel d’Israël envers une population démunie, notamment dans les nuits dernières années, rappelle tous les massacres qui ont précédé la libération des peuples occupés. Palestine, Algérie, Maroc, Inde, même histoire, même combat, même parcours vers l’indépendance. Les manifestations de force d’Israël sont en réalité les signes de son déclin.
La plupart des occupations coloniales ont fini par finir!
C’est une question de temps.
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Sur Internet, circule un manuel ironique d’auto-défense intellectuel à l’attention de ceux et celles qui ne savent pas encore comment décoder les méthodes colonialistes made in Israël : Le voici :
Règle numéro 1 : Au Proche Orient, ce sont toujours les Arabes qui attaquent les premiers et toujours Israël qui se défend. Cela s’appelle des représailles.
Règle numéro 2 : Les Arabes, Palestiniens ou Libanais, n’ont pas le droit de tuer des civils de l’autre camp. Cela s’appelle du terrorisme.
Règle numéro 3 : Israël a le droit de tuer des civils arabes. Cela s’appelle la légitime défense.
Règle numéro 4 : Quand Israël tue trop de civils, les puissances occidentales l’appellent à la retenue. Cela s’appelle la réaction de la communauté internationale.
Règle numéro 5 : Les Palestiniens et les Libanais n’ont pas le droit de capturer des militaires israéliens, même si ce nombre est égal à trois.
Règle numéro 6 : Les israéliens ont le droit d’enlever autant de Palestiniens qu’ils le souhaitent (environ 10.000 prisonniers à ce jour dont près de 300 enfants). Il n’est pas besoin d’apporter une preuve de la culpabilité des personnes enlevées. Il faut simplement utiliser le mot magique : « terroriste ».
Règle numéro 7 : Quand vous dites « Hezbollah », il faut immédiatement ajouter l’expression « soutenu par la Syrie et l’Iran ».
Règle numéro 8 : Quand vous dites « Israël », il ne faut pas ajouter après « soutenu par les Etats-Unis », ceci pourrait faire croire à un conflit déséquilibré.
Règle numéro 9 : Ne jamais parler de Palestine, ou de « Territoires occupés », ni de résolutions de l’ONU, ni de violations du droit international, ni des conventions de Genève. Cela pourrait perturber le téléspectateur et l’auditeur européen.
Règle numéro 10 : Les israéliens parlent mieux le français que les arabes. Il est normal qu’on leur donne aussi souvent que possible la parole. Ainsi, ils peuvent nous expliquer les règles précédentes (de 1 à 9). Cela s’appelle la neutralité journalistique.
Règle numéro 11 : Si vous n’êtes pas d’accord avec ces règles ou si vous trouvez qu’elles favorisent indûment une partie au conflit, C’est parce que vous êtes un dangereux antisémite.
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Les images de la dernière offensive israélienne sur Gaza, en été 2014, suffiront-elles pour dissiper le doute et la confusion savamment entretenue par la propagande sioniste sur la réalité des choses ? Et pourtant, ces crimes donnés en spectacle ont fait sortir du silence beaucoup de juifs ici, en France et même en Israël, condamnant sans réserve le spectacle du crime contre l’humanité. Par ailleurs, les artistes dits engagés du Québec continuent à briller par leur silence. !!
Voici à leur attention un rappel de quelques chiffres de l’ONU :
1982 : l’invasion du Liban par Israël a fait 17500 morts, presque tous des civils dont la plupart des enfants et des femmes.
Septembre 1982, 1700 civils palestiniens sont morts dans le massacre de Sabra et Chatila qui n’aurait jamais eu lieu sans la complicité de l’armée israélienne sous les ordres d’Ariel Sharon.
1996, le massacre à Qana a fait 106 morts, tous des civils, des réfugiés libanais (dont plus de la moitié étaient des enfants) hébergés dans une base des Nations unies.
2006, le massacre des réfugiés de Marwahin à qui Israël avait ordonné de fuir, et qui ont été tués par un hélicoptère israélien.
2006, 1000 morts durant les bombardements et l’invasion du sud du Liban, dont la quasi-totalité étaient des civils. 177 palestiniens sont morts en détention depuis 1967 dont presque la moitié ont rendu l’âme suite à des tortures.
Du 27 au 28 décembre 2008, c’est le jour le plus sanglant depuis 1967 : 300 morts et quelques 700 blessés en moins de 24 heures à Gaza.
2012, cela continue.. Mais pas pour encore trop longtemps.
2014, le spectacle de l’horreur continue, des israéliens s’installent sur une colline pour admirer le spectacle des frappes sur Gaza.
2015, Agressions israéliennes contre la mosquée El-Aqsa.
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Texte mise à jour: 20 sept 2015.
Je ne vous ai pas vu condamner les tirs de roquettes vers Israël et dites moi quel pays endurerai une telle situation sans réagir ? les pays arabes ne manquent pas de territoire pour accueillir leur frère musulmans . Pourquoi ne vous vous êtes pas inquiété ni manifesté pour ces juifs qui ont été chassés , massacrés et bannis des pays musulmans
Israel leur a ouvert ses portes contrairement aux pays arabes qui les ont fermés pour créer la situation actuelle Si vous étiez un peu honnête envers vous-même vous verrez qu’Israël a libéré tout le territoire de gaza qui appartenait à l’Égypte vous voyez le résultat que ca a donné Et je comprend qu’ils sont très réticents à créer un autre entité terroriste qui ne cherche qu’à éliminer Israël . Je ne connais pas la motivation qui vous anime pour jeter votre venin sur le seul pays démocratique de la région .
» les pays arabes ne manquent pas de territoire pour accueillir leur frère musulmans. »
tu proposes donc que les palestiniens ramassent leurs affaires et qu’ils déménagent ailleurs qu’en palestine?
c’est pas un peu simplet, irréaliste et naïf, comme plan, cequejepense?
Je propose à Lotfi d’ajouter une autre règle: je m’y suis « inspiré »
en lisant le commentaire de « cequejepense »
Règle 12: Répéter sans relâche: Israël est le seul pays démocratique de la région. Cela donne l’impression auprès de l’européen ou le nord américain qu’Israël est un pays développé et que les peuples environnants sont des sociétés « tribales », ‘barbares »
Avez-vous vraiment lu le texte? les mots «occupation coloniale» vous ont échappé?
« ces juifs qui ont été chassés, massacrés et bannis des pays musulmans » Et ceux qui ont été exterminé en Allemagne, en Russie, trahies en France, et je ne sais où encore. Faire porter le problème de la diaspora juive aux musulmans est aussi très malhonnête.C’est facile de toujours accusé l’autre, et ça ne règle jamais rien.
Sarkozy sur Netanyahou : « Je ne peux plus le voir, c’est un menteur »Benyamin Netanyahou, le Premier ministre israélien traité de menteur…
Barack Obama et Nicolas Sarkozy se sont lâchés, lors d’une conversation privée à Cannes qui ne l’est pas restée à cause d’un « accident ». « Je ne peux plus le voir, c’est un menteur », a lancé Sarkozy. « Tu en as marre de lui, mais moi, je dois traiter avec lui tous les jours ! », a rétorqué Obama
http://www.rue89.com/2011/11/07/sarkozy-sur-netanyahou-je-ne-peux-plus-le-voir-cest-un-menteur-226327?sort_by=thread&sort_order=ASC&items_per_page=50&page=1&response=1
c est absolument affreux vous parlez de juif persecutés pendant 2000 ans sans terre contre des arabes qui possedent touts le moyen orient ( et bientot la france ? ) la paix version palestinienne se resout a un suicide volontaire d israel un peuple pour une terre israel a la sienne les arabes ont la leurs
peux-tu citer mohammed yoyob93?
c’est que pour te faire réagir ainsi, son texte doit regorger de faussetés!
pourrais-tu les souligner pour moi stp? (ou t’excuser si, après tout, il n’y en a pas)
Il suffit de dire que dans tout le moyen orient les HEBREUX et les JUIFS étaient des autochtones bien avant les musulmans, des siècles avant et qu’en reste te t’il à présent un dites aucun.
Ils ont été chassé persécutés, spoliés jusqu’à leur départ ou leur conversion.
Pourquoi à votre avis y a t’il autant de noms à consonance juives qui soient musulmans, deviner.
La conversion dans la religion juive n’existe pas, alors qu’elle est une condition de survie pour un infidèle au sens musulman.
C’est le déclin de l’islam je vous le prédis comme un + un font deux et même trois.
Les «Hébreux», comme vous dites, sont tellement «autochtones» que, dans toutes les langues sémitiques, l’Arabe comme l’Hébreux ou le Syriaque, la racine «Hibri» signifie «venu d’ailleurs» ou «survenant» si vous préférez.
Demandez donc à Jacques Attali qui fait l’apologie du nomadisme dans son ouvrage L’homme nomade. Il sait de quoi il, parle, lui!
pour reprendre les commandements ci-dessus qui ont été détourné:
http://jssnews.com/2012/11/17/les-11-commandements-des-medias-francais/
Pauvre arabes ils ont toujours les laissé pour compte les martyrs, les résistants, etc……; oufffff
Règle numéro 1: Au Proche Orient, ce sont toujours les « colons sionistes d’extrême droite » qui attaquent les premiers et ce sont toujours les pauvres victimes (femmes et enfants) palestiniens qui souffrent le plus malgré les représailles du Hamas ou d’un autre mouvement. Cela s’appelle de la résistance.
Règle numéro 2: Les juifs, sionistes ou simplement israéliens n’ont pas le droit de se défendre contre le tir incessant de roquettes lancés sur des cibles civiles. L’Etat d’Israël qui se défend, cela s’appelle un crime de guerre.
Règle numéro 3: Le Hamas ou le Hezbollah a le droit de tuer les civils israélien. Cela s’appelle de la résistance face à une force d’occupation.
Règle numéro 4: Quand le Hamas tue trop de civils israéliens, les puissances occidentales appellent Israël à la retenue. Cela s’appelle la réaction de la communauté internationale.
Règle numéro 5: Les israéliens n’ont pas le droit de capturer des terroristes, même si leur nombre est très limité et est justifié par des accusations vérifiées. C’est d’autant plus interdit que les prisons israéliennes sont des prisons « 4 étoiles », avec TV par satellite, journaux, nourriture Hallal, imam, droit de visite quotidien, médecin, croix-rouge, activités organisées par l’ONU, etc…
Règle numéro 6: Les Palestiniens ont le droit d’enlever, de torturer, de laisser sans nouvelle un israélien sans que la communauté internationale ne pipe mot. Même sans droit de visite de la Crois-Rouge, personne n’haussera le ton. Pas plus quand il s’agira d’échanger 1 otage contre 1.000 terroristes.
Règle numéro 7: Quand vous dites “Cisjordanie”, il faut toujours rajouter l’expression « colons extrémistes anti-arabes et ultra-violents ».
Netanya – Votre appartement les pieds dans l’eau
Règle numéro 8: Quand vous dites “Hamas” ou « Hezbollah », il ne faut surtout pas rajouter après: « soutenu par la Syrie, l’Iran ou les Frères Musulmans», car on pourrait croire qu’il s’agit d’un conflit déséquilibré.
Règle numéro 9: Ne jamais parler de “Judée-Samarie“, d’initiative de paix, de négociations directes, d’échange économique, d’aide à la population organisée par Israël, d’innovation, d’amour dans le judaïsme, ni des conventions de Genève (droit du prisonnier par exemple). Cela risque de perturber le téléspectateur, le lecteur et l’auditeur.
Règle numéro 10: Les arabes parlent mieux le français que les israéliens. C’est ce qui explique qu’on leur donne, ainsi qu’à leurs partisans, aussi souvent que possible la parole. Ainsi, ils peuvent nous expliquer les règles précédentes (de 1 à 9). Cela s’appelle de la neutralité journalistique.
Règle numéro 11: Si vous n’êtes pas d’accord avec ces règles ou si vous trouvez qu’elles favorisent une partie dans le conflit contre une autre, c’est que vous êtes un dangereux sioniste, que vous dominez très certainement la France et le monde, que vous travaillez dans les médias, la finance, la politique, la médecine ou le droit. Si vous êtes ainsi c’est aussi certainement parce que vous avez un gros nez et que vous parlez tout le temps de la Shoah. Et lorsque vous allez à la synagogue sioniste, c’est uniquement pour parler de la meilleure méthode pour dominer le monde
bonsoir,
un seul pays democratique ou juifs musulmans chretiens vivront ensemble!!!
pourquoi les jordaniens n’aiment pas les palestiniens?
pourquoi les bedouins n’aiment pas les palestiniens?
pourquoi personne n’en veut sur son territoire et qu’ils ont toujours ete chasses?
faudrait pas oublier l’histoire, vite changer par les arabes d’ailleurs.
je ne connais aucun pays arabe ou tout le monde vit en paix.
ou on peut s’habiller librement et boire de l’alcool si on en a envie.
par contre il faut voir les arabes se promener au bord de la mer le vendredi ou le samedi en israel sans risquer d’etre ennuyer !
il n’existe aucune delocratie arabe.
quant a l’islam il ne veut que la mort des non musulmans, juifs boudistes ou chretiens….
et on dit que c’est une religion de pays.
paix a toutes les victimes, quelque soit le cote ou elles sont tombees.
« pourquoi les jordaniens n’aiment pas les palestiniens?
pourquoi les bedouins n’aiment pas les palestiniens? »
alors toto? pourquoi? vas-y, éclaire-moi.
es-tu capable de répondre à tes question sans sombrer dans les bas-fonds?
Israël est démocratique avec soi mais pas avec les autres. Les Palestiniens n’ont même pas le droit d’être état observateur à l’ONU.
Israël n’a pas de frontière et continue la colonisation.
Les Palestiniens ne peuvent rien faire car la communauté internationale (enfin les pays occidentaux) sont contre les Palestiniens. Il a suffit d’une majorité à une voix pour qu’Israël soit créée à une époque où il n’y avait que des pays coloniaux qui pouvaient s’exprimer à l’ONU alors qu’aujourd’hui, la Palestine obtient une très large majorité dans le monde mais est toujours bloqué par les pays occidentaux.
Lorsqu’il n’y a pas de justice, il n’y a pas de paix.
PS: Ce ne sont pas les musulmans qui ont persécutés les juifs bien au contraire. Ce n’est pas parce que les Européens ont des millions de juifs sur la conscience que cela doit se faire au mépris des populations qui vivent en Palestine.
Politique étrangère
Un jour en visite à Paris sur la tour Effel
Un constable s’approche de moi allez savoir pourquoi et me dit:
Monsieur se permet.
Non, non, je crachais.
Sans compté que leur bidet, ça laisse le cheveu gras.
Que d’âneries suivent cette éclairante réflexion.
Peut on appeler colons ceux qui reviennent chez eux après tant de siècles d’exile forcé ? Lisez bien l’histoire et vous verrez que le peuple palestinien n’a jamais existé ce sont tous des Égyptiens et des Jordaniens en majorité . Comme le disait Monsieur Gingrich le peuple palestinien est un peuple inventé . Dans la même pensée on devrait appelles nos autochtones du Canada et des USA de collons
@Cequejepense
« La prise de Jérusalem par Pompée en 63 av JC entraîne l’envoi en esclavage de nombreux prisonniers à Rome2. C’est l’élément fondateur de la Diaspora en Occident. » http://fr.wikipedia.org/wiki/Diaspora_juive
Ce sont toujours les vainqueurs qui écrivent l’histoire.
L’histoire du peuple juif est tellement complexe qu’il est difficile aujourd’hui d’en connaître les véritables tenants. Le problème est que deux nations se retrouvent sur un même territoire, l’une supportée par l’Occident et l’autre par l’Orient. Faut voir, aujourd’hui, quels sont les véritables intérêts qui se cachent derrière ce conflit dont les populations innocentes sont victimes.
Accuser l’un ou l’autre ne sert qu’à entretenir le conflit. Le fait est, malheureusement, que le rapport de force n’est d’aucune commune mesure.
Les Palestiniens devraient, avant de tous mourir, virer Juifs et se rendre à Israël pour se sauver des bombardements et de l’occupation de ce pays et des États-Unis et du Canada aussi…celui de M. Harper, le guerrier religieux et pollueur.
Aussi bien envoyé Gerges W.Bush comme médiateur à la place du criminel de guerre Tony Blair, quand à vouloir montré le peu de foi que peut avoir l’Occident sur le sort de la population de Gaza.
Tony Blair, ancien Premier ministre britannique qui représente les médiateurs du Quartette pour le Moyen-Orient, a transmis le message de M. Netanyahu à M. Abbas lors de leur rencontre dans la ville cisjordanienne de Ramallah lundi.
http://french.cri.cn/621/2012/11/19/462s302914.htm
je répondrai à M. LLotfi en citant un passage de mon livre, Les faces cachées d’Amir Khadir
Chapitre 3, p. 71 à 76. […]
Mais examinons la théorie selon laquelle Israël est un État colonial(iste), un État colonial tout à fait étrange, du fait qu’il s’agirait d’une colonie sans Mère patrie, qui a dû être créée en dépit de la résistance de la Grande-Bretagne, qui, après la Déclaration Balfour de 1917, n’a cessé de mettre des bâtons dans les roues aux bâtisseurs de cette soi-disant « colonie ». À partir de 1920, les Anglais, c’est-à-dire les colonialistes, ont presque toujours pris la part des Arabes quand des conflits ont éclaté entre ces derniers et les Juifs nouvellement établis. Établis comment,d’ailleurs ? Par la violence ? Par spoliation ou usurpation des terres et des biens appartenant aux Arabes ? Pas du tout ! Ces terres ont été acquises légalement, souvent à prix d’or, de propriétaires terriens arabes qui les laissaient en friche et voulaient « faire la piasse » en s’en débarrassant. Que certaines de ces transactions aient été défavorables aux vendeurs et avantageuses pour les acheteurs, c’est indéniable. Et après ? Nous ne reprendrons pas en inversant les rôles la posture manichéenne des antisionistes obsessionnels. Une telle pirouette ne nous aiderait nullement à comprendre ce qui s’est passé dans cette région du monde dans les premières décennies du XXe siècle. Ainsi serait-il fort injuste de parler d’une hostilité généralisée des Arabes de Palestine envers les Juifs. Il existait à l’époque, explique Michel Gurfinkiel, un parti de la paix, qui s’opposait aux clans belliqueux constitués par les confréries islamistes et par deux grandes familles de Jérusalem, les Nashashibi et les Husseini. « Réprouvé par les trois autres, harcelé, vilipendé, décimé par des assassinats. ignoré par les médias et les politologues, il n’a pourtant jamais disparu et pourrait, un jour jouer un rôle capital1. »
Exemple du parti pris pro-arabe du colonisateur britannique : lors des troubles de 1921 — l’on tue des Juifs sans défense à Jaffa et à Tel Aviv, — les Anglais laissèrent aux Arabes leurs armes et leurs munitions, mais tout Juif qui portait un revolver était arrêté.
C’est normal, direz-vous, les Arabes étaient des indigènes et les Juifs des envahisseurs. Faux ! Des Juifs ont toujours habité cette région du monde même après en avoir été chassé par les Romains. En 1863, Jérusalem comptait 15 000 habitants, 8 000 de ces derniers étaient juifs. Juifs et tout aussi « indigènes » que les Arabes à qui M. Katz prétend réserver l’étiquette. Soit, des Juifs européens se sont installés dans le territoire sous Mandat britannique — moins la Jordanie, pays inventé de toute pièce en 1922, au bénéfice des seuls Arabes et de la dynastie hachémite, récemment chassée d’Arabie saoudite. Cette immigration dérangeait certes les judéophobes et antisémites arabes et plus particulièrement leur dirigeant le plus fanatique, Hadj Amin Al-Husseini, Grand Mufti de Jérusalem. Mais faut-il rappeler qu’une grande partie de la population arabe de la région venait elle-même de l’extérieur, ayant été attirée en Palestine par l’activité économique générée par les Juifs ? Près de la moitié des « Palestiniens » n’étaient pas… palestiniens, mais se virent reconnus comme tel en 1948. Ces gens venaient d’Égypte, de Transjordanie, de Syrie, du Liban, du Koweit, d’Arabie saoudite, de l’Irak, de Turquie ou même d’Afrique noire (un village soudanais fut fondé et existe encore). Plusieurs noms de familles palestiniens témoignent d’ailleurs de l’origine de ceux qui les portent : Masri vient d’Égypte, Iraqi, d’Iraq, Tarabusti de la ville de Tripoli au Liban, Hourani, de Houran en Syrie, Husseini de Jordanie, Saudi d’Arabie saoudite.
Peu après que le territoire sous Mandat britannique eut été amputé en 1922 de presque 80% de sa superficie avec la fondation de la Transjordanie, les Anglais cédèrent aux pressions des Arabes en suspendant l’immigration des Juifs dans ce qui restait de la Palestine historique.
En 1930, écrit Michel Gurfinkiel, une commission royale d’enquête, présidée par Sir John Hope Simpson, observe à ce sujet : « Nous avons constaté, à travers nos discussions avec les autorités compétentes, qu’une immigration illégale substantielle existait à partir de la Syrie (en termes actuels, de la Syrie et du Liban) et tout le long de la frontière de la Palestine » Compte tenu de « la difficulté que présentent le repérage et l’expulsion de ces immigrants illégaux », la commission recommande de fermer l’oeil sur ce phénomène « à condition qu’il ne génère pas de désordres, et bien qu’on porte indubitablement préjudice aux immigrants juifs potentiels, dont la place est prise par d’autres2.
Ajoutons que le plus célèbre des réfugiés palestiniens, Yasser Arafat, chef fondateur de l’OLP, est né au Caire en 1929. « Palestinien » quand même, certes, car en 1948, il suffisait d’être établi en Palestine depuis deux ans pour avoir droit au titre de réfugié.
Dès la fin des combats, en 1948, plusieurs Arabes vivant alors dans le territoire dont s’empara la Jordanie réclamèrent le statut de réfugiés en alléguant être des victimes de la guerre [déclenchée par les pays arabes]. C’est ainsi que des gens qui n’avaient jamais vécu en Israël furent inscrits sur les listes de l’UNRWA, celle-ci n’ayant aucun moyen de vérifier la véracité des déclarations de ces personnes3.
Bien des Juifs vivaient en Israël depuis plus longtemps que ces « pseudos-palestiniens » et ils n’auraient pas eu le droit de fonder un pays sur un territoire qui n’en avait jamais été un depuis l’Antiquité ni pour les Juifs ni pour les Arabes ? La situation des Arabes ayant fui la zone des combats n’était certes pas rose, et elle ne l’est sans doute pas encore soixante-trois ans plus tard, ni pour eux ni pour leurs descendants, malgré toute l’aide internationale qui leur est consacrée. Mais à qui la faute ? Pourquoi les pays arabes belligérants leur avaient-ils promis qu’ils rentreraient chez eux peu après quand les Juifs auraient été rejetés à la mer ? Que ces gens soient à plaindre, je n’en disconviens pas, au contraire. Mais si, plutôt que d’être enfermés dans des ghettos baptisés « camps de réfugiés », ils avaient été accueillis dans les pays arabes comme l’ont été en Israël les 900 000 autres réfugiés, Juifs ceux-là, chassés des pays arabes et dépossédés de tous leurs biens (comme ce monsieur qui discutait avec Bruce Katz en face du Marcheur), il y a longtemps que l’on ne parlerait plus du problème des réfugiés palestiniens.
Mais on ne changera pas l’histoire. Les faits sont les faits.
Les termes du mandat étaient bafoués par l’occupant. L’agence juive prévue ne fut mise sur pieds que neuf ans plus tard. Le droit pour les Juifs de se réunir pour prier devant le Mur des Lamentations fut contesté et des incidents furent provoqués par les Arabes. La violence commença un peu partout contre les Juifs. La police palestinienne, en majorité arabe et anglaise, fermait les yeux sur tous les méfaits organisés par des chefs religieux musulmans arabes. Des centaines de Juifs furent assassinés4.
D’autres massacres de Juifs ont lieu à Hébron le 23 août 1929, ainsi décrits par Sir John Chancelor : « […] meurtres sauvages perpétrés sur des membres sans défense de la communauté juive, sans égard pour l’âge ou le sexe et accompagnés d’actes de férocité indicibles, incendies des fermes et des maisons, dans les villes et les campagnes, pillage et destruction des biens5 ». D’autres tueries se produisirent à Jérusalem, à Safed, à Tel-Aviv.
« La plupart des victimes ont reçu au moins trois blessures, plus d’une en a reçu de douze à dix-huit sur toutes les parties du corps. Quarante-cinq pour cent d’entre elles sont des femmes, dix-neuf pour cent des enfants de un à dix ans6. » Le journaliste Albert Londres rapporta pour le massacre de Safed des gestes atroces commis par les bandes du Grand Mufti : mains et doigts coupés, têtes brûlées sur des réchauds, énucléations, scalp d’un rabbin, dont on emporta la cervelle, mutilations sexuelles des hommes, viol « en choeur » des femmes7.
En réaction à ces massacres, l’administration britannique publie en 1930 — voir note 94, page 51 — un livre blanc qui « limitait l’émigration juive en Palestine et, d’autre part, décidait de mesures draconiennes qui devaient empêcher les Juifs de s’armer pour leur défense8. »
Révoltés, des Juifs créeront des organisations parallèles, l’Irgoun, le groupe Stern, qui s’attaqueront en priorité à qui ?… Au colonisateur Anglais ! Et qui, effectivement commettront les « pires atrocités », écrit l’auteur que je viens de citer, dont le point de vue n’est pas aussi manichéen que celui de M. Katz. Impossible également de nier qu’à partir de 1937, les Britanniques ont exercé pour combattre l’insurrection arabe des mesures répressives brutales : « Internement ou bannissement arbitraires des notable liés à l’insurrection, punitions collectives et dragonnades dans les villages soupçonnés de soutenir les rebelles, exécutions sommaires9. » Un fait est un fait.
Mais Israël, État colonialiste ? Non, M. Katz ! Les Juifs avaient autant le droit d’occuper ces terres et de les développer que les Arabes (ceux que l’on se plaît à appeler les Palestiniens), à qui elles n’ont d’ailleurs jamais appartenu, ni sous le Califat ottoman ni pendant le Mandat britannique, mais qui auraient quand même depuis soixante-trois ans leur État « laïc et démocratique » (en plus de la Jordanie monarchiste), si les pays arabes avaient accepté le partage proposé par l’ONU en 1947. Dans une entrevue donnée à la télévision israélienne le 28 octobre 2011, Mahmoud Abbas, chef de l’Autorité palestinienne, avouait d’ailleurs : « It was our mistake. It was an Arab mistake as a whole10 ».
Les Palestiniens auront peut-être un jour leur pays. Je le leur souhaiterais pour ma part avec beaucoup plus d’enthousiasme si je ne savais que le but final de leurs dirigeants, de même que celui des antisionistes obsessionnels des pays occidentaux, est la disparition de l’État d’Israël.
Très intéressant, M. Malouf
Comment expliquez-vous le soutien inconditionnel du Canada et des États-Unis à Israël ?
« Le ministre des Affaires étrangères du Canada, John Baird, a fait l’éloge du « miracle » d’un Israël sioniste au moment où la secrétaire d’État américaine prenait part à des négociations pour mettre fin aux violences au Proche-Orient. »
Que dire de l’angélisme de nos dirigeants canadiens…une honte. Faut dire que ces conservateurs évangéliques attendent le retour de leur sauveur… précisément au moment où tous les juifs seront réunis en Israël.
« Convaincus que l’établissement d’un Etat juif en Palestine est l’accomplissement de la prophétie biblique, les 40 millions de chrétiens évangéliques, essentiellement américains, qui constituent la base électorale la plus solide du Parti républicain, sont pour la plupart de fervents sionistes. Ils voient en nous le « peuple élu » et attribuent un rôle décisif aux Juifs et à l´Etat d´Israël dans le projet divin pour la fin des temps. »
http://www.noemiegrynberg.com/pages/israel/les-evangelistes-et-israel-un-amour-a-double-tranchant.html
On est pas loin de la maladie mentale, là !
À 11 h, le 11e jour du 11e mois
J’ai dans l’âme le silence des liturgies
La voie des anges gravé dans l’esprit
Deux minutes de paix et d’harmonie
Un psaume sous la tempête et son antienne
De nefs blanches, de noirs géhennes
Au chœur violet, au timbre suprême
J’ai en tête un réquiem, une symphonie
Un concerto de noms, de morts, de vies
À bouleverser le jour, la nuit, la poésie
Un adagio pour les alto sous les arceaux
À réunir, de lot en lot, tous les drapeaux
Et les flambeaux, la sentinelle au repos
J’ai la mémoire des champs cramoisis
Des éclosions de pourpre et d’ancolies
L’éclat des cors gisants dans l’oubli
Et l’ensemble pétrifié dans la pause
Le glas des Walkyries qui composent
De vol en vol, l’enfer, la psychose
J’ai dans l’âme des rangées de stèles
Des airs d’Händel, des canons de Pachelbell
Des sopranos de marbre qui en appellent
À l’humanité, à l’entraide, à l’amour du sublime
Au salut des Haydn, à la fin du crime
J’ai en tête une ouverture divine: une libre Palestine
J’ai en mon être des opus cardiaque
Des extinctions de pouls sur la chute de sérac
Des pelotons de Bach et d’Offenbach
Des mers de Strauss, de Brahms, de Mendelssohn
Des absides qui claironnent, des bombardons qui résonnent
Des carillons, des tam-tams, des épigones
J’ai en tête des accords de Chopin, de Rossini
Des veilles de Wagner, de Bizet, de Tchaïkovski
Des fugues de Beethoven, de Schubert, de Debussy
Des régiments de clair de lune en bernes
Des aubépines éplorées sous la vieille lanterne
Des versets maudits, des sonates internes
J’ai dans l’âme la dernière flamme profane
Des couronnes rouges qui se fanent
Des muses de méthane et un chevet mélomane
Des voix de Zarathoustra entre ciel et terre
Des roses du Walhalla, un opéra de fer et de lumière
Aux nocturnes de Liszt, de Ravel, de Mahler
J’ai dans l’âme le silence des liturgies
La voix des armes gravée dans l’esprit
J’ai pour compagnie des légions de bougies
Des aubes de Mozart, de Verdi, de Vivaldi
Des coquelicots de feu et des revenants
D’étranges messies et de grand absents
Une marche à faire frémir les temps
Les monuments, les instruments
Les morts et les vivants.
Nicodème Camarda
Du 11 NOVEMBRE 2012
(Au 2 décembre. 2012)
Je suis du même avis que Monsieur Lotfi et je le remercie de nous rappeler ainsi à l’ordre. D’un point de vu humain, le salut d’Israël passe d’abords par le salut de la Palestine; Ignorer cette réalité équivaut à un suicide en bonne et du forme. C’est renier la création de cet état et ce qu’il est supposé représenter. On aura beau crier sur les toits que nous avons été victime d’un tentative d’extermination, créer des monuments à cet effet, avec preuve à l’appuie, on aura beau sortir toute la panoplie de documentaires et de chansons commémorant le cauchemars que fut l’holocauste, tous ces efforts mémoriels seront ridiculiser, tourner en dérision et anéantis… On ne peut pas être l’exemple et son contraire en même temps.
Je suis du même avis que monsieur Lotfi et je le remercie de nous rappeler ainsi à l’ordre. D’un point de vue humain, le salut d’Israël passe d’abord par le salut de la Palestine; Ignorer cette réalité équivaut à un suicide en bonne et due forme. C’est renier la création de l’état d’Israël et ce qu’il est supposé représenter; On aura beau crier sur les toits que nous avons été victimes d’une tentative d’extermination, créer des monuments à cet effet, avec preuve à l’appui, on aura beau sortir toute la panoplie de documentaires et de chansons commémorant le cauchemar que fut l’holocauste, tous ces efforts mémoriels seront ridiculisé, tourner en dérision et anéantis : on ne peut pas être « l’exemple » et son contraire en même temps.